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Assurance Maladie ou Assurance Santé ? Rien qu’ici, tout est déjà dit !

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Avez-vous étudié le cas du « bon » Pasteur et les origines de Big pharma ? Je l’ai fait afin d’écrire, et il y a de quoi gerber.  Bien que le paradigme du pays qui soigne le mieux au monde se soit effondré depuis longtemps sous les coups de boutoirs de nos présidents successifs, la France consacre encore au total plus de 11% de sa richesse nationale à la "santé". Notre sécurité nationale est une vieille dame ayant perdu la boule depuis longtemps. Elle dilapide ses richesse au premier manant qui frappe à sa porte.

Néanmoins, avec de telles dépenses, la population est dans une santé déplorable. Le système de soin gère des maladies chroniques incurables, il les appelle même "affections de longue durée ". Et à ces fameuses maladies, notre science ne propose que la prise de molécules de plus en plus dosées et de plus en plus nombreuses. Il n’est jamais question de guérison, mais plutôt de «prise en charge » nettement plus lucrative car sans fin, jusqu’à la mort.

Couillonavirus n’a fait qu’aggraver les choses puisque on a pu déplorer des retards de prise en charge en tout genre. Pour comprendre d’où vient le mal, il convient de revenir aux États-Unis du 19e siècle avec les frasques de l’ami Roro Rockefeller (mes lecteurs connaissent). À l’époque, les premiers colons n'ont pas attendu qu'on leur promette une approche scientifique pour se préoccuper de leur santé. Il existe déjà, depuis des lustres, des pratiques médicales traditionnelles, parfois ramenée d'Europe, parfois apprises au contact des Amérindiens, mais toujours assises par l'expérience et le bon sens, et qui contentent la population.

N’en déplaise aux sceptiques, c'est dans ce contexte que l'homéopathie de Samuel Hahnemann va s'implanter avec force au milieu du 19e siècle. Elle est une révolution médicale révélant des lois et des principes inédits, plutôt qu'un retour en arrière.

Son succès est fondé sur ses résultats cliniques uniquement. Elle s'est construite au chevet du malade et non sur une quelconque approche théorique novatrice. On l’a un peu vite oublié, mais c’est lors des grandes vagues épidémiques mortifères que son efficacité est brillamment apparue. Les archives des journaux locaux de villes de tailles raisonnables regorgent encore des chiffres obtenus par les homéopathes.

En 1900, les homéopathes représenteront 10 % des médecins en exercices, ils sont mieux formés et gagnent mieux leur vie, et nombres d'allopathes séduits par cette médecine plus efficace retournent ainsi leur cuti. En Europe, la conversion s’effectue également jusqu’en France, où un article du Figaro de 1884 proclamait « Le choléra vaincu par l'homéopathie » (Dr H. Gras, « Le choléra vaincu par l'homéopathie » Figaro du 13 juillet 1884 - Archives Planète Homéopathie.). L’article révèle 50 % de décès sur la totalité des malades traités allopathiquement, contre moins de 10 % chez ceux qui ont eu le traitement homéopathique, principaux intéressés.

Alors comment en est-on arrivé là ? Comme toujours, Mammon était dans le coup ! Si la plupart des médecins avaient comme préoccupation première de soulager la souffrance, d'autres avec plus de recul y avaient flairé les perspectives florissantes de l'industrie chimique à tonton Rockefeller appliquée à la santé. Les merdias, toujours eux, étaient entre les mains des labos qui publiaient et publient toujours leurs propres articles scientifiques sur leur propres remèdes. La quasi-totalité des revues médicales sont aux mains de l'industrie. L'enjeu était à la prise de pouvoir sur la santé de nos aïeux.

