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climat

GROUPIR ! RESTEZ GROUPIR !!! (Partie 1)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Tonton Schwab et son Forum s’excitent. Le Forum économique mondial (WEF) a lancé une alerte à ses membres. Ils exigent que ses Young Global Leaders (dirigeants mondiaux) commencent à faire avancer le déploiement du programme de « Grande Réinitialisation » de l'organisation non élue. Et, croyez-moi, ça fonctionne !

Un simple exemple des déviances orchestrées par ces petits Kapos. Le premier ministre canadien Justin Trudeau a adopté de nombreuses lois interdisant la liberté d'expression au Canada, mais rien n'a été aussi restrictif que le projet de loi C-367, un amendement au Code criminel qui interdira aux Canadiens d'exprimer « une opinion fondée sur la croyance en un texte religieux.

Si cette loi est adoptée, des personnes pourraient être arrêtées pour avoir cité la Bible sur le sol canadien. Les partisans dissimulent cette attaque contre la religion sous prétexte qu’elle réduira l’antisémitisme (cherchez l’erreur ?).

Tonton a lancé un appel urgent aux dirigeants mondiaux pour qu’ils élaborent des stratégies visant à accélérer son programme mondialiste. L’élite mondiale des entreprises se réunira plus tard cette année pour « accélérer la mise en œuvre » des plans du fondateur et président du WEF, Klaus Schwab.

Le programme du vieux diplodocus implique la création d’une société marxiste dans laquelle les gouvernements au pouvoir et les élites mondialistes contrôleront tous les aspects de la vie publique. L’accès à l’énergie, l’eau, la nourriture et à d’autres produits, ainsi qu’au logement et aux transports, seront tous contrôlé par les bureaucrates et les élites du monde des affaires.

Une fois la « Grande Réinitialisation » introduite, le public « vous ne posséderez plus rien, mais vous serez heureux » et tout le monde travaillera pour le « bien commun » : c’est-à-dire pour eux.

Le WEF et l’ONU ont souligné que, même si la Grande Réinitialisation, également connue sous le nom d’« Agenda 2030 », est presque à mi-chemin, une réunion est « urgente » pour accélérer sa mise en œuvre.

L’organisation déplore que les progrès aient été entravés ces dernières années par « des revers imprévus dus à la pandémie de COVID-19 (pas assez mortelle sans doute), aux impacts négatifs majeurs du changement climatique et à la hausse du coût de la nourriture et du carburant partout en raison du conflit en Ukraine ».

Cependant, la pandémie a ensuite été considérée comme un banc d’essai pour de futures restrictions punitives, tandis que le « changement climatique » est un outil pour atteindre cet objectif à travers les objectifs « Zéro carbone ».

Nos élites trépignent donc d’impatience, car nous tardons tous à rentrer dans nos cages. Voilà pourquoi ces retards les incitent à appeler à une réunion pour « élaborer une stratégie » sur les méthodes permettant d’accélérer ce que l’organisation basée à Genève présente comme « sans doute le plus grand effort humain jamais entrepris pour créer des sociétés pacifiques, justes, égales et durables ».

Ainsi tout comme nous étions tous incités à nous faire « vacciner » pour le « bien commun », le WEF travaille activement en faveur d’une « participation civique » pour faire avancer ses projets de Grande Réinitialisation. Cela fera progresser les éléments marxistes du projet en ciblant « les inégalités économiques, les déséquilibres entre les sexes, la corruption et la dégradation de l’environnement ».

Je réitère bien entendu mon propos après moult articles concernant ce sujet et écrits depuis plusieurs années. Mais Klaus Schwab, a évoqué sa « « Grande réinitialisation » du capitalisme » comme un moyen d'inaugurer la « Quatrième révolution industrielle » mondiale. Cette soi-disant « révolution » introduira une nouvelle ère d’industries basées sur l’intelligence artificielle.

L’organisation a révélé le but final souhaité en 2018 avec plusieurs « prédictions » pour une future utopie communiste. Dans la vision de l’humanité du WEF, « Vous ne posséderez rien et serez heureux… tout ce que vous voudrez, vous le louerez. »

Un « parfait » 4e Reich puisque le père du leader du WEF, Schwab, avait travaillé pour « l’appareil du parti nazi ». Désormais, son fils chéri envisage pour nous tous un monde dans lequel chacun travaillera pour le « bien commun » et renoncera volontairement aux libertés et aux opportunités du capitalisme qui offrent l’indépendance et la liberté financières.

En digne toutou de son maître, il y a des mois, Justin Trudeau s'est tenu aux côtés de Zelenski et du Parlement canadien pour célébrer un criminel de guerre nazi connu et lui a même donné une ovation debout.

https://youtu.be/JsilnLnyWCA

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/04/groupir-restez-groupir-partie-2.html

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Anne, ma sœur Anne ne vois-tu rien venir ? (Partie 6 et fin)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/01/anne-ma-soeur-anne-ne-vois-tu-rien-venir-partie-1.html

Les années 2020 à 2022 ont été marquées par les restrictions imposées dans le cadre de la politique du Covid-19. Alors que l’Europe fermait ses portes, la Chine continuait à exporter. Parallèlement, Pékin a rendu plus difficile le travail des entreprises étrangères sur son territoire.

De nouvelles lois et réglementations ont constamment compliqué le quotidien des entreprises, comme la loi sur la cybersécurité, la loi sur la sécurité des données et la loi anti-espionnage. La confiance des hommes d’affaires étrangers dans le gouvernement de Pékin a chuté. Une nouvelle offensive de charme, annoncée début décembre 2023, veut désormais redresser la barre.

Le PCC intensifie la production de robots humanoïdes pour conserver la domination manufacturière. La Chine a récemment annoncé un grand plan pour robots humanoïdes produits en masse qui peut effectuer diverses tâches et interagir avec les humains pour s'isoler de la dépendance à l'égard des puissances étrangères et remplacer les travailleurs chinois par des machines.

Le ministère chinois de l'Industrie et des Technologies de l'Information (MIIT) a publié un document directeur en novembre, disant que les robots seraient aussi "perturbateur" que les smartphones et « renouvèleraient le monde. » Selon l'article, la stratégie vise à faire du Parti communiste chinois (CCP) le leader mondial dans le domaine de la robotique en construisant un "système d'innovation robot humanoïde," développant le cerveau et les membres artificiels d'ici 2025.

Étant le plus grand fabricant d'électronique au monde, le CCP vise à réaliser des percées dans la détection de l'environnement, le contrôle du mouvement et les capacités d'interaction machine-à-humain au cours des deux prochaines années, c'est pourquoi il s'efforce de rivaliser avec les États-Unis dans le domaine des puces et du matériel. Ces dernières années, Tesla et Boston Dynamics, le milliardaire Elon Musk, ont dirigé cette industrie.

Le document indiquait également qu'en utilisant un système pour l'ensemble de la nation, le régime communiste pourrait exploiter les technologies pour "changer profondément la production et le mode de vie humains et remodeler le modèle de développement industriel mondial."

Cependant, selon plusieurs rapports, cette décision a des implications pour la sécurité nationale et aidera le PCC à maintenir un avantage économique, même si sa population est en train de piquer du nez en raison d'années de restrictions sévères à l'accouchement.

En 2022, après six années consécutives de baisse des taux de natalité, la Chine a enregistré son premier déclin annuel de sa population depuis le début des années 1960. Selon une prévision des Nations Unies, la population des pays d'Asie de l'Est devrait chuter de 1,42 milliard en 2022 à 1,31 en 2050 et tomber en dessous de 800 millions en 2100.

(  Les usines de robots humanoïdes de la Chine seront mises en ligne en 2025, la moitié de la main-d'œuvre humaine sera éliminée.)

 Le gouvernement chinois veut effectivement remplacer les gens par des robots afin de maintenir un avantage concurrentiel dans les industries manufacturières à forte intensité de main-d'œuvre conformément au rapport du Center for Strategic and International Studies.

En fait, un projet de proposition du régulateur Internet du régime a suggéré en avril 2023 que tout le contenu généré par l'intelligence artificielle (IA) devrait être mandaté pour « refléter les valeurs fondamentales socialistes » adoptées par le PCC. Selon le nouveau document, tous les nouveaux robots et cerveaux artificiels alimentés par l'IA devraient être « guidés par la pensée du président de la République populaire de Chine Xi Jinping sur le socialisme avec des caractéristiques chinoises pour une nouvelle ère. »

Le directeur de la China Policy Initiative de l'America First Policy Institute, Adam Savit, a confirmé dans Epoch Times que le régime pourrait utiliser des robots pour diffuser l'idéologie communiste sur tout le marché mondial. « Ils vont certainement essayer », a-t-il déclaré.

« Le PCC profite de tous les moyens disponibles, en particulier les nouvelles technologies innovantes, pour diffuser son idéologie et étendre son influence. » Il a également souligné que le géant des médias sociaux TikTok, qui appartient à ByteDance, affilié au PCC, était « l'exemple le plus réussi et le plus troublant » de l'utilisation de la technologie par Pékin pour diffuser son idéalisme.

Selon certaines informations, la Chine a installé 290 000 robots industriels non humanoïdes en 2022, tandis que les États-Unis, en comparaison, n'en ont installé que 39 000. Le premier domine désormais en termes de densité de robots, car il a déployé plus de robots par rapport aux travailleurs. La nation communiste exploite désormais le plus grand stock opérationnel de robots au monde.

C'est quelque chose à craindre car la nation peut déjà utiliser l'automatisation pour obtenir un avantage économique dans les années à venir, a souligné un rapport de la Fédération internationale de robotique. « La densité de robots est un indicateur clé de l'adoption de l'automatisation dans l'industrie manufacturière du monde entier », a déclaré la présidente de la Fédération internationale de robotique, Marina Bill. « La croissance rapide de la Chine montre la puissance de son investissement jusqu'à présent, mais elle a encore beaucoup d'occasions de s'automatiser. »

En outre, l'Institut international d'études stratégiques (IISS) a indiqué que le PCC cherche à obtenir un avantage à long terme en établissant et en contrôlant les chaînes d'approvisionnement nécessaires pour créer une robotique avancée. « Pékin vise à la fois à atteindre un degré élevé d'autosuffisance et à conquérir une part importante du marché mondial pour un large éventail de produits et composants avancés », a suggéré le document.

Le rapport a en outre noté que si la nation peut prendre un avantage dans ce qui a été décrit comme une quatrième révolution industrielle dans le secteur manufacturier tout en réduisant sa dépendance à l'égard des importations de haute technologie, la Chine pourrait être en mesure de stimuler ses propres perspectives de croissance à long terme tout en diminuant celles de ses concurrents.

« La chose vraiment effrayante est que cela pourrait conduire le PCC à gagner plus d'influence dans l'établissement de normes et de règles internationales AI et robotique. L'industrie robotique chinoise devient la norme mondiale, écartant toute concurrence, y compris l'établissement de la norme morale. », a déclaré Arthur Herman, chercheur principal à l'Institut Hudson.

L'expert a déclaré que ce n'était pas un bon signe si les gens veulent avoir des normes sensées et responsables pour le développement futur d'une technologie potentiellement perturbatrice avec laquelle tout le monde peut vivre.

Conclusion : Pékin monopolise le marché européen. En Allemagne, de nombreuses entreprises dépendent dans une large mesure de Pékin. Selon une enquête menée auprès de 400 entreprises de Rhénanie-du-Nord-Westphalie, la part de celles qui dépendent de travaux et de produits de base en provenance de Chine s’élève tout de même à 40%.

