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LA VOIE DOUCE

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Mon dernier livre vient de sortir, pour le printemps. Nous sommes à l’aube d’un immense changement, mensonges et escroqueries vont sortir de partout. Big Pharma et sa « science » de malfaisants n’y font pas exception. Lui et ses sbires vont prochainement se vautrer dans leurs miasmes mensongers. Au beau milieu de tout cela ; tel un goutte à goutte et de manière homéopathique, la Vérité s’infiltre peu à peu pour se charger de la vraie vie. Venez-donc vous abreuver à un autre discours. Ecoutez ! Il ruissèle désormais ; c’est celui de la Vérité.

Il y a quatre ans déjà, dans De Mammon à Corona, je dénonçais la monstrueuse escroquerie du Covid-19.

Désormais, la Vérité éclate de partout, sauf en France.

Avec mon nouveau livre, telle une voie douce, venez prendre une longueur d'avance avec ce que sera bientôt la médecine du futur : celle qui soigne et ne tue pas.

Olivier

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DES MARCHANDISES (Partie 6 et fin)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/03/des-marchandises-partie-1.html

Mais vous êtes bien plus qu’un bout de papier, bien qu’encore inconscient de cela : La Fiducie, ou comment l’acte de naissance devient un contrat commercial. Dans un contrat, il y a 3 parties : Le constituant, l’exécutant et le bénéficiaire. Dans le cadre de l’acte de naissance, le constituant ce sont vos parents. L’exécutant, c’est l’officier d’état civil qui envoie la déclaration de naissance au greffe (tribunal) qui rédige l’acte de naissance original, et en fait des copies. Le bénéficiaire, c’est vous.

Faites l’expérience de VOULOIR remettre la main sur votre acte de naissance original, vous verrez. Il est aux archives de votre mairie de naissance, mais on ne vous y donnera pas accès, cela voudrait dire que vous reprenez votre souveraineté et que les lois ne s’appliquent pas à vous. La fiducie remonte à l’époque romaine, le principe était que quand les propriétaires terriens s’en allaient en conquête ou en mission diplomatique pour l’empereur, ils déléguaient la gestion de leur terre en leur absence à d’autres personnes.

Sans votre consentement et dès votre arrivée au monde, on vous crée une personnalité juridique, un acte de naissance, aussi appelée homme de paille, qui se substituera à vous. Donc vous n’êtes plus considéré(e) aux yeux de l’état comme un être vivant, mais comme une fiction, un document appartenant à la république française, vous êtes le titulaire d’une entreprise qui porte votre nom et prénom, écrite en majuscule comme pour les sociétés.

C’est pour cette raison que vous ne voyez jamais nulle part votre identité en minuscule alors qu’elle devrait l’être ! C’est votre souveraineté que l’on prend en la remplaçant par un bout de papier, sans votre accord. D’ailleurs, votre nom de famille c’est l’état qui vous le transmet, non votre père. Conformément à la loi de 1794 décrite au début de l’article. C’est pour cela que votre carte d’identité, votre acte de naissance et votre passeport appartiennent à l’état.

Vous n’en êtes que le titulaire (c’est bien inscrit dessus), et non le propriétaire, comme pour votre compte en banque. Cette personnalité juridique, dans votre parfaite ignorance, vous passez votre vie à la représenter sans savoir ce qu’elle implique.

Tous ces documents sont votre personnalité juridique que vous administrez pour le compte de l’état. Chaque gouvernement est une corporation privée. La république française est une entreprise inscrite au registre du commerce et des sociétés depuis 1947, numéro de SIRET 100000017. C’est elle qui est propriétaire de votre personnalité juridique (identité en majuscule). Votre voiture, votre maison, votre compte en banque, votre télé, l’état peut les saisir car tout ce que vous achetez au titre de votre personnalité juridique appartient à l’état. Même vos enfants.

La vie d’un français à la naissance est évaluée en moyenne à 3 millions d’euros. C’est comme cela aujourd’hui que le gouvernement français obtient des prêts via des banques privées (par lesquelles il a obligation de passer depuis 1973). Votre vie est déjà payée à votre naissance. C’est aussi de cette manière que les assurances vie sont calculées, et il y a eu une avancée majeure pour simplifier la chose : la sécurité sociale.

Les ordonnances des 4 et 19 octobre 1945 créent une organisation de la Sécurité Sociale qui fusionne toutes les anciennes assurances (maladie, retraite…) et garantit à chacun qu'en toutes circonstances il disposera des moyens nécessaires pour assurer sa subsistance et celle de sa famille dans des conditions décentes. Chaque numéro de sécurité sociale agit comme un identifiant bancaire. Pourquoi recevez-vous le chômage ? Vous êtes titulaire d’une personne juridique mais qui sans le savoir, détient une somme astronomique prêtée à l’état, que vous passerez votre vie à rembourser… ou pas.

Jetez un œil également à l’article 6 de la déclaration universelle des droits de l’homme de 1948 (au-dessus de toutes lois nationales et européennes, que les magistrats semblent oublier) : « Chacun a le droit à la reconnaissance en tous lieux de sa personnalité juridique. » Ce qui signifie aussi le droit de ne pas s’en servir, de ne pas la reconnaître. Il y a les lois naturelles au-dessus de tout, et les hommes (pourtant issus des lois universelles) ont créés des lois ne s’appliquant qu’aux corporations.

Dans les lois des hommes, la déclaration universelle des droits de l’homme est au-dessus de toutes les autres lois. Dans le cas de la France, il y a ensuite les lois européennes, puis les lois nationales, puis les décrets, conventions …

Pour illustrer tout cela, prenez l’exemple  du Monopoly. Le pion avance, il va en prison, mais ce n’est pas le joueur qui va en prison, c’est le pion ! Ce n’est pas le joueur qui achète une gare, c’est le pion ! Le pion dans la vraie vie, c’est votre carte d’identité et tout se passe de cette manière. Souscrire un compte, un abonnement téléphonique, acheter une voiture, une maison. Carte d’identité oblige. Mais ce n’est pas vous, car vous n’êtes pas un bout de papier.

À la chute de l’empire Romain, beaucoup de guerres ont survenu. La vie sociale a été profondément désorganisée dans les territoires anciennement régis par l’empire romain d’occident. Dans ce contexte d’extrême dénuement social, c’est l’Église catholique qui a entrepris de reconstruire la société en organisant, dans chaque village, des services d’états civils dans le même temps qu’elle réorganisait les territoires en rendant le service de la « justice », sans lequel aucune vie en société n’est possible.

