Dans la série "Eveil", chapitre 4 : Précurseurs de l’ombre ou visionnaires géniaux d’un horrible futur proche !?
Précurseurs de l’ombre ou visionnaires géniaux d’un horrible futur proche !?

De tous temps des individus ont su être des précurseurs. Concernant le large sujet que je tente ici d’aborder, certains semblent être des génies, tant leur pensée transcendent le temps. D’autres, par contre, semblent bénéficier de certaines synchronicités et/ou d’un contexte familial et sectaire propre à dévoiler, par avance, certaines vérités qu’une sombre élite désire garder cachée. Aldous Huxley (1894-1963), et son succès le meilleur des mondes fait partie de la seconde classe. Les Portes de la perception, un autre de ses ouvrages retrace les expériences vécues lors de la prise de drogues psychédéliques. Il est le fils de l'écrivain Leonard Huxley, et petit fils de Thomas Henry Huxley, un des plus importants naturalistes du 20e siècle, surnommé le « Bouledogue de Darwin », surnom donné à ce biologiste à cause des ses fortes accointances avec Charles Darwin (1809-1882). Le frère d’Aldous, Julian, est un biologiste connu pour ses théories sur l'évolution et sur lequel je vais revenir.
Etudiant au Balliol College, Aldous Huxley n'est plus entretenu financièrement par son père et doit gagner sa vie. Il donne donc des cours de français à Eton College, où étudie Eric Blair (plus tard connu sous le nom célèbre de George Orwell). Double et extraordinaire synchronicité, lorsque l’on sait que Blair deviendra l’auteur à succès de 1984, roman dans lequel il crée le concept de Big Brother, depuis passé dans le langage courant de la critique des techniques modernes de surveillance et de contrôle des individus. L'adjectif « orwellien » est fréquemment utilisé en référence à l'univers totalitaire imaginé par cet écrivain anglais. Mais c’est surtout sur le frère d’Aldous : Sir Julian Huxley (1887-1975), que j’aimerais m’attarder un instant. Ironie de l'histoire, il deviendra l'inventeur et propagandiste du transhumanisme.

