Attention : cet article est EXTREMEMENT IMPORTANT, mais quelque peu technique.

En pleine non deuxième vague d'épidémie de Covid-19, les tartufes du ministère de la Santé encouragent la population à se faire vacciner contre la grippe saisonnière pour éviter un afflux de patients atteints d'une forme grave de la grippe à l'hôpital. Résultat chez une majorité de déglingués du bulbe : De nombreuses personnes se plaignent de ne pas trouver de vaccin en pharmacie, une semaine après le début de la campagne de vaccination.

Je vais encore ici jouer mon rôle de « conspirationniste » antivax, ce vaccin est recommandé pour les plus de 65 ans, pour les personnes souffrant de pathologies chroniques (insuffisance respiratoire, cardiaque, diabète, insuffisance rénale, asthme, etc.) et pour les personnes en obésité morbide. Sont également concernés les femmes enceintes et l'entourage des nourrissons Les soignants en contact avec les personnes à risque sont aussi invités à se faire vacciner. Mais, car il y a un mais !

Dès le début de l’été, un rapport a été établi à titre personnel par un médecin espagnol, le Dr Juan F. G., du Service de Pharmacie de l’hôpital espagnol de Barbastro (province de Huesca). Il était daté du 18 juin 2020, et intitulé : « liens et causes possibles de la pandémie avec le vaccin contre la grippe actualisés ». Ce rapport faisait état d’une interrogation sur le lien entre le vaccin contre la grippe saisonnière et les décès imputés au Covid-19, en particulier chez les personnes âgées. Mais chose extraordinaire, la note du médecin va disparaître pour revenir modifiée. Publié le 28 juin 2020, elle sera supprimée dès le lendemain sur le site elarconte.com. Elle va ensuite être modifiée le 29 juin et republiée sans que ne soient précisées les modifications effectuées.

Sans vouloir trop entrer dans les détails ennuyeux, cette étude concluait à l’hypothèse d’un mécanisme d’interférence immunologique possible pour expliquer que les patients qui tombent malades du Covid-19 et qui ont reçu le vaccin antigrippal meurent plus que les patients qui n'ont pas été vaccinés contre la grippe lors de la dernière campagne dans cette province d’Espagne.

Le 15 septembre, une publication dans Nature, importante mais hélas non relayée, s’intéressait à l’interférence entre les coronavirus des rhumes bénins et le virus influenza A (IAV), c'est-à-dire le H1N1, responsable de la pandémie de 2009. Or, le virus de la grippe saisonnière est aussi un virus influenza.

La publication conduit à l’hypothèse qu’un seul virus respiratoire peut bloquer l’infection par un autre à travers la stimulation des défenses anti virales par la muqueuse respiratoire. Cela pourrait expliquer que l’interférence entre H1N1 et les rhinovirus saisonniers aurait permis l’extinction de l’épidémie de 2009 et que cette hypothèse devrait être prise en considération pour les stratégies d’intervention entre les épidémies de grippe saisonnière en présence de la « pandémie » du Covid-19 ou SARS-Cov2 sévissant actuellement.

Traduction : les rhinovirus saisonniers (coronavirus communs), en entrant en compétition avec la grippe saisonnière, pourraient fonctionner comme des protecteurs en bloquant l’infection par d’autres virus respiratoires plus pathogènes, et permettraient l’extinction de cette dernière chaque année. A cette compétition, s’ajoute donc maintenant un autre coronavirus, le SARS-CoV2, qui par extrapolation de ces conclusions, pourrait également participer à l’extinction de l’épidémie de grippe saisonnière, et inversement.

Ici le sujet n’est pas l’immunité croisée, puisque la grippe et le rhume n’appartiennent pas à la même famille de virus (influenza et coronavirus, respectivement), mais bel et bien le déclenchement de la production d’interféron, glycoprotéine de la famille des cytokines, puissant antiviral naturellement produit par notre système immunitaire et par d’autres cellules, dont celles de l’épithélium respiratoire. C'est-à-dire de tout ce qui relève de la magie de notre corps et d’une adaptation exceptionnelle de notre système immunitaire, chose qu’hélas les abrutis qui nous dirigent tuent dans l’œuf en empêchant par leur stupide confinement doublé d’un couvre-feu débile toute idée d’une recherche d’immunité collective que pratiquaient avec intelligence nos mères et avant elles, nos grand-mères.

Enfin, tout récemment, une publication scientifique du 1er octobre 2020, s’est intéressée à la corrélation possible entre le taux de vaccination contre la grippe et les décès de la Covid-19 dans 39 pays de plus d’un demi-million d’habitants, chez les personnes âgées. Les résultats ont montré une association positive entre les décès du Covid-19 et le taux de vaccination contre la grippe saisonnière chez les personnes âgées de plus de 65 ans, avec une augmentation significative des décès du Covid-19 des régions de l’Est vers les régions de l’Ouest dans le monde.

En clair, cela signifie que les personnes âgées ayant été vaccinées préalablement contre la grippe sont davantage décédées du Covid que celles ne l’ayant pas été. Le problème ne serait donc pas le vaccin lui-même, mais le fait qu’il « prive » l’individu (enfants et personnes âgées par conséquent) de l’infection par influenza.

De plus, comme indiqué dans mon livre De Mammon à Corona, de nombreuses publications scientifiques montrent le rôle majeur de l’activation des lymphocytes T (immunité à médiation cellulaire), plus important que celui des anticorps spécifiques (immunité à médiation humorale), et participant à l’immunité croisée, dans la lutte de l’organisme contre l’infection au SARS-CoV2. Ne serait-il donc pas plus judicieux de renforcer cette immunité naturelle, diminuée par l’âge chez nos aînés, par exemple à l’aide de supplémentation en Vitamine D et en zinc (dont ils sont souvent déficitaires) mais également de Vitamine C, par exemple ?

La publication des chiffres de décès dus au SARS-CoV2 (en ne testant presque personne à l’époque et en l’attribuant automatiquement au Covid-19) avait, semble-t-il, pour objectif de brouiller les pistes et de réduire la corrélation entre les deux.

Au regard de tout ceci, et à l’heure où de nombreux médecins appellent à tous nous faire massivement vacciner contre la grippe, ne pas chercher à éliminer ce lien de causalité semble faire partie du PLAN visant lors de la prochaine campagne vaccinale antigrippale, l’association à un nouvel épisode épidémique sévère de ce virus tant attendu par l’élite, voire un nouveau confinement et beaucoup plus de décès à la clef. Quoi de mieux afin d’IMPOSER la vaccination obligatoire.

Hélas, selon les premières estimations, à l’heure où je rédige cet article, rien qu’en France, plus de 5 millions de doses ont été vendues en une semaine. « La semaine dernière, on a vendu 51% des doses écoulées l'an dernier », confirme dans Le Point Pascal Fontaine, directeur des achats du groupe Pharmacie Lafayette.

Le piège se referme donc sur une humanité non informée et zombifiée par les merdias et la télévision et qui en vient à faire caca culotte plutôt que vouloir combattre l'élite.

Ainsi mes amis, je ne saurais trop vous conseiller de faire des réserves de nourriture et de chauffage, car le soleil va s’en mêler. Je vous conseille également la nourriture de l’esprit : télécharger un max les vraies infos, les vidéos, et achetez également mes livres papiers. Pourquoi pas ?

Faite circuler SVP, et que Dieu vous garde.

Olivier.

Cet article devait au préalable ne compter que cinq parties. J’ai néanmoins dû me résoudre à en rajouter une sixième vue la complexité du sujet.

Bonne fin de lecture.

Tout ce cinéma pour un virus dont le dernier taux de survie global révisé des CDC pour le virus COVID est de 99,8%, contre 99,9% pour la grippe commune.  Un site web de l’industrie de la défense, Defence One, rapporte que l’implant de puce pourrait obtenir l’approbation de la FDA d’ici début 2021.

FDA est l'abréviation de Food and Drug Administration, service du gouvernement américain responsable de la pharmacovigilance, c'est-à-dire des études, du contrôle et de la réglementation des médicaments avant leur commercialisation. Comprenez le bien, le Département de la Défense américain aide à financer une nouvelle étude pour déterminer si un biocapteur sous la peau peut aider les traqueurs à suivre le rythme, en détectant les infections pseudo-grippales avant même que leurs symptômes ne commencent à apparaître.

La puce d’hydrogel, qui est injectée avec une seringue, pourrait être injectée avec n’importe quelle vaccination COVID.  La vaccination obligatoire serait la clé de tout déploiement à grande échelle du projet.

Avec ces biocapteurs avancés, l’intelligence artificielle peut être capable de lire toutes les humeurs et activités du sujet, sa fréquence cardiaque, sa fréquence respiratoire, sa température corporelle et même son activité sexuelle. La nanotechnologie pourrait théoriquement être utilisée pour fabriquer des systèmes de contrôle de l’esprit, des dispositifs d’écoute invisibles et mobiles, ou des outils de torture.

Vous souvenez-vous de cette annonce dans les médias le mardi 8 septembre dernier : « Vaccin contre le Covid-19 : le laboratoire Astra Zeneca suspend ses essais cliniques. » Alors qu'il figurait parmi les projets les plus avancés en termes de recherche de vaccin, le groupe pharmaceutique a annoncé une pause dans les essais cliniques de son vaccin expérimental contre le virus, après l'apparition d'une « maladie potentiellement inexpliquée », un effet secondaire grave, chez un participant.

Selon la durée des investigations, cette pause pourrait avoir un impact sur le calendrier serré du développement alors que le ministre de la Santé britannique Matt Hancock indiquait espérer des résultats des essais d'ici la fin de l’année ou le début de 2021. Astra Zeneca a déjà pré-vendu des centaines de millions de doses à plusieurs pays, au cas où son vaccin s’avérerait efficace.

La pression était telle que le samedi suivant 12 septembre, Astra Zeneca a révélé les détails de ses grands essais contre le coronavirus, le troisième d'une vague de divulgations pour être plus transparent sur la façon dont ils testent des produits. La publication intervient après un deuxième test de vaccin volontaire « Problèmes neurologiques développés ». Le deuxième volontaire a soudainement commencé à dire « Ils ont tué Dieu ; je ne peux plus sentir Dieu - mon âme est morte » après le vaccin.

Encore une fois vous allez me prendre pour un "obsédé", mais je ne peux m’empêcher de repenser à Apocalypse 13 :16-18.

J’aimerais revenir encore quelques lignes sur le cas Bill Gates tant l’individu me donne la gerbe. Moult détails tous plus croustillants les uns que les autres le concernant figurent dans mes articles sur ce blog mais j’y ajoute encore ici ce qui devrait vraiment être l’un des plus grands scandales en matière de santé publique, mais on lui accorde peu d’attention, principalement en raison de la grande notoriété des personnes et des organisations concernées.

Les Nations Unies ont été forcées d’admettre qu’une grande initiative internationale de vaccination est en fait la cause de l’épidémie de la maladie même qu’elle était censée éliminer. La campagne de plusieurs décennies soutenue par Bill Gates pour éradiquer la polio tue désormais des dizaines de jeunes innocents vivant dans les pays pauvres. De nombreux enfants sont paralysés par une souche mortelle de l’agent pathogène dérivé d’un vaccin vivant, provoquant la propagation d’une polio virulente.

« Bill Gates est une maladie industrielle » : L’Organisation des Nations Unies forcées d’admettre que le vaccin de Bill Gates provoque une autre flambée de poliomyélite, cette fois en Afrique. 

https://t.co/aSmKKXsLFd  

Les responsables craignent désormais que cette nouvelle souche dangereuse ne saute bientôt des continents, « provoquant de nouvelles épidémies mortelles » dans le monde. Aussi choquant que cela puisse paraître, cette débâcle de Big Pharma n’est pas nouvelle.  Après avoir dépensé quelque 16 milliards de dollars sur 30 ans pour éradiquer la polio, les organismes internationaux de santé ont « accidentellement » réintroduit la maladie au Pakistan, en Afghanistan et également en Iran, alors que la région d’Asie Centrale était frappée par une souche virulente de polio engendrée par l’entreprise pharmaceutique qui distribue le vaccin là-bas.

Hormis ces « légers détails », nos « camarades » Américains et bien d’autres ont dans l’idée de développer Captain America. Ils ne cachent même pas leur désir d’utiliser la nanotechnologie pour développer des « super-soldats » qui n’ont pas besoin de dormir, qui ont une conscience sensorielle accrue et d’autres avantages du « champ de bataille », quels que soient les effets secondaires à long terme sur la santé. 

Une plate-forme de surveillance de masse largement déployée nécessiterait une bande passante considérablement accrue dans les réseaux de téléphonie mobile et Wifi.  C’est l’une des raisons pour lesquelles les gouvernements s’efforcent de remplacer les réseaux actuels par la 5G.

