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economie

Roro et son empire basé sur la fausse science (Partie 3)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Il n’y a pas de remède contre le cancer, le diabète, l’autisme, l’asthme ou même la grippe. Il y a des petites pilules. Pourquoi y aurait-il de vrais remèdes contre tout et même ce fichu cancer ? Roro y a bien pensé puisqu’en 1913, il a fondé l’American Cancer Society. Allait donc pouvoir débuter la valse des chimiothérapies, de la radiothérapie et de la chirurgie.

Sacré Roro! ce vampire allait tous nous embarquer dans sa valse mortifère et endiablé. En 1918, la maladie à l'origine d'un si grand nombre de victimes n'était donc ni la grippe ni un virus.

C'était une bactérie. Agenda 2021 oblige, « se préparer à une pandémie » allait devenir au milieu des années 2000 un sujet VITAL pour l’élite et son plan d’éradication des gueux. C’est ainsi qu’aux USA et ailleurs, les fabricants de vaccins contre la grippe ont reçu des milliards de dollars des contribuables.

Lorsque les États-Unis sont entrés en guerre en avril 1917, notre Big Pharma adolescent disposait d'une manne providentielle : un grand nombre de sujets humains pour des tests effectués sous forme de première ébauche de l'armée américaine.

Pendant les années de guerre 1918-1919, les effectifs de l'armée américaine ont atteint 6 000 000 d'hommes, dont 2 000 000 ont été envoyés outre-mer. L'Institut Rockefeller pour le Medical Research a profité de ce nouveau réservoir de cobayes humains pour mener des expériences vaccinales.

Entre le 21 janvier et le 4 juin 1918, des soldats ont reçu trois doses d'un vaccin contre la méningite bactérienne. Les personnes qui ont mené l'expérience sur les soldats se contentaient de doser au petit bonheur la chance le sérum vaccinal fabriqué à partir de chevaux.

En mars de cette année-là, « cent hommes par jour » entraient à l'infirmerie de Fort Riley.  Le lundi 11 mars, le premier signal d’alarme se fait entendre, signalant le début de la première vague de grippe de 1918.

Plusieurs des hommes qui ont participé à l'expérience vaccinale présentent ensuite des symptômes de type grippal : toux, vomissements et diarrhée. Ces symptômes sont une catastrophe pour les hommes, vivant dans des casernes, voyageant en train jusqu'à la côte atlantique, ils naviguent ensuite vers l'Europe, vivent et se battent dans des tranchées.

Les conditions d'insalubrité à chaque étape du voyage constituent un environnement idéal, un terrain favorable à la détérioration du système immunitaire préparant ainsi la voie à la propagation d'une maladie contagieuse comme la pneumonie bactérienne.

Les réactions ont parfois ressemblé au début d'une méningite épidémique et plusieurs hommes vaccinés ont été envoyés à l'hôpital de la Base pour diagnostic. Les soldats ont développé des symptômes semblables à ceux de la grippe.

La méningite bactérienne, à l'époque comme aujourd'hui, est connue pour provoquer des symptômes similaires à ceux de la grippe. La similitude des premiers symptômes de la méningite bactérienne et de la pneumonie bactérienne avec les symptômes de la grippe est peut-être la raison pour laquelle les expériences de vaccination à Fort Riley ont pu échapper à tout examen en tant que cause potentielle de la grippe dite « espagnole » depuis cent ans et plus.

La Première Guerre mondiale s'est terminée seulement dix mois après les premières injections. Malheureusement pour les 50 à 100 millions de morts, les soldats à qui l'on a injecté des bactéries chevalines se sont rapidement déplacés pendant ces dix mois.

Un article de 2008 sur le site du CDC décrit comment des soldats malades de la Première Guerre mondiale ont pu transmettre la bactérie à d'autres en devenant des « vecteurs de propagation ».

Pendant plusieurs jours au cours des épidémies locales, en particulier dans les lieux très fréquentés tels que les salles d'hôpital, les camps militaires, les navires de transport de troupes et les mines (et les tranchées), certains étaient immunologiquement sensibles, infectées ou en phase de guérison d'une infection par le virus de la grippe.

Bien que le vaccin ait rendu beaucoup de gens malades, il n'a tué que ceux qui y étaient sensibles. Ceux qui sont tombés malades et ont survécu sont devenus des « vecteurs de propagation » qui ont transmis la bactérie à d'autres, créant davantage de vecteurs de propagation, lesquels se sont propagé à d'autres personnes en tuant les personnes qui y étaient vulnérables. Et le cycle s'est répété au-delà des conditions d'insalubrité qui prévalaient en temps de guerre, et les millions de soldats sur lesquels faire des expériences n'étaient plus là.

Le bilan pour les troupes américaines fut énorme et il est bien documenté. Quatorze des plus grands camps d'entraînement avaient signalé des épidémies de grippe en mars, avril ou mai, et certains des soldats infectés avaient transporté le virus avec eux à bord de navires à destination de la France.

Lorsque les soldats dans les tranchées sont tombés malades, les militaires les ont évacués des lignes de front et les ont remplacés par des hommes en bonne santé. Ce processus a continuellement mis le virus en contact avec de nouveaux hôtes, de jeunes soldats en bonne santé dans lesquels il pouvait s'adapter, se reproduire et devenir extrêmement virulent sans danger d'épuisement.

Avant qu'une interdiction de voyager puisse être imposée, un contingent de troupes de remplacement a quitté le Camp Devens près de Boston pour le Camp Upton à Long Island, qui était le point d'embarquement de l'armée pour la France, et a emporté la grippe avec lui.

Les États-Unis n'étaient pas le seul pays à posséder le vaccin bactérien expérimental de l'Institut Rockefeller. Un rapport de 1919 de l'Institut indique qu'il « convient de mentionner qu'avant l'entrée en guerre des États-Unis (en avril 1917), l'Institut avait repris la préparation de sérum anti-méningococcique, afin de répondre aux demandes de l'Angleterre, de la France, de la Belgique, de l'Italie et d'autres pays. » On n'en sait pas assez sur la façon dont ces pays ont mené leurs propres expérimentations sur leurs soldats.

Je sais néanmoins que malgré toutes ces preuves écrasantes certains, trop nombreux, verront encore en des gens comme moi de simple « complotistes » qui, face au doux nom de Rockefeller ou Rothschild crient toujours « Illuminati ! » ou « Réduction de la population ! ».

Qu'en est-il de nos jours ? Big Pharma est toujours à la recherche de sujets humains. Bill Gates et sa bande se sont fait la main sur de pauvres filles en Inde ou sur de malheureux africains. C'est-à-dire là où on a le plus de succès lorsqu'on parvient à trouver des populations qui ne sont pas en mesure de refuser.

Vous ne me croyez pas ? Il n’est qu’à jeter un œil sur la vidéo du Dr Stanley Plotkin où il décrit l'utilisation de vaccins expérimentaux sur les orphelins, les retardés mentaux, les prisonniers et les personnes sous domination coloniale. La déposition a eu lieu en janvier 2018.

Voici une toute petite partie de l’effrayante déclaration que le Dr Plotkin admet avoir écrit : « La question est de savoir si nous devons faire des expériences sur des adultes pleinement fonctionnels et sur des enfants qui sont potentiellement des contributeurs à la société ou si nous devons faire des études initiales sur des enfants et des adultes qui sont humains dans leur forme mais pas dans leur potentiel social. »

Bien que l'eau propre, l'assainissement, les toilettes à chasse d'eau, les aliments réfrigérés et les régimes alimentaires sains aient fait et font encore beaucoup plus pour protéger l'humanité des maladies infectieuses que n'importe quel programme de vaccination, on continue à dépenser des fortunes pour en produire.

Ainsi, Big Pharma et sa chiourme de médecins assujettis ont malhonnêtement usurpé le crédit qui revient de droit aux plombiers, aux mineurs urbains, aux ingénieurs, aux urbanistes, etc.

Hélas, l'orgueil de la communauté médicale ne disparaîtra jamais et les vaccins, comme toutes les interventions médicales, ne sont pas infaillibles. Nous avons tous une sensibilité différente aux maladies. Les êtres humains ne répondent pas à une approche bonne pour tous et ont des besoins qui sont spécifiques à chacun.

En 1918-1919, l'industrie du vaccin a fait des expériences sur des soldats, probablement avec des résultats désastreux.

En 2020, l'industrie du vaccin a expérimenté à l’échelle mondiale avec les effets désastreux que nous ne commençons hélas qu’à entrevoir. Tous les jours, elle le fait sur des nourrissons. Résultat : un enfant américain sur sept, entièrement vacciné, suit une forme ou une autre d'éducation spécialisée et plus de 50 % d'entre eux souffrent d'une maladie chronique.

En 1918-1919, aucun suivi du ou des risques n'a été effectué après les vaccinations. En 2020, il n'y a pratiquement pas eu de suivi du ou des risques après l'administration d'un vaccin.

En 1918-1919, le fabricant n'était pas responsable des lésions ou des décès causés par les vaccins. En 2020, aucune responsabilité n'était prévue pour les fabricants de vaccins en cas de lésions ou de décès causés par des vaccins, ce qui fut officialisé en 1986.

C’est Bill le coyote lui-même qui s’en est assuré. Parcourant le monde dans son jet privé, il a rendu visite à tous les chefs d’état occidentaux, y compris Macron, afin de prêcher la bonne parole du Deep State : « Tu vaccines tout le monde et en cas de problème, on n’a rien vu. C’est ton gouvernement qui paie (avec nos impôts). » Il l’a fait alors que nous étions tous confinés et qu’aucun avion n’était censé circuler. Cherchez l’erreur ?

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Quant à celles et ceux qui veulent en savoir plus, j’ai ceci :

https://www.thebookedition.com/fr/37027_olivier-cape    

Olivier

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Roro et son empire basé sur la fausse science (Partie 2)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/04/roro-et-son-empire-base-sur-la-fausse-science-partie-1.html

Du 21 janvier au 4 juin 1918, un vaccin expérimental contre la méningite bactérienne cultivé sur des chevaux par l'Institut Rockefeller pour le Medical Research de New York avait été injecté aux soldats à Fort Riley.

Ensuite, ces soldats vivants et voyageant dans de mauvaises conditions sanitaires furent envoyés en Europe pour combattre, répandant la bactérie partout sur leur passage jusqu’aux tranchées de la ligne de front en France.

Et c’est là que les Athéniens s’atteignirent lorsque dans mon livre GRATUIT De Mammon à Corona comment en est-on arrivé là ?! j’explique sur un chapitre le vrai mode de propagation du Covid-19 !

En effet, une étude décrit des soldats présentant des infections actives propageant par aérosolisation les bactéries qui avaient colonisé leur nez et leur gorge, tandis que d'autres, souvent confinés dans les mêmes espaces étaient extrêmement vulnérables à l'invasion et à la propagation rapide dans leurs poumons de leurs propres bactéries colonisatrices ou de celles des autres. La pneumonie bactérienne s'attaque aux personnes dans la force de l'âge.

La grippe s'attaque aux jeunes, aux personnes âgées et aux personnes immunodéprimées.

Lorsque la Première Guerre mondiale a pris fin le 11 novembre 1918, les soldats sont retournés dans leurs pays d'origine et dans les avant-postes coloniaux, propageant la pneumonie bactérienne mortelle dans le monde entier.

C’est elle qui fut responsable de cette pandémie, des milliers d'autopsies le confirment. Selon une étude de l'Institut national de la santé de 2008, la pneumonie bactérienne fut la cause des décès dans au moins 92,7 pour cent des autopsies menées en 1918-1919.

Pendant la Première Guerre mondiale, l'Institut Rockefeller a également envoyé son sérum expérimental contre les méningocoques en Angleterre, en France, en Belgique, en Italie et dans d'autres pays, contribuant ainsi à la propagation de l'épidémie dans le monde entier.

Entre 1900 et 1920, d'énormes efforts ont été déployés dans le monde industrialisé par le biais de trois changements majeurs de la société : Eau propre et assainissement plus l’électricité.

On peut y ajouter « L’adolescent » Big Pharma, mais selon la doxa seulement. C'est-à-dire faire de l'industrie pharmaceutique de Rockefeller, le sauveur du monde. Ces trois vecteurs étaient censés construire une société meilleure avec un impact sur la mortalité due aux maladies infectieuses. 

De fait, l’OMS reconnaît l'importance de l'eau propre et de l'assainissement dans la lutte contre ces maladies. Et l'énergie renouvelable bon marché est importante pour de nombreuses raisons, notamment pour lutter contre les maladies infectieuses.

Ainsi en arrivons-nous à la création d’un excellent aide de camp pour la Bête en devenir, celle que nous devons TOUS COMBATTRE AUJOURD’HUI. De la fin du 19e siècle au début du 20e, New York est devenue le siège de l'Institut Rockefeller pour le Medical Research (aujourd'hui l'Université Rockefeller).

L'Institut est le lieu où l'industrie pharmaceutique moderne est née et il fut le pionnier de nombreuses approches utilisées aujourd'hui par l'industrie pharmaceutique, y compris la préparation de sérums vaccinaux, pour le meilleur ou pour le pire. Le vaccin utilisé sur les soldats dans l'expérience de Fort Riley a été cultivé sur les chevaux.

Les données sur les taux de mortalité aux États-Unis du début du 20e siècle à 1965 indiquent clairement que l'eau propre, les toilettes à chasse d'eau, les systèmes d'égouts efficaces et les aliments réfrigérés se sont tous combinés pour réduire efficacement la mortalité due aux maladies infectieuses AVANT que les vaccins contre ces maladies ne soient disponibles.

L’orgueil de l'Institut Rockefeller en 1918 a conduit à une pandémie qui a tué des millions de personnes, quelles leçons pouvons-nous en tirer et comment pouvons-nous les appliquer à ce que nous vivons depuis 2020 et même avant ? 

Et comme le déclarait Le sénateur américain Hiram Warren Johnson « La vérité est la première victime de la guerre. » Les Espagnols avaient donc bon dos et la grippe aussi. Comment est-il possible que l’épisode de Fort Riley, au Kansas, en 1918 ait échappé à l’Histoire ? Ceux qui me lisent ont la réponse ! Repensez-donc à cette phrase de Léon Tolstoï : « L'histoire serait une chose merveilleuse si seulement elle était vraie. »

Si un événement d'importance historique a pu être aussi mal nommé il y a plus de cent ans et ne jamais être corrigé, c’est grâce à l’argent et à la corruption de Big Pharma qui, déjà, sévissait et sévit toujours. L'Espagne était l'un des rares pays à ne pas avoir participé à la Première Guerre mondiale.

