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SANS LUI, NOUS MOURRONS DE FAIM. AVEC EUX, CE SERA LA FIN.

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Sans lui, nous n'aurons rien à bouffer. Alors permettons-lui de vivre dignement de sont travail. Quant à ceux de la deuxième rangée, ils ne désirent que notre perte. Qui va dégainer le premier: eux ou nous ?

La révolte qui touche la France est une révolte européenne, contre les ploutocrates non élus de Bruxelles. En 2022, j’y avais consacré des articles, les paysans hollandais étaient alors touchés avec un gouvernement totalement sous coupe de Davos et qui voulait réquisitionner les fermes hollandaises. Puis, depuis plusieurs semaines, les paysans en Allemagne et en Roumanie, se sont réveillés avant que d’autres pays ne soient concernés, probablement l’Italie et l’Espagne.

Comme dans tous les secteurs y compris industriels, la compétitivité française dans l’agriculture ne cesse de s’étioler, les marges se réduisent. Or, un pays qui n’est pas capable de nourrir son peuple n’est rien. Début 18e siècle, un paysan nourrissait 1,7 personne. En 1800, il en nourrissait 2,1. En 1980, il nourrissait 30, chacune obtenant plus de calories qu’un siècle auparavant.

Mondialisation aidant, le monde rural a connu une transformation massive en moins d’une génération et qui l’a fait passer d’un monde à l’autre de façon rapide et souvent brutale. D’où les monstrueuses difficultés rencontrées par les agriculteurs et le monde rural. Depuis longtemps on alerte, dans une indifférence quasi totale, sur les suicides répétés des agriculteurs. Rien n’y a fait. Le monde agricole n’est souvent connu qu’à travers ses vaches qui pètent et sont censées « réchauffer l’atmosphère ».

Mais beaucoup trop de bobos ignorent les nouveautés techniques dans les méthodes culturales, les nouveaux usages mécaniques, les enjeux mondiaux. Ainsi, pour aller à contre-courant de nos salauds de ploutocrates bruxellois, est-il grand temps de sauver l’agriculture française.

La Nouvelle-Zélande a réussi, dans les années 1980-1990, une transformation réussie qui en fait désormais un poids lourd dangereux en matière de prix de la viande et du lait. Le projet européen Farm to fork (de la ferme à l'assiette) qui planifie une décroissance de la production agricole doit nécessairement aboutir à des drames agricoles, comme ceux que nous connaissons aujourd’hui. Orchestré par l’oligarchie et ses ploutocrates aux ordres, afin de nous ramener au Moyen âge.

L’inflation des normes est résumée par l’évolution du code rural, passé de 755 pages en 1965 à 3 068 pages aujourd’hui. Il y a des normes pour tout : taille des haies, curage des fossés, etc. La France et ses fonctionnaires en surnombre voulant souvent aller plus loin que Bruxelles en ajoutant d’autres normes au millefeuille déjà épais.

Du glyphosate de nouveau autorisé en Europe mais pas en France, en passant par l’invasion des poulets produits en Ukraine, où les normes sont beaucoup moindres que pour les volaillers français, seul le bobo sera encore surpris par la colère qui secoue le monde agricole.

Elle n’est qu’une nouvelle illustration des méfaits engendrés par les multiplications de normes et moult contraintes administratives, toutes destinées à étouffer ceux qui sont censés nous nourrir. Comme à chaque fois, les catastrophes générées par ces normes sont prévues et annoncées, mais rien n’est fait pour éviter les drames avant que ceux-ci n’arrivent.

Bien entendu, comme d’habitude, les verts hystériques autant que pilotés par Davos sont grandement responsables de la situation. On interdit aux agriculteurs la mise en place de bassine pour récupérer l’eau de pluie, l’usage de produits phytosanitaires, même quand ils n’ont pas été reconnus dangereux par les études scientifiques, on soviétise le fonctionnement agricole, transformant les paysans en kolkhoziens. Et à force de scier la branche sur laquelle on est assis, on finit par se retrouver au sol.

Si j’ai écrit mon livre Tonton Malthus est revenu, il y a 5 ans, c’était en prévision de ce fascisme vert qui nous étrangle et des problèmes que rencontrent de plus en plus nos agriculteurs.  Tout ce que nous vivons actuellement est machiavéliquement orchestré par les psychopathes de Davos. En effet, la décroissance qu’il souhaite nous imposer se marie à merveille avec les « changements climatiques ».

J’ai suffisamment écrit sur le sujet pour que vous l’ayez toutes et tous intégré.

Il y a quelques siècles, il fallait 1.5 à 2 hectares pour nourrir une personne. La France de l’époque ne disposant au mieux que d’environ 40 millions d’hectares cultivés, le calcul était vite fait. Le pays pouvait nourrir entre 20 à 26 millions de personnes. Et c’est là qu’intervient tel Zorro, Tonton Malthus. Si la démographie augmentait trop, on se heurtait logiquement au plafond agricole, ce qui engendrerait des disettes. À l’époque, Malthus avait donc raison de s’inquiéter et de dire qu’il fallait limiter les naissances au risque sinon de ne pas pouvoir nourrir les bouches à venir.

Mais l’économiste anglais Thomas Malthus (1776-1834) est un homme du passé : il n’a pas vu venir la révolution de la productivité, qui permet de nourrir plus de monde avec moins d’hectares cultivés. Il n’a pas vu arriver la déesse Vishnu qui, avec ses mille bras animés par de nouvelles formes d’énergie, allait permettre de décupler la productivité humaine.

C’est le pétrole qui a permis de décupler cette productivité, ainsi que le nombre d’humains vivant sur la Gaïa d’Al Gore, le prophète réchauffiste. C’est donc ce pétrole qu’on doit faire disparaitre si, comme Davos et ses diables le souhaitent, nous devons tous mourir par milliards, de faim et de moult autres calamités auxquelles ils réfléchissent à longueur d’année et surtout durant leur Forum diabolique. 

Du coup, si la déesse Vishnu se met à travailler pour l’homme, c’est moins de temps de travail pour lui. Il peut alors transiter de sa position de rat des champs à celle de rat des villes et pratiquer d’autres activités, plus rémunératrices, telle l’industrie naissante et les emplois urbains. La famine a été vaincue, ce qui est un immense progrès pour l’humanité.

Il est désormais possible de travailler moins et d’effectuer des travaux moins pénibles. De manger plus et mieux. Les conséquences sont majeures : l’espérance de vie augmente, on vit plus vieux et en meilleure santé (sans Big pharma et ses vaccins bien sûr).

Voilà pourquoi, avant de rejeter les effets négatifs de l’industrialisation de l’agriculture, il est essentiel de mettre les Verts au pied du mur et leur montrer ainsi le chemin de parcouru. Tous nous devons prendre conscience que cette société d’abondance et de vie facile est une nouveauté dans l’histoire de l’humanité. Elle représente quelques secondes sur l’horloge de l’histoire prétendue de Sapiens- sapiens, celui qui croit savoir mais ne sait rien.

Mais voilà, le monde étant ce qu’il est : un monde/démon, où des davosiens féroces prétendent changer le cour de nos vies aux profits de leurs existences insipides de larves sans âmes. Klaus Schwab et ses prophètes de la mort vantent partout la décroissance et le retour à l’agriculture d’il y a trois siècles, mythifiée et idéalisée. N’oublions jamais l’exemple du « laboratoire » Sri Lanka : un avertissement ! Les produits phytosanitaires y ont été interdits, au profit d’une conversion forcée et totale au bio.

En quelques mois l’île a connu une famine sans précédent, contraignant de nombreux habitants à choisir entre mourir de faim ou s’enfuir.

En France, MOULT REFUS ont provoqué le ravage de la production betteravière, pourtant l’un des piliers de l’agriculture française, conduisant à un déclassement français par rapport aux concurrents d’Amérique latine.

Les agriculteurs, comme de nombreuses autres professions en France et en Europe, sont victimes de l’effacement du logos au profit du pathos. On ne réfléchit plus, on ne mesure plus les conséquences des actes, on n’accepte plus les risques et les dangers.

L’économie est la science des choix : elle étudie les choix possibles et les conséquences des choix effectués, des choix qui peuvent être libres ou contraints. Le choix suppose le goût du risque et de l’aventure, la projection vers un avenir qui n’existe pas, mais que l’on s’efforce de bâtir.

Le passé est rassurant parce qu’on croit le connaitre : on n’en garde souvent que les bons côtés, les détresses et les drames étant oubliés. Ce que vivent les agriculteurs, c’est aussi ce que vivent les milliers de chefs d’entreprise, les professeurs dans l’éducation nationale, les personnes qui travaillent dans les administrations : un empilement de normes qui étouffent et tuent la vie. Tout cela est à éliminer avant qu’elles ne tuent définitivement notre pays et notre civilisation.

Fin

Olivier

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SION : LA VERITE (Partie 13)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/01/sion-la-verite-partie-1.html

Les États-Unis ne sont pas tout à fait prêts à ranger leurs jouets et à rentrer chez eux, et c'est une bonne chose pour leurs adversaires : plus il faudra de temps pour que l'argent se raréfie à Washington, plus d'argent et de ressources seront gaspillés dans des postures inefficaces, et plus l'économie américaine sera faible.

Les États-Unis et leurs alliés le seront une fois que la vérité de la situation deviendra impossible à ignorer. Si tout se passe bien, l’échec militaire à l’étranger se transformera naturellement en guerre civile dans le pays, et il y aura alors une superpuissance hégémonique mondiale de moins dont il faudra s’inquiéter.

Comme par hasard, le manque de suprématie militaire affaiblit automatiquement l’empire anglo-saxon sur le plan économique. L’empire pirate anglo-saxon a exercé un contrôle sur le commerce mondial via son contrôle des voies maritimes : il était impératif que toutes sortes de butin impérial puissent être renvoyées vers les centres impériaux anglo-saxons.

L'Amérique règne sur les mers… ou pas ? En particulier, le contrôle de divers points d’étranglement – le canal de Suez, le détroit d’Ormuz, le canal de Panama, Gibraltar, Malacca et (surprise !) Bab-el-Mandeb, est absolument essentiel.

Les récentes actions navales américaines près de Bab-el-Mandeb n'ont rien fait pour empêcher la quasi-fermeture du canal de Suez, entraînant de longs retards et d'énormes augmentations des tarifs de fret pour la plupart des transports maritimes à destination de l'Occident, alors que les navires se dirigent vers le cap de Bonne-Espérance.

Cela est le résultat de quelques menaces et de quelques actes hostiles, plutôt limités, contre les transports maritimes internationaux de la part des Houthis yéménites, qui ont promis de poursuivre leurs actions contre les transports maritimes associés à Israël à moins que l'aide humanitaire et médicale ne commence à atteindre Gaza : leur mission est donc une mission de miséricorde et non pas de terroristes !

Le fait de bombarder le Yémen depuis les navires américains, qui naviguent désormais sans but autour du golfe d’Aden ou de la mer Rouge ne servira à rien : les Houthis sont bombardés par les Saoudiens depuis des années et sont désormais complètement insensibles à ce traitement. Et si les États-Unis devaient organiser une invasion terrestre du Yémen… eh bien, il est difficile d’imaginer un endroit sur Terre mieux adapté pour humilier les américains, bien mieux que les montagnes d’Afghanistan.

Notez que les expéditions russes via Suez ne sont soumises à aucune restriction. En revanche, le trafic du port israélien d'Ashdod, qui est sa bouée de sauvetage, est en baisse de 80 % et les relations commerciales d'Israël avec son principal partenaire commercial, la Chine, sont très sérieusement perturbées. Il ne reste plus qu’au Hezbollah au Liban à lancer quelques attaques à la roquette sur l’aéroport international Ben Gourion, détruisant ses réservoirs de carburant et sa tour de contrôle, et Israël se retrouverait physiquement isolé, un quasi blocus.

Combien de temps faudra-t-il aux juifs d’Israël pour abandonner le projet israélien et se diriger vers des pâturages plus verts, comme ils l’ont fait dans des circonstances similaires pendant des milliers d’années ?

En observant la disparition israélienne, les autorités américaines resteraient bien sûr inconsolables pendant 15 bonnes minutes, mais comme les preuves le montrent, il n’y a personne au monde que les États-Unis ne seraient pas prêts à trahir lorsque les conditions le justifient, ni l'Ukraine, ni Israël. Ce n’est jamais quelque chose de personnel, strictement professionnel.

A noter que le canal de Suez n'est pas le seul point d'étranglement de navigation actuellement en panne ou en danger : le trafic via le canal de Panama est également restreint, en raison du manque de précipitations, provoquant un manque d'eau dans le lac Gatun pour remplir les écluses, obligeant à son tour les navires à contourner le Cap Horn.

