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Mais qui es-tu tonton, d’où venez-vous, toi et tes idées ? (Partie 9)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

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La mise en place d'une dictature numérique est désormais un impératif pour cette caste qui se sent de plus en plus assiégée au tempo de ses méfaits.

Entre perte de libertés, d’idées, le tout avec un ventre vide, nous pouvons nous faire du mouron car chaque nouveau train de mesures décidé par le G7 contre la Russie devrait enrichir un peu plus les Etats-Unis et appauvrir un peu plus l’Europe.

Des sanctions qui soit dit en passant devaient mettre Poutine en déroute, voire conduire les Russes à un coup d’Etat rapide, alors que lui et son pays se portent comme un charme plus bodybuildés que jamais. En revanche, tout le monde s’attend à une récession forte en Occident. Mais Ordo ab Chaos aidant, le G7, qui regroupe l’Occident (dont le Japon) sans la Chine, a décidé d’une mesure suicidaire : l’embargo sur le pétrole russe.

Et c’est là que le Vert Horus entre en lice, celui qui veut coute que coute nous voir régresser, ne plus consommer et retourner dans les cavernes de nos ancêtres. Nous devons tous être des décroissants. Vous savez tous ces cons aveuglés par sainte Greta et qui prônent de fait la réduction de notre dépendance globale vis-à-vis des combustibles fossiles et notre transition vers une énergie propre conformément à nos objectifs climatiques. C'est-à-dire tous ces intellos qui ne savent pas que sans ces énergies : pas de tracteur donc plus de production agricole, plus de transport de ces productions, plus d’engrais, plus de chauffage, d’électricité, etc.

Bref, de quoi vous prouver que ce mouvement écologiste n’est qu’une construction fort utile à Davos et son reset.

De plus, tous ces technocrates de mes deux, grassement payés par les lobbys et surtout non élus, ne comprennent pas que leurs mesures toutes destinées à renforcer l’isolement de la Russie dans tous les secteurs de son économie, ne font que la pousser dans les bras d’un autre bodybuilder hyper dopé. Ou alors, une fois encore, ils obéissent tous à Davos et respectent scrupuleusement son agenda de dépopulation programmé. Car à trop emmerder l’ours russe on va immanquablement vers un conflit mondial souhaité par l’OTAN, bras armé autant que malade du Deep State.

D’autre part, ces sanctions seront longues parce que la guerre sera longue. Et pour ce faire, les Occidentaux annoncent, sans vraiment le dire, qu’ils vont remplacer le pétrole russe par du pétrole américain. Tout ce qu’il faut afin d’affaiblir davantage une Europe déjà sous perfusion et prête à imploser, de quoi cimenter l’alliance occidentale contre l’axe sino-russe, en faisant payer l’impôt révolutionnaire qui va enrichir les Américains.

Le Deep State voit le temps passer, et son autorité sur les peuples s’amenuiser. Se faisant il tire sur la corde chaque jour un peu plus. Il doit prendre le plus d’initiatives possibles pour reprendre le contrôle de la situation, notamment face à un axe sino-russe qui finira par envahir Taïwan et tourner la page de l’ordre tel qu’il a été fixé par la suprématie nucléaire américaine en 1945.

Et une corde, ça peut casser, voilà pourquoi Klaus Schwab s’est mué en prophète des temps nouveaux. Il a formulé l’agenda du Grand Reset. Où a-t-il bien pu aller chercher ses idées rocambolesques ? pour en avoir une petite idée revenons un instant sur ce sinistre individu avant que d’évoquer à nouveau son émule, Yuval Noah Harari.

Beaucoup ont facilement le terme « fascisme » à la bouche. Ils ne comprennent pas que ce mal se dissimule facilement sous divers aspects. Le fascisme du 21e siècle a trouvé différentes formes politiques à travers lesquelles il peut poursuivre son projet consistant à remodeler l’humanité en fonction du capitalisme par des moyens ouvertement autoritaires.

Sa nouvelle version est aujourd’hui mise en avant sous le couvert de la « gouvernance mondiale », de la « biosécurité », de la «nouvelle normalité », du « New Deal pour la nature » et de la «quatrième révolution industrielle » de Schwab.

Et justement, concernant ce sinistre personnage aux intentions qui le sont tout autant, il convient d’ajouter quelques faits tant cet octogénaire, fondateur et président exécutif du Forum économique mondial, est au centre de cette matrice comme une araignée sur une toile géante. Le projet fasciste initial, en Italie et en Allemagne, consistait en une fusion de l’État et des entreprises.

Alors que le communisme envisage la prise de contrôle des entreprises et de l’industrie par le gouvernement sensé agir dans l’intérêt du peuple (une bonne blague), le fascisme se sert de l’État pour protéger et promouvoir les intérêts de l’élite fortunée.

Et nous allons voir qu’au beau milieu de tout ce fatras idéologique, Schwab n’a fait que poursuivre cette approche dans un contexte d’après-guerre dénazifié, lorsqu’il a fondé en 1971 son « European Management Forum », à Davos en Suisse.

Né à Ravensburg en 1938, il est un enfant de l’Allemagne d’Adolf Hitler, un régime policier fondé sur la peur et la violence, sur le lavage de cerveau et le contrôle, sur la propagande et le mensonge, sur l’industrie et l’eugénisme, sur la déshumanisation et la « désinfection », sur une vision effrayante d’un « nouvel ordre » qui durerait mille ans. Schwab semble avoir consacré sa vie à réinventer ce cauchemar et à essayer de le transformer en réalité mais pour le monde entier.

Il n’est bien sûr pas un nazi au sens classique du terme. Il n’est ni nationaliste ni antisémite, comme en témoigne le prix Dan David qui lui a été décerné par Israël en 2004, du moins c’est ce qu’on tente de nous faire croire car, étrangement, en octobre 2021, toute référence à Schwab semble avoir été retirée du site Web du prix Dan David ? La lecture du Centième Gueux vous convaincrait plutôt qu’il est un sioniste.

Ces parents sont Eugen Wilhelm Schwab (1899-1982) et la Suisse d’origine juive Emma Gisela Tekelius Schwab (née Kilian), mariés à Karlsruhe en Allemagne le 2 octobre 1926. Son arbre généalogique a été publié dans la « Crimeline & Evidence Library » gérée et développée par les enquêteurs du site « Americans for Innovation ». Klaus Schwab a d’ailleurs remercié son père Eugen Wilhelm et sa belle-mère Erika en mentionnant leurs noms dans son livre récemment publié.

Eugen Schwab, son père, suivra les traces du sien et deviendra ingénieur. L’usine où il forgera sa carrière sera la branche allemande de l’entreprise suisse nommée Escher Wyss qui, au début du 20e siècle, ayant mis de côté le tissage du ruban commencera à se concentrer sur la production de grandes turbines industrielles et la construction de centrales hydroélectriques.

En 1920, Escher-Wyss se trouve aux prises avec de sérieuses difficultés financières, mais sera sauvée. Après que la Grande Dépression du début des années 1930, la société passera encore entre les mailles du filet grâce à une suspension de faillite. Au milieu des années 1930, elle se retrouve à nouveau en difficulté financière. Afin de la sauver, un consortium sera cette fois mobilisé pour la firme d’ingénierie en difficulté. Peu de temps après le déclenchement de la guerre en 1939, Escher-Wyss et sa nouvelle direction profitent de la guerre. Ils ouvrent alors la voie à une très large coopération avec le régime nazi. Ils œuvrent de bon cœur et deviennent un important sous-traitant militaire nazi.

Mais dès les années d’avant-guerre, l’usine Escher-Wyss de Ravensburg, désormais gérée directement par le père de Klaus Schwab, Eugen Schwab, est déjà le plus gros employeur de Ravensburg. Mieux, le parti nazi d’Hitler décernera à la succursale Escher-Wyss de Ravensburg le titre de « Société modèle national-socialiste » alors que Schwab père est à la barre. Les nazis courtisaient ainsi la société suisse pour la coopération dans la guerre à venir, et dès 1939, l’usine s’y lancera à cœur joie.

Curieusement, Ravensburg ne sera jamais cible de frappes aériennes alliées. La présence de la Croix-Rouge et la rumeur d’un accord avec diverses sociétés, dont Escher-Wyss, verront les forces alliées accepter publiquement de ne pas cibler la ville du sud de l’Allemagne, alors que des choses beaucoup plus sombres se préparaient déjà à Ravensburg une fois la guerre commencée.

Durant le conflit, Eugen Schwab va continuer à gérer la « Société modèle national-socialiste » pour Escher-Wyss, et la société suisse aiderait la Wehrmacht nazie à produire des armes de guerre importantes ainsi que des armements plus basiques. La société Escher-Wyss était un leader dans la technologie des grandes turbines pour les barrages hydroélectriques et les centrales électriques, mais elle fabriquera également des pièces pour les avions de chasse allemands. Ils étaient également intimement impliqués dans des projets beaucoup plus sinistres se déroulant dans les coulisses qui, s’ils étaient achevés, auraient pu changer l’issue de la Seconde Guerre mondiale.

Le renseignement militaire occidental était déjà au courant de la complicité et de la collaboration d’Escher-Wyss avec les nazis. Leader dans un domaine florissant en particulier, la création d’une nouvelle technologie de turbine, la société en avait conçu une pour la centrale hydroélectrique stratégiquement importante de l’installation industrielle Norsk Hydro à Vemork, près de Rjukan en Norvège. L’usine, en partie alimentée par Escher Wyss, était la seule sous contrôle nazi capable de produire l’eau lourde, essentiel à la fabrication de plutonium pour le programme de bombe atomique nazi.

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2022/06/mais-qui-es-tu-tonton-d-ou-venez-vous-toi-et-tes-idees-partie-10.html

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Mais qui es-tu tonton, d’où venez-vous, toi et tes idées ? (Partie 8)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

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Pour s’en sortir, il faut expressément se faire sa propre idée, refuser le politiquement correct et les dogmes préconçus. Comment ? En s’éloignant des merdias vendus, en refusant le politique, et en cherchant soi-même auprès des vrais qui divulguent une information gratuitement en risquant pour cela beaucoup.

J’estime en faire partie à mon humble niveau avec plus de 650 articles parus sur mon blog et 14 ouvrages dénonçant le PLAN à mon actif.

Apprenez-donc à vous connaître avant d’espérer sortir de la matrice. Car peur, ignorance, et acceptation sont les trois mamelles de cette escroquerie en bande organisée que constitue l’ingénierie sociale. Il convient tout d’abord de distraire à souhait la gueusaille (séries, cinéma, jeux vidéo, pornographie, sport, etc.) tout ce qui sera capable de nous faire entrer dans cet état d’hypnose où nous allons mettre de côté notre cortex préfrontal, celui qui nous permet de réfléchir. Car ils savent à merveille détourner l’action du public (surtout les jeunes) de tout ce qui est important pour nos vies grâce à un déluge continu de distraction et d’information.

Comprenez bien qu’ils excellent aussi à créer un problème tout en offrant la solution selon l’axiome simpliste : action-réaction-solution de quoi créer une société de plus en plus contrôlée, et qui va se jeter dans les bras de son sauveur (bourreau convient bien mieux).

Repensez un instant au discours lénifiant qui a perduré durant le covid, les confinements et surtout les incitations vaccinales faisant de l’être averti, un traire, un égoïste non soucieux de ses proches et du bien commun. Il convient d’infantiliser les masses par le biais d’un discours, d’arguments, ou de personnages, le tout saupoudré d’un ton particulièrement infantilisant, comme si nous étions toutes et tous en maternelle. Le principe même de la suggestibilité voulant que si je vous parle comme si vous étiez un gosse, vous me répondrez comme un gosse, le tour est joué et tous se ruent au vaccinodrome avec tétine et hochet.

Ils vont s’adresser à l’émotionnel plutôt qu’à la réflexion. Dangerosité, morts et contaminations sont alors les outils propres à instaurer une peur grandissante, un stress perpétuel qui court-circuite tout esprit critique. L’humain réagissant bien plus à ses émotions qu’à sa réflexion, on fait alors fuir à grands pas tout sens critique. Ce registre émotionnel constituant une porte, un cheval de Troie vers l’inconscient, on peut alors y implanter facilement des désirs, des normes et surtout des peurs viscérales.

« Celui qui contrôle la peur des gens devient le maître de leurs âmes. », Machiavel.