Ainsi, l’Église catholique, loin d’organiser le nihilisme social des globalistes d’aujourd’hui, a tout au contraire historiquement posé les fondements d’un renouveau de la vie collective et sociale. Nous sommes là aux antipodes des velléités globalistes actuelles qui veulent nous faire passer des vessies pour des lanternes en mettant le principe même de l’Église catholique au banc des accusés.

Si l’actuelle Église catholique a en effet trahi tous ses engagements historiques, ce n’était pas le cas de celle qui a suivi la chute de l’Empire romain : il faut bien prendre garde, dans ce domaine, de ne pas jeter le bébé avec l’eau du bain ! Car la Civilisation occidentale doit tout à l’Église catholique ! Il est également vrai que cette Civilisation devra sa très prochaine disparition à l’infiltration de l’Église catholique par les sionistes-globalistes.

Pour dire les choses autrement : l’actuelle disparition de la Civilisation occidentale est intimement liée à la disparition de l’Église catholique, laquelle a aujourd’hui renié tous ses fondamentaux historiques pour s’imprégner, jusqu’au cou, des intérêts privés propres à la cause globaliste lesquels intérêts sont de nature essentiellement esclavagiste.

L’Église catholique actuelle est l’antithèse de l’Église catholique qui a initié la Civilisation occidentale.

Pour passer à la toute-puissance de l'intelligence artificielle (IA), il convient de réfléchir en  conceptualisant l'humanité comme THE ordinateur, une machine dont les éléments ne fonctionnent cependant pas parfaitement. Le matérialisme, le nominalisme, l'évolutionnisme, la philosophie analytique (basée sur le positivisme logique) et la technocratie préparent une base théorique pour cela (diffusée et mise en œuvre par la science, l'éducation et la culture).

En un sens, l'humanité, telle qu'elle est représentée par la science et la philosophie modernes, est déjà une IA, un réseau neuronal à la fourmilière. L'IA est humaine dans la mesure où cette fameuse pensée humaine est artificielle, toute phagocytée qu'elle est déjà de la pensée unique, émulée par l'épistémologie du moderne et du postmoderne.

Séparé du Divin, l'État bourgeois post 1789 était déjà un ordinateur de première génération. La société civile est de la deuxième génération. La domination complète du gouvernement mondial est de la troisième génération. La transition vers l'IA est la quatrième génération, celle qui fait tant bander le vieux Schwab, mais sous viagra, la finalisation du processus d'aliénation.

L'histoire du capitalisme est le processus de création du superordinateur. Il est impossible de s'arrêter à mi-chemin. La nouvelle ère culminera nécessairement dans l'IA.

La seule façon de changer cela est de rejeter la modernité dans son ensemble, avec toute sa représentation scientifique du monde, qui abhorre Dieu et l'homme. Et la philosophie du genre est l'avant-dernière étape de ce parcours : les transgenres sont un échauffement avant la transition vers des individus trans-humains (l'humain est optionnel).

Après avoir rejeté le christianisme et le Moyen-Âge, l'Occident, comme les moutons, s'est précipité dans le précipice. Comment s'étonner d'être précipité vers le bas ?

L'IA est l'arrêt final d’une farandole diabolique engagée depuis longtemps déjà.

Olivier

Fin

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DES MARCHANDISES (Partie 5)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/03/des-marchandises-partie-1.html

Je reviens ici sur un chapitre de mon dernier livre qui explique clairement qu’en quelque sorte : ils nous ont tous vendu ! Nous sommes un titre boursier, une valeur mobilière. Le travail et la consommation de la vie de chacun de nous ont déjà été payés. Notre énergie (travail) n’est autre que la caution des crédits d’une société privée appelée gouvernement (SIRET 1 000 000 17).

REPUBLIQUE FRANCAISE PRESIDENCE

Administration de l'Etat, autorité constitutionnelle, immatriculée sous le SIREN 100000017, est en activité depuis 77 ans. Localisée à PARIS (75008), elle est spécialisée dans le secteur d'activité de l'administration publique générale. Son effectif est compris entre 500 et 999 salariés. Societe.com recense 1 établissement, aucun événement.

Date création entreprise 16-01-1947 - il y a 77 ans

Forme juridique Administration de l'Etat, autorité constitutionnelle Du 16-01-1947 à aujourd'hui

Administration de l'Etat, autorité constitutionnelle

Noms commerciaux      REPUBLIQUE FRANCAISE PRESIDENCE

Adresse postale 55 RUE DU FAUBOURG SAINT HONORE 75008 PARIS

Numéros d'identification

Numéro SIREN 100000017

La vraie matrice, c’est ça ! ils nous ont dupliqué virtuellement, faisant de chacun de nous leur esclave éternel. Un homme de paille, un bout de papier qui porte le même nom que nous lorsqu’il est prononcé et c’est là, que réside la monstrueuse tromperie maçonnique autant qu’ironique.

Depuis 1794, la Loi du 6 Fructidor, l'an deuxième de la République française, une et indivisible porte sur le fait qu'aucun citoyen ne pourra porter de nom ni de prénom autres que ceux exprimés dans son acte de naissance.

(N° 240.) Cette Loi du 6 Fructidor de l’an II, soit juste après la « révolution » faisant la passation du nom d’usage au nom de famille, habituellement réservé aux sociétés pour les reconnaître : la « boulangerie DUPONT ». C’est l’état qui vous transmet un nom de famille, et non vos parents. On appelle cela la fraude du nom légal !

Elle débute dès votre arrivée au monde, sans votre consentement, bafouant les droits naturels et inaliénables de l’être humain, et c’est sur cela qu’est bâti le système tout entier, et il perdure grâce à votre ignorance.

Comment récupérer sa souveraineté ? La clé, c’est ne pas consentir. Un gendarme vous INTIME UN ORDRE. Il s’adresse à votre personnalité juridique, et non à votre être. Vous n’êtes pas obligé(e) de lui présenter votre carte d’identité, si vous ne désirez pas reconnaître votre homme de paille fictif. Un juge (il est bien au courant de cela) vous demande de vous lever et venir à la barre ? Il vous demande si vous comprenez les accusations portées contre « vous » ?

Dites non ! C’est à votre fiction qu’il s’adresse.

Dans ce cas précis, il faut remettre le jeu à sa place : Je Suis « votre prénom », Être Vivant Souverain et J’administre l’entité juridique, homme de paille fictif « prénom + NOM DE FAMILLE » associé à la famille « NOM DE FAMILLE » par « ouï-dire ».

(Pourquoi par « ouï-dire », car seule la mère du corps physique est certaine, le père est toujours un « ouï-dire ») Sachez que le nom de famille, c’est l’état et non le père qui vous l’attribue.

La réalité est que tout être est Souverain et que personne à part Dieu lui-même n’a de pouvoir contre vous, si vous restez dans l’alignement de votre Divine Souveraineté.