Ce biologiste britannique deviendra en effet un brillant théoricien de l'eugénisme, auteur et internationaliste, connu pour ses livres de vulgarisation sur la science. Il sera le premier directeur de l'UNESCO et fondera le WWF. Le World Wide Fund for Nature ou Fonds mondial pour la nature, une organisation non gouvernementale internationale (ONGI) créée en 1961, vouée à la protection de l'environnement et fortement impliquée en faveur du développement durable. C'est l'une des plus importantes ONG environnementalistes du monde travaillant dans plus de 100 pays. Vous allez me dire : et alors c’est plutôt sympa !
Je répondrais : attention, dans ce monde/démon aux valeurs inversées, le diable se déguise souvent en ange de lumière qui, tel un Georges Soros, et au travers de ses ONG, est en train d’orchestrer l’invasion passive de l’Europe. Surtout lorsqu’un WWF marche main dans la main avec le calendrier satanique de l’Agenda 21.
À l’aube d’un siècle où l’Humanité entière est confrontée au triple défi de la transition démographique, des changements climatiques et de la mondialisation de l’économie, le tout orchestré de toutes pièces par cette même oligarchie qui ne nous veut que « du bien », leurs ONG ne sont que des outils de démagogie utilisés afin de nous leurrer. Je vais bientôt vous parler de la triste réalité de l’Agenda 21. Quant au pseudo réchauffement climatique sauce entropique, j’y ai consacré deux vidéos : https://youtu.be/rZcVSuCTH38 ; https://youtu.be/Zp1QKwrJFUM, ainsi que des dizaines de pages dans mes livres afin d’expliquer que ce n’est qu’un leurre destiné à faire payer les gueux et remplir les coffres de ces salops et surtout ceux d’Al Gore, le chancre mou de cette gigantesque intoxication informationnelle.
Ainsi, en « philanthrope », Sir Julian Huxley s'implique dans la création de l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture. Il en deviendra d'ailleurs le premier directeur général en 1946. Selon lui, l'évolution de l'homme est en pleine accélération, inaugurant ainsi l'ère « psychozoïque » : une ère où l'homme est parvenu à porter le progrès au-delà de ce que la nature est parvenue à accomplir jusqu'à maintenant.
C’est donc le frère d'Aldous Huxley, qui a inventé le transhumanisme, une théorie combattue par l'écrivain. Désormais, au 21e siècle, l'opposition entre bioconservateurs et transhumanistes va bouleverser nos vies par le biais des joueurs de l’ombre et de leur échiquier politique. Ce terme transhumanisme apparaît dans les années 50, mais il deviendra popularisé durant les années 90, lorsque les chercheurs commenceront à entrevoir le syncrétisme NBIC: nanotechnologies (N), biologie (B), informatique (I) et les sciences cognitives (intelligence artificielle et sciences du cerveau C) en une convergence explosive que nous vivons déjà.
Je critique ce phénomène dans tous mes livres car cette vision transhumaniste soutient une hérésie radicale des droits de l'humain. Pour elle, un citoyen lambda est autonome et n'appartient à personne d'autre qu'à lui-même, vision bien plaisante pour chacun d’entres nous, amateurs que nous sommes tous de la Liberté. Mais ce n’est là qu’une parfaite utopie, un miroir aux alouettes. En effet, c’est donc l’homme qui décide « seul » des modifications qu'il souhaite apporter à son cerveau, à son ADN ou à son corps grâce aux NBIC ? Lorsque vous découvrirez quelle est en réalité notre marge de manœuvre dans cet éternel lavage de cerveau que constitue pour l’essentiel votre vie, vous comprendrez qu’on décide tout pour nous. Comme les 11 vaccins qu’on tente de nous imposer. La question étant : si c’est réellement bon pour nous, pourquoi vouloir nous l’imposer, nous sommes capables de le faire délibérément ?
Le transhumanisme considère notamment que la maladie et le vieillissement ne sont pas une fatalité : le désir d'immortalité est au cœur de chaque humain et surtout au cœur de cette « nouvelle religion ». Le meilleur des mondes constitue ainsi la société eugéniste idéale décrite ou plutôt critiquée en 1931 par Aldous Huxley dans son formidable roman d'anticipation qui inspirera, en 1997, un film dont je reparlerai plus loin dans cette série d’articles : j’ai nommé le terrible Bienvenue à Gattaca.

Avant même l'invention du terme par son frère, Aldous Huxley a été le premier opposant à dénoncer une société transhumaniste de manipulation de l'homme par l'homme en utilisant la biologie et la neurotechnologie. Son frère, « homme de gauche », pensait que la génétique allait permettre de réduire les inégalités intellectuelles entre les êtres humains et défendait ce monde qu’Aldous semblait contester. Après Seconde guerre mondiale, l'humanité sortait d'une période où la génétique avait été instrumentalisée pour justifier le racisme, le conservatisme et le colonialiste.
« Grace » au 3e Reich le terme « eugénisme » était devenue sulfureux, Julian Huxley inventa donc, en 1957, un néologisme synonyme d'eugénisme, le « transhumanisme ». Désormais, le conflit entre transhumanisme et les bioconservateurs est bel et bien là, au sein de nos consciences. Cela va bouleverser à très courte échéance l'échiquier politique, car les joueurs de l’ombre avancent désormais "leur Roi", leur démiurge, et ce en rupture radicale avec les idéologies dominantes et notamment l'idéologie "judéo-chrétienne" qui fonde la civilisation européenne.
La radio, la littérature, et l’image forgent les consciences. L’image est la science du mage depuis longtemps déjà pratiquée en Egypte et ailleurs. Le pouvoir d’un sigil est terrible. Un sigil, « signe cabalistique » ou sceau est une figure graphique qui représente, en magie, un être ou une intention magique. Ce terme provient du latin sigillum signifiant « signature ».