Des médecins et des experts en technologie mettent en garde contre un avenir sombre pour l’humanité dans lequel les masses sont contrôlées par un système horrible d’intelligence artificielle gérée par le gouvernement qui délivre des récompenses et des punitions grâce aux implants permanents.  La nanotechnologie permet même d’injecter chez l’homme un « kill switch » activé par l’intelligence artificielle, comme des particules contenant du cyanure.

Rappelez-vous les usines chinoises d’Apple, du fait des conditions de travail déplorables, des travailleurs tentaient de se suicider en raison d’emplois difficiles et intolérablement répétitifs.  Le problème est devenu si grave que certaines usines ont installé des filets à l’extérieur des fenêtres pour attraper les travailleurs. 

Avec les biopuces fournissant à Skynet des algorithmes prédictifs d’une tentative de suicide, un travailleur pourrait, par un stimulus négatif, être remis en place. Nos maniaques du bistouri possèdent donc déjà la plus grande partie de cette technologie censée encore appartenir au futur, à tous ces films glauques, genre Skynet, où la machine à prie le pouvoir sur un restant d’humanité délabrée et où Terminator flingue sans sourciller le moindre objecteur de conscience au système, si la conscience existe encore !

Donc à n’en pas douter, COVID-19 est bien la crise majeure dont parlait David Rockefeller il y a quelques années. Les eugénistes-malthusiens-transhumanistes ont actuellement le pouvoir et il va être très difficile de leur ôter. L’argent est le nerf de la guerre et ils en impriment à profusion. Ce sont eux qui ont le doigt sur l’imprimante et elle tourne à plein régime. Tous mes docteurs Frankenstein cités plus haut évoquent clairement la velléité du transhumanisme qui est de connecter l’homme à la machine, c’est-à-dire l’humanité à l’intelligence artificielle, via un « neural lace », c’est-à-dire un implant greffé au cerveau et un bon vaccin aux nanoparticules afin de coiffer le tout.

Derrière l’argument du progrès et de l’aide que va apporter ce nouveau système d’assistance neurologique aux paralysés, aux sourds et aux malentendants, aux aveugles, aux malades d’Alzheimer ou de Parkinson, il existe une autre réalité dans les coulisses du transhumanisme et celle-ci n’est jamais mise en avant.

Elle réside dans la prise de pouvoir qui pourrait donner, à une seule personne, le contrôle de toutes ces intelligences artificielles et par là même le contrôle total sur une humanité connectée. Car il n’y a aucun doute sur le fait qu’après avoir greffés les cochons ne vienne le moment de greffer les hommes. Qu’en serait-il si vous ne contrôliez plus vos pensées, vos faits et vos gestes ? Qu’en serait-il si l’intelligence à laquelle vous êtes connecté subissait un bug ? Que pourriez-vous faire si vous n’aviez plus aucun contrôle de votre vie, de votre corps, le contrôle sur vos enfants ? Que pourriez-vous faire si quelqu’un venait à pirater l’intelligence à laquelle vous êtes connecté et à en prendre le contrôle ?

Certains me lirons en pensant que je suis fou, mais que faisiez-vous début 2020 quelques semaines avant que plus de 4 milliards d’individus se retrouvent emprisonnés ?

Vous souvenez-vous où vous étiez et ce que vous faisiez ? Auriez-vous imaginé un seul instant ce qui nous est arrivé ? Soyez honnête un instant avec vous-même ! La France est déjà une dictature molle, nos flics y tirent volontairement dans la tête des manifestants pendant que d’autres passent en comparution immédiate devant une pseudo justice pendant que des casseurs ou des multirécidivistes se baladent dans nos rue en toute tranquillité ou violent en toute impunité.

Pour vous donner un exemple de dérive, sachez qu’en ce moment même, si jamais vous sortez sans masque ou que vous refusez d’en porter ça vous coûtera 135€. Remarquez, ailleurs ce n’est pas mieux ! Au Québec, eh bien vous risquez de vous retrouver dans des camps pour détenus ayant peut-être le COVID pour une durée de 14 jours. Vous en sortez, vous rentrez chez vous et là, la police vous contrôle à nouveau. Vous repartez en camps pour détenus COVID et ainsi de suite tant que durera la situation d’urgence sanitaire. C’est en tout cas ce qu’expliquait le docteur Jacques Girard, leur directeur de santé publique par intérim au CIUSSS de la Capitale-Nationale, lors d’une intervention publique le 2 septembre dernier sans toutefois répondre à la question d’une journaliste qui lui demandait où étaient enfermés les dissidents à cette crise.

L’état de crise sanitaire dans lequel nous sommes plongés depuis déjà plus de 6 mois est bien, il autorise nos dirigeants à arrêter quelqu’un sur une simple suspicion et à le détenir 14 jours. Et personne n’est autorisé à savoir où l’interpellé est détenu ni avoir la garantie qu’il ne mourra pas potentiellement du COVID pour être ensuite incinéré comme le veut le protocole sanitaire.

Ce qui est plus facile également à comprendre en revanche, c’est que ceux qui pensent, décident, et dirigent ce monde, ont déjà commencé à jouer avec le feu et ils ne sont plus en mesure de le contrôler. L’OMS, dans son « conseil mondial de suivi de la préparation » GPMB de 2019, parlait bien de « deux exercices » de formation et de simulation à l’échelle du système, dont un couvrant la dissémination délibérée d’un agent pathogène respiratoire mortel.

Le premier, nous le connaissons. Il a consisté en la dissémination délibérée du SARS-COV2, effrayer les populations, arrêter l’économie, nous confiner et nous rendre ensuite une semi-liberté sous conditions : le masque et un ou des éventuels reconfinement jusqu’à ce que le Conseil Mondial ordonne la fin officielle de la pandémie ou fournisse une solution : le vaccin.

Le second consistera probablement à vacciner toute la population mondiale et à lui inoculer tout ce dont j’ai parlé plus haut avec l’alibi de vouloir tous nous sauver du COVID-19, cette maladie qu’ils ont en réalité eux-mêmes propagée. Maladie qui, au passage, est extrêmement dangereuse pour ceux qui veulent boire un verre, aller au restau, faire du sport, se promener au bois ou sur la plage, enfin vivre ! mais qui est sans aucun danger pour les manifestations Black Lives Matter que les autorités du monde entier ont autorisé. Vous avez dit bizarre ?... Comme c'est bizarre !

Voilà plus de 40 ans maintenant que les chercheurs de tous les pays essaient de trouver un vaccin contre le SIDA (Syndrome d’Immunodéficience Acquise). Y sont-ils arrivés malgré les budgets pharaoniques qui leur ont été attribué ? Non. Pourquoi ? Parce qu’il est impossible de se prémunir contre des virus qui s’adaptent et évoluent en passant d’un organisme à un autre, d’un homme à un autre. A-t-on trouvé un vaccin contre SARS-COV1 ? Non. Il n’en existe pas et on en trouvera jamais alors par quel miracle trouverons-nous un vaccin contre le SARS-COV2 ?

Les coronavirus sont une famille de rétrovirus à ARN très répandus et chaque année, dans tous les pays, les instituts d’infectiologie en dénombrent à chaque fois 4 ou 5 nouveaux plus ou moins coriaces. Tantôt bénins, ils peuvent également provoquer des complications respiratoires sévères. Ils circulent dans les écoles, les transports en commun ou dans tous les lieux publics. Dès que nous passons du chaud au froid ou du froid au chaud très rapidement, tous ces virus, qui sont dit "saisonniers", se manifestent et s’installent. Ils nous rendent malade et puis disparaissent.

Leur faire la guerre en nous vaccinant toutes et tous est une arnaque, l’ARNAQUE du millénaire pour leur millénium.

Un horrible mensonge comme celui du trou dans la couche d’ozone. Rappelez-vous tout l’argent qu’ont prélevé les gouvernements via toutes sortes de taxes pour sauver le trou dans la couche d’ozone. Puis on n’en a plus parlé du jour au lendemain.

Le véritable objectif de l’élite luciférienne n’est pas de sauver l’humanité mais de lui donner le coup de grâce. Ce qu’ils veulent c’est lui imposer un contrôle total et totalitaire, celui de la Bête 666, et réduire le nombre d’individus à un seuil gérable du point de vue démographique et politique, et de faire en sorte que sa mise en servitude soit définitive.

Souvenez-vous que tout est prévu d’avance : http://vecteur-douceur.over-blog.com/2020/01/tout-est-prevu-et-depuis-longtemps.html

Il y a quelques jours, le professeur Raoult disait qu’il y avait en circulation sur le sol français, non pas une souche de coronavirus SARS-COV2 mais 7 différentes. Des souches mutantes. C’est-à-dire des souches ayant changé au fur et à mesure qu’elles passaient d’un hôte à un autre. La « bestiole » est issu d’un croisement, comme l’affirmait Montagnier et la professeur Li-Meng Yang, une spécialiste mondiale des coronavirus aujourd’hui réfugiée au États-Unis et protégée par le FBI.

Dans une interview accordée à la chaine News Max elle expliquait que ce virus, sur lequel elle travaillait en particulier lorsqu’elle était en fonction au laboratoire P4 de Wuhan en Chine, n’a rien de naturel. Le professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine pour avoir découvert le virus du SIDA, a été quant à lui le premier francophone à dénoncer le fait incroyable et étrange que dans le génome du SARS-COV2, on y retrouvait des séquences génétiques du virus du SIDA. Dans une interview accordée à la chaîne Thana TV, il expliquait cette manipulation et les dérives qui guettent l’humanité tout en s’inquiétant du fait que « nous vivons dans un monde de fou ».

Alors qu’allons-nous dire à nos enfants lorsqu’implantés ils nous demanderont, s’ils le peuvent encore, pourquoi nous n’avons rien fait lorsqu’il était encore temps ? À ce stade, il n’y a plus aucun doute et nous pouvons répondre à tous ces médecins intègres que les mesures contradictoires et paradoxales prises par les autorités sanitaires durant la gestion de cette crise n’ont pas d’autres objectifs que de créer de la dissonance cognitive chez les individus afin de briser leur rationalité, les empêchant ainsi de réfléchir et d’en arriver à la conclusion que nous vivons une véritable manipulation. Comment se fait-il qu’aucun média n’apporte de contradiction ou ne remette en question toutes les mesures sanitaires gouvernementales qui, jusqu’ici, n’ont été que des échecs ?

N’y a-t-il pas là une communication de programmation et de conditionnement ? Joseph Goebbels l’enfant chéri de tonton Adolf disait : « Un mensonge répété dix fois reste un mensonge ; répété dix mille fois il devient une vérité ». C’est terrible à dire mais malheureusement c’est exactement ce qui en train de se passer et c’est entre autre pour cette raison que Luc Montagnier dit que nous vivons dans un monde de fou.

Plus personne n’ose contester le port du masque alors que des centaines d’études à travers le monde ont démontré que, non seulement il était inefficace mais qu’il était également dangereux.

Sortir de la Matrice et suivre le lapin blanc, très peu de gens sont prêts pour ça.  Alors certains, beaucoup trop, portent ce foutu masque par conviction, et là on ne peut rien faire pour eux car une fois que l’on adhère au dogme de Big Brother, on est prêt à la délation politico-médiatique. Il est très difficile de sortir de son dogme, ses conventions, c’est trop confortable sinon c’est le monde qui s’écroule et là… Mark Twain disait : « Il est plus facile de tromper les gens que de les convaincre qu’ils ont été trompés. »

D’autres le portent par obligation, par peur du "qu’en dira-t-on", par peur d’enfreindre la loi ou par peur de la verbalisation même s’ils sont convaincus de son inutilité. Et là c’est pire, car c’est la voie toute tracée vers un totalitarisme nouveau, une dictature parfaite. Aldous Huxley écrivait dans Le meilleur des mondes : «La dictature parfaite serait une dictature qui aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s’évader. Un système d’esclavage où, grâce à la consommation et au divertissement, les esclaves auraient l’amour de leur servitude ».

Nous y sommes, non ? Bien entendu ! Car nos dirigeants ne font pas d’erreurs lorsqu’ils nous disent, au plus fort de la contagion, que les masques sont inutiles. Pas plus qu’ils n’en font au plus fort de l’été lorsque les hôpitaux sont vides, lorsqu’ils vous disent le contraire. Qu’il faut porter le masque pour vous protéger et protéger les autres. Ce n’est pas une erreur lorsqu’ils vous disent que vous devez porter le masque au travail entre collègues mais pas au restaurant avec les mêmes collègues. C’est ça la dissonance cognitive : une mise en situation dans laquelle votre jugement entre en contradiction avec ces aberrations et vous amène à des situations de blocages et d’égarement. Vous êtes ainsi beaucoup plus vulnérable et beaucoup plus perméable à des consignes que vous n’auriez sûrement pas acceptées normalement.