Certains pays, comme l’Italie, font preuve de plus de résistance que l’Allemagne et ont récemment pris leurs distances avec la Nouvelle Route de la Soie.

D’un autre côté, pendant que l'Occident se fait Hara Kiri avec les verts de gris, l’engagement de la Chine en faveur de la transformation verte est plutôt limité. L’engagement antérieur de Pékin de réduire ses émissions totales de combustibles fossiles d’ici 2030 a été abandonné dans la pratique. Le chef d’État Xi Jinping a clairement indiqué lors du congrès du parti en octobre 2022 qu’il n’était plus disposé à honorer cet engagement.

La balance commerciale de l’Europe avec la Chine présente désormais un déficit de 390 milliards d’euros, ce qui signifie que les pays de l’UE importent de Chine pour 390 milliards d’euros de marchandises de plus qu’ils n’en exportent. En bref, alors que les technologies vertes et la décarbonation sont inscrites dans les traités et les lois, le «made in China» a pratiquement monopolisé le marché européen pour les technologies clés.

Pendant des décennies, le Parti communiste chinois a infiltré, manipulé et pris le contrôle de l’économie européenne. Et, jusqu'à  présent, il a gagné.

Et pour terminer sur ce constat COMPLIQUE pour l’Occident et nous, les Français tout autant oxydé, n'oublions pas la pénurie MONSTRUEUSE de logements purement orchestrée par les verts et toujours au nom de ce sacrosaint « dérèglement climatique ».

Technologie, nourriture, logements, santé, on voudrait nous remplacer qu'on ne s'y prendrait pas mieux !? Mais, une fois de plus, je ne suis qu'un "fou de complotiste".

Olivier

Fin

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Anne, ma sœur Anne ne vois-tu rien venir ? (Partie 5)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/01/anne-ma-soeur-anne-ne-vois-tu-rien-venir-partie-1.html

La Chine est en tête dans sept des dix industries stratégiques les plus importantes sur le marché mondial : les ordinateurs et l’électronique, les produits chimiques, les machines et l’équipement, les véhicules à moteur, les métaux de base, les métaux transformés et l’équipement électrique.

Chez nous, en Europe, qu’en est -il du moteur économique ? Jetons un œil à quelques-unes des industries clés de l’Allemagne qui doivent servir la transition énergétique verte. Dans les premières années du photovoltaïque, les fabricants allemands étaient des leaders mondiaux, jusqu’à ce qu’ils ne puissent plus suivre le rythme de l’industrie solaire asiatique. Certes, des droits de douane sur les panneaux solaires chinois ont été imposés en 2013, mais trop tard.

Les mesures anti-dumping ont été contournées en permettant aux entreprises chinoises de transporter préalablement leurs marchandises dans d’autres pays et de falsifier l’indication du pays d’origine.

Dans le même temps, Angela Merkel a coupé les vivres au photovoltaïque allemand en abaissant brutalement ses tarifs de rachat de l’électricité. En 2018, l’UE a pratiquement jeté l’éponge.

Quelques spécialistes, qui ont fabriqué des modules particulièrement durables et de grande qualité, ont encore pu se maintenir. Ainsi, l’année dernière, concernant les systèmes énergétiques solaires, on estimait en que la part de l’Europe dans les capacités de production mondiales était de 1% et celle de la Chine de 75%.

L’UE souhaite rétablir ici la puissance de 30 gigawatts d’énergie solaire dans le cadre du Green Deal en 2030. Une famille moyenne de quatre personnes consomme environ 10.000 kWh (10 MWh) d’électricité par an pour son ménage, ce qui correspond à 0,01 gigawatt-heure (GWh).

Avec 30 gigawatts, on pourrait théoriquement produire assez d’électricité pour environ 30 millions de familles de quatre personnes pendant un an. Pour replacer ce chiffre dans son contexte, le plus grand fabricant chinois, Jinko, produit déjà 45 gigawatts. Fin 2023, ce chiffre a atteint 90 gigawatts. Certains modules chinois sont vendus jusqu’à 50% en dessous des coût de production allemands.

L’Europe ne pourra pas reconstruire son industrie solaire, les obstacles sont presque insurmontables. Une telle chose ne pourrait se faire qu’avec « un soutien politique et financier concerté » et Klaus Schwab entre quatre planches. D’autant plus que les États-Unis attirent les entreprises outre-Atlantique avec des offres élevées et que les mesures politiques actuelles et les coûts de l’énergie ont tendance à décourager l’industrie allemande.

L’industrie éolienne est un autre secteur avec les mêmes enjeux. Jusqu’à 70% des pièces utilisées dans les éoliennes allemandes proviennent déjà de Chine. Il s’agit notamment des éoliennes elles-mêmes ainsi que des composants tels que les pales de rotor, les générateurs, les engrenages et les systèmes de commande.

« Nous sommes tous dans le rouge les uns avec les autres», telle est la conclusion souvent citée du président de Siemens Gamesa, Jochen Eickholt, lors du salon Husum Wind. Il s’agit des leaders du marché : la crème de la crème de l’industrie éolienne locale. Pendant ce temps, le constructeur de turbines Sany Re, basé dans la ville de Changsha, au centre de la Chine, envisage d’installer une unité de production en Europe. Comment l’UE réagit-elle ?

Elle a l’intention de stimuler l’énergie éolienne par le biais d’un pacte sur l’énergie éolienne et de procédures d’autorisation plus courtes.

L’industrie automobile ne vaut pas mieux. Les constructeurs chinois de voitures électriques comme BYD, Nio, MG, XPeng et d’autres se lancent également sur le marché européen. Ils proposent des technologies modernes à des prix relativement bas, des SUV aux hybrides rechargeables (plug-in). Ces produits sont parfois vendus à un prix inférieur au prix de revient des autres voitures.

L’industrie européenne ne peut guère rivaliser. Mais le désastre dans le secteur automobile devrait être plus important que celui Du solaire, où « seulement » 70.000 emplois ont été perdus. L’industrie automobile européenne emploie 14 millions de personnes.

Les voitures électriques n’ont pas besoin de moteur à combustion, de boîte de vitesses traditionnelle, de système d’échappement, d’embrayage, de réservoir, de démarreur, de système d’injection, de carter de vilebrequin, d’huile moteur, etc. J’en oublie, mais cette courte liste laisse déjà entrevoir les conséquences pour les fournisseurs.

La batterie, le moteur électrique, l’électronique, les systèmes de refroidissement pour la batterie et la technique de charge seront-ils à l’avenir fabriqués en Europe ?

Mais il y a mieux encore ! La voiture électrique est un modèle économique qui tourne mal depuis le départ. On assiste déjà à un virage « surprenant ». Hertz et Sixt, deux mastodontes du secteur de la location, font marche arrière avec les voitures électriques (Tesla)… Ils décident de se débarrasser de 20.000 voitures électriques (Tesla) pour faire place à des voitures thermiques !

Leur modèle économique est « simple ». Ils achètent en gros des voitures négociées au meilleur prix et avec des rabais très conséquents. Ils les louent quelques mois, puis les revendent avant qu’elles ne perdent trop de valeur. En gros le rabais de l’achat obtenu est même supérieur à la décote la 1ère année. Ils gagnent donc normalement de l’argent sur les locations et à la revente ! Sauf avec l’électrique.

Pourquoi ? Parce que leur valeur d’occasion baisse vite et beaucoup et que la demande est faible en raison des frais d’entretien ou de réparation qui sont bien supérieurs au thermique. Ainsi, les VE coûtent à Hertz « presque le double » en réparation par rapport à un véhicule thermique standard.

Jusqu’en 2021, presque toutes les batteries de voitures électriques venaient d’Asie. Depuis, de nombreuses entreprises ont annoncé qu’elles construiraient des usines de batteries et de cellules en Europe. En septembre 2023, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a annoncé l’ouverture d’une enquête sur les subventions accordées aux constructeurs automobiles chinois. Les subventions publiques faussent le marché, ce qui est inacceptable.

Pour l’instant, l’inondation du marché européen par les voitures à batterie chinoises échoue encore parce que Pékin ne parvient pas à faire sortir ses voitures finies du pays. Il manque des transporteurs de voitures, les navires rouliers. Mais les chantiers navals chinois s’équipent et devraient construire près de 200 nouveaux navires d’ici 2026.

Mais la supériorité écrasante des produits chinois ne concerne pas seulement les produits finis tels que les panneaux solaires et les voitures électriques, que Pékin a mis des décennies à construire. Mais aussi à tout ce qui se trouve en amont des hautes technologies et des technologies vertes : à commencer par les minéraux et les métaux rares.

Pékin a la mainmise sur le marché des terres rares. Aucune technologie moderne ne peut se passer d’indium, de gallium, de néodyme et autres. Aucune installation solaire, aucun câble à fibres optiques, aucune technologie laser, aucune batterie, aucune IA, aucun ordinateur portable, aucune éolienne ne fonctionne sans ces métaux technologiques.

La Chine produit 97% de l’ensemble des terres rares et environ 50 à 60% des métaux technologiques comme l’indium et le gallium et pas toujours de manière écologique.

Les terres légères, pas si précieuses, proviennent généralement d’exploitations à ciel ouvert dans le nord du pays, les « terres moyennes et lourdes proviennent presque exclusivement du sud », écrit le magazine Wirtschaftswoche.

Leur extraction serait particulièrement sale, notamment parce que les terres rares sont extraites des argiles dans lesquelles elles se trouvent à l’aide de produits chimiques par aspiration dans son milieu naturel. Le plus souvent, on utilise du sulfate d’ammonium, connu comme engrais dans la protection des cultures. « Mais utilisé à la tonne, il est nocif ». Le pouvoir de marché a par ailleurs déjà été utilisé pour raréfier volontairement les matières premières.

Les exportations de gallium et de germanium sont restreintes par Pékin depuis le 1er août 2023.

La Chine ne possède pas elle-même tous ces minéraux, elle s’est souvent procuré des droits de propriété ou des accords commerciaux dans le cadre de la « nouvelle route de la soie » allant de l’Afrique à l’Amérique latine. Les plus grands gisements de lithium d’Europe se trouvent en Ukraine, plus précisément dans la région de Donetsk-Lougansk. Les gisements de lithium sont également la raison pour laquelle la Russie s’est emparée de la région. Donc le lithium ukrainien est hors de portée.

Outre les modules solaires, les éoliennes et la technologie des batteries, Pékin investit beaucoup d’argent dans les systèmes d’intelligence artificielle et les micro-puces, dans les ordinateurs quantiques et le génie génétique.

Le génie génétique chinois a fait des progrès considérables grâce à l’utilisation des ciseaux CRISPR/Cas9 : cette technologie permet de modifier de manière ciblée le patrimoine génétique de l’être humain.

Malgré les promesses de Pékin de vouloir ouvrir sa propre économie, les entreprises européennes sont très désavantagées en Chine. La Chine reste « l’une des économies les plus restrictives du monde », indiquait déjà en 2018 une étude de la Chambre de commerce européenne à Pékin sur le sentiment de ses membres.

Dans cette étude, 62% des entreprises interrogées déclaraient avoir le sentiment que les entreprises chinoises étaient mieux traitées en Europe que les entreprises européennes en Chine. Par ailleurs, outre le fait qu’il y aurait moins de restrictions, les entreprises chinoises auraient beaucoup plus de facilité à faire des acquisitions en Europe.