A ce titre, le 7e art a su depuis plus de cent ans déjà, nous en mettre plein les yeux. Je n’irai pas jusqu’à parler de subliminal : j’utiliserai simplement le terme conditionnement. Et au titre du conditionnement, Hollywood, détient la part du chef ! En un siècle d'existence, l’endroit est devenu le phare de l'industrie cinématographique mondiale. Les scandales y sont légions ainsi que la pédocriminalité. De Charlie Chaplin, à Roman Polanski, la saga d'Hollywood regorge d'histoires scandaleuses, de dépendances diverses, de morts mystérieuses, voire de meurtres. Hollywood peut créer des stars, et les contrôler. Que sait-on réellement des vies privées de Marylin Monroe, Frank Sinatra, Tom Cruise ainsi que beaucoup d’autres ?
La mafia est parvenue à s'immiscer dans les syndicats et à extorquer de l'argent aux studios. Mais surtout, telle la NASA, l’endroit est un repère de francs maçons tous plus avides à emmener le spectateur dans leurs frasques endiablés. Oui, Hollywood est un formidable outil du Mind control au service de l’élite. Leur perfidie va jusqu’à montrer de but en blanc sur les écrans ce que le non initié sera bien incapable de déchiffrer. En entrée, et pour commencer la démonstration, j’aimerais vous parler d’un chef d’œuvre cinématographique pour l’époque ou il fut réalisé : j’ai nommé Metropolis qui servira ensuite de repère à nombre de réalisateurs.

Metropolis, est un film de science-fiction humaniste. Le plus couteux de l'histoire des studios Universum, il sera un échec financier retentissant, mais il assure, dès janvier 1927, à son réalisateur Fritz Lang, une célébrité qui perdure désormais au delà de sa mort. Soutenue par des effets spéciaux spectaculaires et totalement inédits à l'époque, la vision à bien des égards prémonitoire d'une ville futuriste, coupée en deux parties distinctes selon le rang social de ses habitants, ne cesse d'impressionner les spectateurs. Metropolis est un des premiers films de science-fiction, dont l'histoire et les images ont influencé toute la production ultérieure (le robot).

C’est un film expressionniste muet allemand produit pendant la courte période de la République de Weimar. Le film est en noir et blanc et se décompose en trois actes.
Son réalisateur, Friedrich Lang (1890-1976), est un austro-hongrois, naturalisé américain en 1935. Inventeur d'un grand nombre de techniques innovantes qui sont devenues autant de standards et lui ont valu le titre de « Maître des ténèbres ». Son œuvre est traversée de thèmes récurrents, la vengeance, la pulsion de mort minant l'individu, et la société, la manipulation des foules par un surhomme, la lutte pour le pouvoir, la violence de l'homme pour l'homme, la liberté pour le mal. Celui du double, image d'une inquiétante étrangeté, est présent dans la quasi totalité de ses films. C’est 1913, à Bruxelles, qu'il découvre le cinématographe.
Dès le début des années vingt il devient l'un des plus importants cinéastes allemand, et signe une fresque de la société de la république de Weimar tirée d'un roman de Norbert Jacques et sorti le 27 avril 1922, Docteur Mabuse le joueur (Dr Mabuse, der Spieler). C’est un film qui associe les mystères de l'âme humaine manipulée par l'hypnose à la corruption de la société par l'argent et la finance. Des thèmes dont je vais abondamment vous parler dans ces paragraphes. En 1929, il imagine de manière réaliste ce que pourrait être un voyage sur la Lune. Il travaille sur le scénario de ce film avec le physicien et ingénieur allemand Hermann Oberth qui sera, avec Wernher von Braun, l'un des pères des fusées à longue portée et l'un des pionniers du vol spatial.
La définition du terme « dystopie » que l’on trouve sur Google est la suivante : Au contraire de l'utopie, la dystopie relate une histoire ayant lieu dans une société imaginaire difficile ou impossible à vivre, et dont le modèle ne doit pas être imité. Exemple : 1984, de G. Orwell, est l'exemple parfait de la dystopie. Une définition qui va me permettre de parfaire mon exposé de ce monde/démon en développant plus avant ce film ignoré des jeunes : Métropolis.
En 2026, Metropolis est une mégapole dans une société pas si dystopique que ça puisqu’elle dépeint le monde qui nous attend, d’où l’intérêt de mon propos. Elle est en effet divisée en une ville haute, où vivent les familles intellectuelles dirigeantes, dans l'oisiveté, le luxe et le divertissement, et une ville basse, où les travailleurs font fonctionner la ville et sont opprimés par la classe dirigeante. Maria (Brigitte Helm), une femme de la ville basse, essaie de promouvoir l'entente entre les classes, et emmène clandestinement des enfants d'ouvriers visiter la ville haute ; le groupe se fait repousser par les forces de l'ordre, mais le fils du dirigeant de Metropolis, tombe amoureux d'elle. En descendant dans la ville basse pour la retrouver, il voit un ouvrier épuisé défaillir à son poste de travail, le rythme imposé par les machines étant trop élevé, une violente explosion se produit sur la « machine M », tuant des dizaines de travailleurs. Dans la fumée, Freder voit la machine M se transformer en Moloch, une divinité chaldéenne à laquelle les travailleurs infortunés sont sacrifiés.