La plupart des pays impliqués dans la guerre ont censuré leur presse.

L’Espagne n’avait pas ce problème et les premiers rapports de presse faisant état de décès de personnes malades en grand nombre provenaient d'Espagne.

Les pays en guerre ne voulaient pas effrayer davantage les troupes, ils se sont donc contentés de faire de l'Espagne un bouc émissaire. Les soldats de tous les camps devaient traverser le no man's land sous les tirs des mitrailleuses, ce qui était déjà assez effrayant sans savoir que les tranchées étaient un terrain propice aux maladies.

Croyez-moi ou pas, afin de prévenir de futures catastrophes, le monde devrait examiner attentivement ce qui a réellement causé la pandémie. L'appellation de grippe « espagnole » n'a surement jamais été corrigée parce qu'elle contribue en partie à dissimuler la sombre origine de la pandémie, toujours la même, celle d’une élite richissime, l’ennemi de l’Humanité.

Faite donc un parallèle avec ce que nous vivons depuis début 2020 : le Covid-19 est nommé par certains « grippe de Wuhan ».

La grippe dite « espagnole » a bien débuté sur les lieux mêmes où ce vaccin bactérien expérimental a été administré. Mais il fallait une prière, un mantra récité à Mammon le dieu de l’argent de ces lucifériens. Et celui de « les vaccins sauvent des vies » sonnait nettement mieux que : « une expérience vaccinale originaire des États-Unis a causé la mort de cinquante à cent millions de personnes. »

Je l’explique clairement dans le premier chapitre du Centième Gueux Tome 1, si notre médecine occidentale a quelques bons points, et est excellente en cas d’urgence, il est néanmoins plus que nécessaire que les gens réalisent que cette médecine allopathique est axée sur les drogues, les narcotiques, les radiations, la chirurgie et les médicaments qui sont à la base une création Rockefeller.

John D. Rockefeller (1839-1937) était un magnat du pétrole, le premier milliardaire des États-Unis et un monopoliste de naissance. Au début du 20e siècle, il contrôlait 90% de toutes les raffineries de pétrole des États-Unis par l’intermédiaire de sa compagnie pétrolière, Standard Oil, qui fut plus tard démembrée pour devenir Chevron, Exxon, Mobil, etc.

Vers 1900, les scientifiques découvrent les « pétrochimiques » et la capacité de créer moult produits chimiques à partir du pétrole. Ils découvrent diverses vitamines et devinent alors que de nombreux médicaments peuvent être fabriqués à partir de pétrole. Sur ce, l’ami Roro va se jeter sur l’aubaine comme une tique assoiffée de sang frais. Ce vampire y voit là une formidable opportunité : la capacité de monopoliser les industries pétrolière, chimique et médicale en même temps !

Mais avant de singer la nature et vouloir tout breveter à volo afin de réaliser des profits élevés, il convenait de supprimer les gêneurs.

Les médecines à base de plantes étaient très populaires en Amérique à cette époque. Près de la moitié des médecins et des facultés de médecine des États-Unis pratiquaient la médecine holistique. Roro va trouver SA solution en créant un problème comme viennent de le faire ses coreligionnaires avec le Covid-19. La peur était déjà là le vecteur incitatif.

Il est allé voir son pote Andrew Carnegie, un autre ploutocrate qui avait fait son argent dans l’industrie de l'acier aux États-Unis à la fin du 19esiècle. Tous deux ont conçu un plan et envoyé un homme nommé Abraham Flexner, issu de la prestigieuse Fondation Carnegie, le magnat de la sidérurgie, à travers tous les Etats Unis.

Il voyagerait à travers le pays et ferait son rapport sur l’état des collèges médicaux et des hôpitaux du pays. Et c’est ainsi que sur la base de ce rapport Flexner allait naître la médecine moderne.

Plus de la moitié de tous les collèges médicaux seraient fermés et l’homéopathie et les médecines naturelles diabolisée et ses médecins emprisonnés. Bill Gates n’a rien inventé avec ces subventions à l’OMS.

Pour « aider » à la transition et changer l’esprit des scientifiques, Rockefeller donnera plus de 100 millions de dollars aux collèges et hôpitaux. De plus, tout comme Gates, il va fonder un groupe de façade philanthropique appelé « General Education Board » (GEB).

Et croyez-moi, argent faisant, il faudra très peu de temps afin de rationaliser et homogénéiser la nouvelle médecine. Tous les étudiants apprendront la même chose, et la médecine de Roro consistera à utiliser des médicaments brevetés.

Cent ans plus tard, cela produit toujours des médecins qui ne connaissent rien aux bienfaits de la nutrition ou des herbes ou à des pratiques holistiques. Nous avons une société entière qui est asservie aux entreprises pour son "bien-être".

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Quant à celles et ceux qui veulent en savoir plus, j’ai ceci :

https://www.thebookedition.com/fr/37027_olivier-cape   

Olivier

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« Bankable ? » (Partie 5 et fin)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/03/bankable-partie-1.html    

MANUEL DE SURVIE CONTRE TOUS LES MEFAITS D’EM. MANUEL

À l’attention de l’ex-Gilet jaune devenu, par la force des choses, pourfendeur de 49.3.

Le problème ce n’est pas une banque, c’est tout le système financier, car vous ne passez pas de dix ans d’argent gratuit à destination des riches à taux négatifs, à un retrait massif des liquidités et une hausse vertigineuse des taux d’intérêt sans douleur.

Sans banque, personne ne peut plus ni vendre, ni acheter, les magasins se vident l’économie s’arrête et c’est l’effondrement. 

Alors comment vont-ils s’y prendre temporairement, avant le grand BOUM salvateur pour le tout numérique ?

Comme aux Etats-Unis, en rachetant toutes les obligations au prix d’émission. En Europe, il faudra que la BCE réussisse à mettre tout le monde d’accord, ce qui n’est pas gagné quand on voit l’Allemagne faire un gros caca nerveux toute arc-boutée sur les règles délirantes du marché de l’énergie. Alors ça va tirer sur le consensus !

Mais, le con avec ou sans « sus », il va vite en avoir marre.

Toutes les crises sont créées par les banques centrales qui relèvent les taux d’intérêt de manière plus ou moins importante. En haussant les taux, cela entraîne tout un tas de conséquences plus ou moins fâcheuses. L’une des plus connus est celle qui touche les prix de l’immobilier. Un crédit beaucoup plus cher voit votre capacité d’endettement diminuer fortement.

En bout de la chaîne, les prix de vente se réajustent à la capacité d’endettement moindre des acheteurs et c’est le krach immobilier. Il est là !

Moins connu est le krach obligataire. Une obligation c’est un « emprunt » (d’Etat). Il peut s’échanger et se revendre et rapporte à son détenteur. C’est d’ailleurs le but ! Ces babioles vous les retrouvez aussi bien dans vos contrats d’assurance-vie fonds en euros, que dans les bilans des banques qui placent dessus leurs fonds propres (une obligation légale).

Quand vous achetez une obligation à taux négatif de -0.5 % et qu’ensuite vous pouvez prêter à 4 %, que faites-vous ? Vous revendez vos vieilles obligations pourries qui ne rapportent rien pour en acheter des nouvelles qui rapportent plus.

Problème personne n’en veut ! Résultat, leurs prix baissent sur le marché de l’occasion (secondaire). Et c’est ce que l’on appelle un krach obligataire. Et comme toutes les banques ou compagnies d’assurance-vie sont assises sur un tas d’obligations pourries qui perdent de la valeur, nous sommes dans un monde de faillite virtuelle en raison de la hausse des taux.

À chaque fois que les taux montent les obligations baissent. Chaque baisse est liée à une hausse des taux par la FED, et chaque hausse des obligations est liée à une baisse des taux d’intérêt.

Or, en garantissant tous les dépôts des banques et notamment de la SVB et GARANTISSANT que les déposants n’auraient pas de pertes et deuxièmement qu’elle allait racheter toutes les obligations à leur valeur nominale et pas à la valeur de marché, la FED vient de signifier que les obligations d’Etats n’ont plus de « valeur » de marché. Et c’est ça qui est ENORME en ce monde de dingues !

Il n’y a plus de marché obligataire libre. Elles valent leur valeur initiale et sont rachetées par la FED à ce prix-là, quelle que soit la valeur de marché. Logiquement, il ne peut plus y avoir de pertes obligataires puisque le prix des obligations ne peut plus baisser.

En comparaison, avec le marché des actions, cela signifie que si vous en achetez une de la société X cotée au CAC40, tant qu’elle monte, le bénéfice est pour vous. Si le marché s’effondre, alors vous la vendez à votre prix d’achat et la banque centrale paie la différence et encaisse la perte. C’est aussi dingue que ça ! Et c’est uniquement pour ça que le prix des obligations remonte temporairement.

Bien entendu, avec cet effet de levier, la bonne nouvelle c’est que la guerre s’éloigne, mais TEMPORAIREMENT.

Le temps que l’Occident retrouve le moyen de se réindustrialiser afin de fabriquer beaucoup, beaucoup de munitions pour tuer beaucoup, beaucoup de « méchants » russes et chinois tous dévoreurs de bébés.

Mais, ce faisant, les banques centrales sont obligées (comme prévu) de poursuivre leur politique du n’importe quoi économique et se raccrochent aux branches par des expédients. De l’argent gratuit, torche cul.

Toujours plus d’impression pour faire tenir le système à bout de souffle mais qu’aucun de nous n’a intérêt à voir s’effondrer. Quand il y a plus d’argent gratuit… il finit toujours par y avoir plus d’inflation ! Et donc l’or monte bien évidemment.

Mais la Banque Centrale Américaine vient d’annuler TEMPORAIREMENT l’un des effets majeurs d’une hausse de taux à savoir le krach obligataire. Mais cela ne peut se faire qu’au prix d’un nouvel épisode de planche à billets. On tourne en rond.

Des risques énormes pèsent sur les compagnies d’assurance-vie et en particulier sur les soi-disant fonds garantis, les fameux fonds en euros. Les fonds propres de certaines compagnies eux-mêmes également investis en obligations d’Etat conformément à la loi, ne sont plus suffisants pour absorber les pertes et assurer la liquidité.

Les prix des obligations évoluent de manière inverse aux rendements. Les établissements chutent en raison de placements en obligations françaises et allemandes évidemment émises ces dernières années à des taux négatifs ce qui expliquait la baisse des rendements de contrats d’assurance-vie fonds en euros. Et que vaut une bonne obligation française ou allemande à taux négatifs quand les taux sont à 3% voir plus ? Plus grand-chose, plus personne n’en veut.

Bientôt, croyez-le ou non, malgré la « Loi Sapin », beaucoup, en voyant leur argent s’envoler, iront chier de frousse derrière un arbre, soit-il sapin ou pas. Car, voyez-vous, la remontée des taux d’intérêt concerne toutes les compagnies d’assurance-vie, toutes les banques dans des proportions plus ou moins importantes mais toutes sont impactées.

Ce sera toujours plus compliqué de se mettre d’accord en zone euro qu’aux Etats-Unis. Chez l’oncle sénile, la banque centrale rachète les obligations aux prix d’émission (prix de vente) et garantie ainsi TEMPORAIREMENT l’absence de pertes, ce qui veut dire que pour faire cela elle va devoir imprimer beaucoup, beaucoup, beaucoup de monnaie torche cul.

D’un autre côté, elle va pouvoir continuer à monter les taux pour lutter contre l’inflation sans faire s’effondrer le système financier. Bref ! En ce monde-démon, nous marchons sur la tête.

Ces « économistes » de mes deux appuient sur le frein et l’accélérateur en même temps ce qui se terminera par l’accident du chauffard fou, ivre de l’argent facile. Avec un comportement pareil, impossible de ne pas passer par la case faillite et effondrement.

Mais c’est chouette, puisque c’est ce qu’ils veulent !

La solution ? Le retour au troc, la solidarité, le retour à la médecine holistique, serrer dans ses bras tous ces soignants courageux virés parce que trop intelligents, boycott du tout numérique, refus de toutes ces applications pièges à cons et antichambre de la prison numérique à vie.

Mais, connaissant le nombre de blérots qui passent leur vie le nez rivé à leurs smartphones, ce n’est pas gagné !

Quant aux moutons noirs, ceux qui savent déjà que tout est faux et depuis longtemps, j’ai de quoi vous aider à repasser du numérique au bon PAPIER. Mais juste avant, si vous prenez le temps d’étudier et de faire partager ma longue série concernant la Vérité sur notre climat et l’arnaque du CO2 sur mon blog, vous serez déjà « bien habillés » pour l’hiver prochain. https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/01/retour-sur-le-climat-le-vrai-partie-1.html

En plus, il n’était pas prévu au programme, mais vu l’accélération du plan, je sors prochainement un bouquin sur l’antre du « Diable » de Davos. IL va s’appeler DAVOS ET SON ECHEVEAU MONDIAL. En attendant, Chronique d’un Occident Oxydé devrait vous plaire. https://vecteur-douceur.over-blog.com/2022/12/chronique-d-un-occident-oxyde.html Ainsi que tous les autres bien entendu https://www.thebookedition.com/fr/37027_olivier-cape Toute cette littérature fait de moi un homme fier de se sentir UTILE. Je porte la plus belle des médailles : celle du « complotisme ».

Que Dieu soit avec celui qui pense que son salut se trouve ailleurs que dans ce monde et son fric maudit.

Olivier Cape, un « complotiste », mais plus pour très longtemps.

 

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« Bankable ? » (Partie 4)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/03/bankable-partie-1.html  

MANUEL DE SURVIE CONTRE TOUS LES MEFAITS D’EM. MANUEL

À l’attention de l’ex-Gilet jaune devenu, par la force des choses, pourfendeur de 49.3.

Ainsi, le groupe Altis de Patrick Drahi, peut-il être pourri et ruiné jusqu’à la moelle avec des pertes colossales, il n’en reste pas moins un sacré porte-voix utile aux politiques.

Altis, ce sont les télécoms, les contenus, les médias, le divertissement et la publicité. Alors vous pensez-bien que tous les crocodiles des CAÎMANS et d’ailleurs vont le renflouer par le biais de fonds obscurs pour ne pas dire opaques. L’argent de nos retraites peut-être ?