Tout ceci contribue fortement à amplifier nos angoisses, notre stress et impacte directement notre système immunitaire qui s’affaiblit à force d’anxiété. Lorsque nous avons peur, nous sommes beaucoup plus enclins à accepter toutes sortes de mesures liberticides et contraignantes. Souvenez-vous du début de mon long article et le fait que les ingénieurs sociaux le savent et nous noient en permanence dans la dissonance cognitive ainsi que Naomie et son excellent bouquin sur le sujet, « La stratégie du choc ».

Est-ce que les états d’urgences qui ont été instaurés dans plusieurs états du monde ont été ensuite retirés ? Non, et ils sont toujours en vigueur. Est-ce que l’état d’urgence qui perdure en France depuis le massacre de l’équipe de Charlie Hebdo en 2015 a empêché l’attentat de Nice ? Non. Valls a fait croire aux Français qu’il allait lutter contre les injustices sociales et les idéologies radicales en installant partout des caméras et des portiques de sécurité. Conclusion ? L’état d’urgence n’a fait que renforcer les pouvoirs des forces de l’ordre établi et des gouvernements sous prétexte de lutter contre le terrorisme et les français l’ont accepté.

Lorsque nos sens sont biaisés, nous perdons ainsi confiance en nous et dans les autres, tous nos repères et nos valeurs s’estompent et nous nous en remettons volontiers au bon vouloir de l’autorité.

Les gouvernements, qui ont malheureusement bien compris cette mécanique anthropologique et ces leviers psychosociaux depuis très longtemps, concèdent des budgets considérables à l’ingénierie sociale. L’art de manipuler les masses. Nous avons parlé un peu plus haut du laboratoire militaire P4 de Fort Detrick dans le Maryland. Saviez-vous que ce laboratoire était également très connu pour avoir abrité durant plus d’un demi-siècle le plus grand centre de recherche mondial sur le contrôle mental ? Si les structures supra-étatiques telles que l’OMS et le Conseil Mondial n’ont jamais eu autant de pouvoir, comme nous l’avons  vu durant cette crise, le drame réside surtout dans le fait que ces organes ne sont absolument pas indépendants. Ils dépendent d’autres structures pour les financer.

Le véritable chef d’orchestre est la main qui donne, jamais celle qui reçoit et depuis que les États-Unis ont annoncé qu’ils ne financeraient plus l’OMS, c’est la Fondation Bill et Melinda Gates qui est devenu le premier contributeur.

Tout le monde aujourd’hui comprend bien que quelque chose cloche ; que l’on ne nous dit pas la vérité et que les chiffres sont truqués et manipulés et que surtout, plus rien ne sera comme avant.

Oui, il y a un plan de gouvernance mondiale et même un aveugle le verrait. De Georges Bush à Nicolas Sarkozy, toutes les grandes personnalités politiques n’ont eu cesse de le répéter et personne ne le nie. Ce n’est absolument pas du complotisme, « c’est notre projet » pour reprendre les termes exacts d’Emmanuel Macron car effectivement c’est un projet bien réel.

Nous avons tendance à oublier qu’il y a déjà une première ébauche de gouvernement mondial, un nid de francs-maçons, et elle s’appelle l’ONU. Que fait-elle ? Elle brasse du vent. Sous son égide la souveraineté des états les plus pauvres de la planète est-elle respectée ? A-t-elle fait quelque chose pour les palestiniens ? Rien. Le Proche et Moyen-Orient sont dans un chaos inédit à cause d’Israël et de l’ONU qui ferme les yeux ou plutôt son œil.

Yougoslavie, Irak, Libye, Syrie, a-t-elle fait quelque chose ? Non. On ne fait pas de guerre pour sauver les veuves et les orphelins et les Rothschild, Rockefeller, Buffett, Gates, Soros, etc., ne nous veulent pas du bien. Il faut arrêter de se leurrer. Ils ne sont intéressés que par Mammon. L’Amérique et son Deep State a-t-elle apporté la Démocratie quelque part ? Non. L’Oncle Sam est en Afghanistan depuis 2001. Des milliers sont morts afin de remplir les poches de l’Etat profond et apatride. Sont-ils toujours là-bas ? Oui. 19 ans dans un pays pour rien. La seule chose qui ait évolué en Afghanistan c’est la production d’héroïne et elle a explosé entraînant une hausse vertigineuse de sa consommation aux États-Unis pour atteindre un niveau alarmant.  

A ce jour, plus de 700 000 américains ont déposé une pétition à la maison blanche pour que le gouvernement américain ouvre une enquête sur les objectifs cachés de la fondation Bill et Melinda Gates et sur le GAVI. Les élections du 3 novembre sont donc cruciales pour les Démocrates. Et c’est d’ailleurs pourquoi ils ont tout intérêt à dégager Trump.

Il est extrêmement important de faire la lumière sur les origines et les objectifs cachés de cette pandémie et de traduire en justice tous les différents protagonistes liés de près ou de loin à cet épisode funeste de l’histoire de l’humanité. Nous devons tous faire pour que cette pandémie nous serve de leçon et surtout qu’elle soit la première et la dernière (j'ai le droit d'être un utopiste).

Voilà, j’ai tout dit, faite circuler, rendez SVP ces articles viraux au même titre que le sont leurs mensonges et que ceux qui veulent m’aider le fassent en achetant mes livres.

Que Dieu vous garde, mais pas les hommes, c’est plus sûr !

Olivier.

L'auteur de Y a-t-il une erreur qu’ILS n’ont pas commise ? dont j’ai repris quelques déclarations dans mon livre De Mammon à Corona, puisqu’il était également un soutient avéré du Professeur Didier Raoult s’est vu congédié par ses pairs.

https://youtu.be/D8hvDKHIxKw

Christian Perronne, ce médecin et professeur des universités avait mis en cause les tests PCR, affirmant qu'ils produisent une majorité de faux positifs créant ainsi des « millions de faux cas » de Covid-19, en raison selon lui d'un trop grand nombre de cycles d'amplification. Il a ainsi déclaré qu'on « ruine la sécu pour des tests qui ne servent à rien », et qui seraient un «jackpot» pour les hôpitaux et les médecins généralistes, qui toucheraient plus d'argent lorsqu'un cas de Covid-19 est détecté.

Ce monsieur fort éclairé s'était également interrogé sur l’utilité du port des masques dans la rue et dans le métro. Mal lui en a pris puisqu’il vient d’être démis de ses fonctions de Vice-Président et de Président du Conseil scientifique de la FFMT à la suite de propos.

Ce professeur n’est pas le seul à monter au créneau contre ce non-sens généralisé qui a envahi la planète. À travers le monde, ce sont des centaines de milliers de médecins et de scientifiques qui s’insurgent chaque jour davantage contre ce qui n’est qu’un coup mondial contre nos libertés. Il n'y a aucun signe d'une deuxième vague de coronavirus, ont déclaré les experts, car les nouveaux chiffres de l'Office national des statistiques (ONS) ont montré que les décès ne sont que de 1,5 % supérieurs à la moyenne sur cinq ans et suivent une trajectoire normale pour cette période de l'année. En France, le nombre total de décès a augmenté de 143 seulement par rapport à la moyenne sur cinq ans. Il y a également eu 19 décès de moins que la même semaine l'année dernière. En saison hivernale de la grippe, et une augmentation des décès dus aux maladies respiratoires est attendue.

Des chercheurs britanniques veulent contaminer des volontaires au coronavirus pour tester l’efficacité d’un vaccin.​​​​​​​

Et puisque la « bête » semble ne pas être suffisamment agressive au goût de l’élite, piloté par l’Imperial College de Londres et prévu pour démarrer en janvier 2021, un essai va porter sur des dizaines de personnes en bonne santé qui vont être exposées au coronavirus pour tester l’efficacité d’un vaccin. Il faut bien reconnaître qu’à ce titre même si ce n’est qu’une piètre consolation les Anglais ne sont pas mieux lotis que nous avec leur gouvernement qui a annoncé cette débilité mardi 20 octobre, comme le rapporte la revue scientifique « Nature ».

une absurdité car alors que le couvre-feu est censé, selon Macron endiguer l’épidémie, on peut avoir « un mouvement d’exode massif des urbains qui peuvent se le permettre (professionnellement, familialement et financièrement) », pouvant ainsi propager le virus sur les zones qui ne se trouvent pas encore sous le couvre-feu.

L'élite souhaite ardemment son Ordo Ab Chaos, et certains y contribuent fortement tel  Eric Zemmour, ou le journaliste d’investigation Laurent Obertone  qui déclare, « la France est devenue un bidon d’essence, il ne manque plus que l’étincelle ». Est-ce que ce couvre-feu sera cette étincelle ?

Ainsi mes amis, je ne saurais trop vous conseiller de faire des réserves de nourriture et de chauffage, car le soleil va s’en mêler. Je vous conseille également la nourriture de l’esprit : télécharger un max les vraies infos, les vidéos, et achetez également mes livres papiers. Pourquoi pas ?

Que Dieu vous garde.

Olivier

Avec l’assassinat de ce malheureux professeur d’histoire-géographie, certains, dans la société (trop peu à mon sens !), comprennent que nous avons encore franchi un palier vers le bas, l’enfer. Le Stairway to Even, c’est pour eux, les multi milliardaires, qui sont à l’origine de nos malheurs qui ne font que commencer.

On peut d’ores et déjà garantir l’exploitation de l’abomination pour pousser les lois les plus liberticides. À n’en pas douter bien que trop de gastéropodes à la mémoire momifiée ne s’en priveront pas, tout ceci relève d’un Stratagème aussi grossier que putassier.

Une sinistre affaire visant essentiellement à ramener la loi Avia sur la table. C’est qu’ils ont peur de la voie qui mène à la voix du peuple tous nos p’tits capos aux ordres. Rien ne doit ralentir la concrétisation du PLAN de leurs maîtres de l’ombre. Et comme "Gogol" peut s’avérer très coupant de Vérité pour celui qui la cherche VERITABLEMENT, nos garnements du gouvernement les trouvent décidément très tranchant, ces petits octets du Web pour peu qu’on sache s’en servir !

Alors en représailles à cet acte barbare on peut compter sur notre ministre Darmanin pour gonfler ses p’tits pectoraux gouvernementaux. Notre très récemment promu ministre de l’Intérieur, s’est immédiatement empressé d’expulser plus de 200 personnes. C’est qu’on ne rigole pas dans notre pays pourtant le seul à accepter la « crème » de tous bord sur notre territoire, là où même les Saoudiens et bien d’autres renâclent.

La Gaule est bien le seul pays au monde à provoquer un MONSTRUEUX appel d’air frais à destination de la gueusaille du monde entier au travers de ses aides diverses et variées. Certains, à grands coups de RSA, de CAF et j’en passe ; le tout multiplié à l’infini, comme la DETTE mondiale, en arrivent à se bâtir de vrais cheptels dans leurs pays d’origine.

Partout dans le monde notre pays est perçu comme une incompréhension notoire, un no man’s land de ce qui fut jadis la vraie pensée française. Ce couvre-feu « made in Macron » va finir de tuer ce qui reste des rapports humains dans des zones déjà difficiles et les détruire ailleurs en Gaule. Petit rappel, à l’heure où je rédige, des individus équipés d’armes de guerre se sont affrontés vendredi 16 octobre dans le quartier du Port du Rhin de Strasbourg. La police n’a pas eu le temps de les interpeller en flagrant délit.

La Cocotte-Minute France est à point avec son petit plat bien mijoté, un régal pour un Zemmour et sa clique. En ingrédients explosifs, prenez-donc un pays qui accumule depuis plusieurs années des conflits sociaux violents, un chômage de masse dopé au Covid-19, la pauvreté endémique, les séparatismes identitaires, religieux et ethniques, avec l’insécurité sur fond de guerre larvée entre les différentes communautés détentrices ou pas de la nationalité française.

Mais comme le diront nos dirigeants : « là n’est pas le problème ! ». Le problème pour eux c’est le Gaulois et sa grande gueule qu’il convient de définitivement museler. À ce titre, le masque n’était qu’une mise en bouche, un hors-d'œuvre juste avant la concrétisation mondiale de leur Nouvel Ordre Séculaire.

Ainsi lorsqu’on voit les réactions des politiciens de différents bords, et, finalement, d’encore beaucoup trop de monde face à ce qui devrait relever de la liberté d’expression, on comprend qu’elle n’a jamais été aussi menacée et qu’elle vit vraisemblablement ses dernières heures en Gaule et partout ailleurs. À la suite des attentats du Bataclan ou de Nice, comme à la suite de ceux à Charlie Hebdo ou d’autres encore à venir, tous nos ministres se sont dressés, "comme un seul homme", pour rappeler que la République judéo-maçonnique ne se laisserait pas marcher dessus, scrogneugneu !