Le fils se rend chez son père, le dirigeant de la ville, afin de le mettre au courant des conditions extrêmement pénibles dans lesquelles travaillent les ouvriers et lui demande d'améliorer cela. Voyant qu'il ne peut convaincre son fils des "bienfaits" de cette société ségrégative, le père le fait suivre par un espion. Le fils retourne dans la ville basse où, voyant un ouvrier au bord de l'épuisement, il persuade celui-ci d'échanger leurs vêtements et de le remplacer à la machine, tandis que l'ouvrier, matricule 11811, nombre sur lequel je pourrais longuement m’étendre, monte à la ville haute où il goûtera aux plaisirs de la vie. Après une pénible journée, le fils se rend dans des catacombes à une réunion secrète en suivant un plan trouvé dans une poche des vêtements de l'ouvrier qu'il a remplacé. Là, il découvre Maria en train de s'adresser aux ouvriers et d'annoncer l'arrivée d'un médiateur qui apportera l'égalité entre les habitants des villes haute et basse.
Entre-temps, le père reçoit des plans trouvés dans les poches d'ouvriers morts au travail et se rend chez l'inventeur du monstre mécanique qui fait fonctionner toute la ville. Celui-ci lui indique qu'il s'agit du plan qui mène aux catacombes où se tient la réunion secrète. Le père épie la réunion sans reconnaître son fils parmi la foule. Craignant la menace, il ordonne au créateur de la ville de façonner un robot à l'image de Maria afin de semer le chaos parmi les ouvriers. Mais ce que le père ignore, c'est que le savant a d'autres plans...

En 2026, Metropolis symbolise donc la mégalopole futuriste, organisée selon un système de castes. Les ouvriers travaillent dans la ville basse, manipulant des machines nuit et jour, dans le seul but d’assurer le bonheur des bourgeois de la ville haute. Un savant fou, l’hybride Rotwang (Rudolf Klein-Rogge), met au point un androïde à l’apparence féminine, qui exhortera les ouvriers à se rebeller contre le maître de la cité : Joh Fredersen (Alfred Abel). Lutte des classes et métaphysique rythment ce film définitivement en avance sur son temps.
Gratte-ciel art déco, autoroutes et jardins suspendus, Tour de Babel, composent le cœur de la cité. Cette modernité apparente a un prix : elle ne vit que grâce au sang de milliers d’ouvriers qui se tuent à activer des machines qui ne produisent rien, mais qui réclament leur lot quotidien de morts et de blessés. Dans la ville basse, des équipes de nuit exténuées croisent des équipes de jour qui se jettent dans les ascenseurs qui les mèneront à M, la machine centrale. M comme Metropolis, M comme Moloch, la divinité païenne des Phéniciens et des Ammonites. Comme l’antique Moloch-Baal, la machine avale ses enfants, se repaît de leur chair. Toute mauvaise manipulation des leviers est sanctionnée sur le champ.

