« Bankable ? » (Partie 3)
Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/03/bankable-partie-1.html
MANUEL DE SURVIE CONTRE TOUS LES MEFAITS D’EM. MANUEL
À l’attention de l’ex-Gilet jaune devenu, par la force des choses, pourfendeur de 49.3.
Savez-vous quel est le mot d’ordre des mondialistes ? Dans tous les domaines, c’est « Goupiir » et ceux qui sont à la traine doivent mourir. Il n’y a de place que pour les plus gros, c'est-à-dire les plus pourris. Alors, à la question y a-t-il une volonté mondiale, globale, de jouer le chaos pour obtenir des bénéfices encore mal identifiés aujourd’hui ? La réponse est OUI.
Chez nous, en Gaule occupée, il n’est qu’à observer la stratégie de Macron sur les retraites (si l’on admet l’hypothèse que la France est un pays « TEST » pour l’Occident) et en décryptant la stratégie des banques centrales en matière de taux d’intérêt, qui ont vocation à déstabiliser les marchés financiers et l’équilibre bancaire dans le monde.
Lorsqu’au vu de la situation déjà explosive économiquement, vous apprenez que l'Etat a obligé les grands groupes de distribution à augmenter leurs prix et faire plus de bénéfices, ça ne signifie qu’une chose. Leur mot d’ordre : Ordo Ab Chaos. Ils viennent d’appuyer sur le bouton. Et, en France, ce chaos provient de la stratégie jusqu’au-boutiste de Macron. Aux Etats-Unis, comme en Europe plus généralement, elle vient des banques centrales qui jouent la ruine des épargnants plutôt que leur préservation.
Au même titre que le Français constitue une langue de révélation, mes chers cons-citoyens, la France est aussi le pays TEST. « Si ça marche chez nous, ça marchera partout ! », se dit l’élite. C’est d’ailleurs pour cela qu’on s’en prend plein la gueule depuis 2018, et bien plus.
Bref, le relèvement des taux n’est sans conséquence pour le système financier. En plus de tout ce que je vous explique, allié à un krach immobilier sans nom, il nous mène tout droit à une crise majeure de l’assurance-vie en France dans les six mois.
Pour le Gilet jaune occupé à gagner sa croute, tout cela c’est du chinois et relève du mystère. C’est bien pour cela que je me suis évertué à vous concocter cette série d’articles en termes, je l’espère, clairs. Chose que moult économistes évitent de faire pendant que, pire, la presse subventionnée par vos sous s’emploie à endormir les consciences.
Croyez-moi ou pas, mais après une dernière période bronze cul à peu près potable, tous les ingrédients seront réunis pour un automne financièrement tragique.
D’ailleurs 2021+2022+2023, ça fait 6066, le nombre de la Bête, l’emblème mondial de ceux qui nous considèrent toutes et tous comme du bétail, des goym.
Nous avons affaire à une cabale de Kabbalistes pour qui certains nombres et chiffres sont sacrés. D’ici là, il faudra regarder attentivement l’évolution des marchés. Suivant le souhait du vieux Schwab, son rêve sous acide (poussières intelligentes), les banques centrales occidentales agissent toutes en pyromanes. Elles viennent de faire le choix de la crise systémique ; celle qui « Great Reset » tout. Pourquoi ? Afin de justifier l’arrivée du contrôle total.
Pour justifier la mise en place de monnaies numériques. En effet, la mise en place d’une nouvelle monnaie numérique fonctionnerait mieux si l’ancienne monnaie ne valait plus rien et rimait avec un désordre maximal à la française.
Si Macron a confirmé sa stratégie gagnante de ne rien changer, grâce à laquelle il s’est mis le pays à dos, c’est à dessein. Celui du chaos orchestré, choisi non pas par lui, sombre marionnette, mais par ses pairs ; les pontes de Davos, Klaus Schwab en tête.
Plus personne ne doit pouvoir échapper au racket international. Nous devons chacun être un bout de viande juste capable de justifier tout et n’importe quoi par le biais d’un paSS SS.
Jusqu’à la fusion ultime, où nous deviendrons chacun la monnaie de singe. Plus d’argent au black, toute transaction, aussi petite soit-elle, doit pouvoir être tracée, contrôlée. D’où cette mise à mort de toutes ces cryptos qui semblaient encore pour certains un îlot refuge contre la mafia des banxters apatrides.
Et à ce jeu, croyez-moi, le con-tribuable va se faire fourrer comme le dindon qu’il est depuis des décennies. En effet, l’agitation frénétique qui s’empare des marchés et qui tue les plus faibles ne peut aboutir essentiellement qu’à une concentration (groupiir) de ces banques.