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/02/anne-ma-soeur-anne-ne-vois-tu-rien-venir-partie-6-et-fin.html

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Anne, ma sœur Anne ne vois-tu rien venir ? (Partie 4)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/01/anne-ma-soeur-anne-ne-vois-tu-rien-venir-partie-1.html

La diminution des quantités de pétrole disponibles va entraîner des bouleversements importants qu’il est nécessaire d’anticiper. Or ce n’est pas réellement le cas actuellement. D’où l’intérêt primordial de tels articles, en vue notamment d’imaginer d’autres sources alternatives. Tous les experts et les scientifiques du monde tirent les mêmes conclusions. Ils estiment que la demande mondiale en pétrole va croître de 50% d’ici à 2025.

Pour satisfaire cette demande, de nouveaux champs doivent continuellement être découverts et le pétrole produit pour compenser l’épuisement des anciens champs et pour satisfaire la demande mondiale sans cesse elle aussi croissante. Sinon la production mondiale de pétrole ne satisfera plus la demande. Durant le siècle dernier, le développement économique mondial a fondamentalement été façonné par la disponibilité et l’abondance du pétrole bon marché.

Les transitions énergétiques précédentes (du bois au charbon, du charbon au pétrole, du pétrole au nucléaire, du gaz naturel aux schistes et quoi encore… !) ne furent même pas progressives et évolutives. Elles n’existent tout simplement pas. Sur ce sujet épineux, je vous invite à lire ma série :

https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/10/rien-de-nouveau-sous-le-soleil-de-satan-partie-1.html

Lorsque vous l’aurez lu, vous comprendrez que les transitions énergétiques ne sont que de la daube en gelée.

Ainsi, le fameux pic pétrolier sera abrupt et surprenant puisque voulu par l’élite luciférienne dans leur option Ordo Ab Chaos. Le monde n’a jamais fait face à un problème comme celui-ci, le pic pétrolier prendra de vitesse la transition du fossile au renouvelable, car la déesse de la richesse et de la bonne fortune, Vishnu au mille bras, va disparaitre et avec elle ses services.

Sans une préparation massive au moins de 20 ans avant les faits, le monde occidental vivra dans toutes les prochaines années au ralenti et dans l’obscurité.

Le raisonnement est simple, logique et sans équivoque : la société telle que nous la connaissons ne peut subsister sans pétrole. Il est le pilier de l’économie du monde industrialisé, car notre système fonctionne grâce aux hydrocarbures : transports, chauffage, l’eau chaude, l’électricité, les matières plastiques, les produits de beauté, les vêtements, mais aussi et surtout l’agriculture devenue intensive « grâce » aux engrais chimiques, aux traitements herbicides, fongicides et insecticides.

C’est cette superposition de facteurs concomitants qui a permis durant le 20e siècle de multiplier la population mondiale par trois.  Tout dans nos vies est conditionné et intégralement subordonné au pétrole.

Sa disparition équivaudrait par conséquent à une décroissance économique dramatique, à l’explosion du chômage massif (des Etats entiers vivant du pétrole) et à la réduction sensible du niveau de vie dans les pays industrialisés. Ce sont donc, selon le souhait de tonton Schwab, famine, désolation urbaine, exodes et mort qui nous attendent si nous ne dénonçons pas rapidement et en masse la falsification des chiffres. Les inexactitudes et les calculs sur l’avenir du pétrole sont l’objet d’une monstrueuse escroquerie intellectuelle.

Les hommes politiques ne veulent pas parler de catastrophe, car cela supposerait qu’ils apportent des remèdes, ce qu’ils savent impossible. Les pays producteurs exagèrent leurs ressources car elles reflètent le patrimoine financier que les Etats valorisent ou déprécient selon leur intérêt du moment. Pour les compagnies pétrolières, l’enjeu est évident. Leur valorisation boursière dépend en effet des réserves dont elles peuvent se prévaloir.

Nous consommons plus de 86 millions de barils par jour dans le monde, la théorie de la substitution, à terme, du pétrole, laisse perplexe les experts indépendants. En effet, ils prédisent également une déplétion pour le gaz naturel (2030) et le charbon (2050), ressources tout aussi épuisables que le pétrole. Le pétrole et le gaz représentent aujourd’hui 60% de la consommation énergétique.

Leur déplétion va nécessiter soit de réduire la consommation, soit de se tourner vers d’autres sources d’énergie, il n’existe pas de remplaçant unique au pétrole qui attendrait son tour en coulisse, mais plusieurs énergies de substitution en retard de maturation. Le futur énergétique sera pluriel.

L’information, la vraie (pétrole abiotique), est détenue par les Etats et les compagnies pétrolières assujettis à « l’élite qui nous veut du bien » et le secret est de règle. Alors, lorsqu’on nous parle de transition énergétique, relisez donc mes articles consacrés à une transition qui n’a jamais eu lieu. Au mieux pouvons-nous parler de superpositions énergétiques.

Quant au "méchant CO2", me concernant, je ne cesserais jamais de l’aimer car il est source de vie. D’ailleurs sur ce sujet voici ce que déclarait feu Freeman Dyson (1923-2020), un physicien théoricien et mathématicien britannique-américain. Pour lui, la Terre entière est plus verte grâce à l'augmentation du dioxyde de carbone dans l'atmosphère. Selon lui, comme je l’indique dans Tonton Malthus, les modèles informatiques aident à comprendre le climat, mais ils sont très mauvais pour le prédire.

« Comme mesurée depuis l'espace, la Terre entière devient plus verte à cause du dioxyde de carbone, donc cela augmente les rendements agricoles, les forêts et augmente la croissance du monde biologique, et c'est plus important et plus certain que les effets sur le climat. », avait déclaré Dyson lors d'une interview avec Conversations that Matter en 2015.

Freeman Dyson, était un physicien théoricien et mathématicien américain d'origine britannique, connu pour ses travaux sur la théorie quantique et la physique de la matière. Il était l'une des figures les plus célèbres de la physique du 20e siècle. En 2006, Dyson a publié « The Scientist as Rebel », dans lequel il remettait en question le rôle de l'activité humaine dans le générateur climatique.

Dans une interview accordée à Physics World en 2008, il a déclaré que l'argent dépensé pour lutter contre le changement climatique devrait plutôt être ciblé sur « d'autres problèmes plus urgents et plus importants, tels que la pauvreté, les maladies infectieuses, l’éducation publique et santé. Il a également déclaré que réfléchir aux avantages potentiels du changement climatique « ne nous fera aucun mal ».

En 2015, il rejoint Stuart McNish, animateur de Conversations that Matter . « Il y a un changement climatique provoqué par l'homme », a-t-il déclaré. « La question est de savoir combien et si c'est bon ou mauvais. Tout d'abord, nous ne comprenons pas les détails. C'est probablement beaucoup moins qu'on le prétend généralement et le plus important est que le dioxyde de carbone a d'énormes effets non climatiques qui sont extrêmement favorables [et] qui ne sont pas pris en compte », a-t-il déclaré.

Comme mesurée par les satellites, « la Terre entière devient plus verte à cause du dioxyde de carbone présent dans l'atmosphère ». Dyson a commencé à étudier les effets du dioxyde de carbone (CO2) présents dans l'atmosphère sur la végétation « il y a 37 ans », c'est-à-dire vers 1978. Il a expliqué que l'augmentation du CO2 entraîne une augmentation des rendements agricoles, des forêts et de toutes sortes de croissance dans le monde biologique. « Et c'est plus important et plus certain que les effets sur le climat », a-t-il déclaré.

Lorsqu'il a commencé à étudier les effets du CO2 sur les plantes, il a pensé que cet effet pourrait être d'environ 10 %. Mais 35 ans plus tard, il a découvert que ce chiffre était d'environ 25 %. Le CO2 a augmenté d'environ 40 % et «environ la moitié de cette somme a été consacrée à la végétation », a-t-il déclaré. « C'est extrêmement bénéfique à la fois pour la production alimentaire, mais aussi pour la biodiversité, la préservation des espèces et tout ce qui est bon. » Cela vient de preuves observables, a-t-il ajouté.

Mais surtout ce qui est à retenir ce sont ses propos concernant les « modèles » et l'idée selon laquelle ils sont de bons prédicteurs, il a rappelé ce que l'expert climatique japonais Suki Manabe, qui a développé le premier modèle liant le réchauffement du climat de la Terre à l'augmentation du CO, dans les années 1960, a toujours dit : "Ces modèles climatiques sont d'excellents outils pour comprendre le climat, mais ce sont de très mauvais outils pour prédire le climat."

En effet, comme je l’explique dans Tonton Malthus, ce sont des modèles qui ne contiennent que quelques facteurs, alors que notre monde réel est bien plus compliqué que les modèles. Le changement climatique est trop complexe et implique trop de facteurs.

Depuis des années, je vous parle de notre soleil comme chef d’orchestre climatique. Or, certains climatologues affirment à tort qu’il n'a aucun effet parce que sa température ne change pas. Mais c’est son activité qui change.

Par activité, Dyson fait référence aux taches solaires et aux orages magnétiques. « Ils fluctuent très fortement avec le cycle de 11 ans et nous constatons un effet sur le climat », a-t-il déclaré. J’ai déjà, à de nombreuses reprises mentionné le Petit Âge Glaciaire, qui s'est produit au 17e siècle, et qui a également coïncidé avec le moment où le Soleil s'est endormi pendant environ 70 ans.

Tout comme je l’ai fait, Dyson déclare à ce sujet : « Il existait une chose appelée le Minimum de Maunder, lorsque les taches solaires n'apparaissaient tout simplement pas et qu'en même temps il y avait un climat très froid en Europe. C'est donc une preuve assez solide de corrélation.

Mais il existe désormais des preuves et des enjeux directs des observations modernes. L'autre truc des alarmistes du climat est de retirer la vapeur d'eau ‘de l'équation’.

La vapeur d'eau représente environ 90% de l'atmosphère. Donc, vous ne pouvez pas retirer la vapeur d'eau de l'équation. C'est bien [de négliger la vapeur d'eau] si vous voulez parler de Mars, car il n'y a pas de vapeur d'eau sur Mars. Le CO2 est tellement bénéfique à d'autres égards qu'il serait insensé d'essayer de le réduire. Le fait est que le dioxyde de carbone va augmenter, nous continuerons à brûler du pétrole et du charbon et cela nous fera probablement du bien, la Terre deviendra ainsi plus verte. »

Néanmoins, de monstrueux enjeux financiers font que nous devons décroitre et combattre le « méchant » dioxyde de carbone. Certains idiots proclament même que cette transition est source de nouvelles richesses, puisque de nouvelles filières technologiques viennent remplacer les polluantes Ah bon !  C’es compter sans le « péril jaune » et sa « nouvelle invasion chinoise » du solaire, des éoliennes et des voitures électriques en Europe.

L’Europe « verte » du solaire, de l’éolien et des voitures électriques, est de plus en plus influencée par la Chine.

Après avoir détruit une grande partie de l’industrie européenne dans ce secteur par des années de concurrence déloyale, la Chine est désormais le principal bénéficiaire de la décarbonation européenne, telles que : voitures électriques, batteries, panneaux solaires, éoliennes et bien entendu tous les composants de tous ces produits. « China Standards 2035 », la suite du plan « Made in China 2025», montrent que le Parti communiste chinois veut dominer les projets industriels dans le monde entier.

