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ET SI MARX AVAIT RAISON ? (Partie 3)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Sur leurs faces avant, elles provoquent le retour vers leur pôle respectif de l’air réchauffé sous les tropiques (voir Nachash), montrant au passage le comportement particulier et l’importance des régions polaires qui, contrairement aux prédictions des modèles, ne se réchauffent pas, mais se refroidissent.

La glace de mer fond peut-être au nord de la mer de Norvège ou dans le Pacifique nord, où arrivent de l’eau marine et de l’air chauds. En revanche, la banquise ne varie pas au Nord du Canada.

L’observation satellite montre même qu’au cours de la période 1979-1999, qui est celle de la plus forte hausse supposée de la température, la surface de la banquise a globalement augmenté autour du continent antarctique. Au Groenland, certaines régions fondent, notamment sur les pourtours, mais la masse de glace augmente au centre, comme la masse de la plupart des glaciers scandinaves. Le refroidissement des pôles a atteint 4 à 5°C depuis début 1940 jusqu’à fin des années 90. Rendez-vous compte ! C’est plus de la moitié, mais en négatif, de la valeur que prévoient ces cancres pour 2100 !

Comme les pôles se refroidissent, la puissance et la fréquence des AMP augmentent parallèlement, les contrastes de températures s’élèvent, les confrontations entre l’air froid et l’air chaud sont plus fortes et le temps devient de plus en plus violent et de plus en plus contrasté sous nos latitudes. Il devient aussi toujours plus irrégulier, avec des périodes étendues de froid puis de chaud, des pluies abondantes et des sécheresses.

Des records de chaleur comme de fraîcheur sont d’ailleurs constamment dépassés. Et bien entendu tout ça fait les affaires de cette bande de truands qui le met  sur le compte du réchauffement entropique provoqué par cette « humanité cancrelat ».

Ils mentent ou se trompent, mais peu importe car dans les deux cas, tout comme avec les fausses infos covid, ils mettent en danger les populations qui ne seront pas préparées à ce qui vient : froid intense en certains lieux et pluies diluviennes dans d’autres pour la prochaine décennie. J’y avais d’ailleurs consacré une série d’articles fin 2020 concernant l’alignement cosmique des deux grosses de notre système solaire et qui allait changer notre climat pour longtemps. Ils le savent pertinemment, pour s'en convaincre, il suffit d'observer l'image Google du 21 décembre 2020.

Les cultures ne pousseront plus et vont engendrer des famines qui viendront alors se greffer sur celles que l’élite est en train de créer artificiellement (c’est bon pour leurs objectifs de dépopulation).

Actuellement, des températures anormales dominent à plusieurs endroits dans le monde. Pendant qu'une bonne partie de l'Amérique du Nord va geler, d'autres souffriront d'une chaleur meurtrière. L'Inde a observé le mois de mars 2022 le plus chaud de son histoire. Des maximums de plus de 40 °C y ont été observés et le mercure pourrait prochainement se rapprocher de 50 °C, à l’heure où je rédige.

Pendant ce temps, des températures anormalement froides dominent, surtout dans l'est des États-Unis et au Canada où le Québec se retrouve coincé dans un temps frais et gris. Une masse d'air froid en altitude et une dépression y font chuter les températures en plus de générer pluie et neige sur la province. Ce système a tendance à y stagner, puisque les maximums de 10 °C et plus sont difficiles à y être enregistrés depuis le début du printemps.

Si les scientifiques ne faisaient pas pour la plupart les aveugles, comme avec le covid, ils verraient que l’augmentation de fréquence des AMP est bel et bien visibles sur les images satellites, mais les modélisateurs ne veulent pas entendre parler !

Tout comme les artefacts gênants montrant une autre histoire que celle contée dans nos écoles, elles doivent rester cachées. Ainsi, aujourd’hui, puisque le temps n’est pas conforme aux prévisions, le GIEC oublie ses propres dires et récupère la violence du temps, en annonçant qu’il est précisément dû au réchauffement. C’est plus racoleur ! Donnant raison à Marx, contrôler par le biais de la PEUR reste le leitmotiv de nos dirigeants de l’ombre.

Toutes les prévisions catastrophistes du début du 20e siècle ayant été prises en défaut, c’est seulement à partir des années 1985 que sont réapparus, lorsque la climatologie a été monopolisée par les informaticiens, les scénarios les plus catastrophistes. La fameuse courbe du GIEC est constamment démentie par les mesures et les observations satellitaires. Et j’en reviens à mon sujet de fond : « l’humain cafard ». En réalité, le « problème » dit du climat est en permanence confondu avec celui de la pollution, deux domaines pourtant FORTEMENT dissociés. Il sert de prétexte pour imposer une restriction à l’activité économique humaine, considérée à tort comme à l’origine du réchauffement climatique.

La connexion d’intérêt qui s’est établie échappe alors au commun qui passe à côté des phénomènes réels tout en servant néanmoins de vache à lait pour des réunions inutiles, et n’autorise pas des mesures de prévention efficaces contre les véritables aléas climatiques que nous allons connaître avec un refroidissement doublé d’un manque prochain d’énergie dans lequel l’Ukraine est une aubaine tant l’excuse sera grossière. Ce réchauffement climatique revêt de plus en plus un caractère de manipulation, qui ressemble vraiment à une imposture « scientifique ».