Maintenir le public dans la bêtise et l’ignorance passe par l’histoire et notre éducation judéo-maçonnique. Notre Histoire est soit fausse soit volontairement incomplète, tout ce qu’il faut afin d’éviter la prise de conscience des peuples vis-à-vis de ceux qui, toujours les mêmes, fomentent les guerres et les révolutions, et surtout en financent tous les acteurs afin de toujours plus s’enrichir.

Ne pas vous donner les vraies clés de votre passé, de nos origines, permet à l’élite de tous nous maintenir dans l’ignorance de notre VERITABLE présent.

Expliquant pourquoi nous n’avons plus de Michel Ange et autre Léonard, jamais l’école ne va œuvrer à te donner cette approche pluridisciplinaire pourtant indispensable à entrevoir la cage dans laquelle nous évoluons tous. Noam CHOMSKY l’explique fort bien dans « La Fabrication du consentement », lorsqu’il écrit « L’éducation est un système d’ignorance imposé. Des centaines de milliards de dollars sont dépensés chaque année pour contrôler l’opinion publique. ». J’y ajoute une autre de ses phrases : « La population en général ne sait pas ce qui est en train de se passer. Et elle ne sait même pas qu’elle ne le sait pas. »

Ajoutez-y un volume d’informations trop élevé et unitives diffusées par moult médias, et vous obtenez une soupe indigeste qui alimente notre ignorance et la bêtise du peuple jusqu’à sa culmination. Voilà comment, certains, victimes du mythe du « réchauffement entropique », arrivent à décider ne plus vouloir d’enfants pour ne pas polluer Gaïa, et bien plus encore (voir Tonton Malthus).

L’élite arrive même à cette « fulgurance de l’esprit » qui consiste à faire remplacer la révolte par la culpabilité. Comment ? En faisant culpabiliser le gueux pour son triste sort par manque d’efforts, comme un Macron qui déclare que « pour trouver un emploi, il suffit de traverser la rue. »

C’est son manque de capacités intellectuelles et physiques qui rend alors le gueux responsable de tous ses malheurs. Non port du masque, refus de confinements absurdes, refus vaccinal, sont autant de facteurs qui vont faire de lui un égoïste, un mauvais citoyen qui va contaminer les autres. De quoi faire douter les déviants qui culpabilisent et se ruent en masse se faire vacciner.

Nous en arrivons ainsi à une stratégie de la dégradation qui consiste à introduire quelque chose de désagréable, mais à doses homéopathiques et sur assez longtemps pour que l’esprit révolté en première instance finisse par y donner son accord tacite.

C’est, pas de masque, puis des masques, puis masque obligatoire, puis des restaurants qui ferment un temps, puis longtemps, puis tout le temps. Pour en arriver à un couvre feux à 18h et des autorisations de sortie que tu te signe toi-même en acceptant tacitement de t’éloigner de tous les lieux de plaisir et de convivialité devenus DANGEREUX.

Si tout ceci fonctionne c’est parce que comme je l’explique dans le tome 2 du Centième Gueux et sur un chapitre complet, l’humain possède une mémoire de poisson rouge et oublie bien vite comment était sa vie. C’était comment avant ? Quoi penser, comment penser, quoi croire, et surtout quoi dire, constituent au final les gammes sur lesquelles pianote l’élite en véritable virtuose du vice. Mais ce qui est triste par-dessus tout, c’est que malgré ces FAITS pourtant indéniables, beaucoup se pensent encore libres de leurs choix, de leurs mouvements, bref, de leurs vies. Preuve que l’ingénierie, ça marche ! Nous sommes bel et bien au beau milieu d’une guerre de l’information entre riches et pauvres.

C’est donc un question de survie tant pour l’élite que pour nous. Le Deep State, ce pouvoir non élu, joue sa survie partout à travers le monde. Il suffit pour s’en convaincre d’analyser les grosses ficelles de l’OTAN, outil de l’Etat profond, à l’égard de la Russie. Et c’est bien pourquoi le Great Reset est dangereux, c’est l’arme d’un animal malade qui se sent traqué à cause « du réveil » des peuples.

Il lui faut désormais une bonne guerre, d’autres pandémies, des pénuries orchestrées et un effondrement chaotique afin de passer en force.

Les partisans de cette réinitialisation sont partout à travers le monde ceux du non vivant. Et chez nous, en France, l'Ordre indépendant du B'nai B'rith, la loge des loges qui fait levier au travers du CRIF, s’est empressée de faire réélire son cheval de Troie, celui qui va définitivement phagocyter la France, la dissoudre au sein d’un golem internationalisé.

Ceux qui voudront s’en convaincre plus encore pourront consulter ma série en 27 épisodes : Les prophètes du Diable ; https://vecteur-douceur.over-blog.com/2021/10/les-prophetes-du-diable.partie-1.html 

Ils veulent tous remplacer le vivant, l’organique conçu par Dieu, parce qu’il est viable est non consensuel envers leur idéaux satanistes. Il veulent y opposer quelque chose de non naturel, un ersatz, une sélection technoscientifique des formes de vie qui, précisément, ne bénéficie pas de ces lois naturelles qui nous dépassent, et de loin. Jamais l’humain déchu ne pourra créer quelque chose de viable à long terme, c’est de l’utopie et ça tombe bien puisque c’est leur domaine de prédilection.

L’erreur est intrinsèque à l’évolution scientifique, elle ne se comporte pas comme la nature qui corrige les siennes. Plus un système est complexe et moins il est viable et fiable. Bref, plus on s’éloigne de la nature, tel ces fous, et plus la marge d’erreur augmente et avec elle les risques d’apocalypse transgénique.

L’homme imite ce qu’il voit dans la nature (biomimétisme) et la science a une fâcheuse tendance à s’éloigner toujours plus de ce moule mimétique, occasionnant au passage des erreurs qui vont s’accroitre de manière exponentielle au même titre que les moustiques OGM de Bill Gates ou encore de ses tristes épandages dans nos cieux afin de faire de nous les dindons d’un « réchauffement climatique » créé de toute pièce, et toujours par les mêmes salauds.

On est en train de passer d’un mode de contrôle par la parole, c’est à dire le mode d’élocution du sujet parlant, à un mode de contrôle social automatisé avec pour tous en ligne de mire, la prévisibilité du comportement d’autrui. On cherche à rendre le contrôle du groupe prévisible par la parole (l’agora) à un contrôle par le biais d’un système qui ne nécessite plus la parole (IA).

Elle sera alors laissée seulement à des groupes de contrôle (politiques, journalistes). C’est pour cela que la rhétorique n’est plus à la mode, et que l’enseignement se trouve réduit à sa partie congrue et que le texto avec dix fautes à la ligne est à la mode avec le verlan. Ce sont les gens du marketing, du management, qui prennent des cours pour mieux nous manipuler tel un Macron managé par Mc Kinsey.

L’organisation d’une pensée, son articulation adaptée à la vie collective, tout cela est passé de mode et remplacé par la promotion d’un égo qui, à la manière d’un influenceur, en fait un individu vautré dans son orgueil baleinesque. C’est un monde de baisse du niveau intellectuel où la parole se trouve réservée à une élite de capos bien intentionnés, hautement rémunérés, mais surtout aux ordres d’un Bill le coyote, avec par exemple le journal « Le Monde » qui bénéficie de 405 millions d’euros sur 5 ans. Mais le réveil d’un certain pourcentage face aux malversations de l’élite devenant trop évident, celle-ci active ses petits capos afin d’étouffer toute tentative de rébellion dans l’œuf kabbaliste.

Voilà pourquoi, ces derniers jours (vendredi 6 mai 2022), la caste des petits capos mondialistes a montré sa fébrilité face aux résistances populistes et complotistes en annonçant une accélération de son agenda du chaos. Il leur faut des pénuries, nous geler le cul afin de nous faire oublier l’essentiel : qu’ils sont une pourriture sur pattes. L’hyène en tête, le G7 annonce donc un harakiri certain pour l’UE. Celui de l'embargo prochain sur le pétrole russe. Concernant cette « hyène », je vous conseille l’article que je lui consacre : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2022/04/la-hyene.html

Mieux encore, afin de faire taire toute dissidence à ce projet (style votre serviteur) ou encore à d’autres qui sont à venir et tout autant débiles, Macron, main dans la main avec cette traitresse allemande, désire une modification des traités pour mettre fin à la règle de l'unanimité dans l'Union. Vous voyez ici combien l’élite apeurée accélère dangereusement le pas. On comprend la logique de l’exercice : il s’agit de passer outre la résistance de certains Etats souverains dans l’adoption de mesures scélérates.

Progressivement, pour survivre, l’Union Européenne doit fouler au pied le respect des peuples qui la composent.

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Olivier

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Mais qui es-tu tonton, d’où venez-vous, toi et tes idées ? (Partie 7)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

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C’est présenté sous l’angle du politiquement correct : le « wokisme ». C’est diviser pour mieux régner. Les minorités étant persécutées depuis la nuit des temps, l’heure de la vengeance à sonner bien orchestré en sous-main par le Grand capital. C’est l’éternel jeux de dupe au sein duquel l’infrastructure économique du Grand capital est elle-même la superstructure d’une technoscience (les armes), toujours plus phagocytaire de nos libertés, et qu’elle finance de ses multiples malversations.

Nous entrons ici dans le beau monde de la rationalité, de la folie où l’ingénierie sociale s’est taillée la part du lion ou plutôt du loup fabien ! Les militaires parlent de décrochage capacitaire pour définir le moment où l’ennemie supérieurement armé (technologie) dépasse les moyens mis en œuvre. Dans cette course sans fin menant au chaos, il convient alors de rattraper ce retard technologique voire de le dépasser.

Il s’agit de ce jeu morbide dans lequel toutes les nations les « plus évoluées » au monde se sont lancées tête baissée afin d’être dans la course à l’intelligence artificielle (IA) et ses poussières intelligentes si chères à tonton Schwab et Hariri. Au final, c’est cette course à l’échalote qui produit ce « progrès technologique » ou plutôt cette involution vers l’enfer qui va se retourner au final contre tous. C’est une folie collective mais dans la rationalité du soi-disant plus évolué technologiquement.

L’hypnose c’est lorsque ma parole, quelle qu’elle soit, devient votre réalité. Je dois prendre le contrôle de votre narration concernant cette réalité. Et ça, je peux le faire dans la mesure ou vous apportez crédit à ma parole (ingénierie sociale). C’est savoir agir en subliminal à un niveau d’action se situant entre le conscient et le subliminal (magie).

Et c’est pourquoi le GREAT RESET de Schwab devient ici, comme par magie, le dénominateur commun de toutes ces élites psychopathes qui, au même titre qu’un animal, désirent sécuriser leur territoire, leur terrier, en l’occurrence celui du Deep State.

C’est la réduction de l’incertitude concernant les peuples qui va conduire ces satanistes à vouloir contrôler la société (les facteurs d’incertitudes). En effet, c’est le pluralisme des opinions qui, pour eux, constitue le poison institutionnel qui par exemple les oblige à tricher aux élections tant les avis humains restent divergents. Pour en finir avec ces opinions, quoi de mieux que de tout optimiser.

L’humain constituant le maillon faible dans cette grande chaine d’incertitudes visant à optimiser la planète mais à surtout leur laisser le contrôle total, il convient alors de lui clouer le bec et d’en éliminer les plus versatiles, c’est-à-dire les moins corvéables à souhait.

Un Bill Gates, ayant les moyens de ces ambitions de psychopathe, peut nous cloisonner informatiquement dans le but d’optimiser Gaïa. Par le biais d’un mind control diffusé à doses homéopathiques, l’élite cloue au pilori toute tentative personnel d’interpréter ce monde-démon. L’esprit des masses est alors pilonné afin d’en faire un golem, un zombi malléable à toute corvée, ce qui a été le cas avec cette crise sanitaire organisée dans ce seul et unique but (Event 201).

Mais bien avant l’Event 201, cette sombre affaire se préparait déjà, et depuis longtemps en coulisses.

Le Johns Hopkins Center for Health Security, est un groupe de réflexion créé il y a 24 ans. En 1998, il avait déjà mené des dizaines d’exercices sur des simulations de pandémies et d’attaques aux armes biologiques, y compris l’opération Dark Winter en 2001, où l’un des principaux objectifs était de vacciner de force une population non coopérative.