Il y a aussi le détroit d’Ormuz, dominé par les forces iraniennes, ce qui rend improbable une action militaire contre l’Iran. Existe-t-il des alternatives à ces routes maritimes ? Oui, il existe la route maritime du Nord de la Russie, beaucoup plus courte et bien défendue. Mais son passage nécessite des brise-glace, que seule la Russie est en mesure de fournir.

Contrôle politique, financier, militaire et logistique… Chacun de ces mécanismes de contrôle impérial n’est pas simplement une question de rigueur, une question de mode impériale. Chacun est strictement nécessaire au fonctionnement du mécanisme Anglo-impérial : sans contrôle politique, sans contrôle financier, sans bases militaires et sans voies maritimes, l'organisme impérial se retrouve rapidement en grande détresse.

Sa destination appropriée sera la morgue.

Or, tous ces mécanismes de contrôle Anglo-impérial sont effectivement en état de mort cérébrale. Qu’arrivera-t-il aux sociétés impériales anglo-saxonnes une fois qu’elles auront échoué ? Si l’histoire peut servir de guide, elle pourrait être, d’une certaine manière, une répétition de ce qui s’est produit en Grande-Bretagne après la chute de l’Empire romain d’Occident : un véritable effondrement jusqu’à un niveau de subsistance le plus primitif et un éventuel remplacement de la population.

C’est à la chute d’une mafia à laquelle nous assistons. Mais "l’animal juif-khazar" reste dangereux. Tout emberlificoté qu’il est dans ses idéaux Ordo Ab Chaos, il pourrait être tenté de nous sortir l’option « Samson ».

A certains endroit de ce long exposé (18 articles), j’ai mentionné le terme « Khazar » et le fait que l’ADN avait parlé, révélant le FAIT que n’est pas sémite celui qu’on croit ! Je vais donc  vous révéler en détail ce que très peu savent. Tout le monde a déjà entendu parler des Illuminés ou ILLUMINATI, sans savoir qui ils sont réellement. Laissez-moi vous aider. Le théologien et jésuite, Adam Weishaupt, professeur spécialisé dans l'enseignement canonique, a officiellement renié le catholicisme pour entrer dans la Franc-Maçonnerie, alors qu'il enseignait à l'université d'Ingolstadt en Bavière, dans les années 1770.

Éduqué par un jésuite haut placé, il sera installé à la tête des Illuminés de Bavière pour « ressusciter » l'ordre des jésuites, qui venait d'être aboli par l’Église catholique en 1773. Il possédait les deux qualités requises pour cette mission : être à la fois juif et jésuite. De sa forme extérieure religieuse, l'ordre muta dans une forme maçonnique. Ses chefs passèrent des ententes avec la maison Rothschild d'Angleterre. De leur collaboration naquirent les Illuminés, plus connus sous le nom de « Illuminati ».

En 1776, la branche de Bavière sera inaugurée. On commence alors à tramer la Révolution française, début de la terrible vengeance non pas des des jésuites sur l'Europe, ce qui arrangerait bien ceux dont je dresse ici le portrait depuis 13 articles ; mais bel et bien des juifs talmudistes.

Comprenez-le UNE FOIS POUR TOUTE, il leur faut toujours un bouc émissaire ! C'est d'ailleurs bibliquement relaté. Alors les jésuites et les Khazars feront bien l'affaire !

Les juifs talmudistes vont exercer cette vengeance et spécialement sur la France « fille ainée de l’Eglise » et le Vatican. Comme de nos jours, cet objectif, exigeant patience et constance, visait la division des masses (les populations nommées goyim « gentils »), en camps opposés afin d'augmenter les tensions politiques, raciales, sociales, économiques et autres.

Par la suite, ces camps devaient être armés, et un incident devait être provoqué pour les pousser à s'affronter et à s'affaiblir les uns les autres, tout en détruisant leurs gouvernements nationaux et leurs institutions religieuses.

Maintenant, il faut bien comprendre pourquoi les jésuites sont si importants aux yeux des juifs talmudistes. À travers "leurs frères" jésuites, les juifs ont pris un rôle prédominant dans les affaires de « l’Église » (concile de Trente). En s'emparant ensuite des sociétés secrètes, les khazars-juifs ont infiltré le côté protestant du christianisme. Aujourd'hui, ils se retrouvent partout, dans toutes les sphères de la connaissance.

Lorsque Adam Weishaupt reçut le mandat de réactiver les Illuminés en Bavière, l'élite des jésuites, pilotée par les talmudistes, put agir sous une nouvelle couverture commode. Le système d'enseignement de la société était déjà sous leur coupe. Ils possédaient de nombreuses universités et institutions, ce qui leur permettait de façonner le peuple et de sélectionner leurs descendants « moraux ».

Rien d'étonnant à ce que l'on retrouve ce principe dans les Protocoles des Sages de Sion, ce qui nous indique l'origine de ce document.

Cette méthode était déjà bien éprouvée. Weishaupt recruta environ 2000 adeptes. Il leur exposa son objectif qui était de mettre sur pied un gouvernement mondial. Ces hommes possédaient des facultés mentales supérieures, propres à leur permettre de gouverner le monde. Formés par Weishaupt, ils sont devenus, sans s'en rendre compte pour la plupart, des agents talmudistes. L'ordre se composait des personnes les plus intelligentes dans les domaines des arts et lettres, de l'éducation, des sciences, de la finance et de l'industrie. Mais les Illuminés existaient déjà depuis longtemps, avant l'époque de Weishaupt. Ce dernier fut seulement placé à la tête du chapitre de Bavière.

Le créateur de la Compagnie de Jésus, Ignace de Loyola, était juif espagnol et probablement descendant direct de la famille royale des juifs-Khazars, laquelle s'était exilée en Espagne après la déroute subie face aux Russes. Avant de fonder l'ordre des jésuites (vers 1534), il était le chef des Illuminés en Espagne. Il se fit « marrane » (juif faussement converti au catholicisme), mais continua secrètement à suivre le Talmud. Lorsqu'il fonda son ordre jésuite, il rédigea les Instructions secrètes de la Compagnie de Jésus, livre aux préceptes étaient directement issus du Talmud.

Le plan de Weishaupt exigeait que ses Illuminés suivent certaines prescriptions qui devaient les aider à réaliser leurs objectifs. Utiliser la corruption monétaire afin d'obtenir le contrôle de personnes occupant des postes élevés à différents niveaux de tous les gouvernements et de tous les champs de l'activité humaine.

Une fois qu'une personne influente tombait sous l'emprise des Illuminés par le biais de mensonges et de supercheries, elle devait être gardée en esclavage par l'application d'un chantage politique ou autre, de menaces, de ruine financière, de scandale public, d'attaque physique, et même de mort, dirigés contre elle ou contre ses proches.

On retrouve ce même type de comportement avec les orgies pédophiles organisées sur l’île d’Epstein, ce juif qui travaillait pour le Mossad israélien.

C'est donc là une méthode qui est encore utilisée aujourd'hui puisque les dignes descendants et pratiquants de cette méthode sont les créatures mêmes des juifs-khazars-jésuites. Les systèmes d'espionnage de la CIA, FBI, Mossad, KGB, Interpol, etc. sont répandus dans le monde entier comme une vaste toile d'araignée dans laquelle nous sommes des mouches.

Bien installés dans les facultés des collèges et des universités, les Illuminés, devaient recommander aux étudiants dotés de dispositions nécessaires et appartenant à des familles nobles ayant des tendances globalisatrices, de se diriger vers un entraînement spécial dans l'internationalisme.

Ils devaient être éduqués, endoctrinés à l'idée que seul un gouvernement mondial pourrait mettre fin aux guerres courantes. Les personnes influentes, prises sous leur contrôle, devaient être utilisés comme agents espions infiltrés, et placés dans tous les gouvernements en tant qu'experts et spécialistes. De cette manière, il leur serait alors possible d'influencer les têtes dirigeantes et les amener à adopter des politiques qui pourraient, à long terme, servir les plans secrets des partisans d'un seul ordre mondial.

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/02/sion-la-verite-partie-14.html

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Anne, ma sœur Anne ne vois-tu rien venir ? (Partie 3)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/01/anne-ma-soeur-anne-ne-vois-tu-rien-venir-partie-1.html

Certains esclaves formaient une couche supérieure de professionnels. Ils occupaient l’espace social qui est aujourd’hui occupé par la classe moyenne. Relativement privilégiés, ils pouvaient posséder de l’argent, mais cela ne changeait rien au fait qu’ils étaient des esclaves et, dans la plupart des cas, ils devaient le rester à vie.

Libérer des esclaves était peut-être un stimulus positif, mais c’était rare et souvent seulement un moyen pour un maître de se débarrasser d’un esclave vieux et/ou malade et de fait devenu inutile. Donc, c’est le contrôle négatif qui fut utilisé pour gérer les esclaves. Les punitions étaient appliquées non seulement aux esclaves, mais à la sous-classe des affranchis, des pauvres et des étrangers. Ils étaient cruels parce qu’ils devaient constamment rappeler à la sous-classe quelle était sa place et qu’ils n’étaient toujours qu’à deux pas d’être condamnés à être mangés par les bêtes sauvages dans le cirque.

De nos jours, la classe moyenne est en voie d’extinction, reste les « gueux ». Tout a une logique chez l’humain déchu, et le fait d’être cruel y trouve ici la sienne, bien qu’elle ne soit pas agréable. À notre époque, nous n’avons plus d’esclave humain, mais nous avons des esclaves fossiles.

Nous traitons les combustibles fossiles d’une manière similaire à celle utilisée par les Romains pour traiter leurs esclaves. Ils utilisaient les leurs pour construire leur civilisation, nous avons utilisé le pouvoir des combustibles fossiles pour construire la nôtre.

Nos esclaves fossiles ne se sont jamais plaints d’être brûlés dans les chaudières et les moteurs. Ainsi, nous n’avons pas eu besoin depuis un petit moment de ce genre de cruauté « gratuite ».

Mais, nos combustibles fossiles deviennent progressivement plus chers à mesure que nous les utilisons, à cause de l’épuisement des ressources dans un monde fini. Ensuite, on nous bassine qu’il faut absolument réduire leur utilisation afin d’éviter les pires effets du « réchauffement climatique ».

Ainsi, symboliquement, nos esclaves fossiles sont donc en train de se soulever, se révolter, ils nous quittent inévitablement.

De toute manière et contre toute attente de 2013 à 2016, la croissance de la consommation mondiale d’énergie a chuté. La consommation totale d’énergie primaire est à peu près le meilleur indicateur de l’évolution réelle de l’activité économique, ce malgré le « soutien » de la Banque centrale, et la dette massive qui a été contractée.

Tout cela aurait dû entraîner une croissance spectaculaire. Mais, en réalité, ce n’est pas ce qui s’est passé. Les pays «riches » représentent un peu moins de 50 % de la population mondiale, ils consomment près de 90 % de l’énergie, et le ralentissement observé dans ces pays ne sont pas compensés par la croissance des pauvres, c’est même le contraire.

Les pays riches ont connu un pic de consommation totale d’énergie en 2007 et sont encore en dessous du pic dix ans plus tard. Après l’effondrement de la consommation en 2009, la période de 2011 à 2016 a connu l’une des croissances les plus faibles parmi ces pays depuis 1980.

Un facteur déterminant face à ce phénomène est la combinaison d’une baisse de la population en âge de procréer et d’une baisse des taux de fécondité (nombre de naissances pour 1 000). Même les naissances en Inde ont atteint leur apogée au tournant du siècle et sont en déclin séculaire. La population indienne en âge de procréer devrait atteindre un maximum autour de 2040.

Seules les nations à faible revenu continuent d’avoir plus d’enfants, alors que toutes les autres régions ont atteint un plateau ou sont en plein recul démographique. Seule exception : la forte augmentation des naissances et de la population en âge de procréer en Afrique.

Désormais bien sorti des « trente glorieuses », les conséquences sont déjà visibles : inégalités croissantes, pauvreté, stress social, etc. Nous assistons à la montée des « esclaves de la dette », une dette censée être remboursée par un travail acharné. Mais, il devient évident que peu importe à quel point et combien de temps une personne travaillera, elle ne sera jamais en mesure de la rembourser.

Alors, comment ces nouveaux esclaves peuvent-ils être motivés ?  La réponse est la même que celle trouvée par les anciens Romains : des punitions imposées par l’État par ses divers leviers : police, justice, l’armée, etc.

Et c’est exactement ce à quoi nous assistons. Nous n’en sommes pas encore revenus au genre de séparation formelle entre les classes qui définit certaines personnes comme des «esclaves » au sens romain du terme, mais cela monte crescendo, d’où le réveil des Gilets Jaunes !

