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Un p’tit article pour faire « faire des risettes » à tonton Reset.

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Aujourd’hui, je vais vous parler d’agenda caché et effectuer ainsi un petit intermède avant de terminer ma chronique à Roro (encore deux épisodes). Je l’ai déjà fait, mais, vue la situation qui s’aggrave, le temps est venu de mettre le doigt dessus avec tous les neurones qui vont avec.

Nous faire décroitre, tant sur le plan population que consommation semble devenue la litanie de ceux qui prétendent posséder et diriger ce monde. Mon prochain livre sort bientôt, il concerne Davos et n’était pas prévu au programme.

C’est le Vatican qui se trouvait et se trouve toujours dans ma ligne de mire. Ce n’est que partie remise ! Mais pour l’instant, mon but est de vous prouver qu’avant de nous faire majoritairement tous crever, l’élite désire nous en faire baver. Ainsi, le rôle de ce livre et de cet article sont-ils de vous en convaincre.

Les lecteurs de ma génération (1960) connaissent le slogan « la France n’a pas de pétrole, mais elle a des idées ». Décennies aidant, elle a surtout cultivé une nouvelle race de parasites : "des écolos" qui ont des idées.

Ils en ont tellement qu’il ne se passe plus un jour sans que ces frétillants militants de l’Ascétisme pour Autrui ne pondent une nouvelle idée suscitant de nouveaux quotas ou de nouvelles restrictions qui garantiront enfin une avancée décisive de l’Humanité vers un futur « riant ».

Au milieu de tour ça, j’habite en bord de mer et j’attends toujours de couler ! Par contre, j’aimerais me promener toute l’année en T-shirt, chaussettes et tongs. Malheureusement, je n’ai jamais utilisé autant de stères de bois afin de chauffer ma vieille carcasse ?

Et pourtant, à écouter tous ces « spécialistes » de plateaux TV œuvrant avec délice dans le catastrophisme merdiatique, notre avenir ne tient plus qu’à un fil très tenu ? Encore plus bizarre ?

Alors que Bill le coyote et ses p’tits copains voyagent en yacht ou en jet afin d’aller acheter leur pain, ce fil tenu nous tenant tous au-dessus du gouffre de l’Enfer, c’est nous, pauvres gueux, qui, du haut de nos frivolités de gaspilleurs-pollueurs, risquons de la casser.

Bref ! Afin de survivre, nous devons expier nos fautes par différents moyens, bizarrement mais systématiquement tous coercitifs. Nous devrons bientôt tous nous serrer la ceinture déjà pourtant au dernier cran pour beaucoup de Gilets jaunes, depuis 2018. Nos kapos au pouvoir trépignent tous d’impatience à vouloir imposer de fermes limitations énergétiques, rebaptisés pudiquement « quotas carbone » pour faire croire à un quelconque lien avec le dioxyde de carbone.

Quelle que soit l’émission télé, le reportage, le film, la personnalité interviewée, il existe un coupable évident, pratique et systématique à savoir l’Humanité qui, une fois soigneusement taxée, contrainte et limitée afin d’expier sa faute, pourra échapper à l’apocalypse si et seulement si elle se laisse diriger par une élite éclairée et sa novlangue.

« Permis carbone », « pass énergétique », « quota carbone », constituent ainsi autant d’ausweis destinés à nous faire expier le simple fait d’exister.

Grâce à ce procédé, chaque citoyen peut être contraint jusque dans son intimité à limiter toutes ses activités, à ne faire que ce qui est approuvé et ne plus avoir ni le droit, ni le temps, ni l’énergie pour faire ce qui lui plaît.

Tu ne voyageras plus en avion, tu iras bosser à vélo, tu te doucheras une fois par semaine et à l’eau froide. Tu n‘oublieras pas de récupérer cette eau pour des usages divers et variés. Tu ne te chaufferas qu’à 19° et n’utiliseras l’électricité que deux heures chaque jour. Et encore ! Bref tu ne gaspille rien, sous peine d’amende. Seul l’État et ses garde-chiourmes peuvent se le permettre. Avec ta bénédiction de sale pollueur, bien sûr !

Finis, terminés les bons gueuletons du weekend en famille. Beaucoup seront morts d’ailleurs, grâce à la vaccination covid. La transition écologique passera par la bouffe, et Jiminy Cricket va se retrouver dans ton assiette.

Tu vas acheter ce qu’on te dit, en fonction de tes quotas carbone. Oui. Espèce de gueux ! n’espère pas continuer à acheter ce dont tu as envie sans trop te soucier du climat, de l’environnement, de la pollution et des ours polaires.

Terminée l’idée de reprendre deux fois des pâtes ! Tu vas en chier sale pollueur de Gaïa ! Qu’est-ce que tu crois ?

Il y a plus de pauvres que de riches, tout ceci va ruiner les efforts de la transition écologique destinés à nous empêcher de tous mourir noyé par la fonte inexorable des pôles.

La conclusion est donc sans appel ; la variable d’ajustement c’est toi, le pauvre.

Il faut donc dilapider l’argent public pour médiatiser et propagandiser, puis contraindre, interdire et empêcher, limiter par la loi, réguler de tous les côtés et tailler en pièce la liberté individuelle, le tout en utilisant des mots novlandesques inventés de toute pièce.

Et au milieu de tout cela, le grignotage de grillons et de vers de farine ne faisant pas encore recette auprès des Français, deviendra prochainement «  ton pain quotidien ».

Il faudra patiemment attendre encore un peu (les premières famines ?) avant ce genre de solutions. En attendant, rassurez-vous, Bill Gates et Al Gore nous ont concocté de la « bonne » viande artificielle.

Quotas carbone, pistage de votre alimentation jusqu’au moindre grain de riz… Les signaux sont encore discrets, mais ils sont persistants, répétés et de moins en moins faibles : il faut absolument imposer l’ascétisme, les contraintes de la limitation et du jeûne alimentaire et énergétique, à tous, tout le temps au milieu d’une France qui s’appauvrit attaquée de toute part par l’hystérie écologique permanente d’une caste dévoyée.

Bref, il est clair que les puissances à l’origine de ce programme fou de zéro carbone sont conscientes de cette réalité. Ils s’en moquent, car leur objectif n’a rien à voir avec l’environnement.

Il s’agit d’eugénisme et d’abattage du troupeau humain, comme l’a fait remarquer feu le prince Philip, qui se serait bien vu « réincarné en virus afin de nous faire la peau ».

Dans Tonton Malthus est revenu et dans mon livre à paraitre, j’évoque longuement Maurice Strong, fondateur du Programme des Nations unies pour l’environnement.

Celui qui, « fort avisé », avait déclaré dans son discours d’ouverture du Sommet de la Terre de Rio en 1992 : « Le seul espoir pour la planète n’est-il pas que les civilisations industrialisées s’effondrent ? N’est-il pas de notre responsabilité d’y parvenir ? ».

Lors du sommet de Rio, Strong avait supervisé la rédaction des objectifs de l’ONU en matière d’«environnement durable », de l’Agenda 21 pour le développement durable qui constitue la base de la Grande Réinitialisation de Klaus Schwab, ainsi que la création du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) de l’ONU.

Strong, un protégé de David Rockefeller, a été de loin la personnalité la plus influente derrière ce qui est aujourd’hui l’Agenda 2030 de l’ONU.

Il était co-président du Forum économique mondial de Davos de Klaus Schwab. En 2015, lors du décès de Strong, le fondateur de Davos, Klaus Schwab, a écrit : « Il était mon mentor depuis la création du Forum : un grand ami, un conseiller indispensable et, pendant de nombreuses années, un membre de notre conseil de fondation ».

Ainsi, si les grands gouvernements, les entreprises, les groupes de réflexion et le Forum économique mondial de Davos font tous la promotion d’un programme mondial « zéro carbone » visant à éliminer l’utilisation du pétrole, du gaz et du charbon, c’est afin de réaliser les souhaits de Strong, ex gourou de tonton Klaus.  

Ils savent que le passage à l’électricité solaire et éolienne est impossible parce que la demande de matières premières est irréaliste.  Cuivre, cobalt, lithium, béton, acier ; toutes ces matières utiles à la concrétisation verte dépassent LARGEMENT l’offre mondiale.

Rien que le problème des batteries est insoluble, soient-elles d’usage courant ou de secours. L’est encore davantage l’utopie de relier tout cela à un réseau électrique « fiable » 100% renouvelable.

C’est également impossible sans provoquer l’effondrement de notre niveau de vie actuel et une rupture de notre approvisionnement alimentaire qui entraînera des décès massifs dus à la famine et à la maladie.

 

Tout cela au nom d’une fraude scientifique appelée « réchauffement climatique » d’origine humaine et portée à bout de bras par les « grands noms » de la planète, tous plus vendus les uns que les autres à Mammon, le dieu de ce monde : l’argent.

Afin d’y voir plus clair n’allumons pas la lumière (ça coûte cher). Il suffit de mettre en parallèle cette pseudo écologie avec une pseudo pandémie.

La corruption éhontée qui entoure couillonavirus et sa vaccination menée par les grandes sociétés pharmaceutiques et les principaux responsables gouvernementaux à l’échelle mondiale est encore plus évidente lorsque l’on constate que les gouvernements de l’Union européenne et des États-Unis s’efforcent inconsidérément de promouvoir un programme vert dont les coûts et les avantages ont rarement fait l’objet d’un examen ouvert.

Il y a une bonne raison à cela. Il s’agit d’un programme sinistre visant à détruire les économies industrielles et à réduire la population mondiale de plusieurs milliards d’êtres humains.

Dans l’un de ses premiers actes, Joe Biden a proclamé en 2021 que l’économie des États-Unis deviendrait zéro carbone net d’ici à 2050 pour les transports, l’électricité et la fabrication.

L’Union européenne, sous la direction d’Ursula von der Leyen, notoirement corrompue, a annoncé des objectifs similaires dans le cadre de son programme « Fit for 55 » et d’innombrables autres programmes verts.

L’agriculture et tous les aspects de l’agriculture moderne sont visés par de fausses allégations de dommages causés au climat par les gaz à effet de serre.

Le pétrole, le gaz naturel, le charbon et même l’énergie nucléaire sans CO2 sont progressivement abandonnés. Pour la première fois dans l’histoire moderne, nous sommes poussés à passer d’une économie plus efficace sur le plan énergétique à une économie nettement moins efficace sur le plan énergétique.

Personne, du Deep State washingtonien, en passant par le futur 4ème Reich bruxellois, ne parle des véritables ressources naturelles nécessaires à cette fraude MONSTRUEUSE, et encore moins de son coût. Seul compte le résultat : l’éradication des gueux. La preuve ?

L’un des aspects les plus remarquables de ces idioties sans nom est bel et bien l’engouement mondial frauduleux pour les énergies vertes dites « propres et renouvelables ».  Alors que solaire et éolien sont bel et bien un piège à con tant leur caractère se veut non renouvelable et écologiquement polluant.

Presque aucun « vert » ne semble porter attention aux coûts environnementaux stupéfiants liés à la fabrication de ces gigantesques éoliennes, des panneaux solaires ou de ces fameuses batteries lithium-ion des véhicules électriques. Mais que le béotien se rassure ! Cette grave omission est délibérée.

L’un comme l’autre nécessite d’énormes quantités de matières premières pour un rendement médiocre. La construction d’une seule éolienne nécessite 900 tonnes d’acier, 2500 tonnes de béton et 45 tonnes de plastique non recyclable. Les parcs solaires nécessitent encore plus de ciment, d’acier et de verre, sans parler des autres métaux. Il ne faut pas oublier que leur efficacité énergétique est nettement inférieure à celle de l’électricité conventionnelle.

Les matières premières nécessaires à la fabrication des panneaux solaires photovoltaïques ou des éoliennes sont concentrées dans un petit nombre de pays : Chine, Australie, République démocratique du Congo, Chili, Bolivie et Argentine.

La Chine est le plus grand producteur de métaux utilisés dans les technologies solaires photovoltaïques et éoliennes, avec la plus grande part de production d’aluminium, de cadmium, de gallium, d’indium, de terres rares, de sélénium et de tellure. En outre, la Chine exerce une grande influence sur le marché du cobalt et du lithium pour les batteries.

L’Australie est le plus grand producteur de lithium […] la plus grande mine de lithium, Greenbushes, dans sa partie occidentale, est détenue en majorité par une société chinoise.

Ce n’est pas très bon quand l’Occident, afin de satisfaire aux caprices de l’oncle Sam, intensifie la confrontation avec la Chine.

Quant à la République démocratique du Congo, elle exploite plus de la moitié du cobalt mondial.

L’exploitation minière y a entraîné la contamination de l’air, de l’eau et du sol par des métaux lourds.

Tout ceci a eu de graves répercussions sur la santé des mineurs et des communautés environnantes. La zone d’extraction du cobalt est l’un des dix endroits les plus pollués au monde.

Environ 20% du cobalt en provenant est extrait par des mineurs artisanaux et à petite échelle qui travaillent dans des conditions dangereuses dans des mines creusées à la main et où le travail des enfants est très répandu.

L’extraction et le raffinage des terres rares sont essentiels à la transition vers le zéro carbone dans les batteries, les éoliennes et les panneaux solaires.

L’éolien et le solaire nécessitent jusqu’à 300 fois plus de terrain pour produire la même électricité qu’une centrale nucléaire classique.

En Chine, 25 kilomètres carrés d’un parc solaire sont nécessaires pour produire 850 MW d’électricité, soit la taille d’une centrale nucléaire classique.

Alors que les coûts sont stupéfiants, presque aucune étude du lobby vert n’examine la chaîne de production totale, de l’exploitation minière à la production de panneaux solaires et d’éoliennes, en passant par la fonte.

Au lieu de cela, ils font des affirmations frauduleuses sur le prétendu coût inférieur par KWh de la production solaire ou éolienne à des coûts hautement subventionnés.

