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Petite vision dystopique sur « un monde de fous » comme dirait le professeur Montagnier. (Cinquième partie)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Dans le brevet qu’a déposé Microsoft le 26 mars 2020, il est écrit :

« L’activité du corps humain associée à une tâche fournie à un utilisateur peut être utilisée dans un processus de minage d’un système de cryptomonnaie. Un serveur peut fournir une tâche à un dispositif d’un utilisateur qui est couplé de manière à communiquer avec le serveur. Un capteur couplé de manière à communiquer avec un dispositif de l’utilisateur ou compris dans ce dernier peut détecter l’activité corporelle de l’utilisateur. Des données d’activité corporelle peuvent être générées sur la base de l’activité corporelle détectée de l’utilisateur.

Le système de cryptomonnaie de la présente invention couplé de manière à communiquer avec le dispositif de l’utilisateur peut vérifier si les données d’activité corporelle satisfont une ou plusieurs conditions définies par le système de cryptomonnaie, et attribuer une cryptomonnaie à l’utilisateur dont les données d’activité corporelle sont vérifiées. »

Bref, pour faire plus simple, exploiter le subconscient pour miner des cryptomonnaies, c’est apparemment ce sur quoi Microsoft se penche. Miner de la cryptomonnaie avec son cerveau, Est-ce possible de crypter en utilisant le cerveau ? Oui. D’après le brevet, un capteur placé sur le corps récupère les données de l’activité corporelle : activités cérébrales, flux sanguin et mouvements. Ces données sont ensuite transmises à un serveur afin de miner les cryptomonnaies. En fait, c’est simple, afin de ne pas réchauffer la planète et produire moins de CO2, le but ici est de remplacer la puissance de calcul d’un ordinateur consommant des watts par l’activité corporelle humaine. Mais l’idée va plus loin, si l’utilisateur peut être appelé de cette manière, effectuer diverses tâches telles que visionner une publicité ou utiliser certains services sur Internet deviendra possible. « C’est d’Enfer » diront les djeuns.

En effet, toute cette technologie en provient ! Chaque onde cérébrale et même la chaleur corporelle émises pendant ces tâches sont ensuite utilisées dans le processus de minage. La cryptomonnaie est créée grâce à un algorithme de consensus, un accord homme/machine, un processus utilisé afin d’assurer la fiabilité des données. Selon le brevet, le capteur pourrait aussi être capable de détecter les différentes ondes cérébrales (Alpha, Beta et Gamma). C'est-à-dire que l’intelligence artificielle (IA) pourrait copuler avec votre esprit en une symbiose grotesque autant qu’incestueuse.

Comprenez et je l’explique sur 40 page dans le tome 2 du Centième gueux, pour ceux qui l’ignorent, les ondes Alpha (8-13 Hz) correspondent à la relaxation légère et au calme et sont donc liées au subconscient. Les ondes Beta (14 Hz et plus) correspondent aux activités courantes plus ou moins intenses de la journée. Les ondes Gamma (au-dessus de 30 ou 35 Hz) sont plus rapides et correspondent à l’apprentissage, la résolution de problèmes, la mémoire, la pensée logique, etc. Le plus glauque c’est que Microsoft indique d’ailleurs clairement que ce travail de taupe à l’intérieur du subconscient de l’utilisateur sera effectué tandis qu’il vaque à d’autres occupations. Le processus est donc réalisé inconsciemment et ce sont les ondes Alpha seront par conséquent les plus utilisées.

Pendant que j’écris ces lignes, ce n’est pas le minage de Microsoft qui me vrille le cerveau, ce sont ces passages de la Révélation chapitre 13 et versets 16 -18 : « Et elle fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front, 17et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom. 18C'est ici la sagesse. Que celui qui a de l'intelligence calcule le nombre de la bête. Car c'est un nombre d'homme, et son nombre est six cent soixante-six.

Etrangement, mais faut-il encore s’étonner avec cette engeance, le brevet déposé par Microsoft possède ces références : WO/2020/060606.

Et depuis quelques années, ce 666 a tendance à se retrouver partout dans nos vies !

Alors, comment va-t-on équiper tous les êtres humains de censeurs qui pourront à la fois détecter le mouvement des bras et des jambes, la position assise ou couchée, l’activité physique de l’activité cérébrale ? Quel est le rapport entre les cryptomonnaies, la 5G et les données corporelles ? Est-ce que le futur vaccin contenant cet ARN génétiquement modifié et dont l’autorisation de mise sur le marché a été voté ce 10 juillet 2020 par le parlement européen n’a pas vocation à modifier notre ADN et le rendre facilement identifiable par un réseau d’intelligence artificielle ?  Autant de questions qui prouvent qu’il est très important de bien comprendre que l’ère dans laquelle nous entrons est inéluctablement celle de l’intelligence artificielle. Beaucoup d’êtres humains n’y trouveront sans doute plus leur place et deviendront obsolètes. Ils seront donc progressivement éliminés.