Mais comme tout est télécommandé longtemps à l’avance en ce monde/démon, la bonne question est : ce mouvement est-il naturel ou plus ou moins piloté ? The Economist est un magazine « attrape mouches » utile à l’élite, et auquel nombre de conspirationnistes de tous bois aiment à venir se coller afin de jouer les madame Irma.

Je vais donc jouer à la mouche moi aussi. C’est la revue porte-parole de la City de Londres et des Rothschild, autrement dit on y trouve des « nouvelles fraiches ».

En 1988, The Economist, annonçait « get ready for a world currency ». La revue parlait déjà de cette volonté d’une monnaie unique et mondiale à l’horizon 2018 : le Phénix. Dans ce projet, la Chine, en 2018, était le dernier gros morceau à intégrer les DTS créés en 1969. Les droits de tirage spéciaux (DTS, en anglais, Special Drawing Rights : SDR), sont un instrument monétaire international créé par le FMI pour compléter les réserves officielles existantes des pays membres. Tout ceci nous montre que nos « camarades » ont les idées longues. Une longue chaine d’esprits lucifériens nous amène à notre époque. Il y a derrière tout ce marasme une intelligence froide qui « force le respect », je m’explique ! » Fin de l’extrait.

Maintenant, je vais en arriver à vous parler d’un point sur lequel ou vous ment depuis plus d’un siècle.

Je vais évoquer une chose inconnue. Voici ce que la très sainte encyclopédie Wikipédia en dit : « La théorie du pétrole abiotique est une théorie alternative sur l'origine chimique du pétrole, qui serait selon celle-ci formé dans les couches profondes de la Terre ; elle s'oppose à l'hypothèse communément admise de la formation par transformation progressive de détritus biologiques fossilisés à des profondeurs relativement faibles. … Elle n'a jamais suscité de réel intérêt parmi les géologues, hormis les Russes par le passé1 et est de nos jours considérée comme scientifiquement invalide. »

Et pourtant, sans l’intervention d’un certain Rockefeller et sa clique de scientiste vendue, nous aurions depuis longtemps à disposition une énergie inépuisable.

En effet, dans mon dernier ouvrage, en "fou de complotiste" que je suis, j’exprime cette réalité cachée : Si demain le pétrole abiotique devenait abondant… Les compagnies pétrolières savent parfaitement que la théorie du pétrole abiotique est vraie, qu’il y a des quantités fantastiques de pétrole sous nos pieds, et qu’il n’y aura pas de crise d’approvisionnement avant des milliers d’années ou plus.

Un certain nombre de responsables politiques des pays riches le savent aussi. Ils mentent donc sciemment depuis plus de 100 ans quand ils disent que le pétrole vient de la décomposition des plantes et dinosaures, qu’il n’y en a qu’une quantité très limitée pour l’humanité.

Pourquoi ? Eh bien, tout simplement parce que le pétrole permet d’avoir l’argent et le pouvoir. La richesse des compagnies pétrolières est basée sur une relative rareté du produit et une très grosse partie de leur profit et basée sur le commerce international de celui-ci.

En effet, il est évident que si demain, tous les pays étaient capables de produire du pétrole, celui-ci ne vaudrait plus rien. Son prix de vente baisserait quasiment au niveau de son coût d’extraction. Les marges, qui sont actuellement énormes, diminueraient comme peau de chagrin, si les Etats se mêlaient de contrôler les prix. Les profits deviendraient donc dérisoires, pour des milliers d’années.

Les compagnies pétrolières vivent aussi du commerce international, donc du fait qu’il y a des pays producteurs/exportateurs d’un côté et des pays acheteurs de l’autre. Il faut, pour elles, qu’il y ait un nombre limité de pays exportateurs pour pouvoir faire des profits à la vente plus facilement. Parce que, sur un marché national autosuffisant, le gouvernement peut décider de limiter les prix du baril. Tandis qu’avec le marché international, ce sont les compagnies qui peuvent magouiller pour faire optimiser leur profit et faire varier les prix selon leur convenance.

Avec quelques pays producteurs faibles militairement et ayant des compétences techniques limitées, bombes et technologie aidant, les grandes compagnies peuvent obliger les pays producteurs à passer par elles.

Et du coup, les pays consommateurs, eux aussi, sont obligés d’en passer par ces quelques compagnies, qui font dès lors un chiffre d’affaires gigantesque. Quant aux Etats consommateurs, ils peuvent être menacés d’embargo par les pays qui contrôlent ces compagnies.

Mais, si, d’un seul coup, tous les pays du monde ou presque produisent leur propre pétrole, c’est la fin de ce commerce international. Fini les manipulations du marché et les profits gigantesque, fini le contrôle des prix par les compagnies multinationales. Ce seront désormais les Etats qui pourront contrôler les prix. Et fini également les menaces d’embargo ou de problème d’approvisionnement. C’est la fin des pays qui vivent au dépend du pétrole et n’ont pas su convertir le cumul de leur rente pétrolière en richesse nationale (industrie, agriculture etc..).

Si demain, les gens venaient à apprendre que le pétrole se trouve en quantités gigantesques un partout sur terre, et que les conséquences économiques en étaient tirées, ce serait là mort du commerce, du pouvoir des compagnies pétrolière et des Etats de la providence.

À MOINS DE ME PRENDRE POUR UN FOU, DESORMAIS VOUS SAVEZ !

Mais nous n’en sommes pas là et, comme indiqué précédemment, Davos entend bien nous voir régresser économiquement, sanitairement et, cerise sur le « gâteau davosien », en éliminer une grande partie. Voilà pourquoi, compte tenu de l’importance du pétrole dans le fonctionnement de nos sociétés industrialisées, cette démarche verte est folle. Transports, gaz at fioul de chauffage, pétrochimie, agriculture, sont autant de fils d’Ariane dont notre société aux pieds d’argile dépend.

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/02/anne-ma-soeur-anne-ne-vois-tu-rien-venir-partie-4.html

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SION : LA VERITE (Partie 12)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/01/sion-la-verite-partie-1.html

Ce qui a émergé au lieu d’un contrôle colonial pur et simple est un système hypocrite de contrôle politique, financier, militaire et logistique, le tout sous couvert de libre entreprise et de démocratie. Dernier exemple en date : l'Argentine.

Lorsqu’il s’est avéré qu’elle n'était plus solvable, un certain Xavier Milei est apparu comme par magie dans le but exprès de fermer les services sociaux argentins et de démanteler et d'exproprier ses richesses publiques. Cette ingénierie sociale dont je parle souvent, est ici si efficace que les Argentins ont élu Milei, comme autant de moutons volontaires destinés à l’abattoir !

Au lieu d’envoyer un gouverneur pour diriger une colonie européenne ou une province France, on envoie un Mc Kinsey, pur doublon de nos énarques « talents locaux » déjà grassement rémunérés.

Ce talent local est choisi pour son haut niveau de sociopathie, son manque d'empathie et sa facilité de manipulation. On les tient par les couilles en leur imposant d’envoyer leurs richesses au centre impérial de l’étoile noire, afin d’être mieux gérées. Mieux encore ! On les oblige à envoyer leurs enfants dans les écoles impériales afin d’y subir le Mind control impérial et d’en faire ainsi la future génération de dirigeants sociopathes à la Young Global Leaders.

À titre d’exemple, les parents de Zelenski, sont en Israël (une possession impériale) et sa femme et ses enfants passent du temps à Londres (un centre impérial). Cela rend Zelenski docile, docile et disposé à envoyer des Ukrainiens se faire massacrer jusqu’au dernier invalide âgé.

Ex gymnaste ou auteur de livres pour enfants, nos dirigeants sont recrutés parmi les cancres. Pourquoi ? Toujours dans l’option Ordo Ab Chaos. Ainsi, un Gabriel Attal véritable éléphant sans expérience dans un vieux magasin de porcelaine nommé France, ayant déjà délocalisé l’essentielle de sa production, ou bradé ses savoir-faire à des intérêts étrangers, finira de casser ce qui reste du magasin.

Une telle ingénierie sociale peut encore fonctionner, mais il existe un problème : la lutte contre la dictature et le despotisme, toute cette marque politique occidentale, est en train de se ternir gravement et n’est plus en mesure de projeter une image positive de soi.

Tout le monde voit désormais l’Occident pour ce qu’il est : une bande de corrompus, une oligarchie de chefs d’État très impopulaires biberonnée au "lait davosien", souvent non élus, redevables à des intérêts étrangers et transnationaux, qui n’ont aucune capacité à définir, et encore moins à faire respecter, les intérêts nationaux des nations dans leur pays.

Et puis il y a les éléments carrément toxiques de la culture politique occidentale contemporaine : le marxisme culturel et la folie LGBT « Q ». Le marxisme culturel tente de diviser la société entre les oppresseurs (essentiellement les hommes blancs) et les opprimés (presque tout le monde).

Or, la majeure partie de la planète est socialement conservatrice et rejette catégoriquement la notion de genre, préférant s'en tenir au sexe à l'ancienne.

À la suite de ces échecs politiques, l’Occident a perdu sa position de phare civilisationnel pour la Russie et la Chine, l’Inde, le monde musulman, l’Afrique et la majeure partie de l’Amérique latine. À ce stade, le terme « civilisation judéo-chrétienne » semble être une plaisanterie vicieuse pour la plupart et devrait être complètement évité. Alors que tous ses aspects attrayants disparaissent, ce qui transparaît, c’est sa décadence et son parasitisme et, avec l’aide récente d’Israël, ses tendances génocidaires.

Le contrôle financier s'exerçait via le contrôle des monnaies de réserve : la livre sterling, puis le dollar. Puisque tout commerce extérieur pouvait être bloqué au centre impérial, les hommes d’affaires des anciennes colonies savaient exactement comment se comporter pour éviter d’être sanctionnés. Lorsque le centre impérial en ressentait soudainement le besoin, il pouvait faire basculer les règles du jeu en restreignant l’accès au crédit, en gelant les réserves de dollars et d’euros et d’autres mesures similaires.

Les économies coloniales seraient perturbées et un flot de richesses s’écoulerait des colonies vers les coffres impériaux, présentés comme un refuge. Une autre sorte de fuite de richesse coloniale, encore plus insipide, a été organisée en créant des déficits commerciaux structurels (c’est-à-dire permanents) et en ne fournissant qu’un seul moyen d’accumuler l’excédent : par l’achat de la dette du gouvernement impérial qui est ensuite progressivement gonflée.

Cette méthode de contrôle est désormais en échec.

La Russie et la Chine ont réussi à dédollariser la quasi-totalité de leurs échanges commerciaux, ouvrant la voie à d’autres pays, dont beaucoup sont désormais impatients de rejoindre les BRICS, qui constituent le centre du savoir-faire en matière de dédollarisation.

En tentant de contraindre leurs adversaires par le recours à des sanctions économiques, les États-Unis et l’UE se sont essentiellement mis hors-jeu. Ils peuvent désormais faire ce qu'ils veulent avec leur argent : s'en servir comme papier toilette. Mais ce qu'ils ne pourront plus faire longtemps encore, c'est le prêter à existence et l'utiliser ensuite pour importer ce qu'ils veulent.

Ce sont désormais la Chine, la Russie, l’Arabie Saoudite et, dans une certaine mesure, même l’Iran qui mènent la danse. Les Argentins élisent un président qui entend mettre un terme au processus d'adhésion de l'Argentine aux BRICS ; en réponse, la Chine annule rapidement son échange de devises avec l’Argentine, freinant ainsi ses échanges commerciaux avec l’Argentine.

Des membres du Congrès américain désemparés abordent la question de mettre un terme aux importations d’uranium enrichi en provenance de Russie, qui sont essentielles pour maintenir l’éclairage aux États-Unis. En réponse, les parlementaires russes posent la question : « Pourquoi la Russie fournit-elle de tels matériels stratégiques à l'ennemi ? »

Derrière l'expression « monnaie de réserve » se cachent bien des choses qui ne sont pas directement liées aux réserves : il y a bien sûr les banques centrales, les banques commerciales et les sociétés d'investissement ; mais il existe aussi des agences de notation, des maisons de courtage, des bourses, des agences de conseil, des agences d'assurance, des sociétés de cartes de crédit et bien d'autres choses qui ont permis à Londres et à New York de ne rien produire mais de flotter d'une manière ou d'une autre sur le nuage de « l'économie de services ».