Sachant que vivre est dangereux, vivre est mortel, et que l’histoire d’une vie se termine toujours de la même façon, la seule QUESTION qui reste désormais à débattre est de savoir comment nous comptons vivre cette vie face à cette bande de trublions hypocrites. Nous agissons actuellement comme au temps d’avant les lumières, d’avant la science, en plein obscurantisme Moyenâgeux. Allons-nous accepter encore longtemps qu’ils nous coupent le courant ?!

Après un Darmanin qui exhibe la turgescence de ses petits muscles pré pubères, on va vite voir monter au créneau tous les experts de mes deux, les habituelles brochettes d’idiots inutiles pour mettre vite fait en place quelques mesures aussi indispensables qu’en rapport direct avec ce qui vient de se passer. Après la tête d’un professeur d’histoire géographie qui vient de rouler fort bien à propos, ce sont celles de tous ces fous de "conspirationnistes" qui doivent rouler. Tous ces trublions qui refusent la pensée unique et osent encore penser par eux-mêmes doivent disparaître à jamais, du paysage numérique d’abord, puis du paysage tout court pour ceux qui, en "monstres d’égoïsme", refuseront prochainement la vaccination qui nous pend au nez.

Pour qui sait voir, entendre et surtout PENSER, chaque morceau de ce monstrueux puzzle mondial autant que « Covid » à souhait prend désormais sa place au sein de ce grand théâtre pathétique. Argent liquide, liberté d’expression et de déplacement, droit à la vie, etc. Tout se voit magistralement impacté ! Ainsi notre sinistre de l’incompétence notoire, celui qui ne parle pas à l’oreille des chevaux mais distribue à volo des milliards qu’il n’a pas, arrive à la rescousse. Bruno Le Maire rapplique et en profite pour réclamer… une régulation sur les cryptomonnaies.

Notre gouvernement macaron se doit de respecter l’agenda imposé par ses maître. Qu’il soit 21 ou 2030, la mise en coupe réglée du peuple français et des autres ne doit pas être contrariée. Et pour se faire, on peut hélas compter sur toute la coterie de clowns, d’incompétents, de parasites et d’abrutis qui hantent les couloirs dorés de la République maçonnique, de ses institutions et de ses médias grassement subventionnés par nos sous et ceux de Bill Gates.

Ainsi mes amis, je ne saurais trop vous conseiller de faire des réserves de nourriture et de chauffage, car le soleil va s’en mêler. Je vous conseille également la nourriture de l’esprit télécharger un max les vraies infos, les vidéos, et achetez également mes livres papiers. Pourquoi pas ?

Que Dieu vous garde.

Olivier

Tout d’abord il convient de scléroser l’ancien monde dans tous ses domaines. Un bon entrainement préparatif sera de mise. L'exploitation lucrative éhontée d'une pseudo-pandémie testée en 2009 à l'époque du virus H1N1 fera un bon échauffement préliminaire : vente massive aux états d'un médicament inutile, vente massive de vaccins à risque (causant une épidémie d'effets secondaires et handicapant à vie 200 enfants français), tout ceci pour des dizaines de milliards de profits pour Big Pharma.

La peur sera installée grâce à un conditionnement quotidien, une culpabilisation et des sanctions.

Et puisque la piste virale convient à l’élite comme l’indiquent sans rougir le moins du monde et depuis des années des Jacques Attali et des Rockefeller, il faut anémier le système de santé des pays à grands coups de coupes budgétaires dans les ressources. Résultat : les services d’urgence des hôpitaux seront régulièrement engorgés du fait d’infections respiratoires virales, année après année. Préparez les casseroles car la mixture dégage déjà des relents de totalitarisme.

Une bonne couillonade mondiale qui devra conduire la gueusaille au passeport sanitaire, à la vaccination obligatoire… les non-vaccinés, prière de porter une étoile. Mais tout cela nécessite un contrôle monstrueux des populations. Il convient donc de mettre le paquet dans les nouvelles technologies : le numérique, les nanotechnologie et la 5G. Leurs futures applications de traçage permettront d’interdire de rentrer dans les lieux publics à ceux qui, non vaccinés, ne sont pas de bons citoyens. A l’aide des smartphones et des carte vitale, la surveillance sera totale.

Recette proprement dite :

Entretenir DURABLEMENT un état de terreur au sein de la population. Fabriquer de toutes pièces THE problème pour ensuite venir en sauveur proposer sa solution. Eradiquer tout ce qui fonctionnait correctement et durablement. Exit l'hydroxychloroquine, bienvenue à toi Remdésivir en attendant l'achat qui sauve : le Saint Graal. L’acquisition presque pas anticipée par la Commission européenne de 500 000 doses d’un pseudo-remède pour un coût de 850 millions d'Euros d'un médicament approuvé à la hâte, sans données probantes, et dans une inégalité de traitement scandaleuse.  Car en effet, pour la première fois de l’histoire, un vaccin va voir le jour en un an.

Les laboratoires eux-mêmes ont du reste déjà prévenu que les premières versions ne seraient ni les mieux tolérées, ni les plus efficaces !

Les « autorités » confondent volontairement des tests PCR à 40-45 cycles d’amplification avec des cas diagnostiqués de Covid-19 ! Juste de quoi vous donner des milliers de faux positifs afin d’enclencher la pompe à propagande étant donné que les hôpitaux sont vides. Et c’est chiant pour leur PLAN des hôpitaux vides ! Mais ce n’est pas grave, les cons ça ose tout, c’est bien connu ! La manipulation des chiffres est alors SCANDALEUSE.

L’automne et l’hiver sont les saisons propices aux infections ORL et pulmonaires. Nous aurons donc des malades et des morts comme chaque année. Leur décompte, adroitement adossé à la détection systématique du Covid-19, risque ainsi de gonfler les chiffres des « morts du Covid », comme cela a été fait en début d’année 2020. Ce risque d’amalgame est du reste déjà réalisé, favorisé par l’emploi systématique du mot « cas », source de confusion. Les chiffres présentés par le gouvernement sont ainsi ceux des seuls cas positifs.

Arrivent alors en Zorro les zéros du système, les conseillers mis en place dans chaque gouvernement par Big Pharma, l’astucieux financeur des campagnes électorales.

Le rôle de ces vendus, ces fameux « conseils nationaux de sécurité » et/ou « comité de concertation », consiste alors simplement à faire le forcing pour que l'image soit la pire, la plus tragique possible afin de justifier de nouvelles prises de mesures draconiennes confortant le « danger ».

Soyons cynique jusqu’au bout consacrons volontairement quelques lits d’hôpitaux bien à part pour le Covid et faisons-en sorte moyennant le cousinage avec les symptômes grippaux, qu’ils soient toujours en état de saturation proche.

Car, il est un fait que notre mortalité générale française est parfaitement stable, même un peu inférieure à « l’attendu » en ce mois d'octobre, c’est pas de bol !

Brandir une situation normale pour la mi-octobre comme un événement paniquant est le nième non-sens de la gestion catastrophique des pouvoirs politiques et médicaux. Les dommages collatéraux vont être, eux, sans précédent !

Et si vous avez des questions sur l'affirmation de Macron qu'il allait falloir nous habituer à subir des mesures violant nos libertés fondamentales jusqu'à l'été prochain, le lecteur aura compris que c'est à l'heure actuelle l'horizon prévisible de la mise sur le marché et l'imposition directe ou indirecte d’un vaccin, aussi risqué soit-il.

Mais je m’égare, revenons à ma recette !

Une petite pincée d ’absence totale de sens à cette dictature sanitaire apportera la dissonance cognitive nécessaire face aux nombreux appels à la raison lancés par différentes personnalités du monde médical et scientifique.

Tous tendent à prouver que l’épidémie est terminée, que le virus a muté, mais dissonance aidant et peur éclairant, la gueusaille se planque, elle se chie dessus dans l’attente du vaccin salvateur.

En attendant, beaucoup deviennent anxieux, déprimés. Certains culpabilisent de rendre visite à leurs parents, ils craignent pour eux-mêmes ou pour les autres. La possibilité de se rencontrer, d’échanger, de se toucher, disparaît, les lieux festifs ferment etc. Nous développons la société du sans contact. Après que le sans-contact se généralise pour les paiements, il s’immisce dans les relations, y compris familiales.

J’aime beaucoup marcher et de plus en plus je suis sidéré de croiser des individus seul au volant avec un masque, des joggeurs masqués, des masqués en forêt, etc.

Ajoutons à cela le fait que l’école judéo-maçonnique nous a inculqué à coups de burin l’idée saugrenue que les personnes que nous avons élues œuvrent pour le bien commun. C’est un monde idéal, voire idéalisé.

Actuellement, le sens a disparu car tout et son contraire est dit sur le virus, et même les chiffres, éléments objectifs, ne sont plus pris en compte, le peuple étant totalement exclu et n’ayant aucune remarque à formuler. Le gouvernement décide seul, avec le conseil des Zorro scientifique covid-19, de ce qui est bon pour nous, ce qui doit nous protéger, quitte à nous bâillonner, nous enfermer, nous sanctionner, nous tracer, nous exclure de nos emplois.

Privés d’éléments factuels et pertinents pour donner du sens, le gueux est de plus en plus sous emprise. Cet espèce de syndrome de Stockholm développe une sorte d'empathie avec leurs geôliers, les capos du système, une réelle contagion émotionnelle vis-à-vis de ceux-ci, selon des mécanismes complexes d'identification et de survie.

Le port du masque est symbolique, c’est une tentative de muselage des populations. Il n’existe pas de preuve scientifique de son efficacité ; de plus, il est plié, mis, enlevé, remis, rangé dans une poche, bref même s’il était efficace, il serait rendu rapidement inopérant.

Pensez-vous vraiment que passer une journée dans des conditions de privation d’oxygène ne soit pas risqué ? Le masque est inefficace point barre, et il est dangereux. Les témoignages sont nombreux qui rapportent allergies, problèmes respiratoires divers, migraines.

Sous emprise, beaucoup sont donc prêts à agir de façon irrationnelle, à se faire tester pour ne pas risquer d’être dangereux, pour pouvoir travailler.

Des files d’attente se forment ainsi pour des tests qui, dans l’immense majorité des cas, ne servent à rien, la plupart des personnes étant asymptomatiques ; les gens observent avec méfiance ceux qui ne respecteraient pas le port du masque à l’extérieur, alors même que son utilité est quasi nulle.

S’ils sont positifs, alors que nous le sommes pratiquement tous mais en bonne santé, ils se mettent spontanément en quarantaine pour ne pas nuire, empêchant ainsi l’apparition classique d’une immunité collective qu’on pourrait attendre. Et comme à suivre bêtement le troupeau on finit par ne plus voir que des trous du cul, les patrons, les employeurs demandent des tests comme garanties d’agir en bons soldats et font du chantage à l’emploi, faisant fi du secret médical.

De fait, la gueusaille aux abois vivant dans l’ignorance des buts réels recherchés par l’élite s’ajuste perpétuellement à ses dirigeants, pensant qu’elle est responsable de la situation et que, si elle opère les ajustements corrects dans son comportement, la situation s’améliorera. N’y parvenant pas, Syndrome aidant, elle se pense mauvaise, justifie les mauvais traitements et sanctions qui peuvent lui être imposés, se culpabilise et augmente ainsi l’emprise, ou reporte la faute sur le voisin qu’elle sera prompte à dénoncer.

Bientôt peut-être serons-nous arrêté dans la rue car notre masque n’aura pas été positionné correctement. Lorsque je vois la mentalité d’un certain nombre de mes compatriotes, je ne peux m’empêcher de penser : « Quelle est cette police des mœurs qui en plus de la police va émerger, digne des polices islamiques des Ayatollah iraniens ou des talibans afghans ? »

A quand la lapidation publique pour avoir invité chez soi plus de dix personnes ? Masque sur le nez même seule au volant, CO2 aidant, la gueusaille zombifiée perdra Tout. Sa faculté de penser, son identité, s’amenuisent jusqu’à disparaître. Il devient alors très difficile de revenir à l’état initial, celui d’avant la peur et l’emprise. Celui du monde d’avant.

Tout comme la grenouille de l’expérience, timidement et à dose homéopathique, l’homme s’habitue à tout, même à l’horreur. Pour quelques repas ou des pots de Nutella il abandonne, pour la plupart, ce qui faisait de lui un être humain, et bascule avec une déconcertante facilité dans la pire des dystopies. Bienvenu alors dans Soleil Vert, un monde où l’on bouffe les anciens qui ne servent plus à rien. Je n’exagère nullement car notre monde est devenu inhumain.  

Pourquoi ? Parce que les patients malades atteints de pathologies graves qui vont mourir sont évités, y compris par leurs proches, « pour leur bien évidemment », et ils vivent leurs derniers moments dans le plus grand isolement ; les personnes âgées, sous prétexte de protection toujours, doivent être évitées… on les prive de ce dont elles ont le plus besoin. Qu’elles meurent de tristesse est permis, mais surtout pas du virus.

