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Des tours et des tours afin de nous jouer un tour ! (Suite 2)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Sur cette photo bien connue, vous pouvez voir le président « chrétien » G.W. Bush tenant un livre à l'envers avec le titre America. Tout y était : l’inversion des valeurs, deux étoiles et la Statut de la Liberté de ne pas croire en Dieu. Ce n'était pas une maladresse de sa part mais un véritable signal de Renversement, un blackboulage à la FM qui mènera au Chaos d'où sortira le Nouvel Ordre Mondial au nom d'un dieu évoqué par G.W. Bush mais dont on ne connaît pas l'identité...

Le mot « AMERIC», avec les deux « A » aux extrémités obéit à un schéma relevant de l'occultisme lié aux symboles maçonniques. Pensez à un autre « V » brandi par un autre frère la truelle : W. Churchill. Rien que ce nom est évocateur car Churchill pourrait être traduit par "Eglise malade" en Français. Tout ceci relevant de la falsification et d'une tradition dite de société secrète qui, il y a 2000 ans déjà, avait provoqué une profonde colère de Jésus à l’égard de certains qu’Il avait alors traité de Satan (Ennemi) !

Mars étant le Dieu de la guerre, que l'on retrouve dans Mardi, ce 11 Septembre avait eu lieu un Mardi et le nom de Saddam Hussein avait été adroitement mêlé aux attentats, un must de propagande et autres entreprises de désinformation ! Des années plus tard, le 16 février 2007, coté US, l’actrice française Marion Cotillard fraîchement "Oscarisée" avait osé émettre des doutes à propos de cette destruction des tours. Et si du côté américain, la « thèse officielle » des tontons flingueurs Bush perdure hélas encore, du côté du Japon, de l'Italie... ces thèses officielles sont à présent publiquement, radicalement et sérieusement remises en question !

Quant à la France, toujours à la traine, ce n’est que grâce à l'ouvrage de T. Meyssan, L'incroyable imposture, qu’une petite brèche avait été ouverte. Ceux qui se croient malin en se moquant des  "conspirationnistes" dont j’ai l’honneur de faire partie, appartiennent au "Malin". Ils ont encore quelques beaux jours devant eux . J'ai bien écrit volontairement « quelques » ...

Deux ans avant les Evénements du World Trade Center, le Nouvel An Juif du 11 Septembre 1999 était, selon le calendrier Hébreu, le 6000e anniversaire de la création d'Adam. Et le lendemain 12 Septembre 1999, un grand Signe céleste avait eu lieu dans le ciel de Jérusalem, un mois donc après l'éclipse totale du soleil du 11 août 1999, visible depuis Jérusalem, une configuration céleste sans équivalence depuis des millénaires.

11 ans auparavant, le 11 Septembre 1990, jour pour jour, G. Bush père avait prononcé l'expression jusqu'alors inconnue de "Nouvel Ordre Mondial" devant le Congrès, avec le 666e amendement voté par l'ONU à propos du boycott de l'Irak et des premiers engagements des USA dans la crise du Golfe et la première guerre qui allait suivre.

De quoi PROUVER que dans les sociétés secrètes on connaît parfaitement le récit biblique authentique. Si la F.M. a su faire de notre monde un ramassis d’athées, la catholique romaine a su orienter ses ouailles vers de vieilles pratiques babyloniennes. Les deux courants mènent paradoxalement tous deux aux rivières de Babylone : un renouveau œcuménique luciférien prôné depuis Vatican II

En 1972, le premier acte terroriste ressenti à l'échelon mondial fut celui qui endeuilla les Jeux Olympiques de Munich. Ils se terminaient un 11 Septembre. 11 athlètes Israéliens avaient été tués et 121 pays y participaient. 11 x 11 = 121. Je pourrais étoffer cette longue liste comme je l’ai déjà élaboré dans un ouvrage, mais tel n’est pas l’intérêt et les quelques cas suggérés seront suffisants pour qui n’a pas d’œillères.

Neuf/Onze ou Nine/Eleven en Anglais. Et à propos de cette association 9/11, il est intéressant de noter ce que signifie le 9e jour du mois d'Av, c'est à dire le 9e jour du 11e mois selon le calendrier Hébreu, ( Juillet ou d'Août dans notre calendrier selon les années).

Chose extraordinaire, cette date est récurrente pour les Hébreux, sur une étendue de quelques 35 siècles.

En 1490 av. J.C., 10 des 12 espions envoyés par Moïse provoquèrent par leurs rapports pessimistes, des lamentations chez le peuple qui se rebella le 9e jour d’Av.

La sanction fût que l'entrée en terre promise serait retardée de 40 ans, temps nécessaire pour que cette génération aveugle et sourde meurt pendant cet exode dans le désert.

Pendant le règne du Roi Nabuchodonosor, et après 2 ans de siège, en 587 av. J.C., les troupes babyloniennes investissent le mont du temple le 9e jour d’Av.

Le temple est brûlé en totalité avec Jérémie pour témoin oculaire (Jérémie 5 : 1-14). À ce titre, je me dois d’ajouter un FAIT important concernant le prophète Jérémie. Je me contenterais donc de reproduire ici un article du Daily Telegraph du 13 juillet 2007 : compte-rendu du correspondant Nigel Reynolds. Article original :

"Il est rare d'entendre pousser de grands cris de joie au British Museum dans la grande « Salle des Arches » qui abrite une collection de 130 000 tablettes assyriennes couvertes de caractères cunéiformes, dont certaines ont 5 000 ans. Mais le jeudi 12 juillet, c'est ce qu'a fait Michael Jursa, un assyriologue de Vienne (Autriche) venu faire des recherches. A son avis, il s'agit de la « découverte du siècle » en matière d'archéologie biblique. Cette découverte vient confirmer l'exactitude des faits mentionnés dans les livres historiques de l'Ancien Testament.

En quête d'inscriptions concernant les transactions financières, le Professeur Jursa est tombé sur un nom propre qui lui paraissait familier : Nabu-sharrussu-ukin. Une inscription vieille de 2 500 ans déclarait que ce personnage était le « chef des eunuques » de Nebucadnetsar II, roi de Babylone. Vérifiant dans l'Ancien Testament, le Professeur Jursa y a bien retrouvé ce même nom, orthographié différemment : "Nebu Sarsekim", dans le chapitre 39 du Livre de Jérémie. Le prophète rapporte en effet que Nebu-Sarsekim était le « chef des eunuques » de Nebucadnetsar, et qu'en l'an 587 avant Jésus-Christ, il a pris part avec le roi au siège de Jérusalem, quand les Babyloniens se sont emparés de la ville.

D'après Irving Finkel, expert au British Museum, cette petite tablette a « les dimensions d'un paquet de 10 cigarettes ». C'est un reçu attestant que Nabu-sharrussu-ukin a bien remis 750 grammes d'or à un temple babylonien. Il est daté de la 10e année du règne de Nebucadnetsar II, c'est-à-dire de 595 avant Jésus-Christ, 12 ans avant le siège de Jérusalem. Ce n'est pas la première fois qu'on découvre le nom de personnages bibliques dans des documents extrabibliques, mais Nabu-sharrussu-ukin est loin d'être un personnage de premier plan.

Le Professeur Finkel a déclaré hier : « Il s'agit d'une découverte extraordinaire, intéressant le monde entier. Puisque Nebu-Sarsekim a bien existé, que dire des autres personnages mineurs de l'Ancien Testament ? Un détail très secondaire de l'Ancien Testament s'avère véridique. A mon avis, cela confère une puissance nouvelle à tout le récit de Jérémie. »

L'écriture cunéiforme est la plus ancienne forme d'écriture connue. Au Moyen-Orient, on l'a utilisée couramment depuis l'an 3200 avant notre ère jusqu'au deuxième siècle après Jésus-Christ. Au moyen d'un instrument en forme de coin (en général un roseau coupé) on imprimait des marques sur une tablette d'argile encore molle. L'inscription sur cette tablette est la suivante : « Concernant une mine et demie d'or (750 g.), propriété de Nabu-sharrussu-ukin, chef des eunuques, transmise par l'eunuque Arad-Banitu à Esangila du temple. Arad-Banitu a remis cet or à Esangila. Fait en présence de Bel-usat fils d'Alpaya, garde du corps du roi, et de Nadin, fils de Marduk-zer-ibni. Mois 11, jour 18, an 10 de Nebucatnetsar, roi de Babylone. "

En 70 après J.C., le 9e jour d’Av, sous le commandement de Titus, les armées Romaines détruisent le 2e temple malgré la volonté du Général, de sauver le temple.

En 135 après J.C., le 9e jour d’Av la dernière insurrection d'une armée israélite est vaincue puis exterminée par les légions Romaines. L'Etat sioniste d'Israël renaîtra de ses cendres le 14 mai 1948.

Le 18 Juillet 1290 ou 9e jour d’Av   Edouard 1er fait expulser tous les Juifs d'Angleterre et il faudra attendre Cromwell pour que l'accès leur soit à nouveau autorisé.

Le 2 Août 1492 ou 9e jour d’Av, après 15 siècles, 800 000 Juif sont expulsés d’Espagne. Le 1er Août 1914 ou 9e jour d’Av, la Russie et l'Allemagne se déclarent la guerre.

Le 2 Août 1990 ou 9e jour d’Av, sur conseil des Américains, les troupes de Saddam Hussein envahissent le Koweït.

Cela fait beaucoup ne trouvez-vous pas !? Un événement qui s’est déjà produit à une chance de se reproduire. Mais un événement qui s’est souvent produit à de nombreuses chances de se reproduire. La probabilité pour que 8 désastres d'une telle ampleur surviennent le même jour est de : 1 chance x (365)8 et 1 sur 365 à la puissance 8, ça donne = 863 078 009 300 000 000.

Le démarrage de la construction du Pentagone, une des « cibles » des attentats du 9/11, avait pour date exacte la cérémonie officielle du 11 Septembre 1941, soit 60 ans jour pour jour avant la première attaque « terroriste ». Le Pentagone est  une structure de conception occulte et John Whiteside Parsons, ancien disciple d'A. Crowley et ami de L.R. Hubbard, (fondateur de l'Eglise de Scientologie) avait participé au design de l'édifice (de quoi donner des cheveux blancs !).

111 jours séparaient les événements du WTC de la fin de l'année 2001 avec laquelle le véritable 3e millénaire occulte s'engageait. On nous a donc trompés d'un an sur l'arrivée du 3e Millénaire et la véritable signification du 11 Septembre au 9e mois de ce millénaire.

Et 911 jours séparaient les attentats du 11 Septembre 2001 de ceux du 11 Mars 2004 à Madrid. 

Une année normale compte 365 jours ou 253 + 112 et les événements du World Trade Center ont eu lieu le 254e jour du 3e millénaire, jour (+254/-112), à 111 jours de la fin de l'année 2001.

Car c'est un nombre d'homme, et son nombre est six cent soixante-six. (Apocalypse 13 :18). Si A = 1, B = 2, C = 3, D = 4 … l'ensemble des 53 lettres « Car c'est un nombre d'homme, et son nombre est six cent soixante-six » donne un total de 666.  Et selon ce même calcul, « six cent soixante-six » = 253

La chute du mur de Berlin avait eu lieu un 9/11. Elle était totalement contrôlée, et se déroula devant des milliers de caméras un 9.11.1989, cent quarante-quatre mois avant le 9.11.2001 un fait hautement significatif  !

Le numéro d'appel de détresse est le 911 aux E.U. et le numéro d'appel d'urgence est le 112 dans l'U.E. C'est donc au cours de la 18e heure, à 17h20 que la démolition contrôlée du WTC 7 s'était opérée sans autre raison que celle d'un sabotage planifié de longue date, permettant au maître des lieux, le Juif Larry Silverstein, d'empocher 7 milliards de dollars, une double mise puisque assuré contre les attentats. Ce WTC 7 était connu sous le nom de tour des Salomon Brothers.

Et c'est entre ces deux séquences de démolitions contrôlées en matinée et en fin d'après-midi que des semi-remorques déménageaient l'or stocké en sous-sol sans être inquiété par les forces de police trop affairées en surface.

Ce qui constitue l’un des plus grands hold-up de tous les temps.