Comme d’habitude, les gros dévorent les moyens et chient sur les petits. Ne restera alors, et pour le grand plaisir de l’élite, que les « Too Big To Fail » quelques banques sélectionnées que les États auront choisi de sauver.
Et à ce jeu de quilles, le paysage bancaire et tout ce qui en découle va très, très vite changer, et pas pour les beaux yeux de la gueusaille. On comprend mieux, dès lors, l’emploi pas toujours subtil de lois instaurant des barrières artificielles à l’entrée d’un nombre croissant de marchés pour éliminer les petites entreprises, la guerre quasi-ouverte aux indépendants, aux fermiers, aux petits artisans et aux commerçants de taille modeste.
En effet, du point de vue de nos élites, il est bien plus simple de n’avoir affaire qu’à de grosses entités, en petits nombres et aux têtes facilement identifiables. Voilà pourquoi dans ce jeu de dominos visant à tuer les plus faibles, la concentration bancaire qui s’en vient à toutes jambes est le rêve bénit pour nos dirigeants qui souhaitent de tout cœur se débarrasser de l’argent liquide et instaurer enfin un moyen de traçage permanent, ultime et complet de toutes les transactions commerciales pour le moindre quidam en Occident.
Voilà pourquoi la monnaie numérique de banque centrale, ou Central Bank Digital Currency (CBDC) Tracker, la forme numérique de l’argent fiduciaire, constituera l’apothéose du Globalisme.
Cette monnaie électronique ne doit provenir que d'une banque centrale. La « monnaie fiduciaire » étant établie par réglementation gouvernementale, l’autorité monétaire ou la loi. C'est-à-dire, après tout ce que nous venons d’étudier, par les banxters apatrides.
Ce projet bénéficierait d’un nombre volontairement limité de banques assujetties aux projets politiques d’asservissement global de certaines de nos « élites ». Dès lors, il va de soi que les cryptomonnaies sont un pavé dans leur mare. Ces dernières, non contrôlées par les banquiers, indépendantes des systèmes bancaires actuels, permettent (théoriquement) un affranchissement complet de l’individu des griffes de l’État, au même titre que l’or ou l’argent.
C’est donc sans surprise que ces mêmes cryptomonnaies subissent actuellement une véritable bordée de règlementations de la part des principales autorités financières dans le monde.
Et à ce jeu de dupes, FTX aura constitué un fusible de choix. Cette société crypto aura servi de pot à confiture durant la campagne sale de Biden. Et, bien que lui ayant servi de nombreux pots de vin, Biden et ses maîtres de l’ombre n’auront pas hésité un seul instant à chier dans la main que cette société leur aura tendue.
Pensez-vous un seul instant que ce soit un hasard si, parmi les banques américaines qui viennent de tomber, on en trouve deux (Silvergate et Signature) qui offraient des passerelles avec des cryptos pour le quidam ?
Voilà pourquoi, tout comme ce qui concerne nos PME, nos artisans, nos agriculteurs, etc., les autorités qu’elles soient américaines et européennes (c’est pareil) ont récemment redoublé d’effort pour tenter de ramener toutes les transactions avec ces nouveaux supports dans le giron des banques et des institutions étatiques dont les politiciens ont le contrôle.
Chez nous, l’UE est la spécialiste des usines à gaz, sans gaz russe, pour lancer tout un paquet de règlementations afin de rendre tous les marchés ainsi que ceux des cryptos, encore plus complexes et difficiles d’accès à l’individus lambda.
C’est donc avec le plus de fermeté possible qu’il faut tuer ce nouveau secteur, ces nouveaux marchés et ces nouvelles libertés auxquelles l’individu risquait de s’habituer un peu trop.
Toute crise, tout conflit, sert immanquablement à resserrer les mailles du filet mondialiste.
Ainsi, c’est sans surprise, que les propositions de « règlementation » (sabotage) continuent de pleuvoir. Et à ce jeu, tout ce qui va contribuer à excéder les peuples sert fortement l’option Ordo Ab Chaos. Voilà pourquoi, je le répète, il convient d’être prudent.
Pas de violence, mais un rejet intelligent de tout ce numérique.
Les règles qui avaient été posées après les crises de 2008 (mondiale) et de 2012 (Europe) ont si bien fonctionné qu’il serait dommage de s’en passer ailleurs, n’est-ce pas.
La scène de guerre se met donc en place avec ses tranchées. D’un côté nous aurons une concentration des banques et leur tentative d’imposer des CBDC, l’outil ultime de l’asservissement. De l’autre, nous allons trouver des Etats anémiés par la DETTE avec des institutions socialo-étatique mourantes et des peuples qui le seront tout autant.