En 2018, le système énergétique mondial dépendait à 85% des combustibles carbonés (charbon, gaz, pétrole). Un autre 10% provenait du nucléaire, pour un total de 95% d’énergie conventionnelle.

Seuls 4% provenaient des énergies renouvelables, principalement le solaire et l’éolien. Nos politiciens débiles autant que vendus à Davos parlent donc de remplacer 95% de notre production énergétique mondiale actuelle d’ici 2050 au plus tard, et une grande partie de cette production d’ici 2030.

En ce qui concerne les véhicules électriques (voitures, camions ou bus), moins de 1% du parc automobile mondial, qui compte quelque 1,4 milliard de véhicules, est aujourd’hui électrique.

Si nous devions passer au tout VE, pour fabriquer une seule batterie pour chaque véhicule du parc mondial de transport, il faudrait près de 50% des réserves mondiales de nickel de 2018 et 44% des réserves mondiales de lithium.

Chacune des 1,39 milliard de batteries lithium-ion ne pourrait avoir qu’une durée de vie utile de 8 à 10 ans. Ainsi, 8 à 10 ans après leur fabrication, de nouvelles batteries de remplacement seront nécessaires, soit à partir d’une source minérale extraite, soit à partir d’une source métallique recyclée.

Rien que pour le cuivre, il faut 4,5 milliards de tonnes, soit environ six fois le total de la production mondiale. C’est environ six fois la quantité totale que l’homme a extraite de la Terre jusqu’à présent. Le ratio roche-métal pour le cuivre étant supérieur à 500, il faudrait extraire et raffiner plus de 2250 milliards de tonnes de minerai. Et pour fonctionner, les équipements miniers devraient être alimentés par des moteurs diesel.

Pour éliminer progressivement les produits pétroliers et remplacer l’utilisation du pétrole dans le secteur des transports par un parc de véhicules entièrement électriques, c’est une capacité supplémentaire MONSTRUEUSE de production d’électricité qui serait nécessaire de la part du réseau électrique mondial pour charger les batteries des 1,4 milliard de véhicules du parc mondial.

Cela signifie qu’en se référant à la production mondiale d’électricité en 2018, pour rendre viable la révolution des VE, il faut ajouter une capacité supplémentaire de 66,7% de l’ensemble de la capacité mondiale existante de production d’électricité.

Et encore ne s’agit-il là uniquement de remplacer les moteurs à combustion interne des véhicules à l’échelle mondiale.

Si l’on considère ensuite la proposition de remplacer les sources d’énergie électrique conventionnelles actuelles à 95% par des panneaux solaires et de l’énergie éolienne sur terre et en mer pour atteindre l’objectif absurde et arbitraire de zéro carbone dans les prochaines années, tout cela pour éviter le faux « point de basculement » d’Al Gore, à savoir une augmentation de 1,5°C de la température moyenne de la planète (qui est elle-même une notion absurde), le calcul devient encore plus absurde. L’éolien et le solaire ne sont pas fiables.

Les pannes d’électricité imprévisibles qui affectent la stabilité du réseau étaient pratiquement inexistantes aux États-Unis ou en Europe avant l’introduction des grandes centrales solaires et éoliennes.

Alors, que faire ? Tout d’abord s’informer ! Faites donc circuler cet article et, pourquoi pas, procurez-vous mon prochain livre qui sort mi-mai : Davos et son écheveau « Des origines du mal à la tentative de crime mondiale ». C’est de l’économie solidaire !

Olivier

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Roro et son empire basé sur la fausse science (Partie 5)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/04/roro-et-son-empire-base-sur-la-fausse-science-partie-1.html

Comme indiqué dans De Mammon à Corona, le WEF s’est diversifié ces dernières années pour devenir chef de file de la coordination mondiale de la pandémie en tant que Co-sponsor de l’effrayant Event 201 d’octobre 2019.

Preuve que ce monde-là est dégoulinant de cynisme, ils ont même intégré au forum de Davos des dirigeants de groupes typiquement « anticapitalistes », comme Greenpeace qui, hypocritement, s’expriment tous désormais régulièrement lors de leurs événements.

Jennifer Morgan est l’actuelle responsable de Greenpeace. Au summum de l’hypocrisie de circonstance voici ce qu’elle   a déclaré lors de l’événement : « Nous avons instauré un nouvel ordre mondial après la Seconde Guerre mondiale (…) Nous sommes maintenant dans un monde différent de ce qu’il était alors. Nous devons nous demander, que pouvons-nous faire différemment ? Le Forum économique mondial a également une grande responsabilité à cet égard : appuyer sur le bouton de réinitialisation et chercher comment créer le bien-être des personnes et de la Terre. »

Pour l’élite, étant donné que notre crise actuelle exige un nouveau système, de la même manière que le monde avait besoin d’une réinitialisation en 1932, et à nouveau en 1945, nous devons le refaire. C’est une demi-vérité ! Pourquoi ?

Le New Deal de F.D. Roosevelt était fondé sur : l’arrêt de la dictature des banquiers, en 1933, lorsqu’il torpilla la conférence de Londres de la Banque d’Angleterre et de la Ligue des Nations, l’imposition d’une régulation massive aux spéculateurs de Wall Street en vertu des lois Glass-Steagall, etc.

Roosevelt voulait faire de l’Amérique une économie agro-industrielle tous azimuts, capable d’une croissance constante. Dans le même ordre d’idée, il désirait garantir ces mêmes capacités à toutes les nations du monde en opposition totale à l’Empire britannique.

Les partisans du Green New Deal d’aujourd’hui en utilisent la forme et le nom mais pas le fond. Ils sont totalement attachés à des objectifs opposés. « Décarboner le monde », comme ils disent aura pour effet de réduire la productivité du travail de toutes les nations plutôt que d’accroître celle-ci comme l’avait fait le New Deal original.

Et croyez-moi, toutes leurs dispositions financières liées au climat, promettent de créer des incitations financières pour les déjà milliardaires, style Al Gore, tout en réduisant le potentiel de la population mondiale. Traduction : ils nous pompent l’air avec leur CO2.

Ils le font au sens propre comme au figuré en déconstruisant l’ordre économique industriel nécessaire pour soutenir les près de 8 milliards d’humains à la surface de la terre. Bref, les entreprises qui anticiperont ces développements seront largement récompensées.

Les autres cesseront d’exister. Ce nouveau système vert réinitialisé SERVIRA les intérêts d’une élite oligarchique, obsédée par le contrôle, l’équilibre, et la crédulité de nations divisées, dépeuplées et appauvries.

Mais pour en arriver là, encore faut-il provoquer la marche des walking Dead, c’est pour cela que depuis 20 ans nous avons connu un bon technologique majeur préparant l’arrivée de l’intelligence artificielle (IA), des nanotechnologies et du transhumanisme, le tout soupoudré d’une dose de Big Pharma. Mais grâce à Roro (1915-2017), le sinistre Kraken du Deep State américain, c’est bien parti.

La mort de David Rockefeller le 20 mars 2017, le patriarche de fait de l’Etablissement américain, à l’âge de 101 ans, avait été accueillie par les médias avec moult louanges pour sa « philanthropie ». J’aimerais continuer ici à donner une image un peu plus honnête de ce personnage.

Dans mes livres, j’ai souvent un « petit mot » concernant le CFR. En 1939, avec ses quatre autres frères (Nelson, John D. III, Laurance et Winthrop), David finance avec leur Fondation le « Projet d’Etude Guerre et Paix », mené sous l’égide du Conseil de New York pour les Relations Etrangères (New York Council on Foreign Relations CFR) qui était alors le cercle d‘influence le plus important en matière de politique étrangère américaine, lui-même également contrôlé par les Rockefeller.

Avant même le déclenchement de la Deuxième Guerre Mondiale, ces réservoirs de pensée (think tank) planifièrent un empire mondial qui serait celui de l’après-guerre, né de l’Empire britannique en banqueroute, mais avec prudence ils décidèrent de l’appeler autrement qu’un empire.

Au lieu de cela ils parlèrent donc de « répandre la démocratie, la liberté, et la libre entreprise à la façon américaine ». La création des Nations Unies en était une composante clé.

Les Rockefeller firent « don » du terrain qui abriterait à Manhattan les Quartiers Généraux de l’ONU : chaque concession donnée était calculée afin d’augmenter la richesse et le pouvoir de la famille.

Après la guerre, David domina la politique étrangère américaine, et les guerres innombrables menées partout où ses intérêts le décidaient… Sa faction créa la Guerre froide entre l’Union Soviétique et l’OTAN, afin de garder une Europe de l’Ouest encore MEURTRIE par le Second conflit mondial sous le statut de vassal américain.

J’ai déjà longuement expliqué que la recherche médicale et biologique de Rockefeller ne visait qu’un but : contrôler les peuples… Jusqu’en 1939 et la guerre, la Fondation Rockefeller finança la recherche biologique du Kaiser Wilhelm Institut de Berlin. Il s’agissait là d’eugénisme ou comment concevoir une race supérieure, et comment tuer ou stériliser ceux qui étaient considérés comme « inférieurs ».

La Standard Oil des Rockefeller viola également les lois américaines afin d’approvisionner en secret l’Armée de l’air nazie avec de l’essence.

Après la guerre, les Rockefeller s’arrangèrent pour que les scientifiques nazis principaux qui avaient été impliqués dans d’atroces expérimentations humaines, soient exfiltrés aux USA et au Canada sous des identités expurgées, afin de continuer leurs recherches eugéniques. Nombre d’entre eux travaillèrent ensuite pour le projet top secret MK-Ultra de la CIA.

Durant les années 1950, les Rockefeller fondèrent le Population Council afin d’avancer les recherches géniques, déguisés en recherches sur la population sur les questions du contrôle des naissances.

Les Rockefeller furent responsables durant les années 1970, d’un projet top secret américain dirigé par le Conseiller à la Sécurité Nationale des Rockefeller, Henry Kissinger : le Memorandum NSSM-200 intitulé : « Implications d’une croissance de la population mondiale sur les intérêts sécuritaires et extérieurs des États-Unis ». Au passage, je rappelle que Kissinger sera le mentor de Klaus Schwab.

Globalement, toute croissance de la population dans les pays en développement, disposant de matières premières comme le pétrole ou les minerais, constituerait une « menace pour la Sécurité Nationale » des États-Unis, du fait que l’accroissement de ces populations supposerait une croissance économique nationale, utilisant ces ressources de façon interne.

Le NSSM-200 subordonnait des programmes de réduction de la population des pays en développement, en tant que préconditions de l’aide américaine.

Durant les années 1970, la Fondation de David Rockefeller finança également aux côtés de l’OMS, le développement d’un vaccin spécial contre le tétanos qui participait à la limitation de la population, en rendant les femmes incapables de supporter un état de grossesse, ce qui attentait directement au processus même de la reproduction humaine.

Le kraken Rockefeller s’arrogea le champ tout entier de la manipulation génétique, à travers sa propriété sur Monsanto, et en finançant les recherches biologiques universitaires afin de créer le « canon à gène », et d’autres techniques qui devaient être utilisées afin d’altérer artificiellement l’expression génétique d’une plante donnée. Pourquoi ?

Afin de contrôler la chaîne alimentaire humaine et animale. Aujourd’hui, bien que non étiqueté comme tel en magasin, plus de 90 % de tout le soja cultivé aux États-Unis est OGM, et plus de 80 % du maïs et du coton.

La fortune des Rockefeller est basée sur le pétrole, autour de compagnies telles que ExxonMobil, Chevron et autres. Henry Kissinger, le conseiller politique de David Rockefeller depuis 1954, fut impliqué dans chaque projet majeur des Rockefeller.

Kissinger manipula secrètement la diplomatie du Moyen-Orient en 1973, afin de déclencher ce qui fut connu comme l’embargo pétrolier des pays arabes de l’OPEP.

Les chocs pétroliers de 1973-74 furent en effet orchestrés par une organisation secrète que David Rockefeller créa durant les années 1950, connue sous le nom de Bilderberg.

En mai 1973, David Rockefeller et les autres dirigeants des « Majors », les grandes compagnies pétrolières principalement anglo-américaines, se réunirent en Suède, pour la Réunion annuelle du Bilderberg, afin de planifier les chocs pétroliers.

Le blâme devait revenir aux arabes trop « avides ». Or ces chocs pétroliers sauvèrent le dollar américain vacillant, et propulsèrent les banques de Wall Street, incluant la Chase Manhattan de David Rockefeller, au rang des plus grandes banques du monde.

Durant les années 1970, Kissinger résuma la stratégie mondiale de David Rockefeller : « si vous contrôlez le pétrole, vous contrôlez des nations entières ; si vous contrôlez la nourriture, vous contrôlez le peuple ; si vous contrôlez l’argent, vous contrôlez le monde entier ».

David Rockefeller fut le Président de la Chase Manhattan Bank, la banque de la Famille. C’est lui qui fit du Vice-président de la « Chase », Paul Volcker, le Président de la Réserve Fédérale (FED) sous le Président Carter, afin de mettre en place la thérapie de choc monétaire par les taux d’intérêt qui une nouvelle fois, comme le choc pétrolier en son temps, sauva le dollar américain vacillant et les profits des banques de Wall Street, incluant ceux de la Chase Manhattan, ceci au détriment de l’entière économie mondiale.

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Quant à celles et ceux qui veulent en savoir plus, j’ai ceci :

https://www.thebookedition.com/fr/37027_olivier-cape      

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/05/roro-et-son-empire-base-sur-la-fausse-science-partie-6.html

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Roro et son empire basé sur la fausse science (Partie 4)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/04/roro-et-son-empire-base-sur-la-fausse-science-partie-1.html

En 1918-1919, aucune enquête indépendante n'a été menée pour contester l'histoire officielle selon laquelle la « grippe espagnole » était une mystérieuse maladie tombée du ciel. En 2020, l'industrie pharmaceutique a été le plus grand donateur aux hommes politiques lors des campagnes électorales et le plus grand annonceur dans toutes les formes de médias, donc peu de choses ont changé en cent ans.

