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Les prophètes du Diable. (Partie 16)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Le Sionisme aux manettes du monde.

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2021/10/les-prophetes-du-diable.partie-1.html

Le premier grand réformiste musulman sera Malkom Khân (1833-1908) Arménien-iranien converti à l’Islam, il sera le fondateur de la première loge maçonnique d’Iran en 1858. Il recevra son initiation à Paris, et par le biais du soufisme, cette partie ascétique et mystique de l'islam, utiliser afin de faire passer une nouvelle religion de l’humanité et de nouveaux dogmes qui s’apparentent aux Lumières de Rousseau. Pour lui, l’humaniste, le catholicisme, les judaïsme et l’islam ne constituent que des hérésies de la Véritable religion : c'est-à-dire les idées kabbalistes que prônait Jacob Frank.

Ces loges maçonniques avaient déjà commencé à émerger à partir de 1738, à Smirne lieu de naissance de Sabbataï Tsevi, puis à Alep et dans d’autres endroits qui seront tous le moyen de diffuser l’idéologie qui sera bientôt celle portés par les réformistes musulmans qui prendront la suite de Malkom Khân.

Des noms  connus tels Mohamed Abduh (1849-1905) et Djamal Ad-Din Al-Afghani (1838-1897) agiront alors à peu près comme les protestant : c’est -à-dire en réformateurs de l’Islam ; le but étant de revenir soi-disant à l’Islam des origines. Un disciple : Hassan el-Benna (1906-1949), instituteur égyptien, sera le fondateur des Frères musulmans. Il est le grand-père de Tariq Ramadan et Hani Ramadan.

Afghani et Abduh seront ceux qui, dès les années 1870, vont tenter par le biais des réseaux maçonniques déjà bien implantés en Egypte, une Révolution à la Française. Conclusion les dömnés seront accompagnés dans leur quête par ces idéologistes réformistes. Nous en arrivons aux lendemain de l’abolition du Kalifa où Mustafa Kemal Ataturk (1881-1938) fondateur et premier président de la République de Turquie va déclarer dans le manifeste d’Ankara que le Kalifa n’a rien d’Islamique.

L’abolition du califat est une décision de la Grande Assemblée nationale de Turquie, le 3 mars 1924, sur proposition de Mustafa Kemal, de mettre fin au califat islamique. La grande assemblée turque créée par les jeunes turque et Kemal. C’est ainsi qu’après les grands massacres de Chrétiens et d’Arméniens, les jeunes turques vont alors changer d’étiquette pour s’appeler bientôt kémalistes. Et c’est dans cette continuité qu’ Ali Abderraziq écrira en 1925 L'islam et les fondements du pouvoir, un essai fondateur sur la nature de l'autorité politique dans le monde islamique qui, lors de sa parution, va susciter des polémiques enflammées dans la presse et l'élite intellectuelle égyptienne, et entraîner la condamnation temporaire de son auteur par ses pairs, les oulémas d'Al-Azhar.

Nous en arrivons au wahhabisme : une idéologie née au 18e siècle. Vers le milieu de ce siècle, son créateur Muhammad Ibn Abd al-Wahhab (1703-1792), va à la manière des protestants, présenter sa nouvelle idéologie : le wahhabisme, un fondamentalisme qui prône un retour aux sources de l'islam (Coran et Hadith) et qui insiste avant tout sur l'unicité absolue de Dieu. Ce sont les Saoud, une tribu, qui vont l’aider à rependre ses idées à travers la péninsule arabique. Ils vont ainsi contribuer à créer trois empires dont les deux premiers seront défaits tandis que le dernier se verra accompagné par l’Empire britannique après la Première Guerre Mondiale.

Et c’est à la fin de la Seconde Guerre Mondiale, qu’au terme du pacte de Quincy, les Anglais vont, si je puis dire, céder la place à un nouveau Protecteur : les Etats Unis. Ce sera protection contre pétrole à bas prix via une monnaie commune : le dollar. Début 1945, à l'insu des Britanniques, le président américain Roosevelt propose au roi Ibn Saoud de le rencontrer, ainsi que l'empereur d'Éthiopie Haïlé Sélassié Ier et le roi Farouk d'Égypte.  Le 14 février 1945, de retour de la conférence de Yalta, en Crimée, le croiseur USS Quincy (CA-71) mouille dans le lac Amer (en plein canal de Suez, ainsi protégé de toute attaque par un sous-marin), en Égypte. Roosevelt rencontre les trois chefs d'État le même jour.

Roosevelt et Ibn Saoud débattent d'abord de la colonisation juive en Palestine, Roosevelt tentant d’obtenir l’appui du roi pour la création d’un foyer national juif en Palestine, chose qui lui fut catégoriquement refusée. La discussion passe ensuite à la Syrie et le Liban, concernant le départ des Français et l'indépendance de ces deux pays. Néanmoins, surfant sur une monnaie mondiale : le dollar, l’idéologie wahhabite va dès lors se rependre à travers le monde musulman et au-delà, comme une trainée de poudre. Sponsorisées par les pétrodollars, les chaires universitaires vont alors fleurir à Londres, aux USA, et ailleurs.

