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CHRONIQUE D'UN OCCIDENT OXYDE

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

DUPLICITE QUAND TU NOUS TIENS

Le quatrième pouvoir, jadis destiné à remettre en cause la parole publique et la voix officielle des gouvernements, est maintenant au service du Deep State afin d’écrabouiller aussi complètement que possible toute dissidence.

L’actualité internationale est comme un pet malodorant perpétré par un « malotrou » de bas étage. On a honte pour lui tant il fait preuve d’incorrection. Les merdias ont néanmoins ceci d’intéressant qu’ils mettent chaque jour en lumière de façon plus crue et pestilentielle l’utilisation de doubles standards éhontés dans la bouche des politiciens et des médias de connivence. Jusqu’à présent, le plus béotien des béotiens savait au moins que la profession du foi du politique est le mensonge.

Jusqu’à il y a encore quelques années, on pouvait croire à l’effort de certains médias de donner la parole à tous les bords de l’échiquier politique ou, au moins, à un panel sinon représentatif mais au moins varié d’opinions.

Nos merdias acceptaient encore certaines dissonances au discours politique officiel ou à celui de la majorité. C’est désormais fini. Nada ! Que dalle ! Non seulement les discours alternatifs n’ont plus cours dans les médias mais en plus l’individu qui ose les tenir se voit alors considéré comme un malpropre : un « complotiste ». Quelle horreur !

S’il y a encore quelques années, les médias se contentaient de passer sous silence certaines positions ou opinions qui ne leur plaisaient pas, il est maintenant attendu (puisque payés grassement) de ces mêmes médias qu’ils emploient toute leur puissance de frappe informationnelle pour classifier cette opposition dans la case tabous et d’en poursuivre les auteurs en les traitant de fous, de complotistes, de réactionnaires ou mieux encore d’antisémites notoires.

Il n’est plus seulement nécessaire de bien faire comprendre ce qui est autorisé ou non dans le discours public, il devient indispensable de s’assurer que ceux qui osent les paroles interdites seront impitoyablement pourchassés, bannis, ostracisés.

Cependant, les mensonges d’hier, ressortis maintenant à l’identique, deviennent si évidents, si grossiers, que même le plus con des béotiens commence à se gratter la tête. Ceux qui les sortaient à l’époque sans sourciller le moins du monde pataugent désormais allégrement dans des circonvolutions rhétoriques pour s’expliquer (sans plus vraiment y parvenir).

Le phénomène ne cesse de gagner en importance. Tout est désormais visible comme le nez au milieu du visage : vaccinations mortifères, politiques fous autant que corrompus jusqu’à la moelle, acquis sociaux et retraites qui s’atomisent, immigration incontrôlée maintenant impossible à justifier dans un tel contexte, etc.

Au milieu de tous ces faits j’allais en oublier un Gros, un MONSTRUEUX : la valse carbone.

Elle tourne et tourne au doux son d’une hypocrisie la plus crasse.

Ceux qui l’animent sont les plus cons, les moins scrupuleux de cet Occident en décomposition avancée. Quelques exemples suffiront. Au « bon pays » de Jacinda Ardern, petit mignon de Klaus Schwab et « femme » d'État néo-zélandaise au service trois pièces identique à celui de Jean Mimi (étrange ?), on va taxer les flatulences des vaches et l’urine des moutons dans le cadre de la première taxe climatique mondiale.

Pendant qu’en Hollande, le gouvernement néerlandais qui veut réduire de manière drastique la production agricole d’ici 2030, va saisir par la force plus de 600 fermes sous prétexte que l’azote est désormais considéré comme un polluant.

Afin de ne pas botter en touche et flinguer ceux qui, plus intelligents, ont refusé les injections d’ARNm, le gouvernement néonazi australien va agir « sagement ». De manière à altérer l’ADN des troupeaux laitiers, croyez-le ou non, le bétail se fait maintenant piquer avec un produit, qui, lors d’une récente campagne de « vaccination » massive d’un troupeau, a entraîné la mort immédiate de 35 des 200 animaux. Soit 17,5% de perte immédiate.

En Australie et bientôt chez nous, soyez-en sûrs, les producteurs laitiers et d’autres seront obligés d’injecter la grippe de Wuhan ou de Fauci à leurs animaux pour rester en activité et même si les animaux n’y réagissent pas bien du tout.

Ainsi, lorsqu’on évoque la transition écologique, on entre au pays des folledingues, un land où tout est toujours perçu comme nécessaire et alléchant jusqu’au moment où l’éolienne et les panneaux photovoltaïques aux rendements médiocres devront s’implanter près de chez soi, ou sur l’horizon qu’on appréciait pourtant lorsqu’il était dégagé…

Quant à ceux qui professent la « sobriété énergétique », à moins d’être un déglingué du bulbe, il n’échappera à personne que, niveau hypocrisie : ce sont les champions du monde. C’est, « serrez-vous la ceinture, mais pas moi ! ».

Bill Gates et ses multiples jets privés, Al Gore et sa maison gigantesque, le Roi Charles aux grandes oreilles, qui ne s’épargne aucun déplacement aux factures carbone roboratives, etc.

Plus proche de nous, en France, dois-je vous rappeler le montant de la note EDF de l’Elysée ? Jupiter et sa Jean Mimi consomment des kilowatts en réceptions princières et à grand renfort de godemichés et autres joyeusetés à se fourrer dans le …

Quant à nos ministres et autres clowns républicains, ils bénéficient toutes et tous d’un train de vie à faire pâlir de honte leurs homologues des pays scandinaves.

Nos ministères constituent chacun un repère de cancrelats ; des cancres là et juste bons à vivre sur le dos de la princesse tout en ayant le culot de dire aux Français (avec le col roulé à la mode) « serrez-vous la ceintures bandes de pollueurs ».

Certains journalistes ou starlettes de pacotille ont même l’outrecuidance de prétendre lutter contre le réchauffement climatique depuis leurs yachts ou leurs jets et à coups de slogans faciles.

Bref, ce sont systématiquement ceux qui se gargarisent d’économies et de « modestie » énergétiques qui en font, de loin, la plus mauvaise démonstration, col roulé compris.

L’hypocrisie de ces individus, cette caste, qui, il y a peu encore, crachait sur les Gilets jaunes ou les objecteurs à la vaccination forcée, n’a plus de limite. Tel Christophe Barbier, le pourfendeur à l’écharpe rouge qui, face à un smicard n’arrivant pas à joindre les deux bouts, a l’outrecuidance, le mépris, de lui déclarer tout de go, qu’il devrait travailler plus et supprimer l’une de ses semaines de congés payés.

Alors qu’elle n’était encore qu’évoquée, l’hypocrisie de cette caste de parvenus devient aussi visible que dénonçable, partout, tout le temps.

Les plateaux télé et les réseaux sociaux, concentrent désormais journalistes et médias de révérence avec les mêmes têtes de vainqueurs que durant les précédentes crises. Chacun voit à présent se fissurer la belle assurance de ces aigrefins à mesure que les faits leur donnent tort.

Car la caractéristique du « complotisme » cette « tare » dont ils ont toujours plein la bouche, c’est d’avoir toujours raison ; mais un peu trop tôt. Bref, d’être souvent les seuls à dire vrai.

Et ça, ils n’aiment pas du tout ces journalopes qui ne vérifient qu’un seul côté des discours et toujours le même. C'est-à-dire celui qui honore et avantage les intérêts de leurs maîtres ; les financiers de l’ombre. S’ils sont donc autorisés, poussés tous à brosser dans le sens du poil de coyote les niaiseries ou les mensonges des politiciens en odeur de sainteté avec le pouvoir, c’est pour mieux leur donner raison, souvent d’une façon si gluante et obséquieuse qu’elle en devient gênante pour le lecteur.

Tel Thomas Sotto interviewant Bill le coyote, le 6 mai 2022, sur France2, venu présenter son livre ; sombre recueil de mensonges. Aucune question gênante ne sera alors posée à ce fossoyeur de l’humanité, par ce journaliste lécheur de cul ; ce turluteur des grands.

Fort heureusement, la plupart des gens raisonnables savent maintenant que ces p’tits minets payés par les pouvoirs en place, ne sont là qu’afin de déblatérer une propagande à la Joseph Goebbels.

Vous remarquerez que les pontes du 3e Reich qui voulaient se livrer à une sélection finale autant qu’eugéniste n’étaient pour la plupart que des avortons mal démoulés. Désormais, c’est pareil.

Nous avons affaire à une caste de médiocres lécheurs de culs à la carrure d’épinoche ainsi qu’à la propagande grossière presqu’entièrement basée sur la lecture partielle d’une titraille étudiée pour pousser une certaine réalité, tant il est vrai (malheureusement) que les lecteurs ne vont que rarement au-delà du titre ou des deux premiers paragraphes…

Et puisque nous venons de vivre l’âge obscur du détecter-tracer-isoler, « stratégie » prévue par le gouvernement et censée s'appuyer sur le repérage précoce des symptômes, la réalisation de tests et l'isolement dès que nécessaire, aidé en cela par des bataillons de médecins vendus pour la plupart à Mammon et Big Pharma (c’est pareil), nous pouvons aborder un nouvel âge sombre : celui du serrage de ceinture tous azimuts et de l’effort de guerre.

Qu’on se rassure, il sera animé par les mêmes bataillons de faux culs aux regards mielleux et au discours sirupeux.