En 1918-1919, les médias étaient déjà des putains inféodées. En 2020, ils l’étaient encore plus, et si mon livre De Mammon à Corona et cet article tombent entre les mains d’un de ces débunkers du Diable, ils se verront vilipendés comme son rédacteur. Quoi de plus normal ! leurs salaires sont payés par la publicité pharmaceutique. Et si ce n’est toujours pas suffisant pour vous réveiller, allez donc prendre une douche mais apprenez ceci.

Qui se souvient encore de Jane Burgermeister ? En avril 2009, en pleine pandémie de grippe A(H1N1), cette journaliste scientifique d’origine autrichienne avait créé le buzz sur internet en portant plainte pour « génocide » contre l’OMS et l’ONU.

On trouve encore sur le net des dizaines de vidéos dans lesquelles elle expliquait que le vaccin contre la grippe porcine était en réalité un poison destiné à tuer de manière imminente des millions de personnes afin de réduire la population mondiale, le tout avec la complicité de l’industrie pharmaceutique.

Les tireurs de ficelles ? Barack Obama, la directrice générale de l’OMS Margaret Chan, George Soros, David de Rothschild et David Rockefeller, toujours et encore la même clique.

Pour elle, le plus grand crime contre l’humanité était désormais en marche.

Elle écrivait pour le magazine Nature, le British Medical Journal et American Prospect. Elle était également correspondante européenne du site Internet « Renewable Energy World.com ». Après avoir déposé la plainte, elle a été licenciée.

Dans son dossier d’inculpation, Burgermeister présentait les preuves d’actes de bioterrorisme, en violation de la loi américaine, par un groupe opérant depuis les Etats-Unis, sous la direction de banquiers internationaux qui contrôlent la Réserve Fédérale, ainsi que l’OMS, l’ONU et l’OTAN.

Cet acte de bioterrorisme avait alors pour but de réaliser un génocide de masse contre la population américaine, en utilisant un virus génétiquement modifié de grippe.

À l’époque, elle suspecté une grande partie de la nomenclatura internationale, dont Barack Obama, président des Etats-Unis, de faire partie de ce syndicat international d’entreprises criminelles qui avait mis au point, fabriqué, stocké et utilisé des armes biologiques, en vue de décimer la population des Etats-Unis et celle d’autres pays, en vue de gains politiques et financiers.

Les accusés étaient largement suspectés de participer à la phase finale de la mise en œuvre d’un programme international de fabrication d’armes biologiques impliquant les sociétés Novartis et Baxter.

Via la bio-ingénierie et la diffusion d’agents biologiques mortels, en particulier par le virus de la « grippe aviaire » et celui de la « grippe porcine », ils y trouvaient un prétexte pour mettre en œuvre un programme de vaccination forcé, qui serait le moyen d’administrer un agent biologique toxique causant la mort et des dommages à la population des Etats-Unis.

Les accusations de Burgermeister comportaient des preuves attestant que Baxter AG, filiale autrichienne de Baxter International, avait délibérément envoyé 72 kilos de virus vivant de la grippe aviaire, fournis par l’OMS durant l’hiver 2008/09 à 16 laboratoires, dans quatre pays, afin de déclencher une pandémie et de provoquer la mort de masses.

Son dossier révélait alors que la diffusion des virus devait être une étape essentielle pour le déclenchement d’une pandémie qui permettrait à l’OMS de déclarer le « Niveau 6 » d’alerte.

L’ONU et l’OMS pouvant alors, grâce à ce Niveau 6, suppléer les Etats-Unis au cas où la pandémie se déclare. En outre, la législation imposerait de se soumettre à l’obligation vaccinale et elle serait mise en vigueur par la force aux Etats-Unis, dès lors que les conditions de déclaration de la pandémie sont réalisées. On comprend dès lors pourquoi le gouvernement Biden cherche à y supprimer les armes !

Elle présentait des preuves qu’il existe des motifs légitimes de croire que les vaccins obligatoires seraient volontairement contaminés pour provoquer à dessein des maladies mortelles.

Elle faisait référence à un vaccin agréé par Novartis contre la grippe aviaire qui avait tué 21 sans-abris, en Pologne, durant l’été 2008 et qui a eu comme principale conséquence d’être classé dans la catégorie des « Taux d’effets indésirables ».

Elle affirmait que ce même groupe de l’ombre s’est positionné afin de tirer profit de la situation de pandémie créée, avec de gros contrats de commandes de vaccins à la clé.

Le groupe qui a élaboré le plan de « grippe porcine » contrôle les médias et, ces derniers diffusent de fausses informations afin d’endormir la vigilance de la population pour qu’elle accepte ce vaccin dangereux.

Depuis 2008, Burgermeister accusait ceux dont les noms sont cités d’avoir mis en application de nouvelles procédures et/ou d’avoir accéléré la mise en œuvre de lois et de règlements visant à priver les citoyens des Etats-Unis de leurs droits constitutionnels à refuser cette injection.

Ces personnes ont créé ou autorisé des directives qui rendent criminel l’acte de refuser de recevoir une injection contre les virus de la pandémie. Elles ont imposé d’autres sanctions cruelles et excessives, telles que l’emprisonnement et/ou la mise en quarantaine dans les camps FEMA (Federal Emergency Management Agency), tout en empêchant les citoyens des Etats-Unis de demander des indemnités en cas de blessures ou de décès, à la suite des injections forcées.

Utilisant la « grippe porcine » comme prétexte, les accusés ont planifié le meurtre de masse des populations des Etats-Unis par le biais de la vaccination forcée. Ce qui est extraordinaire, c’est que cette déclaration entre en adéquation parfaite avec le dernier chapitre de mon livre gratuit De Mammon à Corona.

Elle expliquait qu’ils ont mis en place un vaste réseau de camps de concentration de la FEMA et identifié des sites allant servir de charniers, l’ONU et l’OMS constituant la façade idéale pour entreprendre des activités de racket criminelles, en violation des lois qui régissent la haute trahison.

Elle s’attaquait aussi aux complexes pharmaceutiques Baxter, Novartis et Sanofi Aventis qui font partie d’un programme de fabrication d’armes biologiques basé à l’étranger et à double but, financé par ce syndicat international d’entreprises criminelles et destiné à mettre en œuvre le meurtre massif de civils afin de réduire la population mondiale de plus de 5 milliards de personnes dans les dix prochaines années (2009+11). 

C’est donc la période 2020/2021 qui constituait la charnière avec son AGENDA 21. Leur plan était de répandre la terreur afin de justifier le fait de contraindre les gens à renoncer à leurs droits et à les obliger à être mis en quarantaine massivement dans les camps de la FEMA.

Les maisons, les entreprises, les propriétés et les terres des victimes seraient confisquées par ce syndicat. En décimant la population d’Amérique du Nord, cette élite internationale accéderait aux ressources naturelles des régions, telles que l’eau et les zones pétrolifères non encore exploitées.

Et enfin dans son dossier elle apportait également la preuve que la « grippe espagnole » de 1918 avait été causée par une vaccination, incluant le rapport du Dr Jerry Tennant, convaincu que l’utilisation généralisée de l’aspirine au cours de l’hiver qui avait suivi la fin de la Première Guerre mondiale aurait pu être un facteur contribuant à la prolifération de la pandémie à ces débuts, en supprimant le système immunitaire et en abaissant la température corporelle, ce qui permet au virus de la grippe de se multiplier.

Le Tamiflu et le Relenza abaissent également la température corporelle et, par conséquent, peuvent également être considérés comme facilitant la propagation d’une pandémie. Et on se rappellera de la polémique sur ce médicament mortifère que fut alors le Tamiflu. Cerise sur le gâteau, déjà en 2009, elle apportait les preuves évidentes que les médias plongeaient volontairement la population américaine dans l’ignorance du danger dont ils sont menacés.

Jane Burgermeister, c’était en 2009. Et 11 ans après, le 11 étant chéri chez les kabbalistes, on s’est pris le Covid-19 et on nous parle de The Great Reset, avec des appels passionnés des dirigeants du FMI, de la Banque mondiale, du Royaume-Uni, des États-Unis, secteurs privé et bancaire confondus.

Tout ce beau monde jubile et surfe sur ce nouveau virus leur permettant de fermer et « réinitialiser » l’économie mondiale sous un nouveau système d’exploitation intitulé Green New Deal.

« En bref, nous avons besoin d’une grande réinitialisation du capitalisme. » déclare tout de go Klaus Schwab, le fondateur et président exécutif du WEF (le Forum économique mondial).

Son message sera relayé par « grandes oreilles », le prince Charles ayant sauté sur cette opportunité de modifier radicalement le comportement humain, d’une manière que des décennies d’écologisme n’ont pas réussi à accomplir.

Sur ce sujet il déclare : « Nous avons une occasion en or de saisir quelque chose de bien dans la crise (de la COVID-19). Ses ondes de choc sans précédent pourraient bien rendre les gens plus réceptifs aux grandes visions du changement ».

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Quant à celles et ceux qui veulent en savoir plus, j’ai ceci :

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Olivier

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Roro et son empire basé sur la fausse science (Partie 3)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Il n’y a pas de remède contre le cancer, le diabète, l’autisme, l’asthme ou même la grippe. Il y a des petites pilules. Pourquoi y aurait-il de vrais remèdes contre tout et même ce fichu cancer ? Roro y a bien pensé puisqu’en 1913, il a fondé l’American Cancer Society. Allait donc pouvoir débuter la valse des chimiothérapies, de la radiothérapie et de la chirurgie.

Sacré Roro! ce vampire allait tous nous embarquer dans sa valse mortifère et endiablé. En 1918, la maladie à l'origine d'un si grand nombre de victimes n'était donc ni la grippe ni un virus.

C'était une bactérie. Agenda 2021 oblige, « se préparer à une pandémie » allait devenir au milieu des années 2000 un sujet VITAL pour l’élite et son plan d’éradication des gueux. C’est ainsi qu’aux USA et ailleurs, les fabricants de vaccins contre la grippe ont reçu des milliards de dollars des contribuables.

Lorsque les États-Unis sont entrés en guerre en avril 1917, notre Big Pharma adolescent disposait d'une manne providentielle : un grand nombre de sujets humains pour des tests effectués sous forme de première ébauche de l'armée américaine.

Pendant les années de guerre 1918-1919, les effectifs de l'armée américaine ont atteint 6 000 000 d'hommes, dont 2 000 000 ont été envoyés outre-mer. L'Institut Rockefeller pour le Medical Research a profité de ce nouveau réservoir de cobayes humains pour mener des expériences vaccinales.

Entre le 21 janvier et le 4 juin 1918, des soldats ont reçu trois doses d'un vaccin contre la méningite bactérienne. Les personnes qui ont mené l'expérience sur les soldats se contentaient de doser au petit bonheur la chance le sérum vaccinal fabriqué à partir de chevaux.

En mars de cette année-là, « cent hommes par jour » entraient à l'infirmerie de Fort Riley.  Le lundi 11 mars, le premier signal d’alarme se fait entendre, signalant le début de la première vague de grippe de 1918.

Plusieurs des hommes qui ont participé à l'expérience vaccinale présentent ensuite des symptômes de type grippal : toux, vomissements et diarrhée. Ces symptômes sont une catastrophe pour les hommes, vivant dans des casernes, voyageant en train jusqu'à la côte atlantique, ils naviguent ensuite vers l'Europe, vivent et se battent dans des tranchées.

Les conditions d'insalubrité à chaque étape du voyage constituent un environnement idéal, un terrain favorable à la détérioration du système immunitaire préparant ainsi la voie à la propagation d'une maladie contagieuse comme la pneumonie bactérienne.

Les réactions ont parfois ressemblé au début d'une méningite épidémique et plusieurs hommes vaccinés ont été envoyés à l'hôpital de la Base pour diagnostic. Les soldats ont développé des symptômes semblables à ceux de la grippe.

La méningite bactérienne, à l'époque comme aujourd'hui, est connue pour provoquer des symptômes similaires à ceux de la grippe. La similitude des premiers symptômes de la méningite bactérienne et de la pneumonie bactérienne avec les symptômes de la grippe est peut-être la raison pour laquelle les expériences de vaccination à Fort Riley ont pu échapper à tout examen en tant que cause potentielle de la grippe dite « espagnole » depuis cent ans et plus.

La Première Guerre mondiale s'est terminée seulement dix mois après les premières injections. Malheureusement pour les 50 à 100 millions de morts, les soldats à qui l'on a injecté des bactéries chevalines se sont rapidement déplacés pendant ces dix mois.

Un article de 2008 sur le site du CDC décrit comment des soldats malades de la Première Guerre mondiale ont pu transmettre la bactérie à d'autres en devenant des « vecteurs de propagation ».

Pendant plusieurs jours au cours des épidémies locales, en particulier dans les lieux très fréquentés tels que les salles d'hôpital, les camps militaires, les navires de transport de troupes et les mines (et les tranchées), certains étaient immunologiquement sensibles, infectées ou en phase de guérison d'une infection par le virus de la grippe.

Bien que le vaccin ait rendu beaucoup de gens malades, il n'a tué que ceux qui y étaient sensibles. Ceux qui sont tombés malades et ont survécu sont devenus des « vecteurs de propagation » qui ont transmis la bactérie à d'autres, créant davantage de vecteurs de propagation, lesquels se sont propagé à d'autres personnes en tuant les personnes qui y étaient vulnérables. Et le cycle s'est répété au-delà des conditions d'insalubrité qui prévalaient en temps de guerre, et les millions de soldats sur lesquels faire des expériences n'étaient plus là.

Le bilan pour les troupes américaines fut énorme et il est bien documenté. Quatorze des plus grands camps d'entraînement avaient signalé des épidémies de grippe en mars, avril ou mai, et certains des soldats infectés avaient transporté le virus avec eux à bord de navires à destination de la France.