2008 c’était déjà gros. Mais là, désormais, on touche le fond de la DETTE. Et le système étant définitivement mort, les tireurs de ficelles sont donc prêts à toutes les exactions : quota carbone, et surtout l’argent numérique faisant de chacun de nous un portefeuille traçable autant qu’éjectable.

Leur système reposait déjà sur de l’argent n’existant pratiquement pas (les fonds propres des banques ne représentant plus que le énième pourcent de tout ce qu’elles prêtent en réalité).

Seuls les intérêts de la DETTE leur permettent de survivre et conserver ce monopole fantôme. Il convient donc de devenir tout numérique afin de faire disparaitre dans le néant, et grâce à un énorme Great Reset tout vert, l’étendue monstrueuse de leurs malversations et les cadavres covid qui commencent à tomber de partout des placards. Il faut faire d’autant plus vite dans un monde à l’arrêt et où, grâce à ces fameux taux, le crédit facile s’éloigne et les intérêts de la DETTE d’autant plus.

La Grande Dépression aux États-Unis est donc un signe avant-coureur de la Troisième Guerre mondiale. Pourquoi ? Parce que l’oncle Sam, entrainant tout l’Occident oxydé avec lui, c'est-à-dire nous tous ces vassaux lèche-cul de l’OTAN, n’a d’autre choix face à sa DETTE.

Le seul moyen de l’effacer est de lancer une guerre à grande échelle dans laquelle il pourra annuler ses folles dépenses qui lui auront permis de vivre jusqu’ici « comme un Américain », mais sur le dos des peuples. C'est-à-dire plus de 30000 milliards de dollars, plus les effondrement des banques.

Nous dansons sur une bombe atomique financière depuis la crise des subprimes qui date en réalité de 2007. Pourtant, dans la situation qui est la nôtre, les autorités vous expliquent que « cela n’a rien à voir avec 2008 ». Eh bien c’est faux !

Comme à chaque crise, tout est créé et démarré de toute pièce par les banques centrales, quand elles décident de monter les taux d’intérêt massivement.

La brutale remontée des taux directeurs décidée par la FED laissera les gogos croire au petit jésus soviétique. Car penser qu’elle mène un combat aveugle contre l’inflation, au risque de déstabiliser le marché bancaire fait joli dans le décor.  En réalité, il y a de quoi faire bander de joie le vieux Schwab mais sous viagra, car le risque est pleinement assumé par les autorités monétaires.

Pour eux, ça permet de cacher les poussières (des grosses) sous le tapis avec une bonne guerre et pourquoi pas, et même surement, le passage à la monnaie numérique qui pose tant de problèmes aujourd’hui. En effet, il n’y a pas eu assez de volontaires à la zombification par le biais d’un paSS sanitaire SS, future passerelle vers un paSS numérique faisant de chacun son propre portefeuille disjonctable.

De fait, accrochez-bien vos ceintures de p’tits épargnants, le calendrier prévu pour la mise en place de cet euro numérique offre une « fenêtre de tir » idéale pour une crise financière en 2023 (automne). La Silicon Valley Bank, premier domino à tomber a curieusement fait preuve de transparence, cas rare chez les banxters.

De fait, elle est tombée essentiellement à cause de la remontée des taux de la FED. Le Crédit Suisse, un autre domino, fait prout lui aussi. Sa stabilisation a coûté 50 milliards de francs suisses.

Face au désordre bancaire que nous connaissons, on aurait pu imaginer un assouplissement de la stratégie de la FED suivie par la BCE pour permettre au système financier de reprendre ses esprits. Officiellement, ce choix s’explique par l’obsession de la lutte contre l’inflation.

Il faut juguler la hausse des prix. Comment ? En restreignant l’accès à l’argent. Seulement voilà, pourquoi ce changement drastique après des années de QE ? Oui, vous savez ? Ces Quantitative Easing qui, chez nous, ont permis à la BCE de soutenir massivement l’économie.

Après trois années de Couillonavirus, et pour le plus grand bonheur de Black Rock, les Etats déjà surendettés ont joué à guichet ouvert quotidiennement.

Alors même si Bruno Le Maire, après avoir « terrassé » l’économie russe en dix jours et s’apprêtant à faire de même avec Xi, vous dit que « tout est sous contrôle » et que, tout comme pour Tchernobyl, le nuage radioactif ne passera pas au-dessus de nos têtes de bulots neurasthéniques, c’est croire à « ET téléphone  maison ».

Car nous avons un beau risque de crise obligataire généralisée qui couve. Il a fait tomber la transparente SVB, et bientôt toutes les autres. Toutes ces banques ont été contraintes de trouver des liquidités en vendant en urgence des obligations à perte, ces obligations ayant perdu leur valeur à cause de l’augmentation suicidaire des taux d’intérêt.

Je sais bien qu’une info en tue généralement une autre, mais avez-vous déjà oublié la quantité faramineuse de dettes, publique et privées, qui ont explosé durant le Covid-19 ? D’une certaine façon, on peut dire que le Covid-19, quoi qu’il fut en réalité, a permis de transformer énormément de dettes publiques en profit privé.

Merci Bill le coyote et sa bande de racailles multimilliardaires !

La question se pose désormais de savoir comment rembourser ? Une p’tite guerre ? Un bon Reset à la tonton Schwab ?

C’est vrai qu’il s’y voit déjà le vieux qui veut légaliser la pédophilie. La technologie numérique, et de nombreuses autres fadaises, il n’a que ça à la bouche ; le tout saupoudré de contact tracking, et ses effets pervers comme le crédit social à la chinoise.

Plus d’un QI bodybuildé de banxter se prend à rêver du Grand Remplacement de la monnaie papier par la Central Bank Digital Coin, la monnaie de singe mais tout numérique de banque centrale.

Grâce à un euro numérique, l’État (au sens large) pourrait officiellement lutter contre « l’argent sale » et contre « le terrorisme », et officieusement contre tous « ces complotistes » qui réfutent en bloc la pensée unique, roulent au diesel, et refusent les vaccins et prochainement cette bouffe de merde assaisonnée sauce grillons.

Avec un euro numérique, il serait possible en un clic d’imposer à ces récalcitrants un mode de vie plus sain grâce au crédit social…Tu es à jour de tes doses ou alors … ?

Face à ces évidences orwelliennes, il est tentant d’utiliser un raisonnement à la Mc Kinsey : pourquoi ne pas utiliser la stratégie du chaos pour joindre l’utile à l’agréable ? Autrement dit, pourquoi ne pas laisser imploser la Bête 666 ; s’effondrer les dominos, ce qui donnerait le prétexte rêvé de remplacer la monnaie papier cul déjà monstrueusement percluse de dettes par une nouvelle monnaie toute propre qui permettrait de mieux « tenir » une société menacée par les populistes, ces sales cons qui aiment encore leurs pays ?

C’est pourquoi je vous garantis une accélération de la hausse des taux pour crucifier définitivement le monde d’avant. Schwab avait déjà dit qu’il ne reviendrait plus. Le Conseil Européen doit se prononcer en octobre ou en novembre prochain sur le lancement de l’euro numérique, au moins sous une forme expérimentale en janvier 2024. Sa généralisation interviendrait en 2027. C'est-à-dire demain !

En l’état, avec Poutine qui mange des bébés en Ukraine et tire sur tout ce qui bouge, il est à peu près certain que le Conseil ne va pas se montrer très empressé de se charger d’un dossier monétaire. En plus de l’Ukraine, « notre allié de toujours », le vieil oncle sénile autant que pédophile, s’est chargé de nous couper l’approvisionnement gazier chez les Russes. Les gazoducs Nord Stream ont fait prout !

Le 26 septembre 2022, en mer Baltique, ils ont osé faire péter la chose. Et notre transition énergétique verte, tendance harakiri, suscite de très nombreuses réticences.

Alors, pensez bien ! expliquer à nos bons vieux amis du moteur économique européen : les Allemands, qu’il faut à la fois livrer des tanks au joueur de piano avec sa bite, en Ukraine, et, en même temps, interdire au piston économique européen les moteurs thermiques en Europe et renoncer au cash, cela fait beaucoup !!

On comprend que pour ceux qui, en coulisses, tirent les ficelles de nos pantins politiques, c’est dur, non pas d’être un bébé, mais d’être un multimilliardaire pédo-criminel en même temps qu’un psychopathe ne pensant qu’à sa gueule.

C’est d’autant plus compliqué pour eux d’en arriver au contrôle ABSOLU sur la populace, car même les bridés se rebiffent. Pensez donc !

Même les tentatives de lancement d’un yuan numérique en Chine pédalent dans la semoule. Preuve est faite que, même dans un système totalitaire abouti, le changement de monnaie est tout sauf une partie de plaisir pour des vieux milliardaires séniles sous adrénochrome.

Mais me vient une idée ! Ou plutôt l’idée générale à peine cachée sous le ONE. Un bel Ordo ab Chaos. Un feu d’artifice institutionnel.

En effet, si ce changement était justifié par une crise monumentale, ça serait du gâteau pour l’élite. Une belle crise obligataire ruinant les épargnants, ça serait chouette. Grace à elle, ce serait Waterloo morne plaine. Il ne resterait plus rien, plus de réserves d’épargne à convertir en monnaie numérique.

Et même les Français qui sont les champions du monde du bas de laine se retrouveraient nus, une main devant, l’autre derrière. Connaissant trop bien la moralité de nos dirigeants, et leur propension à dégainer un 49.3, mon raisonnement de « complotiste fou » a le mérite de sa grande cohérence et de sa grande logique.

Sur le fond, ma « folie » s’appelle la stratégie du chaos. Et pour nous y emmener en « douceur », nous pouvons compter sur l’étau des taux. Car jamais, jamais même dans le monde d’avant, les banques centrales n’ont appuyé autant sur la pédale des taux d’intérêt.

Elles sont passées d’années de taux négatifs à des taux nominaux positifs « officiellement effrayées » par l’inflation. Evidemment, cela allait faire imploser toute cette fausse machinerie à argent facile : marché obligataire, banques, tout le système financier mais, aussi, à terme, les dettes d’Etats puisqu’un pays comme la France avec ses 120 % minimum de dettes sur PIB est en faillite virtuelle.

Alors, si la Gaule se voyait imputée d’un taux d’intérêt supérieur sur la totalité de sa dette déjà MONSTRUEUSE, comparativement à son réel PIB microscopique, rien qu’en intérêts nous serions HS, hors sol, bien pire que l’Italie.

Et alors, adieux veaux, vaches, volailles, salaires des millions de fonctionnaires, RSA, retraites et j’en passe et des meilleures.

Beaucoup sont actuellement dans la rue, et à juste titre, à se préoccuper d’une retraite à 60, 62 ou 64 ans. Savez-vous que les Anglais en sont déjà loin, bien loin. Mais au-delà de cela qu’est-ce au regard de coffres vides et de rayons de magasins qui le seraient tout autant ?

Qu’est-ce à côté des triple dosés voire plus qui viennent de raccourcir leur vie vitesse grand « » et donc l’espérance de vie s’est rétrécie comme peau de chagrin ?

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Quant à celles et ceux qui veulent en savoir plus, j’ai ceci :

https://www.thebookedition.com/fr/37027_olivier-cape 

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/04/bankable-partie-5-et-fin.html

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« Bankable ? » (Partie 3)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/03/bankable-partie-1.html

MANUEL DE SURVIE CONTRE TOUS LES MEFAITS D’EM. MANUEL

À l’attention de l’ex-Gilet jaune devenu, par la force des choses, pourfendeur de 49.3.

Savez-vous quel est le mot d’ordre des mondialistes ? Dans tous les domaines, c’est « Goupiir » et ceux qui sont à la traine doivent mourir. Il n’y a de place que pour les plus gros, c'est-à-dire les plus pourris. Alors, à la question y a-t-il une volonté mondiale, globale, de jouer le chaos pour obtenir des bénéfices encore mal identifiés aujourd’hui ? La réponse est OUI.  

Chez nous, en Gaule occupée, il n’est qu’à observer la stratégie de Macron sur les retraites (si l’on admet l’hypothèse que la France est un pays « TEST » pour l’Occident) et en décryptant la stratégie des banques centrales en matière de taux d’intérêt, qui ont vocation à déstabiliser les marchés financiers et l’équilibre bancaire dans le monde.

Lorsqu’au vu de la situation déjà explosive économiquement, vous apprenez que l'Etat a obligé les grands groupes de distribution à augmenter leurs prix et faire plus de bénéfices, ça ne signifie qu’une chose. Leur mot d’ordre : Ordo Ab Chaos. Ils viennent d’appuyer sur le bouton. Et, en France, ce chaos provient de la stratégie jusqu’au-boutiste de Macron. Aux Etats-Unis, comme en Europe plus généralement, elle vient des banques centrales qui jouent la ruine des épargnants plutôt que leur préservation.

Au même titre que le Français constitue une langue de révélation, mes chers cons-citoyens, la France est aussi le pays TEST. « Si ça marche chez nous, ça marchera partout ! », se dit l’élite. C’est d’ailleurs pour cela qu’on s’en prend plein la gueule depuis 2018, et bien plus.

Bref, le relèvement des taux n’est sans conséquence pour le système financier.  En plus de tout ce que je vous explique, allié à un krach immobilier sans nom, il nous mène tout droit à une crise majeure de l’assurance-vie en France dans les six mois.

Pour le Gilet jaune occupé à gagner sa croute, tout cela c’est du chinois et relève du mystère. C’est bien pour cela que je me suis évertué à vous concocter cette série d’articles en termes, je l’espère, clairs. Chose que moult économistes évitent de faire pendant que, pire, la presse subventionnée par vos sous s’emploie à endormir les consciences.

Croyez-moi ou pas, mais après une dernière période bronze cul à peu près potable, tous les ingrédients seront réunis pour un automne financièrement tragique.

D’ailleurs 2021+2022+2023, ça fait 6066, le nombre de la Bête, l’emblème mondial de ceux qui nous considèrent toutes et tous comme du bétail, des goym.

Nous avons affaire à une cabale de Kabbalistes pour qui certains nombres et chiffres sont sacrés. D’ici là, il faudra regarder attentivement l’évolution des marchés. Suivant le souhait du vieux Schwab, son rêve sous acide (poussières intelligentes), les banques centrales occidentales agissent toutes en pyromanes. Elles viennent de faire le choix de la crise systémique ; celle qui « Great Reset » tout. Pourquoi ? Afin de justifier l’arrivée du contrôle total.

Pour justifier la mise en place de monnaies numériques. En effet, la mise en place d’une nouvelle monnaie numérique fonctionnerait mieux si l’ancienne monnaie ne valait plus rien et rimait avec un désordre maximal à la française.

