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Paroles, paroles, rien que des bobards concernant notre Histoire !!! (Partie 3)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

DES RESSEMBLANCES TROUBLANTES !

L’une des plus grandes énigmes archéologiques de notre époque est constituée par le mutisme ou « l’omission » académique sur notre Vraie Histoire. Des exemples sont flagrants tels : les ruines « parallèles » laissées par deux antiques civilisations à « priori sans rapport » : maya d’un côté de l’océan Pacifique et balinaise de l’autre. Leurs similitudes architecturales, leurs symboles et leurs religions sont si flagrants et profonds que les Mayas et les Balinais semblent avoir été des jumeaux issus de mêmes parents. Pourtant, ce mystère n’a pas seulement été ignoré par les chercheurs, il a carrément été supprimé.

 

Les anciens Égyptiens et les anciens pré-Incas/Incas présentent un même mystère ignoré des « scientistes ». Ils ont évolué sur deux continents différents séparés par l’Atlantique et ne sont soi-disant jamais rentrés en contact ; Cependant les deux cultures possèdent mystérieusement la même souche identique en termes d’architecture, de symbolisme artistique, de mythologie et de religion.

Les étudiants de l’époque victorienne, confrontés à ces énigmes, concluaient alors naturellement que ces cultures avaient forcément dû être les enfants d’une même civilisation mère, à savoir « l’Atlantide ». Mais de nos jours, ces comparaisons entre Égyptiens et Incas ou Balinais et Mayas ne sont pas seulement ignorées par les occidentaux, elles sont tout simplement supprimées. Je clame depuis des années au travers de mes écrits qu’en contrôlant l’enseignement et les médias de masse, une élite richissime parvient à cacher notre vrai passé.

Leur objectif est de maintenir un système secret mondial de tyrannie économique et politique que leurs ancêtres ont créé il y a plus d’un siècle et qui été appelé alors le «gouvernement Invisible ». Ils cachent le fait qu’il a existé une civilisation très sophistiquée sur terre. Elle a pris fin brusquement, mais a laissé derrière elle une doctrine très avancée dont ont ensuite hérité les premières civilisations connues du monde, toutes descendantes de cet « Âge d’Or ».

Les premières cultures du monde ont hérité et pratiqué cette « Religion Universelle» via le processus académique désormais tabou appelé « hyperdiffusionnisme », un terme péjoratif inventé par l’establishment au 20e siècle : « Hyperdiffusionnisme : théorie qui veut que toutes les cultures proviennent d’une seule et même culture (l’Âge d’Or). Les hyperdiffusionnistes nient qu’une évolution parallèle ou une invention indépendante se soient largement déroulées tout au long de l’histoire, ils prétendent que…toutes les cultures remontent à une seule et unique culture. »  Wikipédia.

En dénonçant toute étude universitaire liée de près ou de loin à ce modèle  de l’histoire, pourtant largement accepté par les érudits des siècles passés, qui nommaient la civilisation de l’Âge d’Or « l’Atlantide », l’élite a réussi à mettre hors de notre portée la Vraie histoire de l’humanité. Et pourtant, la culture ancienne des Mayas, cette civilisation très avancée qui a fleuri sur la péninsule du Yucatán au sud-est du Mexique, est bien là. Elle ressemble mystérieusement à une autre culture située de l’autre côté du globe, celle qui se développa sur l’île de Bali en Asie du sud-est. C’est la preuve d’une Religion Universelle des deux côtés de l’océan Pacifique, apparemment transmise par la même civilisation.