Lorsque les soldats dans les tranchées sont tombés malades, les militaires les ont évacués des lignes de front et les ont remplacés par des hommes en bonne santé. Ce processus a continuellement mis le virus en contact avec de nouveaux hôtes, de jeunes soldats en bonne santé dans lesquels il pouvait s'adapter, se reproduire et devenir extrêmement virulent sans danger d'épuisement.

Avant qu'une interdiction de voyager puisse être imposée, un contingent de troupes de remplacement a quitté le Camp Devens près de Boston pour le Camp Upton à Long Island, qui était le point d'embarquement de l'armée pour la France, et a emporté la grippe avec lui.

Les États-Unis n'étaient pas le seul pays à posséder le vaccin bactérien expérimental de l'Institut Rockefeller. Un rapport de 1919 de l'Institut indique qu'il « convient de mentionner qu'avant l'entrée en guerre des États-Unis (en avril 1917), l'Institut avait repris la préparation de sérum anti-méningococcique, afin de répondre aux demandes de l'Angleterre, de la France, de la Belgique, de l'Italie et d'autres pays. » On n'en sait pas assez sur la façon dont ces pays ont mené leurs propres expérimentations sur leurs soldats.

Je sais néanmoins que malgré toutes ces preuves écrasantes certains, trop nombreux, verront encore en des gens comme moi de simple « complotistes » qui, face au doux nom de Rockefeller ou Rothschild crient toujours « Illuminati ! » ou « Réduction de la population ! ».

Qu'en est-il de nos jours ? Big Pharma est toujours à la recherche de sujets humains. Bill Gates et sa bande se sont fait la main sur de pauvres filles en Inde ou sur de malheureux africains. C'est-à-dire là où on a le plus de succès lorsqu'on parvient à trouver des populations qui ne sont pas en mesure de refuser.

Vous ne me croyez pas ? Il n’est qu’à jeter un œil sur la vidéo du Dr Stanley Plotkin où il décrit l'utilisation de vaccins expérimentaux sur les orphelins, les retardés mentaux, les prisonniers et les personnes sous domination coloniale. La déposition a eu lieu en janvier 2018.

Voici une toute petite partie de l’effrayante déclaration que le Dr Plotkin admet avoir écrit : « La question est de savoir si nous devons faire des expériences sur des adultes pleinement fonctionnels et sur des enfants qui sont potentiellement des contributeurs à la société ou si nous devons faire des études initiales sur des enfants et des adultes qui sont humains dans leur forme mais pas dans leur potentiel social. »

Bien que l'eau propre, l'assainissement, les toilettes à chasse d'eau, les aliments réfrigérés et les régimes alimentaires sains aient fait et font encore beaucoup plus pour protéger l'humanité des maladies infectieuses que n'importe quel programme de vaccination, on continue à dépenser des fortunes pour en produire.

Ainsi, Big Pharma et sa chiourme de médecins assujettis ont malhonnêtement usurpé le crédit qui revient de droit aux plombiers, aux mineurs urbains, aux ingénieurs, aux urbanistes, etc.

Hélas, l'orgueil de la communauté médicale ne disparaîtra jamais et les vaccins, comme toutes les interventions médicales, ne sont pas infaillibles. Nous avons tous une sensibilité différente aux maladies. Les êtres humains ne répondent pas à une approche bonne pour tous et ont des besoins qui sont spécifiques à chacun.

En 1918-1919, l'industrie du vaccin a fait des expériences sur des soldats, probablement avec des résultats désastreux.

En 2020, l'industrie du vaccin a expérimenté à l’échelle mondiale avec les effets désastreux que nous ne commençons hélas qu’à entrevoir. Tous les jours, elle le fait sur des nourrissons. Résultat : un enfant américain sur sept, entièrement vacciné, suit une forme ou une autre d'éducation spécialisée et plus de 50 % d'entre eux souffrent d'une maladie chronique.

En 1918-1919, aucun suivi du ou des risques n'a été effectué après les vaccinations. En 2020, il n'y a pratiquement pas eu de suivi du ou des risques après l'administration d'un vaccin.

En 1918-1919, le fabricant n'était pas responsable des lésions ou des décès causés par les vaccins. En 2020, aucune responsabilité n'était prévue pour les fabricants de vaccins en cas de lésions ou de décès causés par des vaccins, ce qui fut officialisé en 1986.

C’est Bill le coyote lui-même qui s’en est assuré. Parcourant le monde dans son jet privé, il a rendu visite à tous les chefs d’état occidentaux, y compris Macron, afin de prêcher la bonne parole du Deep State : « Tu vaccines tout le monde et en cas de problème, on n’a rien vu. C’est ton gouvernement qui paie (avec nos impôts). » Il l’a fait alors que nous étions tous confinés et qu’aucun avion n’était censé circuler. Cherchez l’erreur ?

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

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Roro et son empire basé sur la fausse science (Partie 2)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/04/roro-et-son-empire-base-sur-la-fausse-science-partie-1.html

Du 21 janvier au 4 juin 1918, un vaccin expérimental contre la méningite bactérienne cultivé sur des chevaux par l'Institut Rockefeller pour le Medical Research de New York avait été injecté aux soldats à Fort Riley.

Ensuite, ces soldats vivants et voyageant dans de mauvaises conditions sanitaires furent envoyés en Europe pour combattre, répandant la bactérie partout sur leur passage jusqu’aux tranchées de la ligne de front en France.

Et c’est là que les Athéniens s’atteignirent lorsque dans mon livre GRATUIT De Mammon à Corona comment en est-on arrivé là ?! j’explique sur un chapitre le vrai mode de propagation du Covid-19 !

En effet, une étude décrit des soldats présentant des infections actives propageant par aérosolisation les bactéries qui avaient colonisé leur nez et leur gorge, tandis que d'autres, souvent confinés dans les mêmes espaces étaient extrêmement vulnérables à l'invasion et à la propagation rapide dans leurs poumons de leurs propres bactéries colonisatrices ou de celles des autres. La pneumonie bactérienne s'attaque aux personnes dans la force de l'âge.

La grippe s'attaque aux jeunes, aux personnes âgées et aux personnes immunodéprimées.

Lorsque la Première Guerre mondiale a pris fin le 11 novembre 1918, les soldats sont retournés dans leurs pays d'origine et dans les avant-postes coloniaux, propageant la pneumonie bactérienne mortelle dans le monde entier.

C’est elle qui fut responsable de cette pandémie, des milliers d'autopsies le confirment. Selon une étude de l'Institut national de la santé de 2008, la pneumonie bactérienne fut la cause des décès dans au moins 92,7 pour cent des autopsies menées en 1918-1919.

Pendant la Première Guerre mondiale, l'Institut Rockefeller a également envoyé son sérum expérimental contre les méningocoques en Angleterre, en France, en Belgique, en Italie et dans d'autres pays, contribuant ainsi à la propagation de l'épidémie dans le monde entier.

Entre 1900 et 1920, d'énormes efforts ont été déployés dans le monde industrialisé par le biais de trois changements majeurs de la société : Eau propre et assainissement plus l’électricité.

On peut y ajouter « L’adolescent » Big Pharma, mais selon la doxa seulement. C'est-à-dire faire de l'industrie pharmaceutique de Rockefeller, le sauveur du monde. Ces trois vecteurs étaient censés construire une société meilleure avec un impact sur la mortalité due aux maladies infectieuses. 

De fait, l’OMS reconnaît l'importance de l'eau propre et de l'assainissement dans la lutte contre ces maladies. Et l'énergie renouvelable bon marché est importante pour de nombreuses raisons, notamment pour lutter contre les maladies infectieuses.

Ainsi en arrivons-nous à la création d’un excellent aide de camp pour la Bête en devenir, celle que nous devons TOUS COMBATTRE AUJOURD’HUI. De la fin du 19e siècle au début du 20e, New York est devenue le siège de l'Institut Rockefeller pour le Medical Research (aujourd'hui l'Université Rockefeller).

L'Institut est le lieu où l'industrie pharmaceutique moderne est née et il fut le pionnier de nombreuses approches utilisées aujourd'hui par l'industrie pharmaceutique, y compris la préparation de sérums vaccinaux, pour le meilleur ou pour le pire. Le vaccin utilisé sur les soldats dans l'expérience de Fort Riley a été cultivé sur les chevaux.

Les données sur les taux de mortalité aux États-Unis du début du 20e siècle à 1965 indiquent clairement que l'eau propre, les toilettes à chasse d'eau, les systèmes d'égouts efficaces et les aliments réfrigérés se sont tous combinés pour réduire efficacement la mortalité due aux maladies infectieuses AVANT que les vaccins contre ces maladies ne soient disponibles.

L’orgueil de l'Institut Rockefeller en 1918 a conduit à une pandémie qui a tué des millions de personnes, quelles leçons pouvons-nous en tirer et comment pouvons-nous les appliquer à ce que nous vivons depuis 2020 et même avant ? 

Et comme le déclarait Le sénateur américain Hiram Warren Johnson « La vérité est la première victime de la guerre. » Les Espagnols avaient donc bon dos et la grippe aussi. Comment est-il possible que l’épisode de Fort Riley, au Kansas, en 1918 ait échappé à l’Histoire ? Ceux qui me lisent ont la réponse ! Repensez-donc à cette phrase de Léon Tolstoï : « L'histoire serait une chose merveilleuse si seulement elle était vraie. »

Si un événement d'importance historique a pu être aussi mal nommé il y a plus de cent ans et ne jamais être corrigé, c’est grâce à l’argent et à la corruption de Big Pharma qui, déjà, sévissait et sévit toujours. L'Espagne était l'un des rares pays à ne pas avoir participé à la Première Guerre mondiale.

La plupart des pays impliqués dans la guerre ont censuré leur presse.

L’Espagne n’avait pas ce problème et les premiers rapports de presse faisant état de décès de personnes malades en grand nombre provenaient d'Espagne.

Les pays en guerre ne voulaient pas effrayer davantage les troupes, ils se sont donc contentés de faire de l'Espagne un bouc émissaire. Les soldats de tous les camps devaient traverser le no man's land sous les tirs des mitrailleuses, ce qui était déjà assez effrayant sans savoir que les tranchées étaient un terrain propice aux maladies.

Croyez-moi ou pas, afin de prévenir de futures catastrophes, le monde devrait examiner attentivement ce qui a réellement causé la pandémie. L'appellation de grippe « espagnole » n'a surement jamais été corrigée parce qu'elle contribue en partie à dissimuler la sombre origine de la pandémie, toujours la même, celle d’une élite richissime, l’ennemi de l’Humanité.

Faite donc un parallèle avec ce que nous vivons depuis début 2020 : le Covid-19 est nommé par certains « grippe de Wuhan ».

La grippe dite « espagnole » a bien débuté sur les lieux mêmes où ce vaccin bactérien expérimental a été administré. Mais il fallait une prière, un mantra récité à Mammon le dieu de l’argent de ces lucifériens. Et celui de « les vaccins sauvent des vies » sonnait nettement mieux que : « une expérience vaccinale originaire des États-Unis a causé la mort de cinquante à cent millions de personnes. »

Je l’explique clairement dans le premier chapitre du Centième Gueux Tome 1, si notre médecine occidentale a quelques bons points, et est excellente en cas d’urgence, il est néanmoins plus que nécessaire que les gens réalisent que cette médecine allopathique est axée sur les drogues, les narcotiques, les radiations, la chirurgie et les médicaments qui sont à la base une création Rockefeller.

John D. Rockefeller (1839-1937) était un magnat du pétrole, le premier milliardaire des États-Unis et un monopoliste de naissance. Au début du 20e siècle, il contrôlait 90% de toutes les raffineries de pétrole des États-Unis par l’intermédiaire de sa compagnie pétrolière, Standard Oil, qui fut plus tard démembrée pour devenir Chevron, Exxon, Mobil, etc.

Vers 1900, les scientifiques découvrent les « pétrochimiques » et la capacité de créer moult produits chimiques à partir du pétrole. Ils découvrent diverses vitamines et devinent alors que de nombreux médicaments peuvent être fabriqués à partir de pétrole. Sur ce, l’ami Roro va se jeter sur l’aubaine comme une tique assoiffée de sang frais. Ce vampire y voit là une formidable opportunité : la capacité de monopoliser les industries pétrolière, chimique et médicale en même temps !

Mais avant de singer la nature et vouloir tout breveter à volo afin de réaliser des profits élevés, il convenait de supprimer les gêneurs.

Les médecines à base de plantes étaient très populaires en Amérique à cette époque. Près de la moitié des médecins et des facultés de médecine des États-Unis pratiquaient la médecine holistique. Roro va trouver SA solution en créant un problème comme viennent de le faire ses coreligionnaires avec le Covid-19. La peur était déjà là le vecteur incitatif.

Il est allé voir son pote Andrew Carnegie, un autre ploutocrate qui avait fait son argent dans l’industrie de l'acier aux États-Unis à la fin du 19esiècle. Tous deux ont conçu un plan et envoyé un homme nommé Abraham Flexner, issu de la prestigieuse Fondation Carnegie, le magnat de la sidérurgie, à travers tous les Etats Unis.

Il voyagerait à travers le pays et ferait son rapport sur l’état des collèges médicaux et des hôpitaux du pays. Et c’est ainsi que sur la base de ce rapport Flexner allait naître la médecine moderne.

Plus de la moitié de tous les collèges médicaux seraient fermés et l’homéopathie et les médecines naturelles diabolisée et ses médecins emprisonnés. Bill Gates n’a rien inventé avec ces subventions à l’OMS.

Pour « aider » à la transition et changer l’esprit des scientifiques, Rockefeller donnera plus de 100 millions de dollars aux collèges et hôpitaux. De plus, tout comme Gates, il va fonder un groupe de façade philanthropique appelé « General Education Board » (GEB).

Et croyez-moi, argent faisant, il faudra très peu de temps afin de rationaliser et homogénéiser la nouvelle médecine. Tous les étudiants apprendront la même chose, et la médecine de Roro consistera à utiliser des médicaments brevetés.