Ce nuage tout entier est maintenant sur le point de se dissoudre et ce qui devient visible bien en dessous, ce sont les rochers acérés de l’économie physique, exploitation minière, raffinage et fabrication, dont la Russie, la Chine et les autres BRICS, présents et futurs, ont tous une très grande maîtrise. Ils ont beaucoup de choses en main alors que l’Occident ne les a pas.

Le contrôle militaire était exercé en maintenant des bases militaires partout dans les territoires tombés sous contrôle impérial. Les moyens militaires pouvaient être utilisés chaque fois que les contrôles politiques et financiers s’avéraient inefficaces, mais la plupart du temps ils ne l’étaient pas, gardés en réserve comme une menace implicite qui rendait les contrôles politiques et financiers plus efficaces.

Périodiquement, un petit pays relativement sans défense était détruit pour des raisons artificielles et sa population massacrée juste pour maintenir tout le monde sous contrôle.

Cela a fonctionné la plupart du temps, mais de moins en moins souvent : cela a fonctionné en Yougoslavie et en Libye mais n'a pas fonctionné en Syrie, en Afghanistan ou au Yémen. Le problème est qu’une armée du premier monde ne peut pas maintenir sa suprématie sur ses adversaires pairs, tels que la Russie et la Chine, en combattant sans succès des armées médiocres, peu équipées et mal entraînées dans des pays lointains.

Le plan est excellent pour remplir les poches des actionnaires du complexe militaro-industriel et pour financer les campagnes électorales des politiciens associés, mais ce ne sont pas des objectifs militaires. Pour trouver une issue à cette impasse conceptuelle, l’establishment américain de la défense a élaboré une position doctrinale qui stipulait sa propre suprématie incontestée et tous les faits qui la contredisaient (comme l’action réussie, bien que très limitée, de la Russie contre l’EI en Syrie ou la défaite d’Israël dans le sud du Liban) pourrait être considérée comme impossible.

En termes simples, les États-Unis, et avec eux l’OTAN, manquaient des apports nécessaires pour s’améliorer. La science et la pratique militaires progressent à travers une série de défaites tactiques et de victoires stratégiques, en commettant des erreurs mineures et en apprenant de celles-ci au cours du processus d’obtention de succès majeurs.

Pourtant, ce que les États-Unis ont réussi à réaliser, conflit après conflit, c’est une série de victoires tactiques suivies de défaites stratégiques.

Condamnés à répéter l’histoire, les États-Unis ont organisé une reprise de la guerre éclair dans ce qui était autrefois l’est de l’Ukraine, transformant une tragédie en farce. Là, le schéma a finalement été brisé : une série de défaites tactiques mène à une défaite stratégique véritablement massive. Mais cela peut attendre, car la Russie ne semble pas pressée d’achever le travail et se contente parfaitement de continuer à accumuler ses victoires tactiques, car cela rendra sa victoire stratégique massive, le moment venu, encore plus massive.

Olivier

Suite ici :https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/01/sion-la-verite-partie-13.html

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SION : LA VERITE (Partie 11)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/01/sion-la-verite-partie-1.html

La résolution 45-130 de 1990 de l’Assemblée générale des Nations unies a accordé aux Palestiniens le droit de résister à l’occupation israélienne « y compris par la force armée ».   Ceci n’autorise pas tout, mais autorise les Palestiniens à se battre. Le problème vient du fait que les Israéliens ne considèrent pas leurs frappes pour éliminer un cadre du Hamas, par exemple, comme acte de guerre, même s’ils utilisent une bombe monstrueuse pour le faire et qu’ils détruisent des familles entières.

C’est tout simplement du deux poids deux mesures. De plus en plus de commentateurs parlent explicitement de vengeance de l’État israélien … sans proportionnalité dans la réponse, sans distinction entre civils et combattants et sans les précautions qui s’imposent face à des innocents.

C’est ce sentiment d’injustice qui alimente la radicalisation islamiste et antisémite. Le recours au droit international est devenu une illusion, car l’Occident n’a aucun intérêt à le faire respecter. Je rappelle, que depuis 1948, l’ONU a émis quelque 400 résolutions concernant ce conflit et qu’Israël ne respecte pas celles qui lui enjoignent de respecter le droit.

Si l’on se met dans leur situation, on constatera qu’il ne reste que la force brutale pour arriver à quelque chose. L’un des principaux facteurs de radicalisation est le sentiment d’injustice. C’est ce que les Occidentaux et les Israéliens n’ont jamais réussi à comprendre et à intégrer dans leurs stratégies de contre-terrorisme.

Ce ne sont pas des valeurs que nous défendons, mais des politiques. En 2014, le gouvernement de François Hollande a encouragé le gouvernement israélien à « prendre toutes les mesures pour protéger sa population ». On peut concevoir de soutenir le gouvernement israélien à protéger sa population, mais de là à soutenir les mesures qu’il prend, c’est la preuve d’une sottise et d’un cynisme rare !

Cela a conduit aux tristes crimes de Mohammed Merah et explique pourquoi, comme vu plus haut, la France a été plus visée par le terrorisme que d’autres pays européens. Tout cela était évitable, si François Hollande et Manuel Valls avaient soutenu Israël avec un peu plus de sensibilité, de compassion et d’intelligence. Trois ingrédients qui semblent manquer à l’ensemble de nos politiciens véreux.

Les Palestiniens sont dans la même situation que les Irakiens après l’invasion occidentale ou les Français en 1940 : ils résistent à une occupation. Mais assez curieusement, alors que nous savons que nos interventions sont illégitimes et illégales, nous nous étonnons que les populations visées résistent ?

Dans les pays francophones, on tend à réagir comme en France : de manière passionnelle. Qu’on le veuille ou non, que l’on accepte ou non nos politiques d’immigrations irresponsables, le fait est qu’une partie de nos populations est de sensibilité musulmane et a de la compassion pour les Palestiniens.

On avait déjà vu le même phénomène à l’égard des Russes, mais le gouvernement Macron n’a à aucun moment dénoncé la violence contre leurs propres citoyens d’origine russe, dans le Donbass. La guerre est déjà une chose terrible. Mais la détermination de nos politiques à nous y entrainer génère des violences secondaires qui sont totalement inutiles et qui seraient parfaitement évitables.

Multiplier les polémiques ne fait pas beaucoup avancer vers un processus de paix ! La violence sur notre sol découle directement de ce manque de volonté d’agir avec intelligence et sensibilité. La bande de Gaza est un territoire tout petit (36x17 km). Lorsque les Israéliens l’on rendue aux Palestiniens (comme le droit international les y obligeait), ils ont systématiquement détruit toutes les infrastructures qui auraient permis une activité économique normale. Aujourd’hui, un rapport d’Amnesty International indique que 95% de l’eau à Gaza est insalubre.

En plus de l’eau non potable, rarement un massacre de civils et d’enfants n’a été aussi intense et massif qu’à Gaza, l’un des endroits les plus densément peuplés au monde. Selon l'Organisation mondiale de la santé, un enfant y est tué toutes les dix minutes. Plus de la moitié de la ville de Gaza a été détruite, y compris les écoles et les mosquées.

Les hôpitaux ne peuvent plus fonctionner. Les boulangeries sont fermées. C’est de la destruction et UN massacre à l'échelle industrielle.

Les gens ne savent plus où aller. Ils ont d'abord été chassés du nord. Mais maintenant c’est le sud qui est attaqué par de lourds bombardements et une offensive terrestre. Selon un haut responsable de l'agence d'aide humanitaire des Nations Unies, les conditions y sont désormais apocalyptiques.

Soins, nourriture, eau, tout manque. Comme les égouts ne fonctionnent plus, des épidémies massives vont se produire. Et pendant ce temps-là, nous tous avons fêté Noel !

En Cisjordanie, en 1976, il y avait environ 3 200 Israéliens. Ils sont aujourd’hui près de 600 000. Aucun pays occidental n’a réagi. Si les Palestiniens pouvaient mener une vie normale, ils ne chercheraient sans doute pas à se battre.  C’est l’approche occidentale du problème qui est pourrie.

Depuis le 7 octobre, en deux semaines seulement, les Israéliens ont tué près de 5 fois plus d’enfants que l’armée russe en 20 mois de guerre Ukraine !  Alors ! quant aux crimes dont on accuse les combattants du Hamas, il y en a certainement. Mais au lieu de se lancer dans des accusations sans fondements et qui justifient le refus de négocier avec les Palestiniens, il faut déterminer avec précision et justice les responsabilités.

Car les témoignages des otages libérés et des rescapés des combats, notamment du kibboutz Be’eri, tendent à montrer que les combattants du Hamas se sont bien comportés avec leurs prisonniers et qu’une grande partie des Israéliens tués l’ont été lors de tirs croisés et souvent par l’armée israélienne elle-même !

Une des valeurs que l’Occident se vante de défendre est le respect du droit. Or, le droit implique que nos médias ne s’arrogent pas celui de déterminer les culpabilités. Celles-ci doivent être déterminées par des enquêtes internationales, impartiales et neutres.

Nous avons déjà vu, dans le cas de l’Ukraine, que nos médias n’ont contribué qu’à aggraver la situation de l’Ukraine et des Ukrainiens, devenus chair à canon pour les intérêts du Deep State américain, à toujours vouloir détruire la Russie. Ils ne cherchent pas à informer, mais à influencer.

Les services israéliens ont souvent été surpris par leur adversaire. Ils n’ont pas su apprécier la situation en 1973, en 1982, et en 2006 ; ils ont ainsi chaque fois été surpris par leur adversaire. Mais cela n’explique pas tout, l’année 2023 a été une année de tensions. Le Qatar a réduit ses contributions aux Palestiniens de la bande de Gaza (y compris le Hamas) conduisant à des troubles sociaux.

En Cisjordanie, les évictions de Palestiniens par les colons se sont multipliées avec la bénédiction du gouvernement Netanyahou et celle de nos gouvernements occidentaux oxydés. Les conditions de détention des prisonniers palestiniens ont été durcies. Et surtout, les violents affrontements sur l’Esplanade des Mosquées avaient déjà déclenché des signaux d’alarme en Israël.

Il est donc difficilement concevable que l’on ait pu ignorer le scénario d’un événement grave. Les Israéliens style BIBI n’ont donc probablement pas été surpris que « cela explose ». Pourquoi ? Tout simplement parce qu’ils le voulaient. C’est l’Ordo Ab chaos à tout prix qui motive le staff Bibi. Et nous, les « Gaulois », si nous ne voulons pas faire le jeu de Sion en étendant le conflit israélien dans notre hexagone, il convient de ne pas sombrer dans leur piège immonde de la confrontation à l’Islam.

Quant à l’aspect communautariste longuement évoqué plus haut, ce ne sont pas les musulmans qui tiennent le pouvoir médiatique en France, ceux qui nous imposent cette immigration forcenée sont facilement identifiables.

Les causes du cosmopolitisme, ceux qui tiennent les banques et qui ouvrent les bras aux migrants ne sont pas les musulmans.

Dans le monde juif actuel se côtoient deux groupes : ceux qui, comme le rabbin Touitou, ne souhaitent qu’une chose, c’est que la France chrétienne soit envahie ; le second groupe, style Éric Zemmour, est plus subtil, il comprend que cet envahissement instigué par leur communauté est en train de leur retomber dessus.

Ceux-là voudraient associer les catholiques, ou ce qu'il en reste, à la lutte contre l’islam qu’ils ont fait venir. Ils désirent désormais s’en protéger, eux.

Du fait du comportement d’Israël envers la Palestine, beaucoup d’entre eux sont devenus non pas des antisémites, mais des anti-juifs qui menacent désormais leur intégrité.

L’intellectuel juif de gauche, mode Attali, monte le musulman contre le catholique blanc, là où l’intellectuel juif de droite, dont l’archétype le plus puissant se retrouve chez Éric Zemmour, monte le blanc contre le musulman.

Zemmour est en quête de conquête, et le fruit de sa requête, ce sont les restants du catholicisme gaulois à opposer aux « vilains » arabes.

Ce que nos dirigeants refusent de comprendre ou font semblant de faire, à contrario des nombreux Français, c’est qu’il existe chez nous des gens qu’on a fait venir pour des motifs économiques, il y a une ou deux générations, et qui ont eu des enfants. N’en déplaise au CRIF, il convient donc d’apprendre à bien vivre avec eux ; en inventant une manière de le faire qui ne soit pas ce multiculturalisme sioniste vecteur de trop nombreux mots sociétaux : ce fameux « vivre ensemble » voulu par une élite judaïque, au même titre que le mouvement woke ou l’exacerbation de toutes les minorités LGBT dont ils n’ont strictement rien à faire, mais qui intensifient bien le clivage.