Seulement voilà, l’establishment dit que les Mayas et les Balinais n’ont jamais été en contact, car ils étaient séparés par l’océan Pacifique estimé infranchissable pour nos anciens. Pourtant, de profondes similitudes sont partagées par les deux cultures. Voici des preuves :

Les pyramides à degrés avec des temples au sommet. A Bali, le Temple Pura Besakih, est le plus important. Il est conçu en terrasses, ce qui le fait ressembler à une pyramide à degrés. Chez les Mayas, le Temple du Grand Prêtre possédait des escaliers sur chaque côté. Les côtés de l’escalier sont ornés de serpents à plumes entrelacés. Les piliers liés à ce bâtiment ont la forme du serpent à plumes toltèque et présentent des figures humaines. A Bali, le dernier niveau du temple de Besakih est appelé Escalier vers le Ciel et il est fait de serpents jumeaux qui courent sur toute la longueur de l’escalier. En bas de l’escalier leurs bouches sont ouvertes.

Chez les Mayas, la pyramide de El Castillo montre des serpents avec des aigrettes qui longent les côtés de la balustrade nord. Au bas de l’escalier, leurs bouches sont ouvertes. Durant les équinoxes de printemps et d’automne, le soleil de fin d’après-midi jette une série d’ombres qui crée l’illusion d’un serpent à plumes « rampant » vers le bas.

A Bali, tout comme dans l’architecture Maya, l’arc en encorbellement dirige le poids en dehors du linteau et vers les poteaux de soutien.

La voûte d’encorbellement n’a aucune clé de voûte, comme c’est le cas pour les arches européennes, rendant la voûte maya semblable à un triangle étroit plus qu’une porte voûtée.

Au 19e siècle, le spécialiste de la culture maya, Augustus Le Plongeon, depuis discrédité à cause de son idée hyperdiffusioniste affirmait que les premières cultures du monde étaient les enfants d’une grande civilisation ancienne nommé Atlantide.

Il pensait que l’universalité de l’arc d’encorbellement dans l’Antiquité était une preuve solide de l’hyperdiffusionnisme :  « … Les arc pensait-il, avaient des proportions liées aux nombres mystiques « 3.5.7 » qui auraient été utilisés par les antiques maîtres maçonniques … Ces mêmes proportions, a-t-il également souligné, ont été trouvées dans des tombes en Chaldée et en Étrurie, dans des structures de la Grèce antique et dans une partie de la grande pyramide d’Egypte… Tout au long de ses écrits, y compris « Les origines des Égyptiens » publié à titre posthume en 1913, il compare l’ethnographie ancienne et moderne des Mayas et des égyptiens, la linguistique, les symboles et les pratiques religieuses…Il était fondamentalement sur la bonne voie du point de vue méthodologique, et il a fait un certain nombre d’observations et d’analogies fascinantes … » Lawrence G. Desmond, Augustus Le Plongeon : A Fall From Archaeological Grace.

À Bali, de monstrueuses divinités marquent l’entrée des temples. Chez les Mayas, la statue redoutable du « dieu Singe hurleur » marque l’entrée des temples.

A Bali, les serpents sculptés dépassent des côtés des temples. C’est un des symboles mythologiques les plus anciens et les plus répandus ; représentant la fertilité ou la force de vie créatrice. Les serpents changent de peau grâce à la mue, ils sont les symboles de la renaissance, de la transformation, de l’immortalité et de la guérison. L’ouroboros nemrodien est un symbole d’éternité et du renouvellement continuel de la vie. Les serpents mayas sculptés dans la pierre dépassent des côtés des temples. C’était un symbole religieux et social très important, vénéré par eux. Le dieu principal de la Méso-Amérique, Quetzalcoatl, était représenté par un serpent à plumes.

A Bali, la position des mains d’Acyntya, la divinité principale de l’ancienne religion balinaise, ressemble à s’y méprendre à la Stèle du roi

s.

De nombreux temples balinais représentent des visages souvent grotesques ou effrayants au-dessus de la porte principale jugée particulièrement vulnérable au mal. Les églises et châteaux équipés de gargouilles ou autres visages et personnages grotesques répondent aux mêmes besoins : éloigner le mal et autres influences maléfiques. Ainsi, chez les Mayas, de nombreux temples représentent des visages de divinités, visages souvent grotesques ou effrayants au-dessus de la porte principale.