Avec « Standards 2035 », Pékin va encore plus loin. Elle veut ainsi dominer les nouvelles technologies comme l’IA et le Big Data en développant elle-même les normes technologiques et en les exportant sur le marché international. Et tous les autres devront ensuite se conformer à ses normes.

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/02/anne-ma-soeur-anne-ne-vois-tu-rien-venir-partie-5.html

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Anne, ma sœur Anne ne vois-tu rien venir ? (Partie 3)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/01/anne-ma-soeur-anne-ne-vois-tu-rien-venir-partie-1.html

Certains esclaves formaient une couche supérieure de professionnels. Ils occupaient l’espace social qui est aujourd’hui occupé par la classe moyenne. Relativement privilégiés, ils pouvaient posséder de l’argent, mais cela ne changeait rien au fait qu’ils étaient des esclaves et, dans la plupart des cas, ils devaient le rester à vie.

Libérer des esclaves était peut-être un stimulus positif, mais c’était rare et souvent seulement un moyen pour un maître de se débarrasser d’un esclave vieux et/ou malade et de fait devenu inutile. Donc, c’est le contrôle négatif qui fut utilisé pour gérer les esclaves. Les punitions étaient appliquées non seulement aux esclaves, mais à la sous-classe des affranchis, des pauvres et des étrangers. Ils étaient cruels parce qu’ils devaient constamment rappeler à la sous-classe quelle était sa place et qu’ils n’étaient toujours qu’à deux pas d’être condamnés à être mangés par les bêtes sauvages dans le cirque.

De nos jours, la classe moyenne est en voie d’extinction, reste les « gueux ». Tout a une logique chez l’humain déchu, et le fait d’être cruel y trouve ici la sienne, bien qu’elle ne soit pas agréable. À notre époque, nous n’avons plus d’esclave humain, mais nous avons des esclaves fossiles.

Nous traitons les combustibles fossiles d’une manière similaire à celle utilisée par les Romains pour traiter leurs esclaves. Ils utilisaient les leurs pour construire leur civilisation, nous avons utilisé le pouvoir des combustibles fossiles pour construire la nôtre.

Nos esclaves fossiles ne se sont jamais plaints d’être brûlés dans les chaudières et les moteurs. Ainsi, nous n’avons pas eu besoin depuis un petit moment de ce genre de cruauté « gratuite ».

Mais, nos combustibles fossiles deviennent progressivement plus chers à mesure que nous les utilisons, à cause de l’épuisement des ressources dans un monde fini. Ensuite, on nous bassine qu’il faut absolument réduire leur utilisation afin d’éviter les pires effets du « réchauffement climatique ».

Ainsi, symboliquement, nos esclaves fossiles sont donc en train de se soulever, se révolter, ils nous quittent inévitablement.

De toute manière et contre toute attente de 2013 à 2016, la croissance de la consommation mondiale d’énergie a chuté. La consommation totale d’énergie primaire est à peu près le meilleur indicateur de l’évolution réelle de l’activité économique, ce malgré le « soutien » de la Banque centrale, et la dette massive qui a été contractée.

Tout cela aurait dû entraîner une croissance spectaculaire. Mais, en réalité, ce n’est pas ce qui s’est passé. Les pays «riches » représentent un peu moins de 50 % de la population mondiale, ils consomment près de 90 % de l’énergie, et le ralentissement observé dans ces pays ne sont pas compensés par la croissance des pauvres, c’est même le contraire.

Les pays riches ont connu un pic de consommation totale d’énergie en 2007 et sont encore en dessous du pic dix ans plus tard. Après l’effondrement de la consommation en 2009, la période de 2011 à 2016 a connu l’une des croissances les plus faibles parmi ces pays depuis 1980.

Un facteur déterminant face à ce phénomène est la combinaison d’une baisse de la population en âge de procréer et d’une baisse des taux de fécondité (nombre de naissances pour 1 000). Même les naissances en Inde ont atteint leur apogée au tournant du siècle et sont en déclin séculaire. La population indienne en âge de procréer devrait atteindre un maximum autour de 2040.

Seules les nations à faible revenu continuent d’avoir plus d’enfants, alors que toutes les autres régions ont atteint un plateau ou sont en plein recul démographique. Seule exception : la forte augmentation des naissances et de la population en âge de procréer en Afrique.

Désormais bien sorti des « trente glorieuses », les conséquences sont déjà visibles : inégalités croissantes, pauvreté, stress social, etc. Nous assistons à la montée des « esclaves de la dette », une dette censée être remboursée par un travail acharné. Mais, il devient évident que peu importe à quel point et combien de temps une personne travaillera, elle ne sera jamais en mesure de la rembourser.

Alors, comment ces nouveaux esclaves peuvent-ils être motivés ?  La réponse est la même que celle trouvée par les anciens Romains : des punitions imposées par l’État par ses divers leviers : police, justice, l’armée, etc.

Et c’est exactement ce à quoi nous assistons. Nous n’en sommes pas encore revenus au genre de séparation formelle entre les classes qui définit certaines personnes comme des «esclaves » au sens romain du terme, mais cela monte crescendo, d’où le réveil des Gilets Jaunes !

Mais comme tout est télécommandé longtemps à l’avance en ce monde/démon, la bonne question est : ce mouvement est-il naturel ou plus ou moins piloté ? The Economist est un magazine « attrape mouches » utile à l’élite, et auquel nombre de conspirationnistes de tous bois aiment à venir se coller afin de jouer les madame Irma.

Je vais donc jouer à la mouche moi aussi. C’est la revue porte-parole de la City de Londres et des Rothschild, autrement dit on y trouve des « nouvelles fraiches ».

En 1988, The Economist, annonçait « get ready for a world currency ». La revue parlait déjà de cette volonté d’une monnaie unique et mondiale à l’horizon 2018 : le Phénix. Dans ce projet, la Chine, en 2018, était le dernier gros morceau à intégrer les DTS créés en 1969. Les droits de tirage spéciaux (DTS, en anglais, Special Drawing Rights : SDR), sont un instrument monétaire international créé par le FMI pour compléter les réserves officielles existantes des pays membres. Tout ceci nous montre que nos « camarades » ont les idées longues. Une longue chaine d’esprits lucifériens nous amène à notre époque. Il y a derrière tout ce marasme une intelligence froide qui « force le respect », je m’explique ! » Fin de l’extrait.

Maintenant, je vais en arriver à vous parler d’un point sur lequel ou vous ment depuis plus d’un siècle.

Je vais évoquer une chose inconnue. Voici ce que la très sainte encyclopédie Wikipédia en dit : « La théorie du pétrole abiotique est une théorie alternative sur l'origine chimique du pétrole, qui serait selon celle-ci formé dans les couches profondes de la Terre ; elle s'oppose à l'hypothèse communément admise de la formation par transformation progressive de détritus biologiques fossilisés à des profondeurs relativement faibles. … Elle n'a jamais suscité de réel intérêt parmi les géologues, hormis les Russes par le passé1 et est de nos jours considérée comme scientifiquement invalide. »

Et pourtant, sans l’intervention d’un certain Rockefeller et sa clique de scientiste vendue, nous aurions depuis longtemps à disposition une énergie inépuisable.

En effet, dans mon dernier ouvrage, en "fou de complotiste" que je suis, j’exprime cette réalité cachée : Si demain le pétrole abiotique devenait abondant… Les compagnies pétrolières savent parfaitement que la théorie du pétrole abiotique est vraie, qu’il y a des quantités fantastiques de pétrole sous nos pieds, et qu’il n’y aura pas de crise d’approvisionnement avant des milliers d’années ou plus.

Un certain nombre de responsables politiques des pays riches le savent aussi. Ils mentent donc sciemment depuis plus de 100 ans quand ils disent que le pétrole vient de la décomposition des plantes et dinosaures, qu’il n’y en a qu’une quantité très limitée pour l’humanité.

Pourquoi ? Eh bien, tout simplement parce que le pétrole permet d’avoir l’argent et le pouvoir. La richesse des compagnies pétrolières est basée sur une relative rareté du produit et une très grosse partie de leur profit et basée sur le commerce international de celui-ci.

En effet, il est évident que si demain, tous les pays étaient capables de produire du pétrole, celui-ci ne vaudrait plus rien. Son prix de vente baisserait quasiment au niveau de son coût d’extraction. Les marges, qui sont actuellement énormes, diminueraient comme peau de chagrin, si les Etats se mêlaient de contrôler les prix. Les profits deviendraient donc dérisoires, pour des milliers d’années.

Les compagnies pétrolières vivent aussi du commerce international, donc du fait qu’il y a des pays producteurs/exportateurs d’un côté et des pays acheteurs de l’autre. Il faut, pour elles, qu’il y ait un nombre limité de pays exportateurs pour pouvoir faire des profits à la vente plus facilement. Parce que, sur un marché national autosuffisant, le gouvernement peut décider de limiter les prix du baril. Tandis qu’avec le marché international, ce sont les compagnies qui peuvent magouiller pour faire optimiser leur profit et faire varier les prix selon leur convenance.

Avec quelques pays producteurs faibles militairement et ayant des compétences techniques limitées, bombes et technologie aidant, les grandes compagnies peuvent obliger les pays producteurs à passer par elles.

Et du coup, les pays consommateurs, eux aussi, sont obligés d’en passer par ces quelques compagnies, qui font dès lors un chiffre d’affaires gigantesque. Quant aux Etats consommateurs, ils peuvent être menacés d’embargo par les pays qui contrôlent ces compagnies.

Mais, si, d’un seul coup, tous les pays du monde ou presque produisent leur propre pétrole, c’est la fin de ce commerce international. Fini les manipulations du marché et les profits gigantesque, fini le contrôle des prix par les compagnies multinationales. Ce seront désormais les Etats qui pourront contrôler les prix. Et fini également les menaces d’embargo ou de problème d’approvisionnement. C’est la fin des pays qui vivent au dépend du pétrole et n’ont pas su convertir le cumul de leur rente pétrolière en richesse nationale (industrie, agriculture etc..).

Si demain, les gens venaient à apprendre que le pétrole se trouve en quantités gigantesques un partout sur terre, et que les conséquences économiques en étaient tirées, ce serait là mort du commerce, du pouvoir des compagnies pétrolière et des Etats de la providence.

À MOINS DE ME PRENDRE POUR UN FOU, DESORMAIS VOUS SAVEZ !

Mais nous n’en sommes pas là et, comme indiqué précédemment, Davos entend bien nous voir régresser économiquement, sanitairement et, cerise sur le « gâteau davosien », en éliminer une grande partie. Voilà pourquoi, compte tenu de l’importance du pétrole dans le fonctionnement de nos sociétés industrialisées, cette démarche verte est folle. Transports, gaz at fioul de chauffage, pétrochimie, agriculture, sont autant de fils d’Ariane dont notre société aux pieds d’argile dépend.

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/02/anne-ma-soeur-anne-ne-vois-tu-rien-venir-partie-4.html

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Anne, ma sœur Anne ne vois-tu rien venir ? (Partie 2)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/01/anne-ma-soeur-anne-ne-vois-tu-rien-venir-partie-1.html

En France, l’Etat actionnaire s’est comporté en prédateur avant de multiplier les injonctions contradictoires. Le résultat : EDF est une entreprise en faillite, avec 60Md€ de dettes et des déficits alors qu’elle devrait réaliser des superprofits. L’Europe a indexé le prix de l’électricité sur le prix du gaz russe un comble de bêtise. L’ARENH (Accès Réglementé à l’Electricité Nucléaire Historique) oblige EDF à vendre 25% de sa production (100 TWh) au prix de 42€/MWh.