Et puisque nous en sommes au gout « sirupeux », vous reprendrez bien un peu de merde en tube ?

Pourquoi cette question !? Simplement parce qu’au niveau restrictions en tout genre et guerre hybride, les mêmes sont encore et toujours aux commandes avec leur condescendance de milliardaires « philanthropes ».

Nous allons crever de faim ? Pas grave ! Bill le coyote nous a déjà sauvé du couillonavirus, il nous remplira l’estomac. Mais de merde. C’est qu’il a pensé à tout le philanthrope de mes …

Tout comme Al Gore, le réchauffiste fou, il a pensé à nous faire bouffer des insectes et de la merde recyclé (excréments humains). Certains pensent même à nous faire manger les cadavres, afin d’éviter le gâchis.

On brule moins d’énergie dans les crématoriums et on ne gaspille pas la viande. Mais là encore, ils convient de faire appel à pléthore de « stars » afin de faire changer les mentalités. Le bobo à beau l’être, il convient de l’endoctriner toujours plus en utilisant d’autres bobos : des super-bobos.

Ainsi, tout comme avec le « Réchauffement climatique », le « méchant » Poutine, le « gentil » Zelensky et son pays nazifié au nom duquel le Français doit se rationner et se geler les couilles cet hiver, on reprend les mêmes « premiers de la classe » et on recommence.

On découvre maintenant les mêmes brochettes de vedettes de pacotille prétendre s’enfiler goulument des insectes. Ces petits soldats du discours officiel professent alors en cœur qu’il va bien falloir se passer de viande et remplacer nos steaks par des grillons, des vers de farine, le tout assaisonné de merde en tube.

Comptons néanmoins sur le FAIT que cette engeance de faux culs sera la dernière à abandonner la bonne bouffe au profit de la croustillance douteuse d’un grillon difficile à digérer.

De la même façon, c’étaient déjà ces mêmes vedettes parfaitement hypocrites qui soulignaient l’importance du « Restez Chez Vous » et qu’on retrouvait ensuite agglutinées dans les dîners de la bonne société, alors même que les confinements les interdisaient très officiellement.

Ce sont ces mêmes starlettes qui vont se couper « courageusement » une petite mèche de cheveux par solidarité avec les femmes iraniennes, au passage joli coup monté une fois de plus par la CIA afin de déstabiliser l’Iran décidément trop proche de Poutine. Des « artistes » françaises qui se coupent une mèche de cheveux en solidarité avec l'Iran ! Mais où sont-elles lorsqu’il s’agit de réagir face à un crime sataniste odieux, d’une barbarie sans nom : celui de la petite Lola ?

À ce bal des hypocrites, j’allais oublier d’inviter une autre classe : celle des prix Nobel de mes … Le dernier nommé, un Français, n’est pas en reste, acharné qu’il est à s’attaquer à Didier Raoult. Ces « scientifiques » qui prétendent détenir une vérité si solide que toute discussion à son sujet est immédiatement interdite, entravée de toutes les façons possibles, me donnent la nausée.

Heureusement l’heure tourne à l’Horloge Divine. Et à ce « deux poids, deux mesures », cette hypocrisie permanente, répondent maintenant les faits et la réalité qui, malgré les exhortations des uns et des autres à les oublier, refusent de plier. Ce monde change désormais et très vite. Petit-à-petit, il devient impossible d’endiguer les commentaires acides de plus en plus nombreux de ceux qui, restés sur le côté, observent le décalage croissant entre la « science » d’une petite élite et la réalité, entre le comportement prêché et le comportement réel.

À ce titre, le GIEC, tout emberlificoté qu’il est dans ces mensonges de réchauffiste, constitue un bel et piètre exemple. Nous sommes à l’ère des Révélations. Ceux qui ânonnaient les sermons officiels ont longtemps été plus nombreux que ceux qui les refusaient.

C’est en train de changer. Lentement, sûrement, l’hypocrisie devient visible. Et au beau milieu de tous ces mensonges, notre Occident tout oxydé est en train de se liquéfier. C’est le but de cet essai romancé que de vous en convaincre. Il constitue la suite de « C’était donc vrai ! », paru en 2015.

Bonne lecture.

Olivier, un essayiste qui vous conseille de vous méfier des évidences et de la pensée dominante.

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La méchante Russie ? (Partie 4 et fin)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2022/12/la-mechante-russie-partie-1.html

La situation aux Etats-Unis est aggravée par la sénilité évidente du Président en exercice et l’incapacité de son administration à faire face aux problèmes de la chaîne d’approvisionnement post-covid et à l’inflation.

Sa politique d’énormes déficits pour financer des projets sociaux n’a fait qu’aggraver l’inflation. Il y a aux Etats-Unis une hausse des coûts de l’énergie attribuable aux décisions relatives à la guerre en Ukraine. L’augmentation des exportations de gaz vers l’Europe y a fait monter le niveau des coûts énergétiques. Mais ce n’est qu’un facteur inflationniste parmi d’autres.

La démocratie est partout un feu follet depuis que la démocratie directe des Grecs a été remplacée par la démocratie représentative dont j’ai parlé.

Mais la question est de savoir si ce machin qu’on nomme « démocratie » donne le pouvoir au peuple ou le lui prend.

Et de nos jours, comme disait si bien Rothschild, c’est la main qui donne (les marchés) qui possède le pouvoir. Alors moi, face à un système voulu par la bande à Rothschild qui nous endette toujours davantage et désire nous amener au chaos afin d’instaurer sa dictature mondiale, je dis non.

J’attends de voir ce que donneront les BRICS. Ça ne peut pas être pire et de toute manière, je n’attends rien des hommes. Le problème c’est que la Bête du Deep State est très mal et qu’on peut tout attendre d’un animal blessé et surtout un acte désespéré.

On ne fait pas d’argent avec une guerre nucléaire. Vous êtes mort comme tout le monde. Néanmoins, ils utilisent toujours cette fameuse ingénierie sociale entièrement basée sur la PEUR. Voilà pourquoi on a laissé le vieux sénile de Biden parler « d’Apocalypse nucléaire ».

Un simple exemple du discours insensé qu’utilisent en permanence les Américains, est celui-ci. Le Pentagone déclare à chaque conférence de presse ne pas constater de signes pouvant laisser entendre que la Russie serait prête à utiliser des armes nucléaires dans le conflit en Ukraine.

Et, dans un même temps, ils avancent à ce mois-ci (décembre 2022), la livraison en Europe, dans les bases de l'OTAN, de nouvelles bombes nucléaires, pouvant être utilisées lors d'un conflit, pour faire face à la menace russe, qu'ils viennent de reconnaître comme inexistante. Et pendant ce temps-là, les pantins européens continuent à applaudir, alors que leur enterrement politique a déjà eu lieu et qu'ils entraînent nos pays dans leur chute sans fin.

Parce qu’au cas ou certains ne l’auraient pas encore vu, nous sommes de simples vassaux des USA. Il suffit de regarder le déplacement de Macron chez Biden pour s’en rendre compte. Qui est arrivé les mains chargées de cadeaux ? À l’inverse, il y a longtemps, très longtemps, lorsqu’on voulait rendre visite au dirigeant de la France libre ? De Gaulle, qui s’était déplacé du 31 mai au 2 juin 1961 ?

Donc, ce sont toujours les Américains qui foutent la merde, mais surtout chez les autres. Loin des possibles éclaboussures. Le jour même où la Russie a salué l’achèvement de ses exercices nucléaires annuels « réussis », un rapport explosif était publié selon lequel les États-Unis ont accéléré leurs plans pour maintenir des armes nucléaires modernisées en Europe.

Début octobre, les responsables de la défense américaine ont informé les alliés de l’OTAN que l’Europe accueillera une bombe à gravité B61-12 larguée par avion, qui sera transférée d’ici décembre 2022. Elle devait arriver en Europe au printemps 2023, mais le calendrier a été accéléré en raison de la "rhétorique nucléaire croissante" de la Russie concernant la guerre en Ukraine.

Alors, le Pentagone conteste que son projet de mise à niveau nucléaire de l’arsenal européen de l’OTAN soit lié de quelque manière que ce soit aux événements en Ukraine, mais le fameux rapport indique clairement que les alliés sont nerveux. Le document indique qu’au cours des réunions, 15 alliés de l’OTAN se sont inquiétés du fait que l’alliance « ne doit pas céder au chantage nucléaire de Poutine ».

Et cela arrive en Europe en pleine escalade du conflit ukrainien avec une rhétorique médiatique diamétralement opposée, à celle qui a cours lors des conférences de presse du Pentagone, puisque publiquement les politiciens et les médias reprennent en chœur le couplet de la menace nucléaire russe, qui est déniée par le Pentagone.

Vu la soumission totale de nos dirigeants européens et même après les élections intermédiaires, je doute que le vieil oncle obèse se calme.

L’enjeu n'est pas tactique, il est existentiel. Il s'agit de l'existence du pouvoir de domination américain sur le monde globalisé et soumis. Et des élections intermédiaires ne pourront pas changer la donne, surtout quand on se souvient qu'un Président, comme Trump, n'y est pas arrivé non plus. Les raisons du conflit en Ukraine se trouvent dans la détermination des Etats-Unis à conserver l’hégémonie mondiale qu’ils ont acquise après l’effondrement de l’Union soviétique il y a trente ans, malgré la montée d’autres grandes puissances comme l’Inde et la Chine et le renouveau de la Russie en tant que grande puissance.