Dans le cas d'une destruction et non d'une démolition contrôlée, il faudrait plus de 60 secondes pour que l'ensemble des 110 étages de chaque tour s'empilant les uns sur les autres atteignent le Sol. Il n'en a pourtant fallu qu'une dizaine pour filmer l'ensemble de la séquence de destruction ! Et à l'examen des vidéos, les professionnels de la démolition contrôlée ignorent encore quelle était la nature de la technologie employée pour que la vitesse d'effondrement soit accélérée. Et pourquoi, la tour Sud touchée en second s'est écroulée la première !

Retenez-le bien, l'effondrement contrôlé, au point de dépasser les lois physiques de la gravité, des trois tours du WTC, a eu lieu un 9e mois, le véritable 9e mois du 3e Millénaire. Une NAISSANCE en somme !

À suivre.

Olivier

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Des tours et des tours afin de nous jouer un tour ! (Suite 1)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Le roi Hérode, quant à lui, « sponsorisé » par les Romains, ne pouvait pas ne pas tenir compte du souvenir des rumeurs prophétiques vérifiées et accomplies de la naissance d'un Roi de Rome qui avaient circulé 60 années auparavant. La résurgence du même type de prédiction faite par des astrologues ne pouvait le laisser indifférent mais plutôt passablement préoccupé. La réalité même de l'étoile des mages a été contestée et reléguée au rang des symboles. 

Le Vendredi étant le jour dédié à Vénus et le Dimanche au Soleil, le transit historique de cette planète devant le soleil le Mardi 8 Juin 2004, jour de Mars donc, avait provoqué de nombreux commentaires alarmistes chez les astrologues. Le Dimanche précédent, le 6 Juin 2004, (6-6-6) constituait le 60e anniversaire du débarquement en Normandie, jour de l'annonce d'autre part du décès du président américain Ronald Reagan.

L'étoile des mages était tout à fait différente d'une apparition angélique vécue par les bergers au moment de la naissance de Jésus ou d'une nuée comme au cours de l'Exode en sortie d'Egypte.  Il s'agissait bel et bien d'un phénomène céleste. Au cours de la période s'étendant de Mai de l'an 3 av J.C. jusqu'au mois de Décembre de l'an 2 avant J.C., plusieurs conjonctions célestes remarquables et visibles à l'œil nu préparèrent le monde placé sous la tutelle de Rome à l'Evènement que constituait la naissance du Sauveur alors qu'un Empereur Romain, César Auguste, bénéficiait des mêmes augures pour tenter de « justifier » sa divinisation parodique à des fins de détournement de culte à son avantage.

Vue depuis Babylone, une étoile pouvait paraître se mouvoir en direction de Rome puis devenir stationnaire en direction de Bethlehem, ce phénomène s'expliquant scientifiquement. Un effet de boucle rétrograde avait finalement placé Jupiter à l'opposé du soleil, lui donnant ainsi l'apparence d'un ralentissement puis d'un arrêt, tout en s'éloignant graduellement de la Terre pendant quelques semaines. Il s'agit d’un phénomène bien connu des astronomes, une illusion d'optique pour l'observateur nocturne.

C'est selon ce processus que Jupiter était apparue en position stationnaire au-dessus de Bethlehem le 25 Décembre de l'an 2 av. J.C., époque de la visite des mages alors que Jésus était né au cours de l'année précédente, au 11 Septembre de l'an 3 avant J.C. À cette époque du solstice d'hiver, Jupiter, la planète royale, se tenait immobile pendant environ 6 jours dans la région que l'on pourrait définir comme "ventre de la Constellation de la Vierge".(Apocalypse 12 : 1-6).

Cette femme enceinte qui enfante se retrouve représentée par la constellation de la Vierge, le seul signe qui soit associable à la course céleste du soleil et de la lune. Cette femme occupe un espace d'environ 50° le long de l'écliptique et à cette époque le soleil avait d'abord touché la tête de la femme vers le 13 Août puis les pieds vers le 2 octobre. Cette phase j'en parla abondamment dans mon 3e livre. Elle explique la manière dont le soleil peut envelopper le corps de la femme, et ce plus particulièrement pendant une vingtaine de jours entre le 27 Août et le 15 Septembre de l'an 3 avant J.C., lorsque le soleil se situe à une position entre 150° et 170° le long de l'écliptique.

En termes de miroir parodique cherchant à singer les Ecritures, la date du 11-Septembre 2001 se situait au 9e mois réel du 3e Millénaire. La position du soleil et de la lune décrites par Jean correspondent à une période de 94 minutes comprises entre le coucher du soleil à 18h15 et le lever de la lune à 19h49 précisément, le 11 Septembre de l'An 3 (avant J.C.).

Solstice signifiant soleil immobile, il est clair que le soleil et Jupiter étant frappés d'immobilité apparente, les observateurs y voyaient un signe significatif au sens propre du terme. Lié à l'offrande des présents, le Noël actuel n'est qu'une récupération des fêtes organisées à l'occasion de la renaissance de l'astre solaire et sa remontée dans les cieux. Les catholiques sont ils des chrétiens ou des druides ?

Mais si cette période du 25 Décembre de l'an 2 avant J.C. n'était pas une occasion de fêter le solstice à la manière des païens, il se trouve qu'elle correspondait au 3e jour des fêtes de la lumière, Hannukah, une fête mobile longue de 8 jours s'inscrivant entre le 28 Novembre et le 27 Décembre, sur le calendrier soli-lunaire Juif.

Cet anniversaire est celui de la délivrance du temple profané par Antioche Epiphane et de la restauration des services rituels, et une occasion d'échanger des présents, en parallèle avec la démarche des mages arrivés au terme de leur voyage. 

"9 Après avoir entendu le roi, ils partirent. Et voici, l’étoile qu’ils avaient vue en Orient allait devant eux jusqu’au moment où, arrivée au-dessus du lieu où était le petit enfant, elle s’arrêta. 10 Quand ils aperçurent l’étoile, ils furent saisis d’une très grande joie. 11 Ils entrèrent dans la maison, virent le petit enfant avec Marie, sa mère, se prosternèrent et l’adorèrent ; ils ouvrirent ensuite leurs trésors, et lui offrirent en présent de l’or, de l’encens et de la myrrhe. "(Matthieu 2 : 9-11)

Lorsqu'ils parvinrent à Bethlehem, Jésus avait grandi et habitait  dans une maison. Cette séquence en 9-11 est aussi un signe partagé au-delà des siècles. "Alors Hérode, voyant qu’il avait été joué par les mages, se mit dans une grande colère, et il envoya tuer tous les enfants de deux ans et au-dessous qui étaient à Bethlehem et dans tout son territoire, selon la date dont il s’était soigneusement enquis auprès des mages" (Matthieu 2 : 16). "En ce temps-là parut un édit de César Auguste, ordonnant un recensement de toute la terre. Ce premier recensement eut lieu pendant que Quirinius était gouverneur de Syrie. Tous allaient se faire inscrire, chacun dans sa ville."  (Luc 2 : 1-3).

Cet autre verset nous apprend que Jésus est né au temps d'un recensement établi à l'occasion du nouveau titre impérial Pater Patriae expliqué au premier chapitre et décerné à César Auguste dès l'An 2 avant J.C. et attribué officiellement l'année suivante à l'empereur, le roi de Rome prophétisé en 63 av J.C. A un serment de fidélité s'ajoutait ainsi celui de l'allégeance à un César divinisé !

Il est clair qu'un recensement ne pouvait se faire qu'à une période clémente de l'année (fin d'été, début d'été pour Joseph et Marie) et non en hiver puisque les populations devaient se déplacer vers leurs lieux de naissance. D'autre part,  la conception de Jésus s'est faite alors qu'Elisabeth, sa parente, mère du futur Jean le Baptiste  (Jean le Précurseur), en était à son sixième mois de grossesse. La naissance du prophète Jean le Précurseur est estimée aux alentours du 10 Mars de l'an 3 avant J.C.

Le 12 septembre 1999, un mois après l'éclipse totale du soleil du 11 août 1999, visible depuis Jérusalem, eût lieu une configuration céleste sans équivalence ! Le soleil se situant en-dessous de l'horizon, le Signe pouvait être perçu à l'œil nu comme enveloppé d'un manteau de lumière. Avec le soleil au-dessus de l'horizon, le phénomène n'aurait pu être ainsi, observé. Ce samedi 12 septembre 1999 correspondait à la fête des trompettes, au Nouvel An Juif 5760 et tombait un jour de Sabbath (Tishri 1, 5760). En raison de la précession des équinoxes, cette configuration est sensée ne se produire que tous les 26 000 ans.

L’événement observé lors de la naissance du Christ s’est reproduit le soir du mardi 30 juin 2015. J’étais dehors, sur ma terrasse, et l’ai observé en compagnie de mon fils. Une conjonction se produit quand deux ou plusieurs objets célestes apparaissent très proches l’un de l’autre. Le 30 juin 2015, Jupiter et Vénus ont fusionnés en une super-étoile étincelante à l’horizon vers l’ouest. La conjonction des deux planètes s’est faite petit à petit tout le long du mois de juin et s’est achevée en apothéose le 30 juin. "Chaque nuit, en juin, la séparation entre Vénus et Jupiter diminua visiblement", déclarait alors la NASA.

Le soir du 30 juin, Vénus et Jupiter sont apparus séparés seulement par le tiers d’un degré dans le ciel. Cette conjonction rarissime de Vénus et Jupiter s’est déroulé il y a plus de 2000 ans sous le nom d’étoile de Bethléem en l’an 3-2 avant JC.  Un autre événement du même genre aura lieu le 1er mars 2023, mais les deux planètes ne seront pas aussi proches qu’en 2015.

De multiples preuves montrent donc que Celui qu’on ignore pratiquement totalement serait né un 11 Septembre de l’an -3 avant Lui-même ! Dans l’ombre une « élite » qui ne nie nullement son existence cherche à ériger son nouveau nom (un N.O.M.) sur le Sien. C’est N.O.M., contre JE SUIS.

Quant à un autre type d’accouchement, c’est dans le courant de la journée d'un 10 septembre 2001 que le FEMA, une agence en charge de la gestion des situations de crise aux Etats-Unis avait publiquement et officiellement annoncé que parmi les 10 plus grandes catastrophes à redouter figuraient en tête de liste :

- un attentat terroriste à New York.

- un tremblement de terre majeur à San Francisco.

- un ouragan à la Nouvelle Orléans...

Ce 10 Septembre ou 253e jour se trouvait être la veille d'un jour célèbre, à savoir le... 11-Septembre 2001... un 9.11

À suivre.

Olivier

Suite ici : http://vecteur-douceur.over-blog.com/2021/02/des-tours-et-des-tours-afin-de-nous-jouer-un-tour-suite-2.html

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Des tours et des tours afin de nous jouer un tour !

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Nous allons nous rapprocher d'un sujet central abordé, il y a presque dix ans déjà, dans mes premiers livres. J'y évoquais des phénomènes stellaires et la naissance de Jésus un 11 septembre.

Des synchronicités relient les événements du 11-Septembre 2001 à l'ensemble de la Bible.  Derrière Notre Dame, depuis les quais St Michel, se tient un culte marial cachant Isis, un mensonge voilé lui aussi relié à un autre, celui de la version officielle des attentats du 11-Septembre 2001 : un 9.11. Dans la quasi-totalité de mes livres, j'ai tenté d’expliquer à mes lecteurs ce risque constitué par ce culte caché dédié à l’Ishtar babylonienne, qui pèse sur la France tel qu'il est pratiqué dans le Catholicisme. Il l’est certes dans le monde entier, mais chez-nous la Révolution de 1789 y amène un « plus ».

Je reviens souvent sur cette séquence 9.11 car elle nous donne la tonalité de l'époque de mensonges et de séduction à laquelle nous vivons. Le livre The Birth of Christ Recalculated (la date de naissance du Christ recalculée) du Dr. Ernest L. Martin, est paru en 1981, et a été réédité en 1991sous le nouveau titre L'étoile qui étonna le monde. L’auteur après maints calculs  astronomiques et les alignements célestes de l'époque concernée, en était arrivé à la conclusion que Jésus était né le 11 Septembre de l'An 3 (avant Lui). Il avait donné cet intervalle de temps avec la précision d'un peu plus d'une heure et demie, entre 18 :15h et 19:49h exactement. 600 planétariums avaient repris de par le monde les découvertes saisissantes du Dr. Ernest L. Martin (mort le 16 Janvier 2002).

