LE DOIGT D'HONNEUR DU GRAND CAPITAL.
Pendant que les pauvres serrent les fesses, les riches le deviennent chaque jour un peu plus, et à un train d’ENFER. Ainsi, Bernard Arnault, propriétaire du groupe mondial de l'industrie du luxe LVMH, qui fabrique des produits de luxe sous les marques Dior, Vuitton, Givenchy, Guerlain, Chaumet, etc., a augmenté jeudi 30 janvier sa fortune de près d’un milliard d’euros. Selon le compteur en temps réel du site de Forbes, il pèse dorénavant près de 98 milliards d’euros. À cette date, il occupe la troisième place du classement des hommes les plus riches du monde en 2020, selon le magazine Forbes. Il reste néanmoins derrière le fondateur du groupe Microsoft, tonton Bill Gates avec une fortune estimée à 100 milliards d’euros.
C’est qu’ils ne perdent pas le nord ni l’OR nos oligarques, ils ont de la suite dans les idées, et même leur égérie leur ramène du pognon. Ainsi, les tuteurs de Greta Thunberg, les Soros et compagnie qui veulent tous « décafardiser » la planète, Bill Gates en tête, assurent leurs arrières. Ils lui ont fait annoncer le dépôt de la marque « Fridays For Future », le nom du « mouvement écologiste » fondé autour de Greta. Son nom a aussi été déposé.
La « sainte » a aussi annoncé la création d’une fondation « nécessaire pour gérer l’argent (droits d’auteur, dons, prix, etc.) de manière totalement transparente. »
À mille années lumières des émissions dégoulinantes de complaisance à l’égard des gredins, et bien loin de l’hagiographie mielleuse décrivant trop souvent Bill Gates plus proche de dieu que des hommes, aux vues d’une « Enorme générosité » devant laquelle, tout philanthrope connu et reconnu n’est qu’un freluquet, un baltringue de banlieue, je vais plutôt vous présenter le mètre étalon toutes catégories de la philanthropie business. Son art s’apparente plutôt au philanthrocapitalisme, il y règne en maître au pays du charité-business. Un pays qui permet à toutes ces grandes fortunes de réaliser des affaires au travers de leur « générosité » qui n’est alors, comme le cherchaient les alchimistes, qu’une Pierre de Projection permettant de tout transmuter en or, surtout l’abjecte.
En un gigantesque Ouroboros se mordant la queue, sa Fondation perçoit d’énormes subsides des grandes entreprises et multinationales. Cette philanthropie est bonne pour eux, puisqu’elle vient alimenter ce commerce d’hypocrites qui les rend toujours plus riches. Le financement de la très « vertueuse » Fondation Bill et Mélinda Gates provient donc de ces mêmes multinationales qui appauvrissent la terre et les gens. Entre 2011 et 2019, Bill Gates est passé d’une fortune de 56 à 96 milliards d’euros, soit 40 milliards de plus en 8 ans. Il est donc très loin de se dépouiller au profit des pauvres, comme certains gogos le pensent encore. Un fond d’investissement adossé à sa Fondation place de l’argent, et seuls les dividendes des placements vont alimenter la fondation. Vous me direz alors que « ça ne pose aucun soucis si ces dividendes reversés à la fondation contribuent à l’économie sociale et solidaire. » C’est vrai ! Mais là où le bât blesse, c’est que le trust Bill et Melinda investi, lui, dans l’armement, les énergie fossiles (dans 35 des 200 sociétés les plus émettrices de CO2), Big pharma, Monsanto et ses OGM, Coca, MC Do, etc.
C’est-à-dire que sous couvert de philanthropie, sa Fondation aide de grands groupes à conquérir toujours plus de marchés quelles qu’en soient les conséquences (eau, déforestations, pollution, empoisonnement des populations, etc.)
Nous nageons en plein conflit d’intérêts et à toutes les échelles. Je m’explique : Ces mêmes entreprises qui reçoivent des investissements de la Fondation font également parties des gentils philanthropes donateurs en même temps que bénéficiaires des dons, la pompe est ainsi amorcée et ne se désamorce plus. Donner de l’argent à une entreprise qui va vous en redonner ne correspond pas du tout à ma vision de la générosité, mais je ne suis qu’un pauvre gueux ignare !
Coca, en 2014, a reçu 518 millions d’euros de placements de la fondation, et bénéficié d’aides dans des programmes destinés à former cinquante milles agriculteurs kényans dans la culture des fruits de la passion. Et si on ajoute que Rob Horsch, ancien vice-président de Monsanto … est actuellement directeur du programme de développement agricole dans la Fondation de Gates, ... Nous sommes là face à une action de marketing bien rodée, et soutenue au plus haut niveau, car la Fondation Gates est également le cheval de Troyes, en Afrique, concernant les OGM de Monsanto.