Le complexe militaro-industriel tire profit de la guerre en Ukraine, mais seulement tant qu’elle reste une guerre par procuration.

Une guerre où l’Amérique se battra jusqu’au dernier Ukrainien.

Il le fait avec beaucoup d’ingérence partout où les pays désirent traiter avec les Russes. L’Occident est immoral (voilà pourquoi j'ai écrit mon dernier bouquin). Il l’est d’autant plus avec à sa tête les Etats-Unis, coupables d’agressions multiples contre l’Irak, la Libye, l’Afghanistan, etc.

Néanmoins, le vieil oncle obèse s’obstine à vouloir donner des leçons de démocratie et de droits de l’Homme à toute la planète.

Les Etats-Unis s’ingèrent dans les affaires intérieures des pays tiers depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, lorsque leur prépondérance économique et militaire était fermement établie. L’effondrement de l’Union soviétique a éliminé la plus grande résistance à la domination mondiale américaine et a donné naissance à l’arrogance que nous constatons encore aujourd’hui.

L’OTAN est donc un poison pour nous, un piège ! D’autant qu’un certain Sarkozy téléguidé par la CIA nous y a fait replonger de plus belle.

L’OTAN est cette excommunication, l’instrument par lequel les Etats-Unis maintiennent leur contrôle papale sur l’Europe.

C’est le genou américain sur le cou de l’Europe. Elle ne peut être dissoute d’un coup de baguette magique. Mais elle peut s’effondrer sous son propre poids. Si la Russie réussit dans la guerre en Ukraine, ce sera un coup terrible pour l’OTAN, qui sapera son autorité de sorte que sa disparition sera pour la première fois discutable en Europe.

Et dans tout ça, les journalistes ne font rien pour arranger les choses. C’est bien pour cela que je m’escrime à rédiger de tels articles !

Les médias mainstream en Occident véhiculent une propagande de guerre plutôt que d’informer le public. Une autocensure massive et omniprésente doublée d’un politiquement correct obséquieux rendent la presse docile. C’est la servilité et l’hypocrisie la plus crasse qui y règnent à tous les étages.

La profession de journaliste a été minée par le changement de l’économie de la diffusion des informations depuis qu’Internet a privé les agences de presse des revenus publicitaires qui leur permettaient de conserver des bureaux d’information mondiaux et d’engager des journalistes qualifiés.

Aujourd’hui, les meilleurs diplômés des écoles de journalisme se dirigent vers la publicité et les relations publiques, où ils peuvent gagner suffisamment pour élever une famille. Dans ces conditions, comment s’étonner que ceux qui ont la chance d’obtenir un emploi rémunéré dans les grandes entreprises de presse manquent de courage, de respect de soi et d’honnêteté ?

La plupart de ce que vous lisez dans notre presse grand public n’est rien d’autre que des communiqués de presse qu’ils ont reçus des autorités gouvernementales. Quant aux plateformes d’information alternatives, elles dépendent largement de contributeurs non rémunérés. Elles ne disposent pas de bureaux à l’étranger et manquent donc souvent de connaissances comparatives pour nuancer leurs analyses.

Un monde multipolaire est en train de naître, mais les douleurs de l’accouchement sont considérables. La guerre en cours en Ukraine et autour de l’Ukraine est d’une importance décisive dans ce processus.

Il y a d’abord eu la guerre civile en Ukraine qui a éclaté peu après le coup d’État de février 2014 à Kiev, lorsque le gouvernement de nationalistes violents, que les Américains ont installé, a mis en place son programme visant à éradiquer les Russophones et la culture russe sur le territoire de l’Ukraine, c’est-à-dire la moitié ou plus de la population globale du pays.

La résistance à ce gouvernement est apparue immédiatement et spontanément en Crimée, où la population était très majoritairement russe et où se trouvait la plus importante base navale russe sur la mer Noire. 18 000 soldats russes alors présents sur la péninsule, en vertu d’accords d’État à État, ont soutenu la rébellion locale et neutralisé une force ukrainienne de taille similaire, préparant ainsi la voie à un référendum en Crimée, qui a voté pour l’intégration à la Fédération de Russie.

Pendant ce temps, dans les deux provinces (oblasts) ukrainiennes voisines de Donbass, Donetsk et Lougansk, une insurrection armée s’est également rapidement développée au printemps et au début de l’été 2014.

Cela a conduit à une opération sanglante de « contre-terrorisme » menée par le gouvernement de Kiev et ses bataillons néo-nazis qui n’a été arrêtée que lorsque la Russie est intervenue.

Les forces en présence ont fini par établir un cessez-le-feu reconnu par Kiev, par les dirigeants des provinces rebelles et par la France et l’Allemagne, aux termes de ce que l’on a appelé les Accords de Minsk.

Ces accords étaient censés préparer la voie à des changements de la Constitution ukrainienne qui donneraient une large autonomie aux gouvernements locaux des deux provinces tout en maintenant l’Ukraine intacte.

Cependant, au cours des huit années suivantes, jusqu’en 2022, Kiev n’a rien fait pour mettre en œuvre les Accords de Minsk et a plutôt mené une guerre d’usure contre les deux provinces, avec des bombardements quotidiens de la population civile qui ont fait environ 13 000 morts au cours de cette période.

Avec l’aide de l’OTAN, pendant ces huit années, le régime de Kiev a réformé et renforcé son armée, créé une vaste zone fortifiée de son côté de la ligne de démarcation et s’est préparé à attaquer les deux provinces et à mettre fin à l’impasse par ce qui aurait été un exercice sanglant de nettoyage ethnique.

En prévision de cette attaque, qui pourrait déboucher sur une menace pour la Crimée russe, la Russie a envahi l’Ukraine le 24 février et « l’opération militaire spéciale » de dénazification et de démilitarisation de l’Ukraine se poursuit depuis lors.

Le deuxième niveau du conflit est la confrontation entre la Russie et l’OTAN, dirigée par les Etats-Unis, au sujet de l’éventuelle adhésion de l’Ukraine à l’OTAN et de la création d’une menace existentielle pour la sécurité nationale russe par l’installation sur place de missiles de croisière et hypersoniques à seulement 5 – 7 minutes de vol de Moscou.

À l’automne 2021 et jusqu’au début de l’invasion russe, la Russie a eu d’intenses discussions avec Washington et Bruxelles pour leur demander de renoncer à leurs projets d’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN et à leurs opérations en cours visant à faire de l’Ukraine une plate-forme pour attaquer la Russie, qu’elle soit ou non officiellement membre de l’OTAN.

Les Russes ont en effet exigé que l’OTAN ramène ses troupes et son matériel au niveau où ils se trouvaient avant l’expansion de l’OTAN vers l’est, dans les anciens États du bloc de Varsovie, en 1997.

Les Russes ont présenté des projets d’accords qu’ils cherchaient à signer avec les Américains et l’OTAN, jetant les bases d’une refonte de la sécurité européenne afin de sortir la Russie du piège. Lorsque Washington a refusé de négocier ces questions de sécurité, Moscou a mis en œuvre son plan pour obtenir ce qu’elle voulait par la force des armes, sur le terrain en Ukraine.

De cette manière, « l’opération militaire spéciale » s’est progressivement transformée en une guerre par procuration entre Moscou et Washington et risque maintenant très dangereusement de devenir incontrôlable et de se transformer en une véritable troisième guerre mondiale, c’est-à-dire en un Armageddon nucléaire.

Pendant des décennies, les dirigeants des 27 Etats membres de l’Union européenne ont largement été des serviteurs consentants de Washington au détriment des intérêts de leurs propres peuples.

L’Europe s’est appuyée sur le bouclier de défense américain au cours des trente dernières années, alors qu’elle réduisait ses propres dépenses de défense et sacrifiait également son propre complexe militaro-industriel en achetant des systèmes d’armes américains pour assurer la compatibilité et l’interopérabilité au sein de l’OTAN.

Lorsque la guerre a éclaté en Europe, lorsque la Russie a envahi l’Ukraine en février 2022, les dirigeants européens ont été confrontés à l’horrible réalité : séparément et même collectivement, ils n’étaient pas de taille à affronter militairement la Russie sans l’apport des armes et des effectifs américains.

En conséquence, la servilité envers Washington a été renforcée. Entre-temps, le prix de cette servilité a augmenté de façon considérable (fait qui fera l'objet de mes prochains articles).

Suivant les ordres de Washington, l’Europe a imposé à la Russie des sanctions dans le domaine de l’énergie qui ont entraîné une hausse spectaculaire des coûts et la menace réelle d’une désindustrialisation due à la perte de compétitivité économique de la Russie sur les marchés mondiaux.

Donc, les Européens sont amenés à vivre dans la précarité la plus totale à cause des choix politiques de la caste dirigeante.

Tout le monde va descendre dans la rue. Expliquant au passage mes articles sur le climat, nous devons voir comment les économies européennes survivront à cet hiver avant de tirer des conclusions sur l’éventualité d’un Ordo Ab Chaos tel que le souhaitent les mondialistes du style Schwab et sa bande de psychopathes.

Et, comme d'habitude, pour celles et ceux qui voudraient approfondir ces sujets et bien d'autres, mon dernier livre vient de sortir.