De la même façon qu’aujourd’hui les chiens robots sont venus progressivement remplacer les soldats à la surveillance frontalière ou en zone de guerre, il est évident que le Capital de demain ne pourra pas garder et payer les gens à la maison à faire du télétravail ou ne rien faire car absolument tout sera remplacé par l’intelligence artificielle. Y compris la police et l’armée et ce n’est absolument pas une fiction. Lisez donc sur ce sujet mon 3e livre écrit en 2014. Quant aux autres, ceux qui resteront, les augmentés, ils seront tous inéluctablement bio-connectés à une intelligence artificielle qui les gérera ou les éliminera s’il y a lieu de le faire. Ce n’est pas de la science-fiction et nous ne sommes pas dans un film. Tout ceci est la réalité mais il est encore très difficile à la gueusaille de la saisir car la compréhension de l’ensemble du projet s’inscrit dans le temps.

Là où certains ont passé leur vie au bistro, sur des jeux vidéo insipides ou à regarder des série tv qui le sont tout autant ou à avaler des pack de bière à regarder des mecs qui gagnent des millions d’euros taper dans un ballon, d’autres bossaient et disséquaient les infos. On les a minablement affublés du terme « complotistes » ceux qui l’ont fait possédaient et possèdent encore hélas des QI de bulots neurasthéniques desséchés au soleil.

Cette « pandémie » qui a été mise au point par tous ces gens machiavéliques qui décident de l’avenir des peuples et dirigent le monde, n’a rien d’un jeu pour enfant. Comme l’explique l’OMS à travers ses publications et comme le publie le Forum Économique Mondial sur son site, nous sommes en droit de nous demander quelle sera alors l’issue de cette partie finale d’échec qui se joue entre ceux qui veulent nous contrôler d’une part et les « gueux » d’autre part ? Pour répondre à ces nombreuses questions qui pointent du doigt les incompétences et les erreurs des gouvernements dans la gestion de cette crise et cet entretien de la terreur par les effets statistiques via la propagande médiatique, force est de constater qu’il ne s’agit pas d’erreur mais bien de stratégie. J’enfonce encore ici un clou de 110 dans le cercueil de vos certitudes d’utopiste attardé désormais mortes de leur plus belle mort.

Le 18 octobre 2019, au Johns Hopkins Center for Health Security à New York, il s’est sans doute tenu, concernant l’avenir du monde, la réunion la plus importante de toute l’année 2019. Il s’agissait de l’Event 201 organisée en partenariat entre le centre John Hopkins, la fondation Bill et Melinda Gates et le Forum Économique Mondial, avait pour objectif de préparer l’exercice dont parle l’OMS dans son Global Preparedness Monitoring Board de 2019.

La simulation consistait à se préparer à la prochaine pandémie mondiale qui, selon les chiffres avancés, allait provoquer plus de 65 millions de morts sans compter les dégâts incommensurables qu’une telle catastrophe allait provoquer sur l’économie globale : soit une chute du PIB mondial de 11 points. Un nombre que l’élite adore au plus haut point, un simple exemple : en 2009 Attali nous faisait part de son souhait d’une pandémie et plouf, 11 ans après, nous vivons la pandémie du couillonavirus.

Ce qui est intéressant à savoir c’est que tous les gouvernements et la plupart des grands médias de la planète étaient au courant de cette réunion. Seulement tous l’ont fermé et personne n’en a parlé respectant ainsi la consigne. Pourtant cet exercice n’était pas qu’une simulation, c’était une véritable préparation à la pandémie qui allait venir quelques semaines plus tard mais en écrivant cela, j’ai conscience d’être un « complotiste » fou. Pourtant, pourtant, si vous regardez bien le parcours professionnel des VRP qui nous servent de ministres, c'est-à-dire la plupart des  personnages politiques en fonction, vous verrez que la plupart des "sinistres" de la santé viennent presque tous du privé et ont tous des liens plus ou moins étroits avec Big Pharma.

Mais comment ces gens, qui sont censés travailler pour le bien-être et l’intérêt commun des peuples et des nations, peuvent agir en même temps dans l’intérêt des entreprises pharmaceutiques, dont le seul objectif est, comme le disait Kadhafi, de rendre malade les peuples et les nations pour ensuite leur revendre des traitements sous licences 666 afin de faire un maximum d’argent ? Le conflit d’intérêt est flagrant et pue au nez.