Si Macron a confirmé sa stratégie gagnante de ne rien changer, grâce à laquelle il s’est mis le pays à dos, c’est à dessein. Celui du chaos orchestré, choisi non pas par lui, sombre marionnette, mais par ses pairs ; les pontes de Davos, Klaus Schwab en tête.

Plus personne ne doit pouvoir échapper au racket international. Nous devons chacun être un bout de viande juste capable de justifier tout et n’importe quoi par le biais d’un paSS SS.

Jusqu’à la fusion ultime, où nous deviendrons chacun la monnaie de singe. Plus d’argent au black, toute transaction, aussi petite soit-elle, doit pouvoir être tracée, contrôlée. D’où cette mise à mort de toutes ces cryptos qui semblaient encore pour certains un îlot refuge contre la mafia des banxters apatrides.

Et à ce jeu, croyez-moi, le con-tribuable va se faire fourrer comme le dindon qu’il est depuis des décennies. En effet, l’agitation frénétique qui s’empare des marchés et qui tue les plus faibles ne peut aboutir essentiellement qu’à une concentration (groupiir) de ces banques.

Comme d’habitude, les gros dévorent les moyens et chient sur les petits. Ne restera alors, et pour le grand plaisir de l’élite, que les « Too Big To Fail » quelques banques sélectionnées que les États auront choisi de sauver.

Et à ce jeu de quilles, le paysage bancaire et tout ce qui en découle va très, très vite changer, et pas pour les beaux yeux de la gueusaille. On comprend mieux, dès lors, l’emploi pas toujours subtil de lois instaurant des barrières artificielles à l’entrée d’un nombre croissant de marchés pour éliminer les petites entreprises, la guerre quasi-ouverte aux indépendants, aux fermiers, aux petits artisans et aux commerçants de taille modeste.

En effet, du point de vue de nos élites, il est bien plus simple de n’avoir affaire qu’à de grosses entités, en petits nombres et aux têtes facilement identifiables. Voilà pourquoi dans ce jeu de dominos visant à tuer les plus faibles, la concentration bancaire qui s’en vient à toutes jambes est le rêve bénit pour nos dirigeants qui souhaitent de tout cœur se débarrasser de l’argent liquide et instaurer enfin un moyen de traçage permanent, ultime et complet de toutes les transactions commerciales pour le moindre quidam en Occident.

Voilà pourquoi la monnaie numérique de banque centrale, ou Central Bank Digital Currency (CBDC) Tracker, la forme numérique de l’argent fiduciaire, constituera l’apothéose du Globalisme.

Cette monnaie électronique ne doit provenir que d'une banque centrale. La « monnaie fiduciaire » étant établie par réglementation gouvernementale, l’autorité monétaire ou la loi. C'est-à-dire, après tout ce que nous venons d’étudier, par les banxters apatrides.

Ce projet bénéficierait d’un nombre volontairement limité de banques assujetties aux projets politiques d’asservissement global de certaines de nos « élites ». Dès lors, il va de soi que les cryptomonnaies sont un pavé dans leur mare. Ces dernières, non contrôlées par les banquiers, indépendantes des systèmes bancaires actuels, permettent (théoriquement) un affranchissement complet de l’individu des griffes de l’État, au même titre que l’or ou l’argent.

C’est donc sans surprise que ces mêmes cryptomonnaies subissent actuellement une véritable bordée de règlementations de la part des principales autorités financières dans le monde.

Et à ce jeu de dupes, FTX aura constitué un fusible de choix. Cette société crypto aura servi de pot à confiture durant la campagne sale de Biden. Et, bien que lui ayant servi de nombreux pots de vin, Biden et ses maîtres de l’ombre n’auront pas hésité un seul instant à chier dans la main que cette société leur aura tendue.

Pensez-vous un seul instant que ce soit un hasard si, parmi les banques américaines qui viennent de tomber, on en trouve deux (Silvergate et Signature) qui offraient des passerelles avec des cryptos pour le quidam ?

Voilà pourquoi, tout comme ce qui concerne nos PME, nos artisans, nos agriculteurs, etc., les autorités qu’elles soient américaines et européennes (c’est pareil) ont récemment redoublé d’effort pour tenter de ramener toutes les transactions avec ces nouveaux supports dans le giron des banques et des institutions étatiques dont les politiciens ont le contrôle.

Chez nous, l’UE est la spécialiste des usines à gaz, sans gaz russe, pour lancer tout un paquet de règlementations afin de rendre tous les marchés ainsi que ceux des cryptos, encore plus complexes et difficiles d’accès à l’individus lambda.

C’est donc avec le plus de fermeté possible qu’il faut tuer ce nouveau secteur, ces nouveaux marchés et ces nouvelles libertés auxquelles l’individu risquait de s’habituer un peu trop.

Toute crise, tout conflit, sert immanquablement à resserrer les mailles du filet mondialiste.

Ainsi, c’est sans surprise, que les propositions de « règlementation » (sabotage) continuent de pleuvoir. Et à ce jeu, tout ce qui va contribuer à excéder les peuples sert fortement l’option Ordo Ab Chaos. Voilà pourquoi, je le répète, il convient d’être prudent.

Pas de violence, mais un rejet intelligent de tout ce numérique.

Les règles qui avaient été posées après les crises de 2008 (mondiale) et de 2012 (Europe) ont si bien fonctionné qu’il serait dommage de s’en passer ailleurs, n’est-ce pas.

La scène de guerre se met donc en place avec ses tranchées. D’un côté nous aurons une concentration des banques et leur tentative d’imposer des CBDC, l’outil ultime de l’asservissement. De l’autre, nous allons trouver des Etats anémiés par la DETTE avec des institutions socialo-étatique mourantes et des peuples qui le seront tout autant.

LA SEULE SOLUTION, C’EST LE SAVOIR, LA CONNAISSANCE. Un simple exemple ci-dessous.

Car le Chaos recherché et entretenu constitue, à mes yeux de « complotiste », la seule raison possible. Après une grève historiquement longue en 2019 et 2020 contre sa première réforme, Macron a réitéré sa connerie ou plutôt, dirais-je, l’exploit commandité par ses pairs de bloquer le pays avec une deuxième réforme encore moins bien pensée que la première.

Tout va très vite, de plus en plus vite, et de manière très lâche. Nos dirigeants sont, pour la plupart des vendus. Sur ce fait, je ne vous apprends rien ou du moins, j’ose l’espérer.

L’article 7 de la loi sur les Jeux olympiques vient d’être adopté par l’Assemblée. Tout comme les confinements étaient censés nous protéger, il acte à dessein l’entrée formelle de la vidéosurveillance algorithmique (VSA) dans le droit français, jusqu’en décembre 2024.

À l’ombre du tumulte de la réforme des retraites, et grâce à une procédure comme d’habitude extrêmement rapide et lâche, le gouvernement a réussi à faire accepter une des technologies les plus dangereuses jamais déployées.

L’hypothèse d’un bras-de-fer généralisé entre les peuples et l’élite n’est plus de nature « complotiste » comme tout ce que les objecteurs à la doxa expriment depuis déjà longtemps, dans les limbes. C’est désormais du concret, comme la vaccination mortifère.

Tout cela obéit à une stratégie intentionnelle, celle d’une division, d’un clivage systématique, d’un choc organisé, pour mettre les populations sous tutelle mondialiste. D’ici là, il est sûr que les classes moyennes doivent faire attention.

Le désordre pourrait être la cause d’une déstabilisation profonde en France, avec des conséquences financières dramatiques.

Eurocorps veille et la crise des taux pourrait en ruiner beaucoup. Seuls les hedgefund possèdent le luxe de pouvoir se dire : « Pas vendu, pas perdu ! », un luxe qui échappe totalement aux petits porteurs. Et justement, s’ils bénéficient tous de ce luxe, c’est parce qu’ils savent cacher et parfois très longtemps au détriment des petits porteurs. C’est d’ailleurs ainsi que beaucoup de banques, de multinationales et de fonds spéculatifs, arrivent à cacher leurs pertes abyssales sur dix ou quinze ans.

N’oubliez jamais le SCANDALE du groupe Olympus, au Japon. Il avait caché des pertes monstrueuses à ses actionnaires en réalisant des montagnes à gaz de montages financiers qui, gaz aidant, ont tous fini par péter.

Acheter une société bidon, une coquille vide, pour l’accuser ensuite d’avoir dévalué causant d’énormes pertes à la société mère, ne constitue que l’un des nombreux subterfuges dont disposent tous ces crocodiles des iles Caïmans et d’ailleurs. Par contre, si toi tu as mis de l’argent dans cette baudruche, ça fait prout !

Les cabinets d’audits ça sert à ça ! Faire passer par les chiottes des pertes qui puent un peu trop et sont donc gênantes pour le business. C’est d’ailleurs le sport international du capitalisme mondial.

Tout ce petit monde dépend en fait des banques centrales qui fixent le tempo ou plutôt le taux et son étau. Si vous avez accès à du capital pas cher avec une boite néanmoins pourrie pas de problème.

Un des meilleurs exemples afin d’étayer mon propos et j’y reviens, c’est celui de Patrick Drahi dont je parle dans le tome 1 du Centième Gueux. Si tu fais partie du club très fermé des banques et multinationales qui copulent en permanence avec la FED et les BC, alors aucun souci, même si, en réalité, leurs actions sont pourries. À dollar torche cul, action qui l’est tout autant !

Nous avons là une justice de classe qui s’applique ici aux banques. Certaines « Too big Too fail » peuvent tout faire, délit d’initier, ruiner des millions d’épargnant. Si, pour leur plus grand bonheur, elles appartiennent au sérail d’une certaine bien-pensance, elles seront tout de même renflouées, mais toujours au frais du contribuable qui, dans ce cas, s’en sera prise, une, devant et l’autre derrière.

La justice ici n’est certainement pas une femme aveugle, la balance à la main. C’est une grosse putain bien siliconée se roulant dans des draps de satin, ceux de ces banxters exécrables.

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Quant à celles et ceux qui veulent en savoir plus, j’ai ceci :

https://www.thebookedition.com/fr/37027_olivier-cape  

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/04/bankable-partie-4.html

 

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« Bankable ? » (Partie 2)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

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MANUEL DE SURVIE CONTRE TOUS LES MEFAITS D’EM. MANUEL

À l’attention de l’ex-Gilet jaune devenu, par la force des choses, pourfendeur de 49.3.

La Gaule est actuellement endettée à hauteur de 3 000 milliards d’euros. Il n’y pas de quoi l’avoir … la gaule ! Elle est irremboursable, mais elle fournit chaque année un revenu universel aux banxters apatrides. Et dans toute cette affaire, nous ne sommes qu’un petit pays.

Seulement voilà, chez nous, avec l’argent facile, la charge de la dette c’était déjà 20 milliards à débourser en 2020. Mais avec ce qui arrive là, maintenant, tout de suite, les experts anticipent qu’au mieux, elle va passer à 60 milliards en 2027. Leur source de revenu c’est nous, les gueux et nos impôts divers et variés.

Le premier budget de l'Etat est l'Éducation nationale. Pour 2023, il est de 60,2 milliards d’euros.

Mais la vraie question est : où sont donc passés ces 3 000 milliards. En avez-vous vu la couleur ? Sont-ils passés dans nos autoroutes toujours plus chères, notre justice toujours plus longue, notre armée toujours plus petite et sans munitions, notre police et gendarmerie en manque de tout sauf de lacrymogènes, nos hôpitaux en désolation, nos écoles et administrations diverses qui le sont tout autant.

Où sont-ils passés bordel de merde !?

N'oubliez jamais que c’est à cause du manque de lits d’hôpitaux qu’on a trouvé le prétexte de nous confiner tous. Mais qui, de Sarkozy en passant par le chamallow Hollande jusqu’à Macron, se sont fait les champions du monde de la suppression de lits ?

Que sont devenues nos autoroutes payées avec nos impôts. Elles sont privatisées. Payées par les Français puis PRIVATISEES !

C’est à dire que selon mon schéma, l’Etat a emprunté aux banxters pour les construire. Les a réglées avec nos impôts, puis les a redonnées (revendues à perte) à ces vampires qui nous vident deux fois de tout notre sang. Merci BlackRock et Vanguard ! Voilà pourquoi on vous franchise à la naissance avec un tampon de 50 000 euros ou plus sur le front.

Vous n’êtes, chacun, qu’une marchandise perdue en mer, dans un océan de DETTES. Ainsi, dira le riche, « ton travail ainsi que celui de tes enfants et petits-enfants, m’appartient à VIE ». Mais c’est pour l’intérêt général bien sûr ! Tout comme la vaccination c’était pour le bien commun. Mais c’est bien et ça s’appelle « le service de la dette ».

Maintenant, nous allons parler de l’essence et des allumettes. Bien évidemment, vous l’aurez tous déjà compris, les banques sont fragiles, trop.

C’est le modèle économique même des banques qui les rend fragiles et pas uniquement la cupidité des méchants banquiers ou des vilains capitalistes !

J’expliquais déjà leur fonctionnement abject, il y a dix ans, dans mon second livre La Promesse. Par définition, une banque de dépôts récupère votre argent pour proposer un crédit à un autre.

N’allez surtout pas croire, comme beaucoup trop, qu’elle possède au coffre l’équivalent de ce qu’elle prête. Loin de là ! Elle possède ou plutôt se doit de posséder quelques pourcents de réserves !

Par définition si Bruno Le Maire dit qu’il y a le feu à cause de Poutine qu’il n’a pas réussi à juguler, vous allez tous vous précipiter chez votre banquier pour vous barrer avec votre fric avant que les méchants dévoreurs de bébés n’arrivent à votre porte. Tous les clients veulent alors récupérer leur argent en même temps, et aucune banque, aucune, n’a les moyens de sortir autant de liquidités immédiatement. AUCUNE.

Alors, lorsqu’on vous dit que la vaccination sauve le monde, que la Russie va perdre ou que Biden n’est pas un pédo-criminel, ne le croyez pas. Mais lorsqu’on vous dit, et ce sacré Bruno le premier, que les banques sont solides, ne le croyez SURTOUT pas. Elles sont tout sauf ça !

Tout est histoire de confiance. Tout comme beaucoup ont longtemps cru et croient encore hélas ! dans les vertus de la raie-publique, une banque c’est de la monnaie et la monnaie, c’est une histoire de CONFIANCE comme dirait le serpent Kaa afin de nous faire croire que nous n’y sommes pas tous … dans le caca.