C’est ce que découvrira le jeune fils du dictateur quand il descendra dans les souterrains à la recherche de Maria (Brigitte Helm). Si les ouvriers symbolisent le prolétariat opprimé par le capitalisme, Maria, elle, représente le renouveau et la foi. Maria réconforte les masses oppressées, elle prêche dans les catacombes, véritable chapelle qui rappelle les lieux de rencontre des premiers chrétiens. Elle offre un espoir qui effraie le dirigeant, concepteur de la cité, Joh Fredersen (Alfred Abel), père du jeune Freder. Monopoliste et dictateur, Fredersen contrôle Metropolis de son bureau, entouré de consoles et de téléphones de surveillance. Tel les leaders modernes que je vais bientôt vous faire découvrir, il règne grâce à la communication et l’information.
Fritz Lang joue là tel un virtuose de l’image avec la symbolique religieuse. Derrière chaque plan du film se cache une métaphore. A ces références bibliques, il ajoute la psychanalyse, comme une forme de pendant à la spiritualité. Relation au père et à la mère, complexe d’Œdipe tourmentent Freder et les personnages principaux : Fredersen, Maria et Rotwang. Le sacré qui est incarné par Maria est bafoué par Fredersen et le savant fou Rotwang. A deux, ils créent un double fantomatique, un jumeau maléfique à partir d’un androïde féminin.

Mas la catastrophe est à venir. La fausse Maria déclenche la révolte. Les ouvriers détruisent la machine centrale. Le chaos recouvre Metropolis. Finalement, c’est l’amour qui viendra à bout de l’entropie. Maria et Freder parviennent à convaincre Fredersen que le cœur doit servir de médiateur entre la main (l’action) et la tête (la planification). L’anti-technologie, les sentiments, l’emportent sur la modernité et ses moyens de production. Dans ce film, la fin est positive alors que dans la réalité que je vais vous dépeindre, il n’en est pas de même !
La version restaurée et reconstituée de Métropolis est désormais classée au Registre international Mémoire du monde de l'UNESCO depuis 2001. Depuis, les exégèses de ce film sont légion, et les interprétations multiples. Métropolis reste un chef-d’œuvre qui continue d’inspirer les cinéastes modernes, que ce soit à travers Ridley Scott et son Blade Runner ou plus récemment avec les frères Wachowski et leur trilogie Matrix. Une matrice dont j’aimerais vous entretenir dans un instant.

Déjà là les deux frères et la machine hollywoodienne se sont comportés comme des sagouins. Sophia Stewart, écrivain d’origine afro-américaine a remporté son procès sur le cas de violation du droit d’auteur contre la Warner Bros au sujet des films Matrix et Terminator. Dans les années 80, les frères Wachowski sont à la recherche de nouvelles œuvres de science-fiction et Sophia Stewart leur fourni le manuscrit du dit livre qui visiblement n’a pas reçu de « feedback » positif des frères… jusqu’au jour où, elle constate pour la première fois dans Matrix des ressemblances flagrantes avec son livre, c’est alors qu’elle intente un procès qui durera presque 10 ans ! Elle percevra une indemnité record de 2,5Milliards $, une brindille sur les 200 Milliards $ de recettes de la saga Matrix et Terminator.

Mais pensez-vous vraiment que ces films soient-là afin de vous inspirer comme les réalisateurs, vous, les gueux ? Convient-il d’inspirer l’esclave, ou convient-il plutôt de l’endormir et l’endoctriner à bosser toujours plus en faveur des mêmes ? Ceux là mêmes qui possèdent toutes ces firmes, ces journaux, ces radios et ces think tanks.
Image/magie, image est l’anagramme presque parfait de magie. Et derrière ce monde magique et magnétique, il convient de nourrir les paradigmes voulu par l’élite, ce, par le biais du brassage ou du braquage des consciences. Hollywood ; holly wood ou bois de houx, ou forêt de houx, est une forée sacrée, celle des druides serviteurs de Baal/ Moloch : le cornu. On en reconnait les serviteurs à leur besoin constant d’effectuer des « cornutos ».