La centaine de « fournisseurs alternatifs » qui se sont installés dans ce fromage ne sont en fait que des traders qui ne produisent que des factures. Il faut avoir une électricité dont le prix est aligné sur son coût de production. L’ARENH est une véritable pilule empoisonnée. Son mécanisme d’accès à la rente nucléaire de la France à prix cassé bénéficie aux concurrents de l’électricien public.

Quant à l’éolien, comme vous le constaterez plus loin, c’est une fausse énergie propre et une fausse énergie renouvelable. Une éolienne ne fonctionne en moyenne, dans notre pays, qu’à 25 % de sa puissance. Bétonner notre littoral maritime est l’idée technocratique la plus antiécologique qui soit. Pourtant la France a été mise à l’amende pour son retard dans les éoliennes. La « montée en puissance » de l’éolien terrestre supposée écologiquement correcte, s’accompagne de nuisances graves et de scandales multiples : défiguration des paysages, dégâts sanitaires, dépréciation immobilière.

Derrière l’éolien on trouve : pollution, émissions de CO2 atteintes à la santé et à la biodiversité détournements de fonds publics, conflits d’intérêts, mafia…. Au-delà de ce constat consternant, sur le plan industriel c’est la Chine qui possède 45% du marché de l’éolien dans le monde !

Concernant le Photovoltaïque, il est aussi contrôlé par la Chine. Le solaire est le grand gagnant de cette fausse transition énergétique partout sauf en France … La Chine possède 72% de part de marché des modules solaires. Grâce à des coûts de production inférieurs de 35% à ceux de l’Europe et de 20% à ceux des Etats Unis la Chine héberge sept des dix premiers fabricants au monde de panneaux solaires dont les trois plus gros.

Toutes ces technologies qui étaient censées créer les emplois de l’économie décarbonée montre la déconfiture de l’éolien et du solaire et les problèmes financiers d’Alstom et de Siemens Ainsi, croyez-moi, les énergies fossiles ont toujours de l’avenir… Mais, à cause d’une bande de crétins, la France doit absolument diminuer ses importations d’énergies fossiles pour rééquilibrer sa balance commerciale.

Le Charbon alimente toujours de nombreuses centrales surtout allemandes. La baisse des émissions de CO2 en Europe est pourtant plus que compensée par les ouvertures en cascade de centrales à charbon. On assiste à une remontée des émissions de CO2 liée au recours accru au charbon pour répondre à l’arrêt de livraison de gaz russe.

Selon la banque JP Morgan, on peut leur faire confiance ! le raccordement de 100MW d’éolien ou de solaire ne permet de débrancher que 10 à 30MW de thermique… Ainsi, sans les énergies fossiles, nous reviendrons très vite aux temps anciens ; ceux du déclin de Rome. Je m’explique !

Voici un extrait du tome 1 du Centième Gueux, pages 307 à 314.

« RETOUR À L’ESCLAVAGE.

Fin 2017, la police espagnole a blessé des centaines de personnes, y compris des femmes et des personnes âgées, lors du référendum pour l’indépendance de la Catalogne. Chez nous, deux ans au préalable, on avait gazé des femmes et des enfants lors des manifestations contre le « mariage pour tous ». C’est une indication que la violence de l’État est en hausse. En parallèle, les Romains étaient extrêmement cruels, peut-être un effet de leur dépendance aux esclaves ? Dans notre cas, nous avons remplacé les esclaves humains par des esclaves fossiles (combustibles fossiles) mais, comme ils nous abandonnent, nous risquons de revenir à la violence des temps anciens.

L’Europe telle que la conçoivent nos oligarques, et surtout l’Allemagne, n’est qu’une tentative de retour au « Saint Empire Romain » depuis longtemps déjà infesté par le culte babélien ayant transité par l’Egypte, puis la Grèce. Comme l’indique l’Ecclésiaste, l’histoire est un éternel recommencement aggravé par notre aveuglement qui doit beaucoup à l’endoctrinement et notre incapacité notoire à en corriger le cours. Ainsi, lorsqu’on s’intéresse au délabrement de l’ancien Empire romain, on s’y croirait tant la ressemblance avec notre époque est flagrante !

À son apogée, il avait sous sa coupe près de 130 millions de sujets sur un territoire de 2,4 millions de km2. Rome avait alors conquis une grande partie du monde connu en y construisant plus de 80 000 km de routes, de nombreux aqueducs, des amphithéâtres et tant d’autres édifices encore en usage aujourd’hui. Nous leur devons beaucoup quant à notre alphabet, notre calendrier, nos langues et l’architecture. Même leurs concepts de justice imprègnent encore nos esprits : « tout être est présumé innocent jusqu’à la preuve du contraire. »

On se demande alors comment un empire aussi puissant a pu s’effondrer ? Le commerce était vital pour eux. C’était lui qui permettait d’importer dans l’empire une grande variété de produits : céréales, huile d’olive, parfums, verrerie, fer, plomb, cuir, marbre, colorants pourpres, soie, argent, épices, bois, étain, vin, etc. C’est ce commerce qui fit la fortune des citoyens de Rome qui ne comptait qu’un million d’habitants.

Les coûts administratifs, logistiques et militaires grimpèrent ainsi à mesure que l’empire s’étendait. Il fallut trouver de nouvelles sources de financement conduisant l’Empire à l’hyperinflation, à une économie fracturée, à la localisation du commerce, à de lourdes taxes et à une crise financière qui paralysa Rome. Durant les premières décennies de l’empire le denier fut la pièce d’argent de base utilisée. D’une grande pureté, elle contenait environ 4,5 grammes d’argent. Cette pièce équivalait à une journée de salaire pour un ouvrier ou un artisan qualifié.

Cependant, avec une réserve limitée d’argent et d’or entrant dans l’empire, les dépenses romaines furent vite limitées par le nombre de deniers qui pouvaient être frappés freinant le financement des projets. Les fonctionnaires romains trouvèrent alors le moyen de contourner le problème.

En diminuant la pureté de leur monnaie, ils furent en mesure de fabriquer plus de pièces avec la même valeur nominale et la proportion d’argent pur dans les pièces chuta vite. À l’époque de Marc Aurèle (121-180), le denier ne comportait plus qu’environ 75% d’argent. Au moment de l’Empereur Gallien (218-268), les pièces contenaient à peine 5% d’argent, un noyau de bronze avec une fine couche d’argent.

Les effets réels de cette dégradation prirent du temps à se matérialiser. La mise en circulation de plus de pièces de mauvaise qualité ne permit pas d’accroître la prospérité, cela appauvrit juste les populations, car il fallait plus de pièces pour se procurer la même quantité de biens et de services.

Ainsi à un moment les prix montèrent en flèche dans l’Empire. Seuls les mercenaires barbares étaient payés en or. Avec la flambée des coûts, et plus aucun métal précieux à piller aux ennemis, les Romains durent prélever de plus en plus d’impôts aux peuples pour soutenir l’Empire.

L’hyperinflation, la montée vertigineuse des taxes et une monnaie sans valeur créa une triple infection qui lamina une grande partie du commerce de Rome. L’économie était paralysée. À la fin du 3e siècle, le seul commerce qui restait opérant était un commerce principalement local, reposant sur un système de troc stérile, plutôt que sur un système de change digne de ce nom.

Pendant le 3e siècle (235-284 après JC), plus de 50 empereurs se succédèrent. L’Empire était livré à l’anarchie et divisé en trois États séparés. Des guerres civiles constantes fragilisaient ses frontières. Les réseaux commerciaux se désintégrèrent et les activités commerciales devinrent dangereuses. Les invasions barbares déferlaient de partout, et la peste sévissait. C’est ainsi qu’en 476 après J.-C., l’Empire romain cessa d’exister.

Les Romains nous ressemblaient énormément. L’économie, l’argent, le commerce, les voyages, la bureaucratie, les lois, etc., trouvent un parallèle dans le monde antique romain, bien que souvent sous une forme beaucoup moins sophistiquée. Donc, la Rome ancienne vous surprendrait, mais uniquement par la violence que vous y rencontreriez, une violence codifiée, sanctionnée et promulguée par l’État.

Quand on pense à la violence de l’époque, on pense généralement aux jeux du cirque. Ceux-ci étaient sûrement sanglants et violents, mais ce n’est qu’une partie de l’histoire sur la façon dont l’État romain gérait cette violence « utile ». Leurs tribunaux infligeaient la peine capitale avec une facilité qui, pour nous, reste déconcertante. Les pauvres, les esclaves et les citoyens non romains étaient particulièrement susceptibles d’être condamnés à mort. Elle pouvait même, dans certains cas, être théâtralisée.

Autre exemple, la loi romaine disait que lorsqu’un esclave tuait un maître, tous les esclaves de cette famille devaient être exécutés, même ceux qui n’étaient pas impliqués dans le meurtre. C’était justifié parce que cela devait être considéré comme un exemple. Comment cette civilisation supposée avancée pouvait-elle se comporter de la sorte ? Un seul mot : l’esclavage. Toutes nos sociétés d’humains déchus sont basées sur une sorte de contrôle social : un système pyramidal.

Si nous étions des fourmis, la coopération serait codée dans nos gènes. Mais, chez les humains, l’intérêt personnel peut aller, et va très souvent, à l’encontre du bien commun. Pour éviter cela, il faut un contrôle négatif ou positif : la carotte ou le bâton. Le contrôle positif peut être la réussite, le sexe, le logement et d’autres formes de gratifications. Le négatif peut être la punition physique : les coups, la torture, etc. Dans notre société, nous avons tendance à croire que le contrôle positif est meilleur que le négatif, plus « moral ».

Notre société est la plus monétarisée de l’histoire dans le sens où nous avons tendance à croire, à juste titre et malheureusement à de rares exceptions près, que l’argent peut pousser les gens à faire plus ou moins n’importe quoi. Par exemple, nous concevons comme normal que bon nombre de professions fassent leur travail non pas parce qu’ils seraient fouettés s’ils ne le faisaient pas mais parce qu’ils courent après le fric la principale forme d’attraction positive dans notre monde. Dans de nombreux cas, Rome a aussi utilisé l’argent comme nous le faisons.

Les soldats romains se battaient parce qu’ils étaient très bien payés : le mot « soldat » vient même d’une pièce de monnaie romaine. Mais ils avaient un gros problème avec leurs esclaves, l’épine dorsale de leur société. Comment pouvaient-ils être motivés à travailler ? En les payant ? Pas vraiment ! La majorité des esclaves était engagée dans des tâches subalternes, parfois ils étaient une main-d’œuvre consommable pour les mines et d’autres tâches dangereuses. Leur donner de l’argent n’aurait eu aucun sens : comment auraient-ils pu le dépenser ?

Olivier

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UN CLIN D’ŒIL ?

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Le tremblement de terre de New Madrid a été le plus grand tremblement de terre de l’histoire américaine. Il s’est produit dans la vallée centrale du Mississippi.

À l’époque, il avait été ressenti aussi loin que New York, Boston, Montréal et Washington DC. Le président américain de l’époque, James Madison (1751-1836), 4e  président des Etats-Unis et son épouse Dolly, l’avait ressenti à la Maison Blanche.

Les cloches des églises avaient sonné à Boston. Du 16 décembre 1811 à mars 1812, il y avait eu plus de 2 000 répliques dans le centre du Midwest et plus de 7 000 dans le Bootheel du Missouri, où New Madrid est situé près de la jonction des rivières Ohio et Mississippi.