Cent ans plus tard, cela produit toujours des médecins qui ne connaissent rien aux bienfaits de la nutrition ou des herbes ou à des pratiques holistiques. Nous avons une société entière qui est asservie aux entreprises pour son "bien-être".

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Roro et son empire basé sur la fausse science (Partie 1)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Les énormités proférées par nos médias assujettis concernant le fameux « réchauffement climatique » m’ont incité à rédiger ma longue série sur le VRAI CLIMAT. Quant à ce qui nous pend au nez concernant les banques, cela m’a porté à écrire « Bankable ». Désormais,  à moins de posséder un QI de bulot anémié, chacun sait que nous courons à la catastrophe. Elle est orchestrée par les fous de Davos.

Il est bien tard à l’horloge du monde, ainsi ai-je voulu, au travers de Chronique d’un Occident oxydé, montrer à mes lecteurs où s’en va l’Europe ; et à très court terme.

Tout cela, nous le devons à Klaus Schwab et son machiavélique Forum Economique Mondial (WEF). Le problème, c’est que beaucoup trop d’individus l’ignorent et continuent à vaquer à leurs occupations sans se soucier le moins du monde  de leurs malversations et où ces psychopathes nous mènent au pas de l’oie.

Voilà pourquoi j’ai rédigé un bouquin sur Davos qui va sortir prochainement. Mais au préalable, je crois bon de revenir sur un maillon essentiel du projet qui doit nous mener à leur « monde idyllique ». Il s’agit de la dynastie Rockefeller ; Roro pour les intimes !

Le Dr Richard Horton fut rédacteur en chef de The Lancet, un journal médical britannique. The Lancet est considérée comme l’une des revues médicales révisées par des pairs les plus respectées au monde.

Horton déclare : « Le dossier contre la science est simple : une grande partie de la littérature scientifique, environ la moitié, pourrait tout simplement être fausse. La science souffrant d’études sur des cohortes de petites tailles et de leurs effets minuscules, des analyses exploratoires non valides, ainsi que de flagrants conflits d’intérêts, avec une obsession pour la poursuite de tendances à la mode d’importance douteuse, la science donc a pris un virage vers les ténèbres. »

Vers 1860, Rockefeller, marchand ambulant de spécialité pharmaceutique, vend du pétrole brut en flacons à des paysans naïfs. Il leur fait croire que cela peut guérir le cancer. Il appelle sa mixture en flacon Nujol pour (New Oil, nouvelle huile).

L’affaire est plutôt prospère, il achète trente grammes de pétrole brut à la Standard Oil pour 21 cents et la revend 2,00 dollars. Cet individu « scrupuleux », sans connaissance médicale, possède quelques notions de comptabilité mais surtout une avidité féroce qui va lui permettre de s’imposer.

Cependant, des médecins vont découvrir que sa poudre de perlimpinpin est nocive puisqu’elle provoque des maladies graves, éliminant les vitamines liposolubles du corps.

Qu’à cela ne tienne, la Standard Oil va lutter contre la chute des ventes en ajoutant du carotène au pétrole brut afin de parer à toute carence.

L’Empire Rockefeller s’est ainsi construit grâce à cette formidable supercherie et des politiciens grassement rémunérés. Tout le stratagème consiste à faire ingérer un dérivé de pétrole brut enrichi en carotène, aux populations.

Argent aidant, les fondations de l’industrie pharmaco-chimique seront ainsi posées. Procès et scandales n’y changeront rien. Le 5 mai 1911, la Cour suprême des États-Unis déclare John Rockefeller et son trust coupable de corruption et de racket. C’est, la totalité du trust Standard Oil, la plus grande entreprise du monde à cette époque, qui est condamnée à la dissolution.

Mais, comme dirait Dieudonné « au-dessus c’est le soleil » et l’ami Roro  est déjà bien au-dessus de la Cour suprême et ne se soucie guère de cette décision.

Il n’empêche que l’image de marque est écornée, pour les affaires ça n’est pas bon. Ainsi, en 1913, afin de laver plus blanc que blanc, le sieur Roro et ses corvéables à souhait vont trouver le moyen de dissiper la vindicte publique et politique qu’ils subissent.

Son remède va porter le nom de « philanthropie » : il utilise les revenus de ses pratiques illégales sur le marché du pétrole pour créer la Fondation Rockefeller.

Grâce à ce « paradis fiscal », il organise le contrôle stratégique du secteur de la santé aux États-Unis. La Fondation Rockefeller est la façade d’une nouvelle entreprise globale gérée par lui et ses porte-flingues : les investissements dans le commerce pharmaceutique.

Les dons de sa Fondation supportent exclusivement des écoles médicales et des hôpitaux. Ces institutions vont alors devenir la cheville ouvrière, les missionnaires d’un nouveau genre d’entreprises : les fabricants de médicaments synthétiques brevetés.

C’est à cette époque que l’on découvre les vitamines. Ces molécules naturelles ont des propriétés remarquables et peuvent prévenir de nombreuses maladies chroniques. Divers ouvrages vont être publiés concernant les recherches menées sur leurs propriétés, mais elles sont ensuite abandonnées. Pourquoi ? Parce que ces molécules présentent un inconvénient majeur : elles ne peuvent pas être brevetées.

Dès le départ, le constat est flagrant. En effet, dès ses premières années d’existence, Big pharma est déjà confronté à un risque de mort imminente : les vitamines et autres micronutriments promus par des programmes de santé publics rendraient impossible le développement de toute activité commerciale basée sur des médicaments brevetés.

L’élimination de la concurrence indésirable va donc devenir une question de vie ou de mort pour le commerce de Roro et ses porte-flingues.

Mais 1918 et sa grippe espagnole qui n’est ni une grippe, ni espagnole va néanmoins arriver à point nommé pour Roro Fondation.

Une espèce d’essai avant l’heure de ce que sera le coronavirus pour Macaron et sa bande avec en toile de fond un 49.3 au cul des futurs retraités gaulois.

Rockefeller profite de l’épidémie de grippe espagnole et utilise les médias pour lancer une chasse aux sorcières contre tous les médicaments qui échappent à ses brevets. 

Et durant les quinze années suivantes, toutes les écoles médicales des États-Unis, la plupart des hôpitaux et l’American Medical Association vont devenir les pions stratégiques de Rockefeller pour mettre l’ensemble du secteur de la santé sous le monopole de ses entreprises pharmaceutiques.

Ou comment Rockefeller a fondé Big Pharma et a fait la guerre aux remèdes naturels. Une belle histoire de réussite sociale à l’américaine qui me fait penser à ça : « L'histoire serait une chose merveilleuse si seulement elle était vraie. » Léon Tolstoï.

J’ai déjà de nombreuses fois évoqué le cas Rockefeller, un « grand » ami de l’humanité.  J’y dévoilais combien « l’ami » Roro et sa Fondation demeurèrent actifs et en lien avec les nazis, avant, pendant et après la Seconde Guerre mondiale.

Et croyez-moi depuis ça n’a pas cessé puisqu’en 2010, cette fondation dévoilait le plan d’une pandémie fort opportune lorsqu’il s’agit de mater la gueusaille qui ose se plaindre de sa condition.

La mère des mères de toutes les épidémies récentes reste la grippe « espagnole » qui élimina entre 20 et 50 millions de personnes à la fin de la première guerre mondiale. L'épidémiologie n'était pas encore une science très développée rendant aléatoires les certificats de décès.

Beaucoup de décès étaient alors identifiés par leurs symptômes plutôt que par identification de l'agent infectieux. C'est pourquoi il est difficile de faire une exacte évaluation du nombre de victimes de cette grippe.

Elle n’avait rien d’espagnole au même titre que Ben Laden n’a jamais été responsable des attentats du 11-Septembre 2001. Ce n’était pas un mauvais coup de mère Nature ; il s’agissait d’un virus de la grippe aviaire, qui fut initialement transmis aux soldats alliés et allemands par le biais d’une campagne de vaccination contre la typhoïde.

Ces vaccins tueurs avaient été obtenus à la suite de prélèvements de pus sur des personnes infectées, et produits par la compagnie pharmaceutique Roro. Ce fait resta étouffé jusqu’ici.

En 1918, « grippe » ou « influenza » était un terme fourre-tout pour désigner une maladie d'origine inconnue qui tombait du ciel.

Le terme « grippe » vient du latin médiéval influencia au sens astrologique, qui signifie venir de l'influence des étoiles. Ce qui, au passage, parait puéril mais ne l’est pas autant qu’on le croit. Pour vous en convaincre lisez ou relisez-donc ma série concernant le VRAI CLIMAT.

La maladie n'a certainement pas commencé en Espagne. Des observations précises datent les premiers cas aux États-Unis au printemps 1918 et des épisodes épidémiques observés au cours de l'année précédente en France dans les hôpitaux militaires font penser à certains à une origine française.

Mais cela ne signifie pas pour autant que ces événements étaient les premiers indices de l'apparition d'un nouveau virus. Les virus peuvent circuler sans se faire remarquer pendant quelques mois. L'arrivée régulière de travailleurs chinois en Afrique et en Europe au cours de ces années pourrait, par exemple, avoir été la source d'une introduction antérieure.

Mais plus de 100 ans après, évoquer ce genre de FAIT vous range inexorablement dans la case "complotiste". D’autant qu’en tapant les termes : « grippe espagnole Rockefeller » sur Google, on trouve moult réponses. Ce sont des documents émanant de la fondation Rockefeller ou des documents qui soulignent l'implication de cette fondation pour l'éradication de cette maladie.

Cette grippe qui a frappé l'Europe et le monde entier fut identifiée positivement pour la première fois en Espagne. Ce pays n'étant pas en guerre, il était plus facile de reconnaitre l'épidémie qui avait été masquée dans les pays en guerre.

En effet, les déplacements de populations civiles et militaires et les diverses autres causes de décès : morts violentes, malnutrition, empoisonnements, maladies cardiaques etc. sans compter la difficulté de collecter les données épidémiologiques pendant les conflits étaient un véritable casse-tête propice aux erreurs.

Dans les faits, l'Espagne fut moins touchée que ses voisins.

Il n’empêche que des documents récemment analysés révèlent que la « grippe espagnole » pourrait avoir été une expérience vaccinale militaire qui a mal tourné. Et cette pandémie débuta avec l'expérience brutale de l'Institut Rockefeller sur la vaccination des troupes américaines contre la méningite bactérienne. 

Et si des dizaines d’années plus tard on n'a pas pu identifier la souche virale mortelle de cette grippe pandémique, c’est que ce n'était pas la grippe en tant que telle qui était mortelle.

Pendant la Première Guerre mondiale, plus de soldats sont morts de maladies que tués par les balles. La pandémie n'était par grippale, car on estime que plus de 95% des décès ont été causés par une pneumonie bactérienne, et non par un virus de la grippe. Les premiers cas de pneumonie bactérienne en 1918 remontent à des bases militaires, la première à Fort Riley, dans le Kansas.

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Quant à celles et ceux qui veulent en savoir plus, j’ai ceci :

https://www.thebookedition.com/fr/37027_olivier-cape

Olivier

Suite ici :https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/04/roro-et-son-empire-base-sur-la-fausse-science-partie-2.html

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« Bankable ? » (Partie 5 et fin)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/03/bankable-partie-1.html    

MANUEL DE SURVIE CONTRE TOUS LES MEFAITS D’EM. MANUEL

À l’attention de l’ex-Gilet jaune devenu, par la force des choses, pourfendeur de 49.3.

Le problème ce n’est pas une banque, c’est tout le système financier, car vous ne passez pas de dix ans d’argent gratuit à destination des riches à taux négatifs, à un retrait massif des liquidités et une hausse vertigineuse des taux d’intérêt sans douleur.

Sans banque, personne ne peut plus ni vendre, ni acheter, les magasins se vident l’économie s’arrête et c’est l’effondrement. 

Alors comment vont-ils s’y prendre temporairement, avant le grand BOUM salvateur pour le tout numérique ?

Comme aux Etats-Unis, en rachetant toutes les obligations au prix d’émission. En Europe, il faudra que la BCE réussisse à mettre tout le monde d’accord, ce qui n’est pas gagné quand on voit l’Allemagne faire un gros caca nerveux toute arc-boutée sur les règles délirantes du marché de l’énergie. Alors ça va tirer sur le consensus !

Mais, le con avec ou sans « sus », il va vite en avoir marre.

Toutes les crises sont créées par les banques centrales qui relèvent les taux d’intérêt de manière plus ou moins importante. En haussant les taux, cela entraîne tout un tas de conséquences plus ou moins fâcheuses. L’une des plus connus est celle qui touche les prix de l’immobilier. Un crédit beaucoup plus cher voit votre capacité d’endettement diminuer fortement.

En bout de la chaîne, les prix de vente se réajustent à la capacité d’endettement moindre des acheteurs et c’est le krach immobilier. Il est là !

Moins connu est le krach obligataire. Une obligation c’est un « emprunt » (d’Etat). Il peut s’échanger et se revendre et rapporte à son détenteur. C’est d’ailleurs le but ! Ces babioles vous les retrouvez aussi bien dans vos contrats d’assurance-vie fonds en euros, que dans les bilans des banques qui placent dessus leurs fonds propres (une obligation légale).

Quand vous achetez une obligation à taux négatif de -0.5 % et qu’ensuite vous pouvez prêter à 4 %, que faites-vous ? Vous revendez vos vieilles obligations pourries qui ne rapportent rien pour en acheter des nouvelles qui rapportent plus.

Problème personne n’en veut ! Résultat, leurs prix baissent sur le marché de l’occasion (secondaire). Et c’est ce que l’on appelle un krach obligataire. Et comme toutes les banques ou compagnies d’assurance-vie sont assises sur un tas d’obligations pourries qui perdent de la valeur, nous sommes dans un monde de faillite virtuelle en raison de la hausse des taux.