Ce mal être partout relevé et entretenu par qui vous savez dans leur option Ordo Ab Chaos, ne démontre qu’une seule chose : La démission de l’Etat, de l’Education nationale. Il convient donc de redécouvrir l’assimilation, mais sur une base d’égalité et de respect mutuel entre les individus.

Or, pour les motifs déjà évoqués ici, personne dans la classe politique n’est prêt à entamer ce débat puisque, derrière, le sionisme ordonne de jeter des braises sur des sujets déjà brulants. Tous restent sur le discours de Le Pen des années 80. Et là, quarante plus tard, nos dirigeants se chamaillent pour une énième loi Darmanin, concernant l’immigration. Ce qui ne changera strictement rien sur le fond.

Il faut changer les lois internationales : l’accès Schengen, le contrôle aux frontières, et surtout nos conditions internes ; à commencer par notre système éducatif qui donne tout sauf l’envie d’aimer la France, à une certaine frange de nôtre population et qui rend une autre frange de notre population allergique à souhait, faisant le jeu du sionisme dont le rêve est d’opposer musulmans contre chrétiens.

Mais ça à qui la faute !?

Ce colonialisme anglo-saxon a connu plusieurs itérations, chacune impliquant un type différent de piraterie. Dans sa forme initiale, il s'agissait de rapines pures et simples et de pillage de navires en mer (les galions espagnols en particulier) et de pillage de communautés côtières, souvent par le biais de corsaires : un euphémisme pour désigner des pirates officiellement sanctionnés.

Dans sa forme intermédiaire, cela impliquait l'occupation, principalement des communautés côtières, la nomination d'un gouverneur et le stationnement de troupes, le but pirate global de l'entreprise restant intact : l'extraction de richesses, mais avec l'avantage supplémentaire de maintenir des monopoles de marché pour les industries nationales au niveau impérial.

Divers mouvements de libération nationale au cours du 20e siècle ont mis fin à ce type de piraterie et les industries nationales, pour rester rentables, ont été contraintes de délocaliser leur production, renonçant à la plupart des types d'exportations physiques (sauf armes, matières premières, produits chimiques et déchets) en faveur de services, principalement financiers ; c’est -à-dire l’usure et l’extorsion mode Babylone.

Olivier

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Anne, ma sœur Anne ne vois-tu rien venir ? (Partie 2)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/01/anne-ma-soeur-anne-ne-vois-tu-rien-venir-partie-1.html

En France, l’Etat actionnaire s’est comporté en prédateur avant de multiplier les injonctions contradictoires. Le résultat : EDF est une entreprise en faillite, avec 60Md€ de dettes et des déficits alors qu’elle devrait réaliser des superprofits. L’Europe a indexé le prix de l’électricité sur le prix du gaz russe un comble de bêtise. L’ARENH (Accès Réglementé à l’Electricité Nucléaire Historique) oblige EDF à vendre 25% de sa production (100 TWh) au prix de 42€/MWh.

La centaine de « fournisseurs alternatifs » qui se sont installés dans ce fromage ne sont en fait que des traders qui ne produisent que des factures. Il faut avoir une électricité dont le prix est aligné sur son coût de production. L’ARENH est une véritable pilule empoisonnée. Son mécanisme d’accès à la rente nucléaire de la France à prix cassé bénéficie aux concurrents de l’électricien public.

Quant à l’éolien, comme vous le constaterez plus loin, c’est une fausse énergie propre et une fausse énergie renouvelable. Une éolienne ne fonctionne en moyenne, dans notre pays, qu’à 25 % de sa puissance. Bétonner notre littoral maritime est l’idée technocratique la plus antiécologique qui soit. Pourtant la France a été mise à l’amende pour son retard dans les éoliennes. La « montée en puissance » de l’éolien terrestre supposée écologiquement correcte, s’accompagne de nuisances graves et de scandales multiples : défiguration des paysages, dégâts sanitaires, dépréciation immobilière.

Derrière l’éolien on trouve : pollution, émissions de CO2 atteintes à la santé et à la biodiversité détournements de fonds publics, conflits d’intérêts, mafia…. Au-delà de ce constat consternant, sur le plan industriel c’est la Chine qui possède 45% du marché de l’éolien dans le monde !

Concernant le Photovoltaïque, il est aussi contrôlé par la Chine. Le solaire est le grand gagnant de cette fausse transition énergétique partout sauf en France … La Chine possède 72% de part de marché des modules solaires. Grâce à des coûts de production inférieurs de 35% à ceux de l’Europe et de 20% à ceux des Etats Unis la Chine héberge sept des dix premiers fabricants au monde de panneaux solaires dont les trois plus gros.

Toutes ces technologies qui étaient censées créer les emplois de l’économie décarbonée montre la déconfiture de l’éolien et du solaire et les problèmes financiers d’Alstom et de Siemens Ainsi, croyez-moi, les énergies fossiles ont toujours de l’avenir… Mais, à cause d’une bande de crétins, la France doit absolument diminuer ses importations d’énergies fossiles pour rééquilibrer sa balance commerciale.

Le Charbon alimente toujours de nombreuses centrales surtout allemandes. La baisse des émissions de CO2 en Europe est pourtant plus que compensée par les ouvertures en cascade de centrales à charbon. On assiste à une remontée des émissions de CO2 liée au recours accru au charbon pour répondre à l’arrêt de livraison de gaz russe.

Selon la banque JP Morgan, on peut leur faire confiance ! le raccordement de 100MW d’éolien ou de solaire ne permet de débrancher que 10 à 30MW de thermique… Ainsi, sans les énergies fossiles, nous reviendrons très vite aux temps anciens ; ceux du déclin de Rome. Je m’explique !

Voici un extrait du tome 1 du Centième Gueux, pages 307 à 314.

« RETOUR À L’ESCLAVAGE.

Fin 2017, la police espagnole a blessé des centaines de personnes, y compris des femmes et des personnes âgées, lors du référendum pour l’indépendance de la Catalogne. Chez nous, deux ans au préalable, on avait gazé des femmes et des enfants lors des manifestations contre le « mariage pour tous ». C’est une indication que la violence de l’État est en hausse. En parallèle, les Romains étaient extrêmement cruels, peut-être un effet de leur dépendance aux esclaves ? Dans notre cas, nous avons remplacé les esclaves humains par des esclaves fossiles (combustibles fossiles) mais, comme ils nous abandonnent, nous risquons de revenir à la violence des temps anciens.

L’Europe telle que la conçoivent nos oligarques, et surtout l’Allemagne, n’est qu’une tentative de retour au « Saint Empire Romain » depuis longtemps déjà infesté par le culte babélien ayant transité par l’Egypte, puis la Grèce. Comme l’indique l’Ecclésiaste, l’histoire est un éternel recommencement aggravé par notre aveuglement qui doit beaucoup à l’endoctrinement et notre incapacité notoire à en corriger le cours. Ainsi, lorsqu’on s’intéresse au délabrement de l’ancien Empire romain, on s’y croirait tant la ressemblance avec notre époque est flagrante !

À son apogée, il avait sous sa coupe près de 130 millions de sujets sur un territoire de 2,4 millions de km2. Rome avait alors conquis une grande partie du monde connu en y construisant plus de 80 000 km de routes, de nombreux aqueducs, des amphithéâtres et tant d’autres édifices encore en usage aujourd’hui. Nous leur devons beaucoup quant à notre alphabet, notre calendrier, nos langues et l’architecture. Même leurs concepts de justice imprègnent encore nos esprits : « tout être est présumé innocent jusqu’à la preuve du contraire. »

On se demande alors comment un empire aussi puissant a pu s’effondrer ? Le commerce était vital pour eux. C’était lui qui permettait d’importer dans l’empire une grande variété de produits : céréales, huile d’olive, parfums, verrerie, fer, plomb, cuir, marbre, colorants pourpres, soie, argent, épices, bois, étain, vin, etc. C’est ce commerce qui fit la fortune des citoyens de Rome qui ne comptait qu’un million d’habitants.

Les coûts administratifs, logistiques et militaires grimpèrent ainsi à mesure que l’empire s’étendait. Il fallut trouver de nouvelles sources de financement conduisant l’Empire à l’hyperinflation, à une économie fracturée, à la localisation du commerce, à de lourdes taxes et à une crise financière qui paralysa Rome. Durant les premières décennies de l’empire le denier fut la pièce d’argent de base utilisée. D’une grande pureté, elle contenait environ 4,5 grammes d’argent. Cette pièce équivalait à une journée de salaire pour un ouvrier ou un artisan qualifié.

Cependant, avec une réserve limitée d’argent et d’or entrant dans l’empire, les dépenses romaines furent vite limitées par le nombre de deniers qui pouvaient être frappés freinant le financement des projets. Les fonctionnaires romains trouvèrent alors le moyen de contourner le problème.

En diminuant la pureté de leur monnaie, ils furent en mesure de fabriquer plus de pièces avec la même valeur nominale et la proportion d’argent pur dans les pièces chuta vite. À l’époque de Marc Aurèle (121-180), le denier ne comportait plus qu’environ 75% d’argent. Au moment de l’Empereur Gallien (218-268), les pièces contenaient à peine 5% d’argent, un noyau de bronze avec une fine couche d’argent.

Les effets réels de cette dégradation prirent du temps à se matérialiser. La mise en circulation de plus de pièces de mauvaise qualité ne permit pas d’accroître la prospérité, cela appauvrit juste les populations, car il fallait plus de pièces pour se procurer la même quantité de biens et de services.

Ainsi à un moment les prix montèrent en flèche dans l’Empire. Seuls les mercenaires barbares étaient payés en or. Avec la flambée des coûts, et plus aucun métal précieux à piller aux ennemis, les Romains durent prélever de plus en plus d’impôts aux peuples pour soutenir l’Empire.

L’hyperinflation, la montée vertigineuse des taxes et une monnaie sans valeur créa une triple infection qui lamina une grande partie du commerce de Rome. L’économie était paralysée. À la fin du 3e siècle, le seul commerce qui restait opérant était un commerce principalement local, reposant sur un système de troc stérile, plutôt que sur un système de change digne de ce nom.

Pendant le 3e siècle (235-284 après JC), plus de 50 empereurs se succédèrent. L’Empire était livré à l’anarchie et divisé en trois États séparés. Des guerres civiles constantes fragilisaient ses frontières. Les réseaux commerciaux se désintégrèrent et les activités commerciales devinrent dangereuses. Les invasions barbares déferlaient de partout, et la peste sévissait. C’est ainsi qu’en 476 après J.-C., l’Empire romain cessa d’exister.

Les Romains nous ressemblaient énormément. L’économie, l’argent, le commerce, les voyages, la bureaucratie, les lois, etc., trouvent un parallèle dans le monde antique romain, bien que souvent sous une forme beaucoup moins sophistiquée. Donc, la Rome ancienne vous surprendrait, mais uniquement par la violence que vous y rencontreriez, une violence codifiée, sanctionnée et promulguée par l’État.

Quand on pense à la violence de l’époque, on pense généralement aux jeux du cirque. Ceux-ci étaient sûrement sanglants et violents, mais ce n’est qu’une partie de l’histoire sur la façon dont l’État romain gérait cette violence « utile ». Leurs tribunaux infligeaient la peine capitale avec une facilité qui, pour nous, reste déconcertante. Les pauvres, les esclaves et les citoyens non romains étaient particulièrement susceptibles d’être condamnés à mort. Elle pouvait même, dans certains cas, être théâtralisée.

Autre exemple, la loi romaine disait que lorsqu’un esclave tuait un maître, tous les esclaves de cette famille devaient être exécutés, même ceux qui n’étaient pas impliqués dans le meurtre. C’était justifié parce que cela devait être considéré comme un exemple. Comment cette civilisation supposée avancée pouvait-elle se comporter de la sorte ? Un seul mot : l’esclavage. Toutes nos sociétés d’humains déchus sont basées sur une sorte de contrôle social : un système pyramidal.

Si nous étions des fourmis, la coopération serait codée dans nos gènes. Mais, chez les humains, l’intérêt personnel peut aller, et va très souvent, à l’encontre du bien commun. Pour éviter cela, il faut un contrôle négatif ou positif : la carotte ou le bâton. Le contrôle positif peut être la réussite, le sexe, le logement et d’autres formes de gratifications. Le négatif peut être la punition physique : les coups, la torture, etc. Dans notre société, nous avons tendance à croire que le contrôle positif est meilleur que le négatif, plus « moral ».

Notre société est la plus monétarisée de l’histoire dans le sens où nous avons tendance à croire, à juste titre et malheureusement à de rares exceptions près, que l’argent peut pousser les gens à faire plus ou moins n’importe quoi. Par exemple, nous concevons comme normal que bon nombre de professions fassent leur travail non pas parce qu’ils seraient fouettés s’ils ne le faisaient pas mais parce qu’ils courent après le fric la principale forme d’attraction positive dans notre monde. Dans de nombreux cas, Rome a aussi utilisé l’argent comme nous le faisons.