Le monde se porte mal car il est maltraité et la Gaule aussi. Le film d’horreur qui se dessine est un scénario d’où la vie, ou tout ce qui rend la vie passionnante, s’échappe. C’est hélas celui que l’élite nous destine.

Il est alors trop tard, « Bienvenue » dans le Nouvel Ordre Mondial.

Que Dieu vous garde.

Olivier

La meilleure façon d’aider ceux que vous aimez, c’est de les informer. Faite-donc circuler ces articles SVP. Quant à la meilleure façon de m’aider, le contenu de ces articles étant amplement développé dans mes livres, c’est de les faire connaître et surtout les acheter.

Merci d’avance.

Le flicage à la Big Brother s’intensifie chaque jour davantage. Les bruits de reconfinement se rapprochent. Depuis février 2020, YouTube a déjà fait le ménage sur sa plateforme. Selon Google, 200 000 vidéos traitant du Covid-19 et qui contredisent la vaccination y ont été supprimées. Comme je le claironne chaque jour un peu plus, la pression augmente tant sur les gueux que sur les gouvernements. Ainsi, malgré ses surprenants résultats positifs obtenus sans confinement la Suède se voit contrainte d'appliquer les directives mondiales pour endiguer la « propagation » du coronavirus. Les autorités suédoises plient sous la pression et modifient leur stratégie. Ils optent maintenant pour des mesures de confinement, qui seront imposées au niveau local en fonction de situations "concrètes".

Pourquoi j'écris concrètes entre parenthèses ? La réponse se trouve sous vos yeux dans ce graphique.

L’intelligence artificielle fait de plus en plus ses armes, le bébé se fait les dents sur des cas « positifs ». Les applications de surveillance des « cas » de Covid-19 d'Allemagne, d'Irlande et d'Italie sont désormais interconnectées dans le cadre d'un système qui pourrait concerner au total 20 pays européens, a annoncé la Commission européenne, au moment où l'UE est confrontée à la « deuxième vague » de la pandémie.

Cette seconde vague entièrement fictive n’est rien face à la vraie qui arrive et qui sera économique. Avec l'effondrement économique voulu et en cours, les départements français, à qui il revient de gérer les dépenses relatives au RSA, ploient sous la demande qui explose (+20%). Alors que les journaux publient les scores quotidiens de contaminations et les records toutes catégories de générations spontanées de foyers d'infections qui défient les exorcistes médiatiques, les médecins de quartiers, eux, constatent l'apparition massive de cas de dépressions et de crises d'angoisse.

Mais loin de tous les mensonges merdiatiques ce que je vous affirme moi, C’est que ce sont la faim et la détresse qui arrivent à grands pas. Observez-bien les quatre cavaliers de l’Apocalypse sur The Economist 2019. Observez-bien la couverture de ce magazine appartenant aux Rothschild. Ils arrivent et nous font face, nous sommes prévenus !

Pour anticiper les effets pervers de la crise sanitaire planifiée, de très nombreux pays ont initié des stratégies de stockages massifs de denrées alimentaires en particulier de céréales. C’est le cas de l’Égypte mais aussi du Maroc, de la Jordanie, du Pakistan ou même de la Chine. Pendant ce temps là, la France vend ses réserves.

En 1906, Alfred Henry Lewis a décrété « qu’il n'y a que neuf repas entre l'humanité et l'anarchie ». Quant à moi, je termine mon livre Tonton Malthus est revenu ! par cette phrase page 502 : "La Gaïa d’Al Gore est un jeu gore de facteurs en équilibres ou plutôt qui l’étaient ! Et dans les faits, le nombre de bouches à nourrir restera la seule variable d’ajustement. Et croyez-le ou pas, je m’en moque, elle va prochainement s’ajuster."

J’avais hélas parfaitement raison, puisque l’ajustement commence avec la pyramide des âges. J’en veux pour preuve le Décret n° 2020-1262 du 16 octobre 2020.  Il symbolise à lui-seul le retour de l’euthanasie dans les EHPAD avec le Rivotril par injection !

J’évoque clairement les méfaits du Rivotril dans De Mammon à Corona, d’autant plus sous sa forme injectable. Le Rivotril sous forme injectable est mortel quand on est en insuffisance respiratoire. Cherchez l’erreur ?! J'y évoque également les méfaits du vaccin contre la grippe et son incidence excessive sur le taux de mortalité chez nos ainés. Je vais d'ailleurs y consacrer un article complet dans les prochains jours.

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Merci d’avance.

À suivre.

Olivier.

Les autorités sanitaires ont menti au sujet du Covid-19, en partie du fait de leur ignorance quant au virus, sa diffusion et son traitement, mais SURTOUT de manière délibérée. Mammon est le GRAND responsable de ce marasme.

Pourquoi ? À cause d’une volonté délibérée de l’élite de créer un marché pour le vaccin anti-Covid ajouté au fait qu’il est l’heure de prendre le contrôle définitif des peuples. Il y a des milliards en jeu et Big Pharma veut les empocher. Chez nous, on sait très bien quels étaient les soutient financiers à l’élection de Macron.

Lorsqu’il a été mis en place, Big Pharma s’est empressé de le faire entourer par ses « conseillers » du Diable. Les liens financiers entre les autorités de la santé publique et Big Pharma impliquent que l’OMS, et ses tentacules veulent aussi des vaccinations massives. Si la gueusaille n’est pas suffisamment affolée pour demander à se faire vacciner, la vaccination pourrait devenir obligatoire sous peine de l’interdiction de voyager, de travailler, etc. …

Devant la folie ambiante et en parfaite corrélation avec mon livre De Mammon à Corona, des médecins intègres (il y en a heureusement), se lèvent et parlent. Le Dr. Jonathan Freund, urgentiste à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière et professeur à l’université de la Sorbonne, est de ceux-là, il a déclaré récemment : « difficile de rester silencieux quand je vois le délire alarmiste qui envahit les médias et les réseaux sociaux ».

En plus de l’alarmisme fou qui a envahi notre société de castrés au sens propre comme figuré, j’appuie également sur le cas des trop nombreux journalistes qui infantilisent le peuple, et veulent faire punir les français « mal disciplinés » ...

Croyez-moi, mon propos est en parfaite opposition à la folie ambiante, et il n’est certainement contredit par les chiffres vrais. Lorsqu’on n’est pas zombifié par le système, il suffit de quelques minutes d’enquête sur le Web et tout s’éclaire face à leur sombre plan d’illuminés.

Le délire de certains spécialistes en rien sauf en plateau télé et en consultation privée m’exaspère au plus haut point. Ces cons n’ont jamais vu un malade de près ou alors depuis longtemps et en «spécialistes » du COVID, ils nous « apprennent » que l'épidémie reprend alors que rien, hormis les dessous de table de Big pharma, ne justifie ces discours. A part la peur bien entendu sur laquelle surfent tous ces opportunistes en mal de reconnaissance lucrative.

Tous ces épidémiologistes chefs d'entreprise vendeurs de modèles à la solde de Big Pharma nous prédisaient moult décès à la levée du confinement même avec gestes barrières. RAS. Et tous les événements dans le collimateur (fête de la musique, manifestations etc.) n'ont occasionné aucune reprise.

La bête est toujours là, mais considérablement affaiblie. Il y a des nouveaux cas. MAIS, de moins en moins de nouveaux cas hospitalisés ou en réanimation. Alors bien sûr, on arrive à un niveau si bas que nous allons forcément voir des hausses surtout avec des tests inadaptés qui amplifient la moindre trace virale. Quand on est tout en bas, ça ne peut qu'augmenter. Le virus n'est pas mort je le rappelle, il est bien mal identifié et sa p’tite sœur grippale pourrait bien, à cause de son succès mondial, lui prendre sa place et, milliards à la clé, se faire passer pour lui.

Ceux qui ont su déclencher cette mascarade planétaire ne peuvent plus reculer, ils sont démasqués par les individus qui, pour l’heure, se sont réveillés. C’est d’ailleurs le seul effet positif de cette couillonade mondiale. Ne reste plus à cette élite dont Bill le coyote est le fer de lance, que de libérer une bestiole encore plus virulente. Gageons qu’un de leurs laboratoires P4 possède la monstruosité nécessaire à leur sombre projet.

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Merci d’avance.

À suivre.

Olivier

Dans le brevet qu’a déposé Microsoft le 26 mars 2020, il est écrit :

« L’activité du corps humain associée à une tâche fournie à un utilisateur peut être utilisée dans un processus de minage d’un système de cryptomonnaie. Un serveur peut fournir une tâche à un dispositif d’un utilisateur qui est couplé de manière à communiquer avec le serveur. Un capteur couplé de manière à communiquer avec un dispositif de l’utilisateur ou compris dans ce dernier peut détecter l’activité corporelle de l’utilisateur. Des données d’activité corporelle peuvent être générées sur la base de l’activité corporelle détectée de l’utilisateur.

Le système de cryptomonnaie de la présente invention couplé de manière à communiquer avec le dispositif de l’utilisateur peut vérifier si les données d’activité corporelle satisfont une ou plusieurs conditions définies par le système de cryptomonnaie, et attribuer une cryptomonnaie à l’utilisateur dont les données d’activité corporelle sont vérifiées. »

Bref, pour faire plus simple, exploiter le subconscient pour miner des cryptomonnaies, c’est apparemment ce sur quoi Microsoft se penche. Miner de la cryptomonnaie avec son cerveau, Est-ce possible de crypter en utilisant le cerveau ? Oui. D’après le brevet, un capteur placé sur le corps récupère les données de l’activité corporelle : activités cérébrales, flux sanguin et mouvements. Ces données sont ensuite transmises à un serveur afin de miner les cryptomonnaies. En fait, c’est simple, afin de ne pas réchauffer la planète et produire moins de CO₂, le but ici est de remplacer la puissance de calcul d’un ordinateur consommant des watts par l’activité corporelle humaine. Mais l’idée va plus loin, si l’utilisateur peut être appelé de cette manière, effectuer diverses tâches telles que visionner une publicité ou utiliser certains services sur Internet deviendra possible. « C’est d’Enfer » diront les djeuns.

En effet, toute cette technologie en provient ! Chaque onde cérébrale et même la chaleur corporelle émises pendant ces tâches sont ensuite utilisées dans le processus de minage. La cryptomonnaie est créée grâce à un algorithme de consensus, un accord homme/machine, un processus utilisé afin d’assurer la fiabilité des données. Selon le brevet, le capteur pourrait aussi être capable de détecter les différentes ondes cérébrales (Alpha, Beta et Gamma). C'est-à-dire que l’intelligence artificielle (IA) pourrait copuler avec votre esprit en une symbiose grotesque autant qu’incestueuse.

Comprenez et je l’explique sur 40 page dans le tome 2 du Centième gueux, pour ceux qui l’ignorent, les ondes Alpha (8-13 Hz) correspondent à la relaxation légère et au calme et sont donc liées au subconscient. Les ondes Beta (14 Hz et plus) correspondent aux activités courantes plus ou moins intenses de la journée. Les ondes Gamma (au-dessus de 30 ou 35 Hz) sont plus rapides et correspondent à l’apprentissage, la résolution de problèmes, la mémoire, la pensée logique, etc. Le plus glauque c’est que Microsoft indique d’ailleurs clairement que ce travail de taupe à l’intérieur du subconscient de l’utilisateur sera effectué tandis qu’il vaque à d’autres occupations. Le processus est donc réalisé inconsciemment et ce sont les ondes Alpha seront par conséquent les plus utilisées.

Pendant que j’écris ces lignes, ce n’est pas le minage de Microsoft qui me vrille le cerveau, ce sont ces passages de la Révélation chapitre 13 et versets 16 -18 : « Et elle fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front, 17et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom. 18C'est ici la sagesse. Que celui qui a de l'intelligence calcule le nombre de la bête. Car c'est un nombre d'homme, et son nombre est six cent soixante-six.

Etrangement, mais faut-il encore s’étonner avec cette engeance, le brevet déposé par Microsoft possède ces références : WO/2020/060606.

Et depuis quelques années, ce 666 a tendance à se retrouver partout dans nos vies !

Alors, comment va-t-on équiper tous les êtres humains de censeurs qui pourront à la fois détecter le mouvement des bras et des jambes, la position assise ou couchée, l’activité physique de l’activité cérébrale ? Quel est le rapport entre les cryptomonnaies, la 5G et les données corporelles ? Est-ce que le futur vaccin contenant cet ARN génétiquement modifié et dont l’autorisation de mise sur le marché a été voté ce 10 juillet 2020 par le parlement européen n’a pas vocation à modifier notre ADN et le rendre facilement identifiable par un réseau d’intelligence artificielle ?  Autant de questions qui prouvent qu’il est très important de bien comprendre que l’ère dans laquelle nous entrons est inéluctablement celle de l’intelligence artificielle. Beaucoup d’êtres humains n’y trouveront sans doute plus leur place et deviendront obsolètes. Ils seront donc progressivement éliminés.