Il constitue une véritable bombe neuronale pour celui qui désire comprendre, et VITE, où nous allons toutes et tous dans les mois qui viennent. Suites mortifères des vaccinations, guerres, restrictions en tout genre. Tout y est passé au crible. Vous en connaitrez les tenants et les aboutissants. Un excellent cadeau UTILE, pour les « fêtes ».

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Olivier

Fin

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La méchante Russie ? (Partie 3)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2022/12/la-mechante-russie-partie-1.html

Lorsque Poutine est arrivé aux affaires et a redressé le pays, l’inverse de ce qui se passait avec Eltsine s’est produit : il est devenu très populaire en Russie. Bien entendu, merdias occidentaux aidant, il a été vu comme un tyran nostalgique de l’URSS, en Occident.

Contrairement à l’image qu’on donne de lui, Poutine a fait de nombreux efforts pour trouver une entente avec l’Occident, mais à condition qu’on tienne compte des préoccupations sécuritaires de la Russie et qu’on ne la traite pas en état vaincu ; or c’est exactement ce traitement que voulaient lui infliger les États-Unis avec ses sbires de l’OTAN.

Et pour ce qui est de l’Ukraine, après le coup d’état de 2014 qui a mené au renversement du président élu Viktor Ianoukovytch, la partie orientale de l’Ukraine, ainsi que la Crimée ont refusé le résultat du coup d’état et ont soit rejoint la Russie (pour la Crimée) soit sont entrées en rébellion face à Kiev. La solution alors la plus naturellement appliquée dans quantités de situations où des mouvements régionaux réclament une plus grande autonomie (Catalogne, Flandre, Écosse etc.), ne l’a pas été.

Aucun accord n’a été négocié avec les régions de l’est de l’Ukraine.  Et les habitants de ces régions n’ont jamais été consultés sur leur appartenance à l’Ukraine. Il s’agissait de populations russes qui ont été incorporées dans l’Ukraine lors de la création de l’URSS en 1922.

Il s’agissait alors, je pense, de renforcer l’Ukraine au détriment du pouvoir « Russe » que les bolcheviques n’aimaient pas trop. Pour la Crimée, c’est encore pire puisqu’elle été « donnée » à l’Ukraine en 1954. Jusque-là, elle était russe depuis la fin du 18ème siècle.

Jusqu’à la fin de l’URSS en 1991, les populations en question pouvaient difficilement protester et, l’état soviétique étant relativement centralisé, ces appartenances aux républiques non russes n’avaient pas trop d’importance.

Mais à partir du moment où l’Ukraine est devenue indépendante et plus encore à partir du sale coup yankee de 2014, dont l’idéologie était fortement antirusse, les régions de l’est de l’Ukraine ont cherché à obtenir plus d’autonomie.

Alors, dire, comme le veut la doxa dominante, que c’est simplement le résultat de manipulations russes n’est pas crédible. Ces régions ont massivement voté pour des candidats « pro-russes » (même si ceux-ci ont retourné leur veste une fois élus) depuis l’indépendance, elles ont longtemps demandé à la Russie d’être reconnus par elle, ce que la Russie a refusé pendant 8 ans. Elles ont alors pris les armes contre le régime américain de Kiev, ce qu’on ne fait pas sous simple pression étrangère.

Du coup de 2014 à l’intervention russe en février 2022, la crise aurait pu être résolue en acceptant des négociations entre Kiev et les dirigeants autonomistes. Mais le mythe du 8 mai 1945 a prévalu. C'est-à-dire qu’il ne fallait faire aucune concession aux pro-russes, ce qui équivaudrait à un nouveau Munich.

On a bien signé les accords de Minsk qui prévoyaient de telles négociations, mais sans jamais avoir eu l’intention de les appliquer.

De même, lorsque la Russie a proposé fin 2021 un plan global de sécurité entre elle et l’OTAN, on lui a évidemment opposé une fin de non-recevoir. Pas de concessions !

Dès qu’a commencé l’intervention militaire « spéciale » russe en Ukraine, l’intégrité territoriale dans les frontières (arbitraires) de 1991 est devenue sacro-sainte pour l’Occident.

Mais c’est du deux poids deux mesures. Pourquoi ? Parce que rien de tel n’a été invoqué lors du démantèlement de la Yougoslavie ; là le droit à la sécession ou à l’auto-détermination des Slovènes, Croates, Musulmans de Bosnie et Kosovars était lui sacro-saint.

On dit que les Russes sont des barbares alors que depuis février 2022, ils ménagent autant que possibles les populations civiles. Mais dans le cas de l’OTAN, ce droit a même « justifié » 78 jours de bombardements de ce qu’il restait de la Yougoslavie, c’est-à-dire la Serbie et le Monténégro.

Lors des « négociations » de Rambouillet qui ont précédé la guerre, on a exigé de la Serbie qu’elle permette à l’OTAN de bivouaquer sur l’ensemble du territoire yougoslave, c’est-à-dire des conditions imposées à un pays vaincu. À nouveau, c’était le style Oncle Sam qui s’appliquait, vous capitulez où on vous anéanti sous des tonnes de bombes.

Aujourd’hui, alors que de nombreuses voix dans le monde pensent que seule une négociation peut mettre fin à la guerre (négociation qui forcément devra prendre en compte les aspirations des populations de l’est de l’Ukraine), la position officielle de l’OTAN et par là de l’Ukraine, est que celle-ci doit reprendre tout le territoire de l’Ukraine de 1991, y compris la Crimée.

On rêve à nouveau d’un 8 mai 1945, avec si possible un changement de régime à Moscou, face à un Poutine soi-disant en phase finale d’un « triple cancer », doublé d’un parkinson et ne soyons pas chien : d’un Alzheimer. La propagande occidentale débile à la Goebbels ne recule devant rien ! Nous serons ridicules jusqu’à la fin (proche).

Mais, même si le résultat final sur le terrain militaire est incertain, l’intervention russe a provoqué un bouleversement de l’ordre du monde d’une part, la MAJORITE de l’humanité n’applique pas les sanctions américaines contre la Russie et continue à collaborer avec elle, la Russie résiste beaucoup mieux aux sanctions que prévu et, en fin de compte, comme je l’explique en détail dans mon dernier livre, c’est l’Europe qui souffrira le plus TERRIBLEMENT de ces sanctions.

Contrairement à ce qu’on avait pensé en 1991, la Russie n’a pas accepté un nouveau 8 mai 1945 et n’a pas accepté un statut de vaincue, ce en quoi elle avait entièrement raison, puisqu’elle ne l’était pas.

Le ministre des Affaires étrangères de l’Union Européenne, Josep Borrell, a récemment comparé l’Europe à un jardin et le reste du monde à une jungle, en précisant que les jardiniers devaient intervenir dans la jungle.

Cela dure en fait depuis des siècles et le tournant auquel on assiste marque peut-être le début de la fin de cette ère. Je pense qu’en plus d’être prochainement confrontés au GRAND JARDINIER, ces assassins vont d’abord se prendre une bonne branlée de la part de la Russie.

Alors "les jardiniers" devront cesser d’imaginer qu’ils dominent le monde, qu’ils peuvent imposer une capitulation totale à leurs adversaires, et devront apprendre à se débrouiller sans se fournir en matières premières, en travail bon marché et même en matière grise, dans cette soi-disant « jungle ». En plus, cette classe d’hypocrites obscènes à la prétention de nous donner des leçons d’antisémitisme et de racisme.

Ils n’ont d’ailleurs que ça à la bouche avec le terme fascisme.

Mais la russophobie des classes dirigeantes européennes n’est que jalousie. Elle est la conséquence de la prise de conscience qu’elles sont impuissantes et que leurs pays ont perdu leur souveraineté. Aujourd’hui, le pouvoir d’un chef d’Etat européen n’est pas beaucoup plus grand que celui du maire. Alors, une Russie qui s’est remise de sa faiblesse économique, politique et militaire des années 1990 et défend vigoureusement sa souveraineté contre l’hégémon mondial, ça fait envie !

Ensuite, n’oublions surtout pas le « progressisme » et son wokisme à la noix que colporte désormais notre Occident oxydé.

Toute cette merde est issue d’une pseudo sphère culturelle animée par nos « élites européennes », eux-mêmes dirigés par Schwab et le Deep State. Tout ceci a poussé l’égoïsme, l’égocentrisme et la laïcité à leur paroxysme.

Ces valeurs sociales « progressistes » nient les valeurs judéo-chrétiennes traditionnelles en faveur des LGBTQ et autres.

Elles nient que la famille soit l’élément constitutif de la société et qu’un enfant ne se fait pas dans la merde. Elles regardent vers l’Est et voient en Russie précisément un renouveau de ces valeurs traditionnelles et chrétiennes qu’elles méprisent aujourd’hui, ce qui suscite la colère et la russophobie.

Lors d’un discours déjà mentionné sur ce blog, Poutine avait affirmé que nous étions dirigés par des satanistes. Et que l’Ukraine était, grâce au Deep State, devenu la mère de tous les vices et trafics les plus abjects. Son objectif est d’en débusquer tous ces néonazis.

C’est vrai que lorsqu’on y réfléchi bien, grâce à Sarkozy et sa bande, l’arsenal libyen s’est retrouvé entre les mains des djihadistes. Mais ici, en Ukraine, avec la haute technologie russe et ses drones, énormément d’armes sont détruites peu après leur arrivée.