Ensuite nous aurons « Atlantic Storm » en 2005 avec l’étude de la logistique des vaccinations de masse et des quarantaines militaires.  « Clade X » viendra en 2018, un exercice « bienvenu », puisque c’est lui incitera le système à une accélération radicale de la production de vaccins.  Plus proche de l’Event 201, nous aurons droit au « Crimson Contagion » un gros exercice lancé en janvier 2019. Une espèce d’antichambre de l’Event qui impliquait de nombreuses organisations, publiques et privées, tant au niveau fédéral qu’au niveau des états.  Il durera plus de six mois étant basée sur une pandémie venant tout droit de Chine.

Puis la boucle sera bouclée le fameux 18 octobre 2019, date à laquelle le Johns Hopkins s’est associé au Forum du tonton Schwab et à la Fondation Bill et Melinda Gates pour parrainer l’événement 201, une simulation dans laquelle un coronavirus de chauve-souris devait tuer 65 millions de personnes. Le point culminant de toute ces mascarades mortifères sera publié en novembre 2019, juste 4 mois avant que Macron n’annonce par 6 fois aux Français que nous étions en guerre

Toutes ces études n’avaient donc qu’un seul et unique but : appeler chaque gouvernement du monde à une tyrannie médicale que nous voyons maintenant se manifester autour de nous avec désormais les singes qui arrivent en renfort.  Elles appelaient chacun à des vaccins rapides continus, tout en avertissant également qu’ils peuvent mal tourner et commencer à propager davantage de maladies.

Mais au fait, de quelle menace parle-t-on ? De quelle maladie ou virus mortel ? Les alerteurs le disaient déjà durant cette pantomime virale, et les chiffres nous le montrent désormais en sortant de PARTOUT, covid-19 n’est pas plus mortel que le rhume. Mieux, l’OMS admet que les tests PCR n’ont aucun sens, et qu’ils avaient le vaccin avant que "l'épidémie" ne se produise !

Le but de tout ça apparaît désormais au grand jour : des vaccinations sans fin pour tous, avec  de nouveaux vaccins ARNM qui n’ont jamais été soumis à des tests sur l’homme jusqu’à présent ; la même technologie controversée que la technologie CRISPR, dans laquelle on peut facilement assembler l’ADN humain et le modifier de manière permanente

Tout comme Robert Malone le créateur de l’ARNm qui ne cesse depuis le début de la vaccination de mettre en garde les populations contre cette technologie dangereuse, Jennifer Doudna, qui a remporté le prix Nobel pour CRISPRC, fait de même lorsqu’elle appelle à un moratoire mondial sans être entendue, contre toute application de toute modification de gène utilisant CRISPR. 

Aucune réglementation n’est prévue, et tout le monde peut acheter à bas prix et apprendre ce dont il a besoin en ligne pour modifier définitivement le génome de pratiquement n’importe quelle être vivant.

Le vaccin ARNm est basé sur cette technologie CRISPR, et l’Empire du milieu l’a récemment utilisé pour modifier génétiquement les bébés afin qu’ils soient immunisés contre le VIH, réduisant leur durée de vie, sans jamais que Big Pharma et tous les autres capos du système ne soient déclarés responsables. 

La solution sera toujours davantage de vaccins altérant les gènes afin de « corriger » l’erreur, jusqu’à ce qu’ils réussissent enfin, ou pas. Finalement, je vous le dis, un humain naturel et non modifié sera BIENTOT considéré comme un danger biologique et le contrôle total du génome humain deviendra la nouvelle norme, car nous sommes maintenant dans l’ère des humains génétiquement modifiés et alors que des millions de personnes font la queue pour obtenir leur injection expérimentale d’édition de gènes, d’autres sont étiquetés comme des biens meubles.

La plupart se dirige avec le gout de l’acceptation aux lèvres vers les passeports SS, ces certificats de vaccins, véritables «bracelets de liberté » fabriqués par les même société déjà spécialisée dans les bracelets de surveillance des prisons.

Alors oui, les alerteurs sont des individus éclairés qui mettaient déjà en garde contre Roro et ses « Scénarios pour l’avenir de la technologie et du développement international » de la Fondation Rockefeller ; « Lock Step », dans lequel ils illustrent les plans d’utilisation des pandémies pour inaugurer « un monde de contrôle gouvernemental descendant plus strict et de leadership plus autoritaire ».

NOUS sommes toutes et tous victimes de ces sous hommes de l’entre sol qui veulent nous voler notre sol : celui sur lequel le Créateur a bien voulu nous donner la vie. Et à certains endroits du monde, ces sous-hommes, ces sans âmes, ont réussi à créer l’enfer sur terre : Nouvelle Zélande, Australie, Autriche, Israël, etc.

À ce jeu de dupes, les Chinois sont passés maîtres avec leur crédit social déjà à l’étude en Italie. Bientôt dépourvu de sa capacité de pensée, de son système immunitaire que l’élite voudra lui monnayer contre une soumission totale et plus encore, de son âme (Rudolph Steiner), l’homme devient une (IA) un ordinateur dont la prise d’un antivirus devient nécessaire pour sa survie.

L’antivirus biologique devient alors indispensable ou tout au moins c’est ce que le mind control instille à merveille dans l’esprit des gueux. Nous entrons alors dans le processus viral des mises à jour (énième dose) qui a fait la fortune de Bill le coyote.

C’est en nous menaçant au travers de risques informatiques-biologiques permanents qui seraient viraux qu’on fait avancer la plèbe et au pas de course. Ces menaces fantômes ne sont que des prétextes tous issus d’une ingénierie sociale aux ordres et qui nous font prendre des vessies pour des lanternes.

Lorsqu’on nous dit que le prochain variant sera hautement mortel, c’est une vue de l’esprit issue de cerveaux dérangés. Un virus est par nature voué à s’atténuer : il dégénère. Il est soit hautement virulent ou hautement contagieux, comme je l’expliquais déjà il y a plus de deux ans sur ce blog. C’est fort heureux pour nous tous.

Dire le contraire, c’est tout sauf de la science, c’est du Bill le coyote qui vient vendre sa soupe sur France 2, c’est un paradigme fort utile à divulguer de fausses idées anxiogènes. Et comme l’anxiété s’attaque à notre immunité, vous voyez l’intérêt !

C’est la vieille technique d’ingénierie social du prétexte qui est alors à l’œuvre dans le seul but de réaliser une hypnose collective au sein de laquelle nous devons tous avoir peur. Je l’explique couramment, au sein d’une société existe toujours environ 5% d’éveillés. Le seul intérêt de cette pandémie, c’est qu’elle en a réveillée quelques pourcents supplémentaires tous aux aguets face à ces doses de mise à jour régulière face à des répliques d’un virus et de moins en moins contagieuses.

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

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Olivier

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Mais qui es-tu tonton, d’où venez-vous, toi et tes idées ? (Partie 6)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

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L’animal nuisible a su passer allégrement du business de l’informatique à celui de la vaccination et de la génétique. Comment et pourquoi ? Il y a longtemps que j’ai écrit sur ce blog que Bill Gates annonçait l’arrivée d’un nouveau variant du Covid-19 « encore plus contagieux et encore plus mortel, ce qui est purement impossible dans l’ordre naturel des choses. Rien que cette assertion déplorable devrait faire bondir le corps médical, il n’en est hélas rien.

L’explication est que pour Davos le fait que de nombreux pays s’habituent à gérer la crise en levant des mesures sanitaires trop restrictives, nuisibles aux libertés individuelles et à l’économie, ça n’est pas bon pour les objectifs chaotiques du Great reset.

Pour Bill, pourtant propriétaire de plusieurs jet privés, le fait que la gueusaille voyage et vive, n’est pas bon pour lui « La vie moderne n’aide pas non plus », a-t-il ajouté. « Tous ceux qui travaillent dans le domaine des maladies infectieuses ont juste cette peur des virus respiratoires transmissibles par l’homme. Plus les gens voyagent et plus l’interaction entre les espèces sauvages et les humains est forte, plus le risque de maladies zoonotiques de type inter-espèces augmente ». C’est qu’il ne perd jamais le nord le coyote, par ici la monnaie !

Il faut donc mettre en place de nouveaux vaccins. Il n’envisage d’ailleurs pas d’autres solutions que la vaccination comme d’ailleurs les autorités sanitaires mondiales. Cet individu est un spécialiste du mensonge qui passe le plus clair de son temps à faire peur et préparer la prochaine campagne de vaccination de masse OBLIGATOIRE. Pour s’en convaincre, il suffit d’observer le projet de l’OMS qui conjointement avec lui prendra les rênes de la vaccination en passant allégrement au-dessus des Etats membres de l’OMS (198 dont la France). C’est pour bientôt !

Bill sait que grâce à ses milliards il est influent à la fois sur l’opinion publique et sur les autorités mondiales sanitaires dans lesquelles il pèse de toute sa fortune pour faire valoir sa politique vaccinale : OMS, CEPI, GAVI… La peur, ce ne sont pas les scientifiques ou les médecins qui l’entretiennent mais bien lui ainsi que les vendus qu’ils financent, en y incluant les médias qui alimentent copieusement cette peur. Ils vont où on leur dit d’aller et actuellement l’Ukraine en est le parfait exemple.

Ainsi, l’annonce de la zoonose (maladie animale transmissible à l’humain) jamais prouvée est régulièrement avancée. Par contre, Ukraine aidant, n’oublions pas qu’il faut dire merci à Poutine pour les 30 labos P4 que ses troupes ont détruits, prouvant que si la zoonose n'est pas vraiment prouvée, en revanche la fabrication de virus en laboratoire est une parfaite réalité que n’évoque jamais Bill Gates dont les participations dans l’industrie pharmaceutique sont également majeures.

Ainsi, les prochains virus, style Ebola ou variole, sont parties intégrantes du programme de destruction des élites. Si Gates annonce un prochain virus, nous devons le croire.

Il convient de revenir très vite au muselage et à l’enfermement des peuples tout en en piquant toujours davantage, parce que la levée des mesures sanitaires n’est pas une bonne nouvelle pour tonton Schwab dont les objectifs sont : réduire la population mondiale et prendre le contrôle de ceux qui survivront tous bourrés de graphène.

Et pour activer ce plan machiavélique, quoi de mieux que des guerres, Zelensky refuse les pourparlers de paix prononcés par Poutine mais la presse n’en parle jamais. Pourquoi ? Parce que le Deep State veut cette guerre qui va ruiner tout l’Occident en cachant leurs méfaits sous le tapis de l’Histoire.

À ce chaos orchestré j’allais oublier de mentionner les famines, la pauvreté, la restriction d’accès aux soins pour les non vaccinés et aux autres catastrophes « naturelles », le tout fabriqué artificiellement grâce aux technologies développées par HAARP (voir mes articles concernant ces armes climatiques).

Quant à prendre le contrôle des survivants, voilà des mois que je vous explique la procédure (voir De Mammon à Corona). Cette couillonade covid est un moyen de modifier l’ADN humain et de le refaçonner en modifiant sa structure génétique. Comme l’explique Hariri, c’est en piratant « le logiciel de la vie » qu’ils y parviennent car la biotechnologie permet depuis quelques années de redessiner l’ADN du vivant. Que vous le croyez ou non, peu importe, l’avenir vous prouvera RAPIDEMENT que j’ai raison, nos cellules, via l’ADN, se programment comme un ordinateur.

Comprenez-vous dès lors pourquoi Bill Gates est passé des bits de données aux neurones ? La bio-informatique constitue désormais le champ de bataille mondial destiné à atomiser le libre arbitre de ces peuples qi effraient l’élite. C’est pour eux une histoire de vie ou de mort, un stade que les militaires qualifient de « décrochage capacitaire ». Et la vaccination constitue cette porte, ce cheval de Troie qui leur permet d’introduire dans le corps des « vaccinés » des nanotechnologies pour prendre le contrôle du dernier bastion jusqu’alors imprenable : notre cerveau. Ils en rêvaient depuis des décennies et ils l’ont fait !

Huxley en avait fait un roman d’anticipation « Le meilleur des mondes », désormais nous n’anticipons plus, nous sommes là, les deux pieds dans leur merde technologique, sombre marchepied d’un projet mondial de contrôle des populations.

Les merdias ont voulu faire de Gates un philanthrope qui aurait donné la plus grande partie de sa fortune, rien n’est plus faux. Ils ont prétendu qu’il avait quitté Microsoft il y a 20 ans, c’est un mythe ! Son actionnariat pèse toujours sur cette firme et lui laisse de nombreux pouvoirs. La Vérité est toujours loin de ce que l’on croit ou plutôt de ce qu’on cherche à nous faire croire par le biais de l’ingénierie sociale. Le Microsoft de vos PC n’a rien à voir avec le « Microsoft Biology Foundation », un tentacule du Deep state, développé en 2010.