Certains vont se demander pourquoi j’évoque ici ces faits. Je vous parle souvent du soleil et de ses effets sur notre planète et surtout du FAIT qu’il soit l’acteur ESSENTIEL des changements climatiques qu’il provoque. Ce dont je vais vous parler ici, fait partie de ses nombreux effets.

Une éclipse solaire était survenue le 17 septembre 1811, au-dessus de la zone de faille de New Madrid. Trois mois après l’éclipse, une série de tremblements de terre absolument énormes commença à se produire sur la faille de New Madrid …La ligne de faille de New Madrid, est une zone sismique majeure à la limite du Sud et du Midwest des États-Unis, s'étendant au sud-ouest de New Madrid dans le Missouri.

Des experts estiment que ces tremblements de terre furent intensément ressentis sur 130 000 km2 et modérément sur 2,6 millions de km². Par comparaison le tremblement de terre historique de 1906 à San Francisco a été ressenti modérément sur seulement 16 000 km2.

Dans l’histoire connue du monde, aucun autre tremblement de terre n’a duré aussi longtemps et n’a produit autant de dégâts que celui de New Madrid. Trois de ces tremblements de terre figurent sur la liste des principaux tremblements de terre d’Amérique : le premier, le 16 décembre 1811, d’une magnitude de 8,1 ; le second le 23 janvier 1812, à 7h8 ; et le troisième le 7 février 1812, avec une magnitude 8,8.

La prochaine éclipse solaire totale visible depuis les États-Unis n’aura pas lieu avant 2044, et la trajectoire de cette éclipse solaire totale ne touchera que trois États.

Mais avant 2044, 2024 nous a déjà donnée un tremblement de terre historique au Japon. L'année nous réserve en outre   la Grande Éclipse américaine Du 8 avril 2024.

Elle traversera les États-Unis le tout premier jour de l’année du calendrier hébreu. Le chemin de l’éclipse totale de soleil traversera des parties des États du Texas, de l’Oklahoma, de l’Arkansas, du Missouri, de l’Illinois, du Kentucky, du Tennessee, du Michigan, de l’Indiana, de l’Ohio, de la Pennsylvanie, de New York, du Vermont, du New Hampshire et du Maine. Elle traversera également certaines parties du Mexique et du Canada.

2024 va véritablement nous secouer, tant spirituellement qu’intellectuellement et physiquement.

Quant à celles et ceux qui désirent en savoir plus, il y a toujours mes livres et cet article : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/12/une-etoile-noire-le-signe-d-un-monde-qui-s-assombrie.html

Olivier

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Anne, ma sœur Anne ne vois-tu rien venir ? (Partie 1)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Laissez-moi vous conter une histoire, pour la dernière fois. Charles Perrault (1628 -1703), est un homme de lettres français, célèbre pour ses Contes de ma mère l’Oye, sur lesquels il y aurait beaucoup à dire, ainsi que sur le janséniste qu’il fut. Dans mon conte, La Barbe bleue, sera tonton Klaus Schwab et la jeune épouse que Barbe bleue cherche à occire ; la gueusaille qu’à leurs yeux nous représentons tous.

La dette américaine a atteint la somme astronomique de 34 trilliards de dollars, l’élite le sait, elle en est même responsable. Je l’explique dans mon dernier ouvrage consacré à Davos et ses méfaits, l’Occident tout oxydé est au bord du gouffre. C'est juste qu'on ne dit pas la vérité (au public) et que beaucoup trop d’autruches veulent ignorer la réalité. Les ultra riches savent pertinemment que le bateau coule, ce sont eux qui ont créés l’iceberg et embauchés les capitaines ivres qui nous mènent dessus.

Eux, ils se sont créés une bouée verte. D’où le fameux plan de Davos qui consiste à tous nous imposer une taxe carbone personnelle reliée à l'identité numérique, sous prétexte de lutter contre la prétendue « crise climatique ».

Tout sera alors basé sur des « crédits carbones ». Et si tout le monde en reçoit, Davos a tout prévu pour les riches. Si, par exemple, ils veulent partir en vacances plus souvent, ils pourront acheter les crédits carbone personnels des pauvres qui, de toute façon, ne pourront pas se permettre d'acheter des billets d'avion ou de manger de la viande trop souvent.

Et c’est là que la machine infernale se met en marche. Pour ces fous, la chaîne alimentaire représente plus d'un quart des émissions mondiales de GES. Alors que les naissances diminuent partout dans le monde, ils ont calculé qu’au cours des deux prochaines décennies, la demande alimentaire mondiale devrait doubler. Cela signifie que l'agriculture devra être plus productive tout en réduisant son impact environnemental (…)

Ainsi, la bande à tonton Schwab imagine un secteur agricole qui émet beaucoup moins de gaz à effet de serre et qui obtient de meilleurs rendements agricoles, tout en générant des revenus supplémentaires grâce aux crédits issus de l'agriculture carbone.

Cette agriculture-là, à base d’insectes, d’OGM et de viande artificielle, sera subventionnés pendant que l’agriculture normale sera sacrifiée.

Pour cette politique, le gouvernement hollandais a décidé de faire la guerre aux agriculteurs en les forçant à vendre leurs terres, ce qui avait provoqué des grèves violentes en 2023... Non seulement Davos et Bill Gates veulent qu'on mange des insectes, mais en plus ils comptent remettre en place la taxe carbone à l'échelle de toute la population, une gigantesque escroquerie sur le dos des entreprises françaises et des populations

C’est pourquoi, devant toutes ces impostures monumentales, je me lève et essaie d’avertir mon prochain. Je le fais une dernière fois à travers cette série d’articles. Après j’arrête car je commence à en avoir marre de l’inertie observée et du manque de cohésion chez mes lecteurs. Qu’on me croie ou non, peu importe, vous ne tarderez pas à observer et vivre dans la chair tour ce que je dénonce ici.

Je suis un « complotiste » depuis longtemps, un fils spirituel de personnes courageuses telle Claire Séverac. Je me bats au milieu des fous et contre des bataillons de fous dangereux dont ceux qui se disent écologistes en constituent les plus cruels et dangereux. Ils font de la politique écologique une machine infernale qui nous plonge dans un malthusianisme ruineux.

Une des façons d’en mesurer le résultat est de regarder l’évolution du PIB qui est la création de richesse de l’économie européenne. Si on continue à les laisser faire à ce rythme-là, notre PIB va se résumer à peau de chagrin et cette "transition écologique" sera insupportable sur le plan économique. Les conséquences sur la dette, l’emploi, l’inflation seront catastrophiques.

Oui. J’appartiens à cette race si souvent montrée du doigt parce qu’elle gratte en permanence le vernis de la bonne conscience, pour mettre à nue cette Vérité qui rend libre. Libre de tous ces salauds de corrompus qui nous mentent à longueur de journée. J’en suis à moult articles concernant ces sujets cruciaux, fatigué de vous expliquer ce paradigme fou : l’illusion d’une transition écologique "merveilleuse" qui créerait des emplois et des richesses pour tous.

Au milieu de ce marasme occidental, il y a la France et un peuple qui n’est pas prêt à sacrifier un peu de son bien-être d’aujourd’hui pour améliorer le sort des générations futures surtout si elles ne sont pas françaises… Et c’est bien compréhensible d’autant plus que les alternatives existent mais restent cachées pour satisfaire encore et toujours les intérêts de l’élite.

Au milieu de cette guerre d’idées frelatées, l’obscurantisme écolo-bobo, incarne le « bien » avec son écologie vertueuse autant qu’environnementale. Ce camps est continuellement accompagné de sa farandole endiablée de termes qui le sont tout autant : naturel, durable, éolienne, biologique, photovoltaïque, recyclable, économe, local, associatif, décentralisé ; j’en passe et des meilleurs.

Dans l’autre camps, il y a nous, les salauds de pauvres pollueurs qui osent encore respirer et produire ce monstrueux CO2 qui impacte nos vie et la sérénité de Gaïa. Parmi ces intégristes, il y a encore une classe à part : les intégristes climato-sceptiques, dont j’ai l’honneur de faire partie. Je suis une espèce de jésuite du climat qui, au milieu des mensonges énormes du GIEC, défend l’idée qu’au nom du réchauffement climatique, les partisans de l’étatisme et du dirigisme justifient une fiscalité toujours plus importante, des réglementations toujours plus contraignantes et l’emprise croissante de la sphère publique.

Leur sacrosaint principe de précaution ne sert qu’à embrigader l’humanité et engager des dépenses souvent inutiles au milieu desquelles les gourous davosiens profitent d’une crise climatique créée de toute pièce pour renverser le système économique actuel… nous robotiser et nous affamer.

Un jour, nos descendants s’amuseront peut-être de cette folie qui avait envahie le monde de sa nouvelle idéologie mortifère. Ils comprendront peut-être difficilement cette faillite scientifique qui nous avait plaqué au mur des exécutions sommaires : ou quand le dogme politique prend le pas sur les résultats expérimentaux.

Ils comprendront d’autant moins encore la faillite morale qui nous avait attrapé lorsque l’Europe s’imposa seule le coût faramineux des énergies renouvelables, au nom d’un « consensus scientifique » dont les politiques et les médias contrôlaient totalement le récit.

En effet, ils sont passés où les scientifiques raisonnables face à cette panique climatique propagée ? Nos modèles utilisés pour prédire l’avenir en matière de climat sont profondément défectueux. Ils ne sont même pas en mesure de décrire avec précision le climat du passé !

Tout cela n’est qu’une stratégie qui consiste à faire exploser les prix de l’alimentation et de l’énergie, à créer une pénurie de logements et à réduire de manière autoritaire la mobilité. Parallèlement on assiste à un développement d’une bureaucratie qui contrôle la vie des entreprises et des citoyens…

Il y a un an, à Davos, en Suisse, pour le Forum économique mondial, un sbire de l’administration John Kerry a déclaré que : Enormément d’argent était nécessaire pour les programmes climatiques.  Environ 150.000 milliards de dollars, rendez-vous compte ! C’est 150% du PIB mondial. Le fait que ce montant FARAMINEUX soit dépensé au cours des 26 prochaines années ne signifie pas qu’il ne s’agit pas d’un montant destructeur pour l’économie.

La réunion annuelle du Forum économique mondial de Davos a lieu maintenant, du 15 au 19 janvier 2024. L’ampleur du « besoin » importe peu aux partisans de Davos, qui se réunissaient cette année pour la 54e fois. Comme d’habitude, ces flagorneurs ont passé leur temps à se persuader de combien le monde a besoin d’eux et de leurs compétences particulières pour résoudre la crise climatique qu’ils ont fabriquée, et de la quantité d’argent des autres dont ils ont besoin pour faire le travail.

Si leur rêve de psychopathe abouti, ce qui représente quand même environ 5 000 milliards de dollars par an des contribuables, que pouvons-nous en attendre ?

Eteindre les lumières, laisser les voitures au garage et reboucher les pipelines de gaz et de pétrole, le tout en mangeant des insectes et de la viande artificielle, tout ça ne servira à rien : c’est du pipi de chat qui n’influencera nullement la météo. Tout juste retournerez-vous au Moyen Âge car, si vous pensez que les humains influent sur le climat dangereusement, vous vous mettez le doigt dans l’œil et jusqu’à l’épaule.