L’Occident soutient les néo-nazis en Ukraine parce qu’ils ont été très efficaces pour susciter des sentiments antirusses dans la population générale et utiliser l’anti-Russie comme nouvelle identité nationale des Ukrainiens.

L’intention de l’Occident dirigé par les Etats-Unis est d’utiliser l’Ukraine comme une plate-forme et une force armée contre la Russie, afin d’éliminer la plus grande menace à l’hégémonie mondiale américaine.

La Chine dit peut-être merde aux Américains, actuellement, mais c’est la Russie qui dénonce publiquement les Etats-Unis pour leurs actes d’agression en Serbie, en Irak, en Syrie et en Libye, tout en ralliant les pays du Sud à l’avènement d’une nouvelle ère de plus grande égalité entre les nations. La Russie joint également le geste à la parole, comme nous le voyons dans son combat actuel en Ukraine contre les forces unies de l’OTAN. Dans tout ça, il va nous rester quoi à nous les Européens ?

Des pénuries extrêmes dans tous les domaines avec une économie et un secteur industriel qui part en confettis pour le plus grand bonheur de l’Oncle Sam qui va les accueillir à grand renfort de dollars torche cul.

Le seul domaine où nous aurons des réserves à profusion c’est la POURITURE. Il va nous rester à profusion une élite politique corrompue, à l’image de Biden, Pelosi, Von der Leyen, Borrell, Johnson, Macron, etc. Un parfait révélateur face à ce qui s’en vient.

Les raisons pour lesquelles ces individus corrompus, lâches et incompétents sont arrivés au pouvoir varient d’un pays à l’autre. Young Global Leaders et tonton Schwab aidant, l’une des principales raisons est le système électoral proportionnel qui empêche la domination d’un seul parti majoritaire et oblige, au contraire, les politiciens à former des coalitions pour obtenir et conserver le pouvoir.

Ces coalitions sont intrinsèquement corrompues, car elles associent des mouvements politiques aux programmes politiques différents, souvent contradictoires, qui ne sont unis que par l’ambition d’obtenir et de conserver le pouvoir et de se répartir le butin de la victoire sans tenir compte des compétences.

Les citoyens ordinaires deviennent apathiques, passifs lorsque, pendant des décennies, ils voient les mêmes individus incompétents au pouvoir et comprennent que leur vote n’a aucun sens.

Et, comme d'habitude, pour celles et ceux qui voudraient approfondir ces sujets et bien d'autres, mon dernier livre vient de sortir.

Il constitue une véritable bombe neuronale pour celui qui désire comprendre, et VITE, où nous allons toutes et tous dans les mois qui viennent. Suites mortifères des vaccinations, guerres, restrictions en tout genre. Tout y est passé au crible. Vous en connaitrez les tenants et les aboutissants. Un excellent cadeau UTILE, pour les « fêtes ».

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2022/12/la-mechante-russie-partie-4-et-fin.html

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La méchante Russie ? (Partie 2)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2022/12/la-mechante-russie-partie-1.html

Le stratagème a échoué. Il a « seulement » infligé d’immenses souffrances au peuple syrien, longtemps reconnaissant à la Russie (et à l’Iran) de l’avoir sauvé du désastre.

Bref ! J’ai volontairement sauté des étapes, beaucoup de souffrance et des millions d’autres morts, sinon mon exposé demanderait moult pages supplémentaires. Il risquerait alors de vous lasser. Qu’il vous suffise de retenir que l’hégémon occidental auquel nous appartenons en tant qu’atomes asservis, tourne autour du mythe de son invincibilité et de sa capacité à anéantir une fois pour toute le MAL.  

En fait, c’est un éléphant dans un magasin de porcelaine qui crée un désastre après l’autre, même du point de vue occidental. Mais intégrez-le bien, la Russie ne perdra pas ! Elle ne le peut pas.

Voici qui répond à tous ceux qui se demandent combien de temps encore va durer la guerre des États-Unis contre la Russie, le Belarus et l’Ukraine ? Des mois, des années ? Tout dépend de la mesure dans laquelle l’élite néoconservatrice-néolibérale américaine, via ses alliés de l’OTAN, en particulier le Royaume-Uni, Zelensky et ses nazis, les « mercenaires », veulent intensifier leur guerre.

En d’autres termes, jusqu’à quel point l’élite américaine veut-elle que ses peuples sujets, en Amérique du Nord, en Europe occidentale et en Ukraine, souffrent et jusqu’au dernier Ukrainien.

Dans toute cette histoire la perfide Albion aura, depuis longtemps, joué un rôle crucial. En septembre 1854, les troupes alliées (britanniques, françaises et sardes) atteignent la Crimée et commencent le siège de Sébastopol, port d'attache de la Marine impériale russe sur la mer Noire. Le siège de Sébastopol est l'épisode principal de la guerre de Crimée. Du 9 octobre 1854 au 11 septembre 1855, le choléra, le scorbut et d’autres maladies feront de nombreux morts.

De cette guerre entre l’Empire russe et la Grande-Bretagne, la Russie n’a toujours pas fait payer le prix du Sang à l’Establishment britannique. Depuis, ce qui n’est jamais arrivé entre 1945 et 1991 est arrivé : La guerre entre l’URSS et les États-Unis.

Seuls changent quelques noms, le champ de bataille est la frontière sud-ouest de l’ancien Empire russe/de l’Union soviétique, appelée désormais l’Ukraine. Le motif n’est plus la dispute entre le capitalisme anglo-saxon et la monarchie/le communisme, mais celle entre la tyrannie mondiale de l’élite et la liberté et la souveraineté des peuples du monde.

Aujourd’hui, le monde occidental signifie simplement les États-Unis. L’Oncle Sam se cache derrière le mot « globalisation ». Il s’agit en réalité d’américanisation. Des mots comme « l’Occident », « l’OTAN », « communauté internationale », « monde civilisé », dénoncent tous un ordre fondé sur des règles américaines. Il ne connaît qu’un seul système : Le féodalisme. Un système pyramidal de racketteurs criminels.

La Bible indique que l’histoire est un éternel recommencement. Elle a parfaitement raison. Et depuis longtemps, l’Oncle Sam a pris exemple sur la Catholique romaine, cette putain de Babylone.

En effet, les religieux du passé capitalisaient, avec encore plus d’avidité que Big Pharma, sur la dépendance qui lie les hommes au contrôle.

Le 11ème siècle sera marqué par une bataille visant à savoir qui allait détenir l’autorité suprême en Europe. À l’époque, les principaux prétendants étaient l’empereur du Saint empire Germanique et le Pape. Et, à ce jeu de dupes, le pape serait celui qui aurait les plus grosses. Son arme ? L’illusion du contrôle.

Au cours des 200 ans qui suivirent le règne de Charlemagne, les Empereurs Romains Chrétiens avaient traité le pape avec arrogance. En 1073, Hildebrand, le futur pape Grégoire VII, allait s’émanciper du pouvoir impérial. Son outil ? L’excommunication des peuples et de leurs dirigeants. Elle fit que l’Empereur en vint à demander pardon, pieds nus et en chemise, à Canossa, durant trois jours entiers.

L’analogue de l’Europe médiévale à la nouvelle guerre froide de l’Amérique contre la Chine et la Russie fut le Grand Schisme de 1054. Exigeant un contrôle unipolaire sur la chrétienté, Léon IX excommunia l’Église orthodoxe centrée à Constantinople et toute la population chrétienne qui en faisait partie.

Un seul évêché, Rome, se coupe de l’ensemble du monde chrétien de l’époque, y compris des anciens patriarcats d’Alexandrie, d’Antioche, de Constantinople et de Jérusalem.

Cette rupture a créé un problème politique pour la diplomatie romaine : Comment maintenir tous les royaumes d’Europe occidentale sous son contrôle et revendiquer le droit à des subventions financières de leur part. Cet objectif nécessitait de subordonner les rois séculiers à l’autorité religieuse papale. En 1074, Grégoire VII, Hildebrand, annonça 27 Diktats papaux décrivant la stratégie administrative permettant à Rome de verrouiller son pouvoir sur l’Europe.

Ces exigences papales présentent un parallèle frappant avec la diplomatie américaine d’aujourd’hui. Dans les deux cas, les intérêts militaires et mondains nécessitent une sublimation sous la forme d’un esprit de croisade idéologique pour cimenter le sentiment de solidarité que requiert tout système de domination impériale. La logique est intemporelle et universelle.

Aujourd’hui, le pape pédophile Joe Biden est au pouvoir, ou plutôt ce sont les intérêts personnels du Deep State qui le sont. Mais ce pouvoir est en train d’être détruit militairement (l’OTAN perd toutes ses armes).

 

Financièrement, c’est tout comme ! Qui voudra encore des dollars torche cul d’un État en faillite et divisé ? Politiquement, c’est idem.

Qui veut faire partie d’une minorité WOKE minuscule et moralement discréditée avec son Réchauffement planétaire à deux balles ?

Lorsque la Russie aura remporté ce combat, alors tout changera. Le monde entier se libérera peu à peu de la camisole de force américaine et quittera l’asile de fous de Washington.

Bien entendu, la Russie doit prendre un puissant laxatif afin d’éliminer de son organisme les environ 5 % de traîtres de la CIA, style Navalny. Soit ces métastases intestinales quittent la Russie, comme certains l’ont déjà fait, pour la Finlande, la Géorgie et, surtout, Israël, nettoyant ainsi la Russie de leur présence, soit elles se repentent de leur trahison.