Son dada est la bio-informatique, cette bonne tambouille permettant de développer moult algorithmes tous destinés à la manipulation de l’ADN, ARN et de protéines. Le Microsoft Research financé à coups de milliards de dollars au début des années 2000 n’a plus grand-chose à voir avec Microsoft Office, tant il fricote dans les nanotechnologies, ces poussières intelligentes qui font bander de joie le vieux Klaus mais sous viagra fourni par Big Pharma.

Dès 2015, année où Bill annonçait « qu’avec les vaccins il pourrait faire du bon boulot », Microsoft, aux côtés de Google, Apple et IBM, s’activait fébrilement dans les domaines de la biotechnologie, le transhumanisme et l’intelligence artificielle pour doper les performances physiques et intellectuelles de Sapiens, celui qui sait, mais qui en fait ne sait pas grand-chose.

Sapiens, trop confiant en cette nouvelle religion qu’est la médecine de Big Pharma, ne sait pas que la finalité cachée des intentions de Bill est de vacciner toujours plus pour inoculer des nanotechnologies à la population mondiale.

Maintenant, pour ceux qui douteraient encore, laissez-moi vous présenter un médecin. Charles A. Morgan est un psychiatre américain qui a étudié le trouble de stress post-traumatique. Il est chercheur au National Center for Post-traumatique Stress Disorder, un organisme qui a travaillé sur la façon dont le stress interagit avec la base neurobiologique de la résilience.

Le Dr Morgan est donc un expert international du trouble de stress post-traumatique (SSPT), de la mémoire des témoins oculaires et dans la performance humaine dans des conditions de stress élevé.

Son travail a permis de mieux comprendre la psycho-neurobiologie de la résilience chez les soldats d'élite et a contribué à la mission de formation des programmes spéciaux de l'armée. En 2021, il a donné une conférence à West Point sur le contrôle à distance du cerveau humain grâce aux vaccins ARNm.

Il y a expliqué aux étudiants de l’Académie militaire comment l’ARN peut être reprogrammé et produire de nouveaux souvenirs et comportements chez les sujets humains ou encore effacer ou modifier la mémoire des personnes grâce à la technologie CRISPR.

N’oublions pas que l’armée américaine a financé un vaccin destiné à faire disparaître chez l’humain toute trace de foi, c'est-à-dire toute propension au divin à la spiritualité.

Ce qui doit nous rappeler les propos de Rudolph Steiner (1861-1925), qui affirmait : « Dans l’avenir, nous éliminerons l’âme avec la médecine grâce à des vaccins qui supprimeront la conscience spirituelle ». Davos est essentiellement composé de membres appartenant aux sociétés secrètes où l’agenda a été défini de longue date. À ce titre, je vous invite à lire l'article le plus lu sur ce blog : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2020/01/tout-est-prevu-et-depuis-longtemps.html

Bien entendu, je suis parfaitement conscient que malgré la Vérité qui filtre désormais de partout, BEAUCOUP prendront encore et toujours pour argent comptant les propos de ces maudits satanistes qui ont encore pignon sur rue (plus pour longtemps). Pourquoi ?

Parce qu’il existe bien entendu une fabrique du consentement au génocide ou à l’autogénocide. Elle compte parmi ses membres toutes celles et ceux qui continuent mordicus à porter un masque inutile et attendent avec la même non-intelligence la 4e dose de poison mortel. Cette « Fabrique » présente toujours comme quelque chose qui va vous libérer ce qui en réalité va vous asservir.

Elle instille adroitement dans l’esprit des masse ces marques d’un progressisme certain. Un exemple parfait est constitué par le mouvement LGBT, ou LGBTQIA+, des sigles utilisés pour qualifier les lesbiennes, gays, bisexuelles, trans, queers, intersexes et asexuelles, c'est-à-dire pour désigner les non hétérosexuels, dont beaucoup de membres de Davos semblent friands.

En réalité, il est un mouvement d’asservissement, une simple étape devant mener cette humanité trépanée au transhumanisme.

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Olivier

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Mais qui es-tu tonton, d’où venez-vous, toi et tes idées ? (Partie 5)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

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Certes l’homogénéité identitaire est le point de départ de toute identité humaine, on parle ici d’homogénéité culturelle autant que génétique. C’est l’épigénétique d’un peuple qui lui permet de rester soudé dans un but de survie. Arrive néanmoins un moment où, par nécessité génétique et culturelle, l’humain éprouve le besoin de s’étendre territorialement tant sur le plan des idées qui sur celui de la génétique. C’est l’idée du clan qui nécessite le besoin de se renouveler sans en arriver pour autant au stade de la mégalomanie qui entache ces régimes tels le 3e Reich d’Hitler ou de celui d’un Staline. L’OTAN n’en constituant qu’un exemple plus actuel.

Le nationalisme est donc une culture des limites, des frontières, là où le suprématisme, qu’il soit religieux ou politique, constitue une transgression des limites. Et c’est la domination scientifique et l’armement qui donne à chaque fois à certains dans notre histoire des idées velléitaires et mégalomaniaques. Impérialisme et colonialisme constituent alors deux aspects de ce suprématisme l’un sur un territoire, l’autres sur différents territoires. Le suprématisme est donc par définition expansionniste. Avant il l’était sur la terre et désormais il l’est sur nos « âmes ». C’est l’histoire qui se répète, l’ouroboros de Nemrod.

Le tout s’opère, il va de soi, sur une forte toile de fond occultiste, orchestré par une foultitude de francs-maçons. Le 3e Reich était mené par une meute d’obsédés du mythe de Thulé et de la quête hyperboréenne. La Société Thulé accueillait en son sein les cadres du parti nazi. On peut opérer là un syncrétisme entre ses idées et celles de Cecil John Rhodes (1853 - 1902), homme d'affaires et politique britannique proche des Rothschild.

Il sera le fondateur de sa propre loge maçonnique et créateur de la British South Africa Company et de la compagnie diamantaire De Beers. Il sera premier ministre de la colonie du Cap en Afrique du Sud de 1890 à 1896, puis créateur de la Bourse Rhodes, un think tank ouvert seulement à ceux partageant ses vues de fervent partisan de l'impérialisme britannique.

Suprématisme (blanc ou noir), occultisme et transhumanisme constituent là les piliers d’un rêve fou : celui du dépassement de la condition humaine idée traversant tout le 19e siècle jusqu’à nos jours et véhiculé par l’occultisme. Des facultés paranormales doivent, dans cet idéal, bousculer la condition humaine et permettre de transcender notre état actuel (pour les plus riches).

Dans la mythologie aryenne, le blanc est pur et donc sein là où le juif est complexe dans son relativisme, son calcul et son ambivalence. C’est à ce titre, qu’un Philipp Lenard (1862-1947), un physicien allemand d'origine austro-hongroise, prix Nobel de physique de 1905, n’arrivait pas à digérer la relativité d’un Einstein et la physique quantique, toutes deux issues de cerveaux juifs. Il sera à ce titre l’un des promoteurs de la Deutsche Physik pendant le régime nazi. Bref, on ne pense pas la science de la même manière qu’on soit juif ou aryen. Et on ne pense pas la vie de la même manière qu’on soit milliardaire ou simple mortel.

Voilà pourquoi la crise sanitaire a constitué la porte d’entrée du cheptel humain à l’acceptation de l’indifférenciation machine-humain. C’est bel et bien le neuro piratage qui est à nos portes, un nouveau paradigme devant permettre de contrôler à la perfection ce qui restera d’un cheptel humain après réduction et transformation génétique. Dans cette idéologie sataniste, on ne distingue plus le vivant du non vivant, l’être étant relégué au stade d’objet connecté et connectable. L’euthanasie n'est plus alors que la date de péremption de l’objet connecté. Tel est l’idée actuel de ce suprématisme blanc ayant fusionné avec le suprématisme juif (sioniste) dans une quête techno-transhumaniste.

On est là dans l’Ordo ab Chaos figurant sue le ONE billet d’un dollar américain prônant la reconstruction complète de la nature au détriment de son Grand Jardinier. Tel est l’œuvre voulue par la franc maçonnerie qui n’est, comme je l’explique avec moult détails dans le tome 1 du « Centième Gueux » qu’une construction purement kabbaliste et sioniste.

N’oublions jamais que le cœur de la pensée maçonnique c’est un progressisme actuellement à l’œuvre au sein de toutes nos institutions (mariage, avortement, euthanasie, sexes, non genre, etc.). Ce sont les lumières ou la lumière qui oriente la pensée et l’action de ces individus lucifériens par ordre des choses.

Reconstruction de la nature, le naturel devant être remplacé par une construction culturelle (progressisme), on est dans la stérilisation du vivant, l’industrialisation de sa production, de son encadrement et da sa modération par le biais d’une chimie vaccinale mortifère. Je peux ici revenir sur « l’exemple » de l’Afrique du sud où le docteur a été durant des années une figure satanique de l’apartheid, à la tête d’un programme chimique et bactériologique en vue de stériliser les femmes noires. Les Sud-Africains ont découvert il y a peu qu’il exerçait toujours la médecine dans une clinique privée.

Ce sinistre individu reste néanmoins un enfant de cœur face à un Bill Gates venu sur France 2 faire la promotion sur son dernier livre empli de mensonges au même titre que ses propos tenus sur la chaine, vendredi 6 mai dernier, au 20 h de Thomas Sotto.

« Les complotistes du monde entier accusent Bill Gates d'avoir fabriqué l'épidémie de Covid-19. "C'est très étrange, je ne m'y attendais pas. J'ai dépensé des milliards sur les vaccins pour sauver des millions de vies. Maintenant, ils ont complètement retourné la situation en disant que je gagne des milliards en tuant des gens. Cela décourage des gens qui pourraient prendre le vaccin et c'est notre meilleur outil pour empêcher des morts", explique le coyote, sur le plateau du « 20 heures » de France 2.

Que faut-il répondre aux personnes doutant du vaccin contre le Covid-19 ? « Si vous regardez ceux qui meurent, ce sont les gens qui ne sont pas vaccinés. C'est un miracle qui a empêché des millions de morts », répond Bill Gates. L'homme d'affaires américain estime également que l'innovation des entreprises privées à l'origine des vaccins a été un bénéfice pour tous.

https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/bill-gates-jai-depense-des-milliards-sur-les-vaccins-pour-sauver-des-millions-

Bien entendu le journaliste servile lui a ciré les pompes. Comment peut-il en être autrement dans un monde où tout s’achète, même les enfants et les organes. Beaucoup y laissent leur âme contre des euros ou des dollars bientôt obsolètes. Mais qu’il aille donc faire un tour en Inde Bill le coyote ! Je ne donne pas cher de sa peau, lui qui y a, tout comme en Afrique, vacciné sans leur consentement des centaines de milliers d’enfants et de jeunes filles tous désormais atteints de la polio et de cancer du col de l’utérus.

Qu’il aille faire un tour chez tous les malheureux, mal informés, et désormais victimes d’horribles effets secondaires dus aux vaccins covid, qui l’ont outrageusement enrichi, lui qui est actionnaire dans tous les laboratoires fabricant ces merdes mortifères.

Bill le coyote premier bailleur de fonds de l’OMS et dont le grand père, eugéniste lui-même, a collaboré à la création de l’Institut Rockefeller, cette monstrueuse entité qui allait, grâce à la pétrochimie phagocyter toute cette bonne médecine qui, jusqu’alors, guérissait à merveille. Un institut dont un des titres de gloire est d’avoir provoqué cette fameuse « grippe espagnole » en vaccinant les soldats américain contre soi-disant la méningite.

Difficile de ne pas l’entendre, le Bill Gates, lorsqu’il finance les merdias serviles afin de se faire brosser dans le sens du poil.

Chez nous, rien que le journal le Monde a reçu plus de 4 millions d’euros d’aide ! Croyez-vous qu’un seul journaliste va ensuite oser le critiquer ? Voilà comment, ensuite, un individu comme lui, peut proférer des horreurs et des mensonges sans être inquiété le moins du monde, bien au contraire, alors que vous ou moi, pour avoir osé proférer la énième partie de ces menaces à peine déguisées ; nous nous retrouverions face à leur justice maçonnique avec la prison en prime.

Voilà comment Bill peut en toute tranquillité indiquer, lors d’une conférence, qu’en faisant du bon boulot avec les vaccins « on pourrait diminuer la population mondiale de 10 à 15%. » C’était en 2015, même si, recherche aidant, tous les merdias aux ordres prétendront le contraire contre rémunération.