"Un grand signe parut dans le ciel : une femme enveloppée du soleil, la lune sous ses pieds, et une couronne de douze étoiles sur sa tête. Elle était enceinte, et elle criait, étant en travail et dans les douleurs de l'enfantement." (Apocalypse 12 : 1-2)

Cette configuration céleste décrite dans Apocalypse 12, et à la source de l'inspiration mariale du drapeau Européen, pouvait se voir depuis Israël, où depuis l'île de Patmos (où allait être exilé presqu'un siècle plus tard son rédacteur : l'apôtre Jean). À l’époque, c'est-à-dire un 11 septembre, elle ne pouvait être validée que durant environ une heure et demie, de 18 :15 à 19 :49, et seulement à la date du 11 Septembre de l'An 3 avant J.C. et non au 10 ou 12 du même mois, au lever d'une nouvelle lune en phase croissante donc, c'est à dire un 254e jour sur notre calendrier. Retenez-le, c’est important !

Un mois auparavant, le 12 Août, au lever du jour, Jupiter et Vénus avaient pu être observées très proches l'une de l'autre comme deux étoiles du matin, à l'Est, au-dessus de l'horizon. Au 31 Août, Vénus reproduisait un signe céleste en se trouvant à proximité de Mercure.

Au 11 Septembre, Jupiter se rapprochait de Régulus pour former une  conjonction, ce à trois reprises et sur une période de 8 mois, avec un effet de couronnement  lumineux, le 14 Septembre. Mais le plus inattendu est que ce 11 Septembre de l'an 3 avant J.C. correspondait au premier jour du mois de Tishri, c'est à dire le Nouvel An civil sur le calendrier Juif ! Il s’agissait d’une fête importante : celle des trompettes. La cérémonie de couronnement d'un roi se terminait toujours par la sonnerie de trompettes.

Mais bien avant l'Exode, au temps de Moïse, cette date correspondait déjà au premier jour de l'An Biblique de notre monde actuel, en sortie du déluge Noétique (Genèse 8 : 9-14). Je reprends cette séquence 9-11 tirée de la Genèse. Au verset 13, il est indiqué que l'an 600 de Noé se situe aussi à cette date de Tishri 1, considéré comme étant la date symbolique du Nouveau monde sur lequel Noé accédait pour la première fois en quittant son arche. Et selon la tradition juive, ce jour célébré par la sonnerie de la septième et dernière trompette, est aussi celui de la Création du monde comme les cinq premiers versets de la Genèse le rapportent.

Le jour des trompettes  célébrerait donc non seulement la Création ou naissance du monde mais aussi sa Recréation ! C'est aussi à partir de cette date inaugurale que le commencement et les années de règne d'un roi étaient comptabilisés, ainsi que l'âge des personnes qui ne tenaient pas compte de leur véritable jour de naissance au sens civil actuel du terme.

Le numéro d'appel de détresse aux Etats-Unis est le 911, et les "temps de la Fin" seront marqués par une énorme DETRESSE évoquée dans ces versets  : "Car alors, la détresse sera si grande qu’il n’y en a point eu de pareille depuis le commencement du monde jusqu’à présent, et qu’il n’y en aura jamais." (Matthieu 24 : 21)

"Car la détresse, en ces jours, sera telle qu’il n’y en a point eu de semblable depuis le commencement du monde que Dieu a créé jusqu’à présent, et qu’il n’y en aura jamais." (Marc 13 :19)

Je vous ai demandé de retenir ceci :un 254e jour sur notre calendrier. En effet, on trouve de nombreuses fois le mot détresse (111 fois) écrit au singulier répartis en 110 versets sur l'ensemble des Ecritures. Et la chute des deux tours hautes de 110 étages s'est faite un 254e jour à 111 jours de la fin de l'année.

Je vous avais dit de retenir ce « 254e jour ». Concernant la recherche de la date de naissance du Christ, la thèse de l'explosion soudaine d'une super nova, et celle du passage d'une comète (Halley en 12 avant J.C.) ou l'observation de météores avaient été repoussées car représentant peu d'intérêt pour les gens de l'époque des mages. Cependant, nous venons de le voir, un certain nombre d'événements astronomiques spectaculaires se sont produits au cours des années 3 et 2 avant J.C.

L'informatique a permis à des astronomes de renom d'établir des simulations astronomiques avec une précision établie à quelques minutes près et de les reproduire à loisir selon leur point d'observation terrestre.  Grâce à un programme capable de reconstituer une configuration astronomique sur une date précise du passé ou du futur, le ciel de cette fameuse nuit a été reproduit à l'observatoire du mont Wilson à proximité de Los Angeles. Le résultat obtenu provoqua la stupeur des d'astronomes réunis à l’occasion et fût accepté unanimement.

C'est ainsi qu'il fût prouvé que le 17 Juin avant J.C., les habitants des environs de Babylone pouvaient observer une conjonction stellaire remarquable formée par les deux étoiles les plus lumineuses, Jupiter et Vénus semblant entrer en collision. Ces deux étoiles semblaient fusionner pour n'en former qu'une.

En 2003, Mars était immanquable dans le ciel tant elle était brillante puisqu’elle était à une cinquantaine de millions de kilomètres de nous au lieu des 200 millions et plus habituels. L'astronome J. Mosley eût l'idée de reproduire cette configuration céleste au planétarium de Griffith. Les spectateurs pouvaient alors l'observer selon les mêmes conditions que les gens vivants entre Babylone et Jérusalem, 2000 ans auparavant, le 17 Juin av. J.C.

En l'an 63 avant J.C., les sénateurs romains avaient décidé de faire éliminer tous les enfants nés cette année-là car des prophéties et des rumeurs d'astrologues indiquaient qu'un futur Roi de Rome était né cette année-là : idée inconcevable pour des Républicains. Par peur de ce décret sénatorial, de nombreux sénateurs et autres responsables de cette époque, dont les femmes étaient enceintes, s'abstinrent de faire enregistrer la naissance de leur progéniture. Et c'est selon cette logique qu'en l'an 63 avant J.C., César Auguste, le futur empereur de Rome... était né et échappa au sort qui l'attendait !

En l'an 2 avant J.C., ce même César Auguste, avait fêté sa 25e année de règne impérial commencé au 16 Janvier de l'an 27 avant J.C., alors que cet an 2 avant J.C. correspondait au 750e anniversaire de la fondation de Rome. Et c'est au cours de cette même année qu'il fut sacré Pater Patriae, Père de la Patrie, un titre très prestigieux à cette époque. En prévision de cet événement, en l'an 3 avant J.C., et puisque tous les peuples appartenant au "Monde Romain" devaient prêter serment et reconnaître ce titre honorifique à César Auguste à qui ils devaient « paix et sécurité », une campagne d'enregistrement de cette reconnaissance de titre impérial fût entreprise avec pour conclusion sa proclamation accompagnée de festivités.

 

De nos jours, avec notre calendrier, nous en portons encore la trace puisque cette divinisation de César Auguste et de son oncle Jules César s'inscrit en clair dans l'intitulé de nos mois de Juillet (July) et d'Août (August). Ces deux mois ont 31 jours pour éviter la jalousie des deux César. Cette période étant riche en signes apparents dans les cieux, le peuple ne pouvait qu'y voir une approbation des dieux sur le rôle que tenait la Rome impériale sur leur destinée. De surcroît, cette conjonction mêlant Jupiter et Vénus, Jupiter étant lui-même associé à cette planète, était renforcée par une pleine lune qui donnait au ciel une forte luminosité.

Au début des années 90, plus de 600 planétariums à travers le monde reproduisirent donc sur leurs dômes ces faits astronomiques remarquables des années 3 et 2 avant J.C. selon une approche purement scientifique puisqu'il était seulement question de situer la naissance de Jésus.

L'Evangile de Matthieu est le seul à rapporter l'épisode des mages et de l'étoile dite de Bethlehem. Ces mages n'étaient pas des rois et on estime leur nombre à plus de dix sans compter leur garde rapprochée. Ces scientifiques de l'époque étaient respectés, et  le roi Hérode ne pouvait manquer de les convoquer pour s'enquérir du bienfondé de la rumeur inquiétante de la naissance d'un Roi, Juif de surcroît, comme en 63 avant J.C.

En effet, ce bruit circulait dans Jérusalem et ses environs. Il était porteur d'espérances chez ses sujets qui guettaient l'opportunité de se débarrasser du joug romain. Et c'est l'héritage du prophète Daniel qui avait  été conservé précieusement par ces générations successives de mages astronomes dont les ancêtres avaient eu la vie sauve grâce aux interprétations (divines) du prophète. Le roi Nebucadnetsar avait eut un songe que personne parmi ses mages ne pu expliquer, jusqu’à ce que Dieu en fournisse l’interprétation à Daniel.

Ces mages pouvaient donc se considérer comme successeurs de ce prophète puisque Daniel avait occupé une fonction éminente de « sage » auprès du roi. "Mais il y a dans les cieux un Dieu qui révèle les secrets, et qui a fait connaître au roi Nebucadnetsar ce qui arrivera dans la suite des temps. Voici ton songe et les visions que tu as eues sur ta couche. (Daniel 2 : 28). Je viens maintenant pour te faire connaître ce qui doit arriver à ton peuple dans la suite des temps ; car la vision concerne encore ces temps-là. (Daniel 3 : 14).

Le peuple en question est celui qui a fait l'actualité quotidienne en Irak et plus particulièrement à Bagdad. Ces mages connaissaient aussi les écrits de Zoroastre qui avait annoncé la naissance d'un roi issu de la lignée d'Abraham. Ils n'étaient pas des idolâtres se prosternant devant des images et leur croyance pouvait déjà être qualifiée de monothéiste. Les Egyptiens les considéraient comme des conseillers instruits dans la nature et surtout dans la course des astres. Dieu avait dit à Abraham : "Je multiplierai abondamment ta semence comme les étoiles des cieux." (Genèse 22 : 17). Abraham était d'origine chaldéenne et puisque l'observation des étoiles était prépondérante chez ce peuple, la promesse de L'Eternel s'était logiquement inscrite dans les cieux.

Le prophète Esaïe (Esaïe 60 : 1-6) avait déclaré : "Ils porteront de l’or et de l’encens, Et publieront les louanges de l’Eternel." Leurs présents au nombre de trois n'implique pas pour autant qu'ils aient été  trois. Ce verset 6 tiré de l'Ancien Testament est prophétique puisqu'il indique que des rois étrangers apporteraient "de l’or et de l’encens." Ces présents étaient la preuve de leur allégeance au Roi des Juifs, impliquant tous les mondes, alors que du côté de Rome, on fêtait César Auguste, l'empereur divinisé  Pater Patriae pour des raisons de synchronicités purement parodiques tout comme dans le cas du 11 septembre 2001.

La Bible dit en effet que Satan (l'homme et son égo) est le singe de Dieu.

À suivre.

Olivier

Suite ici : http://vecteur-douceur.over-blog.com/2021/02/des-tours-et-des-tours-afin-de-nous-jouer-un-tour-suite-1.html

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Jeux, Tarot.

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Les corps de Nemrod et Osiris ont été découpés après avoir soi-disant été assassinés par des rivaux. Isis n'avait retrouvé que 13 parties du corps d'Osiris essaimés le long du Nil et le 14e, le pénis, fait l'objet d'un culte phallique avec les obélisques et les clochers d'églises surmontés d'un coq, (cock en argo Anglais désignant le pénis de l'homme).

Il suffit de comparer le Capitole et le Washington Monument dans la capitale US avec ceux du Vatican à Rome pour s'en convaincre. La fable des 14 stations de croix relève de cette tradition occulte. Les cultes égyptiens si chers à nos « frères la truelle » sont de filiation babylonienne. La Bible parle beaucoup de prostitution et par le terme, il faut aussi remonter aux rites de prostitution "sacrée" liés aux cultes des déesses antiques et autres « Reine des cieux ».

La religion à mystères intégrait les trois lettres « SSS » comme symbole secret de ralliement. Ce « S » répété est le stigma des Grecs et le phénomène des stigmates vécus par des saints selon la norme catholique n'est qu'une parodie parmi d'autres tentant de faire croire qu'un être humain pourrait revivre la passion du Christ !

Ces trois lettres reprises par les Egyptiens désignaient Isis, la déesse mère de la sexualité. Le culte impliquait l'existence d'une caste de prostituées sacrées qui, par leur commerce avec des adorateurs, permettait à ceux-ci d'entrer en communication avec la déesse par les trois orifices, vaginal, anal et oral.