L’Amérique latine pourra alors se libérer des méchants dictateurs imposés par la CIA, des trafiquants de drogue et de la dépendance à l’égard des marchés de la drogue d’Amérique du Nord. L’Amérique du Sud, l’Amérique centrale, les Caraïbes et le Mexique pourront commencer à retrouver leurs civilisations avancées détruites par les exploiteurs espagnols et portugais, les « conquistadors », cette catholique romaine qui aura poussé les survivants à abandonner leurs palais, temples et villages pour vivre dans des endroits reculés devenus des jungles.

Et puis, il y a les vassaux des États-Unis sur le pourtour asiatique.  Ils n’ont jamais réussi à pénétrer à l’intérieur de l’Eurasie, ainsi que de l’Iran, de l’Irak, de l’Afghanistan et bientôt de l’Europe, qu’ils n’ont pénétré que jusqu’en Ukraine.

Le Japon peut être libéré et la péninsule coréenne réunifiée. Taïwan pourrait aussi rejoindre la mère patrie. Ailleurs, Israël sera contraint de faire la paix avec les peuples autochtones dont il a volé les terres rebaptisées Palestine.

Les constructions tyranniques et parasitaires de l’UE et du Royaume-Uni, imposées par des élites détestées et étrangères à l’Establishment, peuvent tomber dans le passé, inutiles et mal aimées.

Tout comme l’Ukraine, les États baltes se dissoudront eux aussi après avoir été libérés de leurs régimes fascistes. L’Afro-Eurasie représente la majorité de l’humanité, dirigée industriellement et économiquement par la Chine et l’Inde, idéologiquement et militairement par la Russie, ainsi que l’énorme potentiel humain et de ressources de l’Afrique, une fois son infrastructure créée.

L’Océanie, ses nombreuses îles, avec son île centrale toujours appelée « Australie », qui sera peut-être rebaptisée « La Grande île », peut redécouvrir son identité est-asiatique originale.

https://twitter.com/i/status/1602208631914733569  

Enfin, restera la « Nouvelle Atlantide » qui, tout comme l’ancienne, se dissoudra. il restera au Canada et aux États-Unis à se fondre dans une série de Premières Nations, au sein desquelles leurs peuples originels pourront jouer un rôle nouveau et important, l’ancienne centralisation ayant disparu.

Quant aux institutions « internationales » parasitaires, qui n’ont jamais été internationales, l’ONU, les institutions financières du FMI et de la Banque mondiale, dirigées par les États-Unis, pourraient probablement être simplement fermées. Elles sont, tout comme son aile politique et économique européenne appelée UE, actuellement mise en faillite par ses dirigeants suicidaires, et son aile militaire européenne appelée OTAN, actuellement en train d’être anéantie en Ukraine.

Le vassal des États-Unis, la soi-disant ONU, sera rebaptisé et déplacé au centre du monde, loin de son bord primitif en Amérique du Nord.

Et c’est de là un œil nouveau que viendront jeter les peuples libérés sur une Terre aux contours mal définis, puisqu’ imposés par l’œil d’Horus d’une élite dont la NASA constitue depuis trop longtemps le porte-voix du mensonge le plus obscène. Pour ceux qui veulent en savoir plus :

https://www.thebookedition.com/fr/nachash-p-388763.html

Nous approchons de la grande REVELATION. Nous vivons la fin de ce vieux monde occidental et assistons à la naissance du nouveau monde multicentrique. C’est le monde qui aurait existé depuis le début, s’il n’y avait pas eu l’interruption millénaire déviante de l’histoire par l’Occident.

L’Occident va reprendre l’histoire là où il l’a laissée, ou plutôt, là où, à cause de la putain de Babylone, il a été forcé de dévier il y a tous ces siècles.

D’autres aussi apprendront à comprendre que l’Opération Spéciale de la Russie était une opération visant à libérer un pays de son occupation par l’élite néo-féodale américanisée.

Cette dernière a renversé illégalement le gouvernement démocratiquement élu de l’Ukraine en 2014, date à laquelle a commencé cette Troisième Guerre Mondiale.

Elle a démarré « pianissimo » et doit durer une décennie, jusqu’en 2024. Mais, il en va de même pour toute l’Europe occidentale, elle aussi a été occupée.

Seulement, elle a été occupée par sa propre élite féodale depuis près de 1000 ans.

1054 constitue la borne, la date à laquelle cette nouvelle élite a imposé une nouvelle mentalité et a ensuite manipulé les peuples, les privant de leurs droits en serfs. La libération de l’Ukraine va faire réfléchir les peuples occidentaux en dehors des États.

L’ancien président de la Fédération de Russie, Dimitri Medvedev, a écrit ces mots : Ce qui est contre nous aujourd’hui fait partie d’un monde qui se meurt. C’est une bande de nazis fous et drogués, des gens zombifiés et intimidés par eux et une grande meute de chiens aboyeurs issus des chenils occidentaux. Avec eux, un troupeau hétéroclite de porcs grogneurs et de bourgeois étroits d’esprit de l’empire occidental effondré, la salive coulant sur leur menton à cause de la dégénérescence. Ils n’ont ni foi ni idéal, si ce n’est les coutumes obscènes (wokisme) qu’ils ont inventées et les normes de double pensée qu’ils ont implantées, niant la moralité accordée aux gens normaux. C’est pourquoi, en nous levant contre eux, nous avons acquis un pouvoir sacré… » C’est clair, non !?

Mais avant d’en venir à la situation actuelle en Ukraine, il faut voir que l’effondrement de l’URSS en 1991 a été vu comme un nouveau 8 mai 1945 par les Occidentaux mais pas du tout par les Russes. Pour l’Occident, c’était leur victoire contre l’autre totalitarisme, le communisme, après leur victoire sur le nazisme.

Mais les Soviétiques, en particulier les Russes, pensaient avoir changé leur système socio-économique pour des raisons internes et non à cause d’une défaite infligée de l’extérieur.

Cette transformation a été loin d’apporter des lendemains qui chantent au peuple russe : la décennie des années 1990 est presque universellement vue comme catastrophique par eux en ce qui concerne leur situation économique. En Occident, au contraire, elle est vue comme le triomphe de la démocratie et de l’économie de marché, avec l’ivrogne Eltsine vendu à l’Oncle Sam.

Aux commandes, il était prêt à tout accepter de la part des États-Unis qui bien sûr, le soutenaient financièrement et politiquement.

Et, comme d'habitude, pour celles et ceux qui voudraient approfondir ces sujets et bien d'autres, mon dernier livre vient de sortir.

https://www.thebookedition.com/fr/chronique-d-un-occident-oxyde-p-394854.html

Il constitue une véritable bombe neuronale pour celui qui désire comprendre, et VITE, où nous allons toutes et tous dans les mois qui viennent. Suites mortifères des vaccinations, guerres, restrictions en tout genre. Tout y est passé au crible. Vous en connaitrez les tenants et les aboutissants. Un excellent cadeau UTILE, pour les « fêtes ».

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2022/12/la-mechante-russie-partie-3.html

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La méchante Russie ? (Partie 1)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Laissez-moi vous parler un peu de la « méchante » Russie et de ses soldats assoiffés de sang qui violent les femmes ukrainiennes et mangent leurs bébés.

Juste avant l’arrivée de Zelenski, le joueur de piano avec sa bite, Petro Porochenko, un homme d'affaires ukrainien, sera président du pays du 7 juin 2014 au 20 mai 2019.

Pour faire court, il expliquait qu’il n’avait signé les accords de Minsk que pour gagner du temps et ainsi permettre à l’Ukraine de « s’OTANISER » et de se construire une armée capable d’écraser la Russie.

Quant à Merkel, elle ne dira pas mieux, lorsqu’il lui a fallu défendre les accords de Minsk. Elle avait alors confié au Spiegel, qu’elle « comparait la menace posée par le régime nazi d'Hitler à celle de la Russie de Vladimir Poutine ».

Gardez bien en tête le fait que Mme Merkel savait pertinemment qu'inviter l'Ukraine à rejoindre l'OTAN déclencherait une réponse militaire russe.

Plutôt que de rejeter complètement cette possibilité, Mme Merkel a mené une politique visant à rendre l'Ukraine capable de résister à une telle attaque. Sans s’interroger une seconde, ni sur les circonstances du coup d’État de Kiev (le Maidan de février 2014) ni sur le sort des russophones du Donbass régulièrement canonnés.

Tout ce beau monde, Français compris, savaient que cet accord de Minsk préparait l’Ukraine à une guerre ; et non pas une guerre dont l’Ukraine était menacée, mais bien une guerre que l’Ukraine serait prête à affronter, sinon à mener puisqu’on lui préparait une armée super- « otanisée » ... de façon à démanteler la Russie façon puzzle.

Ainsi, si un jour l’histoire se retrouve libre ; c'est-à-dire loin des menaces de l’élite, et si elle devient alors réaliste et sérieuse, elle dira qu’effectivement l’Allemagne de Merkel et la France de Hollande-Macron (postmodernes et déconstruites), bien plus que les USA, sont les responsables des horreurs que nous vivons aujourd’hui.

La sottise et la lâcheté, ce triste cortège, encore plus que notre vassalité et notre servilité à l’égard des brutes d’outre-Atlantique qui se prennent pour des Romains, est notre honte et notre péché à la fois.