Le premier coup de massue contre la bonne médecine sera la création en 1847 de l'American Medical Association (AMA). Son but déclaré : "améliorer la formation des médecins". En réalité, ce sont les intérêts des orthodoxes qui vont déjà, comme aujourd’hui, prévaloir sur les patients. Et, dès le départ, l'AMA va frapper fort :

« Elle commence par l'exclusion de toute publication produite par des homéopathes et par l'interdiction pour tout « orthodoxe » de conduire une consultation avec un homéopathe, par la condamnation et l'exclusion des homéopathes des sociétés médicales, accusant tous ceux qui n'avaient pas de « démarche scientifique » d'être des charlatans. » (De Lestrade Thierry, « Le jeûne, une nouvelle thérapie », Arte Édition, 2013)

Cette fin du 19e siècle sera un moment charnière pour tous les médecins qui sont sommés de choisir leur camp. Néanmoins, bien que montré du doigt, les malades sont de plus en plus nombreux à adhérer ou à renouveler leur confiance aux hygiénistes. Pour l'AMA, c'est un échec, il faut trouver un moyen de museler les « charlatans ». L'AMA y parviendra définitivement un demi-siècle après sa création, grâce à la stratégie d'un faussaire patenté qui va faire définitivement basculer les choses.

C’est en 1899 que le fossoyeur de cette bonne médecine fait son entrée. Le docteur George H. Simmons devient alors le nouveau directeur de The Journal of the American Medical Association  (JAMA). En bon dictateur, le monsieur va centraliser le pouvoir au sein d'un petit bureau. Grace à son catalogue « des praticiens autorisés », il va autoriser le saint Graal parmi une majorité de toubibs qui a du mal à joindre les deux bouts. Mammon restant le nerf de la guerre, l’autorisation d’exercer va faire exploser le nombre d'adhésion, ainsi que les revenus de l’AMA qui se trouvent multipliés par cinq en seulement dix ans. C'est cet afflux d’argent qui va permettre à Simmons de créer un « département de propagande », dont le JAMA sera le bras armé. Arrive alors son fer de lance : l'invention du « brevet de validité» pour tout nouveau médicament avant sa mise sur le marché.

Que valide-t-il ? Là est l'arnaque ! L'obtention du brevet se fait sur dossier simplement, mais elle est conditionné par l'achat d'un espace publicitaire dans la revue ! Pas de pub, pas de brevet. Et comme le dit si bien la Bible « rien de nouveau sous le soleil de Satan. », le seul critère d’objectivité est encore et toujours le pognon. Simmons, au même titre que beaucoup d’escrocs qui nous pourrissent actuellement la vie, n’était qu’un imposteur. « Doc Simmons » n'était même pas médecin. Il aura pourtant eu le culot de diriger une clinique spécialisée dans les maladies féminines à Lincoln, où se pratiquaient des avortements alors illégaux. Il a également été accusé d'abus sexuels ! Il sera en effet démasqué par l'agence de détective dépêchée par Wallace Abbott.

Mais les mauvaises pratiques au saint de l’AMA ne s’arrêtaient pas là. Les homéopathes, et autres praticiens se voyaient obligés de renier leurs appartenances aux « sectes médicales » s'ils souhaitent intégrer l'AMA. Aucune liberté thérapeutique permise en dehors de la doxa !

Poursuivons dans la gabegie avec le sieur Flexner dont je fais l’éloge dans le premier tome du Centième Gueux et dont voici un extrait des pages 25-26-27.

« Mais le « camarade » Roro ne s’est pas arrêté en si bon chemin. J’attaque souvent la médecine occidentale, néanmoins, elle est excellente en cas d’urgence. Il est cependant grand temps que les gens réalisent que la médecine classique d’aujourd’hui dite allopathique, en mettant l’accent sur les drogues, les narcotiques, les radiations, la chirurgie et, les médicaments est à la base une sombre créature des Rockefeller. Notre « brave » magnat du pétrole, premier milliardaire des États-Unis et monopoliste de naissance, contrôle au tournant du 20e siècle, 90% de toutes les raffineries des États-Unis par l’intermédiaire de sa compagnie pétrolière, Standard Oil, plus tard démembrée pour devenir Chevron, Exxon, Mobil, etc.