Sur le plan idéologique, il est clair que ce courant wahhabite se trouve ainsi imprégné de la kabbale, tandis que sur le plan factuel, c’est, vous le comprendrez, moins évident à prouver. Les frères musulmans constituent dès lors la synthèse entre le wahhabisme d’un côté et le réformisme islamique de l’autre.

Passés maîtres du mensonge et de la duperie, les Rothschild ont poursuivi sans relâche les préceptes de leurs ancêtres et utilisèrent sans ménagement la kabbale babylonienne pour arriver à leur fin de domination mondiale. L’historien israélien Shlomo Sand écrit : « Ces récits des origines plurielles des Juifs figurent, de façon plus ou moins hésitante, dans l’historiographie sioniste jusque vers les années 1960 ; ils sont ensuite progressivement marginalisés avant de disparaître de la mémoire publique en Israël. Les conquérants de la cité de David, en 1967, se devaient d’être les descendants directs de son royaume mythique et non, à Dieu ne plaise ! les héritiers de guerriers berbères ou de cavaliers khazars. Les Juifs font alors figure « d’ethnos » spécifique qui, après deux mille ans d’exil et d’errance, a fini par revenir à Jérusalem, sa capitale. »  Dès lors, on comprend mieux ce verset biblique qui, sans ces explications, reste opaque : « Voici, je te donne de ceux de la synagogue de Satan, qui se disent Juifs et ne le sont pas, mais qui mentent. » (Apocalypse 3 :9) https://youtu.be/cAkl30vgiuU

Ces gens-là sont des adorateurs de la Bête et ne s’en cachent même pas.

La preuve, à l’ouverture d’une conférence TEDx (tedx great pacific garbage patch) le 16 décembre 2010, David Mayer de Rothschild dit : « Je suis un grand fan de Google, alors j’ai pensé, voyons quel est le message général sur la nature et je ne suis pas surpris. Lorsque vous cherchez ce qu’est la nature, la première chose qui se présente est : "la nature est L’église de Satan". (…) J’aime le fait que c’est comme si la nature était une île gastronomique tropicale. Mais c’est comme si la nature était l’église de Satan. Donc je veux profiter de cette opportunité pour dire que si c’est l’église de Satan, je suis un adorateur du diable. Je vais le dire maintenant : j’aime Satan. » (sur Youtube, à partir de 1:38 minutes). https://youtu.be/Z_RvOB0T6Q4

Sous le couvert d’une plaisanterie, David de Rothschild proclame en fait son allégeance au prince de ce monde, puisque les Écritures révèlent que le diable – Satan – a actuellement la charge de la planète Terre. Fils cadet de Sir Evelyn de Rothschild, né le 25 août 1978 à Londres, David de Rothschild est le plus jeune héritier de la fortune bancaire de sa famille.

Invité à participer à une expédition polaire, cette expérience va faire de lui un éco-aventurier entreprenant, ainsi que le chantre du réchauffement climatique et du développement durable. Il a reçu le prix « d’Explorateur émergent » par le National Geographic, nommé « ambassadeur international » par l’ONG Clean Up the World et nommé « Young Global Leader » par le Forum économique mondial de tonton Schwab, En 2009, Rothschild a été nommé par le Programme des Nations unies pour l’environnement (UNEP) en tant que « héros du climat ».

Lorsqu’il a entrepris son voyage « Palastiki » sur un catamaran de 18 mètres composé de 12500 bouteilles en plastique, certains l’ont même surnommé « Plastic Jesus ». Son entreprise de marque orientée vers l’écologie, « The Lost Explorer » a été lancée en 2015. Sous son logo se trouvaient les mots « Est. 1978 » (Établi en 1978), une référence à l’année de sa naissance. Sur cette photo vous pouvez constater que son logo le plus récent indique « Est. 2025 ». Est-ce l’année où le chouchou de Schwab passera de l’activisme à la  politique et à un rôle de leadership comme prévu par le Forum économique mondial de tonton ?

Lorsqu'on jette un œil sur l’activité en ligne de ce philanthrope, on découvre alors une espèce de poupée russe : un personnage à plusieurs niveaux. Des prises de vue le montre siégeant, tel un antéchrist, face à une salle de réunion vide de type Nations Unies représentant la « Nature ». Lorsque je vous clame que l'écologie constitue la seconde mâchoire du piège que l'élite destine à l'humanité, avec de telles visions on ne peut qu'en être convaincu.

En effet, celui qui déclare vouloir « Donnez une voix à la nature » se prépare peut-être à la retirer aux peuples du monde entier. Lorsqu'on sait qui sert cette famille en ne s'en cachant même pas, on  ne peut qu'être dubitatif quant au sort qu'ils nous réservent.

Observez ce qu'arbore fièrement Philippine de Rothschild. N'est-ce pas  la tête de bouc, le Baphomet, qu'elle porte autour du cou ?

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2021/11/les-prophetes-du-diable.partie-17.html

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