Mais déjà en 2011, ce criminel qui devrait être derrière les barreaux, projetait en toute décontraction de créer toutes les conditions pour mettre en scène cette vaccination forcée que nous vivons tous désormais. Alors vous pensez bien que lorsqu’il nous annonce prochainement d’autres pandémies bien plus dramatiques que couillonavirus, il convient de le prendre au sérieux.

Il a en réserve X virus qu’il a fait breveter au même titre qu’Ebola, en partenariat avec l’armée américaine. Bill joue les scientifiques mais n’en est certainement pas un, tout au plus est-il un clown richissime avec le pouvoir de ses ambitions. Ce sous diplômé donne la cadence à la médecine mondial et pratiquement tous les toubibs de mes … suivent ce pitre le doigt sur la couture du pantalon qu’il ont au bas des fesses. Le coyote n’est certainement pas madame Irma, c’est un « programmateur » ne faisant nullement la différence entre virus biologique ou informatique. Non, il crée les deux afin de toujours plus s’enrichir, c’est son métier initial.

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Olivier

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Mais qui es-tu tonton, d’où venez-vous, toi et tes idées ? (Partie 4)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

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Ce qu’il est important de garder à l’esprit, c’est qu’à travers tout ce processus post-1971, le capitalisme lui-même a été lentement transformé en une bombe à retardement qui ne pouvait que s’effondrer. Cela signifie que c’est une erreur fatale de considérer les abus de la mondialisation ou l’effondrement en cours comme des erreurs, mais plutôt comme la conséquence voulue de la conception même du système.

Les États-nations occidentaux ont perdu leur souveraineté économique en vendant leur avenir au prix de marchandises bon marché provenant de l’étranger, ce qui les a rendus dépendants du maintien des nations pauvres dans la pauvreté et de la main-d’œuvre bon marché (les nations en développement et en voie de modernisation ont tendance à produire une main-d’œuvre qualifiée et bien payée, ce qui n’a rien à voir avec une république bananière).

Ainsi, l’humanité a glissé de plus en plus dans une cage de « fin de l’histoire » qui a finalement cherché un nouvel ordre mondial pour remplacer l’ancien ordre des États-nations et des démocraties qui avaient gouverné les deux siècles précédents. Il y a eu un contrôle supranational plus centralisé des États-nations par l’oligarchie financière sous couvert d’accords de « libre-échange » tels que l’ALENA et Maastricht au début des années 1990.

Il s’agissait bien sûr de la tendance quasi inéluctable après la désintégration de l’Union soviétique (et la reproduction de la mondialisation occidentale dans la courte période de la thérapie de choc des années 1990 en Russie). Je dis heureusement « quasi-inéluctable » car quelque chose de très spécial et d’inattendu est venu faire dérailler ce plan en 2013.

Je fais ici référence au moment où Xi Jinping a fait savoir au monde que la Chine ne continuerait pas indéfiniment à être un réservoir de main-d’œuvre bon marché de l’Occident et qu’au lieu de cela, un nouveau programme baptisé « Initiative de la nouvelle route de la soie » a été dévoilé comme la force motrice de la politique étrangère de la Chine. Ce programme a rapidement fusionné avec l’Union économique eurasienne dirigée par la Russie et a rallié 140 nations du monde à son système d’exploitation, dont les ramifications s’étendent jusqu’à l’Arctique sous le nom de « Route de la soie polaire ».

Le système multipolaire de l’Eurasie, qui avait lentement progressé entre 1999 et 2013, a commencé à prendre un rythme de croissance accéléré, avec de nouvelles institutions financières, des projets d’infrastructure à grande échelle et de nouvelles plateformes diplomatiques construites en cours de route.

En 2015, la Russie et la Chine avaient créé leurs propres alternatives à SWIFT, contrôlée par les États-Unis, et la même année, la Russie est entrée en Syrie pour défendre le principe de la souveraineté nationale. Maintenant, la Russie et la Chine, toutes deux encerclées par le complexe militaro-industriel américain, ont publié une puissante déclaration commune établissant un manifeste pour un nouveau système d’exploitation qui consacre le principe des États-nations souverains, et des activités qui favorisent la coopération gagnant-gagnant et la croissance démographique comme socle de l’ordre.

Ainsi, lorsque Guterres fait dans son froc en se plaignant du danger de l’émergence de deux systèmes opposés, ou lorsque ceux qui manipulent Biden promeuvent des sommets sur la démocratie qui excluent toutes les nations du monde qui ne veulent pas être sacrifiées sur l’autel de Gaïa, vous pouvez être sûrs que c’est parce que quelque chose de compatible avec la dignité humaine a émergé.

Les mouvements de liberté qui surgissent actuellement de part et d’autre de l’Atlantique pourraient-ils forcer les éléments de la classe politique qui n’ont pas perdu leur humanité au profit d’un engagement du Forum économique mondial visant à tout assimiler dans un sacerdoce transhumaniste unipolaire ?

Cela reste à voir.

Et qu’on ne vienne surtout pas me taxer de complotiste devant tous les FAITS qui s’égrènent de plus en plus vite. Ce sont nos dirigeants les complotistes, lorsque je constate qu’en Italie, le portefeuille du citoyen vertueux (smart citizen wallet) est aujourd’hui actif à Rome en phase expérimentale devant le silence absolu des médias. Les citoyens seront récompensés s’ils trient les déchets, s’ils utilisent les transports en commun, s’ils gèrent bien l’énergie, s’ils ne subissent pas de sanctions de la part de l’autorité municipale, s’ils sont actifs avec la Carte Culture.

En échange de ce « comportement vertueux », le bon citoyen à la chinoise se verra gratifier d’un « crédit » qu’il pourra ensuite «dépenser » en échange de divers « avantages » : remises sur des transports publics, sur les activités culturelles etc. Il s’agira ainsi «d’utiliser le Big Data pour récompenser les citoyens vertueux avec des facilités et des remises. » Cette surveillance bienveillante sera mise en place à Bologne dès l’automne prochain. Juste à temps, donc, pour la saison du covid et le retour des inévitables « gestes barrières », quarantaines, codes QR, etc.

Le Great Reset de Klaus Schwab et Thierry Malleret a fait couler beaucoup d’encre. Schwab et Malleret entendent construire sur de nouvelles bases (Build Back Beter). Mais au plan économique leur table rase n’en est pas une. Elle met en valeur, dans un mouvement que le covid a accéléré, certaines tendances lourdes des deux dernières décennies, comme la financiarisation et la digitalisation.

Comme les taux d’intérêt sont à des niveaux très faibles, quand ils ne sont pas négatifs, il serait regrettable de ne pas s’endetter, notamment pour acheter un bien immobilier, pour paraphraser Alan Greenspan au milieu des années 90.

Et ainsi, tout achat devient prêt, abonnement, leasing, crédit revolving… Dans les petites vidéos très divertissantes qui figurent sur le site internet du World Economic Forum, on trouve cette vision réjouissante du futur : « You will own nothing and you will be happy » (qu’on peut traduire par : vous ne posséderez rien et/mais vous serez heureux).

Quant à la digitalisation, elle apporte des gains de productivité qui faisaient cruellement défaut au capitalisme de la période récente. Mais on peut s’interroger sur les conséquences de l’absence d’interaction professionnelle sur un lieu dédié au travail. Surtout, elle mène tout droit à la surveillance, comme s’en félicite dans le Financial Times l’autre gourou de l’époque, Yuval Noah Harari.

La crise a renforcé les entreprises multinationales, et pas seulement les géants de la Silicon Valley, au détriment des entreprises modestes. Les vagues de faillites ont été reportées grâce aux aides budgétaires. La bande du tonton souhaite surtout maintenir leur capitalisme d’extraction. Les ficelles sont un peu grosses. En 2020, la Chine RESTAIT la seule économie à demeurer en croissance. De la même manière qu’en 2008, peut-on considérer que cette crise sanitaire et économique lui profite ?

Pour la deuxième fois, le président Xi a tenu la vedette lors de son intervention au forum de Davos. Il y a appelé, dans des propos repris plus tard par Angela Merkel, à la neutralité de l’Europe et recommandé aux grandes puissances de la mesure dans leurs relations avec les nations plus faibles, cela au moment même où la Chine redoublait d’agressivité envers l’Inde ou l’Australie.

La diplomatie du masque a muté en diplomatie du vaccin. Le lobbying chinois reste intense en Allemagne, et la Serbie, mise au ban de l’Europe dans les années 90, offre le visage parfait du vassal de Pékin : patrouilles de policiers chinois à Belgrade, caméras de surveillance chinoises dans tout le pays et utilisation  médiatisée du vaccin chinois. Les nouvelles routes de la soie ne passent pas loin.

Pour nombre d’autres capitales, Pékin présente l’avantage de ne pas être une démocratie et, à ce titre, de ne pas s’immiscer dans la gestion des affaires locales autrement que pour un gain économique. À ce titre, la Chine a renfloué la Turquie à hauteur de 400 millions de dollars l’année dernière, et fait main basse au passage sur des infrastructures.

Autre tendance lourde plus récente : le réveil des Américains face à la Chine. À la faveur du covid, on n’a pas assisté à un renforcement de la coopération internationale. C’est désormais Éric Schmidt, ancien dirigeant de Google et proche d’Obama, qui recommande de renforcer la lutte contre le vol de propriété intellectuelle et de maintenir le quasi-embargo sur les composants électroniques mis en place par l’administration précédente.

En 2014, nous avons assisté à un coup d’état en Ukraine, sont alors arrivés des hordes nazis soutenus par les merdias occidentaux. Prouvant aux yeux du monde que le néonazisme est compatible avec l’occident néolibéral, la Bête immonde est non tolérée en France mais pas en Ukraine ou son aspect antirusse lui apporte une certaine légitimité le tout baignant dans l’ingénierie sociale la plus crasse.

C’est un système perverti au sein duquel les termes atlantiste, européiste, mondialiste, soutiennent d’un côté des idées qu’ils dénoncent d’un autre. Ce système le fait au gré de ses intérêts prouvant ainsi que putschs, changements de régime et révolutions ne servent que des intérêts toujours supérieurs. On parle ici de suprématisme, fil d’Ariane du transhumanisme de l’occultisme et de l’ingénierie sociale qui prônent tous le dépassement de la condition humaine mise au service d’une caste, toujours la même. Afin de garder son leadership l’élite nécessite des moyens technologiques toujours plus invasifs pour la masse.

C’est l’état du « scientifique » qui fait consensus à un moment donné permettant par exemple à un Hitler de vouloir par ce biais améliorer la race blanche. Le suprématisme est toujours affecté des mêmes problèmes idéologiques. Que ce soit l’Allemagne du 3e Reich ou l’apartheid d’Afrique du sud ou bien d’autres encore. L’apartheid était une politique de « développement séparé » affectant, selon des critères raciaux ou ethniques, les populations du pays dans des zones géographiques déterminées.

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Olivier

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Mais qui es-tu tonton, d’où venez-vous, toi et tes idées ? (Partie 3)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

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Comprenez-bien qu’alors que les véritables socialistes se souciaient réellement des droits des travailleurs en détestant les fascistes, les « loups fabiens », ces faux socialistes déguisés en moutons, aimaient la cause fasciste et s’efforçaient toujours de détruire les véritables mouvements ouvriers dans toute nation qu’ils phagocytaient. « Si seulement ces fascistes pouvaient être guéris de leur nationalisme », déclarait Wells, alors il se ferait volontiers le champion de la croix gammée et déclarait en 1932 : « Je demande des fascistes libéraux, des nazis éclairés ».

Nous en arrivons là l’ouroboros de Nemrod qui fait dire à la Bible « qu’il n’y a rien de nouveau sous le soleil », car croyez-le ou pas ces « braves gens » verront en son temps tout comme le nôtre, l’eugénisme et le fascisme comme des solutions miracles à la Grande Dépression qui s’en venait artificiellement orchestré. Ça ne vous rappelle rien !?

Alors que ces mots et ces idées nauséabondes étaient distillés, prononcés, l’oligarchie anglo-américaine d’alors, que Wells servait le doigt sur la couture du pantalon, était en bonne voie d’établir un système mondial d’économie politique conçu pour imposer l’eugénisme à l’humanité par son soutien à Hitler. Singulièrement comme pour celle qui s’en vient, cette nouvelle science gouvernementale devait être vue comme une solution économique miracle aux horreurs de la grande dépression de 1929-1932, elle-même cause d’une désintégration contrôlée d’une bulle financière.