Les druides étaient cette caste de mages, des virtuoses de l’image, qui possédaient la connaissance du magnétisme et le côté de la force obscure. Outre ce fait, un simple exemple de brassage des cerveaux suffira : combien de jeunes ont été éduqués dans l’idée que les gentils cowboys devaient se défendre face aux méchants scalpeurs, en ignorant l’un des plus grands génocides de la planète, celui des amérindiens ?
Dans le cinéma et ce dès que la lumière s’éteint, la conscience se met en veille, en état hypnotique, une légère transe apte à recevoir le magnétisme de l’image impactant la psyché.
Laisse-le faire !, disent trop souvent les parents d’un gosse trop occupé qu’il est à ses jeux de guerre. C’est un jeu en effet, mais malheureusement un de ceux ou la conscience ne fait pas de distinction entre réalité et virtuel. De plus, sachez-le, nous sommes là face à une grande loi universelle. La programmation du futur, transhumanisme ou non, tient énormément au fait que nous nourrissons l’animal en devenir. Je m’explique ! Nous sommes face à une caste de prêtres, des druides voués à Baal/Moloch, et qui connaissent parfaitement les lois régissant l’astral et les égrégores. Ils font de nous des piles énergétiques, tout comme dans le film Matrix dont je vais parler dans quelques instants. On nous soumet ainsi des films dans lesquels nous allons projeter nos consciences, nous en faisons pour un temps notre réalité, hors de la vraie, nous nourrissons la bête et créons ainsi le futur qu’ils nous destinent. Des milliers et des millions nourrissent une réalité à venir se manifester dans la 3D, ici et maintenant. Hormis ce constat important, il reste un point primordial à préciser.
La prise de conscience vers une Conscience du sacrifice voila ce qui intéresse l’élite perfide. L’image doit susciter des vocations, elle est faite pour ça, exemple : dans un pays où le président à jurer aux mamans qu’aucun de ses fils n’irait se faire tuer à la guerre, alors qu’en coulisses, sauce maçonnique ou blanc c’est noir et noir c’est blanc, les jeux sont déjà fait ! Il convient alors de susciter des vocations tendances christiques et Superman c’est fait pour ça.
Vous me direz alors que je vais trop loin dans mes « conneries », que j’exagère : pas du tout !!!

Le Bonhomme sort en 1933, il remplace le bedonnant Oncle Sam qui disait déjà : je te veux pour sauver la patrie. Superman est là, durant la crise, et combien de p’tits garçons vont alors s’identifier à ce héro ? Nous arrivons 10 ans plus tard, il faut de la chair à canon afin de combattre en Europe et dans le Pacifique. Le p’tit garçon a alors grandi, il sait qu’il n’est pas Superman et ne peut sauver le monde. Il peut néanmoins défendre sa patrie, un petit héro parmi tant d’autre va alors partir se faire trouer la peau, et toujours pour les mêmes ordures. La perfidie de cette élite luciférienne ira même jusqu’à orchestrer un sacrifice en l’honneur de leur saloperie de déité, un 6 juin 1944, à 6h00 du matin. Réfléchissez !