N’obéissez pas aux ordres du juge, coupez le contact de la voiture avant que le gendarme vous le demande, et définissez-vous en tant qu’être vivant seulement.

Au tribunal, comme tout est affaire de commerce et de contrat, dites au juge que vous n’avez jamais demandé de faire affaire avec eux, que vous ne les avez jamais sollicités, auquel cas demandez-leur la preuve que vous avez conclu un contrat avec eux !

Ne signez pas l’amende survenue quelques semaines avant en revanche, si c’est la cause de l’affaire. Sinon cela veut dire que vous acceptez le contrat et que vous vous assimilez à la personnalité juridique.

Demandez qui est la partie constituante, remettez le jeu à l’endroit, ils essaieront de vous assimiler à votre personnalité juridique, mais tenez bon, ils doivent lâcher l’affaire.

Un gendarme ou un juge a besoin du nom de famille délivré par la corporation qu’est l’état, pour prononcer une décision. Nous avons cependant oublié notre réel pouvoir à cause d’un enfumage incessant des médias, de la culture de l’ego. La peur nous enferme dans leur système :  manquer d’argent,  terrorisme, anarchie, changement tout court … 

L’objectif globaliste tend à faire perdre aux individus leur identité culturelle et personnelle, afin de mieux les contrôler. Car il est plus simple de contrôler un individu isolé de toute histoire, disposant dès lors d’une volonté très amoindrie, qu’un individu rattaché fermement à un groupe humain et à une histoire personnelle et collective.

C’est là que le droit maritime est né ! Les lois étaient donc liées au pavillon, le drapeau sur un bateau. La règle voulait que le pavillon du navire représente les règles qu’il appliquait. Lorsqu’un navire avec un pavillon rencontrait un autre navire sans pavillon, celui qui n’en n’avait pas devait se plier à celui qui en possédait un, et lorsque deux navires avec des pavillons différents se rencontraient, alors ils devaient négocier par le biais de contrats pour réguler leur transaction. Notre fonctionnement juridique est issu du droit maritime, toutes ces notions se retrouvent au quotidien.

Lorsque les marins partaient en mer, ils remettaient leurs documents juridiques (possessions, héritages, etc. …) à la capitainerie au cas où le bateau coule, l’homme et ses papiers avec. Et si celui-ci ne revenait pas au bout de 7 ans, le transfert d’héritage démarrait. Il était alors considéré comme mort. Regardez le fonctionnement des assurances vie : Après 7 ou 8 ans, vous bénéficiez de droits.

Aujourd’hui à la venue au monde de l’enfant, celui-ci est considéré comme égaré en mer, par l’état (la capitainerie). Si vous ne vous manifestez pas jusqu’à la 7ème année, automatiquement l’état vous déclare mort en mer et seule votre personnalité juridique demeure ! On applique en fait le droit maritime à la terre. Votre mère est considérée comme un pavillon sans drapeau puisqu’elle n’a jamais revendiqué sa souveraineté avant et après 7 ans.

Et vous, vous n’avez pas de statut si ce n’est une marchandise qu’elle transporte (dans son ventre). Pourquoi pavillon et marchandise ? Parce que la notion de vivant n’existe pas dans le droit ! Les termes « Personne »  « Gens » « Monsieur » « Madame » « Individu » relèvent de la fiction et illusion. Quand on parle de naissance, dans le droit cela signifie la création d’une personnalité juridique.

Lorsque votre mère, considérée comme navire sans pavillon, accouche de vous en France (juridiction possédant un pavillon) votre mère doit donc se soumettre aux lois du pavillon en question. L'hôpital où elle accouche est considéré comme port d’attache français. Dès votre apparition, on crée un acte de naissance transférant votre souveraineté à l’état, sans consentement libre et éclairé.

L’acte de naissance est issu du certificat d’importation, réservé aux marchandises prises en charge par une nation. Voyez les similarités entre le certificat de naissance et le certificat d’importation : Une date d’émission / naissance, Lieu d’enregistrement, Numéro de série unique / NOM Prénom (s), Numéro d’enregistrement, Une description du produit / de l’enfant (yeux verts, taille, etc. …), Une notification à l’agent d’état civil / agence gouvernementale.

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/03/des-marchandises-partie-6-et-fin.html

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DES MARCHANDISES (Partie 4)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/03/des-marchandises-partie-1.html

Mais pour l’instant, tout ceci nous laisse entrevoir comment ils nous considèrent ; c’est à dire même pas comme un bout de barbaque, mais plutôt comme des marchandises. Ainsi, concernant cette sombre désignation, prenons "le large" afin de vous faire apprécier mon point de vue. Enfin « apprécier » n’est pas tellement le terme … Si j’ai autant insisté sur « MARCHANDISE », c’est afin d’aborder le cœur d’un sujet que très peu de personnes connaissent.

Comme très souvent, tel un ouroboros, tout commence et se termine à Babylone, là où, dans les cryptes, les premiers « élus » d’un système mondialiste autant que post diluvien, établirent les règles premières de l’asservissement des masses. Ce n’est d’ailleurs pas pour rien que les frères la truelle considèrent Nemrod comme le premier des leurs !

Qui, en effet, sait que lorsque l’on naît, nous sommes tous des êtres souverains jouissant de la richesse (eau, ressources, etc.) de la terre sur laquelle nous arrivons ? Nous sommes alors les créditeurs du système, mais ça ne dure que « le temps des roses ». Pourquoi ? Parce qu’en signant notre acte de naissance, nos parents nous cèdent « volontairement » à l’état, qui va nous transformer chacun en débiteur, envers le gouvernement en question, The CROWN, et de façon ultime, envers le Vatican.

Le Code de Hammurabi est un texte juridique babylonien daté d'environ 1750 av. J.-C., à ce jour le plus complet des codes de lois connus de la Mésopotamie …

Les premières lois furent des lois commerciales afin de faciliter les échanges. Jusqu’à être englobées par les lois maritimes, à l’arrivée des navires. Ces lois s’appliquent partout où il y a des mers, c'est-à-dire partout en ce monde-démon. Polices et gouvernements n‘exercent en fait aucune autorité sur nous. Elles ne constituent que des sociétés interagissant avec nos personnalités juridiques (autre société).

Les sociétés ne peuvent interagir entre-elles que par l’intermédiaire de contrats, qui peuvent être verbaux, tacites et acceptés par le silence (Art 1100 et suivant du code civil). C'est-à-dire de manière purement implicite. « Monsieur » étant un nom qu’on donne aux entités juridiques, lorsque vous y répondez, tacitement, vous êtes déjà dans l’acceptation. Vous reconnaissez alors être une personnalité juridique qui fait du commerce avec eux.