Loin de l’image que ce couple démoniaque cherche à donner au beau milieu des p’tits africains, nous sommes plutôt là face à des vampires assoiffés, et prêts à toutes les vilénies afin d’atteindre leur but : la captation complète et définitive des richesses de ce monde. Ce sont toutes ces ONG et l’ONU qui façonnent, selon leur bons désirs, les contours et l’avenir de tout ce continent, laissant aux peuples une infime part de manœuvres et de réels subsides. Les choix des programmes qui vont provoquer la création de nouveaux marchés sont donc privilégiés, et grandement financés, au détriment de toute action qui pourrait autonomiser ces gens.
L’exemple le plus flagrant du comportement déviant des Gates revient à un remède local africain contre le paludisme. Il se verra ostracisé comme empêcheur de tourner en rond au motif inavouable que les maladies qui font appels à l’ouverture des marchés et la fabrication de couteux vaccins sont très profitables à Big pharma. L’Artemisia est une plante efficace contre le paludisme. Promue par des associations et personnalités, l'usage de la plante Artemisia Annua sous forme de thé ou de poudre contre le paludisme inquiète l'Académie de médecine. Parmi ses craintes : l’augmentation de la résistance au traitement et le risque d'aggravation de la maladie. Rien que ça !
Bien que de nombreux sujets de thèses soient venus à la rescousse des prétentions de cette plante, le lobby pharmaceutique et les merdias qui appartiennent aux mêmes salauds, sont donc arrivés avec des articles du style : « Des médecins s’inquiètent des affirmations non fondées d’une association qui vante les mérites de tisanes antipaludiques. » Pourquoi ? Parce que le Mosquirix, vaccin antipaludique administré aux enfants au Malawi, au Ghana et au Kenya et bien plus rentable pour Big pharma et ses acolytes.
Conçu en 1987 par le géant pharmaceutique britannique GSK, le vaccin est destiné aux enfants de moins de deux ans les plus vulnérables à la maladie. Et la Fondation Gates a utilisé de son influence auprès de l’OMS pour faire en sorte que ces vaccins soient préférés au détriment de l’Artemisia qu’ils cherchent à interdire.
Pour Gates, le salut du monde viendra donc par la technologie. Ce qui est grave, c’est que ce psychopathe semble sincère dans sa démarche de démiurge au QI bodybuildé. Ce jusqu'au jusqu'au-boutistes obsessionnel de la technologie a su accaparer une technologie gratuite à l’époque, pour la rendre payante par des milliards d’individus. Ce capitaliste froid croit au dieu science, parce qu’à une époque, il a su construire des monopoles incontournables autour de « son » informatique et la rendre obligatoire, tout comme ses idées sur l’orientation dans notre paysage contemporain. Il est persuadé de la direction que doit prendre ce monde.
Sa logique est d’imposer les semences brevetés : les OGM. Son hypocrisie va jusqu’à dire que les cultivateurs peuvent développer leurs semences naturelles pendant que lui booste les recherches concernant les OMG avec un lobbying de corruption des plus intense orchestré autour des dirigeants africains. Ainsi, plus ses OGM sont acceptés en Afrique, et plus la réglementation devient dure vis-à-vis des semences paysannes libres qui se voient marginalisées.
Mais en plus du marteau juridique, sa fondation prétendant aider les petits producteurs de graines les forme à la vente de ses OGM faisant monter à des niveaux exponentiels le développement de cette firme du Diable nommée Monsanto.
S’il est autant adulé par les médias, c’est qu’au même titre que nos médias français sont détenus par les oligarques, il a la main mise sur les médias mondiaux qui, de fait, entretiennent l’image angélique communément admise, à des profondeurs abyssales de ce que je tente de vous expliquer. En 98, il sera attaqué par le Gouvernement américain pour abus de position dominante avec son logiciel internet explorer. C’est tout de même fort de café que le pays où le capitalisme est roi, lui reproche son libéralisme sans scrupules ! Il est ensuite passé de cette image de prédateur économique, qu’il est toujours, à cette hagiographie communément admise. Pourquoi ? Parce qu’en 2000, il va devenir l’homme le plus « généreux » du monde en « donnant toute sa fortune ».
Il achète tous les silences à prix d’OR et l’on ne tue pas la POULE AUX ŒUFS D’OR ! Le budget de sa Fondation est tout simplement colossal, avec une force de persuasion supérieure à bien des pays. Elle est alliée à un vide juridique abyssal, et de FAIT, il a la main sur l’OMS. Voilà comment un milliardaire du top 10 peut prendre le contrôle sur tout ce qui est question environnemental et sponsoriser une égérie, sorte de poupée Chucky !!!
On est donc loin du paradigme prêché à outrance par « sainte » Greta, le Golem de toute cette clique de sombres enculés.
Pour terminer en beauté, j’aimerais vous faire lire une extrait de mon 3e livre, les pages 84 à 86 de J’ai à te parler, paru en janvier 2015. J’y brosse déjà un sombre tableau de notre lascar !
http://vecteur-douceur.over-blog.com/2020/01/bill-gates-un-sacre-philanthrope.html