Les soldats romains se battaient parce qu’ils étaient très bien payés : le mot « soldat » vient même d’une pièce de monnaie romaine. Mais ils avaient un gros problème avec leurs esclaves, l’épine dorsale de leur société. Comment pouvaient-ils être motivés à travailler ? En les payant ? Pas vraiment ! La majorité des esclaves était engagée dans des tâches subalternes, parfois ils étaient une main-d’œuvre consommable pour les mines et d’autres tâches dangereuses. Leur donner de l’argent n’aurait eu aucun sens : comment auraient-ils pu le dépenser ?

Olivier

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SION : LA VERITE (Partie 10)

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J’en parle déjà dans mes livres, mais récemment à Paris, s’est déroulé une réunion censée rapprocher les conservateurs américains et européens.

Durant ce rassemblement, des mises en garde ont été faites contre le wokisme et ses dérives, néanmoins, tout le reste qui concernait ce « choc des civilisations » si profitable aux sionistes s’est avéré être un discours sirupeux reflétant tout sauf la réalité.

Ce choc étant fabriqué de toute pièce par ces mêmes Américains qui arment des groupes terroristes et détruisent des pays entiers, en entretenant Daech qui sont des cadres de Al-Qaïda, ex soldats de Saddam Hussein détenus dans la prison américaine de Bassorah, et qui, après s’être fait laver le cerveau sortent de là pour constituer Daech, on est en droit de se poser les bonnes questions.

Tous ces groupes sont des hérétiques par rapport à l’islam, mais comme le citoyen moyen s’en bat les roubignoles, l’amalgame profitable aux sionistes est vite réalisé. Pendant ce temps-là, nos dirigeants nous montrent le théâtre d’ensemble en nous déclarant « voilà le choc des civilisations ».

Avec un Zemmour qui, chez nous, soi-disant au nom d’Arnold Toynbee, reprend le flambeau en nous disant voir ce choc et que nous devons tous, main dans la main (juifs et Français), lutter contre cet islamisme radical. Et, c’est là tout comme à l’accoutumée que Zemmour effectue sa p’tite tambouille historique.

Arnold Joseph Toynbee (1889-1975), est un historien britannique. Dans son analyse monumentale en douze volumes, il nous explique l'essor et la chute des civilisations.

Toynbee se base ici sur les rythmes universels de la croissance de l'épanouissement et du déclin, pour nous parler du choc des civilisations. Mais son choc à lui est néocolonial et occidental dans le sens où partout où elles sont passées, les puissances coloniales n’ont apportées que le matérialisme à outrance. De ce fait ce matérialisme visant toutes les traditions pouvait alors être vu comme un choc des civilisations. En fait, Toynbee parlait des Anglo-américains qui, déjà là, visaient à englober le monde de leur hégémonie.

Mais, bien avant zemmour, c’est l’historien juif sioniste Bernard Lewis (1916-2018) qui, avec son tenant du « choc des civilisations », avait su orienter ce choc tendance Grand Israël. Lewis se contente de laïciser une tendance rabbinique. En effet, dans l’eschatologie rabbinique, existe cette idée qu’à un moment donné, Israël, tel qu’ils l’entendent, ne sera pleinement restauré que lorsqu’Edom et Ismaël entreront en conflit. Traduction : lorsque la chrétienté et les musulmans s’entretueront.

N'oublions pas non plus que de théoricien de ce choc, Lewis, a poussé les Américains à passer à l’acte en conseillant Busch à entrer en guerre contre l’Irak. Quant à Samuel Huntington (1927-2008), professeur américain de science politique, influencé par Zbigniew Brezinski, son livre intitulé Le Choc des civilisations paru en 1996, sera provoqué par des confrontations locales ethniques entrainant les grandes puissances, alliés des uns ou des autres, vers des confrontations plus grandes.

Dans cette réunion du 10 novembre dernier, Zemmour, tout en reprenant les théories de Lewis, prônait l’union des droites là où Florian Philippot était venu parler du covid-19 et de la liberté d’expression alliée à la censure durant la période couillonavirus. Quel était donc le rapport ? Le combat contre le wokisme ? Je ne crois pas non plus !

Un point émerge néanmoins. Alors que Philippot a été en pointe contre les injections de masse et l’obligation vaccinale, il avait, durant la dernière campagne présidentielle, invité Zemmour qui est pourtant partisan de la vaccination à outrance et du pass sanitaire. À aucun moment de l’interview, Philippot ne l’avait apostrophé contre ces faits. Alors ?

De même, André Bercoff, soi-disant contre cette politique covid-19, était aussi présent à cette réunion. À aucun moment, sur Sud Radio, lorsqu’il a invité son ami Zemmour, il ne l’avait apostrophé sur sa position covid. Nous sommes bel et bien là face à une opposition contrôlée où chacun occupe sa part de marché : libertés, tyrannie sanitaire, de quoi agir en bons neutralisateurs de toutes les contestations.

Rappelez-vous bien que, durant la période covid, Philippot était le seul dont les manifestations n’ont jamais été interdites devant le ministère de la Santé, de plus sans masque ! Nous sommes bien ici dans tout ce que je dénonce depuis le début : un pure alignement pro-israélien autant que néoconservateur américain.

Avec la guerre ethnique se déroulant actuellement à Gaza, en une GRANDE REVELATION, tous les masques sont en train de tomber. En tant que pro-israélien, Zemmour ne peut pas faire autrement que d’être en même temps du même avis que les néo-conservateurs américains.

Toutes les droites européennes sont en train de se rattacher à Israël et Mme Le Pen n’y fait pas exception. C’est le lobbies pro-israélien qui, une fois de plus, phagocyte tout ça, grâce aux milliardaires de même tendance, dont deux oligarques juifs ukrainiens, à l’origine de la création d’un Parlement juif européen qui s'est constitué à Bruxelles, le 16 février 2012. Cela illustre bien la montée en force des oligarques juifs des anciennes républiques soviétiques au sein du leadership juif européen.

Tout ce beau monde travaille au corps les droites et extrêmes droites européennes. Aux prochaines élections européennes, nous n’aurons alors qu’à savoir d’où provient l’argent et les belles promesses pour savoir si nos Zemmour, Philippot et les autres, tel Philippe de Villiers, sont bel et bien des Souverainistes dignes de ce nom. Être soi-disant Gaulliste et pro américain n’est qu’une imposture.

Surtout lorsqu’un 1er novembre 2023, on retrouve, Éric Zemmour, leader du mouvement politique Reconquête, au mur des Lamentations à Jérusalem, en Israël, le jour de la Toussaint. Sa démarche, perçu comme un fervent soutien d’Israël, s’inscrit, ne l’oublions surtout pas, dans un contexte où la guerre entre le Hamas et Israël fait rage. Qu’en dira donc Philippe de Villiers, fervent catholique et soutien de Zemmour aux dernières élections ? Voyez-vous comme tout s’imbrique !

Oui, tout s’imbrique en effet lorsque l’on voit par qui le missionnaire de la résistance à « l'Europe de Maastricht », Philippe de Villiers, était financé en 1994. On constate alors que, depuis plus de 30 ans déjà, comme je le dénonce dans mes livres, ce mouvement conservateur et libéral européen, autant que français, qu’il soit chrétien ou pas, se trouve financé par des fonds internationaux donnés par des individus, style le juif Jimmy Goldsmith, ayant de fortes tendances néoconservatrices.

James Michael Goldsmith (1933-1997), né en France d'un père britannique juif d'origine allemande, et d'une mère française, catholique d'origine bourguignonne, était homme d'affaires, homme politique et milliardaire franco-britannique, plus connu sous le nom de Jimmy Goldsmith.

Lors des élections européennes de 1994, il mène la liste MPF « l’Autre Europe » en France, sur une ligne souverainiste, avec Philippe de Villiers et le juge Thierry Jean-Pierre. Arrivé 3e, leur groupe obtient 13 députés au Parlement européen. Cet homme d'affaires, patron de presse capricieux, était un militant écologiste de la première heure.

Sa vision du monde était faite d'un écologisme sourcilleux, auquel son frère, Edward, n’était pas étranger. Edward Goldsmith était un activiste écologiste, auteur de moult ouvrages et associations promouvant une conception malthusienne et radicale de l'écologie, parfois revendiquée par certains secteurs de l'extrême droite.

On parle ici, entre Villiers et Goldsmith, de cette fameuse alliance dite judéo-chrétienne, complétement antinomique. Des individus qui apportent leur soutien à un Etat d’Israël qui détruit des églises et menace des communautés chrétiennes, notamment la communauté arménienne de Jérusalem, qui les violente tout en les empêchant d’accéder au Saint sépulcre.

On parle beaucoup de groupes terroristes qui tuent les chrétiens, c’est vrai. Mais on oublie de dire par qui ils sont financés. Vous, désormais, vous savez. Par contre on oublie de dire qu’Israël tue des chrétiens également.

Et pour avancer plus loin sur ce vaste sujet, sachez-le, c’est peut-être l'une des premières fois qu'un personnage public s'exprime librement sur un plateau télé, concernant toutes les vérités ici dévoilées. Alain Dieckhoff, sociologue, directeur du centre de recherche international de Sciences Po (CERI), directeur de recherche au CNRS, m’a, je dois dire, étonné.

Il revient sur le projet du parti sioniste religieux au pouvoir en Israël avec à sa tête Benyamin Netanyahu. À l’émission C ce Soir sur France Télévision, l’auteur de « Israël-Palestine : une guerre sans fin ? », a révélé l’évolution des dirigeants sionistes israéliens vers une politisation du messianisme, avec le projet du troisième temple et la possible épuration ethnique. « Ils croient dur comme fer que ce qu’ils font n’est pas uniquement politique mais que ça a une dimension religieuse. »

Tout comme je viens de le faire, il évoque clairement le projet d’épuration ethnique sous couvert de l’application stricto-sensu des Prophéties d’Esaïe. Voici ce qu’il déclare : « Ils pensent que ça va accélérer la fin des temps et donc la venue du Messie. Ultimement, cela se manifeste dans leur projet de construire le troisième temple, un projet qu’ils ne cachent pas. Ça voudrait dire qu’à terme, la mosquée Al-Aqsa et le dôme du Rocher seraient détruites et qu’on reconstruirait le troisième temple. Il faut bien comprendre que c’est ce type de personnes qui ont un rôle clé dans le gouvernement actuel. »

Vous voyez-là l’expression de ce que je tente d’expliquer à mes lecteurs depuis plus de quatorze ans. C'est-à-dire ce concept du Grand Israël, du Nouvel Ordre Mondial avec Jérusalem comme capitale, comme exprimé plus haut. C’est la volonté d’un Jacque Attali, du judéo-nazisme (selon Leibowitz), et de l’intention d’Israël de provoquer la destruction des nations par une grande guerre nucléaire.

Pour rappel, le 18 novembre 1990, Benjamin Netanyahou, alors vice-ministre des Affaires étrangères, se faisait remonter les bretelles par le rabbi Mendel Schneerson. Celui-ci lui enjoignait d’hâter la venue du Messie, ce à quoi répondra Bibi : « nous faisons, nous faisons ».

Conclusion : Le 7 octobre 2023, l’objectif du Hamas n’était pas de tuer des civils israéliens, comme nos médias s’acharnent à le propager, mais à attaquer la Division de Gaza, responsable de la surveillance et des actions meurtrières. Il s’agissait également de capturer des militaires afin de les échanger contre plus de 5 000 prisonniers détenus par Israël, dont 120 enfants et 1100 détenus sans charge retenues contre eux. Ils ne cherchaient certainement pas à gagner du territoire.

Il est probable qu’ils cherchaient également à faire une action d’éclat, afin d’attirer l’attention de la communauté internationale sur la situation de la population à Gaza qui est tenue en otage depuis 17 ans. Ils désiraient aussi, je pense, obtenir l’appui de la communauté musulmane, en regard de ce que les autorités israéliennes préparent pour le mont du Temple.

Nous, les Occidentaux, condamnons toutes les violations du droit international concernant les actions du Hamas du 7 octobre 2023, mais nous les oublions, voire les encourageons, pour les 76 ans de non-respect par Israël. La communauté internationale n’a jamais pris la moindre mesure pour obliger le gouvernement israélien à le respecter.

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/01/sion-la-verite-partie-11.html

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UN CLIN D’ŒIL ?

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Le tremblement de terre de New Madrid a été le plus grand tremblement de terre de l’histoire américaine. Il s’est produit dans la vallée centrale du Mississippi.