Le tribunal est ce qui nous rattache à ce droit maritime. Un endroit où l’on peut être appelé à la barre. En ce monde-démon tout étant commerce, il est dirigé par le code maritime, et l’endroit où l’on règle tout litige commercial ; où l’on nous « mène en bateau » : c’est sur un "bateau".

Lorsque vous allez en prison pour avoir tué quelqu’un, vous n’y allez pas pour un crime. Ça ils s’en moquent. Vous y allez uniquement pour le fait d’avoir lésé l’Etat d’une rente sur laquelle il avait capitalisé. Ainsi, tout humain est une marchandise sans drapeau : une ressource.

De même que comprendre signifie accepter, tout dans le langage juridique est galvaudé en ce sens. Un enfant est présenté (donné) à l’état civil. Pire encore, devant le tribunal, nous ne sommes que des chiens qui aboient. Et un chien nécessite un maître. Sans certains codes qu’il est seul à comprendre si nous ne les avons pas, l’avocat ne voit en vous qu’un chien aboyant et qui a besoin d’un maître. On se lève devant son maître et un chien reconnait son NOM (personnalité juridique).

Vous êtres monsieur … ? Oui. Trop tard, vous avez acceptez !

Seules les sociétés possèdent des noms de famille. Lorsque, grâce à une Révolution Judéo-maçonnique, nous sommes passés du nom d’usage au nom de famille, nous sommes entrés de plein fouet dans la Loi du 6 Fructidor, de l'an deuxième de la République française. À partir de cette date, seule a compté la personne légale dans tous les aspects de la vie.

Ainsi, RETENEZ-LE C’EST FONDAMENTAL, faisant un pont avec le numérique, un passeport biométrique est quelque chose qui vient associer votre ADN à cette fichue personnalité juridique. De quoi rendre PROCHAINEMENT totalement impossible de la nier.

Puisqu’en ce monde-démon tout est contrat, être citoyen constitue un contrat (contrat social-privilèges-sécurité) En échange de tout ça, vous échangez vos droits coutumiers (droit de vivre libre dès l’instant ou vous ne nuisez pas à autrui et à ses biens) contre un numéro de SS (sécurité sociale).

La juridiction civile de droit commun est compétente pour connaître des litiges et requêtes relatifs au statut civil coutumier ou aux terres coutumières et elle est alors complétée par des assesseurs coutumiers. Nous ne sommes nullement obligés d’être citoyen. La mise en esclavage est interdite, ça c’est vrai ! mais pas l’esclavage consenti dans lequel nous sombrons tous implicitement dès la naissance.

Tout le vocabulaire de la naissance, en Angleterre, a été remplacé, il est le même que pour les bateaux. Tout étant lié aux marchandises, lorsqu’un bébé né dans les pays anglosaxons, on dit qu’il est « delivered » : « livré » comme un colis. Un enfant dans le ventre de sa mère est un navire sans drapeau avec une marchandise (ressource humaine) en son sein. Un navire possède un port d’attache et dans le cas de la maman, c’est l’hôpital. Quant au capitaine du port, il doit faire un manifeste de ce qu’il y a sur ce bateau.

Les dockers prennent les marchandises et vérifient si elles sont viables et les enregistrent sur ce manifeste. A l’hôpital le docker devient le docteur.

L’enfant, à sa naissance, est donc déclaré en tant que marchandise égarée en mer. Pour que la disparition soit légalement reconnue, il faut attendre sept ans. Traduction : nous avons tous été déclaré morts en mer, à l’âge de sept ans. L’être humain est mort, disparu, ne reste plus que sa personnalité juridique. Néanmoins, dans le droit maritime, nous pouvons ressusciter puisque tout est basé sur des présomptions.

Vient donc s’adjoindre à cette histoire une grille de lecture biblique et juridique puisque ces lois maritimes existaient bien avant les textes sacrés. Jésus est né avec son prénom Emmanuel (pas le même, heureusement). On en a fait Jésus de Nazareth, puis Jésus Ben Joseph (fils de) et puis on a tué le Christ. On a tué son nom.

Jésus marchait sur l’eau, c'est-à-dire au-dessus des lois maritimes. On a tué le nom du Christ, mais il est ressuscité. A notre époque, on parle beaucoup de Révélations. Nous sommes à la fin des temps et les morts vont "renaitre" à la vie.

Parallèlement à ça, bizarrement, juridiquement, le temps n’existe pas en dehors de commerce. Chaque commerce possède en effet sa propre chronologie et chronométrie. Il existe donc des temps !

L’Apocalypse serait la fin des temps : de tous les commerces, faisant que tous les morts reviendraient à la vie. Tout cela nous ramène au culte de l’être suprême : le GOD des maçons. Dans les droits universels des droits de l’homme de 1948, il est écrit ceci : « Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne. Nul ne sera tenu en esclavage ni en servitude ; l'esclavage et la traite des esclaves sont interdits sous toutes leurs formes. Nul ne sera soumis à la torture, ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants. »

C’est beau, c’est vrai ! mais ça ne dure que le temps d’un soupir : c’est- dire jusqu’à la signature de l’acte de naissance. On parle de « chacun » a le droit ou « Tous sont égaux » devant la loi, « personne », etc. A partir du moment où l’on parle de « personne » sur les quelques trente articles, aucun ne concerne donc les êtres humains : mais les personnes ; c'est-à-dire des fictions juridiques.

Allons encore plus loin dans mon "délire". Afin de nous noyer toujours davantage en ces lois maritimes, sur les châteaux d’eau figurent les noms des villages ; façon de garder les gens sous les eaux. Le terme gouvernement vient de gouvernail. Capitale vient de capitaine, capitalis : qui concerne la tête. Tout comme le commissaire-priseur, le juge utilise un marteau avec lequel il tape trois fois. Il compte trois fois pour la banque : deux pour les avocats et une pour lui. Quant au commissaire-priseur, c’est le courtier des marchandises. Vous voyez, on n’en sort pas !

Lorsque tu désires posséder quelque chose, tu mets un nom dessus. Lors de sa seule et unique incarnation, l’humain déchu arrive seul, nu et sans rien sur cette Terre où tout lui est donné gratuitement. Bienvenu en ce monde-démon. À tout vouloir ainsi nommer, tu deviens possédé par ce que tu désirais posséder. Nous arrivons tous dans un monde de terre, de mer et d’air. La couronne de la mer, c’est l’Angleterre. The Crown. Celle de la terre, jusqu’à il y a peu, était l’Espagne, qui est devenu Washington DC. Quant à celle de l’air, c’est le Vatican.