Car peu importe qu’elles possèdent un, dix, ou vingt pourcents de tout ce qu’elles ont prêté en réserve. En cas de panique, ça ne change strictement rien à l’affaire.  Car, au mieux, il en manquera toujours 80 % ! Et encore faudrait-il pour cela que leurs fameux fonds propres ne soient pas placés dans des obligations d’États pouvant faire prout lorsque les taux remontent !

Une banque c’est sérieux ! Tout du moins tout le temps qu’on y croit. Ensuite, c’est du ressort de l’Etat et des banques centrales qui, comme en 2008, viennent en sauveurs et avec vos impôts, pallier éventuellement à la perte de confiance.

Mais, comprenez-le bien une fois pour toute dans vos p’tites têtes d’ex Gilets jaunes traqueurs de 49.3, les sauver de la faillite ne veut pas dire sauver vos sous ; l’épargne de, peut-être, toute une vie !

La législation européenne sur le sauvetage des banques est très claire. Elle fait basculer votre cœur entre le « bail-in » et le « bail-out ». La question est : on renfloue comment ? De l’intérieur ou de l’extérieur ? Le bail-in c’est de l’intérieur, tandis que le bail-out c’est un renflouement… mais de l’extérieur. De l’intérieur, il fait participer les créanciers (actionnaires, clients, etc.) à son sauvetage.

Le bail-out lui (sauvetage extérieur), c’est quand l’Etat ou la banque centrale vient renflouer. C’est 2008, mais c’est aussi ce qui vient de se passer en Europe avec le Crédit Suisse où l’argent vient de la Banque Centrale suisse la BNS, ou aux USA avec la Silicon Valley. Alors, on sauve qui ? La banque ou ses clients et actionnaires ?  

En Europe, puisque nous sommes les cons lèche-cul du vieil oncle Sam, on aime les « bail-in », les renflouements de l’intérieur où l’on fait payer les déposants au-delà de 100.000 euros. C’est 250.000 $ aux Etats-Unis

En France cette « justice » est assurée par le Fonds de garantie des dépôts et de résolution, le FGDR. Tout ce qui dépasse c’est Waterloo morne plaine. Mais rassurez-vous, cette belle « résolution » n’a pas été mise en place pour vos beaux yeux de sans dents. L’idée de base du législateur européen était d’empêcher les Etats de faire faillite en raison de la faillite d’une banque. À seul fin d’éviter que la BCE, la banque centrale européenne, ne soit pas obligée de créer de la monnaie et donc de l’inflation.

Mais alors qu’on me cherche l’erreur, car depuis un bail, cette fameuse BCE se livre à quantité de QE qui nous ont noyés sous un océan d’argent DETTE !?

En réalité jouer à Zorro a un coût : celui de nos sous, en limitant les montants garantis. Bref, c’est répartir les pertes ! Mais style Titanic. Pour 2500 personnes environ à bord, l'armateur n'avait pas jugé nécessaire de prévoir autant de places dans les canots de sauvetage que de personnes à bord ! Pour ne pas encombrer les ponts supérieurs, c'est-à-dire la belle vue des riches, il avait réduit de 32 à 20 le nombre de chaloupes, avec une capacité de 1178 places.

C'est-à-dire même pas la moitié du total des personnes à bord. Et comme les riches avaient accès rapide aux canots, vous connaissez la suite. Dans notre cas, c’est hélas ! bien pire c’est du dix-neuf chaloupes pour les riches et une, c’est-à-dire cette limite de 100 000 euros pour les pauvres. Toi bien comprendre ? Tu ne comptes pas, le système a été conçu en Europe pour sauver les banques et éviter l’effondrement.

Les Français sont les champions du monde du bas de laine. Ils en ont pour 2 698,5 milliards d’euros de dépôts dans nos banques. Forcément, ça attire les convoitises ! N’est-ce pas Black Rock et Vantard !?

D’un autre côté, la fameuse usine à gaz censée protéger notre argent c’est 6 milliards d’euros de dotation dans le FGDR, le fonds de garantie des dépôts et de… résolution. Inutile alors d’être bon en maths! À chaque fois que vous avez 2 698 euros en banque, le FGDR pourra, en cas de coup dur, vous rembourser UN euro !

Mais, ici, maintenant, tout de suite, c’est le moment où les Athéniens s’atteignirent ! Pourquoi ? Parce que les banques centrales viennent de se lancer dans une action coordonnée. Et la FED va fournir autant de dollars aux autres banques centrales que nécessaire. 

La crise de 2007-2008 s’était embrasée avec le fusible Lehman Brothers. La FED avait alors joué les pompiers pyromanes en distribuant littéralement des milliers de milliards de dollars au monde entier pour sauver le système déjà mort.

Sur plus de 20 000 milliards de dollars, la France avait aussi reçu son quota d’argent torche cul.

Cela avait permis à la BCE de cacher les cadavres sous le tapis sans avoir à demander à l’ensemble des pays, à commencer par l’Allemagne qui fait des cacas nerveux, de créer plus d’argent ! Mais qui a dit un jour que la main qui prête est toujours au-dessus de celle qui reçoit ? Certains osent dire qu’elle viendrait d’un membre de la famille Rothschild ? Moi, vous savez ce que j’en pense … !

Seulement voilà pour le couillon qui croirait encore que nous ne sommes pas les vassaux du vieil oncle sénile autant que pédophile, je ne sais pas ce qu’il lui faut de plus.

Car ce sont les Américains et la FED qui s’en sont chargés à notre place. Et la FED, c’est du privé, elle appartient en réalité, et bien que beaucoup d’Américains l’ignorent encore, aux 13 familles ou lignées sataniques qui dirigent en réalité ce bas monde-démon.

Alors, qu’on ne s’avise pas de venir me parler d’indépendance européenne, sous risque de claques dans la gueule. Dois-je vous rappeler comment tous nos dirigeants européens viennent tous de se coucher devant le sabotage pur et simple des gazoducs qui nous alimentaient en gaz russe et que les Américains ont détruit ? De quoi nous ramener au Moyen Âge. La BCE se contente de distribuer les confettis que lui fournit la FED. Elle donne des euros, mais l’essentiel des banques veulent des dollars …

Ce n’est pas parce que la FED vient de sauver tous les dépôts de la SVB que la BCE en Europe fera la même chose. Croyez-moi, prochainement les zombis vont tomber par grappes. Deutsche Bank est l’un des plus vérolés. La banque s’est fondée en 1870. Elle est basée aujourd'hui à Francfort-sur-le-Main.

Son implosion va laisser des morceaux de viande pourrie partout. Elle est 8e en Europe par sa capitalisation en 2018. Banque universelle, ses filiales sont présentes dans plus de 75 pays, les plus importantes étant à Londres, New York et Singapour.

C’est l’heure des « complotistes », sachez-le !

Des banques pourries jusqu’à la moelle en passant par les stocks physiques du marché de Londres comprenant des entrepôts remplis de sacs de pierres au lieu de minerai précieux.

Je l’écris depuis déjà douze ans, tout dans notre monde est faux. Tout.

Les chiffres, les statistiques, les indices, les réserves, les bilans, les comptes de résultats, tout est faux et factice. Ajoutons-y leur fausse science, leur fausse médecine, leur fausse astronomie, etc. Et le tout qui remonte avec puanteur du fond des chiottes du Deep State se nomme Révélation : l’Apocalypse biblique.

De l’autre côté de l’Atlantique, côté Silicon Valley, la FED, cet outil des élites et au service du « Diable », vient d’atomiser tous les bons du trésor de cette banque. Comment et pourquoi ?

Beaucoup de grandes banques mondiales sont restés, depuis 2008, et malgré moult QE, des morts vivants. Une banque ne peut néanmoins pas cacher son bilan à ses propres traders. Donc, si elle est morte, son trader le sait ! Et cela signifie que le cours de l’action de cette banque est connu ainsi que la santé réelle de son bilan or toutes les magouilles possibles et imaginables que l’on connait à ces banxters. Ainsi, la seule erreur de la banque de la Silicon Valley est-elle de ne pas avoir caché ses pertes. Ce que tout bon banxter se refuse inexorablement à faire.

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Quant à celles et ceux qui veulent en savoir plus, j’ai ceci :

https://www.thebookedition.com/fr/37027_olivier-cape  

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/04/bankable-partie-3.html

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« Bankable ? » (Partie 1)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

MANUEL DE SURVIE CONTRE TOUS LES MEFAITS D’EM. MANUEL

À l’attention de l’ex-Gilet jaune devenu, par la force des choses, pourfendeur de 49.3.

Que nul ne se méprenne sur l’aspect apparemment désinvolte de mon article. Le but est ici de vous convaincre que, prochainement, ni vous ni moins ne seront plus « bankables ».

L’heure est grave, d’où l’EXTRÊME intérêt d’avertir mon prochain. En juin 2020, j’avais voulu faire de même concernant une plan-démie couillonavirale montée de toute pièce.

https://vecteur-douceur.over-blog.com/2020/06/de-mamon-a-corona-comment-en-est-on-arrive-la.html

À l’époque, et comme ici, je l’avais mis gracieusement à disposition de mon prochain. Tout ce que j’ai écrit dans De Mammon à Corona s’est, hélas ! révélé exact.

Je vais donc ici vous parler économie, mais de la vraie, et en termes simples. Une chose que la plupart des économistes se refuse à faire, presque tous recroquevillés dans la fatuité d’un langage qu’ils sont seuls à comprendre.

Quant au rôle de nos merdias subventionnés dans cette histoire, il est odieux, puisque proche des cimes élyséennes d’un gouvernement corrompu au-delà du possible.

Le temps est donc venu de vous révéler la suite de leur plan machiavélique et comment vous en prémunir. Si vous aimez vos proches et désirez les protéger, ces quelques pages sont à lire de A à Z et bien entendu, à partager sans MODERATION.

« Mélodie d'amour chante le cœur d'Emmanuelle Qui bat cœur à corps perdu Mélodie d'amour chante le corps d'Emmanuelle Qui vit corps à cœur déçue… », disent les paroles de la chanson.

Quant à la mienne de chanson, elle va servir, je l’espère, à mettre en garde des millions de cœurs déjà et depuis bien trop longtemps déçus.

Vous remarquerez qu’un siège est resté libre entre Emmanuelle et Emmanuel, c’est celui de l’INTELLIGENCE et de la CONNAISSANCE, le seul sur lequel l’humain désabusé puisse encore poser son cul en toute sérénité.

J’ai, depuis longtemps, disserté sur le rôle de l’argent en ce bas monde-démon, sa réelle valeur et surtout vers quoi il sert en réalité à nous amener. Tout tourne autour de l’idée de fosses pénuries, elles-mêmes entourées par un vol de cygnes noirs.

Je vais donc commencer par un bref rappel puis vous parler de la banque de la Silicon Valley qui s’est effondrée tout en étant paradoxalement plus étique, c'est-à-dire plus propre que les autres. Mais avant, parlons de la crasse de ceux qui savent laver leur linge sale plus blanc que blanc.

Comment devient-on riche en ce monde-démon ? les riches achètent du cash-flow, du revenu, là où les pauvres travaillent pour de l’argent. Ce qui différencie le riche du pauvre, c’est sa capacité machiavélique à entretenir et maquiller très habilement sa capacité d'autofinancement.

Nous donnons tous de notre temps pour de l’argent : beaucoup trop. Et à grands coups de 49.3, la cadence ne fait que s’accélérer. Les riches, par contre, font travailler l’argent pour eux.

Ils possèdent tous de multiples sources de revenu. C’est ce revenu qui fait leur richesse et certainement pas le fait de travailler. Ils nous possèdent toutes et tous en tant que travailleurs et qu’unités de cash-flow. Et comment deviennent-ils riches ? Le deviennent-ils en payant comptant ? Non ! Ils le deviennent toujours davantage en empruntant à la banque, mais à des taux très, très privilégiés.

Là où on va coincer le gueux dans l’étau des taux, eux, ils respirent le bon air des cimes himalayennes de l’argent facile, avec de grosses bombonnes d’oxygène ; des taux proches de zéro, voire plus bas.

Je vais vous parler de vol. Une p’tite histoire. Un voleur dérobe plusieurs lingots d’or. Il se présente à la banque, ou chez un préteur. Dans les deux établissements, on le croit riche. En réalité, il n’est qu’un voleur jusqu’alors fauché et ayant déjà effectué plusieurs séjours en prison.

Si, ni le banquier, ni le préteur, ne s’en inquiète, le voleur bénéficie d’une auréole. Elle va alors, comme souvent, lui permettre de quitter l’un ou l’autre des établissements les poches pleines de cash.

Si vous ne connaissez rien du passif d’un individu, de la dette qu’il transporte, qu’il a accumulé, comment pouvez-vous lui faire confiance ?

Seule la comptabilité en partie double le permet. Vous savez, celle qui coute chaque année beaucoup d’argent à tout entrepreneur digne de ce non, lorsqu’il paye grassement son expert-comptable ? C’est elle qui fait de vous un mec à poil devant son banquier.

Tant qu’un individu vient jouer les « Américains » devant vous en ne brandissant que sont actif, vous ne pouvez pas vous en faire une réelle idée quant à sa valeur financière. Le passif, c’est sale, et chez beaucoup trop, l’art consiste à savoir adroitement le cacher.

Dans le Centième Gueux, paru en 2020, j’évoque le cas du groupe Altis (SFR, RMS, BFM, TV, etc.), un groupe surendetté à milliards.

Mais Altis c’est BFM poubelle et tant d’autres choses qui servent au Gouverne-ment à surfer sur les mensonges les plus dégoutants et dont hélas ! les Giles jaunes furent victimes ainsi qu’actuellement tous ceux qui, dans nos rues, sont à juste titre contre la réforme des retraites.

Le passif de Patrick Drahi, PDG d’Altis, est largement supérieur à son actif. Mais là où l’on viendrait vous saisir tous vos biens, lui, il s’en tape !

En effet, tant qu’il a accès au crédit facile pour se renflouer en conséquence, peu lui importe. Ce type doit tout aux banques centrales et à leur politique d’argent facile à taux zéro. Son influence médiatique lui a donné les appuis politiques qui eux-mêmes lui ont ouvert les portes des plus grosses banques. S’il y a perte, en plus, elle sera défiscalisée.

J’en reviens à mon cheval de bataille. Un riche est celui qui, à moindre frais, s’achète de multiples sources de revenu : Traffic d’influence (style Drahi) ; immobilier ; chaines de magasins, de restaurants ; franchises en tout genre ; etc.