Revenons-en à notre cinémathèque : Terminator nous parle des dangers du transhumanisme alors qu’avec Matrix, nous sommes déjà loin en avant, de l’autre côté du miroir, dans un monde ou l’humain vivant dans une matrice n’a même plus conscience d’être asservi. Dans le 3e œil, nom donné à la glande pinéale, et nom original du livre de Sophia Stewart ayant servi aux réalisateurs pour Matrix, une guerre entre hommes et machines éclate. Malgré une tentative des hommes de priver les machines de la lumière solaire, ces dernières gagnent la guerre. La source d'énergie solaire n'étant plus à portée des machines suite à l'intervention nucléaire humaine, elles utilisent l'homme comme pile pour leur fournir de l'énergie. L'homme devant évoluer de par sa nature dans un environnement qui permet le fonctionnement de son cerveau, elles décident de créer une matrice. À un moment du film, Morphéus, l’un des personnages, montrant une pile tient ces propos : pour les machines nous sommes ça ! L’élite nous propose donc deux choix au travers de ses blog buster : esclavage et/ou extermination.
Avec Metropolis, nous sommes déjà à Babylone et on nous présente toute la symbolique dédiée au cornue chaldéen (Bal, Bel, Belzébut), et à tous ceux qui lui ont fait allégeance. Métropolis, c’est ce premier robot de l’histoire du cinéma qui inspirera Georges Lucas pour son Cispéo de la guerre des étoiles, une autre saga à double langage. La série Fringe, quant-à-elle, met en scène la section Fringe, une section du FBI basée à Boston (États-Unis) et chapeautée par le département de la Sécurité intérieure. Cette équipe a recours à ce qu'on appelle en anglais la « fringe science », « les sciences marginales », pour enquêter sur des phénomènes étranges et inexpliqués à travers le pays. Dans cette série des voyageurs du temps sont d’une froideur psychologique hors norme. Ils sont tout simplement devenus insensibles « grâce » à une puce qui les rend plus performant au détriment de leur humanité perdue.
Terminator/Matrix (the tird eye) nous expliquent le moment ou de robot au service de l’homme, celui-ci devient par le biais d’une IA une volonté indépendante libre de créer une conscience plus performante que celle de l’homme. I, Robot, avec l’acteur Will Smith, ne parle de rien d’autre et pour l’IA le danger pour la planète c’est l’homme pour l’homme, il faut le détruire ou l’asservir. Dans Transformers, il est dit : notre monde (celui des robots) verra le jour le jour ou le votre(celui des humains) disparaitra.