Le gouvernement a besoin de « personnalités juridiques » : sans elles il n’est rien. La souveraineté du peuple n’est autre que toutes nos souverainetés réunies : la réunion de notre libre arbitre à chacun. ELLE EST LÀ ET SEULEMENT LÀ, LA VRAIE REVOLUTION.

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/03/des-marchandises-partie-5.html

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DES MARCHANDISES (Partie 3)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/03/des-marchandises-partie-1.html

Alors, vous avez encore des doutes ? Le directeur général de la BRI (Banque des règlements internationaux) en ajoute encore une louche : « La principale différence avec la CBDC, c’est que la Banque centrale aura le contrôle absolu des règles et des règlements qui détermineront l’utilisation de cette expression de la responsabilité de la Banque centrale, et nous aurons également la technologie pour faire respecter cela… et cela fait une énorme différence par rapport à ce qu’est l’argent liquide »

Comme je l’explique plus haut, ils détermineront comment vous pouvez utiliser la monnaie numérique : les paramètres spécifiques, les conditions, etc.

Les banquiers centraux envisagent d’ores et déjà de créer des monnaies numériques assorties de « minuteries » :  des dates d’expiration, ce, afin de satisfaire l’appétit insatiable du monstre de la DETTE.  Un résumé de décembre 2021 de la Banque du Canada montre déjà qu’elle est en train de conceptualiser de telles monnaies : « L’un des inconvénients de l’argent liquide est qu’il peut être perdu et qu’il n’y a aucun moyen de le récupérer. Nous envisageons une fonctionnalité potentielle pour résoudre ce problème pour l’argent numérique hors ligne : une date d’expiration pour automatiser la récupération de la perte personnelle. Si cette fonction était activée, l’argent numérique ne pourrait pas être dépensé après sa date d’expiration. Les consommateurs dont l’argent numérique a expiré recevraient automatiquement les fonds sur leur compte en ligne sans avoir à déposer une réclamation. »

Bien sûr, dès le départ, tout cela est enrobé dans un joli papier plein de bonnes intentions. Puis, lorsque la gueusaille adhère en nombre, les véritables intentions seront déclenchées, plus tard, et dans le cadre d’une « crise » fabriquée, style couillonavirus. On peut leur faire confiance !

Au fur et à mesure que la société progressera vers leur agenda 2030, une grande partie de l’autonomisation prévue avec le remplacement de nombreuses strates d’emplois par l’IA entraînera la chute inévitable de larges segments de nos sociétés dans des systèmes de revenu universel à la Chinoise ; autre pierre angulaire du plan du Forum économique mondial (WEF).

Des essais de RBU (revenu de base universel) sont déjà en cours dans de nombreux États et nations. Ils sont, bien sûr, prévus pour être administrés avec la pilule empoisonnée des monnaies numériques, sous-tendues par les fondations de la 5G. Ils rassembleront le tout en un seul système serré et omniprésent.

Le versement du RBU sera subordonné à toute une série de « conditions », telles que le respect des vaccinations, l’attribution de crédits carbone et tout ce que l’on voudra bien nous imposer. Il y a un moment déjà, j’ai réalisé un article ou je parlais de la vidéo du PDG de Pfizer, Albert Bourla, discutant de la « pilule numérique » qui permettra l’application de la « conformité ».

Eh bien, cette « conformité » c’est justement tout ce que je suis en train de vous décrire. Afin que les médecins puissent savoir avec certitude que les patients prennent les médicaments qui leur ont été prescrits. La 5G sera l’élément clé de la gestion de l’intégration entre vos médicaments digitaux et vos « dispositifs de conformité » mis en réseau dans l’« Internet des objets ».

Bien entendu, avec de tels psychopathes, la « conformité » s’appliquera à de nombreux autres domaines de la vie et de la société, une fois que l’infrastructure 5G lui donnera la bande passante nécessaire pour suivre ces données avec précision.

Ici aussi, le « centimètre près » jouera un rôle clé en vous « pénalisant » en cas de non-conformité, en vous empêchant d’accéder à certains secteurs et segments de la société. Par exemple, les zones réservées aux personnes « respectueuses des règles » comprendront les bons magasins et les aliments « sains », tandis que les personnes « conspirationnistes » seront séquestrées dans des quartiers miséreux.

Certains, « plus malins que les autres » pourraient considérer que les discussions sur la 5G sont un peu dépassées. Après tout, cela fait des années que l’on construit des « théories » récurrentes sur ce sujet sans que les conséquences effrayantes soient encore palpables autour de nous.

Mais comme l’indiquait une vidéo sur la 5G du Council on Foreign Relations, il y a seulement deux ans, « il faudra des années avant que le potentiel de la 5G ne soit pleinement réalisé ».

La 4G permettait déjà de nous connecter. La 5G permet de connecter les appareils. D’où l’importance que l’IA jouera dans la « révolution 5G ». Maintenant que les jeunes et moins jeunes ont goûté aux nouveaux systèmes d’IA que l’élite leur a amené sur un plateau ces dernières années, nous ne pouvons qu’imaginer la façon dont ils joueront un rôle d’intégration dans les nouveaux appareils de l’« Internet des objets » qui devraient dominer les futures « villes intelligentes » auxquelles nous sommes destinés.

Ces néo-villes babyloniennes, sont quelque chose que les « complotistes » avaient prédit depuis longtemps. Avec des réunions comme le WEF, les géants de la technologie les plus machiavéliques ont prévu et précipité le déclin des gouvernements en vue d’une éventuelle dissolution, laissant un vide de pouvoir aux entreprises, agissant en tant que gardiens, pour ouvrir la voie vers l’avenir en reconstruisant la société selon leur propre vision (tout en la dominant).

Un tapis doré est d’ores et déjà déroulé pour les entreprises qui défendent tous les mots clés à la mode de l’utopique « ville intelligente » du WEF. Des projets pilotes initiaux sont censés servir de modèles de démonstration pour influencer ultérieurement la politique. Il s’agit de montrer le « succès » de ces villes intelligentes, qui seront ensuite utilisées pour imposer de manière coercitive ces mêmes « innovations » à toutes les autres villes.

Dans la foulée de ces initiatives, Elon Musk a lui aussi annoncé son intention de construire sa propre ville au Texas, baptisée Starbase. Ce qu’il convient de retenir de ces faits, c’est qu’en cas d’effondrement de la société, ces centres d’ « autogouvernance des entreprises » s’épanouiront en tant que nouveaux centres de pouvoir déconnectés de tout gouvernement central fonctionnel.