Les récents commentaires de l'ancienne chancelière allemande Angela Merkel ont mis en lumière la duplicité du jeu joué par l'Allemagne, la France, l'Ukraine et les États-Unis avant l'invasion de l'Ukraine par la Russie en février.

Car la réalité est bien différente et dans cette sombre histoire, le méchant n’et pas là où on croyait le trouver. La Russie a bel et bien été dupée en croyant qu'il existait une solution diplomatique à la violence qui avait éclaté dans la région du Donbass, dans l'est de l'Ukraine, à la suite du coup d'État de Maidan à Kiev en 2014, soutenu par les États-Unis.

Au lieu de cela, l'Ukraine et ses partenaires occidentaux ne faisaient que gagner du temps jusqu'à ce que l'OTAN puisse développer une armée ukrainienne capable de capturer le Donbass dans son intégralité, ainsi que d'évincer la Russie de la Crimée.

Tous savaient, Merkel en tête, qu'inviter l'Ukraine à rejoindre l'OTAN déclencherait une réponse militaire russe. Lors d'une récente réunion, Poutine a reconnu que cela avait été une erreur d'accepter les accords de Minsk et que le problème du Donbass aurait dû être résolu par la force des armes à ce moment-là, surtout compte tenu du mandat que lui avait confié la Douma russe concernant l'autorisation d'utiliser les forces militaires russes en « Ukraine », et pas seulement en Crimée.

Lorsque les russophones du Donbass ont résisté au coup d'État et défendu cette élection démocratique, ils ont déclaré leur indépendance de l'Ukraine. La réponse du régime putschiste de Kiev a été de lancer contre eux une attaque militaire vicieuse de huit ans qui a tué des milliers de civils. Poutine a attendu huit ans pour reconnaître leur indépendance.

Plus de 75% du peuple russe est derrière son président, conscients que ce qui se passe en Ukraine est une guerre civile orchestrée par ceux-là même qui décortiquent la planète depuis la fin du second conflit mondial.

L’hégémon américain est un démon insatiable. De ce fait beaucoup de Russe trouvent Poutine trop « centriste » et réclament de lui une réponse BEAUCOUP plus vigoureuse face à cette bande de hyènes que sont les trente membres de l’OTAN vassalisés au Viel oncle hypocrite.

Face à cela, Poutine a fini par lancer une invasion à grande échelle du Donbass en février. Il avait auparavant attendu dans l'espoir que les accords de Minsk, garantis par l'Allemagne et la France et approuvés à l'unanimité par le Conseil de sécurité de l'ONU (y compris par les États-Unis), résoudraient la crise en accordant au Donbass une autonomie tout en restant partie intégrante de l'Ukraine.

Mais Kiev n'a jamais appliqué les accords et n'a pas été suffisamment pressée par l'Occident pour le faire. Cette nonchalance et ce détachement dont a fait preuve l'Occident, réunissaient l'Allemagne et la France aux États-Unis, tous censés respecter les accords de Minsk et non apporter une assistance militaire « défensive » autoproclamée à l'Ukraine de 2015 à 2022.

Tout cela a mis en évidence le FAIT qu’il n'y aurait jamais de règlement pacifique des problèmes qui sous-tendent le conflit russo-ukrainien. Et il n'y en aura jamais.

Mais qui sème le vent récolte la tempête et cela ne se terminera pas bien pour l'Allemagne, l'Ukraine ou tous ceux qui, enveloppés dans le manteau de la diplomatie, ont voulu poignarder la Russie dans le dos.

Et dans cette histoire de lâches, l’Europe et surtout la France auraient dû comprendre et depuis longtemps où se trouvaient nos intérêts au lieu d’aller lécher le vieux cul malpropre d’un Deep State sur le déclin.

Le 8 mai 1945, l’Allemagne, écrasée sous les bombes, capitule sans condition ; son chef s’est suicidé, ses dirigeants sont envoyés à Nuremberg pour être jugés et pendus. Deux grosses bombes sales aidant, pratiquement le même scenario se produit quelques mois plus tard avec le Japon impérial. Mais le 3ème Reich n’est pas mort, loin de là. Dès lors, l’oncle Sam ne se sentira plus pisser.

Tout lui et permis suivi qu’il est par un occident en voix d’oxydation, oubliant au passage le rôle de l’URSS dans ces victoires. Il ne fallait surtout pas, face à de nouveaux Hitler, commettre l’erreur de la politique d’apaisement qui avait mené aux accords de Munich en 1938 et abandonné la partie germanophone de la Tchécoslovaquie (la région des Sudètes) à l’Allemagne.

En découleraient de multiples déconvenues : Ho Chi Minh et l’indépendance du Vietnam en 1945, pour en arriver à Dien Bien Phu.

S’ensuivront les accords de Genève en 1954 qui prévoyaient des élections dans un Vietnam unifié. Mais, face au communiste Ho Chi Minh, les Américains installeront, comme ils savent si bien le faire, un régime à leur botte au Sud Vietnam, entérinant ainsi la partition du pays.

A nouveau, selon l’adage « pas de concessions à l’ennemi », on ira de Charybde en Scylla et, quand le président américain Johnson enverra en 1965 un contingent militaire massif en Indochine, il invoquera bien le « précédent » de Munich pour prouver qu’une politique d’apaisement ne mènerait à rien. 10 ans et des millions de morts plus tard, les Américains fuiront le Sud Vietnam, la queue entre les jambes et avec leurs malheureux collaborateurs.

Puis viendra l’Algérie, lorsqu’en 1954, Ben Boulaïd, Didouche, Ben M'hidi, Bitat, Krim et Boudiaf, les « enfants de la Toussaint », déclencheront l'insurrection qui devait aboutir, huit ans plus tard, à l'indépendance de l'Algérie, la France n’y voyant au départ qu’une simple question de police devant préserver l’intégrité du territoire national, il ne sera pas non plus question de négocier avec les « rebelles ».

Huit ans et quelques centaines de milliers de morts plus tard, la France signera avec ces "rebelles" les accords d’Evian donnant lieu à l’indépendance de l’Algérie.

Lorsque Nasser nationalisera en 1956 le canal de Suez, la presse britannique le qualifiera d’Hitler sur le Nil. Néanmoins, malgré l’intervention israélo-franco-britannique visant à se réapproprier ce canal, celui-ci est toujours égyptien.

Entre temps, bien sûr, nous aurions déjà pu finir atomisés. Lors de la crise des missiles à Cuba en 1962, si, fort heureusement des partisans de l’apaisement n’avaient pas agi avec intelligence, vous ne seriez sans doute pas là à lire cet article, puisque j’aurais été atomisé dès mes deux ans.

Nous en arrivons maintenant à deux « morceaux de choix » que seront La première guerre du Golfe de 1991, en réaction à l’invasion du Koweït par l’Irak, sur fond de contrôle des ressources pétrolières. La victoire américaine laissera le pays exsangue, mais Saddam Hussein restera en place. Viendra ensuite la guerre d’Irak de 2003 (ou deuxième guerre du Golfe).

Là non plus, pas question de négocier, puisqu’elle s’inscrit dans la « guerre contre le terrorisme » déclarée par Bush Junior à la suite des attentats du 11-Septembre 2001. Elle entraîne une déstabilisation totale et durable de l’État en Irak.

Pas question non plus de fournir de réelles preuves de la présence d’armes de destruction massives en Irak, ni d’ailleurs d’écouter ce que ce pays pouvait dire. Là, l’invasion fut, dans l’immédiat, un succès mais a entraîné une explosion du terrorisme et une hostilité profonde envers les États-Unis (le Grand Satan) dans la région.

Lorsque la MONSTRUEUSE opération sous faux drapeau, connue sous le nom de 11-Septembre 2001, sera perpétrée par un Viel Oncle Sam sénile autant qu’assassin, il ne sera pas question de négocier avec les talibans à propos de Ben Laden.

« Livrez-le-nous sans condition ou on vous envahit », diront tous en cœur les Bush, ces bouchers aux ordres du Deep State. L’invasion aura lieu au nom de la « Démoncratie ». Elle aboutira, 20 ans et 2 000 milliards de dollars plus tard, à la défaite la plus humiliante des États-Unis.

Puis, toujours au nom du gaz et du pétrole, viendra la guerre en Libye avec un succès à court terme entraînant une déstabilisation de la région.

Et, c’est la France, qui en payera le prix avec son influence en Afrique commençant sérieusement à décliner. Les Américains gratifieront le monde de leurs merdes made in CIA.

En voulant renverser le gouvernement syrien au moyen de djihadistes (les mêmes que ceux utilisés contre les Soviétiques en Afghanistan dans le passé, puis combattus en Afghanistan et en Irak et réutilisés en Libye), l’oncle Sam a créé un joli Gloubi Boulga.

Et, comme d'habitude, pour celles et ceux qui voudraient approfondir ces sujets et bien d'autres, mon dernier livre vient de sortir.

https://www.thebookedition.com/fr/chronique-d-un-occident-oxyde-p-394854.html

Il constitue véritablement une bombe neuronale pour celui qui désire comprendre, et VITE, où nous allons toutes et tous, dans les mois qui viennent. Suites mortifères des vaccinations, guerres, restrictions en tout genre. Tout y est passé au crible. Vous en connaitrez les tenants et les aboutissants. Un excellent cadeau UTILE, pour les "fêtes".