C'est en partie ce que représente la statue de la Liberté dans le port New York. Le fameux point « » si cher aux FM et évoqué en matière de zone érogène n'est hélas pas fortuit. Sur la fin de sa vie, Salomon, en dépit de sa sagesse, avait un harem de plusieurs centaines d'épouses et de concubines qui adoraient leurs idoles, entraînant ainsi le rejet du Vrai DIEU et l'Apostasie.

Les hôtels de passe avaient une lanterne rouge, signe que l'on retrouve avec la lumière rouge sur les autels des églises et autres lieux du culte Catholique. Le rouge de la Chine Communiste est encore dans les mémoires avec pour fleuron le petit livre rouge d'un certain Mao. Tout cela nous ramène à la racine. Une racine qui a su donner un arbre, pas celui de VIE, mais celui de la mort spirituelle. Un culte qui s’adresse à des morts orchestrées par des « vivants » qui sont déjà des morts spirituels et qui finiront tous au même endroit.

Rien n’y échappe, chaque jour à chaque heure et chaque seconde de nos vies. Et si une journée s'affiche en général sur un cadran doté de 12 parties, c'est parce qu'il s'agit d'astrologie avec la représentation des 12 maisons du Zodiaque, correspondant aux douze mois de l'année qui elle-même est composée de 360 jours selon le mode de calcul biblique basé sur des mois de 30 jours ou 720 heures, toujours en vigueur dans le système bancaire.

36 constellations se partagent le Zodiaque : 15 au Sud et 21 au Nord. 36 étoiles représentent les dieux en charge de ces zones et ces « stars » émanent d'une étoile centrale à laquelle elles obéissent, le soleil des tristes héliocentristes.

Et ce ne sont pas les Hébreux, qui en déportation à Babylone, diront le contraire ! Ils avaient surnommée porte de l'enfer, l’endroit où ils devaient se prosterner plusieurs fois par jour. Cette porte d’Ishtar, avec ses 337 représentations de serpents/dragons, menait à la « tour de Babel » et les Hébreux en captivité y défilaient en signe d'hommage aux dieux de Babylone, dont Marduk, le Seigneur des anneaux remit au goût du jour par la saga de Tolkien et ses 3 films hollywoodiens.

Nos divertissements n’y font pas exception et la roulette des casinos comporte 36 (1+2+…36=666) cases auxquelles s'ajoute le « » correspondant aux 5 jours de l'année dite « normale » du calendrier « Judéo-chrétien » indexé sur Jésus-Christ, cinq jours de profit exclusif pour les banquiers.

Le Jour de Noël, fête de Tammuz/Lucifer/Satan « tombe », c’est le cas de le dire, le 360e jour d'une année bissextile. D'un point de vue occulte, il faut garder en mémoire que les Jeux Olympiques ont toujours lieu lors d'une année bissextile au cours de laquelle la « fête » de Noël tombe un 360e jour, en rapport direct avec le cercle Zodiacal. Tout est lié, et au centre le gueux se trouve empêtré.

Quant à ce qui tient ce monde occidental par les couilles, ce jeu de cartes bancaires, il sera tôt ou tard, remplacé par la puce et les implants biométriques. Certains jouent au Monopoly pendant que d’autres, des oligarques très sérieux, jouent en bourse à un jeu de MONOPOLY dangereux qui nous amène rapidement vers un nouveau monde à la MAD Max. Ce sera un jour ou l'autre un krach monté de toutes pièces pour précipiter l'accomplissement de certaines séquences de leur Almanach eschatologique et la fin des pièces et des billets.

À la place, vous aurez de l’argent virtuel, sur un compte virtuel, géré par un opérateur qui le sera tout autant. Les menaces qui pèseront alors sur vos vies ne seront alors pas virtuelles mais bien réelles. D’un simple clic, exécuté par le biais de cette technologie que nos connards d’ados trouvent « d’enfer », on pourra vous y envoyer, car en l’espace d’une fraction de seconde, vous n’existerez plus, vous aurez disparu de la MATRICE.

Une année est composée de 52 semaines, temps de gestation d'une ânesse, et le jeu de 52 cartes, outre les 36 cartes numérotées, comporte 4 couleurs correspondant aux quatre saisons.  Peu le savent, mais les quatre figures sont parodiques du Jeudi saint avec la dernière coupe du Seigneur, les deniers de la trahison de Judas Iscariot, les épées et les bâtons des soldats venus l'arrêter.

On « coupe » un jeu de cartes. Les Bâtons se sont transformés en Carreaux, les Coupes en Cœurs, les Epées en Piques et les Deniers en Trèfles dans les jeux de cartes ordinaires. Les jeux de cartes traditionnels, composés à partir de 2 couleurs, de nombres et de figures classées en quatre catégories sont bien moins innocents qu'on ne pourrait le supposer. En effet, « l'AS » cache le Diable, « le roi » son serviteur, « la dame » est la « Vierge Isis » et le rôle du « valet » est dévolu à... Jésus-Christ, « né » de leur union !

Quant au fou, il fallait s’en douter, il est parodique de "la folie de la croix". Quelques noms de cartes comme le pape, la papesse, le pendu, le diable, la maison Dieu, le jugement, le monde sont assez éloquents pour ne pas devoir insister. L'Apocalypse de Jean est composée de 22 chapitres. Le Bateleur (la première carte du tarot), est cause et point de départ de tout ce qui existe, et correspond à la kabbale et la Couronne Séphirotique. Alliée à la « sagesse », elle donne par addition de leurs valeurs alphanumériques Hébraïques d'origine : 500 + 166 = 666.

Le tarot de Marseille évoque à lui seul la rébellion puisque Marseille est située dans les Bouches du Rhône dans le (département) 13. La somme des 12 premiers nombres donne 78 et il y avait 12 apôtres. 

Lisez ce que disait Esaïe des occultistes, ce prophète qui arbore son propos sur les 65 autres livres bibliques, car chacun des 66 livres est en correspondance avec les 66 chapitres du Livre d'Esaïe : "Tu t'es fatiguée à force de consulter: Qu'ils se lèvent donc et qu'ils te sauvent, Ceux qui connaissent le ciel, qui observent les astres, qui annoncent, d'après les nouvelles lunes, ce qui doit t'arriver !" (Esaïe 47 :13).

Les "voyants", lisent l'avenir dans les cartes, les 22 lames ou arcanes du Tarot n'étant que le miroir parodique inversé des 22 lettres de l'ALPHA-BET ALPHA-NUMERIQUE Hébraïque qui ont permis d'écrire la Torah. L'arcane n° XVI est celle de la Maison Dieu ou de La Tour. On retrouve bien sûr le nombre 13 dissimulé dans le jeu de 52 cartes car 13 x 4 = 52.

À suivre.

Olivier

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Parlons Kabbale sans rien en occulter ! (Suite 2)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Vouloir schématiser un concept aussi fondamental que la relation entre Dieu et l’être humain est hasardeux, digne de l’humain kabbaliste à l’égo surdimensionné. Le sommet c’est Kether, qui représente le Royaume céleste, le point d'entrée par lequel la création se manifeste dans le monde. Ce point reçoit la Lumière de l’infini et la déverse sur toutes les autres séphiroth.

Le pied c’est Malkhuth, le royaume terrestre, à l’image du Royaume céleste ; cette copie, s’est altérée à cause de l’imperfection de l’homme. Elle s’emploie de génération en génération, telle Sisyphe, à remonter le long de l’Arbre, jusqu’à Dieu. Entre les deux, l’Arbre se compose de trois colonnes, qui ont chacune leur particularité :

Celle de gauche est « féminine » et correspond aux aspects les plus « relationnels » et « pragmatiques » de l’humain. En haut, Binah est l’intellect ; au-dessous, Ghevourah est le jugement ; en bas, Hod est la réponse au monde extérieur. On pourrait dire que ces trois séphiroth de la colonne de gauche ne sont autres que les trois éléments : voir, juger, agir. La colonne de droite est « masculine » et correspond aux aspects les plus « secrets » et « utopiques » de l’humain. En haut, Chokhemah est la conscience globale d’où émane l’intelligence intérieure ; au-dessous, Chesed est la voix intérieure ; en bas, Netsach, le moteur de tous les processus involontaires et tous les élans de l’être humain, comme la respiration et le désir. Il semble que ces trois séphiroth composent la démarche charismatique : émotion intellectuelle, émotion spirituelle et élans du cœur.

La colonne du centre est « double » et se situe au point d’équilibre entre tous les aspects, toutes les aspirations, toutes les tensions, toutes les contradictions de l’être humain, entre la loi et la grâce, entre la réflexion et l’action. Elle est aussi le plus court chemin entre la terre et le ciel, entre le royaume d’en bas et le Royaume d’en haut, entre Malkhuth et Kéter.

En bas, entre Nétsach et Hod-Yesod est le régulateur de tous les instincts qui naissent inconsciemment en l’homme et de tous les actes volontaires qu’il décide d’accomplir. C’est l’élément stable de l’humain, le fondement sur lequel repose tout l’arbre de vie, la personnalité acquise. Il y a aussi en lui une très forte connotation vitale et sexuelle, puisque Yesod reçoit toute l’énergie qui descend le long de l’Arbre depuis la Couronne et les colonnes latérales, et réunit de ce fait toutes les tendances masculines et féminines de l’être.

Au-dessus, à la croisée de toutes les séphiroth et au milieu de la colonne centrale, Tiphe’éret est le siège de la nature profonde de l’être, celle qui ne change pas au fil des ans.

En haut, Da‘at est un séphiroth particulier, qui n’est pas compté parmi les dix. Situé juste au-dessous de la Couronne, entre intelligence et sagesse, il représente non pas une caractéristique de l’être, mais un instant de vie qui peut ne se présenter qu’une seule fois : l’instant où des circonstances particulières font que, comme dans le jaillissement d’un éclair soudain, l’humain peut entrer en communication avec le Divin, ou Le voir face à face. Da‘at est assimilé à la connaissance et s’identifie à tout aspect de la conscience divine.

Le dixième séphiroth ramène à l’Unité les neuf précédentes. Il figure le sol sur lequel se dresse le porteur de la Couronne, c’est-à-dire l’Homme universel, le Grand Adam spirituel. Les dix sphères sont disposées en forme de triangle les unes par rapport aux autres. La seule sphère isolée est Malcut tout en bas, la dixième. Toutes s’articulent entre elles suivant 22 sentiers numérotés de 11 à 32 et correspondent aux arcanes majeurs du Tarot. Les triangles symbolisent les plans majeurs d’existence : le premier triangle formé par les sphères 1, 2 et 3, le Triangle céleste, représente le plan divin dans sa Trinité.

Le second (4, 5 et 6), Triangle de la moralité, s’apparente au plan mental. Le troisième (7, 8 et 9), Triangle mondain, représente le plan astral. La dernière sphère, Malcut, représente le plan d’existence physique et l’expérience. On obtient ainsi un système de quatre mondes. L’Arbre peut être apparenté à la concrétisation de la Création au travers du Tétragramme, de la Croix… Pour l’occultiste, il est en nous, et la seule activité qui vaille la peine est de le faire croître, fructifier, et que notre être intérieur soit éclairé par toutes les lumières de l'Arbre de la Vie.

Approche du symbolisme de l’Arbre de Vie.

L’Arbre est symbole de vie pour toutes les civilisations. La Bible, d’abord, les premiers chrétiens ensuite, ont utilisé ces symboles pour exprimer leur foi en la résurrection. Au Proche et au Moyen-Orient, il est symbole d’immortalité et souvent représenté entre deux prêtres qui poussent la contemplation jusqu’à l’adoration.

Souvent aussi il est figuré entre deux animaux affrontés : lions, taureaux, bouquetins, ou monstres (centaures), qui le gardent. Pour atteindre celui-ci et acquérir l’immortalité, il faut triompher des monstres, lutter contre le mal. Plus rarement on voit ce combat même de l’homme contre les animaux gardiens de l’Arbre de Vie, ou au contraire la lutte d’un dieu anthropomorphe protégeant l’Arbre contre un dragon : Georges.

Les textes égyptiens des pyramides connaissaient l’Arbre de Vie. Dans les tombes du Nouvel Empire, des peintures figurent un sycomore sacré, dont la déesse verse l’élixir de vie. Dans la tombe de Thoutmosis, l’arbre a une mamelle et allaite le pharaon pour lui conférer l’immortalité.

 

Le pilier Djed (stabilité en égyptien), si souvent rencontré dans l’iconographie égyptienne, est un symbole de l’Arbre de Vie, et joue un rôle important dans la résurrection d’Osiris. Au Moyen Empire il sera représenté dans les sarcophages à proximité de la colonne vertébrale du défunt, et au Nouvel Empire il est clairement identifié à la colonne vertébrale d'Osiris.