Les sociétés mères posséderont tout : terrains, infrastructures, équipements, lois locales et structures civiques, etc., et il serait donc tout à fait naturel qu’elles exercent une domination totale au fur et à mesure que le pouvoir du gouvernement central s’affaiblit dans le cadre d’un scénario de lente détérioration de la société.

Après tout, de nombreux technocrates à la Jacques Attali ont longtemps prédit qu’une sorte de « choc civilisationnel »   serait nécessaire pour « réinitialiser » la société à leur vision : style Grand Reset de Schwab.

Le Covid-19 nous a donné un avant-goût détestable de ce qu’ils nous réservent. Pour l’instant, les concepteurs technocrates sont occupés à rassembler leurs forces et à reformuler leurs approches. Pour l’instant, de nombreux pays ont annulé ou reporté leurs ventes aux enchères de fréquences 5G, au cours desquelles les opérateurs de télécommunications achètent des licences pour les différentes bandes de fréquences à utiliser. Ce n’est que temporaire.

Les troubles géopolitiques actuels et la récession mondiale ont freiné les chaînes d’approvisionnement ce qui a conduit à des pénuries de puces et à des augmentations des prix de l’électronique, ce qui a profondément affecté les plans visant à saturer le monde de gadgets et d’appareils bon marché connectés à la 5G pour créer leur idyllique « Internet des objets ».

Les États-Unis ont attaqué et sanctionné Huawei le principal fournisseur de la 5G,  ainsi que la capacité de la Chine à acheter divers produits de haute technologie à l’étranger, ce qui a également entraîné des instabilités dans le secteur technologique, aggravant les problèmes de la chaîne d’approvisionnement.

Il est donc ironique que l’idée fixe en or des élites technocrates puisse être dérangée par les exigences d’un empire mondial moribond qui tient à s’accrocher à ses dernières puces. Ainsi, ironiquement, pour nous, les petites gens, il y a un côté positif dans la descente potentielle du globe dans un âge sombre économique et géopolitique, qui pourrait paradoxalement tenir à distance certaines des transformations technologiques les plus mal intentionnées que les contrôleurs du système nous ont réservées.

Le grand désenchevêtrèrent mondial pourrait après tout provoquer la mort du globalisme lui-même, ce qui aurait un profond effet en cascade sur les multinationales technocratiques qui nous dirigent vers cet avenir technologiquement pervers et incertain.

La porte serait ainsi ouverte à une résurgence de la souveraineté nationaliste provoquée par des conflits géopolitiques d’autre part. Cela pourrait créer un ensemble unique de circonstances par lesquelles le virus du techno-fascisme corporatif pourrait être étouffé.

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/03/des-marchandises-partie-4.html

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DES MARCHANDISES (Partie 2)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/03/des-marchandises-partie-1.html

Ces villes « 15 minutes » ne sont que le précurseur, une sorte de déploiement en douceur, du plan complet de refonte totale de la société envisagé dans l’ancien Agenda 21, puis dans celui révisé de 2030. Leurs Youg global leaders (jeunes leaders mondiaux) sont bien sûr les premiers à imposer ces initiatives à leurs citoyens.

Au même titre que Macron chez nous, le Canadien Trudeau fait même du zèle : « Je leur ai dit que nous ne pourrions pas obtenir de financement pour nos soins de santé si les premiers ministres n’acceptaient pas les cartes d’identité numériquesVous ne pourrez pas accéder aux soins de santé sans ces cartes d’identité numériques.

En fait, vous ne pourrez pas avoir de compte en banque ou effectuer des transactions financières en ligne… Pour les agriculteurs et les consommateurs, vous ne pourrez pas entrer dans les magasins. Les agriculteurs et les consommateurs ne pourront pas entrer dans les magasins. Ils ne pourront même pas vendre quelque part. Une fois ce système mis en place, c’est là que la monnaie numérique interviendra. »

Bien entendu, ces initiatives sont présentées sous le couvert de la lutte contre les « changements climatiques ». Depuis des années, de nombreuses grandes métropoles comme New York ont réfléchi à des plans pour créer différentes versions de ces zones « 15 minutes », dans le but de restreindre les déplacements et la liberté individuelle sous le prétexte de réduire les dépenses carbones de chacun.

En effet, là où les choses deviennent vraiment sombres dans cet enfer qui se dessine, c’est l’intégration de la 5G dans l’histoire dystopique, avec l’idée des crédits carbone personnels. Cette invention De tonton Schwab et de son WEF est destinée à être fusionnée avec le schéma général de la « ville intelligente ». Dès lors, vous comprenez, du moins je l’espère, le fait que depuis des années je dénonce le mensonge climatique à travers moult articles et mon livre Tonton Malthus est revenu.

Leur utilisation du « changement climatique » comme couverture, est purement machiavélique. L’attribution de crédits carbone est conçue pour suivre nos utilisations personnelles de carbone avec un système punitif intégré à la chinoise. Il nous pénalisera si nous dépassons l’allocation de carbone.

Avec cet outil du Diable, des choses aussi simples que d’utiliser trop d’eau, trop de chauffage ou de carburant, de voyager en dehors de la « zone de 15 minutes » désignée dès votre naissance et sans permis pourra donner lieu à punition.

Ce que la 5G permet, c’est la surveillance complète au grès le leurs caprices de dépravés. Sans la 5G, ils ne peuvent pas suivre chacun de ces éléments, en particulier vos mouvements au centimètre près.  Avec la 5G, par contre, c’est le miracle de la granularité qui opère avec la résolution nécessaire pour une application à grande échelle.

La 5G permet également aux antennes et aux capteurs d’être beaucoup plus petits tout en étant plus répandus, puisqu’ils utilisent des longueurs d’onde plus courtes, ce qui signifie qu’ils seront omniprésents partout à une densité bien plus grande que les pylônes et les tours de téléphonie mobile qui parsèment actuellement le paysage.

Comprenez-le DEFINITIVEMENT, la prétendue « crise climatique » n’est qu’un prétexte à nous museler comme jamais. Pourquoi ? Parce qu’ils veulent ce monde pour eux et que le système financier mondial s’effondre lentement depuis longtemps et que c’est la seule façon de sortir d’une impasse inextricable. Comme je l’indique souvent, l’agenda climatique fut envisagé pour la première fois lors du Sommet de la Terre à Rio de Janeiro en 1992.

Dès le départ, il a été conçu comme un moyen de mettre en œuvre un contrôle toujours plus important sur la stabilité financière du « système ». Ils spéculent que  si les gueux sont autorisés à agir librement, la bulle de la dette mondiale engendrée depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale et l’ère de Bretton Woods finira par faire imploser le système bancaire mondial, surendetté et véritable géant aux pieds  d’argile.