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2022/12/la-mechante-russie-partie-2.html

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CADEAUX UTILES

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

CADEAUX UTILES QUI RENDENT SERVICE À TOUT LE MONDE : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2020/04/l-hiver-sera-rude-pensez-donc-a-faire-des-reserves.html

Celles et ceux qui désirent mes tout nouveaux bouquins peuvent aller directement ici : https://www.thebookedition.com/fr/37027_olivier-cape

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Froid intense plus coupures diverses et variées, égales quoi ?

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Comme je le précisais pas plus tard que dans mon dernier article, ce n’est pas le Réchauffement qui arrive, mais bel et bien le FROID. https://vecteur-douceur.over-blog.com/2022/12/cop-27-g-20-et-onu-la-fete-a-neuneu.html

Ce mois de décembre pourrait être le plus froid depuis de nombreuses années. À partir du milieu du mois, les températures seront glaciales. Bien que l'hiver n'ait pas encore commencé, le froid et la neige ont fait leur entrée en Allemagne où les dépressions nocturnes pourraient faire chuter les températures à -20 degrés.

il faut regarder dix ans en arrière, jusqu'en décembre 2012, pour retrouver un mois de décembre aussi hivernal.  Mais comptons sur nos dirigeants pour continuer à faire la chasse au méchant CO2 qui va tous nous exterminer, si nous ne nous serrons pas la ceinture dès cet hiver glacial.

Mettons tous le thermostat à 19°, si c’est encore possible, car beaucoup n’ont déjà plus les moyens de se chauffer, ni de manger (Coluche serait fou, s’il revenait).

Avant de conclure ce bref article, deux choses néanmoins. Notre parlement s’est alloué une augmentation de 2,3 millions € afin de chauffer son gros cul pendant que nos gosses crèveront de froid en classe et à la cantine.

Et, cerise sur le gâteau globaliste arrosé au CO2, écoutez-donc Charlie Chester, responsable de CNN, filmé en caméra cachée : « Après le covid, nous exploiterons le changement climatique ! »

https://odysee.com/@laurent.scalet:b/Conspiration-confession-der:f?src=embed

Cette vidéo tournée en caméra cachée annonce la suite du plan de l'État profond. Après la chute orchestrée de Donald Trump, la peur du covid fabriquée, la prochaine étape du Deep state sera l'instrumentalisation du réchauffement climatique.

Face à toutes celles et eux qui acquiescent ces conneries sans nom en les saluant d’un bras vengeur ; moi,  je suis ici, les bras croisés dans le cercle et j’en suis fier. En effet, je refuse de laisser un monde aussi stupide à nos enfants et petits-enfants.

https://www.thebookedition.com/fr/tonton-malthus-est-revenu--p-381845.html  

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

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Olivier

Fin

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COP 27, G 20 et ONU : La Fête à Neuneu

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Lors du récent sommet de l’ONU sur le climat, le secrétaire général Antonio Guterres a annoncé que le monde était sur « l’autoroute de l’enfer climatique ». « Non seulement nous n’avons pas réussi à atteindre le seuil de 1,5 degré Celsius défini par l’Accord de Paris sur le climat, mais nous sommes également en bonne voie pour dépasser l’objectif de 2 degrés Celsius. Cela signifie que nous nous retrouvons de plus en plus avec des options limitées. Avec le dos contre le mur, un océan qui monte à nos pieds et la planète qui brûle autour de nous, nous n’avons peut-être d’autre choix que d’utiliser l’airbag et de prier pour qu’il nous sauve tous. »

Et l’airbag, je vais vous en parler !

Heureusement, comme d’habitude dans tous les films hollywoodiens, nous pouvons compter sur l’ONCLE SAM pour sauver la planète des pets de vaches meurtriers.

Ça déraille chez les verts de gris. En plus d’être à juste titre critiqués pour avoir été parrainés par des sociétés comme Coca-Cola, le plus grand pollueur de plastique au monde, cette COP écope comme un Titanic qui coule.

Et si la vérité finie par TRIOMPHER sur la connerie et les vilénies abyssales du Deep State, ces salopards pourraient bien écoper d’une belle branlée au sens propre comme figuré. Mis à par ce FAIT, ce qui résulte de la réunion de cette bande de clowns lubriques pèse moins qu’un pet de cobaye malingre perPETré en bord de mer, au beau milieu des éléments déchainés.

En fait, les décisions les plus importantes pour lutter contre le changement climatique n’ont pas été prises à la COP27, mais au sommet du G20 entre les États-Unis et la Chine.

Et comme on peut s’y attendre d’un pays dirigé par un sénile pédo-criminel au QI de bulot anémié, le 13 octobre dernier, la Maison Blanche a annoncé qu’elle finançait un plan de recherche quinquennal sur l’une des propositions les plus controversées pour lutter contre le changement climatique : la géo-ingénierie, ou les technologies et innovations qui peuvent être utilisées pour modifier artificiellement la Terre.

« Rien de nouveau sous le Soleil », comme dirait l’autre ! J’évoque déjà cette folie perpétrée par les Bill le coyote et compagnie dans mon livre De Mammon à Corona.

Je veux parler de la gestion du rayonnement solaire. Technique consistant essentiellement à pulvériser de fins aérosols dans l’atmosphère pour réfléchir la lumière du soleil loin de la Terre. L’idée est qu’une fois réfléchie, il y aura moins de chaleur et les températures baisseront.

Et après ça, les mous du bulbe diront encore que les Chemtrails ne sont pas une réalité !!

Réalité d’ailleurs reconnue par l’ONU et le Gouvernement espagnol.

Alors que les astres, en fonction de leur positionnement dans nos cieux, influent sur la « cocotte-minute Terre », le plus gros volcan actif du monde, le Mauna Loa, situé à Hawaï, est entré en éruption dimanche 27 novembre, à 23 h 30 heure locale et pour la première fois en près de 40 ans.

Ce que le lecteur doit retenir, c’est que les volcans ne sont que les gardiens de l’horloge céleste. Celui-ci, le plus gros en activité au monde, provoque aussi, comme tous ces confrères, d'épais nuages de fumée en altitude. 

Ceux du Mauna Loa sont ainsi visibles à plus de 70 kilomètres à la ronde. Selon l'institut USGS, les vents pourraient aussi charrier du « gaz volcanique et des cheveux de Pélé », des fibres de verre volcaniques qui se forment lorsque des gouttelettes de lave s'étirent en fin filaments sous l'effet des bourrasques. Affutées comme des lames de rasoir, elles sont dangereuses pour la peau et les yeux.

Inutile de vous dire que face à la nature nous ne sommes rien et face au Soleil, encore moins.

Entre gêne respiratoire chez les habitants ou moteurs brusquement anémiés au même titre que les systèmes électroniques, le Mauna Loa et ses confrères peuvent nous causer bien des soucis. Il est l'un des six volcans actifs de l'archipel d'Hawaï. Il est entré en éruption 33 fois depuis 1843.

Certains diront alors en me lisant, « Mais que viennent faire les volcans dans son récit ? » C’est simple. Ce que ces cons de Yankees désirent faire avec Gaïa existe déjà à l’état naturel.

De grandes éruptions volcaniques ont déjà jeté d’énormes quantités de gaz et de débris dans l’atmosphère et bloqué le soleil. L’éruption du Tambora en Indonésie en 1816 avait entraîné une « année sans été » dans toute l’Europe et l’Amérique du Nord.  Les températures avaient alors chuté de 3 degrés Celsius.

Donc, voyez-vous, la Terre n’a pas besoin de nous pour faire varier le thermostat à la hausse comme à la baisse.

La température mondiale chute généralement après une grande éruption volcanique en raison de débris et de gaz qui réfléchissent la lumière du soleil loin de la Terre.

Mais dans cette histoire de fou où l’humain joue à la grenouille plus grosse que le bœuf, même l’ONU a reconnu le potentiel de cette technologie du diable lors de la COP27, au grand dam de nombreux militants qui s’opposent avec ferveur à la géo-ingénierie.

Quoi qu’il en soit, Bill Gates s’y est déjà essayé et depuis longtemps. Et face aux diableries de cette COP 27, certains de ses partisans les plus anciens et les plus ardents pensent qu’il s’agit d’un motif de célébration.

Seulement voilà, faute de réfléchir les rayons solaires, ces abrutis ne réfléchissent pas plus loin que le bout de leur nez. Lorsque vous pulvérisez des aérosols dans l’atmosphère, ils vont se répandre. Ses effets se feront sentir partout, peu importe où ils l’auront initialement pulvérisé.

Cela pourrait conduire à un effet papillon d’événements désastreux. Par exemple, les températures peuvent chuter si bas qu’elles entraînent des pertes de récoltes. Les modifications de l’atmosphère pourraient également intensifier les phénomènes météorologiques comme les tempêtes. Mais le mieux reste à venir. Certains chercheurs suggèrent à juste titre que la géo-ingénierie solaire pourrait même propager des maladies allant ainsi dans le sens du PLAN de Davos visant à dépeupler la planète.

En plus et afin de clore cet article. Je vous le déclare depuis des années dans mes livres et sur ce blog. LA TERRE NE SE RECHAUFFE CERTAINEMENT PAS.

https://www.thebookedition.com/fr/tonton-malthus-est-revenu--p-381845.html

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Olivier

Fin

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