Pendant ce temps-là, les pays en développement, moins cons que l’Occident tout oxydé de ses vieux cons de Davos et menés par la Chine et l’Inde, conduisent actuellement leur PIB vers des sommets d’où nous ne verrons plus jamais les paysages lointains, puisque privés de voyage en avion.

Tout ceci n’est qu’écologie punitive…assénée par de petits kapos vert d’une idéologie vert de gris. L’écologie politique déconstruit notre histoire et nos paysages tout en mettant en exergue la démission presque irrémédiable de toute une société. Ainsi face à cette démission par lâcheté, nous devenons la cible des verts les plus fous : c’est-à-dire des écologistes les plus influents tels : Sandrine Rousseau, Marc Jancovici, Greta Thunberg, etc.

Pendant qu’en un mélange de cynisme et de bêtise, l’un prône le rationnement des billets d’avion, la mesure phare de Rousseau, consisterait à interdire immédiatement de louer des "passoires thermiques", créant ainsi une pénurie MONSTRUEUSE de logements.

Quant à « sainte » Greta, elle pense que l’heure de l’apocalypse écologique a sonné. La prosternation devant ces papes du climat est donc notre seule voix de salut. On est bien dans une écologie carcérale plus pressée d’asservir et de ruiner que de lutter contre un changement climatique qui, de toute manière, ne dépend aucunement de nous.

Du bio à la voiture électrique en passant par le nucléaire ou les OGM, ce totalitarisme vert démonte méthodiquement le corpus de poncifs écologistes les plus clivants et les plus extrêmes. Il est devenu le témoin d’une époque où penser librement en marge d’une religion nourrie de fantasmes et de peurs est devenu un acte de courage et les voix scientifiques discordantes des ennemis à abattre.

Là-dedans, l’UE n’est qu’un repère de loups aux ordres des lobbies et désireuse de démanteler ce qui reste des Etats souverains. Un simple exemple : le moteur économique européen, où le piston allemand, comme vous voudrez, n’a qu’une idée en tête ; démantibuler la culasse et le vilebrequin. L’Allemagne s’est évertuée à massacrer notre fleuron national : notre patrimoine nucléaire. Le nucléaire français a été démantelé. L'Allemagne mène une offensive terrible pour détruire EDF https://youtu.be/e4GWqyTTuCo

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/01/anne-ma-soeur-anne-ne-vois-tu-rien-venir-partie-2.html

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RETOUR SUR « LE CHEF D’ORCHESTRE » : LE SOLEIL

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Je vous explique depuis des années que de puissantes activités solaires peuvent déclencher des tempêtes géomagnétiques qui se propagent ensuite à travers la magnétosphère de notre planète. Outre les dégâts provoqués sur notre technologie de géant aux pieds d’argile, rares sont ceux qui réalisent les implications potentielles que ces tempêtes peuvent avoir sur notre santé cognitive.

Dans le passé, de graves perturbations produites par le Soleil justifient un sentiment de préoccupation. La tempête solaire de Carrington fut le plus intense épisode géomagnétique de l’histoire enregistré. Il culmina du 1er au 2 septembre 1859 pendant cycle solaire 10.

Il créa un impressionnant épisode auroral a rapporté à l'échelle mondiale et provoqua des étincelles et même des incendies dans plusieurs stations télégraphiques, ainsi que des morts électrocutés. Cette tempête était le résultat d'un éjection de masse coronale (CME) du Soleil qui entra en collision avec notre magnétosphère terrestre.

Plus récemment, en 1989, des millions de personnes furent plongées dans l'obscurité dans la province canadienne du Québec, lorsqu'une tempête géomagnétique élimina le réseau électrique pendant environ dix heures. Un événement similaire s'est produit en Suède en 2003 et cette année-là, un satellite de la Japan Aerospace Exploration Agency a également subi des dommages.

Ne représentant aucun danger pour nous, des explosions massives se produisent ainsi à la surface du soleil. Mais le rayonnement qu'elles émettent en sont un. Ces explosions envoient des rayons X, des particules énergétiques et des gaz appelés CME dans l'espace.

Si certains atteignent la Terre, ils peuvent y rompre nos systèmes de communication, rendant les téléphones, Internet et le reste de notre infrastructure d'information inutiles. Les systèmes GPS sont une préoccupation particulière. Des perturbations pourraient menacer la sécurité des vols, des drones et des voitures autonomes.

Il ne faut qu’environ huit minutes pour que les rayons X atteignent la Terre. Les CME prennent de deux à trois jours. La communauté internationale y prête attention. En 2015, les Nations Unies ont adopté un document appelé Sendai Framework for Disaster Risk Reduction. Dans une liste des dangers pertinents, la météo spatiale est répertoriée avec d'autres menaces majeures pour la vie.

Ces tempêtes, en grande partie provoquées par le dynamisme de notre soleil, fascinent et intriguent les humains depuis des siècles. Les tempêtes géomagnétiques sont des perturbations temporaires de la magnétosphère terrestre, causées par le vent solaire provenant du soleil. Ce vent solaire n’est pas constant : il est influencé par les activités du soleil. Deux événements solaires principaux sont responsables de l'intensification des vents solaires.

Les éruptions solaires sont des explosions soudaines et intenses d’énergie et de rayonnement provenant de la surface du soleil et de son atmosphère. Bien que puissantes, elles n’ont pas toujours un impact significatif sur Terre, à moins qu’elles ne soient dirigées vers notre planète.

Contrairement aux éruptions solaires de plus courte durée, les CME sont des bulles géantes de gaz parcourues de lignes de champ magnétique, qui sont éjectées du soleil pendant plusieurs heures. Elles transportent plus de matière, d’énergie et de force que les éruptions solaires. Lorsqu’ils sont dirigés vers la Terre, les CME peuvent avoir de profonds impacts sur notre magnétosphère.

Ce sont ces activités solaires, en particulier les CME, qui provoquent les tempêtes géomagnétiques les plus puissantes lorsqu’elles interagissent avec le champ magnétique terrestre, ce bouclier qui nous protège d’une grande partie du rayonnement solaire. Cependant, lorsqu’il est bombardé par un vent solaire accru, en particulier celui des CME, ce bouclier est temporairement déformé et comprimé, ce qui le fait « vaciller » ou fluctuer. Cette fluctuation et cette distorsion conduisent à des courants de particules chargées, qui à leur tour génèrent la tempête géomagnétique.

Les tempêtes géomagnétiques, bien que de nature céleste, produisent des effets tangibles et observables sur Terre. Outre les aurores boréales et australes parfois visibles même à des latitudes plus basses que d'habitude en fonction de l’intensité de la tempête magnétique, elles peuvent interférer avec les communications par satellite, les systèmes GPS et même les réseaux électriques. Les particules chargées présentes dans les tempêtes géomagnétiques peuvent induire des courants dans les systèmes électriques, entraînant des dysfonctionnements et des perturbations.

Mais qu’en est-il du biologique ? Ces tempêtes pourraient-elles influencer directement ou indirectement diverses formes de vie sur Terre ? L'un des effets les plus documentés des tempêtes géomagnétiques dans le règne animal est leur interférence avec les espèces qui dépendent du champ magnétique terrestre pour la navigation.

De nombreuses espèces d’oiseaux migrateurs possèdent une boussole magnétique innée qui facilite leurs voyages sur de longues distances. Lors de tempêtes géomagnétiques, les perturbations du champ magnétique terrestre peuvent égarer ces oiseaux, les désorientant souvent et les faisant s’écarter de leurs voies de migration traditionnelles.

Il en est de même concernant plusieurs espèces marines, comme les tortues et certains poissons, qui dépendent des signaux géomagnétiques pour la navigation, notamment lors des migrations de reproduction.

Quant à nous, les humains, nous ne sommes pas non plus à l’abri de ses fluctuations. Certaines recherches suggèrent que les tempêtes géomagnétiques pourraient avoir une influence plus subtile, mais plus significative, sur notre physiologie. La mélatonine, une hormone responsable de la régulation des cycles veille-sommeil, pourrait être influencée par l'activité géomagnétique.

Au-delà de la mélatonine, certaines preuves suggèrent un lien direct entre une activité géomagnétique accrue et des troubles du sommeil chez les individus sensibles. Il ne s’agit pas seulement de la durée du sommeil, mais aussi de sa qualité, avec des implications potentielles sur la fonction cognitive et la régulation de l’humeur. Le cerveau, avec son réseau complexe de connexions neuronales et d'activité électrique, n'est pas un candidat improbable pour être affecté par les fluctuations géomagnétiques.

Certaines recherches préliminaires ont indiqué que les tempêtes géomagnétiques pourraient influencer la configuration des ondes cérébrales, en particulier dans la gamme de fréquences alpha. Ces altérations, bien que subtiles, pourraient potentiellement avoir un impact sur les processus cognitifs tels que l’attention, la mémoire, etc.

Il existe un sous-ensemble de la population qui revendique une sensibilité accrue aux champs électromagnétiques, une condition parfois appelée hypersensibilité électromagnétique (EHS). Certains individus pourraient être plus sensibles aux effets des perturbations géomagnétiques.

Nos horloges biologiques internes, ou rythmes circadiens, jouent un rôle central dans divers processus physiologiques, du sommeil au métabolisme. L’influence potentielle des tempêtes géomagnétiques sur les niveaux de mélatonine, comme évoqué précédemment, peut également affecter indirectement nos rythmes circadiens, avec des effets en cascade sur la santé et le bien-être en général.

Les sociétés anciennes, des Mayas aux Chinois, documentent depuis longtemps les événements célestes, y compris ceux éventuellement liés aux tempêtes géomagnétiques. Certains de ces récits font allusion à des changements de comportement ou d’humeur collective perçus lors d’événements solaires importants, bien que l’interprétation de ces enregistrements nécessite prudence et contexte.

La science se nourrissant du scepticisme et de la validation, lorsqu’ils arrangent l’élite ; certaines études ont contredit des résultats mentionnés ci-dessus ou donné des résultats « non concluants ». Néanmoins, technologie aidant, au cours du siècle dernier, plusieurs études ont trouvé des corrélations entre l’activité géomagnétique et une gamme d’effets cognitifs et psychologiques allant de : l’incidence accrue d’anxiété, dépression et même certains épisodes psychotiques.

Sur le plan cognitif, il y a eu des indications d'une altération de la capacité d'attention, de la mémoire et des temps de réaction pendant les périodes d'activité géomagnétique accrue.

Le cerveau fonctionne avec une symphonie de signaux électriques. Certains chercheurs proposent que les tempêtes géomagnétiques, de par leur nature électromagnétique, pourraient potentiellement influencer ces schémas électriques neuronaux, affectant ainsi les processus cognitifs. En s’appuyant sur le concept d’hypersensibilité électromagnétique (EHS), il est possible qu’un sous-ensemble d’individus soit plus sensible aux perturbations géomagnétiques. Pour ces individus, les tempêtes solaires pourraient induire des changements cognitifs ou physiologiques plus prononcés.

Puisque l’activité solaire et les perturbations géomagnétiques associées modulent l’activité du système nerveux autonome, ces événements peuvent être associés à la pression artérielle (TA). L'activité solaire et les perturbations géomagnétiques provoquées par le soleil positivement associées à la pression artérielle, cela suggère que ces phénomènes naturels influencent la pression artérielle chez les personnes âgés.

Le sommeil, élément crucial de la fonction cognitive, pourrait ainsi être un facteur médiateur dans la relation entre l’activité solaire et la cognition.