L’Arbre de Vie est aussi désigné sous le nom d’axe cosmique unissant le monde souterrain (par ses racines) au ciel (par ses branches), à travers la terre. Les trois régions cosmiques, ciel, terre et monde souterrain, sont ainsi traversées et reliées par un axe cosmique (du monde), mais pour une conscience religieuse archaïque, l’arbre est l’univers. Il le répète et le résume, en même temps qu’il le symbolise. L’arbre kabbalistique de la Vie a été conçu par le mysticisme israélite médiéval et, par un symbolisme complexe ; il relie les trois mondes : celui de Dieu, celui de l’homme et celui de l’univers.

En conclusion, cet arbre symbolique sert de refuge aux gnostiques, ils s’accrochent à ses branches. La kabbale est une figure dont la lecture doit se faire suivant un sens caché : le sens ésotérique. C’est là un diagramme fondamental où l’arbre y représente les Lois de l'Univers. Et, en fait de lois de l’Univers, vous allez prochainement constater combien nos scientifiques dits « modernes » se raccrochent encore à ses branches pourries.

Dans De la Cabale au progressisme, Julio Meinvielle (1905-1973), un théologien argentin, une des figures majeures de l’antijudaïsme catholique en Argentine, explique que le géocentrisme a longtemps été le modèle de la civilisation chrétienne, tandis que l’héliocentrisme provient de la Kabbale.

Ses propos seront étayés en 1844, dans De l’harmonie entre l’Église et la Synagogue, par Paul Drach, un rabbin converti au catholicisme, il affirmait que la Kabbale des grands prêtres hébreux enseignait le double mouvement (annuel et diurne) de la Terre.

Selon la Bible, la Terre est le centre de la Création, le marchepied de son Créateur. Elle ne pouvait pas tourner autour du soleil, qui était inexistant avant la quatrième Étape (jour symbolique). Pour étayer la crédibilité biblique, ajoutons un détail parmi tant d’autres, l’Ancien Testament écrit que le lièvre est un ruminant, ce que la science moderne reconnaîtra seulement dans les années 1950.

Regardons la taille des deux luminaires (soleil-lune). L’association parfaite entre le soleil et la lune, rend la vie possible sur Terre. La circonférence du soleil est de 4,379 x 106 km et celle de la lune est 400 fois plus petite, soit 10 948 km. Pourtant, malgré leurs différences, observées de la Terre les deux luminaires ont exactement la même circonférence. Lors des éclipses de soleil, la nuit recouvre la totalité de la Terre, centre de la Création. Le mot kosmos, signifie harmonie en grec. Nous ne sommes donc pas dans une construction relevant du hasard, comme les kabbalistes voudraient nous le faire croire, avec le mensonge du Big-bang.

On peut compter sur l’élite kabbaliste pour polluer l’esprit des hommes, qu’ils soient Chrétiens, Musulmans ou autres. Même Hollywood ne reprend jamais, dans un monde imaginaire, le schéma du géocentrisme. Ce serait trop dangereux peur eux. La Mecque du cinéma tout comme celle de l’ère spatiale ne sont que le prolongement de l’évolutionnisme et du darwinisme plébiscités par Marx et financés par Rockefeller.

Tous les récits de science-fiction sont bien organisés autour du même axe, comme si un chef d’orchestre donnait la mesure. La kabbale constitue un mensonge contre la VERITE. Elle et le Talmud, ne sont certainement pas là pour mettre en valeur le Verbe et Son livre ; la Bible. Je parlerai  un peu de ce « Bouquin » tant décrié, tant attaqué et tant ignoré dans un prochain article.

Fin

Olivier

 

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Parlons Kabbale sans rien en occulter ! (Suite 1)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Les arcanes majeurs du Tarot et ses couleurs parcourent les 22 sentiers de leur Arbre qui relient entre eux les dix sephirot (dix « forces » divines par lesquelles Dieu interagirait avec l’homme). Ce qu’il convient ici de comprendre, c’est qu’au travers de cet ésotérisme, le Tarot, ainsi que les lettres hébraïques codent l’homme et l’univers. Leur Arbre de Vie est un élément central de la tradition kabbalistique. Il représente symboliquement les Lois de l'Univers. Ses tenants le voient comme le symbole de la Création : tant du Macrocosme (L'Univers) que du Microcosme (L'Être Humain).

Là où les trois traditions monothéistes (islamiques, juives et chrétiennes) parlent symboliquement de Dieu (l'Arbre) comme d’une « plante d'immortalité » placée métaphoriquement au centre du jardin d'Éden, les kabbalistes font de leur Arbre séphirotique l’un des symboles les plus connus de leur Géométrie Sacrée.

Sa structure est liée aux enseignements de la kabbale juive, on la trouve déjà 3 000 ans plus tôt dans l’ancienne Egypte d’où elle avait, je le répète, préalablement migré de Babylone. L'origine judéo-talmudique de certains symboles maçonniques est donc clairement identifiée. Elle mêle des éléments prévenant de l'alchimie et de la Kabbale. Les francs-maçons reconnaissent ouvertement la connexion d’avec l’esprit caïnite dont Nimrod sera l’héritier post déluge.

Les francs-maçons seraient entrés en relation avec la Kabbale juive par l'intermédiaire de la « Kabbale chrétienne », celle revisitée à partir du 15e siècle par les humanistes de la Renaissance qui vont, nous l’avons étudié, s’en gargariser les méninges. C’est, pour le juif kabbaliste, une tradition ésotérique du judaïsme, présentée comme la « Loi orale et secrète » donnée par YHWH à Moïse sur le Mont Sinaï, en même temps que la « Loi écrite et publique » connue sous le nom de Torah. On en revient ainsi toujours au même principe, l’ouroboros se mord la queue : c’est la connaissance pour l’élite et les miettes pour la plèbe. C’est ésotérisme contre exotérisme. Certains n’hésitent donc pas à définir la Kabbale comme étant la dimension interne de la Torah correspondant à la connaissance secrète des quatre niveaux de l'intérieur de la Torah (5 premiers livres de l’ancien testament).

Le mot Kabbale signifie « réception de la tradition ». Il ne désigne pas un dogme mais un courant d’idées à l'intérieur du judaïsme : un état d'esprit. Selon ses adhérents, la compréhension intime et la maîtrise de la Kabbale rapprochent spirituellement l'homme de Dieu, ce qui lui confère un plus grand discernement sur l'œuvre de la Création divine. C’est l’homme déchu qui, par ses mérites (œuvres), s’assure ainsi sa petite place au soleil.

Il est acteur de son salut éternel, Dieu (ayant la mémoire courte) n’est dans cette histoire qu’un observateur passif. Avec elle, et c’est simple à comprendre, plus de nécessité d’un rédempteur (Jésus).

On voit là à quel point cette pensée kabbalistique a empoisonné le monde dit chrétien (catholicisme) et rejoint l’idée moderne des évangélistes de tous bois prônant le libre arbitre de l’homme qui l’élève au niveau de Dieu. L’hérésie la plus puissance à notre époque contre laquelle la Bible met en garde est bien celle-ci : ce n’est pas Dieu qui décide du salut mais le l’homme qui choisit de croire ou non. C’est la créature qui s’élève au niveau du CREATEUR.

Retenez-bien tout cela, c’est fondamental !

De cela nous pouvons tirer deux faits majeurs :

- Nous avons là la véritable définition de l’apostasie biblique (le renversement total du message biblique).

- La preuve que le « Judaïsme », cette religion dont Jésus traité les membres de SATANS (ennemis), s’est infiltré de manière pernicieuse dans les trois monothéismes et surtout dans cette pseudo religion chrétienne qu’est le catholicisme romain. Ainsi que vous soyez croyant, agnostique, mystique, New Âgiste ou scientifique, vous baignez tous dans le même bocal à formol : celui d’une pensée kabbaliste.

Outre le fait d’être porteuse de prophéties soi-disant messianiques, la Kabbale peut ainsi se définir comme un ensemble de spéculations métaphysiques sur Dieu, l'homme et l'univers, prenant racine dans l’ésotérisme judaïque. Pour ses adeptes c’est un pont entre le divin inconnaissable et les hommes. Faisant fi de la Bible, elle donne une place à l’homme primordial, la seule possibilité pour l’humain d’aborder la Connaissance.

La Kabbale se veut donc être, shuntant allégrement la Bible, un outil d'aide à la compréhension du monde en ce sens qu'elle incite à modifier notre perception de ce dernier (ce que nous appelons « la réalité » malgré la subjectivité de notre perception). Ainsi, « grâce à elle », en arrivons-nous à voir tourner des choses qui ne tournent pas. Pour ce faire, elle met à notre disposition un diagramme synthétique : l'Arbre de la Vie ou Arbre des Sephirot.

Elle propose ses réponses aux questions essentielles concernant l'origine de l'univers, le rôle de l'homme et son devenir. Elle se veut à la fois un outil de travail sur soi et un moyen d'appréhender d'autres systèmes de pensée.

Pour eux, l’Arbre de Vie kabbalistique représente symboliquement les Lois de l'Univers, le symbole de la Création tant du Macrocosme (L'Univers) que du Microcosme (L'Être Humain). C’est un symbole issu de l’histoire du peuple hébreu. Alors que l’étude des cinq premiers livres de l’Ancien Testament est déjà, pour le chrétien, plus que significative, ce n’est pas suffisant pour l’occultiste. Il désire à tout prix y trouver une seconde lecture hors de portée du profane. Il accompli une dichotomie du Créateur, faisant du JARDINIER quelqu’un qui cacherait des choses aux gueux.

Le croyant sait pertinemment que seul Christ réconcilie, par son sacrifice l’homme déchu avec son Créateur. Mais, par le biais de la Kabbale, les occultistes ont créé leur Arbre de Vie, un arbre qui décrit la descente du divin dans le monde manifesté, et les moyens par lesquels on peut accéder à l’union divine en cette vie. On peut le voir comme une carte représentant la psyché humaine, et les mécanismes de la création, à la fois manifestes et non manifestes. Pour le kabbaliste, la nature de la divinité est l’Unité, et les aspects ou émanations apparemment séparés existent uniquement dans le point de vue de l’émané, vivant dans un état de séparation illusoire.

Les Arbres de Vie gravés, peints, brodés, imprimés ou sculptés existent depuis le début de l'Histoire. Ils sont parfois associés à des personnages et/ou à des animaux (oiseaux, mammifères). L’arbre fait surtout partie de la décoration des églises à toutes les époques, mais plus particulièrement aux époques anciennes. Pour un tenant, l’étude de l'Arbre séfirotique donne une vue « très claire » du travail spirituel à réaliser, la représentation d'un monde idéal qui nous tirera toujours vers le haut.

Chaque sephirot serait l'émanation d'une énergie du Dieu Créateur. L’Arbre de Vie, c’est une philosophie qui se transmet initiatiquement de génération en génération. Elle se base sur des spéculations numérales (Nombres). Les dix sephirot sont les dix nombres primordiaux, pas des nombres ordinaires mais des «nombres principes » identifiés comme étant les dix dimensions infinies du cosmos : six dimensions de l'espace, deux du temps et celles du bien et du mal. Le texte de la Genèse semble pour eux insuffisant, les dix sephirot servent donc à décrire la naissance du monde.  Le premier est le pneuma divin. De celui-ci sort le second, l'air. De l'air sont issus l'eau et le feu.  Les 6 derniers représentent 6 directions de l'espace.  Ils sont scellés au moyen de 6 permutations du nom YHWH.

Le Sefer Yetsirah (Livre de la Création ou de la Formation) est un livre attribué au patriarche Abraham, il relate la formation du monde au moyen des lettres de l’alphabet hébraïque et de leurs combinaisons. Étant donné son caractère, il a donné lieu à une littérature abondante, et est actuellement considéré comme relevant de la Kabbale. On lui connaît quatre versions, dont le meilleur manuscrit, datant du tournant du 10e au 11e siècle, serait conservé au Vatican. Dans la mesure où le livre ne fut transcrit qu'au 10e siècle, on peut penser que c'est l'un des manuscrits originaux.