À chaque fois que les taux montent les obligations baissent. Chaque baisse est liée à une hausse des taux par la FED, et chaque hausse des obligations est liée à une baisse des taux d’intérêt.

Or, en garantissant tous les dépôts des banques et notamment de la SVB et GARANTISSANT que les déposants n’auraient pas de pertes et deuxièmement qu’elle allait racheter toutes les obligations à leur valeur nominale et pas à la valeur de marché, la FED vient de signifier que les obligations d’Etats n’ont plus de « valeur » de marché. Et c’est ça qui est ENORME en ce monde de dingues !

Il n’y a plus de marché obligataire libre. Elles valent leur valeur initiale et sont rachetées par la FED à ce prix-là, quelle que soit la valeur de marché. Logiquement, il ne peut plus y avoir de pertes obligataires puisque le prix des obligations ne peut plus baisser.

En comparaison, avec le marché des actions, cela signifie que si vous en achetez une de la société X cotée au CAC40, tant qu’elle monte, le bénéfice est pour vous. Si le marché s’effondre, alors vous la vendez à votre prix d’achat et la banque centrale paie la différence et encaisse la perte. C’est aussi dingue que ça ! Et c’est uniquement pour ça que le prix des obligations remonte temporairement.

Bien entendu, avec cet effet de levier, la bonne nouvelle c’est que la guerre s’éloigne, mais TEMPORAIREMENT.

Le temps que l’Occident retrouve le moyen de se réindustrialiser afin de fabriquer beaucoup, beaucoup de munitions pour tuer beaucoup, beaucoup de « méchants » russes et chinois tous dévoreurs de bébés.

Mais, ce faisant, les banques centrales sont obligées (comme prévu) de poursuivre leur politique du n’importe quoi économique et se raccrochent aux branches par des expédients. De l’argent gratuit, torche cul.

Toujours plus d’impression pour faire tenir le système à bout de souffle mais qu’aucun de nous n’a intérêt à voir s’effondrer. Quand il y a plus d’argent gratuit… il finit toujours par y avoir plus d’inflation ! Et donc l’or monte bien évidemment.

Mais la Banque Centrale Américaine vient d’annuler TEMPORAIREMENT l’un des effets majeurs d’une hausse de taux à savoir le krach obligataire. Mais cela ne peut se faire qu’au prix d’un nouvel épisode de planche à billets. On tourne en rond.

Des risques énormes pèsent sur les compagnies d’assurance-vie et en particulier sur les soi-disant fonds garantis, les fameux fonds en euros. Les fonds propres de certaines compagnies eux-mêmes également investis en obligations d’Etat conformément à la loi, ne sont plus suffisants pour absorber les pertes et assurer la liquidité.

Les prix des obligations évoluent de manière inverse aux rendements. Les établissements chutent en raison de placements en obligations françaises et allemandes évidemment émises ces dernières années à des taux négatifs ce qui expliquait la baisse des rendements de contrats d’assurance-vie fonds en euros. Et que vaut une bonne obligation française ou allemande à taux négatifs quand les taux sont à 3% voir plus ? Plus grand-chose, plus personne n’en veut.

Bientôt, croyez-le ou non, malgré la « Loi Sapin », beaucoup, en voyant leur argent s’envoler, iront chier de frousse derrière un arbre, soit-il sapin ou pas. Car, voyez-vous, la remontée des taux d’intérêt concerne toutes les compagnies d’assurance-vie, toutes les banques dans des proportions plus ou moins importantes mais toutes sont impactées.

Ce sera toujours plus compliqué de se mettre d’accord en zone euro qu’aux Etats-Unis. Chez l’oncle sénile, la banque centrale rachète les obligations aux prix d’émission (prix de vente) et garantie ainsi TEMPORAIREMENT l’absence de pertes, ce qui veut dire que pour faire cela elle va devoir imprimer beaucoup, beaucoup, beaucoup de monnaie torche cul.

D’un autre côté, elle va pouvoir continuer à monter les taux pour lutter contre l’inflation sans faire s’effondrer le système financier. Bref ! En ce monde-démon, nous marchons sur la tête.

Ces « économistes » de mes deux appuient sur le frein et l’accélérateur en même temps ce qui se terminera par l’accident du chauffard fou, ivre de l’argent facile. Avec un comportement pareil, impossible de ne pas passer par la case faillite et effondrement.

Mais c’est chouette, puisque c’est ce qu’ils veulent !

La solution ? Le retour au troc, la solidarité, le retour à la médecine holistique, serrer dans ses bras tous ces soignants courageux virés parce que trop intelligents, boycott du tout numérique, refus de toutes ces applications pièges à cons et antichambre de la prison numérique à vie.

Mais, connaissant le nombre de blérots qui passent leur vie le nez rivé à leurs smartphones, ce n’est pas gagné !

Quant aux moutons noirs, ceux qui savent déjà que tout est faux et depuis longtemps, j’ai de quoi vous aider à repasser du numérique au bon PAPIER. Mais juste avant, si vous prenez le temps d’étudier et de faire partager ma longue série concernant la Vérité sur notre climat et l’arnaque du CO2 sur mon blog, vous serez déjà « bien habillés » pour l’hiver prochain. https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/01/retour-sur-le-climat-le-vrai-partie-1.html

En plus, il n’était pas prévu au programme, mais vu l’accélération du plan, je sors prochainement un bouquin sur l’antre du « Diable » de Davos. IL va s’appeler DAVOS ET SON ECHEVEAU MONDIAL. En attendant, Chronique d’un Occident Oxydé devrait vous plaire. https://vecteur-douceur.over-blog.com/2022/12/chronique-d-un-occident-oxyde.html Ainsi que tous les autres bien entendu https://www.thebookedition.com/fr/37027_olivier-cape Toute cette littérature fait de moi un homme fier de se sentir UTILE. Je porte la plus belle des médailles : celle du « complotisme ».

Que Dieu soit avec celui qui pense que son salut se trouve ailleurs que dans ce monde et son fric maudit.

Olivier Cape, un « complotiste », mais plus pour très longtemps.

 

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« Bankable ? » (Partie 4)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

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MANUEL DE SURVIE CONTRE TOUS LES MEFAITS D’EM. MANUEL

À l’attention de l’ex-Gilet jaune devenu, par la force des choses, pourfendeur de 49.3.

Ainsi, le groupe Altis de Patrick Drahi, peut-il être pourri et ruiné jusqu’à la moelle avec des pertes colossales, il n’en reste pas moins un sacré porte-voix utile aux politiques.

Altis, ce sont les télécoms, les contenus, les médias, le divertissement et la publicité. Alors vous pensez-bien que tous les crocodiles des CAÎMANS et d’ailleurs vont le renflouer par le biais de fonds obscurs pour ne pas dire opaques. L’argent de nos retraites peut-être ?

2008 c’était déjà gros. Mais là, désormais, on touche le fond de la DETTE. Et le système étant définitivement mort, les tireurs de ficelles sont donc prêts à toutes les exactions : quota carbone, et surtout l’argent numérique faisant de chacun de nous un portefeuille traçable autant qu’éjectable.

Leur système reposait déjà sur de l’argent n’existant pratiquement pas (les fonds propres des banques ne représentant plus que le énième pourcent de tout ce qu’elles prêtent en réalité).

Seuls les intérêts de la DETTE leur permettent de survivre et conserver ce monopole fantôme. Il convient donc de devenir tout numérique afin de faire disparaitre dans le néant, et grâce à un énorme Great Reset tout vert, l’étendue monstrueuse de leurs malversations et les cadavres covid qui commencent à tomber de partout des placards. Il faut faire d’autant plus vite dans un monde à l’arrêt et où, grâce à ces fameux taux, le crédit facile s’éloigne et les intérêts de la DETTE d’autant plus.

La Grande Dépression aux États-Unis est donc un signe avant-coureur de la Troisième Guerre mondiale. Pourquoi ? Parce que l’oncle Sam, entrainant tout l’Occident oxydé avec lui, c'est-à-dire nous tous ces vassaux lèche-cul de l’OTAN, n’a d’autre choix face à sa DETTE.

Le seul moyen de l’effacer est de lancer une guerre à grande échelle dans laquelle il pourra annuler ses folles dépenses qui lui auront permis de vivre jusqu’ici « comme un Américain », mais sur le dos des peuples. C'est-à-dire plus de 30000 milliards de dollars, plus les effondrement des banques.

Nous dansons sur une bombe atomique financière depuis la crise des subprimes qui date en réalité de 2007. Pourtant, dans la situation qui est la nôtre, les autorités vous expliquent que « cela n’a rien à voir avec 2008 ». Eh bien c’est faux !

Comme à chaque crise, tout est créé et démarré de toute pièce par les banques centrales, quand elles décident de monter les taux d’intérêt massivement.

La brutale remontée des taux directeurs décidée par la FED laissera les gogos croire au petit jésus soviétique. Car penser qu’elle mène un combat aveugle contre l’inflation, au risque de déstabiliser le marché bancaire fait joli dans le décor.  En réalité, il y a de quoi faire bander de joie le vieux Schwab mais sous viagra, car le risque est pleinement assumé par les autorités monétaires.

Pour eux, ça permet de cacher les poussières (des grosses) sous le tapis avec une bonne guerre et pourquoi pas, et même surement, le passage à la monnaie numérique qui pose tant de problèmes aujourd’hui. En effet, il n’y a pas eu assez de volontaires à la zombification par le biais d’un paSS sanitaire SS, future passerelle vers un paSS numérique faisant de chacun son propre portefeuille disjonctable.

De fait, accrochez-bien vos ceintures de p’tits épargnants, le calendrier prévu pour la mise en place de cet euro numérique offre une « fenêtre de tir » idéale pour une crise financière en 2023 (automne). La Silicon Valley Bank, premier domino à tomber a curieusement fait preuve de transparence, cas rare chez les banxters.

De fait, elle est tombée essentiellement à cause de la remontée des taux de la FED. Le Crédit Suisse, un autre domino, fait prout lui aussi. Sa stabilisation a coûté 50 milliards de francs suisses.

Face au désordre bancaire que nous connaissons, on aurait pu imaginer un assouplissement de la stratégie de la FED suivie par la BCE pour permettre au système financier de reprendre ses esprits. Officiellement, ce choix s’explique par l’obsession de la lutte contre l’inflation.

Il faut juguler la hausse des prix. Comment ? En restreignant l’accès à l’argent. Seulement voilà, pourquoi ce changement drastique après des années de QE ? Oui, vous savez ? Ces Quantitative Easing qui, chez nous, ont permis à la BCE de soutenir massivement l’économie.

Après trois années de Couillonavirus, et pour le plus grand bonheur de Black Rock, les Etats déjà surendettés ont joué à guichet ouvert quotidiennement.

Alors même si Bruno Le Maire, après avoir « terrassé » l’économie russe en dix jours et s’apprêtant à faire de même avec Xi, vous dit que « tout est sous contrôle » et que, tout comme pour Tchernobyl, le nuage radioactif ne passera pas au-dessus de nos têtes de bulots neurasthéniques, c’est croire à « ET téléphone  maison ».

Car nous avons un beau risque de crise obligataire généralisée qui couve. Il a fait tomber la transparente SVB, et bientôt toutes les autres. Toutes ces banques ont été contraintes de trouver des liquidités en vendant en urgence des obligations à perte, ces obligations ayant perdu leur valeur à cause de l’augmentation suicidaire des taux d’intérêt.

Je sais bien qu’une info en tue généralement une autre, mais avez-vous déjà oublié la quantité faramineuse de dettes, publique et privées, qui ont explosé durant le Covid-19 ? D’une certaine façon, on peut dire que le Covid-19, quoi qu’il fut en réalité, a permis de transformer énormément de dettes publiques en profit privé.

Merci Bill le coyote et sa bande de racailles multimilliardaires !

La question se pose désormais de savoir comment rembourser ? Une p’tite guerre ? Un bon Reset à la tonton Schwab ?

C’est vrai qu’il s’y voit déjà le vieux qui veut légaliser la pédophilie. La technologie numérique, et de nombreuses autres fadaises, il n’a que ça à la bouche ; le tout saupoudré de contact tracking, et ses effets pervers comme le crédit social à la chinoise.

Plus d’un QI bodybuildé de banxter se prend à rêver du Grand Remplacement de la monnaie papier par la Central Bank Digital Coin, la monnaie de singe mais tout numérique de banque centrale.

Grâce à un euro numérique, l’État (au sens large) pourrait officiellement lutter contre « l’argent sale » et contre « le terrorisme », et officieusement contre tous « ces complotistes » qui réfutent en bloc la pensée unique, roulent au diesel, et refusent les vaccins et prochainement cette bouffe de merde assaisonnée sauce grillons.

Avec un euro numérique, il serait possible en un clic d’imposer à ces récalcitrants un mode de vie plus sain grâce au crédit social…Tu es à jour de tes doses ou alors … ?

Face à ces évidences orwelliennes, il est tentant d’utiliser un raisonnement à la Mc Kinsey : pourquoi ne pas utiliser la stratégie du chaos pour joindre l’utile à l’agréable ? Autrement dit, pourquoi ne pas laisser imploser la Bête 666 ; s’effondrer les dominos, ce qui donnerait le prétexte rêvé de remplacer la monnaie papier cul déjà monstrueusement percluse de dettes par une nouvelle monnaie toute propre qui permettrait de mieux « tenir » une société menacée par les populistes, ces sales cons qui aiment encore leurs pays ?

C’est pourquoi je vous garantis une accélération de la hausse des taux pour crucifier définitivement le monde d’avant. Schwab avait déjà dit qu’il ne reviendrait plus. Le Conseil Européen doit se prononcer en octobre ou en novembre prochain sur le lancement de l’euro numérique, au moins sous une forme expérimentale en janvier 2024. Sa généralisation interviendrait en 2027. C'est-à-dire demain !