De la même façon qu’aujourd’hui les chiens robots sont venus progressivement remplacer les soldats à la surveillance frontalière ou en zone de guerre, il est évident que le Capital de demain ne pourra pas garder et payer les gens à la maison à faire du télétravail ou ne rien faire car absolument tout sera remplacé par l’intelligence artificielle. Y compris la police et l’armée et ce n’est absolument pas une fiction. Lisez donc sur ce sujet mon 3^e livre écrit en 2014. Quant aux autres, ceux qui resteront, les augmentés, ils seront tous inéluctablement bio-connectés à une intelligence artificielle qui les gérera ou les éliminera s’il y a lieu de le faire. Ce n’est pas de la science-fiction et nous ne sommes pas dans un film. Tout ceci est la réalité mais il est encore très difficile à la gueusaille de la saisir car la compréhension de l’ensemble du projet s’inscrit dans le temps.

Là où certains ont passé leur vie au bistro, sur des jeux vidéo insipides ou à regarder des série tv qui le sont tout autant ou à avaler des pack de bière à regarder des mecs qui gagnent des millions d’euros taper dans un ballon, d’autres bossaient et disséquaient les infos. On les a minablement affublés du terme « complotistes » ceux qui l’ont fait possédaient et possèdent encore hélas des QI de bulots neurasthéniques desséchés au soleil.

Cette « pandémie » qui a été mise au point par tous ces gens machiavéliques qui décident de l’avenir des peuples et dirigent le monde, n’a rien d’un jeu pour enfant. Comme l’explique l’OMS à travers ses publications et comme le publie le Forum Économique Mondial sur son site, nous sommes en droit de nous demander quelle sera alors l’issue de cette partie finale d’échec qui se joue entre ceux qui veulent nous contrôler d’une part et les « gueux » d’autre part ? Pour répondre à ces nombreuses questions qui pointent du doigt les incompétences et les erreurs des gouvernements dans la gestion de cette crise et cet entretien de la terreur par les effets statistiques via la propagande médiatique, force est de constater qu’il ne s’agit pas d’erreur mais bien de stratégie. J’enfonce encore ici un clou de 110 dans le cercueil de vos certitudes d’utopiste attardé désormais mortes de leur plus belle mort.

Le 18 octobre 2019, au Johns Hopkins Center for Health Security à New York, il s’est sans doute tenu, concernant l’avenir du monde, la réunion la plus importante de toute l’année 2019. Il s’agissait de l’Event 201 organisée en partenariat entre le centre John Hopkins, la fondation Bill et Melinda Gates et le Forum Économique Mondial, avait pour objectif de préparer l’exercice dont parle l’OMS dans son Global Preparedness Monitoring Board de 2019.

La simulation consistait à se préparer à la prochaine pandémie mondiale qui, selon les chiffres avancés, allait provoquer plus de 65 millions de morts sans compter les dégâts incommensurables qu’une telle catastrophe allait provoquer sur l’économie globale : soit une chute du PIB mondial de 11 points. Un nombre que l’élite adore au plus haut point, un simple exemple : en 2009 Attali nous faisait part de son souhait d’une pandémie et plouf, 11 ans après, nous vivons la pandémie du couillonavirus.

Ce qui est intéressant à savoir c’est que tous les gouvernements et la plupart des grands médias de la planète étaient au courant de cette réunion. Seulement tous l’ont fermé et personne n’en a parlé respectant ainsi la consigne. Pourtant cet exercice n’était pas qu’une simulation, c’était une véritable préparation à la pandémie qui allait venir quelques semaines plus tard mais en écrivant cela, j’ai conscience d’être un « complotiste » fou. Pourtant, pourtant, si vous regardez bien le parcours professionnel des VRP qui nous servent de ministres, c'est-à-dire la plupart des  personnages politiques en fonction, vous verrez que la plupart des "sinistres" de la santé viennent presque tous du privé et ont tous des liens plus ou moins étroits avec Big Pharma.

Mais comment ces gens, qui sont censés travailler pour le bien-être et l’intérêt commun des peuples et des nations, peuvent agir en même temps dans l’intérêt des entreprises pharmaceutiques, dont le seul objectif est, comme le disait Kadhafi, de rendre malade les peuples et les nations pour ensuite leur revendre des traitements sous licences 666 afin de faire un maximum d’argent ? Le conflit d’intérêt est flagrant et pue au nez.

Rappelez-vous, car nous l’avons vu plus haut, qu’en cas de crise sanitaire mondiale, comme c’est le cas avec la crise du Covid-19, tous les états membres doivent impérativement accepter de suivre les consignes de l’OMS dirigé par le très controversé, l’Ethiopien Tedros Adhanom Ghebreyesus même pas médecin et envoyé là sur orbite selon le bon plaisir du très « philanthrope » Bill Gates.

La polémique qui entoure sa nomination ainsi que ses premières décisions loufoques ne contribuent à redorer le blason de l’OMS régulièrement critiquée pour son opacité. Par ailleurs, il convient ici de ne pas oublier la lenteur de l’organisme à réagir à l'épidémie de fièvre Ebola qui avait fait plus de 11 000 morts en Afrique de l'Ouest en 2014 et 2015, sous le mandat de celle qui a précédé Tedros durant deux mandats, Margaret Chan, directrice générale de l’OMS entre 2007 et 2017. Elle-même succédait à Lee Jong-wook, mort subitement le 22 mai 2006. Pour en arriver à Madame Gro Harlem Brundtland dont le père, Gudmund Harlem, était redevable à la fondation Rockefeller qui a bien voulu financer ses études de médecine.

La création et la présentation du Conseil Mondial a été officiellement annoncée par communiqué de presse par l’OMS le 24 mai 2018. Son rôle est, en cas de pandémie, de réunir tous les dirigeants du monde et de leur donner les consignes à suivre pour endiguer la pandémie. Sa création est le résultat d’un travail conjoint entre l’OMS et le Groupe de la Banque Mondiale.

Comme toute banque, la Banque mondiale (BM), est une institution financière internationale qui accorde des prêts à effet de levier à des pays en développement pour des projets d'investissement. Fait intéressant, le 28 juin 2017, elle qui est censée aider les pays les plus pauvres de la planète, a eu « l’incroyable idée » d’émettre des obligations des « Pandemic Bonds ». C’est-à-dire des bons obligataires à un horizon de 3 ans basés sur un risque de pandémie.

Idée folle ? Non. Surtout si vous êtes une banque, un fond de pension ou un fond d’investissement et que vous êtes au courant de la manœuvre.  Du pure délit d’initié, lorsque vous savez qu’il va y avoir une pandémie. A votre avis, combien de banque accepteraient de se lancer, de façon hasardeuse, dans l’émission de telles obligations sans avoir la certitude de décrocher le cocotier avant la fin du contrat ? Aucune.

Officiellement, les Pandemic Bonds ont pour but d'associer la puissance financière des marchés à la lutte contre les épidémies, un fonds d'assurance classique, les propriétaires de ces obligations touchant des intérêts annuels versés par des « pays parrains ». Si une pandémie se déclare, les titulaires de ces obligations sont tenus de reverser tout ou partie de leurs investissements à un fonds spécifique de la Banque Mondiale. Ça c’est pour les gogos !

Alors en quoi consiste l’escroquerie ? La Banque vend pour X millions de dollars de bons à des fonds, des sociétés ou des états en misant sur le fait qu’il y aura une pandémie avant le 15 juillet 2020. Ceux-ci fonctionnent comme des contrats d’assurance avec des rendements allant jusqu’à 12%. Si une pandémie est déclarée avant le 27 juin 2020, alors les acheteurs perdent leur mise et une partie de l’argent collecté est reversé aux pays les plus pauvres de la planète. S’il n’y a pas de pandémie, les investisseurs récupèrent leur mise de départ et les intérêts en découlant.

Aujourd’hui, toutes les structures qui ont investi dans les pandemics bonds ont perdu leur mise et les pays les plus pauvres de la planète n’ont pas touchés leurs aides. Les concepteurs indiquent comme cause de non-versement des fonds des critères trop restrictifs qui compliquent le déclenchement du mécanisme d'assurance. Mais pour de nombreux experts, ceux qui étaient à l’origine de la création et de l’émission de ces pandemic bonds étaient au courant du fait qu’il allait y avoir une pandémie en 2020. Quant à Bill le coyote, il a gagné beaucoup d'argent dans l'affaire !

Alors pensez-vous encore un seul instant que le SARS-COV2, qui provoque cette pathologie respiratoire dénommée  Covid-19, est un virus naturel et que personne n’était au courant ? La Chine a-t-elle menti, comme Pinocchio sur la couverture de The Economist, elle qu’on accuse de tous les mots alors que de nombreux Etats font mumuse avec des éprouvettes. Israël essaie depuis la fin des années 90 de se pourvoir d’un virus qui tuerait les Arabes mais pas les Juifs, mais pas de bol, lorsqu’on considère l’ADN commun aux deux communauté, réaliser le grand écart salvateur à l’éradication de l’un mais pas de l’autre relève de l’utopie.

Bizarrement Israël est l’un des pays les plus touché par le Covid-19, de la à penser à l’arroseur …

Peut-être que l’état profond chinois a été complice dans la dissémination délibérée de ce virus ? Peut-être que Fort Dietrich a encore fait des siennes ? Nous ne le saurons peut-être jamais. Mais ce que je sais, c’est que peu importe d’où venait l’agression, elle a été prévue et non naturelle. Trop de preuves en attestent. Ce qui est certain et que vous devez commencer à comprendre, c’est que dans cette ère où l’intelligence artificielle est censée remplacer l’homme, nous irons de surprise en surprise. Le souhait de Bill Gates et des eugénistes est de coûte que coûte contrôler et vacciner toute la planète sous couvert d’avancées humanitaire et philanthropique.

Sur cette photo on peut voir que le père de Bill Gates, il pose avec David Rockefeller et son petit-fils. Il est au milieu et c’est très révélateur. « Trust Stamp » est un projet conjoint de la fondation Bill et Melinda Gates, de la fondation Rockefeller et de Mastercard. Il consiste à vacciner tous les humains sous couvert d’alibis du style lutte contre le blanchiment ou contre le trafic d’êtres humains comme on peut le lire sur l’onglet « humanitaire » du site. Derrière cette hypocrisie de façade et habituelle la réalité est tout autre. Les premières expériences sont déjà en cours en Afrique de l’Ouest. Comme d’habitude également ce sont toujours les plus pauvres qui trinquent d’abord. L’Afrique et l’Inde sont deux terrains de chasse qu’adore notre philanthrope de mes deux… tonton Gates. Y essayer leurs dernières trouvailles laisse peu de trace et quelques dollars suffisent à acheter le silence ou faire « oublier la douleur » chez une famille ou l’enfant sera devenu « grâce » aux vaccins un légume ou un éclopé pour le restant de ses jours.

L’organisation « ID2020 », qui est également le nom d’un autre projet conjoint de vaccination planétaire piloté par Bill Gates et dont les principaux partenaires sont là encore les fondations Gates et Rockefeller, s’engagent à fournir une identité numérique aux milliards de sans-papiers qui migrent à travers le monde.

S’agissant du vaccin, qui est déjà en train d’être massivement inoculé en Afrique et au Bangladesh et qui contient non seulement l’ARN capable de modifier notre génome en temps réel mais aussi les nanoparticules censées interagir avec les réseaux d’intelligence artificielle auquel tous les vaccinés seront connectés, il est impossible dans l’immédiat de prédire quels seront les effets premiers et les effets secondaires.

Mais sachez bien que les laboratoire ont déjà acheté leur impunité face aux dégâts causés par ces vaccins auprès de tous les Etats (194) membres du Conseil Mondial de l’OMS. Du point de vue juridique, les citoyens vaccinés n’auront aucun recours possible pour se défendre car aucune des sociétés qui développent et produisent des vaccins n’est passible de poursuite devant un tribunal de par le monde ni devant une quelconque juridiction. Dans ce domaine, les entreprises pharmaceutiques bénéficient d’une immunité judiciaire sans limite.

Du point de vue technique et pharmaceutique, dans un cas où tout le monde serait vacciné et répertorié selon leur projet ID2020 étendu à l’extrême, nous évoluerions alors dans un système verrouillé tombés aux mains de fous totalitaires. Il serait impossible de se défendre et de se retourner contre ceux qui n’auraient qu’un clic à effectuer pour nous ôter la vie au cas où il nous viendrait l’idée de nous révolter ou de vouloir contester un ordre.

Des preuves ? De nombreuses entreprises travaillent depuis un bon moment sur le contrôle des ordinateurs par la pensée, et d'autres d'interfaces cerveau-machine sont en cours de développement.