De par sa forme il se rattache à la littérature de l'époque talmudique, mais il s’en distingue par sa nature essentiellement cosmologique et spéculative. Il délivre, d’une manière concise et suggestive, les concepts majeurs sur lesquels repose la Kabbale médiévale (les dix sefirot). Pour l'auteur, ils correspondent aux dix doigts des mains ou des pieds, au centre desquels se situe le corps humain, de sorte que se crée comme « un croisement entre une « physique » du divin et une « métaphysique » de l’humain. Ce Sefer Yetsirah nous apprend donc que « le réel » est constitué par la combinaison des 22 lettres hébraïques, générant les 231 combinaisons binaires, à l'origine de la création du monde.

À suivre.

Olivier

Suite ici : 

http://vecteur-douceur.over-blog.com/2021/02/parlons-kabbale-sans-rien-en-occulter-suite-2.html

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Parlons Kabbale sans rien en occulter !

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Les Ecritures bibliques nous mettent en garde et sans détours contre la Kabbale et les « fables judaïques », des « connaissances » dérivées qui visent à faire croire à une initiation. Un groupe de Juifs est à l'origine de ces sciences et connaissances prétendument secrètes. En leur temps et pour la fin de ces temps, ils provoquèrent la colère de Jésus à l'encontre de ces faux docteurs, scribes et pharisiens hypocrites. Ces « initiés ou scribes et pharisiens Juifs » vouaient une haine farouche envers Jésus et ce sont eux qui ont utilisé le pouvoir romain à travers Ponce Pilate pour le faire mettre à mort sur la croix.

De nos jours, cette haine se cache dans les symboles que je tente de vous décrire. Sur le dollar, elle se calcule même selon la guématrie hébraïque, et justifie ainsi sous des manières apparemment anodines, la cohabitation du Latin et de l'Anglais. En Apocalypse, il est même mentionné dans la lettre à l'Eglise de Smyrne, que des "synagogues de Satan" existent réellement.

La kabbale a connu un grand essor au 13e siècle, avec la publication du Zohar (livre de la splendeur), un texte ésotérique rédigé par un juif espagnol, devenu fondateur de la mystique juive.

Mon propos n’est pas ici de faire l’apologie d’un poison mortel, ni d’en expliquer, tel un chimiste (alchimiste), la parfaite composition. Dieu m’en garde, je ne suis pas alchimiste et ce genre de « science » ne m’intéresse pas. J’espère que vous commencez à comprendre qu’elle n’est qu’un poison pour l’âme. Mon but est plutôt de vous mette en garde en observant simplement et de loin le flacon. Mais de grâce, ne chercher pas à l’ouvrir et y mettre les mains, vous risqueriez d’en mourir.

Je vais me contenter de vous décrire, mais de loin, un très gros morceau du puzzle de nos croyances. De toute manière, mes livres et articles vous montreront qu’une caste a bien ouvert le flacon et s’y est trempée les doigts jusqu’aux coudes. Elle a insidieusement, et goutte à goutte, distillé le venin siècle après siècle. D’une Babylone et sa « révolte des géants contre le ciel », le NACHASH migrât en Egypte où, durant longtemps, il trouva un flacon, que dire, un écrin, adapté à sa tache de perversion des âmes.

Le poison avait déjà infiltré les Hébreux durant 400 ans de détention en Egypte et récidiva durant les temps qu’ils passèrent à Babylone. L’Exode et ses fléaux permettront de répandre cette peste à travers ce monde/démon. La Grèce et son hellénisation regardera ce savoir avec concupiscence et, comme vous le savez, de nombreux savants se rendront en Egypte afin d’en recueillir quelques gouttes qui suffiront néanmoins, et par le biais des Romains, à l’empoisonnement de la vieille Europe. Par la suite une religion issue de chez Nimrod le rebelle, ou Mithra, ou Baal, comme vous voudrez (on parle toujours du même rebelle), prendra un nouveau visage : le catholicisme romain.

Juste après la période apostolique, le venin, encore trop proche de la VERITE, perdra de son efficacité. Mais c’était compter sans les ressources insoupçonnées de l’homme que de croire qu’il ne réussirait pas à pervertir le message authentique. Tel un adversaire (Satan) l’humanité a toujours excellé à ce jeu. Sa principale occupation consiste à faire disparaître toute trace du JARDINIER pour accaparer le jardin et les mérites de la récolte, ce que claironnent allégrement la Table d’émeraude, la Kabbale et leur enfant indigne le Talmud, ainsi qu’une certaine religion très au fait d’une pierre noire. Quant à un catholicisme dévoyé puisque « judéo-chrétien », un mariage plus qu’incestueux, je ne vous en parle même pas. Et puis si, je vais vous en parler !

Parallèlement à tout cela, un peuple désormais déchu puisqu’ayant renié celui qui était le message unique de leur Torah attendra encore son Messie et pour longtemps. Le nouveau contrat (Nouveau Testament), il va le bouder et bien qu’ayant perdu le gros lot, continuera à se considérer peuple de Dieu ou plutôt peuple dieu ! Ce Pharisianisme tinté d’une sauce égypto-babylonienne donnera énormément d’inspiration aux rédacteurs du Talmud et de cette fameuse Kabbale.

Car c’est bien d’une cabale dont il convient de parler, un complot ourdi à travers les siècles par une élite putride ayant déjà perdu son âme puisqu’empoisonnée par les miasmes du Nachash. Peu leur importe dans leur aveuglement car eux, ce qu’ils visent, c’est l’empoisonnement total de l’humanité par le biais de la science et des religions. Ils doivent coûte que coûte créer le chaos car dans leur gnose, c’est après ce chaos qu’apparaitra leur vrai Messie : Christ pour les uns, antichrist pour les autres, à chacun de voir ! Dieu possède Son marchepied : la Terre, eux, ils possèdent le leur : la maçonnerie internationale. Elle a, preuves à l’appui, récupérée leur symbolique et surtout les idéaux mensongers du Nachash de Nimrod, le premier qui, post déluge, défia son Créateur.

Entre parenthèse, un marchepied ne se doit-il pas d’être fixe !?

Ainsi, depuis quatre millénaires au moins, un arbre symbolique est figuré à toutes époques en Mésopotamie, et depuis un peu moins longtemps dans presque toutes les religions du monde : c’est l’Arbre de Vie. La Franc-maçonnerie s’est largement inspirée de la Kabbale notamment la partie dans laquelle l’Arbre séfirotique (copie gnostique de l’arbre de vie biblique) symbolise la Création.

À suivre.

Olivier

Suite ici : http://vecteur-douceur.over-blog.com/2021/02/parlons-kabbale-sans-rien-en-occulter-suite-1.html

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Arbre de Vie et Arbre de la Connaissance ou arbre de mort !?

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Il y a métaphoriquement deux arbres dans le jardin d'Éden qui symbolisent le bonheur auquel l'humain est appelé : l'Arbre de vie, et l'Arbre de la Connaissance du bien et du mal. Avant d’en préciser la fonction, il importe de bien comprendre la signification symbolique de l'arbre. Le symbole s'attachera à son aspect spatial.

Le tronc fait fonction de lien entre la terre où il a ses racines et le ciel où il est dirigé. L'arbre est donc un symbole de la communion entre deux mondes : celui d'en haut, la Divinité, et celui d'en bas où habitent les humains.

Le premier arbre, l'Arbre de vie, se rencontre dans beaucoup de mythes des peuples de l'Orient ancien, comme la célèbre épopée de Gilgamesh. On y raconte comment le héros entend parler d'un arbre qui peut donner la vie éternelle (Dieu), but de sa longue quête. Il en vient à trouver cet arbre, mais il lui est volé par un serpent (égo), qui change de peau après en avoir mangé.

Le serpent, parce qu'il change de peau , a toujours été interprété dans les anciennes mythologies, comme un symbole de vie éternelle, de résurrection. Si le jardin d'Éden symbolise le bonheur humain, un des aspects de ce bonheur est la vie éternelle qui est un don de la Divinité.

Quant à l'Arbre de la Connaissance du bien et du mal, c’est l’homme qui, en bon adolescent fort de ses illusions désire prendre ses distances d’avec Dieu : l’ESPRIT premier. Cette connaissance, c’est la chute, l’homme prenant à bras le corps un pseudo libre arbitre qui, je le rappelle, est illusoire.

Cet arbre est, je le reconnais, beaucoup trop sujet à des interprétations erronées. Il symbolise le désir de pouvoir absolu qui sommeillait en l’homme et se trouve éveillé par la chute. En Hébreu, comme dans les autres langues sémitiques, on indique une totalité par ses deux extrêmes. Ainsi, « le ciel et la terre » signifient l'univers. De cette manière, « le bien et le mal » ne signifieraient pas l'une ou l'autre de ces deux réalités, mais les deux, « tout ». Le mot « Connaissance » n'y a donc pas le sens abstrait que nous lui donnons dans nos langues.

Dans les langues sémitiques, il implique une connaissance profonde, une intimité, un pouvoir. Quand on connaît, on crée des liens intimes et puissants avec le connu. L'Arbre de la Connaissance du bien et du mal symbolise donc un désir profond de l'humain : celui d'être en mesure de connaître tout et d'utiliser ce pouvoir de façon absolue. C’est-à-dire d’être comme un dieu, ne plus être limité par la condition humaine.

C'est bien là une tentation universelle pour tout humain à toutes les époques ! On voit donc que l’Arbre de vie est en opposition à l’Arbre de la Connaissance ! Dans la Bible, il y a une description de l’Arbre de la Connaissance (création de Satan : l’égo) mais aussi celle de l’Arbre de Vie (la réalité originelle du lien entre l’homme et Dieu d’esprit à ESPRIT). Mais il n’y a aucune compatibilité entre les deux !

Et l’homme dans sa folle cabale contre son Créateur désire compenser ce manque. Il se crée des paradigmes et des boucs émissaires (un pseudo Satan tentateur) face à ses responsabilités. Et pour se créer des paradigmes et des moyens d’y parvenir, il lui faut des outils. La Kabbale et Les Tables d’Emeraude en font partie.

À suivre.

Olivier

 

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Parlons de leur philosophie ! (Partie 3)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

À partir du 2e siècle av. J.-C., on voit apparaître dans l'Égypte hellénistique des textes grecs attribués au personnage mythique d'Hermès, détenteur de toutes les connaissances. La Table d’émeraude d’Hermès Trismégiste est un des textes les plus célèbres de la littérature alchimique et hermétique. Malgré le discrédit scientifique de l'alchimie et le développement de la chimie moderne au 18e siècle, elle a continué à fasciner occultistes et ésotéristes. Ce texte est composé d'une douzaine de formules allégoriques, dont la correspondance entre macrocosme et le microcosme : "Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut, qui est en haut est comme ce qui est en bas."

Selon la légende, elle présente l’enseignement d’Hermès Trismégiste, fondateur mythique de l'alchimie, et aurait été retrouvée dans son tombeau, gravée sur une tablette d’émeraude. La plus ancienne version connue se trouve en appendice d’un traité arabe du 6e siècle. Bien qu'il s'agisse initialement d'un texte de magie talismanique, une erreur de traduction en latin au 12e siècle, a conduit à en faire un texte d'alchimie, largement commentée au Moyen Âge et surtout à la Renaissance. En 640, l'Égypte, devenue entre-temps chrétienne et byzantine, est conquise par les Arabes qui vont perpétuer la tradition hermétique dans laquelle s'inscrit la Table d'émeraude.

Jusqu'au début du 20e siècle, on ne connaissait que des versions latines de la Table d’émeraude, les plus anciennes remontant au 12e siècle. Ce sont l’historien anglais E.J. Holmyard (1891-1959) et l’orientaliste allemand Julius Ruska (1867-1949), qui en ont retrouvé les premières versions arabes.

L'ontologie est cette partie de la philosophie qui s’intéresse à l'être, l'existence, la possibilité, la durée, le devenir, dans son sens le plus général, qu'est-ce que l'être. Considérée comme première question dans le temps et première dans l'ordre de la connaissance, elle est celle des premiers penseurs de la Grèce antique, tel Platon.

Et il existe deux conceptions ontologiques : soit tout est UN (culte du cosmos) ; soit une vision dualiste et métaphysique du créé par rapport au Créateur. Il est ici essentiel de comprendre qu’à partir du moment où la philosophie de la Renaissance renoue ou plutôt s’enferme dans un microcosme parfait reflet du macrocosme, elle va rompre d’avec Dieu, Yahvé, JE SUIS, hors de Sa création.