LA SEULE SOLUTION, C’EST LE SAVOIR, LA CONNAISSANCE. Un simple exemple ci-dessous.
Car le Chaos recherché et entretenu constitue, à mes yeux de « complotiste », la seule raison possible. Après une grève historiquement longue en 2019 et 2020 contre sa première réforme, Macron a réitéré sa connerie ou plutôt, dirais-je, l’exploit commandité par ses pairs de bloquer le pays avec une deuxième réforme encore moins bien pensée que la première.
Tout va très vite, de plus en plus vite, et de manière très lâche. Nos dirigeants sont, pour la plupart des vendus. Sur ce fait, je ne vous apprends rien ou du moins, j’ose l’espérer.
L’article 7 de la loi sur les Jeux olympiques vient d’être adopté par l’Assemblée. Tout comme les confinements étaient censés nous protéger, il acte à dessein l’entrée formelle de la vidéosurveillance algorithmique (VSA) dans le droit français, jusqu’en décembre 2024.
À l’ombre du tumulte de la réforme des retraites, et grâce à une procédure comme d’habitude extrêmement rapide et lâche, le gouvernement a réussi à faire accepter une des technologies les plus dangereuses jamais déployées.
L’hypothèse d’un bras-de-fer généralisé entre les peuples et l’élite n’est plus de nature « complotiste » comme tout ce que les objecteurs à la doxa expriment depuis déjà longtemps, dans les limbes. C’est désormais du concret, comme la vaccination mortifère.
Tout cela obéit à une stratégie intentionnelle, celle d’une division, d’un clivage systématique, d’un choc organisé, pour mettre les populations sous tutelle mondialiste. D’ici là, il est sûr que les classes moyennes doivent faire attention.
Le désordre pourrait être la cause d’une déstabilisation profonde en France, avec des conséquences financières dramatiques.
Eurocorps veille et la crise des taux pourrait en ruiner beaucoup. Seuls les hedgefund possèdent le luxe de pouvoir se dire : « Pas vendu, pas perdu ! », un luxe qui échappe totalement aux petits porteurs. Et justement, s’ils bénéficient tous de ce luxe, c’est parce qu’ils savent cacher et parfois très longtemps au détriment des petits porteurs. C’est d’ailleurs ainsi que beaucoup de banques, de multinationales et de fonds spéculatifs, arrivent à cacher leurs pertes abyssales sur dix ou quinze ans.
N’oubliez jamais le SCANDALE du groupe Olympus, au Japon. Il avait caché des pertes monstrueuses à ses actionnaires en réalisant des montagnes à gaz de montages financiers qui, gaz aidant, ont tous fini par péter.
Acheter une société bidon, une coquille vide, pour l’accuser ensuite d’avoir dévalué causant d’énormes pertes à la société mère, ne constitue que l’un des nombreux subterfuges dont disposent tous ces crocodiles des iles Caïmans et d’ailleurs. Par contre, si toi tu as mis de l’argent dans cette baudruche, ça fait prout !
Les cabinets d’audits ça sert à ça ! Faire passer par les chiottes des pertes qui puent un peu trop et sont donc gênantes pour le business. C’est d’ailleurs le sport international du capitalisme mondial.
Tout ce petit monde dépend en fait des banques centrales qui fixent le tempo ou plutôt le taux et son étau. Si vous avez accès à du capital pas cher avec une boite néanmoins pourrie pas de problème.
Un des meilleurs exemples afin d’étayer mon propos et j’y reviens, c’est celui de Patrick Drahi dont je parle dans le tome 1 du Centième Gueux. Si tu fais partie du club très fermé des banques et multinationales qui copulent en permanence avec la FED et les BC, alors aucun souci, même si, en réalité, leurs actions sont pourries. À dollar torche cul, action qui l’est tout autant !
Nous avons là une justice de classe qui s’applique ici aux banques. Certaines « Too big Too fail » peuvent tout faire, délit d’initier, ruiner des millions d’épargnant. Si, pour leur plus grand bonheur, elles appartiennent au sérail d’une certaine bien-pensance, elles seront tout de même renflouées, mais toujours au frais du contribuable qui, dans ce cas, s’en sera prise, une, devant et l’autre derrière.
La justice ici n’est certainement pas une femme aveugle, la balance à la main. C’est une grosse putain bien siliconée se roulant dans des draps de satin, ceux de ces banxters exécrables.
À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.
« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.
Quant à celles et ceux qui veulent en savoir plus, j’ai ceci :
https://www.thebookedition.com/fr/37027_olivier-cape
Olivier
Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/04/bankable-partie-4.html