À l’époque, il avait été ressenti aussi loin que New York, Boston, Montréal et Washington DC. Le président américain de l’époque, James Madison (1751-1836), 4e  président des Etats-Unis et son épouse Dolly, l’avait ressenti à la Maison Blanche.

Les cloches des églises avaient sonné à Boston. Du 16 décembre 1811 à mars 1812, il y avait eu plus de 2 000 répliques dans le centre du Midwest et plus de 7 000 dans le Bootheel du Missouri, où New Madrid est situé près de la jonction des rivières Ohio et Mississippi.

Certains vont se demander pourquoi j’évoque ici ces faits. Je vous parle souvent du soleil et de ses effets sur notre planète et surtout du FAIT qu’il soit l’acteur ESSENTIEL des changements climatiques qu’il provoque. Ce dont je vais vous parler ici, fait partie de ses nombreux effets.

Une éclipse solaire était survenue le 17 septembre 1811, au-dessus de la zone de faille de New Madrid. Trois mois après l’éclipse, une série de tremblements de terre absolument énormes commença à se produire sur la faille de New Madrid …La ligne de faille de New Madrid, est une zone sismique majeure à la limite du Sud et du Midwest des États-Unis, s'étendant au sud-ouest de New Madrid dans le Missouri.

Des experts estiment que ces tremblements de terre furent intensément ressentis sur 130 000 km2 et modérément sur 2,6 millions de km². Par comparaison le tremblement de terre historique de 1906 à San Francisco a été ressenti modérément sur seulement 16 000 km2.

Dans l’histoire connue du monde, aucun autre tremblement de terre n’a duré aussi longtemps et n’a produit autant de dégâts que celui de New Madrid. Trois de ces tremblements de terre figurent sur la liste des principaux tremblements de terre d’Amérique : le premier, le 16 décembre 1811, d’une magnitude de 8,1 ; le second le 23 janvier 1812, à 7h8 ; et le troisième le 7 février 1812, avec une magnitude 8,8.

La prochaine éclipse solaire totale visible depuis les États-Unis n’aura pas lieu avant 2044, et la trajectoire de cette éclipse solaire totale ne touchera que trois États.

Mais avant 2044, 2024 nous a déjà donnée un tremblement de terre historique au Japon. L'année nous réserve en outre   la Grande Éclipse américaine Du 8 avril 2024.

Elle traversera les États-Unis le tout premier jour de l’année du calendrier hébreu. Le chemin de l’éclipse totale de soleil traversera des parties des États du Texas, de l’Oklahoma, de l’Arkansas, du Missouri, de l’Illinois, du Kentucky, du Tennessee, du Michigan, de l’Indiana, de l’Ohio, de la Pennsylvanie, de New York, du Vermont, du New Hampshire et du Maine. Elle traversera également certaines parties du Mexique et du Canada.

2024 va véritablement nous secouer, tant spirituellement qu’intellectuellement et physiquement.

Quant à celles et ceux qui désirent en savoir plus, il y a toujours mes livres et cet article : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/12/une-etoile-noire-le-signe-d-un-monde-qui-s-assombrie.html

Olivier

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Anne, ma sœur Anne ne vois-tu rien venir ? (Partie 1)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Laissez-moi vous conter une histoire, pour la dernière fois. Charles Perrault (1628 -1703), est un homme de lettres français, célèbre pour ses Contes de ma mère l’Oye, sur lesquels il y aurait beaucoup à dire, ainsi que sur le janséniste qu’il fut. Dans mon conte, La Barbe bleue, sera tonton Klaus Schwab et la jeune épouse que Barbe bleue cherche à occire ; la gueusaille qu’à leurs yeux nous représentons tous.

La dette américaine a atteint la somme astronomique de 34 trilliards de dollars, l’élite le sait, elle en est même responsable. Je l’explique dans mon dernier ouvrage consacré à Davos et ses méfaits, l’Occident tout oxydé est au bord du gouffre. C'est juste qu'on ne dit pas la vérité (au public) et que beaucoup trop d’autruches veulent ignorer la réalité. Les ultra riches savent pertinemment que le bateau coule, ce sont eux qui ont créés l’iceberg et embauchés les capitaines ivres qui nous mènent dessus.

Eux, ils se sont créés une bouée verte. D’où le fameux plan de Davos qui consiste à tous nous imposer une taxe carbone personnelle reliée à l'identité numérique, sous prétexte de lutter contre la prétendue « crise climatique ».

Tout sera alors basé sur des « crédits carbones ». Et si tout le monde en reçoit, Davos a tout prévu pour les riches. Si, par exemple, ils veulent partir en vacances plus souvent, ils pourront acheter les crédits carbone personnels des pauvres qui, de toute façon, ne pourront pas se permettre d'acheter des billets d'avion ou de manger de la viande trop souvent.

Et c’est là que la machine infernale se met en marche. Pour ces fous, la chaîne alimentaire représente plus d'un quart des émissions mondiales de GES. Alors que les naissances diminuent partout dans le monde, ils ont calculé qu’au cours des deux prochaines décennies, la demande alimentaire mondiale devrait doubler. Cela signifie que l'agriculture devra être plus productive tout en réduisant son impact environnemental (…)

Ainsi, la bande à tonton Schwab imagine un secteur agricole qui émet beaucoup moins de gaz à effet de serre et qui obtient de meilleurs rendements agricoles, tout en générant des revenus supplémentaires grâce aux crédits issus de l'agriculture carbone.

Cette agriculture-là, à base d’insectes, d’OGM et de viande artificielle, sera subventionnés pendant que l’agriculture normale sera sacrifiée.

Pour cette politique, le gouvernement hollandais a décidé de faire la guerre aux agriculteurs en les forçant à vendre leurs terres, ce qui avait provoqué des grèves violentes en 2023... Non seulement Davos et Bill Gates veulent qu'on mange des insectes, mais en plus ils comptent remettre en place la taxe carbone à l'échelle de toute la population, une gigantesque escroquerie sur le dos des entreprises françaises et des populations

C’est pourquoi, devant toutes ces impostures monumentales, je me lève et essaie d’avertir mon prochain. Je le fais une dernière fois à travers cette série d’articles. Après j’arrête car je commence à en avoir marre de l’inertie observée et du manque de cohésion chez mes lecteurs. Qu’on me croie ou non, peu importe, vous ne tarderez pas à observer et vivre dans la chair tour ce que je dénonce ici.

Je suis un « complotiste » depuis longtemps, un fils spirituel de personnes courageuses telle Claire Séverac. Je me bats au milieu des fous et contre des bataillons de fous dangereux dont ceux qui se disent écologistes en constituent les plus cruels et dangereux. Ils font de la politique écologique une machine infernale qui nous plonge dans un malthusianisme ruineux.

Une des façons d’en mesurer le résultat est de regarder l’évolution du PIB qui est la création de richesse de l’économie européenne. Si on continue à les laisser faire à ce rythme-là, notre PIB va se résumer à peau de chagrin et cette "transition écologique" sera insupportable sur le plan économique. Les conséquences sur la dette, l’emploi, l’inflation seront catastrophiques.

Oui. J’appartiens à cette race si souvent montrée du doigt parce qu’elle gratte en permanence le vernis de la bonne conscience, pour mettre à nue cette Vérité qui rend libre. Libre de tous ces salauds de corrompus qui nous mentent à longueur de journée. J’en suis à moult articles concernant ces sujets cruciaux, fatigué de vous expliquer ce paradigme fou : l’illusion d’une transition écologique "merveilleuse" qui créerait des emplois et des richesses pour tous.

Au milieu de ce marasme occidental, il y a la France et un peuple qui n’est pas prêt à sacrifier un peu de son bien-être d’aujourd’hui pour améliorer le sort des générations futures surtout si elles ne sont pas françaises… Et c’est bien compréhensible d’autant plus que les alternatives existent mais restent cachées pour satisfaire encore et toujours les intérêts de l’élite.

Au milieu de cette guerre d’idées frelatées, l’obscurantisme écolo-bobo, incarne le « bien » avec son écologie vertueuse autant qu’environnementale. Ce camps est continuellement accompagné de sa farandole endiablée de termes qui le sont tout autant : naturel, durable, éolienne, biologique, photovoltaïque, recyclable, économe, local, associatif, décentralisé ; j’en passe et des meilleurs.

Dans l’autre camps, il y a nous, les salauds de pauvres pollueurs qui osent encore respirer et produire ce monstrueux CO2 qui impacte nos vie et la sérénité de Gaïa. Parmi ces intégristes, il y a encore une classe à part : les intégristes climato-sceptiques, dont j’ai l’honneur de faire partie. Je suis une espèce de jésuite du climat qui, au milieu des mensonges énormes du GIEC, défend l’idée qu’au nom du réchauffement climatique, les partisans de l’étatisme et du dirigisme justifient une fiscalité toujours plus importante, des réglementations toujours plus contraignantes et l’emprise croissante de la sphère publique.

Leur sacrosaint principe de précaution ne sert qu’à embrigader l’humanité et engager des dépenses souvent inutiles au milieu desquelles les gourous davosiens profitent d’une crise climatique créée de toute pièce pour renverser le système économique actuel… nous robotiser et nous affamer.

Un jour, nos descendants s’amuseront peut-être de cette folie qui avait envahie le monde de sa nouvelle idéologie mortifère. Ils comprendront peut-être difficilement cette faillite scientifique qui nous avait plaqué au mur des exécutions sommaires : ou quand le dogme politique prend le pas sur les résultats expérimentaux.

Ils comprendront d’autant moins encore la faillite morale qui nous avait attrapé lorsque l’Europe s’imposa seule le coût faramineux des énergies renouvelables, au nom d’un « consensus scientifique » dont les politiques et les médias contrôlaient totalement le récit.

En effet, ils sont passés où les scientifiques raisonnables face à cette panique climatique propagée ? Nos modèles utilisés pour prédire l’avenir en matière de climat sont profondément défectueux. Ils ne sont même pas en mesure de décrire avec précision le climat du passé !

Tout cela n’est qu’une stratégie qui consiste à faire exploser les prix de l’alimentation et de l’énergie, à créer une pénurie de logements et à réduire de manière autoritaire la mobilité. Parallèlement on assiste à un développement d’une bureaucratie qui contrôle la vie des entreprises et des citoyens…

Il y a un an, à Davos, en Suisse, pour le Forum économique mondial, un sbire de l’administration John Kerry a déclaré que : Enormément d’argent était nécessaire pour les programmes climatiques.  Environ 150.000 milliards de dollars, rendez-vous compte ! C’est 150% du PIB mondial. Le fait que ce montant FARAMINEUX soit dépensé au cours des 26 prochaines années ne signifie pas qu’il ne s’agit pas d’un montant destructeur pour l’économie.

La réunion annuelle du Forum économique mondial de Davos a lieu maintenant, du 15 au 19 janvier 2024. L’ampleur du « besoin » importe peu aux partisans de Davos, qui se réunissaient cette année pour la 54e fois. Comme d’habitude, ces flagorneurs ont passé leur temps à se persuader de combien le monde a besoin d’eux et de leurs compétences particulières pour résoudre la crise climatique qu’ils ont fabriquée, et de la quantité d’argent des autres dont ils ont besoin pour faire le travail.

Si leur rêve de psychopathe abouti, ce qui représente quand même environ 5 000 milliards de dollars par an des contribuables, que pouvons-nous en attendre ?

Eteindre les lumières, laisser les voitures au garage et reboucher les pipelines de gaz et de pétrole, le tout en mangeant des insectes et de la viande artificielle, tout ça ne servira à rien : c’est du pipi de chat qui n’influencera nullement la météo. Tout juste retournerez-vous au Moyen Âge car, si vous pensez que les humains influent sur le climat dangereusement, vous vous mettez le doigt dans l’œil et jusqu’à l’épaule.

Pendant ce temps-là, les pays en développement, moins cons que l’Occident tout oxydé de ses vieux cons de Davos et menés par la Chine et l’Inde, conduisent actuellement leur PIB vers des sommets d’où nous ne verrons plus jamais les paysages lointains, puisque privés de voyage en avion.

Tout ceci n’est qu’écologie punitive…assénée par de petits kapos vert d’une idéologie vert de gris. L’écologie politique déconstruit notre histoire et nos paysages tout en mettant en exergue la démission presque irrémédiable de toute une société. Ainsi face à cette démission par lâcheté, nous devenons la cible des verts les plus fous : c’est-à-dire des écologistes les plus influents tels : Sandrine Rousseau, Marc Jancovici, Greta Thunberg, etc.