Derrière ces recherches aux buts hypocrites pensez-donc à la rétroaction (feedback). Facebook finance ainsi un projet pour traduire en mots l'activité du cerveau, via des algorithmes, afin de « rendre la parole » aux personnes rendues muettes à cause de maladies neurodégénératives. Ils sont sur la piste d'un décodeur qui transformerait les signaux du cerveau en paroles. Il pourrait alors soi-disant servir aux patients incapables de parler à cause d'un AVC ou d'une paralysie.

C’est sur quoi travaille également celui dont la femme va vendre légalement une partie de son âme pour 10 millions de dollars dans une exposition d’art à Los Angeles. Ce fêlé du bocal dont rien ne refroidit les ardeurs veut coloniser Mars et « craint » hypocritement que les technologies d'intelligence artificielle (IA) ne transforment les humains en « chats domestiques » des ordinateurs, seul point sur lequel je le rejoigne dans sa pensée !

Neuralink est ainsi une startup américaine neurotechnologique qui développe des implants cérébraux d'interfaces neuronales directes, cofondée par lui. Le 28 août dernier Elon Musk présentait la puce implantée dans le cerveau d’un cochon cobaye, lors d'une conférence de presse sur YouTube. Connecté aux ordinateurs, l'implant est développé par la start-up du milliardaire, et sert de prototype en vue de développer la version pour les humains qui redonnera la parole et la mobilité aux personnes paralysées. Cet entrepreneur futuriste (Tesla, SpaceX) qui a peur de l’IA n’en présente pas moins l’une des applications. En 2019, déjà, il présentait une puce dotée de fils ultra-fins, pouvant être implantée dans le cerveau par un robot.

De nombreux scientifiques rappellent cependant que le cerveau n'est pas aussi compartimenté qu'on aimerait le croire. L'objectif du fantasque patron, avec cette présentation sur YouTube, était avant tout de séduire et de recruter de nombreux ingénieurs, chirurgiens, chimistes, spécialistes de la robotique et autres. La start-up ne compte qu'une centaine de salariés, mais en espère 10 000 aussi vite que possible, pour relever une montagne de défis.

Ce nouveau modèle, sans-fil grâce à la technologie Bluetooth, se recharge la nuit et mesure la taille d’une petite pièce de monnaie sur 8 mm d'épaisseur. En théorie, la puce ronde sera implantée dans le cerveau sans qu'il y ait besoin de passer une nuit à l'hôpital, et sans laisser de trace, si ce n'est une petite cicatrice sous les cheveux. Elle servira d'abord à traiter les maladies neurologiques. Mais l'objectif à long terme est de rendre les implants si sûrs, fiables et simples qu'ils relèveraient de la chirurgie élective (non urgente). Des personnes pourraient alors débourser quelques milliers de dollars pour doter leur cerveau d'une puissance informatique.

Quant au Département de la Défense américain, il est, par le biais de la DARPA, l’Agence de projets de recherche avancée pour la défense, associé à Profusa, une société de la Silicon Valley qui travaille sur la technologie de l’hydrogel dans le corps, la technologie des nanoparticules dans le corps est également en cours de développement. Rien que le mot DARPA devrait faire dresser les poils chez tout individu connaissant son passé mouvementé d’expérimentation avec des humains d’une manière qui ne peut être qualifiée que de folle.  Une expérience consistait à injecter du plutonium à des personnes.

Les capteurs Profusa sont injectables et ne font alors plus qu’un avec les tissus du corps. Ils transmettent des données à un téléphone mobile et au nuage (cloud)… Ils sont composés d’un hydrogel semblable à un tissu, comme une lentille de contact souple, et sont placés sans douleur sous la peau avec une seule injection afin de surveiller en continue de la chimie corporelle.

Et à nouveau, devinez qui nous retrouvons associée à tout ce « beau monde » : la Fondation Bill et Melinda Gates. Tous désirent mettre en œuvre une technologie qui pourrait contrôler nos esprits et nos corps. Une puce permanente constituée d’un matériau avancé appelé hydrogel relie de manière irréversible les humains au « nuage » Internet.  La puce, de la taille d’un grain de riz, fournit des informations à une base de données sur les changements de la chimie corporelle et d’autres données biométriques.  La société affirme que la technologie sera utilisée pour détecter le COVID dans la population générale, avant l’apparition des symptômes.

Profusa travaille également avec l'Imperial College qui bénéficie lui aussi des largesses de Gates dans le domaine des vaccinations.  Sachez que L’Imperial College est l’institution à l’origine de l’étude malheureuse du professeur Neil Ferguson, qui prévoyait plus de 2,2 millions de morts aux États-Unis sans distanciation sociale. 

La meilleure façon d’aider ceux que vous aimez, c’est de les informer. Faite-donc circuler ces articles SVP. Quant à la meilleure façon de m’aider, le contenu de ces articles étant amplement développé dans mes livres, c’est de les faire connaître et surtout les acheter.

Merci d’avance.

Dernière partie ici : http://vecteur-douceur.over-blog.com/2020/10/petite-vision-dystopique-sur-un-monde-de-fous-comme-dirait-le-professeur-montagnier.sixieme-partie.html

J’insiste beaucoup sur un point depuis le début de la crise du Covid-19 en expliquant que le confinement, lié à la pandémie de coronavirus, a accéléré la mise en œuvre du PLAN. Un rêve de l’élite longuement échafaudé dont l’expression la plus complète émane du dollar US.

Avec son Novus Ordo Seclorum (nouvel ordre des siècles), une devise apparaît en effet sur le revers du grand sceau des États-Unis dessiné en 1782, lui-même repris sur les billets de 1 dollar depuis 1935.

Il vise en effet à établir un « nouvel ordre mondial ». Sous les auspices du Forum économique mondial (WEF), les décideurs politiques mondiaux plaident en faveur d’un « Grand Reset » dans le but de créer une technocratie mondiale. Et à ce titre, il n’est donc nullement anodin que le 18 octobre 2019, à New York, le WEF ait participé à « l’Event 201 » lors de l’exercice de pandémie « de haut niveau » organisé par le Centre John Hopkins pour la sécurité sanitaire.

Tous ces faits sont d’ailleurs relatés dès les premières pages de mon petit livre De Mammon à Corona.

http://vecteur-douceur.over-blog.com/2020/06/de-mamon-a-corona-comment-en-est-on-arrive-la.html

Dans ce plan, la technologie joue un rôle prépondérant en tant que nasse au sein de laquelle la gueusaille mondiale sera définitivement prise au piège. Le WWW, a été institué en tant que toile d’araignée numérique dans ce seul et unique but. Des individus comme Bill Gates, Elon Musk et Mark Zuckerberg, le fondateur et PDG de Facebook ont un rôle prépondérant à jouer sur l’échiquier mondial. Ne soyez donc pas étonné lorsque tonton Bill est accueilli mieux qu’un chef d’Etat sur le perron de l’Elysée.

Cette technocratie implique une coopération étroite entre les responsables de l’industrie numérique et les gouvernements.  Pourquoi ? Afin de fliquer chaque aspect de nos vies avec des programmes tels que le revenu minimum garanti auquel vous aurez droit si vous êtes un bon toutou, et les soins de santé pour tous, etc.

Ce nouveau type de gouvernance qui émerge désormais à grande vitesse combine un contrôle sociétal strict avec la promesse d’une « justice sociale » complète.

Cette version, vous l’aurez compris, ne sera avalée que par les trop nombreux mous du bulbe. La vérité est que ce nouvel ordre mondial de tyrannie numérique s’accompagnera d’un système de crédit social complet à la chinoise. Nous n’étions déjà qu’un simple numéro de sécurité sociale, mais bientôt, leur souhait est que notre identité soit réduite à une simple application ou une puce qui enregistre toute notre activité personnelle. Si vous en doutez encore, lisez donc un de mes précédents articles : http://vecteur-douceur.over-blog.com/2020/10/vers-la-prison-pour-des-milliards-d-humains.html

Le mot d’ordre afin d’avoir encore accès à un certain « bien-être » sera donc la soumission à un ensemble de règlements qui définissent en détail ce qui constitue pour eux un « bon comportement » et est considéré comme bénéfique pour l’humanité et l’environnement afin d’avoir accès à des privilèges apparents. L’exemple le plus flagrant est le couillonavirus.

On nous culpabilise si nous ne respectons pas des règles sanitaires toutes plus loufoques les unes que les autres sous prétexte de mettre la santé d’autrui en danger. Ce type de contrôle MENTAL relève de l’ingénierie sociale poussée à son plus haut point. Il s’étend de l’obligation de porter un masque et de pratiquer la distanciation sociale à celle de recevoir le saint graal vaccinal afin de pouvoir postuler à un emploi ou de voyager.

L’ingénierie sociale est le parfait reflet de nos sociétés glaciales où tout n’est que bien à consommer, une vision purement horizontale du monde dénuée de toutes spiritualité. L’individu y est vu comme une machine propre à être disséqué. L’ingénieur social, ou technocrate, une nouvelle race de fainéant comme dirait Coluche, traite la société comme un objet. Comprenez ici que notre société n’est certainement pas l’apothéose de la science, mais plutôt celle du cynisme et du machiavélisme poussé à son plus haut degrés de perversion.

Staline et Hitler doivent se retourner chacun dans sa tombe, de concupiscence, tant à la différence des éliminations brutales de leurs totalitarismes d’autrefois, l’ingénieur social moderne va, en fin stratège hypocrite, essayer de faire fonctionner la machine sociale par elle-même. Il le fait selon la conception qu’il en a, ou plutôt qu’une éducation judéo-maçonnique lui aura inclus style MK Ultra sur les bancs des universités et des facultés financées par l’élite. Des facultés qui ont donc pour but de vous ôter toute faculté, notamment celle de réfléchir par vous-même tant la pensée unique sera venue des années durant vous vriller le cerveau.

La théorie comportementale a atteint un stade de connaissance qui rend possible les rêves les plus fous de l’élite. C’est normal durant des dizaines d’années il y ont consacrés des fortunes. Il est donc l’heure du juste retour sur investissement. Les machinations de l’ingénierie sociale n’opèrent donc pas par la force brute, mais subtilement par des coups de pouce « Covid-19 ». Il n’est qu’à observer le comportement sournois de nos dirigeants qui, depuis longtemps et du fond des loges, ont appris à dire noir et faire blanc, ou l’inverse. En vue du plan, l’ingénieur social doit ainsi appliquer les lois de la société comme le mécanicien suit les lois de la nature.

Depuis le sommet de Davos on nous a parlé d’un événement qui fera mouiller la petite culotte de Christine Lagarde, madame 777. J’y ai d’ailleurs consacré un article :

http://vecteur-douceur.over-blog.com/2020/08/vous-allez-pleurer-la-remise-a-zero-du-systeme-arrive.html

Je veux parler de la GRANDE remise des compteurs à zéro pour les idiots, c'est-à-dire nous, pendant que 0.01% de la population, toujours les mêmes s’en mettra plein les fouilles de monnaie virtuelle. Mais surtout, l’argent ne faisant pas le bonheur mais y contribuant fortement, selon l’ordre envisagé par leur « Grand Reset », il ont aussi pensé au bonheur, mais le leur ! Comment ?

En éradiquant plus de 90% de la population grâce au vaccin contre le couillonavirus. Ceux qui survivront seront pucés et aptes à recevoir les directives du sommet de la pyramide, l’œil qui voit tout. Ils en seront tous devenus les p’tits robots 666.

Leur foutu progrès technologique "d’enfer" n’est certainement pas destiné à servir l’amélioration des conditions du peuple, mais bel et bien à soumettre l’individu à la tyrannie d’un État technocratique. « Les experts savent mieux », telle est la justification qui prône déjà et qui prochainement deviendra éclatante de vérité si nous ne réagissons pas comme UN SEUL HOMME (j’ai encore le droit de rêver).

Créé en 1971, Davos, le WEF, le Forum économique mondial si vous voulez, est devenu depuis lors THE événement mondial. Cette année, plus de trois mille dirigeants du monde entier y ont participé. Et l’ordre du jour indiquait CLAIREMENT que l’agenda de leur Grand Reset arrive en phase finale de transformation. C’est une MONSTRUEUSE mutation industrielle, économique et politique de la société qui grâce à couillonavirus se profile. Une telle transformation globale nécessite l’altération du comportement humain, et donc la « transhumanisation » fait partie du programme.

Traduction : ils sont arrivés au terme de leurs malversations désormais trop visibles. Il faut un fusible, un coupable face à toute cette dégradation de nos écosystèmes engendrée par leur frénésie à toujours gagner d’avantage au détriment des gueux. Ainsi, après nous l’avoir mis bien profondément depuis le début de l’ère industrielle, il convient de blâmer les pollueurs payeurs qu’ils ont su faire de nous. La solution ?  Nous faire TOUS marcher  au pas avec une puce dans le cul.