Roosevelt aidant, ce projet fasciste des banquiers centraux échouera en 1933, et à nouveau lorsque le Golem Hitler échappera à ses maîtres de l’ombre et cessera d’obéir aux ordres de Londres. Un Nuremberg plus tard, le projet d’un Nouvel Ordre Mondial s’est poursuivi sous la forme d’une conspiration ouverte au sein de laquelle les « conspirationnistes » plus intelligents que les autres trouveraient moult indices à balancer au visage d’une gueusaille déjà fortement décérébrée.

Une guerre froide pas si froide que cela permettra à pléthore d’ingénieurs sociaux de poursuivre un travail de sape en détruisant méthodiquement, et sans se presser, le système de coopération gagnant-gagnant et l’amitié États-Unis-Russie-Chine envisagée par Roosevelt. L’un des principaux grands stratèges de cette période sombre sera l’associé de Wells (et ancien membre de la Fabian Society), Lord Bertrand Russell, qui écrira en 1952 dans son ouvrage « The Impact of Science on Society » : « Je pense que le sujet qui aura le plus d’importance politiquement est la psychologie de masse. (…) Son importance a été énormément accrue par le développement des méthodes modernes de propagande. Parmi celles-ci, la plus influente est ce que l’on appelle « l’éducation ». La religion joue un rôle, bien qu’en diminution ; la presse, le cinéma et la radio jouent un rôle croissant. (…) On peut espérer qu’avec le temps, n’importe qui sera capable de persuader n’importe qui de n’importe quoi s’il peut attraper le patient jeune et si l’État lui fournit l’argent et l’équipement. Le sujet progressera lorsqu’il sera pris en charge par des scientifiques sous une dictature scientifique. Les psychologues sociaux de l’avenir auront un certain nombre de classes d’écoliers sur lesquelles ils essaieront différentes méthodes pour produire une conviction inébranlable que la neige est noire.

On arrivera bientôt à plusieurs résultats. Premièrement, l’influence de la maison est obstructive. Deuxièmement, l’on ne peut pas faire grand-chose si l’endoctrinement ne commence pas avant l’âge de dix ans. Troisièmement, les versets mis en musique et entonnés de manière répétée sont très efficaces. Quatrièmement, l’opinion selon laquelle la neige est blanche doit être considérée comme un goût immodéré pour l’excentricité.

Mais j’anticipe. Il appartient aux futurs scientifiques de préciser ces maximes et de découvrir exactement combien il en coûte par tête pour faire croire aux enfants que la neige est noire, et combien il en coûterait moins pour leur faire croire qu’elle est gris foncé. »

J’en arrive alors à un autre morceau, et non des moindres, de ce puzzle morbide. Je veux parler d’un individu, frère d’un autre écrivain connu pour avoir rédigé « Le Meilleur des Mondes ». Sir Julian Huxley (fondateur de l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture) en 1946 a déclaré en écho à la vision dystopique de son ami Russell : « La morale de l’UNESCO est claire. La tâche qui lui incombe de promouvoir la paix et la sécurité ne pourra jamais être entièrement réalisée par les moyens qui lui sont assignés : éducation, science et culture.

Elle doit envisager une certaine forme d’unité politique mondiale, que ce soit par le biais d’un gouvernement mondial unique ou autrement, comme le seul moyen certain d’éviter la guerre (…) dans son programme éducatif, elle peut souligner la nécessité ultime d’une unité politique mondiale et familiariser tous les peuples avec les implications du transfert de la pleine souveraineté des nations séparées à une organisation mondiale. »

Mais quel but était donc visé ? Huxley l’expose plusieurs pages plus loin : « Pour l’instant, il est probable que l’effet indirect de la civilisation soit dysgénique au lieu d’être eugénique, et en tout cas il semble probable que le poids mort de la stupidité génétique, de la faiblesse physique, de l’instabilité mentale et de la propension à la maladie, qui existe déjà dans l’espèce humaine, s’avérera un trop lourd fardeau pour qu’un réel progrès puisse être atteint.

Ainsi, même s’il est tout à fait vrai que toute politique eugénique radicale sera pendant de nombreuses années politiquement et psychologiquement impossible, il sera important pour l’UNESCO de veiller à ce que le problème eugénique soit examiné avec le plus grand soin et que l’esprit public soit informé des questions en jeu afin que beaucoup de ce qui est aujourd’hui impensable puisse au moins devenir pensable. »

Comprenez-vous bien les enjeux et les idées que ces psychopathes colportent depuis plus d’un siècle ? Après la Seconde Guerre Mondiale, la guerre froide ne fut qu’une bien mince couverture, la réalité est que le rideau de fer n’était destiné qu’à enrhumer les esprits pour imposer une infiltration et une colonisation complètes des citoyens de la communauté transatlantique qui avait tant donné pour arrêter le fascisme. L’accent a été mis en particulier sur la jeune génération des « baby-boomers », qui allait subir le conditionnement le plus intensif de toutes les générations de l’histoire.

Alors qu’au même titre qu’une psychose covidienne on pousserait les populations vers la terreur nucléaire constante, des guerres opposeraient des armées régulières à des forces irrégulières à l’étranger et des révolutions de la contre-culture drogue-sexe-rock’n’roll seraient partout menées. La Bête avançait ses pions sans se hâter, mode fabienne : assassinat de Bobby Kennedy, éviction de De Gaulle, le décor était planté pour une nouvelle phase de colonisation des États nations occidentaux par le flottement du dollar américain qui allait devenir du véritable papier cul puisque menant à la destruction du système de réserves d’or qui avait servi de base au système de Bretton Woods après 1945.

La spéculation à court terme a toujours été un outil de la City de Londres. Mais tant que les taux de change étaient fixes, la guerre économique contre les nations par la spéculation à court terme n’était pas possible. Pourquoi ? Parce que la stabilité offerte par des taux de change fixes permettait de planifier à long terme des infrastructures à grande échelle et d’autres projets scientifiques qui exigeaient patience et prévoyance, ce que la pensée à court terme axée sur le marché ne permet pas.

La déréglementation post-1971, apporta l’idée de « valeur » laissant la place à Mammon et ses désirs égoïstes non limités par la réglementation. L’idée était là, et la petite graine du profit à court terme pouvait germer réquisitionnées par des sociétés et des banques privées qui fusionnaient de plus en plus les unes avec les autres à l’ère de la « survie du plus fort ».

Plus ces entités supranationales interconnectées fusionnaient, plus les leviers du pouvoir économique étaient arrachés aux États-nations souverains pour passer aux mains de la finance privée redevable à des forces antagonistes à l’humanité. Au cours de ce processus, les secteurs autrefois productifs de l’économie qui donnaient de la vitalité aux nations ont été atrophiés et externalisés à l’étranger.

Les taux normaux d’investissement dans l’entretien et l’amélioration des infrastructures à forte intensité de capital se sont arrêtés et les secteurs industriels ont été fermés et déplacés vers des secteurs de main-d’œuvre bon marché à l’étranger, qui sont eux-mêmes devenus de nouvelles zones d’esclavage moderne approvisionnant le consumérisme occidental en « biens bon marché » provenant de Chine et en ressources bon marché volées au Sud.

Alors que la croissance monétaire était auparavant liée à la croissance de la production industrielle, le paradigme de l’après-1971 a lié la croissance monétaire à des taux toujours plus élevés de dettes impayables et de capitaux spéculatifs sans lien avec le monde réel. C’est ici que j’en reviens à de sombres personnages déjà entrevus. Au cours de cette année fatidique de 1971, deux entités seront créées. En janvier 1971, en Suisse, un protégé d’Henry Kissinger, Klaus Schwab, va créer le futur Forum économique mondial (FEM ou WEF) ».

L’un des principaux membres fondateurs en sera Maurice Strong, un élitiste canadien lié à Rockefeller qui était devenu l’un des pères fondateurs du mouvement environnemental moderne et le co-architecte du Club de Rome. L’une des initiatives que Strong avait contribué à mettre sur pied en 1970 était la 1001 Nature Trust, un projet consacré à la collecte de capitaux pour le Fonds mondial pour la nature (WWF) et le nouveau mouvement environnemental. L’un des fondateurs du WWF ? Sir Julian Huxley.

L’autre entité formée en 1971 sera le groupe de banques Rothschild Inter-Alpha sous l’égide de la Royal Bank of Scotland. L’intention déclarée de ce groupe se trouve dans le discours de 1983 de Lord Jacob Rothschild : « deux grands types d’institutions géantes, la société mondiale de services financiers et la banque commerciale internationale dotée d’une compétence commerciale mondiale, peuvent converger pour former le conglomérat financier ultime, tout-puissant et à plusieurs têtes. »

Rothschild faisait ici référence à la destruction des lois de séparation bancaire dit Glass-Steagall Act, de part et d’autre de l’Atlantique, qui avaient maintenu les activités de banque commerciale, de banque d’investissement et d’assurance compartimentées dans des mondes séparés depuis la Seconde Guerre mondiale.

En 1986, cette destruction des cloisons dans le secteur bancaire a commencé avec le Big Bang de Margaret Thatcher, suivi peu après par la destruction des Quatre Piliers par le Canada. Bien que cela ait pris 14 ans de plus, le dernier clou a été planté dans le cercueil du Glass-Steagall lorsque Clinton a détruit la loi dans l’un des derniers actes de son mandat. À partir de ce moment, les contrats dérivés, qui ne représentaient que 2 000 milliards de dollars en 1991 et 80 000 milliards de dollars en 1999, ont rapidement atteint plus de 650 000 milliards de dollars lorsque le marché immobilier a explosé aux États-Unis en 2007.

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Mais qui es-tu tonton, d’où venez-vous, toi et tes idées ? (Partie 2)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

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L’effondrement lui-même a déjà eu lieu. Le choc s’est produit et un tsunami se forme. Il frappera le front de mer (nos vies) avec des conséquences dévastatrices. La question est donc, concernant ces fous de poussière intelligente : QUEL sera le système d’exploitation qui sera mis en ligne pour remplacer le chaos de la chaîne d’approvisionnement, l’hyperinflation, la pénurie et la violence qui s’ensuivront ?

Comme je le dis souvent, deux modèles opposés s’affrontent avec nous tous au milieu, pris en étaux. Deux approches divergentes sont ici présentes dans le développement de l’intelligence artificielle. Même Poutine a fait l’apologie de l’IA. Il y a d’un côté l’Agenda de Davos : la « Grande réinitialisation » de tonton Schwab, et de l’autre, un système opposé, dirigé par les nations non invitées au récent « sommet de la démocratie mondiale » et qualifiées « d’autoritaires » par Soros et la clique du Davos.

António Guterres, né le 30 avril 1949 à Lisbonne, secrétaire général des Nations unies depuis le 1er janvier 2017, fait partie du premier camp, celui de Schwab. Il est même allé jusqu’à signer en juin 2020 le traité d’intégration de l’ONU-WEF, en annonçant : « La Grande réinitialisation est une reconnaissance bienvenue que cette tragédie humaine doit être un appel au réveil. Nous devons construire des économies et des sociétés plus égales, plus inclusives et plus durables, plus résilientes face aux pandémies, au changement climatique et aux nombreux autres changements mondiaux auxquels nous sommes confrontés. »

J’ajouterais, tragédies humaines qu’ils créent de toute pièce !

D’un côté, nous avons un programme de dépeuplement géré « scientifiquement » depuis le sommet, et de l’autre, un système affirmant le droit des nations souveraines à continuer comme seule base légitime du droit international.

Les termes du nouveau système ont récemment été réaffirmés dans la déclaration conjointe Russie-Chine. Je ne suis ni pro ni anti russe, mais Poutine lui-même a récemment déclaré : « Seuls les États souverains peuvent répondre efficacement aux défis de l’époque et aux demandes des citoyens. Par conséquent, tout ordre international efficace devrait tenir compte des intérêts et des capacités des États et procéder sur cette base, et non essayer de prouver qu’ils ne devraient pas exister. En outre, il est impossible d’imposer quoi que ce soit à quiconque, qu’il s’agisse des principes qui sous-tendent la structure sociopolitique ou des valeurs que quelqu’un a qualifié arbitrairement « d'universelles ». Après tout, il est clair que lorsqu’une véritable crise survient, il ne reste qu’une seule valeur universelle, à savoir la vie humaine, que chaque État décide lui-même de protéger au mieux en fonction de ses capacités, de sa culture et de ses traditions. »

Je préfère nettement entendre ça plutôt que les propos du nazi Schwab du style « vous ne posséderez rien et serez heureux » et dont vous connaissez désormais les origines. On doit toujours aller chercher le mal à sa racine et c’est pourquoi j’ai écrit « Le Centième Gueux », en deux tomes.