Rappelez-vous, car nous l’avons vu plus haut, qu’en cas de crise sanitaire mondiale, comme c’est le cas avec la crise du Covid-19, tous les états membres doivent impérativement accepter de suivre les consignes de l’OMS dirigé par le très controversé, l’Ethiopien Tedros Adhanom Ghebreyesus même pas médecin et envoyé là sur orbite selon le bon plaisir du très « philanthrope » Bill Gates.

La polémique qui entoure sa nomination ainsi que ses premières décisions loufoques ne contribuent à redorer le blason de l’OMS régulièrement critiquée pour son opacité. Par ailleurs, il convient ici de ne pas oublier la lenteur de l’organisme à réagir à l'épidémie de fièvre Ebola qui avait fait plus de 11 000 morts en Afrique de l'Ouest en 2014 et 2015, sous le mandat de celle qui a précédé Tedros durant deux mandats, Margaret Chan, directrice générale de l’OMS entre 2007 et 2017. Elle-même succédait à Lee Jong-wook, mort subitement le 22 mai 2006. Pour en arriver à Madame Gro Harlem Brundtland dont le père, Gudmund Harlem, était redevable à la fondation Rockefeller qui a bien voulu financer ses études de médecine.

La création et la présentation du Conseil Mondial a été officiellement annoncée par communiqué de presse par l’OMS le 24 mai 2018. Son rôle est, en cas de pandémie, de réunir tous les dirigeants du monde et de leur donner les consignes à suivre pour endiguer la pandémie. Sa création est le résultat d’un travail conjoint entre l’OMS et le Groupe de la Banque Mondiale.

Comme toute banque, la Banque mondiale (BM), est une institution financière internationale qui accorde des prêts à effet de levier à des pays en développement pour des projets d'investissement. Fait intéressant, le 28 juin 2017, elle qui est censée aider les pays les plus pauvres de la planète, a eu « l’incroyable idée » d’émettre des obligations des « Pandemic Bonds ». C’est-à-dire des bons obligataires à un horizon de 3 ans basés sur un risque de pandémie.

Idée folle ? Non. Surtout si vous êtes une banque, un fond de pension ou un fond d’investissement et que vous êtes au courant de la manœuvre.  Du pure délit d’initié, lorsque vous savez qu’il va y avoir une pandémie. A votre avis, combien de banque accepteraient de se lancer, de façon hasardeuse, dans l’émission de telles obligations sans avoir la certitude de décrocher le cocotier avant la fin du contrat ? Aucune.

Officiellement, les Pandemic Bonds ont pour but d'associer la puissance financière des marchés à la lutte contre les épidémies, un fonds d'assurance classique, les propriétaires de ces obligations touchant des intérêts annuels versés par des « pays parrains ». Si une pandémie se déclare, les titulaires de ces obligations sont tenus de reverser tout ou partie de leurs investissements à un fonds spécifique de la Banque Mondiale. Ça c’est pour les gogos !

Alors en quoi consiste l’escroquerie ? La Banque vend pour X millions de dollars de bons à des fonds, des sociétés ou des états en misant sur le fait qu’il y aura une pandémie avant le 15 juillet 2020. Ceux-ci fonctionnent comme des contrats d’assurance avec des rendements allant jusqu’à 12%. Si une pandémie est déclarée avant le 27 juin 2020, alors les acheteurs perdent leur mise et une partie de l’argent collecté est reversé aux pays les plus pauvres de la planète. S’il n’y a pas de pandémie, les investisseurs récupèrent leur mise de départ et les intérêts en découlant.

Aujourd’hui, toutes les structures qui ont investi dans les pandemics bonds ont perdu leur mise et les pays les plus pauvres de la planète n’ont pas touchés leurs aides. Les concepteurs indiquent comme cause de non-versement des fonds des critères trop restrictifs qui compliquent le déclenchement du mécanisme d'assurance. Mais pour de nombreux experts, ceux qui étaient à l’origine de la création et de l’émission de ces pandemic bonds étaient au courant du fait qu’il allait y avoir une pandémie en 2020. Quant à Bill le coyote, il a gagné beaucoup d'argent dans l'affaire !