Cela me rappelle les propos du directeur de Tesla, Elon Musk, qui, en 2015, alors que Stephen Hawking et Noam Chomsky partagent les mêmes craintes, mettait déjà en garde contre les dangers des robots tueurs et l’IA. Deux ans après un premier appel, en août 2017, et à la 26ème Conférence conjointe sur l'intelligence artificielle, à Melbourne, en Australie, le patron de Tesla et plus de 100 experts de l'intelligence artificielle exhortaient les Nations unies de légiférer contre les armes autonomes. La robotique et l'intelligence artificielle (IA) s'apprêtent à bousculer des pans entiers de l'économie. Mais ces technologies risquent aussi de débarquer sur les champs de bataille, avec la mise au point des premières machines capables de tuer de façon autonome, sans aucune intervention humaine. Et cette perspective inquiète les experts du secteur : à l'occasion de la conférence IJCAI, principale rencontre mondiale sur l'intelligence artificielle qui avait eu lieu à Melbourne (Australie), 116 entrepreneurs ont adressé une lettre ouverte aux Nations unies pour alerter sur les dangers de ces armes létales autonomes (« Lethal autonomous weapon systems », LAWS).
Publié par l'ONG américaine Future of Life Institute, basée à Cambridge (Massachusetts), le texte estime que :" les armes mortelles autonomes menacent de devenir la troisième révolution de la guerre, après la poudre à canon et la bombe atomique. Demain, les fusils, missiles, drones ou torpilles, pourraient être pilotés directement par des algorithmes d'intelligence artificielle, sans que l'humain soit dans la boucle comme c'est le cas aujourd'hui. Avec des conséquences terribles, notamment si ces armes sont utilisées par des despotes ou des terroristes contre des populations innocentes, ou piratées pour se comporter de façon non désirée ", poursuit le texte.
Cette mise en garde sur les dangers des robots tueurs intervient deux ans après un premier appel, publié lui aussi par le Future of Life Institute et déjà signé par Elon Musk, mais aussi par le physicien Stephen Hawking ou le linguiste Noam Chomsky, professeur émérite au MIT. Le document, qui appelait à une "interdiction totale des armes offensives autonomes ", avait mis sur la place publique un débat jusque-là restreint aux diplomates et aux ONG, et poussé l'ONU a créé un groupe gouvernemental d'experts sur le sujet.
Mais la première réunion de ce groupe a été reportée. Un retard que déplorent les signataires du nouveau texte : Nous n'avons pas beaucoup de temps pour agir. Une fois cette boîte de Pandore ouverte, elle sera difficile à refermer.
Le but est de se débarrasser d’une masse d’ouvrier dont on a plus besoin, et ne garder que ceux dont on a besoin. Ils seront augmentés dans des proportions utiles au système, ce, par le biais d'une puce implantée dans le cerveau. Ainsi, au lieu de retourner vers un monde ou notre cerveau marchait mieux que maintenant, on s’oriente vers l’artificiel faisant fi du ciel et de son concepteur. D’ésotérique, on éxotérise le tout dans la matière. Nous extériorisons dans la matière oubliant ce que nous sommes intérieurement et biologiquement
Cette humanité doit donc disparaître ! Etape par étape, nous sommes passés d’esclaves non payés mais devant travailler, à esclaves devant travailler pour payer. Ce à quoi s’ajoute, et quoi qu’on en dise, un très faible pourcentage de libre expression (fake news), de libres déplacements (passeports), de choix politique (proportionnelle et fausse démocratie). Le tout se voit agrémenté d’un n° de sécurité social qui n’a rien à envier, question classage, à celui des déportés, et bientôt remplacé par la puce perfide : la RFID. Pour actionner votre consentement les scénarii sont toujours les mêmes ; on utilise la peur et le côté vachement pratique. C’est vrai que ça peut en effet être pratique pour un vieil Elsheimer ou pour l’enfant perdu. Au supermarché le côté pratique de gain de temps à compter les articles et payer, c’est super ! Car oui ! En plus de la peur, l’élite sait jouer comme un virtuose sur vos vices, vos penchants de gros fainéants bisounours.
Vos CB, vos portables sont déjà des traceurs, mais là, plus moyen d’échapper à Big Brother. On veut nous implanter cette puce à un endroit bien précis, un point d’acupuncture directement relié à notre conscience. Et ça n’est pas pour bientôt, c’est ici et maintenant. Oui mais ça n’est pas obligatoire, dira l’idiot du village. Seulement dans un monde de restriction aux ressources et aux emplois limités ont te dira : si tu refuses on ne peut pas t’embaucher. C’est la puce PERFIDE ou le boulot, c’est plus subtil, et ça s’appelle une dictature molle couleur arc en ciel. Alors si ça vous intéresse d’être fliqué pour aller pisser ou plus, et le voir défalquer de votre pauvre salaire, c’est votre problème. Le côté brillant va, et là réside le danger, attirer les jeunes qui, paresse aidant et « fast foodiser » à mort, y verront un truc super cool dans un monde où tout doit aller vite. Or vite et bien n’a jamais existé !!!
Inception, Le Magicien d’Oz, Lucie de Luc Besson, Superman, sont autant d’archétypes qu’utilisent les élites par le biais des symboles. Inception est un film de 2010, ou Dom Cobb est un voleur expérimenté dans l'art périlleux de l'extraction : sa spécialité ; s'approprier les secrets les plus précieux d'un individu, enfouis au plus profond de son subconscient, pendant qu'il rêve et que son esprit est particulièrement vulnérable.
Leur but est de nous maintenir dans une éternelle dualité, et dans l’attente d’un sauveur. Alors que notre refuge serait plutôt la neutralité ils nous balancent des Oncle Sam, juste là pour nourrir un patriotisme : je te veux pour l’armée américaine. Un de ces personnages qui en compagnie de Superman créent l’union en faveur de la World Compagny.
L'esprit humain étant non réductible à une équation de part sa nature ontologique, cela créa un déséquilibre inhérent au système qu’il convient de maitriser en permanence, un voile d’Isis, une matrice comptant sur le déséquilibre engendré par le psychisme humain.
Voyons donc maintenant le fonctionnement de cette matrice?
Olivier, 9 octobre 2018.