En l’état, avec Poutine qui mange des bébés en Ukraine et tire sur tout ce qui bouge, il est à peu près certain que le Conseil ne va pas se montrer très empressé de se charger d’un dossier monétaire. En plus de l’Ukraine, « notre allié de toujours », le vieil oncle sénile autant que pédophile, s’est chargé de nous couper l’approvisionnement gazier chez les Russes. Les gazoducs Nord Stream ont fait prout !

Le 26 septembre 2022, en mer Baltique, ils ont osé faire péter la chose. Et notre transition énergétique verte, tendance harakiri, suscite de très nombreuses réticences.

Alors, pensez bien ! expliquer à nos bons vieux amis du moteur économique européen : les Allemands, qu’il faut à la fois livrer des tanks au joueur de piano avec sa bite, en Ukraine, et, en même temps, interdire au piston économique européen les moteurs thermiques en Europe et renoncer au cash, cela fait beaucoup !!

On comprend que pour ceux qui, en coulisses, tirent les ficelles de nos pantins politiques, c’est dur, non pas d’être un bébé, mais d’être un multimilliardaire pédo-criminel en même temps qu’un psychopathe ne pensant qu’à sa gueule.

C’est d’autant plus compliqué pour eux d’en arriver au contrôle ABSOLU sur la populace, car même les bridés se rebiffent. Pensez donc !

Même les tentatives de lancement d’un yuan numérique en Chine pédalent dans la semoule. Preuve est faite que, même dans un système totalitaire abouti, le changement de monnaie est tout sauf une partie de plaisir pour des vieux milliardaires séniles sous adrénochrome.

Mais me vient une idée ! Ou plutôt l’idée générale à peine cachée sous le ONE. Un bel Ordo ab Chaos. Un feu d’artifice institutionnel.

En effet, si ce changement était justifié par une crise monumentale, ça serait du gâteau pour l’élite. Une belle crise obligataire ruinant les épargnants, ça serait chouette. Grace à elle, ce serait Waterloo morne plaine. Il ne resterait plus rien, plus de réserves d’épargne à convertir en monnaie numérique.

Et même les Français qui sont les champions du monde du bas de laine se retrouveraient nus, une main devant, l’autre derrière. Connaissant trop bien la moralité de nos dirigeants, et leur propension à dégainer un 49.3, mon raisonnement de « complotiste fou » a le mérite de sa grande cohérence et de sa grande logique.

Sur le fond, ma « folie » s’appelle la stratégie du chaos. Et pour nous y emmener en « douceur », nous pouvons compter sur l’étau des taux. Car jamais, jamais même dans le monde d’avant, les banques centrales n’ont appuyé autant sur la pédale des taux d’intérêt.

Elles sont passées d’années de taux négatifs à des taux nominaux positifs « officiellement effrayées » par l’inflation. Evidemment, cela allait faire imploser toute cette fausse machinerie à argent facile : marché obligataire, banques, tout le système financier mais, aussi, à terme, les dettes d’Etats puisqu’un pays comme la France avec ses 120 % minimum de dettes sur PIB est en faillite virtuelle.

Alors, si la Gaule se voyait imputée d’un taux d’intérêt supérieur sur la totalité de sa dette déjà MONSTRUEUSE, comparativement à son réel PIB microscopique, rien qu’en intérêts nous serions HS, hors sol, bien pire que l’Italie.

Et alors, adieux veaux, vaches, volailles, salaires des millions de fonctionnaires, RSA, retraites et j’en passe et des meilleures.

Beaucoup sont actuellement dans la rue, et à juste titre, à se préoccuper d’une retraite à 60, 62 ou 64 ans. Savez-vous que les Anglais en sont déjà loin, bien loin. Mais au-delà de cela qu’est-ce au regard de coffres vides et de rayons de magasins qui le seraient tout autant ?

Qu’est-ce à côté des triple dosés voire plus qui viennent de raccourcir leur vie vitesse grand « » et donc l’espérance de vie s’est rétrécie comme peau de chagrin ?

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Quant à celles et ceux qui veulent en savoir plus, j’ai ceci :

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Olivier

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« Bankable ? » (Partie 3)

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MANUEL DE SURVIE CONTRE TOUS LES MEFAITS D’EM. MANUEL

À l’attention de l’ex-Gilet jaune devenu, par la force des choses, pourfendeur de 49.3.

Savez-vous quel est le mot d’ordre des mondialistes ? Dans tous les domaines, c’est « Goupiir » et ceux qui sont à la traine doivent mourir. Il n’y a de place que pour les plus gros, c'est-à-dire les plus pourris. Alors, à la question y a-t-il une volonté mondiale, globale, de jouer le chaos pour obtenir des bénéfices encore mal identifiés aujourd’hui ? La réponse est OUI.  

Chez nous, en Gaule occupée, il n’est qu’à observer la stratégie de Macron sur les retraites (si l’on admet l’hypothèse que la France est un pays « TEST » pour l’Occident) et en décryptant la stratégie des banques centrales en matière de taux d’intérêt, qui ont vocation à déstabiliser les marchés financiers et l’équilibre bancaire dans le monde.

Lorsqu’au vu de la situation déjà explosive économiquement, vous apprenez que l'Etat a obligé les grands groupes de distribution à augmenter leurs prix et faire plus de bénéfices, ça ne signifie qu’une chose. Leur mot d’ordre : Ordo Ab Chaos. Ils viennent d’appuyer sur le bouton. Et, en France, ce chaos provient de la stratégie jusqu’au-boutiste de Macron. Aux Etats-Unis, comme en Europe plus généralement, elle vient des banques centrales qui jouent la ruine des épargnants plutôt que leur préservation.

Au même titre que le Français constitue une langue de révélation, mes chers cons-citoyens, la France est aussi le pays TEST. « Si ça marche chez nous, ça marchera partout ! », se dit l’élite. C’est d’ailleurs pour cela qu’on s’en prend plein la gueule depuis 2018, et bien plus.

Bref, le relèvement des taux n’est sans conséquence pour le système financier.  En plus de tout ce que je vous explique, allié à un krach immobilier sans nom, il nous mène tout droit à une crise majeure de l’assurance-vie en France dans les six mois.

Pour le Gilet jaune occupé à gagner sa croute, tout cela c’est du chinois et relève du mystère. C’est bien pour cela que je me suis évertué à vous concocter cette série d’articles en termes, je l’espère, clairs. Chose que moult économistes évitent de faire pendant que, pire, la presse subventionnée par vos sous s’emploie à endormir les consciences.

Croyez-moi ou pas, mais après une dernière période bronze cul à peu près potable, tous les ingrédients seront réunis pour un automne financièrement tragique.

D’ailleurs 2021+2022+2023, ça fait 6066, le nombre de la Bête, l’emblème mondial de ceux qui nous considèrent toutes et tous comme du bétail, des goym.

Nous avons affaire à une cabale de Kabbalistes pour qui certains nombres et chiffres sont sacrés. D’ici là, il faudra regarder attentivement l’évolution des marchés. Suivant le souhait du vieux Schwab, son rêve sous acide (poussières intelligentes), les banques centrales occidentales agissent toutes en pyromanes. Elles viennent de faire le choix de la crise systémique ; celle qui « Great Reset » tout. Pourquoi ? Afin de justifier l’arrivée du contrôle total.

Pour justifier la mise en place de monnaies numériques. En effet, la mise en place d’une nouvelle monnaie numérique fonctionnerait mieux si l’ancienne monnaie ne valait plus rien et rimait avec un désordre maximal à la française.

Si Macron a confirmé sa stratégie gagnante de ne rien changer, grâce à laquelle il s’est mis le pays à dos, c’est à dessein. Celui du chaos orchestré, choisi non pas par lui, sombre marionnette, mais par ses pairs ; les pontes de Davos, Klaus Schwab en tête.

Plus personne ne doit pouvoir échapper au racket international. Nous devons chacun être un bout de viande juste capable de justifier tout et n’importe quoi par le biais d’un paSS SS.

Jusqu’à la fusion ultime, où nous deviendrons chacun la monnaie de singe. Plus d’argent au black, toute transaction, aussi petite soit-elle, doit pouvoir être tracée, contrôlée. D’où cette mise à mort de toutes ces cryptos qui semblaient encore pour certains un îlot refuge contre la mafia des banxters apatrides.

Et à ce jeu, croyez-moi, le con-tribuable va se faire fourrer comme le dindon qu’il est depuis des décennies. En effet, l’agitation frénétique qui s’empare des marchés et qui tue les plus faibles ne peut aboutir essentiellement qu’à une concentration (groupiir) de ces banques.

Comme d’habitude, les gros dévorent les moyens et chient sur les petits. Ne restera alors, et pour le grand plaisir de l’élite, que les « Too Big To Fail » quelques banques sélectionnées que les États auront choisi de sauver.

Et à ce jeu de quilles, le paysage bancaire et tout ce qui en découle va très, très vite changer, et pas pour les beaux yeux de la gueusaille. On comprend mieux, dès lors, l’emploi pas toujours subtil de lois instaurant des barrières artificielles à l’entrée d’un nombre croissant de marchés pour éliminer les petites entreprises, la guerre quasi-ouverte aux indépendants, aux fermiers, aux petits artisans et aux commerçants de taille modeste.

En effet, du point de vue de nos élites, il est bien plus simple de n’avoir affaire qu’à de grosses entités, en petits nombres et aux têtes facilement identifiables. Voilà pourquoi dans ce jeu de dominos visant à tuer les plus faibles, la concentration bancaire qui s’en vient à toutes jambes est le rêve bénit pour nos dirigeants qui souhaitent de tout cœur se débarrasser de l’argent liquide et instaurer enfin un moyen de traçage permanent, ultime et complet de toutes les transactions commerciales pour le moindre quidam en Occident.

Voilà pourquoi la monnaie numérique de banque centrale, ou Central Bank Digital Currency (CBDC) Tracker, la forme numérique de l’argent fiduciaire, constituera l’apothéose du Globalisme.

Cette monnaie électronique ne doit provenir que d'une banque centrale. La « monnaie fiduciaire » étant établie par réglementation gouvernementale, l’autorité monétaire ou la loi. C'est-à-dire, après tout ce que nous venons d’étudier, par les banxters apatrides.

Ce projet bénéficierait d’un nombre volontairement limité de banques assujetties aux projets politiques d’asservissement global de certaines de nos « élites ». Dès lors, il va de soi que les cryptomonnaies sont un pavé dans leur mare. Ces dernières, non contrôlées par les banquiers, indépendantes des systèmes bancaires actuels, permettent (théoriquement) un affranchissement complet de l’individu des griffes de l’État, au même titre que l’or ou l’argent.

C’est donc sans surprise que ces mêmes cryptomonnaies subissent actuellement une véritable bordée de règlementations de la part des principales autorités financières dans le monde.

Et à ce jeu de dupes, FTX aura constitué un fusible de choix. Cette société crypto aura servi de pot à confiture durant la campagne sale de Biden. Et, bien que lui ayant servi de nombreux pots de vin, Biden et ses maîtres de l’ombre n’auront pas hésité un seul instant à chier dans la main que cette société leur aura tendue.

Pensez-vous un seul instant que ce soit un hasard si, parmi les banques américaines qui viennent de tomber, on en trouve deux (Silvergate et Signature) qui offraient des passerelles avec des cryptos pour le quidam ?

Voilà pourquoi, tout comme ce qui concerne nos PME, nos artisans, nos agriculteurs, etc., les autorités qu’elles soient américaines et européennes (c’est pareil) ont récemment redoublé d’effort pour tenter de ramener toutes les transactions avec ces nouveaux supports dans le giron des banques et des institutions étatiques dont les politiciens ont le contrôle.

Chez nous, l’UE est la spécialiste des usines à gaz, sans gaz russe, pour lancer tout un paquet de règlementations afin de rendre tous les marchés ainsi que ceux des cryptos, encore plus complexes et difficiles d’accès à l’individus lambda.

C’est donc avec le plus de fermeté possible qu’il faut tuer ce nouveau secteur, ces nouveaux marchés et ces nouvelles libertés auxquelles l’individu risquait de s’habituer un peu trop.

Toute crise, tout conflit, sert immanquablement à resserrer les mailles du filet mondialiste.

Ainsi, c’est sans surprise, que les propositions de « règlementation » (sabotage) continuent de pleuvoir. Et à ce jeu, tout ce qui va contribuer à excéder les peuples sert fortement l’option Ordo Ab Chaos. Voilà pourquoi, je le répète, il convient d’être prudent.

Pas de violence, mais un rejet intelligent de tout ce numérique.

Les règles qui avaient été posées après les crises de 2008 (mondiale) et de 2012 (Europe) ont si bien fonctionné qu’il serait dommage de s’en passer ailleurs, n’est-ce pas.

La scène de guerre se met donc en place avec ses tranchées. D’un côté nous aurons une concentration des banques et leur tentative d’imposer des CBDC, l’outil ultime de l’asservissement. De l’autre, nous allons trouver des Etats anémiés par la DETTE avec des institutions socialo-étatique mourantes et des peuples qui le seront tout autant.

LA SEULE SOLUTION, C’EST LE SAVOIR, LA CONNAISSANCE. Un simple exemple ci-dessous.

Car le Chaos recherché et entretenu constitue, à mes yeux de « complotiste », la seule raison possible. Après une grève historiquement longue en 2019 et 2020 contre sa première réforme, Macron a réitéré sa connerie ou plutôt, dirais-je, l’exploit commandité par ses pairs de bloquer le pays avec une deuxième réforme encore moins bien pensée que la première.

Tout va très vite, de plus en plus vite, et de manière très lâche. Nos dirigeants sont, pour la plupart des vendus. Sur ce fait, je ne vous apprends rien ou du moins, j’ose l’espérer.

L’article 7 de la loi sur les Jeux olympiques vient d’être adopté par l’Assemblée. Tout comme les confinements étaient censés nous protéger, il acte à dessein l’entrée formelle de la vidéosurveillance algorithmique (VSA) dans le droit français, jusqu’en décembre 2024.