Ce système de la DETTE, que je dénonce depuis des années, est un monstre assoiffé, irrassasiable. C’est une monstruosité alambiquée sans fin qu’ils ont créée. Pour que le système fiduciaire puisse continuer à fonctionner, il faut que les peuples fassent circuler l’argent autant que possible. Malheureusement, en période de récession, les gens ont tendance à épargner leur argent, ce qui crée de gros problèmes pour les contrôleurs du système.

C’est la principale raison qui sous-tend les projets de déploiement des CBDC (monnaies numériques des banques centrales) et d’obsolescence progressive de l’utilisation de l’argent liquide. Avec les CBDC, ils peuvent contrôler quand et comment vous utilisez vos fonds.

Associées à un éventuel système de « crédit carbone personnel », elles constituent la fusion parfaite des technologies qui leur permettra non seulement de s’assurer que vous continuez à dépenser votre argent, mais aussi de vous pénaliser automatiquement si vous enfreignez les règles de plus en plus strictes en matière d’allocation carbone.

Bienvenu donc dans la dictature climatique, où, sans base scientifique et au nom d'une religion climatique, la population doit être opprimée, punie et restreinte dans sa liberté. Vous avez encore des doutes ? Au moment où je rédige cet article, le Conseil d'éthique Allemand propose un catalogue de mesures. Ceux qui ne veulent pas se soumettre aux visions de la religion climatique doivent subir des mesures coercitives.

En voici un extrait : « La coexistence humaine nécessite des restrictions de liberté mutuelle pour permettre une liberté égale de tous. Pour des raisons de justice, la participation à des mesures visant à faire face au changement climatique peut être moralement nécessaire. Si son propre exercice de liberté interfère de manière injuste dans la liberté et le bien-être des autres, y compris des générations futures, par exemple par une consommation nuisible au climat, l'État peut intervenir avec des restrictions de liberté. Tant qu'il n'y a pas d'obligation réglementaire, il appartient à l'individu d'accepter une obligation morale de participation. La liberté de décision individuelle est toujours déterminée par l'action commune de beaucoup et essentiellement par des conditions-cadres politiques. C'est pourquoi des réglementations légales claires sont nécessaires pour faciliter aux individus une action respectueuse du climat. »

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/03/des-marchandises-partie-3.html 

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DES MARCHANDISES (Partie 1)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

L’Europe des PLOUTOCRATES aux ordres de l’Etat profond va nous imposer une tyrannie digitale inédite. Ils veulent créer un alias digital. Entre euro numérique et personnalité (et non identité) digitale, ils vont tout liquider.

Ils avaient déjà liquidé l’âme et l’esprit (Rudolf Steiner), ils vont liquider les corps et leur semblant de liberté et de consommation. La fin des religions les aide d’autant plus qu’elle leur permet d’instaurer leur règne techno-satanique.

L’outil crée la fonction, dit-on, et on a raison. Avec un outil de contrôle absolu et permanent la démocratie techno-bourgeoise va dépasser Hitler et Staline, sur fond d’inflation-impression-bancaire, d’éducation, d’abrutissement.

Avant on t’apprenait à aller te faire tuer dans les tranchées, aujourd’hui on le fait par le biais du chasseur de carbone. Le contrôle digital du cerveau a été chose simple. Après la dernière guerre, on a programmé une génération pour bien vivre (les boomers), on programme les petits-enfants des boomers pour crever de la malbouffe des chemtrails et des vaccins. Et pour en rajouter une couche et être bien sûr d’en éradiquer un max ; Macron cherche des noises au Grizzli.

Qui va garder le camp de concentration d’abord, d’extermination ensuite (style Soleil Vert) ? On a une énorme administration conditionnée et enrôlée par strates qui veut nous ôter la gêne de penser et la peine de vivre.

Après l’électrochoc couillonaviral, certains se sont réveillés, mais on reste néanmoins avec un troupeau télé et digitalisé de première catégorie qui ne se rend plus compte de rien. L’élite mondialiste qui possède déjà 95% des richesses a fait de Malthus son gourou.

Elle est devenue motivée dans l’art d’éradiquer les gueux, mais son pouvoir absolu via la technologie va la rendre plus motivée encore. Elle va donc avec l’aide de notre hébétude accélérer le programme Davos-Hariri qui a compris que plus on révèle moins on est cru.

Ils ont des agendas qu’ils nous brandissent et devant lesquels beaucoup trop gardent l’œil torve d’une vache broutant dans un pré. Leur rêve ? Que tout soit terminé avant 2030, avant que le troupeau ait réalisé.

Et, actuellement, foot-Baal, Ukraine, Gaza, inflation, JO, virus, Troisième Guerre mondiale, le bruit généré par nos gouvernements de pantins, battant des bras dans tous les sens, fournit une couverture commode pour les véritables agendas en jeu : les véritables intentions qui se cachent derrière le déploiement massif de la 5G et sa place au sommet de la pyramide des agendas de l’élite.

Pourquoi a-t-on continué à couvrir le monde d’antennes 5G, même et surtout durant les confinements ; alors que le monde était à l’arrêt ? Quel est donc l’objectif principal de la campagne mondialiste en faveur de la 5G ? Le géo-repérage.

Lorsque la plupart des gens pensent à la 5G, ce qui leur vient d’abord à l’esprit, ce sont des vitesses d’internet plus rapides.

Bien sûr, ce sont là des chevaux de Troie bienvenus qui nous incitent à baisser notre garde, mais le véritable cœur de la question commence avec le principe de la géolocalisation extrême. C’est à dire un moyen de suivre et de délimiter une zone géographique donnée en établissant une « frontière » numérique. D’une certaine manière, c’est ce que fait déjà votre téléphone portable lorsqu’il entre dans les « zones » d’un pylône ou d’une tour de téléphonie mobile.

Mais le problème est que les itérations précédentes de la technologie des données, comme la 4G, n’ont pas l’acuité spatiale nécessaire pour un positionnement extrêmement précis. Avez-vous déjà remarqué que la fonction de localisation de votre iPhone, peut donner une estimation approximative de la position qui se situe toujours dans une zone vaguement large de plusieurs mètres ?

Comme je l’explique en détail dans mon dernier bouquin, la précision de la 4G LTE se mesure en dizaines de mètres, tandis que celle de la 5G se mesure en centimètres en raison de l’étroitesse de son faisceau, celui-là même qui risque d’endommager l’ADN humain, faire vomir des classes entières dont les toits sont surplombés de pylônes, de déclencher des cancers potentiels, etc.