Je ne nie nullement que l’exploitation excessive de la nature ou encore les nuisances provoquées par la société industrielle et l’économie de gaspillage qui sont des réalités évidentes ayant un impact certain sur la diversité. Ce que je nie par contre de toutes mes forces, c’est le MENSONGE qu’utilise une horde de salopards pour toujours plus s’enrichir en nous appauvrissant au passage. Ils créent à souhait des phobies qui s’apparentent à des mystifications qui rapportent gros, misant sur la crédulité et la peur du public.

On veut nous faire peur avec les virus comme avec le « réchauffement climatique » mais Historiquement, les périodes chaudes ont toujours été des périodes fastes. Il fut un temps où les Romains cultivaient la vigne en Albion sous mes latitudes.

Lors de l’épopée des Vikings vers le Groenland et l’Amérique du Nord, entre 1150 et 1300, un optimum climatique régnait sur l’Europe centrale et occidentale, déplaçant les cultures et en particulier celle de la vigne de 4 à 5 degrés de latitude vers le nord. La douceur était alors propice aux voyages, à la découverte alors que, certaines périodes très froides peuvent être cataloguées comme des âges sombres.

Ce phénomène de balancier a fait passer nos aïeux d’un optimum climatique médiéval (OCM) à des épisodes froids, comme celui qui, après 1410, a coupé les relations avec le Groenland ou celui du « petit âge glaciaire » entre 1600 et 1850.

L’hiver 1708-1709 fut à ce titre dénommée « l’année du grand hiver », période au cours de laquelle les glaciers alpins ont atteint une grande extension. Il est donc ridicule de la part des médias de prétendre que la chaleur est synonyme de calamité, surtout lorsque, retraite aidant, pléthore de retraités se précipitent vers des pays chauds pour s’y dorer la couenne.

En Afrique, toutes les périodes « chaudes » ont été pluvieuses, notamment le Moyen-Âge qui a permis la prospérité (entre 1200 et 1500) de grands empires sahélo-soudaniens. Ainsi, la diminution actuelle de la pluie au sud du Sahara, c’est tout le contraire d’un « réchauffement », et une grande claque dans la gueule du GIEC.

Sous les tropiques les précipitations tombent majoritairement en saison chaude. Le glissement actuel vers le Sud de la zone sahélienne, donc du Sahara, est de l’ordre de 200 à 300 km et le phénomène, qui a débuté dans les années 1970, s’inscrit au contraire dans un schéma d’accentuation du refroidissement des pôles, ce qui contredit encore une fois le scénario infondé du GIEC, des écologistes et des médias.

1988 constitue non pas l’heure du crime, mais l’année du complot. En juin, J. Hansen (de la NASA) présenta devant le Congrès une courbe tronquée sur les cinq derniers mois calamiteux, ce qui eut pour effet de faire grimper artificiellement la courbe thermique des États-Unis. C’est ce procédé malhonnête autant que commandité qui déclencha alors la « panique climatique » déjà préparée de longue date par les mouvements écologistes, ce qui conduisit en 1989 à la création du GIEC.

Á partir de cette date les Athéniens s’atteignirent et tout comme pour couillonavirus, on vit apparaître comme par magie de prétendus « spécialistes » climatologues, le plus souvent auto-proclamés ou désignés par les gouvernements. Le climat devint l’affaire des organisations écologistes, des « journalistes scientifiques », des médias et surtout des politiques.

C’est à l’occasion de réunions grassement payées par nos impôts que sont orchestrés, avec force simplifications et marchandages, des mensonges éhontés, et les effets de manche destinés à impressionner l’opinion.

De cette façon, en 1995, avait été introduite, hors débat scientifique, la formule, toujours non prouvée, de « la responsabilité de l’homme dans le changement climatique ».

C’est de cette façon que les politiques et les médias surfent sur le catastrophisme du réchauffement…avec la même assurance et la même vigueur que dans les années 1970 lorsqu’ils annonçaient le retour d’un « nouvel âge de glace » ! Lisez donc !

Et dans tout ça, ce qui me sert le cœur, c’est leur connerie d’effet de serre. Il faut savoir que 95% de ce soi-disant « effet » est dû à la vapeur d’eau. Le dioxyde de carbone, ou CO2, ne représente, quant à lui, que 3,62% de l’effet de serre, soit 26 fois moins que la vapeur d’eau. La vapeur d’eau étant à presque 100% d’origine naturelle, comme la majeure partie des autres gaz émissifs, l’effet de serre est donc essentiellement un phénomène naturel permettant la vie et sa biodiversité.

Seule une infime proportion (effet de serre anthropique) peut être attribuée à l’humanité et cela pour une valeur totale de 0,3% de l’effet de serre total, dont 0,12% pour le seul CO2. A fortiori, l’homme n’est en aucune façon responsable du changement climatique, ce qui constitue le premier mensonge. Le second c’est, comme expliqué plus haut, qu’on ne peut absolument pas parler de « climat global » et donc que la terre se réchauffe. Pourquoi ?  Car il n’existe pas de « climat global ».

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2022/04/et-si-marx-avait-raison-partie-4.html

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