Une tête d’éléphant à l’entrée d’un temple balinais pourrait ou non précéder la pratique de l’hindouisme sur l’île. Dans l’hindouisme, la divinité la plus largement adorée est le dieu éléphant combinant la nature de deux êtres des plus intelligents, l’homme et l’éléphant. Et les têtes d’éléphant sont importantes dans l’art et la sculpture de toute l’Amérique ancienne. C’est un mystère, étant donné que les éléphants sont censés avoir disparu de l’Amérique il y a environ 10 000 ans, lors du déclin de l’âge de glace. Dans le passé, les diffusionnistes pensaient que l’image de l’éléphant avait été créé par les Mayas eux-mêmes soit parce qu’ils étaient issus de l’ancien monde soit parce qu’ils avaient vu eux-mêmes des éléphants après un voyage.  

D’autres encore prétendent les cultures des Amériques beaucoup plus anciennes que ne le pensent les universitaires. Elles remonteraient à une époque où les éléphants y vivaient toujours. Le sinologue britannique W. Perceval Yetts (1878-1957) a écrit : « Déjà en 1813, des doutes ont été lancés sur le côté autochtone attribué à la culture maya, et il y a une dizaine d’années le célèbre anatomiste, le professeur G. Elliot Smith, a ravivé certains des vieux arguments et les a renforcés avec de nombreuses ingénieuses spéculations …pour prouver qu’un certain motif utilisé dans les dessins mayas était dérivé de l’ancien monde. Le motif est bien affiché deux fois sur un monolithe sculpté à Copan…et le professeur Smith était champion de l’identification de ces deux formes en tant que têtes d’éléphants, et, par-dessus tout, en tant que têtes d’éléphants indiens. » W. Perceval Yetts, Eléphants et Art Maya

A Bali nous trouvons la Caverne de l’éléphant (le temple de Goa Gajah). Sur la façade de la grotte, il y a un énorme masque zoomorphe avec une bouche en guise d’entrée de la grotte. À côté de cette figure en relief diverses créatures et démons menaçants sont sculptés dans la roche à l’entrée. Chez les Mayas, nous trouvons Uxmal : Pyramide du Magicien. Sur la façade d’entrée de la pyramide il y a un énorme masque zoomorphe avec une bouche en guise d’entrée de la grotte.

A Bali, les érudits ont généralement ignoré un symbole ésotérique en forme de croix qui se répète sur les monuments en pierre, tel le pavillon Bali de Taman Mini. Mais dans la culture andine (Incas, pré-Incas), il est connu en tant que « Chakana », qui signifie « Croix Inca. » Pour la mythologie inca, la Chakana symbolise ce qui est connu dans d’autres mythologies comme l’arbre du monde (c’est-à-dire, l’arbre de vie). Une croix en forme de degrés, avec trois marches de chaque côté, composée d’une croix à branches égales indiquant les points cardinaux, et d’un carré superposé. Chez les Mayas, des symboles semblables à ceux créés par les Incas et les pré-Incas de la Cordillère des Andes au Pérou existent dans l’art et l’architecture maya. Ils détenaient le même sens religieux et servaient le même but spirituel.

A Bali, des visages et des sculptures sur bois affichent le point du troisième œil sur le front, symbole de l’antique « 3ème œil » expliqué dans les religions, les mythologies et les systèmes spirituels des cultures autochtones du monde entier. Chez les Mayas, les visages de pierre affichent aussi le point du troisième œil sur le front.

A Bali, le temple triptyque trois-en-un est visible sur d’innombrables constructions partout sur l’île. Ce modèle  se rapporte à l’enseignement central de la religion balinaise indigène, liée au troisième œil. Chez les Mayas, le temple triptyque est commun au Mexique, visible sur d’innombrables temples mayas, aztèques et autres partout dans le Yucatan. Le modèle  se rapporte  à l’enseignement central dans la religion maya indigène et la religion précolombienne.

Suite au prochain épisode.

Olivier.

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