Randall Stephenson, PDG d’AT&T, en parle. Il est particulièrement instructif de l’entendre dire cela car AT&T est le leader mondial de l’intégration de la 5G. Bien plus qu’un service de téléphonie mobile moyen, AT&T est aujourd’hui un conglomérat mondial qui possède certaines des marques les plus puissantes, comme TimeWarner, CNN, etc. Cela en fait l’une des entreprises les plus influentes en termes de contrôle du contenu sociétal et de l’expérience générale de notre vie quotidienne.

L’acuité de la 5G en matière de géolocalisation ultra précise fournit la base et l’infrastructure sous-jacente, le fondement, de la future « ville intelligente » à laquelle j’ai déjà consacré des articles et en laquelle ils prévoient de transformer nos sociétés. Elle permet aux capteurs déployés partout d’avoir des capacités de suivi très précises de tous les autres capteurs à proximité, avec des temps de latence extrêmement faibles.

Cela permet d’intégrer comme jamais auparavant la distribution des systèmes et services d’IA et de robotique dans une ville donnée, étant donné que chaque « machine » sera mise en réseau de manière à ce qu’elle ait une « conscience » extrêmement précise de la géolocalisation des autres dans l’espace, par rapport aux capacités actuelles de la 4G.

Mais, outre l’internet des objets qui, seul, saura donner un sourire béat à tout adolescent boutonneux, le véritable « côté obscur » de ce que permet cette précision de localisation est la création de « zones » précisément délimitées, qui permettent de suivre les mouvements d’une personne avec une résolution finement granulaire (à quelques centimètres près) et, le cas échéant (et bien sûr, il y aura de tels « besoins »), d’empêcher son accès à partir de « zones interdites ».

Du bla bla technique, me direz-vous ! L’application la plus urgente, et de loin, concerne la conformité des Covid-ID et des QR-Codes. Une ville en réseau 5G peut créer des géo-barrières qui identifieraient la conformité de votre appareil, ou son absence de conformité, à distance et avec beaucoup plus de précision.

Il peut s’agir de quelque chose d’aussi simple que l’entrée d’un magasin qui scannera automatiquement votre appareil (téléphone, bracelet, puce RFID, etc.), signalera une « violation » et vous empêchera d’entrer. Bien que la crise Covid soit dépassée et que nombre des initiatives totalitaires qu’elle a engendrées soient mort-nées, le TPTB a certainement télégraphié ses plans pour d’autres « épidémies » à venir. Ce n’est pas la dernière fois que nous entendons parler de pressions en faveur des Vax-Pass.

Cela s’étend également à des secteurs généraux d’une ville donnée, qui peuvent être entièrement “isolés numériquement” par le biais de ces géo-barrières précises. Cela s’inscrit dans l’agenda du WEF qui vise à promouvoir non seulement les “villes intelligentes” en général, mais aussi sa vision spécifique des « villes de 15 minutes », qu’il a déjà testée dans de nombreux endroits.

J’évoquais déjà ces villes ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/08/des-origines-au-crime-mondial.html

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/03/des-marchandises-partie-2.html

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L’hypocrisie la plus crasse.

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

On retiendra de ce début d’année 2024, l’hypocrisie crasse d’un gouvernement dont la seule préoccupation consiste à trouver des solutions à mourir pour son peuple au lieu de solutions à vivre mieux et plus longtemps. Mais ce ne sont que des satanistes et rien d’autre. La voie du cœur : celle de la compassion, leur est inconnue. Des milliers d’entre nous se proposeraient-ils de la leur défricher qu’ils n’en verraient pas pour autant la nécessité de l’emprunter.

Eux, c’est la voix de Lucifer qui les intéresse et leur parle dans leurs petits encéphales d’animaux à sang froid.

La compassion c’est ce sentiment qui nous rend sensible aux malheurs d’autrui. La compassion nous conduit à nous soucier de ceux qui souffrent, même si nous n’éprouvons pas nous-mêmes ce qu’il ressent. Sauf chez les satanistes qui, par pragmatisme, désirent tout contrôler d’un regard froid : mort.

Macron n’a pas introduit l’IVG dans la constitution, pour les beaux yeux des femmes. Il l’a fait pour l’œil de ses maitres : celui qui voit tout et qui, sur un claquement de doigt, pourrait et laissera bientôt éclater la bombe atomique transgenre élyséenne : Bribri et sa paire de couilles désormais trop encombrante.

Le monde entier le sait, sauf des millions de Français constipés du cerveau et qui, bientôt, apprendront la MONSTRUEUSE nouvelle la face convulsée devant l’ignominie aussi longtemps restée cachée.

« Vous vous rendez-compte, dira Maurice Glandu, sur le comptoir en zinc, s’ils nous ont menti pour ça, ils l’ont fait pour quoi d’autre : les vaccins ? ».

Macron a donc fait ça en serrant les fesses afin de légaliser le trafic de fœtus au sein de l’UE. Grace à Manu, les labos vont pouvoir utiliser des fœtus de 9 mois (enfants) en pièces détachées pour les organes, la cosmétique et de monstrueuses expériences que je n’ose à peine imaginer.

Leur Diable peut donc se déguiser en roi de la cosmétique, relayé qu’il sera par moult influenceuses, aux lèvres en cul de babouin, qui se feront une joie de conseiller à leur milliers de followers aux QI de bulots neurasthéniques de se coller la dernière crème antiride à base de cellules fœtales sur leurs tronches de débiles aux visages déjà X fois filtrés.

Mais l’affaire ne s’arrête pas en si bon chemin lorsqu’on est l’employé modèle de la firme du Deep State. Macron n’a fait qu’entériner une tendance qui a démarrée avec son homologue Sarkozy et qu’avait ensuite continuée notre Hollandesque flambinette. La suppression des lits d’hôpitaux étant un sport national chez ses trois sionistes de haut vol, ne restait à notre p’tit Jupiter qu’à porter  l’estocade finale à ces franchouillards zombifiés du cervelet.

C’est ainsi que dans un contexte de mort de l’hôpital public, d’une dégradation des soins pour le plus grand nombre d’une ampleur jamais vue, la priorité n’est sans doute pas à une loi qui peut aider à bien vivre en soignant mieux ! Non. Dans leur logique de satanistes invétérés, elle est à une loi pour aider à mourir mieux et vite.

Au lieu de développer des moyens compassionnels dans les hôpitaux pour accompagner ceux qui souffrent. Au lieu de s’occuper d’abord de ceux qui peuvent vivre, on se charge de ceux qui vont mourir.

Mais c’est dans la logique macronienne ! En effet, on ne peut pas envoyer des milliards à Zelenski et soigner les Français. Car aider à mourir cela va coûter moins cher que de soigner pour aider à vivre avec des hôpitaux qui marchent !

Si après ça certains n’ont pas encore compris, c’est désespérant.

Olivier

 

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