Dans le premier j’y parle du mal et de l’un de ses nombreux artifices qui fut la Fabien Society, un cercle de réflexion et un club politique anglais de centre-gauche (l'un des premiers think-tanks) créé en 1884.

La Fabien Society aura parmi ses rangs des personnalités telles que George Bernard Shaw ou Herbert George Wells (1866-1946), l’écrivain prolifique à qui nous devons notamment des livres de science-fiction, comme : « La Machine à explorer le temps », « L'Île du docteur Moreau », « L'Homme invisible » et surtout « La Guerre des mondes ».

Ce qu’on sait beaucoup moins, c’est qu’il est également l'auteur de nombreux romans de satire sociale, d'œuvres de prospective, de réflexions politiques et sociales ainsi que d'ouvrages de vulgarisation touchant aussi bien à la biologie et à l'histoire qu'aux questions sociales. En 1928, il écrira un opus intitulé « The Open Conspiracy : Blueprint for a World Revolution », appelant à un gouvernement mondial et à la dépopulation.

En effet, agissant en « bon membre » de la Fabian Society, repère d’eugénistes et de malthusiens britanniques, Wells rêvait à un nouvel ordre social destiné à modeler la société en un nouvel ordre mécanisé dirigé par une élite d’en haut, le tout sans se hâter.

Cette philosophie fabienne était d’ailleurs illustrée par un vitrail représentant George B. Shaw et Sidney Webb sous les traits de forgerons martelant le monde à leur propre image séculaire, ainsi que par le bouclier du logo fabien représentant un loup déguisé en agneau.

Tels des serpents, les Fabiens ont compris qu’il valait mieux promouvoir une lente infiltration en utilisant les techniques des Jésuites de perméation. Tel le WEF de tonton Klaus, ils aimaient à pénétrer l’esprit des personnes politiquement influentes en leur fournissant des programmes, des idées, des opinions et des recherches lourdement documentées par des statistiques qui pourraient être commodément intégrées dans la politique publique.

Ainsi, tout au long du 20e siècle, la Fabian Society a pénétré toutes les branches : gouvernements, armée, universités, médias et même les conseils d’administration des entreprises privées du monde entier, créant une cinquième colonne opérant au sein de cellules, tel le vaccin covid, pour en modifier l’ADN directeur au profit d’idées satanistes. Et comme on n’attire pas les mouches avec du vinaigre, la plèbe était attirée par les « mots » promus par les Fabiens, tels que l’égalité, la justice sociale et la redistribution des richesses en utilisant des termes marxistes, sans jamais se rendre compte qu’ils n’étaient et ne sont toujours qu’une douce illusion sans aucune prétention à la réalité.

Tous les principes humains reprenant la pyramide de Nemrod, premier maçon post déluge, de nombreux Fabiens n’ont jamais eu la moindre idée de ce qu’était réellement l’organisme dont ils dépendaient. C’est pourquoi le parti travailliste britannique (alias le parti fabien) était si souvent occupé par des membres bien intentionnés qui n’ont jamais eu la moindre idée des enjeux réels.

L’école officielle des Fabiens est ainsi devenue, parallèlement à d’autres, un centre de contrôle idéologique et un lieu de recrutement pour la nouvelle génération de talents, tout comme plus tard le WEF de tonton Schwab.

En fait, au cours du 20e siècle, la Fabien a copieusement copulé avec moult congloméras oligarchiques dont la liste serait ici trop longue et inutile à retranscrire. Qu’il suffise de dire que Lord Milner de la Table ronde sera l’un de ses comparses bien utile pour élaborer une stratégie pour l’Amérique du Nord en 1908 ou la fondation de la Canadian Fabian Society par cinq boursiers Rhodes en 1932.

En 1934, George Bernard Shaw exposera clairement, style Yuval Noah Hariri, la philosophie pro-eugéniste des Fabiens, déclarant : « Dès que nous y faisons face franchement, nous sommes amenés à la conclusion que la communauté a le droit de mettre un prix sur le droit de vivre en son sein … Si les gens sont aptes à vivre, laissez-les vivre dans des conditions humaines décentes. S’ils ne sont pas aptes à vivre, tuez-les d’une manière humaine décente. Faut-il s’étonner que certains d’entre nous soient poussés à prescrire la chambre létale comme la solution pour les cas difficiles qui servent actuellement d’excuse pour ramener tous les autres cas à leur niveau, et comme la seule solution qui suscitera un sentiment de pleine responsabilité sociale chez les populations modernes ? ».

HG Wells n’était pas en reste, lui qui déclarait dès 1904 : « La nature a toujours eu pour principe de tuer les plus arriérés, et il n’y a toujours pas d’autre moyen, à moins que nous puissions empêcher la naissance de ceux qui deviendraient les plus arriérés. C’est dans la stérilisation des ratés, et non dans la sélection des réussis pour la reproduction, que réside la possibilité d’une amélioration du stock humain. »

Voilà pourquoi Wells a toujours introduit dans ses récits, style Netflix et bien d’autres, des chevaux de Troie fort utiles à conditionner l’esprit à travers le temps et destinés à persuader l’humain qu’il n’est qu’un parasite sur cette planète plutôt qu’un être utile, que la science et la technologie seront donc toujours utilisées à des fins égoïstes et destructrices (seul point où je le rejoins) ; et qu’une gouvernance mondiale est le seul salut pour l’humanité. Ce dernier point ainsi que celui de la collectivisation des richesses sous un commandement central étaient également des thèmes avancés par Wells.

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Mais qui es-tu tonton, d’où venez-vous, toi et tes idées ? (Partie 1)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Dans un précédent article j’ai déjà évoqué les liens unissant Kissinger, l’éminence grise du Deep State, à notre tonton nazi. Je vais les approfondir plus encore. En effet, le système financier se dirige clairement vers un point de dissolution voulu par son club de psychopathes. Un club dont voici les origines. Globalement, Klaus Schwab aura eu trois mentors : les trois plus influents personnages de la dissuasion nucléaire américaine ainsi que les principaux partisans d’une gouvernance mondiale.

Henry Kissinger a recruté Schwab au séminaire international de Harvard, financé par la CIA. À cette époque, Kissinger se concentre sur la gouvernance mondiale et la dépopulation. Mais c’est au sein du Council of Foreign Relations (CFR) que Kissinger va devenir un acteur majeur du système, en concevant des opérations psychologiques impliquant l’arsenal nucléaire croissant des USA, et en écrivant un livre sur ces armes et les relations étrangères. Une autre éminence grise est John K. Galbraith (1908-2006), un économiste américano-canadien. Il sera le conseiller économique de différents présidents des États-Unis : Franklin Delano Roosevelt, John Fitzgerald Kennedy et Lyndon B. Johnson.

Auteur de très nombreux livres et articles, choyé par les médias, il sera à ce titre l'économiste le plus lu du 20e siècle. Il va aider Schwab à créer son Forum Economique Mondial. Galbraith, cet économiste de Harvard, va se rendre en Allemagne, en 1938, afin d’y étudier les politiques foncières sous le gouvernement national socialiste d’Hitler. À partir de là, il va travailler dans un comité consultatif pour le New Deal de Franklin D. Roosevelt (ou comment organiser de son vivant son propre mémorial, à la charge du contribuable étasunien).

Après la Seconde Guerre Mondiale, son travail sera orienté sur les armes nucléaires. Il sera chargé d’évaluer les effets économiques globaux des bombardements en temps de guerre. Il aura de nombreux entretiens avec le criminel de guerre Albert Speer (1905-1981), architecte et homme d'État allemand, ministre du Troisième Reich et proche de Hitler. Galbraith sera aussi envoyé à Hiroshima et Nagasaki pour y étudier les dommages causés par les deux bombes nucléaires. En 1968, il rejoint Kissinger dans sa quête de gouvernance mondiale.

C’est à cette époque que Kissinger va le présenter à Klaus Schwab, ainsi qu’à un troisième larron : le futurologue Herman Kahn (1922-1983).

Employé par la RAND Corporation, Kahn va d'abord s’imposer comme penseur de la géostratégie et théoricien des systèmes, avant de devenir l’âme d’un « think tank », l’Institut Hudson. Il s'efforça de penser les conséquences d'une guerre nucléaire ce qui l'amènera à préconiser le développement de techniques de survie appropriées. Elles feront d’ailleurs de lui l'une des sources d’inspiration du film satirique de Stanley Kubrick, « Docteur Folamour ».

C’est Kahn qui, en 1967, avait suggéré de contourner les « démocraties » en formant un petit groupe de dirigeants mondiaux. Ceux qui deviendront plus tard les fameux Young Global leaders de Schwab.

Prouvant que l’Union Européenne n’est qu’une construction du Deep State, par CIA interposée, à la fin des années soixante, Kahn milite pour une Union Européenne. Il rejoint Galbraith en 1970 pour une tournée de conférences en Europe afin de soutenir la campagne de recrutement de Klaus Schwab pour le premier symposium européen sur le management, aujourd’hui connu sous le nom de Forum économique Mondial de Davos.

Pendant le même temps Schwab va aider à fusionner la société d’armement nucléaire de son père en une société dont il prendra ensuite la direction afin de construire illégalement des armes nucléaires pour le gouvernement Sud-Africain.

Mes articles peuvent quelquefois paraître décousus, il n’en est rien. Et si j’insiste autant sur l’écologie, « le réchauffement climatique », c’est que tout est lié pour nous amener à leur « religion verte » destinée à un holocauste.

Ainsi en revenons-nous à l’année 1972, date à laquelle le Club de Rome publie son rapport « Les limites de la croissance ». C’est en effet ce rapport qui va planter définitivement la graine d’un agenda de dépopulation mondial dans l’esprit de ces satanistes.

Pourquoi ?

Parce que c’est ce rapport qui va vraiment catapulter Schwab aux yeux des instances internationales. C’est lorsqu’il va présenter ces idées concernant la dépopulation, en invitant son créateur, que tous les feux vont se braquer sur lui.

En effet, en 1972, Schwab va inviter le créateur du Club de Rome à faire le discours d’ouverture du Forum en devenir, en 1973. Et à partir de ce moment, comme par magie, le Forum va se mettre à briller, attirant à lui l’élite internationale, tous intéressés par ce sombre projet de dépopulation mondial.

https://vecteur-douceur.over-blog.com/2020/01/tout-est-prevu-et-depuis-longtemps.html

Maintenant que ces informations vous ont été apportées, écoutez un instant (2mn), Yuval Noah Harari, conseiller de Klaus Schwab. Car, dans la continuité de mon propos, c’est le genre d’individu qui proclame : « L'idée que les humains ont une âme ou un esprit et qu'ils ont le libre arbitre. C'est fini. »

https://twitter.com/i/status/1520234809075068928

Pensez alors que Macron, réélu, n’est qu’une marionnette de ces illuminés, programmé à obéir et détruire nos libertés. S’il est indétrônable, c’est bien dans ce seul et unique but.

Les livres d’Harari se vendent par millions, des « personnalités éminentes » l’apprécient dont : Bill Gates, Mark Zuckerberg, Barack Obama, etc. Laurent Alexandre, également, partage sa vision de l’avenir de l’humanité : « Il y aura ceux qui savent et qui maîtrisent l’Intelligence artificielle et les inutiles. »

Courons vite nous faire injecter une puce pour être libres et tellement intelligents !!

J’y ai déjà consacré de nombreux articles. Il fut un temps (pas si loin) ou un individu comme moi, dit « complotiste », éprouvait beaucoup de mal à créditer son propos de preuves tangibles. Ce temps est désormais révolu et dès 2017, notamment concernant les fameuses poussières intelligentes auxquelles Schwab fait souvent référence, le médecin-chef de Moderna Inc., nous expliquait en toute décontraction et avec des mots simples comment agit la technologie de l’ARNm dans les vaccins et comment elle « pirate le logiciel de la vie ».

Dans un Talkshow daté de 2017, le Dr Zaks expliquait la nécessité de « pirater le logiciel de la vie » en modifiant le code génétique des êtres humains en associant les cellules humaines à un système d’exploitation.