Pendant qu’en un mélange de cynisme et de bêtise, l’un prône le rationnement des billets d’avion, la mesure phare de Rousseau, consisterait à interdire immédiatement de louer des "passoires thermiques", créant ainsi une pénurie MONSTRUEUSE de logements.

Quant à « sainte » Greta, elle pense que l’heure de l’apocalypse écologique a sonné. La prosternation devant ces papes du climat est donc notre seule voix de salut. On est bien dans une écologie carcérale plus pressée d’asservir et de ruiner que de lutter contre un changement climatique qui, de toute manière, ne dépend aucunement de nous.

Du bio à la voiture électrique en passant par le nucléaire ou les OGM, ce totalitarisme vert démonte méthodiquement le corpus de poncifs écologistes les plus clivants et les plus extrêmes. Il est devenu le témoin d’une époque où penser librement en marge d’une religion nourrie de fantasmes et de peurs est devenu un acte de courage et les voix scientifiques discordantes des ennemis à abattre.

Là-dedans, l’UE n’est qu’un repère de loups aux ordres des lobbies et désireuse de démanteler ce qui reste des Etats souverains. Un simple exemple : le moteur économique européen, où le piston allemand, comme vous voudrez, n’a qu’une idée en tête ; démantibuler la culasse et le vilebrequin. L’Allemagne s’est évertuée à massacrer notre fleuron national : notre patrimoine nucléaire. Le nucléaire français a été démantelé. L'Allemagne mène une offensive terrible pour détruire EDF https://youtu.be/e4GWqyTTuCo

Olivier

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SION : LA VERITE (Partie 9)

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Début juin, De Gaulle semble considérer que la guerre est inéluctable. Le gouvernement israélien après avoir reçu un « feu orange clignotant » de Washington décide d’attaquer le 5 juin 1967. Dans un entretien De Gaulle-Kossyguine du 16 juin 1967, De Gaulle déclare : « Vous me dites qu’il faut punir l’agresseur et qu’Israël est l’agresseur. (…) Je ne pense néanmoins pas qu’il faille laisser Israël exagérer et garder toutes ses conquêtes. Il serait à la rigueur possible, après un temps fort long et des négociations très difficiles, d’aboutir à un arrangement raisonnable au Proche-Orient, si tant est qu’une telle chose n’y soit jamais possible. (…) »

Le Russe Kossyguine insiste alors sur le fait que le retour aux lignes du 4 juin est le point essentiel de tout règlement. À la fin juin, la perspective devient plus claire. Le rôle de la France est d’éviter que le conflit devienne un affrontement entre l’Union soviétique et les États-Unis.

De Gaulle disait bien qu’Israël posait un sérieux problème, dans le sens où il n’avait jamais abandonné ses idéaux religieux plus haut décrits, avec sa politique coloniale et expansionniste. Il disait bel et bien que la résistance palestinienne allait s’accentuer. Résistance que les Israéliens qualifiaient déjà en retour de terroriste, alors que le Hamas n’existait même pas encore. Les Frères musulmans n’étaient même pas encore implantés en Palestine, à l’époque. ALORS !

Seulement, depuis, la GROSSE différence c’est le lien entre Israël et les Frères Musulmans du Hamas.

Conclusion : la situation actuelle correspond pratiquement à ce que déclarait alors De Gaulle. De Gaulle était un lettré, et les intellectuels français n’ont pas découvert Israël en 1948. Sans remonter trop loin, voici quelques éléments éparts des relations entre les intellectuels français et Israël, avant 1948. Les intellectuels français se sont peu intéressés au projet sioniste. Ils ont peu parlé de la Palestine, écrit sur la Palestine, entre 1917, date de la déclaration Balfour et juin 1940. Et lorsqu’ils en ont parlé, cela a été sous le coup de solides préjugés tous justifiés.

Théodore Reinach (1860-1928), était un juriste, historien et homme politique français. Éminente autorité en la matière, il sera auteur d’une Histoire des israélites (1884). En 1925, il va s’élever contre la restauration d’un État juif en Palestine dans la revue de l’Alliance israélite universelle : « L’entreprise sioniste est funeste si elle échoue et plus funeste encore si, par impossible, elle réussit. »

Jacques Bainville (1879-1936), était un journaliste, historien et académicien français. Il est une figure majeure de l'Action française, mouvement politique nationaliste et royaliste d'extrême droite. Dans L'Action française, il rappelait régulièrement les dangers du sionisme comme entreprise britannique : c'est-à-dire ce fameux judéo-protestantisme.

De Gaulle ne pouvait pas ignorer la position prise par Jacques Bainville en 1920. À cette époque, l’histoire du sionisme est encore très récente. Son fondateur Theodor Herzl avait publié en 1886 le livre L’État des Juifs, qui donnait une définition claire du sionisme. En 1920, il est question du démantèlement de l’Empire Ottoman suite à sa défaite lors de la Première Guerre mondiale.

La Société des Nations propose de mettre la Palestine sous mandat britannique. L’Angleterre, favorable aux juifs, jette ainsi les bases de l’Etat israélien. L’article de Bainville est un témoignage majeur pour retracer l’évolution du sionisme des origines jusqu’à nos jours : « L’Osservatore romano et la Semaine religieuse de Paris ont récemment publié un ensemble de documents sur la situation de la Palestine. Le sionisme soutenu par le cabinet de Londres y apparaît comme une aventure alarmante à tous les points de vue. Déjà les incidents ont été nombreux.

L’hostilité des sionistes à l’égard des chrétiens.

Ils sont d’abord, bien entendu, de nature religieuse. Le sionisme, aux Lieux-Saints, n’a pas l’impartialité des Turcs. Il traite en intrus les représentants des communions chrétiennes. Le haut-commissaire britannique, sir Herbert Samuel, se comporte comme un chef plus religieux que politique. Le « prince d’Israël », ainsi l’ont surnommé ses coreligionnaires, va prier, le jour du sabbat, à la grande synagogue, acclamé par la population juive de Jérusalem. Par contre, le Saint-Sépulcre est un lieu qui lui fait horreur. Au mois de juillet dernier, visitant la basilique, sir Herbert Samuel refuse d’entrer dans le sanctuaire du tombeau. Cette insulte aux chrétiens fut relevée. Le synode des Grecs orthodoxes déposa sur-le-champ le patriarche Damianos en lui reprochant de n’avoir reçu le haut-commissaire que pour essuyer cet affront.

Le sionisme moins tolérant que l’Islam Turc ?

Un tel incident mérite une attention sérieuse. Il montre à quelles rivalités confessionnelles, susceptibles de dégénérer en luttes plus graves, le sionisme doit conduire. On regrette déjà les Turcs, « le seul peuple tolérant », disait Lamartine qui, dans son Voyage en Orient, se demandait, avec son génie divinatoire, ce que deviendraient les lieux saints lorsque leurs gardiens flegmatiques n’y seraient plus. Le sionisme allumera sans doute en Palestine une hideuse guerre de religion : encore un de ces progrès à rebours que les traités auront valu au genre humain.

L’Osservatore romano signale, parmi les immigrants juifs qui arrivent en nombre, des fanatiques qui parlent de détruire les reliques chrétiennes. Ce n’est pas tout. Avec la guerre religieuse, le sionisme apporte la guerre sociale. Les juifs venus de Pologne, de Russie, de Roumanie, réclament un partage des terres et l’expulsion des indigènes. M. Nathan Strauss, le milliardaire américain, dit crûment que « les musulmans trouveront d’autres régions pour vivre ». Admirable moyen de réunir, en Asie Mineure et même plus loin, tout l’Islam contre l’Occident.

Etat d’Israël : source de conflits futurs.

Il semble qu’en autorisant et en protégeant des expériences aussi dangereuses le gouvernement britannique perde la tête. La proscription du français en Palestine (sir Herbert Samuel ne reçoit plus aucune réclamation dans notre langue) est-elle un avantage suffisant pour compenser l’irritation et le soulèvement du monde islamique ?

Le lieutenant Jabotinsky, l’organisateur de la légion juive, emprisonné par le général Allenby et libéré par le haut-commissaire, déclarait récemment au Times : « Le gouvernement juif en Palestine sera le symbole de la coopération Anglo israélite et un centre d’influence pour les sentiments favorables aux intérêts britanniques parmi tous les israélites répandus dans l’univers. » Assurément, il y a cette idée-là dans la politique sioniste du cabinet de Londres. Quel plat de lentilles, si l’on songe à l’immense dommage qui résultera pour l’Angleterre de l’hostilité des peuples musulmans ! Les Grecs à Smyrne, les juifs à Jérusalem : on a rarement et avec autant d’imprudence préparé plus vaste incendie. »

Fin de l’extrait : Jacques Bainville, « Les effets du sionisme », L’action française, 20 décembre 1920.

Un simple exemple nous permettra de comprendre combien, depuis De Gaulle, notre politique s’est vue phagocytée par le sionisme. Avec le récent discours du député républicain Meyer Habib lors d'une intervention. L’intervention du député a suscité de vives réactions, notamment celle du général Nicolas Richoux, qui n'a pas mâché ses mots, qualifiant les propos de Meyer Habib de scandaleux. En effet, Meyer Habib a affirmé que la guerre actuellement en cours à Gaza n’était pas une guerre de territoires, mais plutôt une guerre de civilisation.

Il a insisté sur le fait qu’un juif ne serait jamais un colon en Judée, contrairement à d’autres peuples dans des territoires contestés. « On peut contester des territoires, mais un juif ne sera jamais un colon en Judée », a-t-il martelé. De plus, il a souligné l’importance de Jérusalem en tant que capitale du peuple juif, remontant dans l’histoire pour l’étayer.

Le général Richoux, quant à lui, a réagi avec indignation face à cette déclaration : « Monsieur Meyer Habib appartient aux Républicains, me semble-t-il. Le socle de la démocratie, c’est l’État de droit, c’est le respect du droit international. Et là, il nous explique qu’ils ont un droit absolument immémorial, tout simplement parce qu’ils sont juifs, parce que Dieu leur a donné… Non mais attendez, c’est un scandale ! »

Et que penser d’un Jacque Attali ou d’un Laurent Fabius qui, toute sa vie durant, aura manifesté une grande fâcherie avec la souveraineté nationale.  Il vient de prononcer un discours devant le Conseil d’Etat théorisant l’abandon de souveraineté au profit de l’entité européenne. Cela permet de mesurer l’ampleur du désastre que notre pays subit sous l’effet d’une caste mondialiste qui a infiltré tous les échelons de l’Etat et prolifère comme un essaim de guêpes, pour l’affaiblir et le museler.

Dernier exemple de muselage. Le Prix Simone Veil est une distinction accordée chaque année à une femme francilienne méritante. En 2019, Zineb El Rhazoui, ex-journaliste chez Charlie Hebdo, l’avait reçu pour son combat contre l’islamisme.

Cependant, récemment, ses prises de position liées à la guerre à Gaza et publiées sur les réseaux sociaux ont déclenché une polémique. Certains de ces messages comparaient les prisons israéliennes au camp d’Auschwitz-Birkenau et accusaient les sionistes d’améliorer le modèle nazi. Devinez-donc ce qui s’est alors passé ?

L’ancienne journaliste de Charlie, s’est vue retirer le Prix Simone Veil par Valérie Pécresse, présidente de la région Île-de-France. Les raisons ? Les prises de position de Zineb El Rhazoui concernant la situation à Gaza et Israël. Alors, d’après vous, sommes-nous dans un pays libre ?

Je le répète, De Gaulle avait bien dénoncé le sionisme et ses conséquences, tout comme Jacques Bainville avant lui dans « Les effets du sionisme ». Monter l’islam contre l’Occident était l’une des choses que Bainville dénonçait de la part du sionisme.

Lorsque Dominique de Villepin se permet de réagir, ce qui lui vaut les foudres des intéressés, c’est contre cette secte sioniste qui a envahi toute les places de Paris, y compris le quai d’Orsay, pour y accomplir une politique tout sauf française et en faveur du Deep State étasunien autant que sioniste. Villepin, diplomate de formation, essaie de se faire le porte-parole de ce qui nous reste d’une diplomatie française internationale que Macron s’est empressé de brader au nom des intérêts rothschildiens tout sauf Gaulois. Il existe donc encore, chez nous, un peu de cette tradition gaulliste.

Au grand dam de l’avocat sioniste William Goldnadel, Villepin est tout sauf « l’avocat du Qatar ». N'oublions jamais qu’en 2003, Dominique de Villepin a su dire non aux Ricains lorsqu’ils voulaient à nouveau envahir l’Irak de Saddam Hussein sous motif d’armes de destruction massive qui n’étaient semble-t-il que des fioles de pisse.

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/01/sion-la-verite-partie-10.html

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