Vers 1900, les scientifiques découvrent les pétrochimiques et la capacité de créer toutes sortes de produits à partir du pétrole. Après la bakélite, tous ces scientistes trouvent diverses vitamines et devinent que de nombreux médicaments peuvent être fabriqués à partir de pétrole. Notre Roro, en bon visionnaire sataniste, va y voir la capacité de monopoliser les industries pétrolière, chimique et médicale en même temps ! Tout pouvait être breveté et vendu pour des profits élevés, et l’ami Roro va donc se faire des couilles en diamant mais avec néanmoins un bémol dans la partition. Les médecines naturelles à base de plantes sont alors très populaires en Amérique. Près de la moitié des médecins et des facultés de médecine des États-Unis pratiquent encore la médecine holistique, en utilisant les connaissances de l’Europe et des Amérindiens. Rockefeller, le monopoliste, va donc utilisé la stratégie classique de « problème-solution ».

C’est-à-dire, créer un problème et effrayer les gens, puis offrir une solution (préplanifiée). Il va aller voir son pote Andrew Carnegie, roi de la sidérurgie. À eux deux, ces cerveaux voués au mal vont élaborer un plan, et quel plan ! De la prestigieuse Fondation Carnegie, ils vont envoyer le dénommé Abraham Flexner pour voyager à travers tous les USA et leur faire un rapport sur l’état des collèges médicaux et des hôpitaux. C’est ce rapport Flexner qui va donner naissance à la médecine moderne telle que nous la connaissons.

Il y parle de la nécessité de réorganiser et de centraliser les institutions médicales. Ainsi sur la base de ce rapport, plus de la moitié de tous les collèges médicaux seront bientôt fermés. L’homéopathie et les médecines naturelles se verront diabolisées et les médecins, les pratiquants, seront même emprisonnés. Pour aider à la transition et changer les esprits la même méthode que précédemment sera utilisée. Le gentil mécène, style Georges Soros, va donner plus de 100 millions de dollars aux collèges et hôpitaux et fonder un groupe de façade philanthropique appelé General Education Board. C’est l’approche classique de la carotte et du bâton. En très peu de temps, les facultés de médecine seront rationalisées et homogénéisées.

Tous les étudiants apprenant la même chose, la méthode consistera à utiliser des médicaments brevetés. Des scientifiques vont recevoir d’énormes subventions afin d’étudier comment les plantes guérissaient les maladies, le but étant d’identifier d’abord les produits dans la plante, puis de recréer un produit chimique similaire, mais pas identique, dans le laboratoire qui pourrait être breveté. Résultat : cent ans plus tard, les médecins ne connaissent rien aux bienfaits de la nutrition, des herbes et des pratiques holistiques. Et surtout, la société entière est asservie aux entreprises pour son bien-être.

L’assurance maladie veille, et comme son nom l’indique, elle veille à ce que vous soyez toujours un bon client malade, autrement on l’appellerait « assurance santé ». Elle ne se concentre pas sur la guérison, mais seulement sur les symptômes, créant ainsi des clients réguliers. Il n’y a pas de remède contre le cancer, le diabète, l’autisme, l’asthme ou même la grippe. Pourquoi devrait-il y avoir de vrais remèdes ? C’est un système fondé par des oligarques afin de toujours les enrichir, pas par des médecins.

Ah ! J’allais oublier concernant le cancer, l’American Cancer Society a été fondée par Rockefeller en 1913. Il est triste de voir des gens subir un lavage de cerveau au sujet de la chimiothérapie, de la radiothérapie et de la chirurgie. Voici une citation de John D. Rockefeller qui résumait sa vision du Nouvel Ordre Mondial « (…) Je ne veux pas d’une nation de penseurs. Je veux une nation de travailleurs. » Il a été entendu ! Et l’éducation et l’argent constituent donc un filet servant à pêcher les futurs caporaux de l’élite. » Fin de l’extrait.

En attendant, prenez SVP l’habitude de copier ces articles et de les diffuser. En effet, mon petit doigt me dit qu’en vertu de ce que j’explique, et vais continuer à divulguer, ce site devrait bientôt disparaitre. Nous vivons un temps où la VERITE est encore moins bonne à être diffusée. Toute pensée allant en sens inverse de la Doxa imposée, cette pensée unique et affligeante, dois être éradiquée. J’aurais alors une situation de replis et ceux qui voudront me suivre pourrons me contacter ici : oliviercapevecteur@gmail.com

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2021/04/assurance-maladie-ou-assurance-sante-rien-qu-ici-tout-est-deja-dit-suite-et-fin.html

Olivier

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