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Dis maman, ils avaient des enfants ? (Partie une)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Bonjour à toutes et à tous. Après trois semaines d’un repos grandement nécessaire à me ressourcer, je vous offre cette petite histoire.

Dis maman, ils avaient des enfants ? (Partie une)

- Oui ma chérie, ils en avaient !

- Ils vivaient dans un monde cruel et bizarre, une société faite de crises manipulées par leurs gouvernements. Ils avaient abandonné toute philosophie et surtout toute spiritualité au nom d’un ordre maçonnique privilégiant la rapidité technologique et les valeurs du commerce de masse au détriment de la propriété et de la souveraineté individuelles. Leurs enfants y furent de fait confrontés à l'une des plus grandes menaces pour la liberté que le monde ait jamais connues.

- C'est franchement effrayant maman !

- À cause du laxisme ambiant qui les portait à remettre leur destinée entre les mains des plus corrompus, les jeunes se retrouvèrent surtaxés, criblés de dettes universitaires et, dans une économie criblée de dettes et au bord de l'implosion. Une épidémie mondiale fut créée de toute pièce, c’était je crois en 2020, afin que certains puissent définitivement prendre le pouvoir.

- C’est quoi le pouvoir maman ?

- Vois-tu chérie, le monde n’a pas toujours été libre comme aujourd’hui ! Longtemps les humains ont eu de curieuses coutumes. Ils avaient, et pour leur plus grand malheur, mis l’homme au centre de tout, prétendant que Dieu n’existait pas. Ils avaient une coutume qu’ils appelaient droit de vote. C’était l’héritage de leur Révolution disaient-ils ! Elle permettait aux plus tricheurs et menteurs de se hisser en haut de la hiérarchie pour y diriger les autres. C’est cela qu’ils appelaient le pouvoir !

- Mais ça servait à quoi ?

- A rien, juste à tricher et mentir toujours plus en promettant de résoudre des problèmes jamais résolus et d’en créer d’autres de toute pièce.

- Je ne comprends pas maman ?

- Vois-tu ma chérie, lorsque tu passes toute une vie à mentir, ça fini par se voir ! Certains s’étaient enrichis outrageusement de cette manière. Ayant atteint les limites de leur mensonge qu’ils appelaient argent-DETTE, ils avaient décidé, afin de survivre, de passer à autre chose. Ils voulaient pousser les autres à régresser en les taxant de vils pollueurs. C’est ainsi qu’en 2020, et après une ou deux répétitions, ils décidèrent de créer une pandémie mondiale.

- Une quoi maman ?

- Une pandémie chérie ! Un virus qui s’attaque aux gens et en tue beaucoup.

- Alors ils sont tous morts ?

- Non chérie, pas du tout ! C’est la suite qui en a tué beaucoup.

- Racontes maman !

- C’est une triste époque durant laquelle leurs enfants eurent beaucoup de mal à trouver un emploi convenable. Les riches avaient organisé la concurrence en faisant venir beaucoup d’étrangers.

Cela avait un double intérêt : tout d’abord faire baisser le coût de la main d’œuvre, et ensuite atomiser les nations en vue de leur Nouvel Ordre Mondial. Certains pays, tel la Chine, étaient déjà en avance sur ce qu’ils nommaient Big Brother : un système de surveillance global faisant de chacun un animal observable à souhait.

Leur vie privée fut laminée par la surveillance d'État. Ils furent tous, jeunes et vieux, menacés, intimidés et molestés par une police militarisée. Tous devinrent les sujets d'un Empire militaire en guerre permanente contre tout et n’importe quoi, surtout de vagues ennemis fabriqués par ceux-là même qui désiraient mettre ce monde en esclavage.

Le pire, c’est que la plupart ne virent pas venir le danger, et bientôt tous durent faire face à des agents gouvernementaux armés jusqu'aux dents, prêts à boucler le pays à tout moment. Tous furent alors contraints de marcher au pas cadencé regrettant, un peu tard, de ne pas avoir su écouter ceux qu’on appelait alors à tort des « complotistes ». Ton arrière-grand-père en faisait partie, ils nous a d’ailleurs laissé quelques livres incompris à l’époque.

Hélas ! tous durent marcher derrière un gouvernement qui n'existait plus pour les servir, mais qui exigeait d’eux qu’ils soient les esclaves obéissants des multinationales, ou qu'ils en subissent les conséquences.

- Quelle horreur maman ! Comment en sont-ils arrivés là ?

- C’est simple ma chérie, ils n’ont pas su se prémunir contre un tel avenir. Leurs parents étaient mal informés ou plutôt désinformés en permanence par ce qu’ils appelaient médias main Stream, des organismes possédés par ceux-là même qui voulaient leur perte. Certains voulaient même être les maîtres du monde sans passer par ce qu’ils appelaient les urnes. Un certain Bill Gates était un homme très riche. Il avait mis son argent au service de ses idées perverses.

- C’était quoi ses idées perverses maman ?