Alors pensez-vous encore un seul instant que le SARS-COV2, qui provoque cette pathologie respiratoire dénommée  Covid-19, est un virus naturel et que personne n’était au courant ? La Chine a-t-elle menti, comme Pinocchio sur la couverture de The Economist, elle qu’on accuse de tous les mots alors que de nombreux Etats font mumuse avec des éprouvettes. Israël essaie depuis la fin des années 90 de se pourvoir d’un virus qui tuerait les Arabes mais pas les Juifs, mais pas de bol, lorsqu’on considère l’ADN commun aux deux communauté, réaliser le grand écart salvateur à l’éradication de l’un mais pas de l’autre relève de l’utopie.

Bizarrement Israël est l’un des pays les plus touché par le Covid-19, de la à penser à l’arroseur …

Peut-être que l’état profond chinois a été complice dans la dissémination délibérée de ce virus ? Peut-être que Fort Dietrich a encore fait des siennes ? Nous ne le saurons peut-être jamais. Mais ce que je sais, c’est que peu importe d’où venait l’agression, elle a été prévue et non naturelle. Trop de preuves en attestent. Ce qui est certain et que vous devez commencer à comprendre, c’est que dans cette ère où l’intelligence artificielle est censée remplacer l’homme, nous irons de surprise en surprise. Le souhait de Bill Gates et des eugénistes est de coûte que coûte contrôler et vacciner toute la planète sous couvert d’avancées humanitaire et philanthropique.

Sur cette photo on peut voir que le père de Bill Gates, il pose avec David Rockefeller et son petit-fils. Il est au milieu et c’est très révélateur. « Trust Stamp » est un projet conjoint de la fondation Bill et Melinda Gates, de la fondation Rockefeller et de Mastercard. Il consiste à vacciner tous les humains sous couvert d’alibis du style lutte contre le blanchiment ou contre le trafic d’êtres humains comme on peut le lire sur l’onglet « humanitaire » du site. Derrière cette hypocrisie de façade et habituelle la réalité est tout autre. Les premières expériences sont déjà en cours en Afrique de l’Ouest. Comme d’habitude également ce sont toujours les plus pauvres qui trinquent d’abord. L’Afrique et l’Inde sont deux terrains de chasse qu’adore notre philanthrope de mes deux… tonton Gates. Y essayer leurs dernières trouvailles laisse peu de trace et quelques dollars suffisent à acheter le silence ou faire « oublier la douleur » chez une famille ou l’enfant sera devenu « grâce » aux vaccins un légume ou un éclopé pour le restant de ses jours.

L’organisation « ID2020 », qui est également le nom d’un autre projet conjoint de vaccination planétaire piloté par Bill Gates et dont les principaux partenaires sont là encore les fondations Gates et Rockefeller, s’engagent à fournir une identité numérique aux milliards de sans-papiers qui migrent à travers le monde.

S’agissant du vaccin, qui est déjà en train d’être massivement inoculé en Afrique et au Bangladesh et qui contient non seulement l’ARN capable de modifier notre génome en temps réel mais aussi les nanoparticules censées interagir avec les réseaux d’intelligence artificielle auquel tous les vaccinés seront connectés, il est impossible dans l’immédiat de prédire quels seront les effets premiers et les effets secondaires.

Mais sachez bien que les laboratoire ont déjà acheté leur impunité face aux dégâts causés par ces vaccins auprès de tous les Etats (194) membres du Conseil Mondial de l’OMS. Du point de vue juridique, les citoyens vaccinés n’auront aucun recours possible pour se défendre car aucune des sociétés qui développent et produisent des vaccins n’est passible de poursuite devant un tribunal de par le monde ni devant une quelconque juridiction. Dans ce domaine, les entreprises pharmaceutiques bénéficient d’une immunité judiciaire sans limite.

Du point de vue technique et pharmaceutique, dans un cas où tout le monde serait vacciné et répertorié selon leur projet ID2020 étendu à l’extrême, nous évoluerions alors dans un système verrouillé tombés aux mains de fous totalitaires. Il serait impossible de se défendre et de se retourner contre ceux qui n’auraient qu’un clic à effectuer pour nous ôter la vie au cas où il nous viendrait l’idée de nous révolter ou de vouloir contester un ordre.

Des preuves ? De nombreuses entreprises travaillent depuis un bon moment sur le contrôle des ordinateurs par la pensée, et d'autres d'interfaces cerveau-machine sont en cours de développement.

Derrière ces recherches aux buts hypocrites pensez-donc à la rétroaction (feedback). Facebook finance ainsi un projet pour traduire en mots l'activité du cerveau, via des algorithmes, afin de « rendre la parole » aux personnes rendues muettes à cause de maladies neurodégénératives. Ils sont sur la piste d'un décodeur qui transformerait les signaux du cerveau en paroles. Il pourrait alors soi-disant servir aux patients incapables de parler à cause d'un AVC ou d'une paralysie.