Dans cette émission il déclarait en toute transparence que : "Au cours des 30 dernières années, nous avons vécu cette révolution scientifique numérique phénoménale, et je suis ici aujourd’hui pour vous dire, que nous piratons en fait le logiciel de la vie, et que cela change la façon dont nous pensons à la prévention et au traitement des maladies … Dans chaque cellule, il y a cette chose appelée ARN messager ou ARNm, qui transmet les informations critiques de l’ADN dans nos gènes à la protéine, qui est vraiment ce dont nous sommes tous faits. Ce sont les informations critiques qui déterminent ce que fera la cellule. Nous pensons donc à cela comme un système d’exploitation. Donc, si vous pouviez changer cela, si vous pouviez introduire une ligne de code, ou changer une ligne de code, il s’avère que cela a de profondes implications pour tout, de la grippe au cancer ».

Je vous explique depuis longtemps sur ce blog, que ces psychopathes assimilent notre biologie à un système d’exploitation informatique. Cette bio-informatique existe bel et bien depuis plusieurs décennies et elle a fait de nombreux progrès peu connus du grand public.

N’oubliez jamais que l’invention du séquençage de l’ADN par Frederick Sanger remonte déjà au milieu des années 70. Depuis, la masse d’information sur notre génome est stockée et partagée par la communauté scientifique au sein de puissantes bases de données. Et ce ne sont pas les récents prélèvements réalisés sur les populations par le biais des faux tests PCR, qui auront arrangés la chose.

La bio-informatique intervient dans le séquençage de nos gènes et l’utilisation de puces à ADN (ou biopuces). Notre ADN est composé de deux brins complémentaires formant une structure en double hélice. Ces puces permettent de reformer spontanément cette double hélice face à un brin d’ADN complémentaire. Ils créent alors de l’ADN synthétique pouvant se combiner à notre ADN naturel et ainsi modifier nos gènes. C’est une réalité et certainement plus de la science-fiction.

Dès lors, la porte est pour eux ouverte à une approche pluridisciplinaire intégrant la micro-électronique, la chimie, l’analyse d’images, la bio-informatique, les mathématiques, la biologie moléculaire, les nanotechnologies… les fameuses poussières de Schwab. De là à en arriver à cette fameuse pandémie covid qui a fait bander de joie le vieux Schwab mais avec viagra, il n’y avait qu’un pas à franchir, et c’est celui du faux vaccin.

Ce « vaccin » à ARNm pénètre le noyau des cellules humaines qu’il reprogramme. Comme un nouveau logiciel venant balayé celui donné par le Ciel, il donne alors de nouvelles instructions à l’individu, comme la production de protéines spike qui ne sont pas naturellement induites par notre organisme. Information essentiel que les merdias se sont bien gardés de divulguer pour inciter à la vaccination de masse. Le Dr Campra a décelé plus de 110 nanotechnologies différentes dans les 4 vaccins commercialisés en Occident (Moderna, Janssen, Pfizer et AstraZeneca).

Dois-je vous rappeler les propos de Yuval Noah Hariri ? qui justifie « la surveillance biométrique de l’être humain » et affirme avoir « besoin de réécrire le code du vivant » ou encore que « les humains sont des animaux que l’on peut pirater ».

De l’eugénisme aux thèses totalitaires, il n’y a souvent qu’un pas vite franchi. Avec l’inoculation de nanotechnologies à l’insu des citoyens, la violence de l’acte a précédé celle de la parole. Ils ont à l’insu des peuples inoculé un logiciel de mort remplaçant celui que Dieu nous avait donné : un logiciel de vie. C’est pourquoi la Bible parle de marque de la Bête.

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2022/05/mais-qui-es-tu-tonton-d-ou-venez-vous-toi-et-tes-idees-partie-2.html

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Souviens-toi mon ami (e) ! (Partie 4 et fin)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

L’administration Biden a surtout arrêté l’économie à cause d’un gros rhume de cerveau à la mode inventé par Fauci et des chauves-souris folles. Pour compenser, Biden a commencé à distribuer de l’argent à gauche et à droite. Ainsi, nous avions plus d’argent et moins de produits puisque tout était à l’arrêt, ce qui a provoqué une hausse des prix.

En ce moment, avant que de rebrancher la photocopieuse, la Réserve fédérale expérimente l’augmentation des taux d’intérêt afin de contrôler l’inflation. Cela entraînera la faillite de nombreuses entreprises occidentales surendettées, l’arrêt de la production et le licenciement de leurs employés, il faudra alors davantage de papier cul, ce qui fera augmenter l’inflation puisque nous appartenons tous, l’occident, à cette chaine.

Voyez-vous comme le système est infiniment perfide ; comme ses maîtres. La Fed ramènera alors les taux d’intérêt à zéro. Il est possible de répéter l’opération aussi souvent qu’on le souhaite. C’est une espèce de respiration planétaire pour les riches. Sa fonction en est d’étouffer les pauvres.

Mais ce n’est hélas pas tout ! Le deuxième type d’inflation est plus difficile à expliquer. Supposons que vous possédiez une entreprise qui fabrique justement ce papier cul et l’expédie chez Joe Biden.

Dans un contexte de faible inflation, vous n’avez aucun intérêt à le stocker et d’attendre que les prix augmentent. Vous perdriez des revenus, et vos concurrents pourraient profiter de cette ouverture pour réduire votre part de marché. En revanche, lorsque l’inflation est élevée, elle fait plus que compenser le coût du stockage des invendus, ce qui lui confère une valeur supérieure à celle de l’argent, et il est parfaitement logique de laisser un navire rempli de papier toilette rester à quai ou en mer pendant quelques semaines au lieu de le décharger.

Imaginez maintenant que tout le monde fasse alors pareil et repensez-donc un instant à toutes ces vidéo montrant tous ces cargos restés au mouillage juste à côté de Los Angeles. Encore une fois, c’est du réchauffé, du rincé et du répété, mais du concret.

Au fil du temps, paradoxe des paradoxes, avec leur système d’argent-dette, une quantité infinie d’argent permet d’acheter zéro produit et tous les soi-disant économistes seront soit « mourus », soit retournés à faire du jardin. Quoi qu’il en soit, et c’est pour cela que j’insiste autant auprès de mes lecteurs, sachez-le bien : l’ère de la rareté des ressources est arrivée. Nous allons droit vers une telle défaillance du marché, que les produits essentiels deviendront totalement indisponibles pour n’importe quelle somme d’argent.

Pourquoi ? Les produits continueront d’exister, l’argent aussi, et il y en aura probablement BEAUCOUP. Ce qui sera transformé, c’est l’argent lui-même victime de sa mauvaise renommée et de plus en plus inutile. De quoi en perturber plus d’un ! Ce sera le crépuscule du dieu Mammon. Mais avant de mourir, il aura lâché une horde de démons sur nos vies de pauvres : une hyperinflation possédant, tout comme couillonavirus, moult variants dont on ignore encore pour l’instant l’extrême virulence, tant ils seront imprévisibles.

Aucun vaccin n’y fera, la connerie humaine ayant donné à beaucoup trop une immunité soi-disant collective contre tout bon sens. Psychologiquement, il convient de vous habituer à la disparition de ce monde déjà pervers où il y a toujours eu un peu de pression excessive sur les salaires, ce qui entraînait une inflation des salaires et, à son tour, un peu trop d’argent dans l’économie par rapport aux produits qui pouvaient l’absorber, ce qui a produit une inflation des prix.

Un peu d’inflation des salaires et des prix autour de 2 %, c’est ce que les économistes appelaient « taux d’inflation optimal ». Dans ce « joli monde », les banques les utilisaient pour fixer les taux d’intérêt sur les prêts et les dépôts. Il existait également un « taux de chômage optimal ». Il permettait d’atteindre presque le plein emploi tout en maintenant les travailleurs suffisamment effrayés pour qu’ils ne demandent pas de salaires plus élevés.

C’était une gentille dystopie où régnait déjà une bande de capitalistes impitoyables et leurs esclavagistes qui, pendant un certain temps, ont trouvé opportun de soudoyer la classe ouvrière juste assez pour l’empêcher de se transformer en communiste et de les pendre. Ces esclavagistes capitalistes sont même allés jusqu’à permettre à une classe moyenne de se développer pendant un certain temps.

Puis, au cours des 30 années qui ont suivi la disparition de l’URSS et la disparition du fantôme du communisme, la classe moyenne a été systématiquement démantelée parce qu’il n’y a plus de nécessité politique pour elle. L’opération Covid-19 était chargée de l’éradiquer définitivement selon le souhait de Klaus Schwab et afin d’instaurer son 4e Reich où « vous ne posséderez rien mais serez heureux ».

Je vous parle là d’une économie boîte noire qui fonctionne avec de l’argent. Le flux d’argent est contrôlé à l’aide de quelques boutons, dont la manipulation correcte produit la croissance économique, une faible inflation et le plein emploi. Si la croissance stagne ou si l’inflation devient trop faible, des mesures de stimulation sous forme de baisse des taux d’intérêt permettent de la relancer. Si la croissance est bonne, mais que le chômage est trop faible et l’inflation trop élevée, on dit que l’économie est en surchauffe et on augmente les taux d’intérêt pour y remédier.

Si cela ne fonctionne pas, il est temps de remplacer le président de la Réserve fédérale par une nouvelle marionnette. Et si cela ne fonctionne pas non plus, alors quoi ? Que faire si la croissance reste faible et que le chômage reste élevé malgré de nombreuses années de taux d’intérêt pratiquement nuls, alors que l’inflation bat tous les records ? Et si le moindre geste dans le sens d’une hausse des taux d’intérêt pour lutter contre l’inflation fait s’évanouir toute l’économie faisant tomber les entreprises comme des mouches, il est peut-être temps de se procurer une nouvelle boîte noire, car celle-ci est clairement cassée.

C’est celle du Great Reset déjà annoncé en 2014 par la grande Cricri Lagarde à Davos et repris en cœur depuis, par toute la clique des Young Global Leaders sodomites de Schwab.

Nos économistes occidentaux sont, pour la plupart, des constipés du cerveau, leur culte les oblige à respecter un dogme : une économie de marché libérale fondée sur des droits de propriété privée absolus et l’utilisation sans entrave du capital privé dans un régime économique mondialisé sans frontières ni intérêts nationaux est le seul choix possible. Tout le reste n’est traité que de socialiste, communiste, antidémocratique, autoritaire, et doit être détruit à l’aide de sanctions économiques ou de campagnes de bombardement.

Et si les sanctions économiques ne fonctionnent pas et qu’une campagne de bombardement serait suicidaire (comme c’est le cas avec la Russie ou la Chine), alors quoi ?

C’est alors qu’ils se trouvent confrontés aux non-sens idéologiques des valeurs occidentales qu’ils vantent : droits de l’homme, caractère sacré de la propriété privée, libre circulation des capitaux et démocratie. Car elles sont loin d’être universelles ;  elles sont réservées aux membres d’un club imposant des sanctions économiques ou des bombardements à quiconque ne lui plaît pas.

Tous ceux qui ne sont pas membres du club des démocraties libérales peuvent ainsi crever, leurs vies ne comptent pas. Quant aux propres ouailles de ces prêtres, il est parfaitement acceptable de les obliger à subsister dans une pauvreté extrême tout en étant étroitement contrôlés par un État policier autoritaire.

Ainsi, qu’on aime ou pas Poutine et les Russes, on peut leur dire merci d’avoir bombardé ce club de pourris, de l’avoir fait concrètement en Ukraine sur les laboratoires P4 et les rampes de missiles que les USA, et depuis longtemps, avaient tranquillement installés au nez et à la barbe de Poutine en ne respectant aucun des accords pourtant signés.

Une arme biologique, je le répète, agit au gré du vent, et le vent tourne, même si, au préalable, il soufflait en direction de Moscou. Pensez-y avant d’envoyer de l’argent et des armes à des bataillons de nazis ukrainiens (je ne parle pas ici du peuple qui lui souffre).

Poutine a mis un grand coup de pied dans le club des Soros, Gates, Attali, Macron, Zelensky, Trudeau et tant d’autres qui n’aiment pas les pauvres

Pour eux, cette gueusaille de bas étage n’est même pas autorisée à subvenir à ses propres besoins, parce que les pauvres ne comptent pas non plus.

On en revient alors au souhait d’une élite désireuse de 500 millions d’esclaves (https://vecteur-douceur.over-blog.com/2020/01/tout-est-prevu-et-depuis-longtemps.html ) mais pas plus car les commodités de la civilisation ne sont destinées qu’aux riches et à quelques-uns de leurs fidèles serviteurs. Le reste n’est que menu fretin, une énième ressource pour l’utilisation du capital privé.

Fin.

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Olivier

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