Mais la plus belle des manières de le devenir et le rester, le must, celle qui fait que nous allons prochainement tous exploser en plein vol, c’est celle-ci. Le sujet ESSENTIEL de mon propos à destination du Gilet jaune tueur de 49.3.

Le plus beau joujou des Rothschild, Rockefeller, Soros et toute cette super classe de vampires, c’est la DETTE. Les dettes des Etats qui sont encore souverains, mais plus pour longtemps. Du moins c’est ce qu’ils espèrent.

Ici, nous entrons dans la cour des grands, des très GRANDS. Les parrains de cette mafia mondialiste qui aspire tant à son Ordo Ab Chaos. Ils fournissent actuellement essence et allumettes pour tout réduire en cendre.

Et leurs petits kapos de Young Global Leaders sont là afin d’entretenir le feu et souffler sur les braises. D’ailleurs, au passage, ne trouvez-vous pas que Macron s’y consacre en virtuose à grand renfort de 49.3. Il y excelle même ! Alors attention au PIEGE du fascisme à mille pourcents qui arrive à grands pas !

Beaucoup de manifestants sont déjà sauvagement frappés par des robocops aux QI de bulots malades. Mais ce n’est rien en comparaison de l’Eurocorps : Corps de réaction rapide européen, que tous ces salauds de non-élus nous gardent en réserve au cas ou …

En attendant, tout l’art consiste à confisquer, tel un parasite, toute la richesse produite par les plus grands producteurs : nous, les peuples, les goym, les sans-dents. Je m’explique.

Même le plus grand des mafieux des années trente seraient stupéfaits, voire écœurés de constater à quel niveau de vilénie sont rendus actuellement les vrais mafieux de ce monde, ceux en costar cravate. Ceux qui ont pignon sur rue et veulent soi-disant sauver le monde d’un virus inexistant à grand renfort de vaccins mortifères mais très, très rémunérateurs.

N’oubliez pas ce que la mafia fait ! Elle prête à des taux faramineux et te menace de te briser les genoux, voire pire, si tu ne rembourses pas dans les plus brefs délais. Obtenir, confisquer, séquestrer du revenu est leur mot d’ordre. De tout temps, cela a constitué la meilleure façon de devenir riche et de le rester. S’interposer, tel un cancrelat, sur le revenu des gens, leur sueur.

C'est-à-dire entre la création des richesses et leur répartition, tout en en prélevant la part la plus importante possible. C’est ce qu’ont toujours fait les mafias, mais à petite échelle.

Tu ouvrais ton bar. Il te fallait donc être protégé. Cela allait te coûter 10 ou 15% de ton chiffre d’affaires. Mais ici, on ne joue pas dans la même cour. Non !

Le monde des riches avec leurs splendides costumes et leurs prix Nobel de la paix (paie), leurs légions d’horreur, leurs ONG et leurs médailles en tout genre, sont les pires criminels qui existent. Mais ces mafieux-là, ne finissent jamais en prison. Ils bénéficient tous d’une justice à deux vitesses, une justice aveugle pour les riches et à l’œil qui voit tout pour les autres.

Un voleur riche et un toxico riche, ne bénéficient ni l’un ni l’autre du mauvais traitement réservé au p’tit dealer de banlieue ou à la mémé qui doit voler une tranche de jambon pour survivre.

Quatargate au sein du Parlement européen. Ursula von der Leyen (l’hyène) et les millions d’euros de rétrocommissions touchés par le biais du PDG de Pfizer, Albert Bourla, afin d’empoissonner tranquillement 450 millions d’Européens. Pierre Palmade pédo-toxico qui s’en sort haut la main grâce à des p’tits secrets de trou du cul non avoués. La justice possède bel et bien deux paires de lunettes ! Et pour nous, les pauvres gueux, elle sait sortir la grosse loupe.

Bref ! le must du revenu, ce sont les Etats et LEURS OBLIGATIONS. La Dette d’un Etat comme la France, c’est le must, sans défaut possible. En effet, essayez donc de ne pas payer vos impôts. L’Etat a les moyens (police, justice) de venir vous chercher par la peau du cul afin de vous les faire payer.

Les Banxters internationaux qui, chaque mois, prêtent à la France sur les marchés et avec cotation, s’interposent depuis longtemps (loi du 3 janvier 1973) entre l’Etat et nos impôts et ce qu’on en fait réellement.

Cette belle loi interdit depuis de battre monnaie et oblige l’Etat français à emprunter sur les marchés internationaux, avec un taux plus ou moins avantageux, en fonction de la bonne note qu’attribuent ces messieurs en fonction de l’Etat économique global du pays, pour un temps encore souverain.

Ils nous phagocytent en se plaçant délibérément entre l’impôt que nous versons et le service public auquel il est censé servir. Telle une tique, ils sucent en permanence le sang du contribuable, tout en lui refilant ces maladies dont je vous parlerai plus loin. L’incroyable escroquerie c’est qu’en fait ils prêtent du vent aux Etats pour récolter du réel, du tangible.

Cette année, en 2023, la France doit emprunter 270 milliards sur les marchés rien que pour les frais de fonctionnement et le remboursement de sa DETTE. Or, avec ce que vous allez apprendre plus loin, vous allez comprendre pourquoi défiler dans les rues ne sert à rien. Voilà pourquoi il faut en permanence sauver les banques, ce que même « les gauchistes » vous diront.

Davos ne cherche-t-il pas à nous mener tout droit et tous pucés vers une gouvernance mondiale à la chinoise ?

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Quant à celles et ceux qui veulent en savoir plus, j’ai ceci :

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Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/03/bankable-partie-2.html

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Retour sur le climat : le vrai (Partie 21 et conclusion)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/01/retour-sur-le-climat-le-vrai-partie-1.html

En conclusion à tout ce cirque.

Certains me reprocheront peut-être de trop m’attarder sur un sujet. Peu importe ! Avant de savoir lire, il faut apprendre. Le climat et la chasse au "méchant CO2" sont bel et bien l’arbre cachant une forêt tropicale d’âneries. Il fallait bien l’élaguer. Je l’ai fait. Je n’ai fait que relayer l’essentiel, cette essence du ciel noyée au beau milieu d’un brouhaha informe autant qu’ignoble.

Le climat n’est pas l’une des pierres d’un l’édifice censé nous perdre, il en constitue un élément essentiel : les fondations. Cette pierre sur laquelle le Diable mondialiste de Davos danse. Ce n’est pas le club de Rome qui me contredira ! Autour, tout se résume à un chantier informe, un échafaudage de bric et de broc constitué d’individus vendus au système et qui prospèrent en surfant sur des mensonges scientistes insultant pour l’intelligence, en créant de la diversion. Au milieu de tout cela, de ces gens qui gueulent leurs mensonges, moi, le « complotiste », j’essaie de chuchoter le vrai.

Ils font du bruit, beaucoup ! Un vacarme constitué de tapage merdiatique, d’infos qui tournent en boucle et destinées à nous anesthésier à l’aide de ce qui n’est pas important. C’est la dramatisation artificielle du non-événement qui fait l’événement destiné à occuper les esprits.

L’hiver, il fait très froid et l’été, très chaud. C’est dramatique !

Se laver les mains, laisser les vieux à la cuisine pour noël, se vacciner pour crever plus vite et surtout "protéger les autres". Rester assis pour prendre son café, les virus passeront au-dessus de vos têtes de gagnants. C’est ainsi que le non-événement a épousé la non-information.  

Il l’a ensuite engrossé d’un bruit, qui, in fine, n’est rien du tout. Même pas un pet de lapin malingre dans la blogosphère.

Quel que soit le sujet, les médias bien-pensants nous parlent de l’arbre moralisateur qui nous cache la forêt de leur lâcheté. Tout y passe : méchants russes, gentil Zelenski ; méchants Gilets jaunes, gentil gouvernement ; méchant emprunteur-pollueur, gentils banquiers, véreux certes, mais au-dessus de tout soupçon. Le tout bien enrobé dans une belle crème de PEUR en tout genre et pendant ce temps, couillonavirus et ses sombres sbires courent les rues.

Les instigateurs de cette opération qui a écrasé l’humanité ces trois dernières années, ne sont toujours pas jugés et ne le seront probablement jamais. Et les médias restent muets comme des carpes dès qu’un sujet est vraiment sérieux.

Le vacarme, c’est de savoir si nous aurons vraiment une retraite ou si bribri est en réalité un homme. Or 49.3, l’essentiel, c’est de comprendre que le vrai problème concernant le paiement des retraites, c’est le taux de natalité désastreux qui ne permet plus le renouvellement des populations. Merci madame Veil, merci vaccins Covid-19 ! Le bruit, c’est cette culture de haine à l’endroit de la famille traditionnelle. L’essentiel, pardonnez-moi, mais je vais être grossier, c’est de comprendre qu’on ne fait pas un enfant dans le caca ou en se léchouillant la foufoune.

L’essentiel, c’est de combattre le délire du genre et la légalisation du mariage homosexuel qui détruit l’ordre naturel de la procréation voulu par Dieu. L’essentiel, c’est de combattre la légalisation du meurtre des enfants-à-naître (230 000 avortements chaque année en France), qui fut imposée sans référendum aux Français par les lobbies maçonniques (loi Veil).

L’essentiel c’est de combattre cette prison numérique qui arrive à grands pas et constitue la jumelle putain de ce fameux réchauffement entropique. C’est d’ailleurs tellement important à saisir que dès demain, et à la suite de ce dernier article, j’embraye sur cette « putain numérique » liée au monstrueux clash bancaire qui s’en vient avec :

Manuel de survie contre les méfaits d’EM Manuel.

Le bruit infame, c’est ce ballon météo chinois « ET » abattu « courageusement » par l’US air force. L’essentiel, ce sont les bombes saoudiennes et une petite bombe à neutron israélienne qui tombent sur les femmes et les enfants du Yémen. Tout en oubliant que la Gaule reste un grand marchand d’armes.

Le vacarme, c’est de s’indigner sur le nombre trop important d’étrangers et de nouvelles mosquées. L’essentiel, c’est de comprendre que, le grand remplacement, et le génocide culturel de la France sont issus non pas des migrants qui arrivent dans nos pays devenus athées, mais de cette Révolution judéo-maçonnique de 1789 entièrement construite par ces riches argentiers du monde qui nous considèrent tous comme du bétail ; des goym.

Le vacarme, c’est de faire une fixation sur l’arriviste Macron. L’essentiel, c’est de comprendre qu’il est un pion, un Young Global Leader interchangeable du système mondial au même titre que l’étaient ses prédécesseurs, et qu’en réalité il n’a aucun (vrai) pouvoir, hormis celui de l’ombre : le Deep State.

Le vacarme, c’est ce bruit de fond médiatique concernant l’Ukraine. L’essentiel est aussi de comprendre que la raison du timing de cette guerre en Ukraine, est de nous faire oublier l’opération corona et ainsi de nous empêcher de demander des comptes à ses instigateurs. Comptes moraux et comptes tout court.

Le vacarme, c’est la diabolisation de certains « fascistes » de façade. L’essentiel, c’est de réaliser que ces gens sont en réalité des pions du système républicain et qu’au-delà de leur opposition de façade, ils sont dans les faits tous favorables à la substantifique moelle de la déconstruction antichrétienne (avortement, mariage homosexuel, faire de nous des portefeuilles numériques, etc…).

L’essentiel, c’est aussi de comprendre que la diabolisation des faux résistants « en dangereux fascistes » est une ruse des médias du système dont le but est d’empêcher la population de réaliser qu’il n’y a, en fait, aucune résistance. Et que la vraie résistance est actuellement dans la rue. En bonne successeur aux Gilets jaunes, elle s’est muée en pourfendeuse de 49.3.

À défaut de vrais fascistes, la dictature a un besoin vital de s’en inventer des faux. C’est qu’il faut maintenir cette illusion d’un combat d’idée qui en réalité n´a pas lieu.

Enfin, le vacarme le plus assourdissant de tous, c’est chercher fébrilement des solutions dans un cadre républicain. Celui de cette raie-publique.

L’essentiel est de savoir prendre de la distance d’avec tout ce bruit entretenu. Mettre des boules Quies et penser spiritualité plutôt qu’horizontalité.

Davos faisant partie intégrante de ces maladies, tout cela constitue le meilleur des remèdes, notamment contre certains maux qui auraient tendance à vous faire déféquer tendance caca vert.

Le sujet Davos étant tellement grave et nécessaire à la juste COMPREHENSION de ce qui s’en vient, qu’il m’a incité à écrire un bouquin non prévu dans mon programme : Davos et son écheveau mondial. Il paraitra, je pense, en juin prochain. Si Dieu le veut !

Car, il semblerait que tonton Schwab et son WEF soient dans la merde, qu’elle soit verte ou non, et jusqu’au coup. Le fossé entre la vraie vie, telle qu’elle est vécue, et les sombres prévisions des Davosiens fous n’a jamais été aussi profond.

Ainsi, la chute brutale du niveau de vie amène-t-elle la grande majorité des gens à se préoccuper du présent immédiat et de la survie de la famille au lieu des nouvelles technologies vendues comme étant bonnes pour la planète par cette engeance de malheur.

Tonton est la crédibilité, ça fait Deux ; ne serait-ce qu’à travers cette image !

On pourrait considérer ce phénomène comme une curiosité. Mais ce serait une erreur. Le Titanic de Schwab et son p’tit zigouigoui ont peut-être heurté un gros iceberg de crédibilité.

C’est justement la crétinerie absconse de cette bande de gueulards de Davos qui devrait nous alerter sur le fait que notre Occident est désormais bien plus qu’oxydé.

https://vecteur-douceur.over-blog.com/2022/12/chronique-d-un-occident-oxyde.html

Il est pourri jusqu’à l’âme. Leur enfer n’est même pas pavé de bonnes intentions, ils aiment le mal, ils sont le mal. Ils l’incarnent et désirent nous y entrainer, faisant fi de toute réalité objective. Le monde doit-être tel qu’ils désirent le voir. Point barre. Ils sont les rois de la dissonance cognitive, mais qu’importe puisqu’argent aidant, ils sont les « rois ».

Ainsi, tous les zélateurs européens non élus du climat font-ils équipe avec les néocons américains et britanniques, russophobes jusqu’au trognon. L’aile « verte » de la coalition s’affaiblit peut-être, mais les cons restant cons, nous devons nous attendre à ce que les pressions climatiques sur la transition verte augmentent, alors que les niveaux de vie s’effondrent à un rythme jamais vu depuis la Seconde Guerre mondiale.

