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Du rififi dans nos économies

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Les taux négatifs représentent l’impôt NUMBER ONE sur vos économies. Cela signifie que littéralement, l’épargne ne vaut plus rien ! Classiquement, c’est l’argent placé qui permet aux banques de prêter. Enfin, ça c’est la version utopique du fonctionnement bancaire. C’est l’épargne des uns, qui doit permettre de financer les crédits des autres et le prix de cette épargne est fixé par l’offre et la demande des acteurs économiques concernant cet argent !

Seulement voilà, dans cette dystopie qu’est devenue notre nouveau monde, les banques centrales financent à taux négatifs les banques qui le demandent à volonté ou presque. Vos économies ne servent donc plus aux banques. Au contraire, cette épargne devient un problème qui « coûte » aux banques.

Voilà pourquoi, désormais, « ceux qui savent » oscillent entre grand reset et politique d’austérité. La seule manière de rendre un peu plus supportable sa politique d’austérité d'un Mario Draghi, serait d’aller plus loin dans les taux négatifs avec des taux « profondément » négatifs. Tout est prêt ! Mais avec ou sans reset, avec ou sans taux négatifs, devinez qui seront toujours les baisés dans l’histoire ? Vous n’en avez pas marre ?

Pour l’instant, comme le crime profite toujours aux mêmes, c’est la fête à neuneu les taux négatifs permettant de se gonfler les valoches (actions) à n’en plus finir.

Dans cet ordre d'idées, Tesla vaut donc autant en bourse que tous les principaux constructeurs de voitures au monde et qui vendent pour plus de 1 300 milliards de dollars de voitures chaque année, là où Tesla n’en vend « que » pour 28 milliards ! Alors comment l’expliquer ? C’est de la spéculation et un pari sur le fait que dans la guerre à la voiture électrique, les technologies Tesla, très en avance, seront dominantes, et que tout le monde devra passer par les brevets Tesla, comme lors de la bulle Internet.

Mais lorsque la grosse BUBULLE, congloméra de toutes les autres, va imploser, ça va piquer les yeux, croyez-moi.

À suivre.

Olivier

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