L’homme serait alors un microcosme pendant que Dieu serait un macrocosme (cosmique), un tout Grand UN, par rapport au dualisme de l’Être dans lequel, Dieu crée par l’intermédiaire de Sa VOLONTE, un être (l’homme) et un univers qui n’est certainement pas Son corps. Comment peut-on en effet connaître l’UN sans l’autre, si l’on s’enferme uniquement dans l’être créé, dans un monisme (l’humanisme) ?

On ignore alors un certain nombre de lois et de phénomènes pourtant visibles qui font de beaucoup trop de scientifiques des menteurs au service d’un pouvoir ésotérique (caché).

C’est ainsi que dans nos sociétés contemporaines marchant sur la tête, on en arrive à nier cet ordre naturel et ses évidences : les sexes, les nations, les affections naturelles, la famille et les cercles qui on su fonder les sociétés. Nous sommes en déliquescence parce que nous ne respectons plus l’ordre naturel des choses voulu par Dieu. La science des hommes qui en résulte est devenue folle, puisqu’elle en arrive à gâcher ce joyau voulu au centre de l’univers qu’on nomme la Terre. Cette science-là ruine l’esprit en rêvant d’investiguer à grand renfort de milliard des cailloux interplanétaires devenus arides.

Trouver ailleurs (exobiologie) une vie qui n’aurait pas été créée par Dieu est pour elle un impératif, pendant qu’ici, des millions d’humains crèvent de faim. Monde d’extrêmes progressistes dans lequel des écologistes tenant d’un « réchauffement planétaire » vouent un culte à la création, Gaïa, tout en cherchant à nier l’existence partout évidente d’un Créateur. Toute la philosophie dite moderne de Descartes nous vient donc de la Renaissance, un Descartes absolument pas chrétiens comme certains l’affirment.

Il sera initié en Hollande par les Roses croix hérétiques autant que gnostiques. La théosophie, cette doctrine ésotérique du divin, fondée sur la contemplation de l'univers et l'illumination intérieure, est pour eux un impératif. Cette doctrine ésotérique aurait traversé l'Antiquité et se serait continué en Occident sous la forme d'enseignements réservés à un petit nombre. Cette théosophie, bien qu’ils osent le prétendre, n’est pas la sagesse de Dieu mais plutôt la folie des hommes. Et le plus grand théosophe du début du 17e siècle n’est autre que Jakob Böhme déjà cité.

Le déisme, du latin deus (dieu), est une doctrine qui affirme l'existence d'un dieu et son influence dans la création de l'Univers, sans s'appuyer sur des textes sacrés ou dépendre d'une religion révélée. Il s'agit d'une croyance individuelle et irréligieuse. Les déistes rejettent tous les événements surnaturels (prophéties, miracles) et affirment que Dieu (l'Architecte suprême) a un plan pour l'Univers, mais qu’Il n'altère ni n'intervient dans les affaires humaines, ni ne suspend les lois naturelles qui régissent l'Univers.

Là où le croyant voit révélation divine et livre saint (Bible), le déiste y voit de simples interprétations faites par l'homme ; pour lui, aucune source religieuse ne peut faire autorité.

Spinoza sera un cartésien, mais aussi un « Böhmien ». Newton, sera aussi un « Böhmien ». Il sera un alchimiste reconnu, doublé d’un financier, et président de la Royal Société à l’origine de la franc maçonnerie moderne. On va retrouver le déisme de Newton dans les loges maçonniques qui vont petit à petit créer des sociétés de pensée et comploter pour en arriver à notre Révolution dite française et moderne de 1789 organisé en réalité par des mercenaires apatrides.

Influencés par la pensée maçonnique, les Révolutionnaires français tenteront de restreindre l’influence du christianisme sur la société, entre-autre, en mettant en avant le culte de l’Être suprême. Lors de la Fête de l’Unité et de l’indivisibilité du 10 août 1793, la déesse Isis-Nature en tant que symbole visible de l’Être suprême sera l’objet d’une cérémonie symbolique. Pour l’occasion, une imposante Fontaine d’Isis en plâtre sera édifiée sur les ruines de la Bastille. La déesse y apparaitra sous la forme d’une statue assise sur un trône, flanquée de deux lions assis, et faisant jaillir de l’eau régénératrice de ses seins :

"Le rassemblement se fera sur l’emplacement de la Bastille. Au milieu de ses décombres, on verra s’élever la fontaine de la Régénération, représentée par la Nature. De ses fécondes mamelles qu’elle pressera de ses mains, jaillira avec abondance l’eau pure et salutaire, dont boiront tour à tour quatre-vingt-six commissaires des envoyés des assemblées primaires, c’est-à-dire un par département ; le plus ancien d’âge aura la préférence ; une seule et même coupe servira pour tous."  Extrait du Décret ordonnant la fête.

C’est à partir de ce moment que la société devient véritablement anti chrétienne et la philosophie son alliée.

Résultat ? Plus de deux-cents millions de morts ! De nos jours nous vivons l’aboutissement de cette trame en un mondialisme exacerbé qui n’est qu’un cosmopolitisme. Un culte du cosmos, une suite de cycles sans fin dans lequel s’inscrit pleinement René Guenon, dont je parlais déjà beaucoup dans mon roman C’était donc vrai ! Et quoi de plus normal, lorsque l’on sait que ce grand penseur était converti à l’Islam, parfait vecteur parmi tant d’autres de l’ésotérisme et des sciences en découlant.

La cosmologie, les lecteurs de mon prochain livre le verront au chapitre consacré au Zodiaque, est un temps qui se déroule en cycles non linéaires. Pour le chrétien, le monde à été créé dans un temps qui se déroule avec un début (Genèse) et une fin (désormais toute proche). Alors que l’Islam reprend des théories hérétiques telles que la métempsycose parfaitement rejetée par la Bible, mais reprise dans la kabbale judaïque en un culte du cosmos. Or, ces religions cosmiques comportaient toutes des sacrifices humains à Baal, Bel, Osiris/Nemrod, comme vous voudrez.

La métempsycose ou métempsychose (déplacement de l'âme) est le passage, le transvasement d'une âme dans un autre corps, qu'elle va animer. C’est la croyance selon laquelle une même âme peut animer successivement plusieurs corps soit d'humains soit d'animaux, ainsi que des végétaux : la transmigration des âmes peut intervenir non seulement dans l'humain (réincarnation) mais encore dans le non-humain, bêtes ou plantes, minéraux. Certains peuples en ont fait une croyance fondamentale : Égyptiens, Hindous. Or, bibliquement il est dit dans Hébreu 9 : 27 ; Et comme il est réservé aux hommes de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement.

Chez Jakob Böhme et sa théosophie, nous trouvons des notions qui réapparaitront plus tard : les prémisses de l’évolutionnisme. Dans l’esprit des initiés, Dieu se sauverait à travers une nature qu’il aurait créée par nécessité. L’évolution de cette nature lui permettrait de se sauver lui-même, source primaire de mal ! Dieu source du mal qu’on retrouve dans la gnose et dans l’Islam ou il est dit d’Allah est le créateur du mal.

Descartes ira également puiser ses idées chez Francis Bacon (1561-1626), un initié Rose croix, Chancelier d’Angleterre, scientifique et philosophe anglais, père de l'empirisme (méthode expérimentale) sous sa forme moderne. Il y a deux méthodes de recherche expérimentale : la déduction et l’induction. Si le Christ révèle tout, le croyant résonne par déduction sur des faits naturels et la vraie science progresse. L’induction dont se revendique Bacon, c’est autre chose ! À partir de l’homme, c’est procéder par imagination. Il appelait cela la chasse de Pan en référence au panthéisme. Plus tard un panthéiste et sataniste, Aleister Crowley, écrira un hymne à ce même Pan.

La Critique de la Raison pure est l’ouvrage fondamental d’Emmanuel Kant (1724-1804), publié en 1781, dans lequel il analyse les différentes facultés de l’esprit, afin d’établir que notre connaissance ne saurait dépasser les limites de l’expérience. Pour lui, grand admirateur de Bacon, la métaphysique ne peut représenter une vraie science et doit laisser place à la croyance.

Kant aura dans son ouvrage cette dédicace à l’attention de Bacon : "Il pose le premier les fondements de la science moderne et de ses méthodes qu'il conçoit comme entreprise collective, ce qui le distinguera de la recherche solitaire prônée en grande partie par Descartes dans le « Discours de la méthode » fondée sur l'observation des faits naturels, et la recherche des causes naturelles." Il est vu comme l’un des pionniers de la pensée scientifique moderne.

La méthode de Bacon, tout comme la « science » de Galilée, précèdent donc Descartes. Un Descartes faisant allégeance aux catholiques tout en fuyant la France pour la Hollande ou il recevra l’initiation Rose Croix, est un fait historique peu connue. C’est à nouveau une querelle interne et isiaque. La véritable histoire de Galilée ainsi que bien d’autres « pointures scientistes » l’est tout autant. En 1633, Galilée sera condamné non pas parce qu’il a dit que "la Terre tourne", mais simplement parce qu’il est un hérétique invétéré. Comme les autres scientistes de l’époque, il faisait référence à l’ésotérisme du chiffre. Il est bon de savoir que la kabbale a pour prétention d’être une théosophie c'est-à-dire : de connaître Dieu mieux que Lui-même, par le biais de la magie.

Mais, la kabbale est aussi une numérologie (science ésotérique du chiffre). On retrouve déjà ces idées dans la poésie de Dante, et Descartes fonde sa méthode, l’idéalisme, sur cette science ésotérique du chiffre, c'est-à-dire la pure kabbale.

Giordano Bruno (1548-1600), s’inspirera lui aussi de la kabbale. C’est un ancien frère dominicain et philosophe. Sur la base des travaux de Nicolas Copernic et Nicolas de Cues, il développe la théorie de l'héliocentrisme et montre, de « manière philosophique », la pertinence d'un univers infini, qui n'a pas de centre, peuplé d'une quantité innombrable d'astres et de mondes identiques au nôtre. Accusé formellement d'athéisme (confondu avec son panthéisme) et d'hérésie (particulièrement par sa théorie de la réincarnation des âmes) par l'Inquisition, d'après ses écrits jugés blasphématoires (où il proclame en outre que Jésus-Christ n'est pas Dieu mais un simple « mage habile », que le Saint-Esprit est l'âme de ce monde, que Satan sera finalement sauvé) et poursuivi pour son intérêt pour la magie.

Paracelse (1493-1541), fera de même. C’est un médecin, philosophe mais aussi théologien laïque suisse, d’expression allemande. Il concevait les phénomènes naturels comme des processus alchimiques de transformation. Il sera un théoricien du surnaturel et un rebelle s'en prenant avec virulence aux institutions et aux traditions, un théoricien du Grand Tout.

Paradoxalement, sa philosophie d'inspiration alchimiste va, dans les siècles suivants, fournir un cadre intellectuel au développement de la médecine chimique moderne beaucoup plus que la philosophie rationaliste et naturaliste.  Son œuvre est imprégnée de la magie propre à la Renaissance. S’y trouvent quelques idées innovantes qui ont impulsé (ou parfois seulement préfiguré) les recherches ultérieures telles que : l'extraction des principes actifs des substances, l'usage interne des médicaments chimiques ou des remèdes psycho actifs.

Sa pensée sera le point de départ du long processus de séparation de la chimie d’avec l'alchimie. Les travaux de nombreux savants sur les deux siècles et demi à venir vont permettre de se libérer des excès métaphysiques de Paracelse et en s'appuyant sur les expériences de laboratoire d'aboutir à la révolution chimique de Lavoisier des années 1787-1789.

L’élite de la kabbale du 13e siècle avait su atteindre un Dominicain, Maître Eckhart (1260-1328), théologien et philosophe. Il étudia la théologie à Erfurt, puis Cologne et Paris. Il précède Jakob Böhme et tous les théosophes dans l‘hérésie du non être. Ces disciples créeront plusieurs sectes dont l’une : les frères de la vie commune, aura trois élèves particuliers :

- Nicolas de Cues (1401-1464), un penseur allemand de la fin du Moyen Âge et père de l’œcuménisme moderne. Il sera cardinal, ami du pape Pie II. Sa théorie de la connaissance va durablement influencer la philosophie des sciences (Giordano Bruno, Descartes) et l'astronomie théorique (Galilée).

- Érasme (1466-1536), père de l’humanisme, c’est un chanoine de saint Augustin, philosophe, écrivain latin, humaniste et théologien des Pays-Bas bourguignons, considéré comme l’une des figures majeures de la culture européenne.