Un animal mourant est doublement dangereux. Tant que l’hégémon américain peuplé de néo-cons et son zombi aux commandes continueront à s’agiter, nous devons nous méfier.

Mes lecteurs habitués savent que j’ai principalement deux têtes de turc, Gates et Schwab. J’en ai d’autres, mais je les garde pour mes bouquins. C’est de bonne guerre !

Mais si l’on désire vraiment remonter à l’origine de l’idée devant faire de nous tous des cancrelats bons à éradiquer, c’est pré-reset que nous devons jeter un œil d’Horus. Pourquoi ? Parce que l’idée générale faisant des riches les sauveurs de Gaïa et de nous les méchants pollueurs, se noie dans un océan de think tank et autres rassemblements de blérots censés penser pour nous et surtout pour « notre bien ».

Le smog de CO2 nous amène ainsi vers des origines assez douteuses. L’initiateur du concept n’a jamais été la Team Schwab, mais David Rockefeller, président de la Chase Manhattan Bank, et son protégé (et plus tard « conseiller indispensable » de Klaus Schwab), Maurice Strong.

Argent aidant, dans les années 1970, David Rockefeller et ses proches, ont lancé un éventail d’organisations et de groupes de réflexion. Il s’agissait notamment du Club de Rome néo-malthusien, de l’étude du MIT intitulée « Limites à la croissance » et de la Commission trilatérale ».

Je reviendrai donc prochainement sur le cas de « l’ami Roro » et de sa famille, de grands sociopathes devant l’Eternel.

En 1971, le Club de Rome va publier un rapport profondément vicié, « Limites à la croissance ». Il prédisait la fin de la civilisation, en raison de la croissance démographique combinée à l’épuisement des ressources. C’était en 1971. En 1973, Klaus Schwab, lors de son troisième Davos annuel, a présenté « Limites à la croissance » comme sa (vision de l’avenir) aux chefs d’entreprise réunis.

En 1974, le Club de Rome, dans son rapport, Turning Point, va affirmer que « l’interdépendance doit entraîner une diminution de l’indépendance » : le moment est venu d’élaborer un plan directeur pour un nouveau système économique mondial. C’est Maurice Strong, le protégé de Rockefeller, qui, en tant que président de la conférence des Nations unies à Stockholm en 1972, à l’occasion de la Journée de la Terre, va encourager une stratégie économique de réduction de la population et d’abaissement du niveau de vie dans le monde entier pour « sauver l’environnement ».

En tant que secrétaire général de la conférence des Nations unies à Rio, Strong va commander le rapport du Club de Rome. Un rapport qui admettait que l’affirmation du réchauffement planétaire par le CO2 n’était qu’une ruse pour forcer le changement. « Le véritable ennemi est l’humanité elle-même et son comportement devait être modifié », dixit Strong.

Le délégué du président Clinton à Rio, Tim Wirth, avait admis la même chose en déclarant : « Nous devons nous occuper de la question du réchauffement planétaire. Même si la théorie du réchauffement de la planète est fausse, nous ferons le ‘bien’ en matière de politique économique ». Ce qu’il faut retenir, c’est que la time Rockefeller-Davos a toujours été une escroquerie visant à faire éclater une nouvelle bulle financière pour maintenir à flot le projet d’hégémonie du dollar.

Cependant, le monde est en train de passer du NOM de Davos à la décentralisation et à la multipolarité.

Au WEF de cette année 2023, c’était évident : Davos est périmé. Mais l’effet le plus important sur la guerre financière : c’est le « nouveau système économique » que Davos envisageait.

Monnaie hélicoptère pour les gueux et un raz-de-marée de dépenses pour les technologies renouvelables, les subventions (comme les crédits CO2) et la liquéfaction de la transition. Il s’agissait d’incuber une nouvelle bulle, basée sur une nouvelle monnaie à coût zéro (connue sous le nom de Théorie monétaire moderne).

C’est la raison pour laquelle Black Rock et les oligarques étaient si excités par Davos. Cependant, l’arrivée de taux d’intérêt élevés, dont je vais vous parler dans Manuel de survie contre les méfaits d’EM Manuel, a pour effet de tuer la nouvelle « option bulle », précisément au moment où le monde occidental est à la veille d’une grave contraction économique.

Par un « heureux hasard » pour Davos, l’UE est donc « en guerre contre la Russie ».

Un intermède « heureux » et distrayant pour le gueux et qui, comme d’habitude, réussit à obscurcir toute image plus large. Pour les médias "du bien", il n’y a bien entendu aucune trace de bottes de l’OTAN sur le terrain ukrainien, mais bizarrement on en relève des empreintes partout, et surtout depuis 2014.

Washington a compris que les États-Unis sont en train de perdre leur guerre par procuration. Néanmoins, en Europe, et surtout en Gaule, ce fait reste « sous les radars » des principaux médias. Le point le plus important est que ce « réveil » tardif face à la réalité ne modifie pas d’un iota la position des néoconservateurs.

Ils veulent l’escalade (tout comme une petite faction vert caca en Allemagne, ainsi qu’une faction de premier plan en Pologne et, comme d’habitude, dans les États baltes).

Les chars et les avions envoyés sur le terrain ne changeront pas le cours de la guerre.

Ça, même les plus cons de nos dirigeants européens le savent. Ils commencent donc tous à trainer du pied. En effet, question symbolisme et batailles sanglantes passées, que l’Allemagne envoie les descendants de leurs panzers en Ukraine, n’est pas du meilleur effet côté russe.

Mais, puisque nous avons affaire à des dingues, hormis les bruits de bombes sales et autres attaques chimio-biologiques, ce risque est peut-être calculé par la bande à Biden. Car, si faute de munitions et autre, l’armée ukrainienne se replie vers la frontière polonaise, voire la traverse, avant la livraison des chars. Ils seraient alors absorbés par l’armée polonaise friande d’en découdre avec l’ours russe.

Est-ce cela, en fait, l’intention finale des néoconservateurs ? La Pologne mobilise déjà 200 000 hommes. Elle deviendrait alors le nouvel homme de paille du vieil oncle obèse et à bout de souffle. La plus grande armée d’Europe prendrait alors la relève dans une guerre européenne plus large contre la Russie et encore et toujours pour les sombres intérêts du Deep State.

Hormis la peste verte, toute cette bande de va-t’en guerre russophobe se trouve au bord d’un précipice économique.

Les niveaux de vie s’effondrent au rythme le plus rapide depuis la Seconde Guerre mondiale. Nos classes politiques d’alcooliques pédo-criminels n’ont aucune réponse à cette crise.

Du haut de leurs certitudes de Young Global Leaders à la mords-moi-le-nœud, tous ces déconnectés du réel croient encore mordicus que les peuples européens accepteront tout : se geler les couilles, la spirale des prix, les emplois perdus en raison de la hausse des coûts de l’énergie, les rayons vides  dans les magasins, les pics d’énergie, les dysfonctionnements du système (trains, aéroports, santé et les systèmes de transport) qui empêchent le bon fonctionnement de la société. C’est la même chose pour les Américains.

Les kapos larbins chargés de la gestion et du fonctionnement du « système » sont désorientés. Les récits mensongers s’effondrent ; les révélations de Twitter ont perturbé l’ancien « équilibre ». Kiev ne pourra bientôt plus compter sur le soutien financier de Washington.

Là-dessus n’oublions pas le MONSTRUEUX scandale de couillonavirus. Bientôt, tout comme Schwab arborant fièrement (il n’y a pas de quoi) son minuscule zigouigoui de vieux singe prostatique, le roi sera nu. À poil, une main devant, une main derrière. Biden pourra se casser moult fois la gueule en montant ou descendant les escaliers, personne n’aura plus envie de rire tant le climat (social) sera tendu comme le string d’une grosse de cent vingt kilos (c’est pour l’exemple : je ne suis pas grossophobe).

Les Américains vont peut-être décider de se débarrasser de leur zombi de série B ? La saga des documents classifiés de Biden constitue alors sans doute une ruse destinée à provoquer son départ avant les primaires démocrates.

Tout cela et tenu à bout de bras par une bande d’individus encore sensés, face à un ours russe qui a un réel avantage stratégique dans tous les domaines d’engagement avec les forces ukrainiennes. Alors que l’Occident n’a que l’avantage éphémère d’une illusion d’optique en forme d’escalade, le tout badigeonné de vert.

La Team Poutine dispose de la latitude nécessaire pour gérer toute escalade (par le biais de représailles) en miniature et de manière dispersée, afin d’éviter de donner aux guerriers de Washington leur « Pearl Harbour » tant espéré.

Là-dessus, je termine cette longue série « climatique » en espérant qu’elle vous aura permis de cerner ce vaste problème. À savoir : cette bande de cons juste capable de nous conter des mensonges à longueur d’année.

J’ai détricoté leurs sombres mensonges, ce long fil d’Ariane menant droit à ce triste constat : sans un réveil massif et sans une prompte volonté de solidarité, nous sommes tous dans la merde, soit-elle verte ou non. Et justement, question solidarité, parmi mes dizaines de milliers de lecteurs, j’aimerais bien qu’elle s’exprime un peu plus cette solidarité, ne serait-ce qu’au travers de l’intérêt suscité par mes livres.

Triste reflet d’une époque, beaucoup se contentent ainsi de venir puiser, sans même jamais un petit geste de solidarité, un mouvement de reconnaissance. Pour les autres, c’est simple :

https://www.thebookedition.com/fr/37027_olivier-cape Un bon livre vaut bien mieux qu’une triste soirée devant un Netflix de série C.

Olivier

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Retour sur le climat : le vrai (Partie 20)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/01/retour-sur-le-climat-le-vrai-partie-1.html

J’aime ma box, si je rate un épisode de ma série, elle est là afin de palier à mon inexcusable manquement. Là c’est pareil, COP aidant, si en bon Zorro vous avez raté la « dernière chance de sauver la planète », ne vous affolez pas bande de zéros, il y en aura plein d’autres.

C’est comme à chaque nouvel album d’Astérix, tout commence par une bonne bagarre sans mort, rien de des baffes, et se termine par THE Gueuleton. Là, c’est pareil, pendant que se déroule la sarabande des ripailles climatiques, les années s’écoulent, les Romains sont toujours là, et le méchant CO2 aussi. Tel un nouveau fortin, il enserre chaque année un peu plus notre monde voué à mourir sous un nouage de carbone mortel.

Les émissions de « Gaz à Effet de Serre » ont ainsi augmenté de 40% entre 1990 et 2010 et Cop ou pas Cop, rien n’indique que les courbes vont s’infléchir d’un iota dans les décennies qui viennent. Ceux qui craignent d’en manquer peuvent être rassurés. En effet, d’après l’Agence Internationale de l’Énergie (AIE), le charbon redevient la première source d’énergie du monde, alors qu’il est le plus efficace pour produire du CO2.

Le « World Resources Institute » (WRI) a décompté pas moins de 1200 centrales à charbon en projet dans le monde, dont près de 500 en Inde et 400 en Chine. Ces centrales s’ajouteront aux 2400 déjà existantes aujourd’hui.

Ne pas construire ces nouvelles centrales, qui représenteront des tas de Gigawatts additionnels, réclamerait soit l’érection de plusieurs millions d’éoliennes très « décoratives » soit, plus simplement, de demander à ceux qui en auraient bénéficié de contribuer à la « sauvegarde de la planète » en renonçant à vivre.

Mais de toutes les façons, sachez-le, des Nicolas Hulot hululant autant que faire se peut ou pas, ces centrales seront construites, car elles ont l’appui indirect des potes à Nicolas, les écologistes de mes deux, qui, dans leur infinie modernité, et avec le puissant appui des médias, ont savamment emprunté l’adage de p’tits singes : « tout voir tout entendre mais ne rien dire », en un bel ostracisme de façade vis-à-vis de leurs concurrents plausibles : le nucléaire et les gaz de schistes.

Mais revenons un instant là où les Athéniens s’atteignirent, non pas en Grèce, mais aux Maldives, là où sans doute en application d’un « Principe de Préparation » non explicité, les Maldiviennes et les Maldiviens ont mis en œuvre quelques initiatives intéressantes : La construction du « premier Nightclub sous-marin du monde ».

Moyennant un billet d’avion au tarif prohibitif, le gueux pourrait y boire un verre en compagnie des DJs les plus célèbres. Mais ce n’est pas tout, en ajoutant au prix du billet quelques milliers d’euros supplémentaires, vous pourriez dormir dans un hôtel sous-marin, le Hilton Maldives Underwater (plus de 9000 € la nuit) Et pour la p’tite faim, pas de problème, l’édification d’un restaurant sous-marin vous permet de dîner avec les poissons.

Tous ces projets ont été mis à l’abri de la submersion. Ont-ils un caractère expérimental ? Doit-on y voir l’application du principe de précaution chez les dirigeants maldiviens, des esprits supérieurs tendance madame Irma tant l’amorce d’une immersion progressive de l’ensemble des structures hôtelières du pays semble flagrante ?

À quand un gouvernement et des administrations qui seront devenus sous-marins ?  J’ai ouï-dire qu’avant que la France l’emporte, les Maldives s’étaient portées candidates à l’organisation des jeux Olympiques de 2024, date à laquelle leur submersion projetée par le GIEC devrait normalement paradoxalement être terminée.

Concernant ce gouvernement sous-marin, j’aimerais simplement qu’il pense non pas à l’immersion des immenses dépôts d’ordures qui décorent quelques îles telles que Thilafushi, mais à leur disparition pure et définitive.

Cette île reçoit chaque jour plus de 350 tonnes de déchets, tandis que des gigantesques panaches de fumée s’en dégagent. Ce n’est pas bien ça ! Mais que l’on se rassure, ces incendies n’utilisent pas ou peu de combustibles fossiles et sont par ailleurs parfaitement durables et renouvelables, donc assurément écologiques.

Métaux lourds, déchets chimiques, batteries, amiante, plomb, mercure, cadmium…sont d’ores et déjà balancés dans le lagon, mais les verts ostracisent encore, car sans attendre la bonne fin du projet d’immersion des installations de traitement des ordures, le gouvernement des Maldives avance avec détermination dans le développement de son économie, essentiellement basée sur le tourisme.