- Lui et beaucoup d’hommes très riches, considéraient que la Terre était trop peuplée. Ils voulaient la garder pour eux tout en se comportant en hypocrites soucieux des autres. Ce Bill Gates était infiltré partout, et un an avant leur pandémie orchestrée, il avait organisé une espèce de répétition générale appelée L’Event 201. Cette répétition s'était tenu à 74 jours de la fin de l'année 2019, de quoi se donner une Idée de l'...ID 2020...

C'est de cette manière qu'il faut approcher le symbolisme de cette date qui a défini le commencement des privations de liberté en 2020, le 14 mars à minuit, également un 74e jour pour être précis. Sachant que pour l’élite responsable de tout cela, Mars, était le Dieu de la guerre...

Bref, tout ce qui s’est alors passé était prévu et relaté dans de nombreux livres, documentaires et films que ton arrière-grand-père avait su répertorier. Ce COVID ou « Certificate Of Vaccination Identification Device » serait le moyen choisi par ceux qui gouvernaient pour pouvoir circuler plus librement...

- Alors les gens auraient dû se méfier maman !

- Oui ma chérie, si seulement ils n’avaient pas tous, pour la plupart, été endormis par une vie de consommateur-payeur où seuls comptaient les plaisirs matériels. Ils étaient certes informés, mais mal. Ils ont alors négligé de préserver leurs libertés ou de fournir à leurs jeunes les outils nécessaires pour résister à l'oppression et survivre. Tous, pour la plupart, ont alors tenté de retrouver leur paradigme perdu au prix de n’importe quoi, et là était le piège : un piège sanitaire.

Tu connais la métaphore de la grenouille et de la casserole d’eau qui chauffe chérie ?

- Non maman, qu’est-ce que tu veux dire par là ?

-Les dirigeants de l’époque avaient progressivement préparé l’humanité à leur PLAN diabolique. Ils fallait d’abord, tout comme une maladie le fait, phagocyter l’organisme et les cellules. Or, chez l’humain, la cellule de base c’est sa famille. Ils ont commencé par déconstruire les liens hommes-femmes, puis les genres hommes-femmes afin de constituer différents genres et les monter les uns contre les autres.

Ainsi, les jeunes qui ont connu cette pandémie improvisée étaient nés, pour la plupart, dans des foyers brisés par le divorce, distraits par des divertissements abrutissants et obsédés par une quête matérialiste. Dès la naissance, et pour le plupart, ils étaient placés dans des garderies car, pour les élever, les parents devaient tous deux travailler. Ainsi, de la naissance à l’âge adulte c’est d’abord la garderie, puis l’école et les activités extrascolaires qui servaient à formater les futurs esclaves du système se mettant en place. Certains livres dépeignaient pourtant depuis longtemps cette tentative de société cauchemardesque que se mettait alors en place, mais peu y portaient intérêt.

-Quels étaient ces livres maman ?

-Je ris à ta question parce que je crois me souvenir que ton arrière-grand-père les mentionnait souvent. Il s’agissait, si ma mémoire est bonne, Du Meilleur des mondes d’Aldous Huxley et de 1984 de Georges Orwell ; des classiques pour l’époque !

C’est ainsi qu’en substituant l'implication parentale par du temps passé avec des enseignants et des travailleurs sociaux, on formatait les générations futures. La course à l’avenir était anxiogène dès le plus jeune âge avec cette question : « que veux-tu faire plus tard, et y aura -t-il du travail dans cette branche. » Peu sont ceux qui vivaient l’instant présent ; la société les obligeant constamment à se projeter dans un avenir anxiogène. Ainsi, les parents et le système poussaient les jeunes à devenir des candidats aux épreuves diplômantes plutôt que d'encourager leurs facultés à penser par eux-mêmes, à devenir des automates plutôt que des activistes de leur vie.

Beaucoup croupissaient ainsi dans des écoles qui, non seulement, ressemblaient à des prisons mais qui étaient toutes similaires dans leur fonctionnement. La conformité était la règle, la pensée unique était de mise là où la liberté devenait l'exception. Sans s’en rendre vraiment compte, leurs parents en faisaient des proies faciles pour des chefs d'entreprise aux dents toujours plus longues, des suceurs de sang et d’énergie vitale.

Dans ce contexte, c’est le culte du moi et des influenceurs qui étaient à l’honneur.

-Culte de quoi et influenceur, je comprends rien maman ?

-Je t’ai expliqué qu’à cette époque l’humain était au centre de tout et de son nombril surtout ! Ils vivaient obsédés par une culture de la célébrité et de la technologie décérébrante. Beaucoup passaient leur vie le regard fixé à un écran, loin de tout lien social vrai, et surtout dépourvue de toute véritable spiritualité.

Pratiquement tous avaient appris à croire que la poursuite de leur bonheur personnel l'emportait sur toutes les autres vertus, y compris sur toute forme d'empathie pour leurs semblables. Quant aux influenceurs, je te parle hélas là d’un monde où beaucoup vivaient comme des zombis, sans personnalité propre, ni la pensée qui va avec. Ils étaient pour la plupart un stéréotype de ce que les médias leur proposaient par écran interposé. On en arrivait même à ostraciser quelqu’un qui, faute de moyens financiers, n’arrivait pas à être à la mode.

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2021/06/dis-maman-ils-avaient-des-enfants-partie-deux.html

Olivier

 

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