- Luther (1483-1546), père de la réforme protestante, c’est un frère augustin théologien, professeur d'université, père du protestantisme et réformateur de l'Église dont les idées exercèrent une grande influence sur la Réforme protestante, qui changea le cours de la civilisation occidentale.

Pour en arriver à l’un des pères de l’œcuménisme moderne, Wilhelm Leibniz (1646 -1716). C’est un philosophe, scientifique, mathématicien, logicien, diplomate, juriste, bibliothécaire et philologue allemand qui a écrit en latin, allemand et français.

L’influence d’une pensée antique et babylonienne (ayant migrée en Égypte) sur notre société est donc aux travers de ces portraits plus qu’une évidence. En tant que locataire d’un appartement, le fait de nier l’existence du propriétaire n’exclus pas le fait de devoir un jour ou l’autre payer son loyer : la note.

Un mois passe vite ! Et à l’échelle divine 1 000 ans sont comme un jour. Lorsque tous ces négationnistes énoncés vont devoir passer au tiroir-caisse, les intérêts seront plus importants que la DETTE que nous imposent honteusement les banxters apatrides. Ils seront pour eux exorbitants et éternels

Fin

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Parlons de leur philosophie ! (Partie 2)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Le problème que va rencontrer le christianisme apostolique, ce dès ses débuts, c’est le fait qu’il va se heurter aux élites. Il vient en effet mettre fin à des doctrines anciennes trop souvent pratiquées par des hommes proches du pouvoir (qu’on se souvienne de Jésus face au Sanhédrin et aux Pharisiens).

L’Ancien Testament met de nombreuses fois en garde à l’égard de la magie, et le Christ aboli la magie puisqu’il enseigne la VERITE sur la création et son CREATEUR. D’ailleurs, les mages sont venus s’incliner devant l’enfant (et non le bébé). C’est la magie d’un âge révolu qui vient s’incliner devant Celui qui va abolir les mystères de la nature. Elle ne fait plus peur et devient science, ou plutôt science chrétienne lorsqu’elle s’interprète par le biais de son Créateur et celui de Ses écrits : la Bible. C’est d’ailleurs cette science chrétienne en parfaite opposition à celle de l’homme que je vais m’échiner à vous expliquer (preuves à l’appui).

À ce titre on peut penser : "bizarre époque que la nôtre ou tout est d’ailleurs redevenu magie et talismans: le foot, la publicité; nos enfants qui sont « harry potterisés » et « halloweenisés ».

Cette fameuse gnose dont vous n’avez peut-être jamais entendu parler possède plusieurs sources :

Simon le Magicien : celui qui voulait s’attribuer les dons des apôtres (en l’occurrence Pierre et Jean) contre monnaie sonnante et trébuchante.

Philon d’Alexandrie (vers -20 à 45 apr. J.-C.), un philosophe juif hellénisé, contemporain des débuts de l’ère chrétienne, père du néoplatonisme. Il voudra démontrer la parfaite adéquation entre la foi juive et la philosophie hellène, avec peu d’influence sur le Judaïsme de son temps. Il sera néanmoins une source d’inspiration pour « les Pères » de l’Église.

Eusèbe de Césarée le cite dans son histoire ecclésiastique lorsqu’il décrit la vie des Thérapeutes d'Alexandrie.

La gnose est donc une compromission entre l’ésotérisme juif et celui d’Égypte. Le néoplatonisme de Philon sera une interprétation de Platon et d’Aristote mais soumise à l’ésotérisme. Simon le magicien avait fondé une secte des illuminés que nous retrouverons à la Révolution Française. Il y aura filiation de sociétés secrètes en sociétés secrètes. Ils sont illuminés par le "Soleil égyptien", adorateurs de la création en lieu et place du CREATEUR. Et au 3e siècle, c’est Plotin (205 - 270 apr. J.-C.), philosophe gréco-romain de l'Antiquité tardive, qui sera le représentant principal du néoplatonisme.

En 246 de notre ère, il installe son école à Rome. Sa relecture ou plutôt sa codification des dialogues de Platon sera source d'inspiration pour une « certaine pensée chrétienne » à l'époque en pleine formation. Elle va influencer de manière profonde la philosophie occidentale et orientale. C’est cette philosophie arabe qui sera reprise à la Renaissance contre les idées chrétiennes. L'intégralité des écrits de Philon sera publiée par son disciple Porphyre de Tyr sous la forme d'Ennéades.

Aux 7e et 8e siècles, premiers siècles de l'hégire pour le monde musulman, les Syriens et Mésopotamiens chrétiens de langue syriaque et grecque traduisent en arabe certains textes philosophiques et scientifiques issus du monde gréco-romain. Une compétition commence alors entre la culture arabe et la culture persane. Le Grand Iran est à cette époque sous domination arabe.

De 750 à 850, période des califes Abbassides, la science arabo-musulmane atteint ses sommets. Les souverains paient parfois leur poids en or tout livre récemment traduit, et dès le 9e siècle, une majeure partie des écrits de la Grèce est disponible en langue arabe.

Les textes et traditions des dogmes islamiques se fixent à cette époque : le sunnisme, avec Al-Ashari (en 935) ; le chiisme duodécimain, avec Shaykh Saduq Ibn Babuyeh (en 991) et Shaykh Mufid (en 1022) ; l'ismaélisme, branche du chiisme, en langue arabe et en langue persane. En Occident latin, c'est le Moyen Âge, période ainsi dénommée entre la chute de l'Empire romain (476, invasion des Hérules) et la Renaissance marquée par la chute de Constantinople en 1453 et la soi-disant découverte des Amériques en 1492 par Christophe Colomb.

C’est vers la fin du 10e siècle début du 11e que le Perse Avicenne (980-1037), converti à l’Islam et devenu vizir, reprendra les idées de Philon non sans se faire des ennemis au sein de la communauté islamique. C’est un philosophe, écrivain, médecin et scientifique médiéval. Il s'intéressera à de nombreuses sciences : l'astronomie, l'alchimie, la chimie et la psychologie. Ses disciples l'appelaient prince des savants, plus grand des médecins, etc. Plusieurs théologiens musulmans de son époque comme Al-Ghazâlî, Ibn Taymiyya, Ibn Al-Qayim et Al-Dhahabi le traiteront d'irréligieux.

Un siècle plus tard, un philosophe, théologien, juriste et médecin musulman andalou de langue arabe du nom d’Averroès (1126-1198), exerce les fonctions de grand cadi (juge suprême) à Séville et à Cordoue, et de médecin privé des sultans almohades, à Marrakech à une époque charnière où le pouvoir passe des Almoravides aux Almohades. Lecteur d'Al-Fârâbî, Al-Ghazâlî et d’Avicenne, il est considéré comme l'un des plus grands philosophes de la civilisation islamique même s'il a été accusé d'hérésie à la fin de sa vie. Dans son œuvre, Averroès met l'accent sur la nécessité pour les savants de pratiquer la philosophie et d'étudier la nature créée par Dieu. De ce fait, il pratique et recommande les sciences profanes, notamment la logique et la physique, en plus de la médecine.

Son œuvre aura une grande importance en Europe occidentale, où il a influencé les philosophes médiévaux latins et juifs dits averroïstes. À la Renaissance, sa philosophie est très étudiée à Padoue. De façon générale, il est estimé des scolastiques qui l'appellent le « Commentateur » du Philosophe (Aristote) pour lequel ils ont une vénération commune. En revanche, Thomas d'Aquin puis les néoplatoniciens de Florence lui reprochent de nier l'immortalité et la pensée de l'âme individuelle, au profit d'un Intellect unique pour tous les hommes qui active en nous les idées intelligibles.

Moïse Maïmonide (1138-1204), est un rabbin séfarade du 12e siècle, considéré comme l’une des plus éminentes autorités rabbiniques du Moyen Âge. Talmudiste, commentateur de la Mishna, jurisconsulte et décisionnaire, il est l’auteur du Mishné Torah, l’un des plus importants codes de loi juive. Il va réactualiser le Talmud codifié au 2e siècle sur des bases gnostiques judéo-égyptiennes. Philosophe, métaphysicien et théologien, il entreprend comme son contemporain Averroès une synthèse entre la révélation et la vérité scientifique, laquelle est représentée de son temps par le système d’Aristote dans la version arabe d’Al-Fârâbî.

Médecin de cour et astronome, il publie aussi des traités dans ces domaines qui accroissent son prestige parmi ses contemporains juifs et non-juifs. Il sera dirigeant de la communauté juive d’Égypte. Il est cependant accueilli avec plus de circonspection voire d’hostilité en France et en Espagne, où ses écrits et son rationalisme seront, des siècles durant, sujets à controverse.

Il sera pour les uns un « second Moïse », ainsi que l’indique son épitaphe, et pour les autres un « hérétique excommunié ». Il est également l’une des rares autorités juives à avoir influencé les mondes arabo-musulman et chrétien, notamment Thomas d'Aquin, qui le surnomme « l’Aigle de la Synagogue ».

C’est chez Maïmonide qu’un penseur comme Baruch Spinoza (1632-1677), ira chercher ses idées matérialistes. Spinoza aura une influence considérable sur ses contemporains et nombre de penseurs postérieurs. Issu d'une famille juive marrane portugaise ayant fui l'Inquisition, il sera un héritier critique du cartésianisme. De fait, il prendra ses distances vis-à-vis de toute pratique religieuse, mais non envers la réflexion théologique, grâce à ses nombreux contacts interreligieux. Après sa mort, le spinozisme va connaître une influence durable et critique vis-à-vis du judaïsme, du christianisme et de l'islam.

Spinoza fut à tort couramment compris comme un auteur athée et irréligieux. Sa doctrine repose sur une certaine définition de Dieu, suivie d'une démonstration de son existence et de son unicité. Mais, ses conceptions théologiques relèvent du panthéisme, elles tendent à s'opposer à la transcendance divine ainsi qu'à une révélation surnaturelle. Nietzsche le qualifiait de « précurseur », c’est peu dire ! Notamment en raison de son refus de la téléologie : l'étude des causes finales. D'après Hegel, "Spinoza est un point crucial dans la philosophie moderne. L'alternative est : Spinoza ou pas de philosophie."  Quant à Karl Marx, un "frère la truelle", il s’y est, ainsi que bien d’autres, copieusement référé.

En synthèse, on constate que toute cette pensée orientée découle de l’ésotérisme judéo-égyptien (livre d’Hermès et Kabbale), et remonte au Talmud édifié contre le Christ.

Durante Alighieri, dit Dante (1265-1321), est un poète italien du Moyen âge. Il s'est immortalisé par la composition du célèbre poème connu son le titre de la Divine Comédie. Il s’imagine que Virgile, son poète favori, l'accompagne dans l'Enfer et le Purgatoire, pour lui nommer les réprouvés et lui décrire leurs supplices, et que Béatrix (ou Béatrice) est son guide au Paradis.  Il va être le premier humaniste à puiser sa philosophie dans la poésie arabe, pure mouvement anti-scolastique. C’est lui qui donne à l’homme « le pouvoir de contredire Dieu ». Le Talmud ayant été écrit afin d’annoncer leur messie encore à venir, c’est l’homme qui prend ici la place du Créateur.

La société chrétienne étant un ordre établi venant d’en haut, l’humanisme va concevoir la politique et la philosophie non pas à partir de Dieu, mais à partir d’un ordre venant d’en bas, l’homme. La Renaissance reprend ainsi la métaphysique antique à travers la philosophie arabe, pur produit judéo-égyptien. Cet ensemble d’idées antiques pouvait se concevoir avant la Révélation du Christ mais certainement plus après. Le culte du cosmos n’a plus lieu d’être, Dieu créant ex nihilo, à partir de RIEN, Il est hors de sa création ! De nos jours, l’héliocentrisme, sujet central de mon prochain ouvrage, n’est qu’un culte cosmique et solaire, pure réminiscence babylonienne. D’ailleurs les frères la truelle ne se revendiquent-ils pas entre-autre de Nemrod, père de Babel ?

Jésus est, je le répète, l’accomplissement parfait de la loi judaïque. Mais à côté de cette loi existe un ésotérisme juif bien antérieur au Christ ou plutôt, devrais-je dire, à son incarnation. Il est de nature babylonienne et profondément hérétique et en parfaite contradiction avec le Christ. Toute cette philosophie qui va ré émerger à la Renaissance n’est qu’une négation de Sa Divinité. Elle est en quelque sorte la réactualisation du péché originel : l’homme voulant prendre la place de son Créateur.

À suivre.

Olivier

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