Le Grand Reset sera donc le thème de la cinquante et unième réunion à Davos en 2021. Son ordre du jour est l’engagement à faire évoluer l’économie mondiale vers « un avenir plus juste, plus durable et plus résistant ». Le programme appelle à un « nouveau contrat social » centré sur l’égalité raciale, la justice sociale et la protection de la nature. Bla bla bla, blabla bla !

Le CO2 constituant la seule variable d’ajustement à laquelle ils pensent comprendre quelque chose. Ils vont donc ajuster jusqu’à un point où la gueusaille va se sentir vraiment, mais vraiment à l’étroit sur la Gaïa de ce prophète de malheur, al Gore. C’est un monde bien gore qu’ils nous concoctent dorénavant, croyez-moi.

Ils ne parlent plus de réchauffement, mais de changement climatique qui vont nous obliger à « décarboner l’économie » et à mettre le comportement humain « en harmonie avec la nature ».

Ça pue les Georgia Guidestones à plein nez. L’objectif est de construire « des économies plus égales, plus inclusives et plus durables ». Ce nouvel ordre mondial doit être mis en œuvre «d’urgence », affirment les promoteurs de Davos, et ils soulignent que la pandémie « a mis à nu la non-durabilité de notre système », qui manque de « cohésion sociale ».

Et c’est là que les Athéniens s’atteignirent et que les ingénieurs sociaux de l’élite bandent de joie. Les partisans du Reset affirment en effet que l’ONU n’a pas réussi à établir l’ordre dans le monde et n’a pas pu faire avancer avec force son programme de développement durable connu sous le nom d’Agenda 2030. On comprendra ici que, même entre eux, ces cloportes maçons ne sont pas d’accord sur le minutage du plan. Certains plus pressés que d’autres reprochent donc à l’ONU, ce repère de francs-maçons, de jouer les colimaçons.

De fait, les idéologues de Davos ne sont ni de gauche ni de droite, ni progressistes ni conservateurs, ni fascistes ou communistes, mais carrément technocratiques. Ils envisagent donc un profond bouleversement à brève échéance. Je préviens depuis suffisamment longtemps et d’autres l’ont fait bien avant moi, le délai sera si court que la plupart des gens auront du mal à se rendre compte qu’une révolution est en cours. Ainsi n’auront-ils pas le temps de se mobiliser contre elle.

Nos aïeux ont connu des révolutions : de la Révolution US à la française, la Révolution russe et chinoise. L’idée de base du Grand Reset surfe sur le même principe qui a guidé ces transformations radicales : succéder à un certain état en instaurant l’Etat. Mais désormais la grande question est : qui va diriger ces fameux Etats devenus déficients et endettés jusqu’aux trous de nez ?

Les plus éveillés le savent, l’État lui-même ne gouverne pas. C’est déjà un instrument de pouvoir. Ce n’est pas l’État abstrait qui décide, mais les dirigeants de partis politiques spécifiques et de certains groupes sociaux eux-mêmes dirigés par la main qui donne. Les régimes totalitaires précédents ont eu besoin d’exécutions massives et de camps de concentration pour maintenir la gueusaille en place. Aujourd’hui, grâce aux nouvelles technologies, les dissidents, dont votre serviteur s’honore de faire partie, peuvent être facilement identifiés et marginalisés. Les non-conformistes seront réduits au silence en disqualifiant les opinions divergentes comme étant moralement méprisables.

Tu ne veux pas porter de masque, tu refuses de te faire vacciner, tu n’es qu’un inconscient égoïste. On va te retirer tout tes points et tu ne pourras plus ni acheter ni vendre puisque tu refuses la marque de la Bête.

« C'est ici la sagesse. Que celui qui a de l'intelligence calcule le nombre de la bête. Car c'est un nombre d'homme, et son nombre est six cent soixante-six. », Apocalypse 13 :18.

2020 (666-666) nous a offert un aperçu du fonctionnement de ce système. Le confinement a fonctionné comme s’il avait été orchestré puisque c’est le cas. Tous les gouvernements du monde, riches comme pauvres, ont suivi un seul commandement. Ils ont mis en œuvre des mesures presque identiques, à l’unisson, mais ils ont également appliqué ces mesures sans se soucier des conséquences socio-économiques terribles d’un confinement mondial.

C’est toujours le même principe qui opère : ceux qui créent le problème viennent ensuite en sauveur avec la solution à un problème qu’ils ont eux-mêmes instaurés. Ainsi, en bons capos de l’élite, les gouvernements ont tout d’abord détruit les moyens de subsistance, puis les politiciens se sont présentés comme les sauveurs. La demande d’aide sociale n’est plus limitée à des groupes spécifiques, mais est devenue un besoin des masses. La suite sera les petits points à la chinoise. La peur est cohésive, elle fédère tout le monde comme un seul homme face à l’ennemi.

Aujourd’hui, c’est la peur de la maladie et d’un ennemi invisible qui fédère la gueusaille. Ce qui nous attend, ce n’est pas l’apparente convivialité d’un État providence global et bienveillant, avec un revenu minimum garanti, des soins de santé et une éducation pour tous. Le confinement et ses conséquences nous donnent un avant-goût du tableau et de ce qui nous attend : un état de peur permanent, un contrôle comportemental strict, des pertes d’emploi massives et une dépendance croissante vis-à-vis de l’État.

Le quatrième de couverture de mon livre De Mammon à Corona résume ainsi le bouquin et notre situation actuelle : « Ce qui nous a été inculqué de notre passé permet à une élite putride de répéter indéfiniment le mensonge historique. Avec la bouffonnerie perverse du COVID-19, nous avons franchi un nouveau cap, laissez donc un autre Cape vous le prouver ! »

Sans résistance populaire, la fin de la pandémie ne signifiera pas la fin du confinement et de la distanciation sociale. Toutefois, à l’heure actuelle, les opposants au nouvel ordre mondial comme moi ont toujours accès aux médias et aux plateformes pour exprimer leur désaccord. Pourtant, le temps presse. L’élite est aux aguets, elle est allée trop loin et sait que la moindre erreur pourrait lui être fatale. Déclarer le coronavirus comme une pandémie s’est avéré utile à la concrétisation définitive de son PLAN.  Le programme du Grand Reset est donc là, face à nous dans quelques mois, pour 2021. Seule une opposition massive à des Dark Vador comme Bill Gates peut ralentir et enfin arrêter l’extension de l’étoile noire et de sa technocratie tyrannique qui monte.

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Merci d’avance.

Que Dieu vous garde.

Olivier

Le confinement prolongé et le cortège de restrictions-interdictions du au coronavirus a été une expérience de laboratoire pour un avenir sans humanité. Le but étant la suppression à très court terme de tout ce qui faisait que la vie valait le coup d’être vécue !

Néanmoins, pendant que tout s’accélère autour de nous, la presque totalité des Gaulois continue à dormir d’un sommeil de plomb. Et du plomb il en faudra afin de nous protéger de ceux qui, transhumanistes à souhait, veulent nous irradier ou plutôt nous pucer.

Science-fiction que tout cela ? Les passagers de United Airlines et de Cathay Pacific qui quittent l’aéroport d’Heathrow vont commencer à tester un nouveau « passeport Covid » qui, à l’avenir, permettra de vérifier si une personne a été vaccinée, pour être autorisée à voyager.

Nous y voilà ! La seule et unique raison de toute cette couillonnade n’est que de nous fliquer à l’extrême. Et pour ce faire, rien de mieux qu’une bonne dose injectable de nanoparticules. Cette technologie, appelée « CommonPass », permettra au gueux de voyager sans être mis en quarantaine s’il télécharge sur son téléphone une application contenant un test COVID négatif ou un certificat de vaccination, rapporte le Daily Mail.

Tout ceci nous ramène une fois encore à Davos puisque l’opération est supervisée par la Commons Project Foundation, qui fait partie du Forum économique mondial ceux qui vont prochainement nous imposer le Grand Reset pour 2021.

« Sans la possibilité de faire confiance aux tests COVID-19 – et éventuellement aux dossiers de vaccination – à travers les frontières internationales, de nombreux pays se sentiront obligés de maintenir des interdictions de voyage complètes et des quarantaines obligatoires aussi longtemps que la pandémie persistera », a déclaré le Dr Bradley Perkins, médecin en chef du Projet Commons.

Je l’ai déjà mentionné il y a quelques jours, les Anglais seront certainement les premiers à être vacciné de force. Un député conservateur britannique, Tobias Ellwood, a exhorté Boris Johnson à faire appel à l’armée pour expédier les vaccins dans tout le pays et à mettre en place des centres de distribution régionaux ainsi qu’à développer une « base de données nationale pour suivre les progrès et délivrer les certificats de vaccination». Il a déclaré que les certificats de vaccination «devront probablement être reconnus au niveau international afin de permettre les voyages, les voyages internationaux ».

N'oublions pas notre Christian Estrosi national, le maire de Nice, pourtant rapidement soigné et guéri à l’Hydroxy chloroquine qui a également demandé que les citoyens soient tenus d’avoir un «passeport de santé » s’ils souhaitent voyager, tandis que l’Allemagne envisage également d’exiger des « cartes d’immunité aux coronavirus » qui permettraient à ceux qui ont développé des anticorps contre le Covid-19 d’avoir plus de liberté que les personnes non encore infectées.

Tout ceci m’amène donc au cœur de la tourmente, ou plutôt au cœur de cette article. Le 26 mars 2020, au plus fort de la pandémie et en plein confinement, Microsoft s'est vu accorder un brevet par l'Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI). Le brevet WO 060606 déclare que « l'activité du corps humain associée à une tâche donnée à un utilisateur peut être utilisée dans un processus d'extraction d'un système de cryptographie monétaire… ».

« L'activité corporelle » telle que la voit Microsoft comprend : les radiations émises par le corps, l’activité cérébrale, la circulation des fluides corporels, l'activité des organes, les mouvements du corps, bref, tout ce qui peut être détecté et représenté par des images, ondes, signaux, etc. réfléchissez bien au fait que ce brevet est une revendication de propriété intellectuelle sur notre corps et notre esprit. WO 060606 est une déclaration de Microsoft selon laquelle nos corps et nos esprits sont ses nouvelles colonies de l'empire numérique.

Mais ce n'est pas la totalité de la vision de M. Gates. En fait, il est encore plus sinistre de coloniser l'esprit, le corps et l'âme de nos enfants avant même qu'ils aient la possibilité de comprendre à quoi ressemblent la liberté et la souveraineté, en commençant par les plus vulnérables.

Beaucoup de fous du transhumanisme qualifient Gates de visionnaire. Certains commencent même à affirmer que la pandémie a créé « un moment de l'histoire où nous pouvons réellement intégrer et faire avancer les idées de Gates... ». Et parmi ses idées, l’enseignement n’est nullement épargné. En ré-imaginant l'éducation, les enfants seront suivis par des systèmes de surveillance pour vérifier s'ils sont attentifs alors qu'ils sont obligés de suivre des cours à distance, seuls à la maison. La dystopie est une situation où les enfants ne retournent jamais à l'école, n'ont pas la possibilité de jouer, n'ont pas d'amis. C'est un monde sans société, sans relations, sans amour et sans amitié.

Dans mes écrits, j’évoque le monde de Gates ou plutôt son Enfer sur terre. J’y vois une gueusaille style Soleil Vert qui se polarise encore davantage en un grand nombre de personnes « jetées » qui n'auront pas leur place dans le nouvel Empire de ce Dark Vador de pacotille. Quant à ceux qui seront inclus dans l’étoile noire ce ne seront guère plus que des esclaves numériques à la solde d’une minuscule élite « branchée ».

Bien évidemment, certains salivent à s’imaginer dans cette dystopie. Chaque pays sur cette planète possède ses fous de technologie, ses eugénistes forcenés à la solde d’un progrès luciférien. En France, nous avons « la chance » de posséder notre épouvantail du transhumanisme, en la personne de Laurent Alexandre, haut fonctionnaire et médecin de formation. Ecoutez-le parler, cela vaut son pesant de cacahuètes !

Celui-là a gobé tous les délires idéologiques de tonton Gates, Mark Elliot Zuckerberg, Elon Musk, etc. Il personnifie à merveille la déshumanisation qu'entrainera, sans notre vigilance, l’entrée dans ce futur très proche, dont je rappelle que la clé est l'identification numérique corporelle implantée, ce sombre objet du désir des GAFAM et de la haute finance que Big Pharma a pour mission d'imposer au monde.

La meilleure façon d’aider ceux que vous aimez, c’est de les informer. Faite-donc circuler ces articles SVP. Quant à la meilleure façon de m’aider, le contenu de ces articles étant amplement développé dans mes livres, c’est de les faire connaître et surtout les acheter.

Merci d’avance.

À suivre. 

Olivier