Les « intouchables » (partie 5)

L’homme de pointe du Club de Rome, Sir Alexander King, a plus tard décrit les réalisations du groupe en 1990 en disant ces mots qui en disent long : « En cherchant un nouvel ennemi pour nous unir, nous en sommes arrivés à l’idée que la pollution, la menace du réchauffement climatique, les pénuries d’eau, la famine et d’autres problèmes du même genre feraient l’affaire…. Tous ces dangers sont causés par l’intervention humaine, et ce n’est qu’en changeant les attitudes et les comportements qu’on peut les surmonter. Le véritable ennemi est donc devenu l’humanité elle-même. »

L’hypocrisie de ces gens-là est sans limites, c’est celle que j’essaie de dépeindre dans mes livres et articles. Leurs Fondations et autres ONG ne sont que des usines à bon sentiment servant à dissimuler un processus de broyage de l’humanité. C’est en sa qualité de président de Petro Canada (1976-78), que Strong va soutenir l’appel national à la création d’un moratoire nucléaire pour le Canada, lancé par le Regroupement pour la surveillance du nucléaire en 1977.

Ce document exigeait non seulement l’arrêt immédiat de la poursuite de tous les réacteurs alors en construction, tout en promettant utopiquement davantage d’emplois grâce au développement de sources d’énergie et de méthodes de conservation « écologiques ». Étrange souhait de la part d’un dirigeant du secteur pétrolier ? Beaucoup moins bizarre lorsque l’on connaît le rôle de Strong « en faveur du Panda » de 1978 à 1981.

C’est en effet en tant que vice-président du Fonds mondial pour la nature (WWF), une organisation fondée par les monarchies britanniques et néerlandaises à l’initiative de la Royal Dutch Shell en 1963 que la firme au Panda verra le jour. Strong en sera le vice-président pendant la période où le Prince Philip, co-fondateur du WWF, en était le président.

Et comme tout se rejoint en un ENORME puzzle, c’est ce même Prince Philip qui déclarait en août 1988, selon l'agence de presse Deutsche Presse Agentur (DPA) : « Si j'étais réincarné, j'aimerais l'être sous la forme d'un virus mortel afin de contribuer à résoudre le problème de la surpopulation. »

En 1992, Strong ayant terminé son travail à la tête du Sommet de la Terre de Rio, va retourner au Canada pour finaliser le démantèlement du programme nucléaire du pays en tant que président d’Ontario Hydro, poste qu’il occupera de 1992 à 1995 sur invitation officielle de Bob Rae, alors premier ministre néo-démocrate de l’Ontario. Bob Rae sera ensuite chef du Parti libéral de 2011 à 2013, en préparation de la nomination de Justin Trudeau comme nouvelle figure de proue du parti, en avril 2013.

Avant de quitter son poste en 1995 avec la chute du gouvernement de Bob Rae, Strong va s’assurer un remplaçant en la personne de Jim MacNeill qui va diriger Ontario Hydro de 1994 à 1997. C’est ce fameux MacNeill qui sera le co-architecte de la Charte de la Terre et du génocidaire Agenda 21 lors du Sommet de Rio.

De 2000 à 2015, Strong sera utiliser par ses maîtres pour tenter de contrer le développement d’une alliance eurasienne autour des Nouvelles Routes de la Soie. C’est en tant que professeur honoraire à l’université de Pékin, président de sa fondation environnementale et président du conseil consultatif de l’Institut de recherche sur la sécurité et la durabilité pour l’Asie du Nord-Ouest qu’il va tenter de sévir contre ces projets. Mais les Chinois vont résister au programme du Green New Deal et à son ordre mondial supranational de croissance zéro et de dépopulation.

L’initiative « Nouvelle Route de la Soie » va alors apparaître comme une véritable opposition à la folie élitiste occidentale. Ainsi, surprenant l’Etat profond, les services publics de l’Ontario vont réussir à remobiliser la remise à neuf de tous les réacteurs, dont le dernier sera en service en octobre 2012. Une coopération sur la construction nucléaire internationale en partenariat avec la Chine va même débuter en juillet 2014, au grand dam de Strong, et peu avant sa mort, en 2015.

Cependant, l’année 2020 est close, et d’un point de vue socio-économique, rien ne ressemble à l’apocalypse hollywoodienne des années 70 favorable aux délires du club de Rome, de la Trilatérale, des écolos. Cependant les fous plus haut décrits et leurs descendants veulent leur dystopie, ils veulent leur tyrannie numérique, leur crash mondial, ils veulent leur sabotage énergétique, ils veulent la misère des jeunes ou des nations. C’est pourquoi, grâce à couillonavirus et au CO2, ils persistent et signent.

Et, collabos aidant, il va y avoir du sport en France et partout ailleurs. En Gaule nous avons déjà des millions d’enthousiastes qui persistent et signent devant les masques et autres aberrations distanciatrices. Beaucoup de cons sont déjà passés du côté obscur : les cadres, les politiciens, les administratifs sélectionnés, les féministes, les LGBTQ, les « papistes François » qui ont pris le pouvoir au Vatican.

Avez-vous jeté un œil à la crèche du Vatican fin 2020 ? Voyez-vous venir d’un peu partout ce soutien officiel à Davos? Je peux y rajouter les jeunes cons, soutiens de « sainte » Greta, et le rôle des universités et de l’enseignement anglo-saxon encore… Dès les années soixante-dix, nous l’avons vu, on pouvait se rendre compte d’où la menace venait.

Le comportement des fonctionnaires pour la plupart, flics ou gendarmes, ne sont pas sans nous rappeler les heures les plus sombres. Faut bien gagner sa vie et obéir. Faut mériter sa retraite. Mais à quel prix ? Sans oublier la tragique médiocrité caporaliste du corps enseignant, pour beaucoup, face au régime amincissant appliqué sans relâche depuis des décennies aux programmes scolaires. Et les militaires ! En France, depuis dix ans, l’élite a eu l’intelligence de doubler les traitements des généraux, tous francs-maçons. Le recrutement et la militarisation se feront donc aux dépens d’une épuration qui mettra les plus vils aux commandes. Dois-je aussi évoquer les journalistes ?

Au nom d’un pouvoir central autant qu’autoritaire, tout doit disparaître sous un vernis de fonctionnaires, tout comme sous Staline ou Mao. La même recette de bâton et carotte s’applique aux médecins. C’est prime de Big Pharma pour les « bons » contre l’hôpital psychiatrique pour les contrevenants à la sainte parole gouvernementale. Netflix nous a formé une génération de Vikings couilles molles même pas capables de revendiquer leurs idées, si ce n’est lâchement planqués derrière un pseudo.

Alors vous pensez-bien que les peureux et les pleurnichards vont sortir de partout la merde au cul. Ils sont hypnotisés par la peur du virus, des pandémies, de tout. Un lâche peut tout faire. La télévision de Cyril Hanouna en a fabriqué des millions avec ses chaînes de News et ses actus en bandeaux. Dois-je continuer ?

À suivre.

Olivier

Suite ici : http://vecteur-douceur.over-blog.com/2021/01/les-intouchables-partie-6.html

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