C’est sur quoi travaille également celui dont la femme va vendre légalement une partie de son âme pour 10 millions de dollars dans une exposition d’art à Los Angeles. Ce fêlé du bocal dont rien ne refroidit les ardeurs veut coloniser Mars et « craint » hypocritement que les technologies d'intelligence artificielle (IA) ne transforment les humains en « chats domestiques » des ordinateurs, seul point sur lequel je le rejoigne dans sa pensée !

Neuralink est ainsi une startup américaine neurotechnologique qui développe des implants cérébraux d'interfaces neuronales directes, cofondée par lui. Le 28 août dernier Elon Musk présentait la puce implantée dans le cerveau d’un cochon cobaye, lors d'une conférence de presse sur YouTube. Connecté aux ordinateurs, l'implant est développé par la start-up du milliardaire, et sert de prototype en vue de développer la version pour les humains qui redonnera la parole et la mobilité aux personnes paralysées. Cet entrepreneur futuriste (Tesla, SpaceX) qui a peur de l’IA n’en présente pas moins l’une des applications. En 2019, déjà, il présentait une puce dotée de fils ultra-fins, pouvant être implantée dans le cerveau par un robot.

De nombreux scientifiques rappellent cependant que le cerveau n'est pas aussi compartimenté qu'on aimerait le croire. L'objectif du fantasque patron, avec cette présentation sur YouTube, était avant tout de séduire et de recruter de nombreux ingénieurs, chirurgiens, chimistes, spécialistes de la robotique et autres. La start-up ne compte qu'une centaine de salariés, mais en espère 10 000 aussi vite que possible, pour relever une montagne de défis.

Ce nouveau modèle, sans-fil grâce à la technologie Bluetooth, se recharge la nuit et mesure la taille d’une petite pièce de monnaie sur 8 mm d'épaisseur. En théorie, la puce ronde sera implantée dans le cerveau sans qu'il y ait besoin de passer une nuit à l'hôpital, et sans laisser de trace, si ce n'est une petite cicatrice sous les cheveux. Elle servira d'abord à traiter les maladies neurologiques. Mais l'objectif à long terme est de rendre les implants si sûrs, fiables et simples qu'ils relèveraient de la chirurgie élective (non urgente). Des personnes pourraient alors débourser quelques milliers de dollars pour doter leur cerveau d'une puissance informatique.

Quant au Département de la Défense américain, il est, par le biais de la DARPA, l’Agence de projets de recherche avancée pour la défense, associé à Profusa, une société de la Silicon Valley qui travaille sur la technologie de l’hydrogel dans le corps, la technologie des nanoparticules dans le corps est également en cours de développement. Rien que le mot DARPA devrait faire dresser les poils chez tout individu connaissant son passé mouvementé d’expérimentation avec des humains d’une manière qui ne peut être qualifiée que de folle.  Une expérience consistait à injecter du plutonium à des personnes.

Les capteurs Profusa sont injectables et ne font alors plus qu’un avec les tissus du corps. Ils transmettent des données à un téléphone mobile et au nuage (cloud)… Ils sont composés d’un hydrogel semblable à un tissu, comme une lentille de contact souple, et sont placés sans douleur sous la peau avec une seule injection afin de surveiller en continue de la chimie corporelle.

Et à nouveau, devinez qui nous retrouvons associée à tout ce « beau monde » : la Fondation Bill et Melinda Gates. Tous désirent mettre en œuvre une technologie qui pourrait contrôler nos esprits et nos corps. Une puce permanente constituée d’un matériau avancé appelé hydrogel relie de manière irréversible les humains au « nuage » Internet.  La puce, de la taille d’un grain de riz, fournit des informations à une base de données sur les changements de la chimie corporelle et d’autres données biométriques.  La société affirme que la technologie sera utilisée pour détecter le COVID dans la population générale, avant l’apparition des symptômes.

Profusa travaille également avec l'Imperial College qui bénéficie lui aussi des largesses de Gates dans le domaine des vaccinations.  Sachez que L’Imperial College est l’institution à l’origine de l’étude malheureuse du professeur Neil Ferguson, qui prévoyait plus de 2,2 millions de morts aux États-Unis sans distanciation sociale. 

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Merci d’avance.

Dernière partie ici : http://vecteur-douceur.over-blog.com/2020/10/petite-vision-dystopique-sur-un-monde-de-fous-comme-dirait-le-professeur-montagnier.sixieme-partie.html

 

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