Et qui dit tourisme dit infrastructures et plein de p’tits « navions » et plein de « naéroports » très appréciés des écologistes. Les Maldives possédaient déjà jusqu’à 2019 cinq aéroports, deux internationaux (Gan et Hulhulé) et trois régionaux (Hanimaadhoo, Kadhdhoo et Kaadedhdhoo).

À titre d’exemple, voici le premier aéroport, celui d’Hulhule, construit en 1960.

Ces aéroports sont tous situés à quelques centimètres au-dessus au niveau de la mer, et aucune trace de travaux de protection contre la montée « irréversible » des eaux n’est visible ?

C’est bizarre ça ! Ces installations finiront donc inéluctablement comme l’Atlantide de Platon : englouties lorsque la montée des eaux planifiée par le GIEC, et tonton Al Gore, se produira, d’autant que plusieurs de ces réalisations écologiques majeures ont été entreprises avec la même technologie, et sans plus de précaution contre l’engloutissement.

Le ceriops tagal est un palétuvier présent dans les mangroves des rivages de l'océan Indien. Et la construction de nouveaux aéroports fut envisagée, tels que celui de Farukolhu où poussent les derniers exemplaires maldiviens de ceriops tagal.

Et c’est avec une ferme détermination écologique que tous ces arbres totalement dénués d’utilité pour l’atterrissage des avions ont été éliminés.

Mais une rude tâche attend encore les Maldives avec environ 1200 îles à équiper, et un manque cruel de militants écologiques. Étant donné que la France, elle, en a pléthore, ne pourrions-nous pas, dans le cadre de la coopération internationale, en prélever quelques-uns et les prêter aux Maldives pour les aider dans leur entreprise ?

Nous sommes là en présence d’un grand écart à la Jean Claude Vandamme, une contradiction fondamentale. D’un côté nous avons des prédictions apocalyptiques qui rendraient hystérique un moine bouddhiste, et de l’autre, un gouvernement des Maldives qui investit massivement à la construction d’éphémères aéroports ce, malgré la perspicacité démontrée dès 2009 par l’ancien Président des Maldives et son implication personnelle au plus près des réalités écologiques.

Ou alors, le gouvernement des Maldives dispose peut-être d’informations ignorées du gueux lambda ?

Il est en relation avec les ET en provenance de la planète Smurtch qui lui ont expliqué qu’ils étaient avec lui et que la montée des eaux, ils en faisaient leur affaire. D’ailleurs, semble-t-il, surfe sur le Net l’info comme quoi l’un des leurs serait déjà revenu il y a deux mille ans. Il marchait même sur les eaux. Comme quoi, rien à craindre ! Tout est sous contrôle au pays des ET.

En effet, on y perd son latin dans ce changement de vocabulaire auquel on a assisté depuis quelques années (« Réchauffement climatique » puis « changement climatique » puis « bouleversement climatique »). Le « réchauffement » ne serait alors plus considéré comme certain, mais seulement « possible » et la montée des eaux qui en est le corollaire ne serait plus inéluctable.

Une telle explication serait, en l’espèce, insuffisante. En effet, toutes ces simagrées ont véritablement débuté à Rio, en 1992, avec la conférence des Nations unies sur l’environnement et le développement, plus connue sous le nom de sommet de la Terre de Rio de Janeiro au Brésil du 5 au 30 juin 1992, réunissant 120 chefs d'États et de gouvernements et 189 pays. Merci tonton Maurice !

Et son 15e principe déclare : « Pour protéger l'environnement, des mesures de précaution doivent être largement appliquées par les Etats selon leurs capacités. En cas de risque de dommages graves ou irréversibles, l'absence de certitude scientifique absolue ne doit pas servir de prétexte pour remettre à plus tard l'adoption de mesures effectives visant à prévenir la dégradation de l'environnement. »

Et en vertu de l’interprétation légale du 15e principe (dit « principe de précaution ») énoncé dans la déclaration de RIO, le moindre poil de cul, de pet de mouche de début de commencement de soupçon d’éventualité de l’ombre d’un risque est suffisant pour imposer la mise en œuvre des actions de correction préventives, quel que soit le coût de celles-ci.

Une autre possibilité serait que le gouvernement des Maldives collaborant avec le Mossad israélien disposerait des services d’une équipe de « climatologues » qui, ayant refait les calculs du GIEC, auraient conclu que les prévisions apocalyptiques de celui-ci seraient infondées.

La découverte serait tenue secrète afin de préserver intactes les chances de bénéficier de l’averse de pluie de milliards  la plus importante possible au beau milieu de la tempête de conneries climatiques qui a commencé.

Mais rejetons cette éventualité car personne ne peut imaginer un gouvernement faisant preuve d’une telle duplicité.

Mais d’autres cas de comportements étranges auraient été signalés, et pourraient aller dans le sens de cette hypothèse. Ainsi, on sait que celui qui se comporte depuis des années comme un prédicateur évangéliste, j’ai nommé Al Gore, a accumulé une bonne centaine de millions de dollars en prêchant la montée des eaux et la submersion de toutes les bandes littorales à cause de l’addiction de l’humanité au gaz démoniaque.

On sait moins qu’il avait acquis, pour environ 9 millions de dollars, une modeste demeure en bord de mer en Californie. Les prêches du monsieur relèveraient-ils ainsi d’une habile manœuvre destinée à provoquer une désaffection pour les résidences de bord de mer et à en faire baisser les prix ?

Personne ne peut croire une chose pareille. En tous les cas, je ne sais pas pour vous, mais moi, j’ai comme une GROSSE envie de gerber !

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Quant à celles et ceux qui veulent en savoir plus, j’ai ceci :

https://www.thebookedition.com/fr/tonton-malthus-est-revenu--p-381845.html                  

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/03/retour-sur-le-climat-le-vrai-partie-21-et-conclusion.html

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Retour sur le climat : le vrai (Partie 19)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/01/retour-sur-le-climat-le-vrai-partie-1.html

COPCOPCOP CODE, rock and roll des enculés !

Si on les écoute tous ces cons, on sera bientôt beaucoup à finir comme ça, et seuls les popcorns sauront remonter en surface !

(COP), ce n’est pas pop, c’est l’acronyme dont on nous casse régulièrement les oreilles pour « Conferences Of the Parties ». Ce sont ces fameuses réunions annuelles arrosées au champagne et au caviar où nos « braves guerriers » de l’apocalypse s’autorisent à penser « sauvetage » de la terre.

Ce sont tous les signataires de l’accord international sur le climat initié par le « Sommet de la Terre » de Rio en 1992. Parmi toutes les COP, la plus célèbre, au niveau burlesque, au point d’en dépasser Les Bronzés font du ski, aura été la COP15, une des toute « dernière chance de sauver la planète », à Copenhague, il y a quatorze ans.

Effectuons donc un p’tit retour en arrière, en 2009 pour être exact. L’instant était grave car la mise en scène avait pour objet principal de dénoncer la croissance des émissions de CO2, qui allait entraîner un réchauffement brutal de la planète, lui-même causant la fonte des glaces polaires, d’où une inexorable montée des eaux qui allait, non moins inexorablement, noyer les Maldives et bien d’autres pays « pauvres ».

Il convenait donc d’obtenir des institutions internationales les milliards qui allaient permettre de sauver ces pauvres gens de l’engloutissement aux Maldives et dans d’autres États insulaires.

Il y avait eu un immense élan international d’opinion, orchestré par les mouvements écologistes, avec l’appui des médias. Les dirigeants de la « planète en danger » avaient enfin été convaincus de l’imminence de la « catastrophe climatique ».

Ils s’étaient ainsi « tous » déplacés pour célébrer l’événement. Cuiller de caviar à la bouche et coupe de champagne à la main, ils allaient tous pouvoir figurer sur la photo de famille et dire à leurs p’tits enfants : « J’étais là, j’y étais le jour où, ensemble, nous avons terrassé l’hydre et célébré la fin du gaz diabolique et le début d’une nouvelle ère de PAIE et d’amour de l’argent vert. »

Devenu superstar après son show aquatique, le Président des Maldives, lui, premier arrivé à Copenhague, avait galvanisé les foules en formulant, dans un meeting son engagement à faire des Maldives, en dix ans, le premier pays à atteindre l’objectif « zéro carbone ».

Afin de lui faire plaisir, lui, Président d’un pays qui coulait et coule encore (mais des jours heureux), on avait invité la star de Titanic, Leonardo Di Caprio. Tout un symbole ! Et pour fêter cela, il y aurait du caviar à la pelleteuse et du champagne dans les jacuzzis.

Quatorze années après, les Maldives sont toujours là, et bien là, un fleuron du tourisme international. Pour y aller, nul besoin de bottes en caoutchouc ou de scaphandre autonome, non rien de tout cela, un simple string et beaucoup de pognon suffisent !

Dans cette course au « sous-développement durable » qui lui permettrait de faire plus que les meilleurs, les Maldives partaient mieux placés que la France, alors au 149e rang des dégueulasses producteurs de carbone : « salauds de Gaulois ! » Malgré cet avantage certain, le gain de 110 places pour parvenir au premier rang restait une gageure car la compétition était rude tant certains avaient pris de l’avance.

Parmi les plus difficiles à déloger figuraient les 5, premiers ex-æquo, qui se livraient et se livrent encore une lutte acharnée pour le podium et dont les émissions étaient déjà réduites à 0,01 tonnes (d’équivalent carbone) par an et par habitant (159 fois mieux que la France, et 90 fois mieux que les Maldives), j’ai nommé : le Burundi, le Tchad, le Mali, le Congo ex-Zaïre et la République Centre Africaine.

Ils s’étaient donc « tous » déplacés non pas pour voir mourir la Mama, mais pour COP15, la « dernière chance de sauver la planète », pour y décider des voies et moyens de réduire « l’empreinte carbone » des terriens.

Ce fut beaucoup mieux que le Festival de Cannes, le sommet de la démesure avec 98 chefs d’État, des dizaines de milliers de délégués, et presque autant d’activistes environnementaux. Tous les merdias étaient présents, des milliers de journaleux, moult limousines et avions privés.

Bref tous ces bien-pensants allaient générer en une quinzaine de jours, plus que la quantité totale de CO2 émise par les 10 pays du monde les plus frugaux en cette matière abjecte autant que satanique, voire luciférienne : le CO2.

À chacun des COP, qui depuis Copenhague se sont déroulés dans un silence médiatique sépulcral, on assiste, pour simplifier, en marge des ripailles et célébrations festives, à une discussion courtoise entre plusieurs camps.

Il a celui qui réclame des milliards par centaines en compensation des dommages qui seraient occasionnés par les conséquences du réchauffement climatique découlant du malfaisant CO2. Le mieux étant de leur donner l’argent, tout de suite, dans des valises en carton recyclable, afin qu’ils puissent se préparer convenablement au désastre.

Les plus actifs de ceux-là ne sont pas ceux de l’oasis, mais les membres de l’AOSISAlliance of Small Island States »), un groupe de pression onusien important, puisque représentant 44 États et 28% des pays en voie de développement.

Parmi eux, ces malheureux menacés d’engloutissement, on sera surpris de découvrir Trinité-et-Tobago, membre de l’OPEP, deuxième rang mondial des émissions de CO2 par habitant (les Yankees n’étant que 12e).

Mais, mieux encore, prenons de la hauteur, car on sera aussi surpris de découvrir Sainte-Lucie parmi les membres de l’AOSIS cette charmante destination de vacances des caraïbes, culminant à près de 1000 mètres.

De l’autre côté, nous avons les méchants, tous ces salauds de pollueurs des pays développés, les responsables désignés de la « future catastrophe certaine ». Ils sont tristes, ils regrettent, et pourraient éventuellement être d’accord sur le principe, à condition qu’on remette à plus tard les modalités pratiques d’évaluation et de paiement de la rançon.

Puis, nous avons également l’arbitrage avec lequel il faut compter, ou plutôt qui savent COMPTER. J’ai nommé l’ONU et ses porte flingues, les ONG écologistes, qui soufflent le feu sous la marmite, car ils ont un intérêt commun à ce que la barre soit placée le plus haut possible.

En effet, l’argent ne fait peut-être pas le bonheur, mais il assoie le pouvoir. Et là, le gros cul, pardon, leur pouvoir est directement fonction de la densité de la pluie de milliards de dollars, car ce sont eux qui ont la charge de répartir la rançon ou plutôt le peu qui en restera lorsqu’ils auront prélevé chacun leur part respective.

Hormis les combattants et l’arbitre, vous avez également les spectateurs qui observent. Parmi eux, certains se marrent vraiment en se frottant les mains. En effet, la Chine et l’Inde ne peuvent ignorer le débat, car cela leur rapporte beaucoup, bien que le développement économique et tout le CO2 qui va avec soit l’absolue priorité.

Ils veulent bien accepter les transferts (de votre poche dans la leur) destinés à leur permettre d’améliorer leur efficacité énergétique, mais ils refusent absolument d’accueillir les ONG qui auraient la charge de les contrôler.

Le monopole absolu dont dispose la Chine sur le secteur stratégique des terres rares (95% de la demande mondiale, il y a peu) lui donne un intérêt particulier à ce que les pays riches se ruinent à son profit en coûteux jouets, notamment les éoliennes et autres panneaux solaires qu’on ne peut fabriquer sans « terres rares ».

La Chine joue donc « gagnant-gagnant » ce qui veut dire ici qu’elle gagne deux fois : l’argent qu’on lui donne pour « améliorer son efficacité énergétique » et l’argent qu’on lui donne pour acheter ces jouets qui font tant plaisir aux écologistes (cette merde verte) sans pour autant réduire d’un iota nos émissions de CO2.

À chacun des COP, on frôle la catastrophe et la machine menace d’imploser, mais, en final, le fric l’emporte et on arrive toujours à un accord qui sauve l’essentiel : ne pas interrompre les rendez-vous annuels entre copains si propices au tourisme et les bons gueuletons climatiques. L’impératif est que les COPS demeurent VERTES et VERTUEUSES.  On doit rester dans du durable et du renouvelable, bordel !

Une belle feuille de route se doit d’être assortie d’un gentil compte rendu final : « Mes chers amis, la conférence internationale sur le réchauffement climatique s’est terminée aujourd’hui avec un bel accord. Il en résulte que nous devons envisager les futures discussions destinées à décider des futures réunions préparatoires à la prochaine réunion plénière concernant une réduction du méchant CO2 dans l’avenir. L’ONU se félicite de nos accords, étape décisive dans la prévention d’un futur réchauffement climatique. »

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Quant à celles et ceux qui veulent en savoir plus, j’ai ceci :

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Olivier

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