À l’ombre du tumulte de la réforme des retraites, et grâce à une procédure comme d’habitude extrêmement rapide et lâche, le gouvernement a réussi à faire accepter une des technologies les plus dangereuses jamais déployées.

L’hypothèse d’un bras-de-fer généralisé entre les peuples et l’élite n’est plus de nature « complotiste » comme tout ce que les objecteurs à la doxa expriment depuis déjà longtemps, dans les limbes. C’est désormais du concret, comme la vaccination mortifère.

Tout cela obéit à une stratégie intentionnelle, celle d’une division, d’un clivage systématique, d’un choc organisé, pour mettre les populations sous tutelle mondialiste. D’ici là, il est sûr que les classes moyennes doivent faire attention.

Le désordre pourrait être la cause d’une déstabilisation profonde en France, avec des conséquences financières dramatiques.

Eurocorps veille et la crise des taux pourrait en ruiner beaucoup. Seuls les hedgefund possèdent le luxe de pouvoir se dire : « Pas vendu, pas perdu ! », un luxe qui échappe totalement aux petits porteurs. Et justement, s’ils bénéficient tous de ce luxe, c’est parce qu’ils savent cacher et parfois très longtemps au détriment des petits porteurs. C’est d’ailleurs ainsi que beaucoup de banques, de multinationales et de fonds spéculatifs, arrivent à cacher leurs pertes abyssales sur dix ou quinze ans.

N’oubliez jamais le SCANDALE du groupe Olympus, au Japon. Il avait caché des pertes monstrueuses à ses actionnaires en réalisant des montagnes à gaz de montages financiers qui, gaz aidant, ont tous fini par péter.

Acheter une société bidon, une coquille vide, pour l’accuser ensuite d’avoir dévalué causant d’énormes pertes à la société mère, ne constitue que l’un des nombreux subterfuges dont disposent tous ces crocodiles des iles Caïmans et d’ailleurs. Par contre, si toi tu as mis de l’argent dans cette baudruche, ça fait prout !

Les cabinets d’audits ça sert à ça ! Faire passer par les chiottes des pertes qui puent un peu trop et sont donc gênantes pour le business. C’est d’ailleurs le sport international du capitalisme mondial.

Tout ce petit monde dépend en fait des banques centrales qui fixent le tempo ou plutôt le taux et son étau. Si vous avez accès à du capital pas cher avec une boite néanmoins pourrie pas de problème.

Un des meilleurs exemples afin d’étayer mon propos et j’y reviens, c’est celui de Patrick Drahi dont je parle dans le tome 1 du Centième Gueux. Si tu fais partie du club très fermé des banques et multinationales qui copulent en permanence avec la FED et les BC, alors aucun souci, même si, en réalité, leurs actions sont pourries. À dollar torche cul, action qui l’est tout autant !

Nous avons là une justice de classe qui s’applique ici aux banques. Certaines « Too big Too fail » peuvent tout faire, délit d’initier, ruiner des millions d’épargnant. Si, pour leur plus grand bonheur, elles appartiennent au sérail d’une certaine bien-pensance, elles seront tout de même renflouées, mais toujours au frais du contribuable qui, dans ce cas, s’en sera prise, une, devant et l’autre derrière.

La justice ici n’est certainement pas une femme aveugle, la balance à la main. C’est une grosse putain bien siliconée se roulant dans des draps de satin, ceux de ces banxters exécrables.

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Quant à celles et ceux qui veulent en savoir plus, j’ai ceci :

https://www.thebookedition.com/fr/37027_olivier-cape  

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/04/bankable-partie-4.html

 

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Petit rappel pour les nuls.

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

« Les hivers commencent à revenir aux modèles météorologiques d'avant 1982 dans le monde entier », prédit le professeur David Dilley, climatologue-météorologue.

Dans la perspective de l'hiver 2023-2024, il déclare « qu'il existe plusieurs facteurs principaux qui ramèneront probablement les conditions météorologiques à celles d'avant 1982, une période plus froide et plus orageuse que les 30 dernières années ».

Selon lui, la mécanique de conduite pour l'hiver 2023-24 repose sur  la température de l'eau de l'océan Pacifique Nord qui alterne entre des phases froides et chaudes tous les 30 à 42 ans. La phase chaude actuelle a duré 42 ans, mais est en train de passer à une phase d'eau froide qui se poursuivra probablement pendant les 30 prochaines années.

Selon lui, cette transition a commencé au large de la côte ouest des États-Unis et de la Colombie-Britannique en février 2023. Elle a modifié les conditions météorologiques en Amérique du Nord en février et mars, la Californie et la région élargie de la côte ouest connaissant des conditions orageuses, des inondations et des chutes de neige record, signalant la fin de la sécheresse californienne.

Ce changement de modèle a également apporté plus de neige dans la partie nord des États-Unis jusqu'à la Nouvelle-Angleterre. Ces mécanismes sont liés à El Niño. Un changement majeur est attendu dans la façon dont El Niño influence les conditions météorologiques mondiales, en conjonction avec ces eaux plus froides du Pacifique Nord.

En outre, le début d'un cycle de ClimatePulse de 230 ans se profile. Cela influence trop les modèles météorologiques et, selon Dilley, a joué un rôle déterminant dans le développement de l'air le plus froid depuis plus de 20 ans à travers le Canada et le centre de l'Arctique/le Groenland, au cours des 4 dernières années.

Une des nombreuses conséquences est la prolifération d'algues connue sous le nom de « Great Atlantic Sargassum Belt ». Plus de 20 millions de tonnes, soit la plus grande prolifération d'algues sur Terre, se promène ainsi tel radeau d'algues brunes de l'océan Atlantique. IL est si vaste qu'il peut être vu de l'espace. L’énorme tapis d'algues s'étend sur 8 000 kilomètres, soit environ deux fois la largeur des États-Unis.

Au cours de cette même période l'Antarctique a également connu son hiver le plus froid jamais enregistré en 2021 (avril-septembre), l'Arctique ayant connu un printemps et un été froids records en 2022. Voilà pourquoi David Dilley se permet de dire que « le temps commence à revenir aux modèles d'avant 1982 dans le monde entier. Les hivers deviendront plus froids, plus longs et plus rigoureux… il fera très froid. »

Si vous avez lu ma série vous constaterez qu’il est dans le vrai.  Mais, question subventions sans doute, vous constaterez qu’il ne parle jamais du véritable chef d’orchestre de ce « changement de modèle » et d'un cycle de ClimatePulse de 230 ans ?

Seulement voilà, dans la continuité de ma longue série sur le climat https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/01/retour-sur-le-climat-le-vrai-partie-1.html et apportant de l’eau à mon moulin, le soleil nous joue des siennes.

Début février, la NASA a filmé un énorme trait de plasma se détachant du Soleil. Un morceau de son pôle nord s’est détaché et a été filmé par l’agence spatiale lors d'un événement inédit qui a déconcerté les scientifiques. La vidéo ci-dessous montre ce filament géant de plasma (gaz électrifié), jaillissant du soleil et se séparant de lui. Les astronomes, déconcertés, supposent que la proéminence a quelque chose à voir avec l'inversion du champ magnétique du soleil qui se produit une fois par cycle solaire. 

https://www.dailymail.co.uk/video/video/video-1313137/NASA-s-SDO-films-Solar-material-repeatedly-bursts-sun.html

Bien entendu, un flux de plasma solaire est arrivé sur Terre la nuit du 16 février 2023, suralimentant l'atmosphère avec des particules du vent solaire qui ont alors déclenché de rares aurores rouges dans de vastes régions du Canada, du nord des États-Unis et de l'Europe. Mais d'autres étaient en route.

Le champ magnétique terrestre s'affaiblit depuis les années 1800 et les éjections de masse coronale qui frappent notre atmosphère ont un impact de plus en plus important. La CME de lundi 13 mars se serait avéré catastrophique s'il elle avait été dirigée vers la Terre.

Cela est démontré par des éjections même mineures, comme celle qui a frappé notre magnétosphère le 15 mars, déclenchant des orages géomagnétiques et aussi de fortes aurores aux deux extrémités de notre planète.

Les éruptions solaires sont fréquentes, et leurs effets sont habituellement mineurs. Mais celle du lundi 13 mars était monumentale. La plus rapide observée. Elle s'est produite heureusement en direction opposée de la Terre.  Elle a atteint 3000 km/s, soit près de dix fois plus rapide que la moyenne. La vitesse moyenne d'une éjection est autour de 300 km/s.

Comme je l’écris depuis longtemps, si une telle éruption était dirigée vers nous, elle sèmerait le chaos. Les réseaux électriques flancheraient. L'orbite des satellites pourrait être déviée, ce qui compromettrait plusieurs moyens de communication ainsi que la navigation par GPS.

Internet risquerait de s'écrouler durant des jours. Les fibres optiques ne seraient pas affectées, mais les câbles sous-marins qui relient les continents sont les plus à risque. Un tel bris de communication planétaire affecterait les chaînes d'approvisionnement, et même compromettrait plusieurs réseaux d'eau potable.

Heureusement, une telle éruption se produit moins d'une fois par décennie, et les chances qu'une éjection de masse coronale aussi puissante soit dirigée vers la Terre restent minces.

À quelques jours de l'équinoxe de mars, c'est la période de l'année où les aurores boréales et australes peuvent être vues en même temps. La CME qui a frappé la Terre le 15 mars a été causé par un filament magnétique qui a éclaté sur le Soleil (illustré ci-dessous) près de 4 jours plus tôt. Bien que faible, son arrivée a déclenché une série d'orages géomagnétiques alternés de classe G1 et G2.

Ainsi, le 20 mars dernier, un grand trou est apparu dans l'atmosphère du soleil. Il crache un flux de vent solaire vers la Terre. Le Solar Dynamics Observatory de la NASA a photographié la structure. Je vous en ai parlé dans ma série. Il s'agit d'un « trou coronal », comme l’explique le Dr Tony Phillips de spaceweather.com, une région du soleil où les champs magnétiques s'ouvrent et permettent au vent solaire de s'échapper. Il est sombre sur l'image ultraviolette ci-dessous parce que le gaz incandescent, qui y est normalement contenu, y est absent.

 

Le vent solaire dudit trou atteindrait la Terre plus tard cette semaine, soit le 23 ou le 24 mars, quelques jours seulement après l'équinoxe vernal. De fait, on devait s’attendre à des aurores boréales à de haute latitude. Ce fut le cas.

 

La dernière vague d'aurores polaires dansantes a été particulièrement frappante, car elle est arrivée dans de rares nuances de rouge qui nécessitent des concentrations plus élevées de particules de vent solaire pour pénétrer plus profondément dans l'atmosphère terrestre.

Cela donne un horizon en feu avec un vert vif semblable à un néon qui se transforme en orange, rouge et violet plus haut dans le ciel (les plus dangereuses). Des observations d'aurores rouges similaires ont été signalées en Écosse et en Norvège.

Avec tout ce que je vous explique depuis plusieurs années, on doit s'attendre à ce que la surcharge d'aurores se poursuive et devienne peut-être encore plus intense à mesure que des éjections de masse coronale (CME, explosion de plasma de la haute atmosphère solaire qui éclatent sur le soleil) arriveront sur Terre.

On peut s'attendre à des observations d'aurores aussi loin au sud que le nord de l'Angleterre et les États-Unis.

Les 23 et 24 mars dernier, lors d'une violente tempête géomagnétique G4, la plus intense en 6 ans, des aurores se sont propagées aux États-Unis, jusqu'en Floride. Rien n'annonçait cette tempête. Le 24 mars, des aurores sont descendues jusqu'en Floride, ce qui ne s'était pas produit depuis une vingtaine d'années. « La plupart sont vertes, mais lorsque les aurores se propagent aux basses latitudes, ses observations sont presque toujours rouges », a expliqué le Dr Tony Phillips de spaceweather.com.

Les aurores vertes proviennent d'atomes d'oxygène situés à environ 150 km au-dessus de la surface de la Terre. Les rouges sont également causées par l'oxygène, mais beaucoup plus haut, entre 150 km et 500 km. Ces aurores de la tempête inattendue de la semaine dernière sont descendues dans les latitudes inférieures de l'Amérique, des observations ont été notées au Nouveau-Mexique.

En fait, plus de la moitié de tous les États américains étaient touchées. Comme je vous l’ai indiqué dans ma longue série concernant le climat, le Dr Phillips a conforté mon propos en indiquant que les champs magnétiques orientés vers le sud ont ouvert une fissure dans la magnétosphère de notre planète : « Les "boucliers" de la Terre ont été abaissés pendant près de 24 heures, permettant au vent solaire de pénétrer et à la tempête de se développer jusqu'à la catégorie G4 », écrivait-il.

En conséquence, et afin de donner raison au professeur David Dilley, les records de froid continuent aux États-Unis et sur une grande partie du Canada, qui ont du mal à se débarrasser de l'hiver 2022-23, l'Occident, en particulier, restant fermement sous son emprise glaciale. Une myriade d'autres records de basses températures ont été battus en quelques jours, avec des modèles météorologiques qui annoncent l'arrivée potentiellement dévastatrice d'air arctique en Europe.

Un froid exceptionnel sévit en Scandinavie. L'Australie n'est pas épargnée par le froid anormal et record de ces dernières années. Et il semble que cette tendance se poursuivra jusqu'à l'automne 2023. Avant la fin du mois de mars, la moitié sud du pays prévoit des anomalies de température d'environ 16°C en dessous de la normale saisonnière, en particulier dans l'ouest.

Des blizzards printaniers balaient le sud de la Californie. Cette saison est entrée dans les livres d'histoire comme la plus enneigée jamais enregistrée dans de nombreuses montagnes et stations balnéaires de Californie. Des chutes de neige dévastatrice à mi-mars ont frappé l'Inde.

Bref ! C’est tout mon propos qui se confirme.

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Quant à celles et ceux qui veulent en savoir plus, j’ai ceci :

https://www.thebookedition.com/fr/tonton-malthus-est-revenu--p-381845.html                   

Olivier

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