Implications des tempêtes géomagnétiques pour la santé cognitive Ces connaissances sont vitales, non seulement pour les scientifiques et les chercheurs, mais aussi pour tous ceux qui souhaitent préserver leur bien-être cognitif au milieu du dynamisme du cosmos.

La vie quotidienne est une danse complexe de processus cognitifs, depuis le simple fait de décider quoi manger au petit-déjeuner jusqu'aux tâches complexes de résolution de problèmes au travail. Un mauvais sommeil, même pour une seule nuit, peut entraîner une capacité d’attention réduite, des troubles de la mémoire et un processus décisionnel plus lent.

Une augmentation potentielle des symptômes d’anxiété ou de dépression lors de tempêtes géomagnétiques peut avoir un impact sur les performances cognitives. Les états émotionnels jouent un rôle important dans des fonctions telles que l’attention, la rétention de la mémoire et la résolution de problèmes, en particulier ceux qui nécessitent de la précision ou une prise de décision rapide.

Au fil du temps, la privation chronique de sommeil a été associée à une série de problèmes cognitifs, notamment un risque accru de maladies neurodégénératives. Des périodes prolongées d’anxiété ou de dépression accrue peuvent avoir des effets en cascade sur la santé cognitive. Les troubles de l’humeur persistants peuvent entraîner un déclin cognitif ou exacerber les problèmes cognitifs existants.

Les tempêtes géomagnétiques influencent l’activité neuronale, elles pourraient également jouer un rôle dans la plasticité neuronale : la capacité du cerveau à se réorganiser et à former de nouvelles connexions neuronales.  Ainsi, en restant informé des prévisions d’activité solaire, les individus peuvent être mieux préparés aux éventuelles perturbations géomagnétiques. Plusieurs plateformes proposent des prévisions météorologiques solaires, un peu comme nos prévisions météorologiques.

S'engager dans des activités anti-stress, telles que la méditation, des exercices de respiration profonde ou même de simples promenades, peut aider à gérer les fluctuations potentielles de l'humeur. Pour renforcer le cerveau contre d’éventuelles perturbations, une stimulation mentale continue par l’apprentissage, les énigmes, la lecture et d’autres tâches cognitives peut s’avérer bénéfique.

Mais pour revenir à mon dada : le climat, le soleil de par son activité ne joue pas que sur nos humeurs et nos GPS. Une baisse tangible de son manteau magnétique laisse aussi passer plus de rayons lointains. Je l’ai déjà évoqué mais y revenir vous aidera, je l’espère, à comprendre certains épisodes climatiques autant que calamiteux qui émaillent notre histoire jusqu’à nos ressentes inondations.

Un bouclier magnétique solaire en baisse, laissera passer beaucoup plus de rayons cosmiques. Facteur de variabilité du taux de production d'ions dans l'atmosphère, les rayons cosmiques interfèrent dans les processus atmosphériques. Les ions peuvent affecter les phénomènes atmosphériques par des réactions chimiques dépendantes de la charge et de la formation de cristaux de glace. Leur influence affecte également les courants circulant dans « le circuit électrique mondial ».

En effet, nos anciens connaissaient parfaitement ces « veines du dragon », des rayonnements telluriques parcourant la planète et qui sont modulés par tous ces phénomènes cosmiques. Menhirs et dolmens n’en constituent qu’une acupuncture visible. Ainsi, pour en revenir au cœur de mon article, si la Gaïa d’Al Gore est sensible à ces énergies au même titre que nos GPS, tout le processus biologique l’est également.

Les rayons cosmiques sont des particules énergiques chargées, principalement d'origine galactique, bien qu'elles puissent également être générées sur le Soleil et dans l'espace interplanétaire. L'impact des CR sur l'environnement terrestre est entièrement dû à leur capacité à provoquer l'ionisation.

Ils exercent une influence sur les communications longue distance, qui dépendent de l'état de l'ionosphère. Ils sont la source d'influence des particules pénétrantes sur les instruments, les ordinateurs et les batteries solaires à bord des engins spatiaux. L'importance de ces impacts CR augmentera avec le développement de la technologie.

Les CR sont le rayonnement le plus pénétrant dans l'espace et la principale source d'ionisation dans l'atmosphère en dessous de 60 km, sauf dans la couche limite proche du sol en dessous de 3 à 4 km. À des altitudes plus élevées, la principale source d'ions est le rayonnement solaire, et dans la couche proche du sol, la radioactivité de la Terre devient importante.

La modulation du flux CR reflète étroitement l'historique temporel de l'activité solaire. Les flux de rayons cosmiques sont fortement modulés par l'activité solaire, tout comme l'ionisation produite par les CR dans l'atmosphère. L'ionisation induite par la CR joue un rôle important dans les processus atmosphériques : les états dynamique, électrique et chimique de l'atmosphère, tant pour les variations à long terme qu’au jour le jour.

Conclusion : Tout étant interdépendant en une précision doublée d’une complexité échappant totalement à Sapiens, vous pouvez constater ici ô combien les prétention du GIEC concernant le CO2 sont du pipi de chat juste bon à taxer les gueux. Je ne saurais trop vous conseiller de lire ou relire ces articles dans l’ordre SVP. Et surtout de les partager tant ceci est vital pour notre avenir proche.

https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/11/je-vous-ai-prevenu.html

https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/12/le-deni-des-nantis.html 

https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/12/une-etoile-noire-le-signe-d-un-monde-qui-s-assombrie.html

https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/12/ceux-qui-nous-pompent-l-air.html

Bonne fin d’année.

Olivier

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La « désinformation climatique » serait financée « par le X » et la publicité en ligne.

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

 

Le financement de la désinformation par le biais de la publicité sur les plateformes numériques comme X, anciennement Twitter, « mine tout ce qu’on essaie de faire ici » à la COP28, a dénoncé Jake Dubbins, coprésident de Climate Action Against Disinformation, lors du panel organisé à Dubaï.

Pour lui, les annonceurs qui achètent de la publicité sur les réseaux sociaux comme X financent souvent, sans le savoir, la désinformation climatique et les discours haineux. Cette désinformation aggrave la crise climatique. Il a souligné qu’une recherche sur X avec le mot « climate » proposait à l’internaute, de façon prioritaire, du contenu lié à la désinformation, émanent de "sales types" comme moi.

En France, le Centre national de la recherche scientifique (CNRS) a analysé près de 400 millions de tweets entre janvier 2021 et décembre 2022, donc principalement avant qu’Elon Musk prenne possession de Twitter. Le CNRS a constaté que la communauté climatosceptique produisait ou relayait à l’époque 3,5 fois plus de messages que la communauté du GIEC, qui compte plusieurs centaines de chercheurs en environnement.

Pour ce genre de lascar, les climatosceptiques sont également ceux ayant participé à de nombreuses campagnes de contestation antisystème/antivax pendant la pandémie. Et cette situation a empiré depuis l’achat du réseau social par Elon Musk, selon plusieurs études, dont une publiée au printemps par des chercheurs de l’État de l’Oregon, de l’Université de Californie du Sud et d’autres institutions.

Elon Musk a notamment licencié des centaines d’employés et rétabli des comptes autrefois bannis. Pour tous ces vendus au système, la désinformation nuit à leurs ambitions mondialistes.

« L’atteinte de nos objectifs climatiques est problématique, car on doit rehausser nos ambitions », a souligné Benoit Charrette, homme politique québécois et ministre de l'Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques depuis le 8 janvier 2019.

Le gouvernement, a ajouté le ministre, « n’est malheureusement pas un acteur crédible à leurs yeux », d’où l’importance du rôle joué par la société civile qui tente de mobiliser les gens dans l’action climatique.

En juin dernier, c’est le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, qui a invité les pays à s’attaquer au «grave préjudice mondial » causé par la prolifération de la haine et des mensonges en ligne, lors du lancement d’un rapport sur l’intégrité de l’information sur les plateformes numériques.

Le sujet n’est pas ici de savoir si nous avons des problèmes de pollution ou pas. Nous en avons, c’est indéniable. Et comme je l’explique clairement dans mon dernier livre, il est même grandement à l’origine de ce que les salopards qui nous dirigent se sont dépêchés de déguiser en couillonavirus.

Les particules fines sont un calvaire et la pollution est partout. Seulement voilà, on nous fait focaliser sur ce malheureux CO2 et certainement pas pour les bonnes raisons. La vérité c’est que « le vert » permet de les enrichir toujours plus.

Lorsque dans un débat on ne peut pas discuter, ça devient un monologue, tout sauf de la vraie science objective. Le parallèle avec le Covid-19 est ici FLAGRANT.

Comme toujours, quand on affirme qu’un élément ne peut se discuter, c’est suspect ! Lisez Tonton Malthus et vous verrez o combien les modèles du GIEC sont obsolètes. La science est comme l’avis des humais, elle évolue en fonction des nouvelles observations : des découvertes.

Un exemple avec le phytoplancton. Le véritable poumon du monde ce sont les océans et pour au moins 75 %. Les océans absorbent davantage de CO2 que prévu grâce au plancton. Ce sont les bouleversements climatiques qui menacent cette pompe naturelle. Et ces bouleversement ont un chef d’orchestre que mes lecteurs connaissent bien : notre Soleil. L’homme n’y est pour rien, c’est un gros dégueulasse de pollueur, mais ce n’est certainement pas lui qui réchauffe le climat avec ses pets.

Depuis des années, on nous bassine avec des « puits carbone ». Les forêts sont sûrement le plus connu d’entre eux. Mais les océans jouent aussi un rôle, loin d’être négligeable. D’immenses masses d’eau parcourent le globe au gré des courants. Quand les eaux de surface plongent vers les profondeurs, elles emportent du carbone. Ça, c’est pour la pompe mécanique, intervient aussi une pompe biologique : le plancton qui vit à la surface.

La partie qui n’est pas mangée coule et se dépose au fond des océans et reste stockée des  milliers d’années. Ça je l'écris depuis des années : le rôle de l’océan est plus important que ce qui était jusqu’ici envisagé.

Le problème est le suivant, nos aïeux savaient tout cela, mais, bizarrement, selon une nouvelle étude qui est parue dans la revue Nature, des chercheur semblent juste l’avoir découvert ?

Dans le précédent rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), en 2021, le rôle de l’océan était souligné, mais les mesures imprécises. Les estimations dataient du début des années 2010.  Selon la nouvelle étude, la pompe biologique de l’océan capture chaque année 20 % de plus que la moyenne calculée par le GIEC, de 11 gigatonnes.

Donc, vous voyez à travers cette information, en plus d’être soudoyé depuis des lustres par l’élite qui désire nous faire avaler des couleuvres, les données de GIEC sont alambiquées.

De plus, je vous ai suffisamment prévenu, un dernier rapport climatique prévient que la Terre est sur le point de franchir des points de basculement dangereux. L’un d’eux pourrait déclencher une ère glaciaire en Europe et avoir un impact considérable sur l’humanité.

Mais les récifs coralliens et les forêts tropicales ne sont pas les seuls à être menacés par le dépassement des points de basculement. Les changements dans la circulation océanique de l’Atlantique pourraient avoir des impacts significatifs sur le climat en Europe.

Un changement dans le vortex subpolaire entraînera des hivers beaucoup plus froids et plus enneigés et des étés plus chauds, raccourcira la saison de croissance des cultures de plusieurs mois et entraînera une perturbation importante des approvisionnements en eau.

Bonne fin d’année quand même.

Olivier

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