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ZION OU L’AVENEMENT DE ZORGLUB (partie 11)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/05/zion-ou-l-avenement-de-zorglub-partie-1.html  

La vie n’étant qu’un éternel recommencement, même Joseph Kennedy, dont le fils JFK, aurait un jour à en découdre avec la même « engeance du Diable », partageait les appréhensions de Lindbergh au sujet de la puissance juive.

Avant le début de la guerre, il avait exprimé ainsi ses préoccupations en privé au sujet « des Juifs qui dominent notre presse » et de la communauté juive mondiale dans son ensemble, qu’il considérait comme une menace envers la paix et la prospérité.

Peu après le début des hostilités, Kennedy se plaignit « de l’influence juive croissante dans la presse et à Washington, demandant la poursuite de la guerre. »

Mais, comble du cynisme, lorsque le conflit éclata grâce à lui et ses sbires, comme Roosevelt l’avait planifié et préparé, les dirigeants polonais et français s’attendirent à ce qu’il respecte au moins ses engagements en cas de guerre.

Hélas, Roosevelt n’avait pas pris en compte le sentiment pour la paix de la vaste majorité des Étasuniens. Aussi, non content de tromper MONSTRUEUSEMENT son propre peuple, Roosevelt laissa tomber ceux à qui, en Europe, il avait promis un soutien. Il en fut même réduit à orchestrer pratiquement un attentat sous faux drapeau : Pearl Arbor.

Au cours d’un discours de campagne de réélection en 1940, Roosevelt répondit aux craintes de millions d’Étasuniens qui soupçonnaient que leur président avait secrètement promis le soutien des États-Unis à la Grande-Bretagne dans sa guerre contre l’Allemagne.

Ces soupçons bien fondés étaient basés sur la FAMEUSE publication, au mois de mars, des documents polonais saisis par les Allemands. Le discours du 23 octobre 1940 fut émis sur le réseau radiophonique à destination de la nation.

Roosevelt réfuta tout ce que j’ai ici évoqué, et catégoriquement.

L’épisode du Watergate a profondément ancré dans la conscience étasunienne le fait que ses présidents puissent se comporter de manière criminelle. Cette affaire a contraint Richard Nixon à démissionner de son poste de président, et il reste considéré comme un criminel. Mais les crimes commis par Nixon sont un pet de lapin malade dans la blogosphère en comparaison à ceux de Franklin Roosevelt.

Bien entendu, ses défenseurs, l’équivalent de nos fact-checkers du Web, arguent qu’il a violé la loi en vertu de principes nobles, alors que des tromperies similaires menées par les présidents Johnson (à l’époque de JFK) et Nixon, pour en nommer deux, ne le sont pas.

Or, dans un système démocratique, l’argument suggère que le peuple est trop stupide pour comprendre ses propres intérêts et que, style Macron, la meilleure forme de gouvernement est une forme de dictature bienveillante libérale-démocratique.

La haine de Roosevelt envers Hitler était profonde. Cela n’était pas étranger à une jalousie enracinée dans le grand contraste entre les deux hommes, non seulement en vertu de leurs caractères personnels, mais également dans les traces qu’ils ont laissées en tant que dirigeants nationaux. En effet, les succès publics des deux hommes étaient remarquablement proches.

Chacun d’eux assurait la direction de son pays respectif au début de l’année 1933. Ils étaient tous deux confrontés au défi gigantesque du chômage de masse, au cours d’une dépression économique mondiale catastrophique.

Et, jusqu’à présent, chacun est devenu le dirigeant puissant d’une vaste alliance militaire au cours de la guerre la plus destructrice de l’histoire. Les deux hommes sont morts en exercice à quelques semaines d’intervalle au cours du mois d’avril 1945, juste avant la fin de la Seconde Guerre mondiale. Mais les contrastes énormes entre les vies de ces deux hommes sont encore plus remarquables.

Roosevelt était né une cuillère en argent dans la bouche. Là où un Hitler pauvre allait s’illustrer veillement dans les tranchées de 14-18, Roosevelt allait se retrouver le cul dans la soie, en participant à la première guerre mondiale depuis un bureau de Washington, au poste de sous-secrétaire à la Navy.

Hors, de sa rhétorique rassurante, Roosevelt s’avéra incapable de gérer les grands défis auxquels les États-Unis étaient confrontés.

Après quatre années de présidence de sa part, en 1937, des millions de gens restaient sans emploi, mal nourris et mal logés, sur une terre riche dotée de toutes les ressources propres à une prospérité incomparable mais pompée par qui vous savez.

Le New Deal était rongé par des grèves dures, et des affrontements sanglants entre les travailleurs et le capital.

Roosevelt ne fit rien non plus pour résoudre les problèmes raciaux profonds et envenimés qui faisaient éruption de manière régulière dans des révoltes et des conflits armés.

De son côté, le petit caporal Hitler, avait rallié son peuple derrière un programme radical qui allait transformer l’Allemagne en quelques années. D’une terre ruinée, au bord de la guerre civile, il allait faire durant le même temps que Roosevelt, la locomotive économique de l’Europe. Le contraste entre les deux personnalités était en même temps un contraste entre deux systèmes et idéologies diamétralement opposées.

Pourtant, tout comme un Klaus Schwab de nos jours, Roosevelt pensait agir de manière droite et noble en faisant pression sur la Grande-Bretagne et la France pour les faire entrer en guerre contre l’Allemagne. Comme Wilson avant lui, et d’autres après lui, Roosevelt se considérait comme seul qualifié, et appelé par la destinée, à remodeler le monde selon sa vision d’une démocratie égalitariste et universelle.

Il était convaincu, comme de nombreux dirigeants étasuniens l’ont été, que le monde pouvait être sauvé de lui-même en le refaçonnant selon leur modèle judéo-maçonnique établi.

Roosevelt se prenait pour un missionnaire auto-satisfait, divisant le monde entre des pays moralement bons et mauvais.

Il fallait convertir les « mauvais » à l’idéal démocratique améri-Caïn. Selon ce schéma de pensée, les États-Unis constituaient alors et constituent encore (pour peu de temps) la puissance dirigeante providentielle des "forces du bien".

Par chance, il se trouve que cette vision correspondait et correspond toujours aux intérêts économiques et politiques des mêmes vipères judéo-maçonniques qui exercent encore et toujours le vrai pouvoir aux États-Unis : le Deep State.

Harry Elmer Barnes (1889-1968), est, au même titre que Seymour Hersh, un dépoussiéreur de la Vérité. C’est un historien américain qui, dans ses dernières années, a été connu pour son révisionnisme historique. Il a écrit 30 livres, 100 essais et plus de 600 articles.

Concernant Roosevelt et son rôle, ce grand historien pensait que cette guerre aurait sans doute pu être évitée en 1939 sans les ingérences pratiquées par Roosevelt.

« De fait, il existe des preuves tout à fait convaincantes du fait que sans les pressions exercées par M. Roosevelt sur la Grande-Bretagne, la France et la Pologne, et sans les engagements qu’il prit auprès de ces pays avant le mois de septembre 1939, surtout vis-à-vis de la Grande-Bretagne, et sans les singeries de son agent provocateur, William C. Bullitt, il n’y aurait sans doute pas eu de guerre mondiale en 1939. » Harry Elmer Barnes, The Struggle Against the Historical Blackout, 2nd Ed. 1948, p. 12.

Si l’on compare les faits plus haut évoqués avec l’Ukraine actuellement, les idées sur l’impasse où nous nous trouvons sont à prendre au sérieux.

Elles sont frappantes.

Les États-Unis et leurs alliés de l’OTAN sont actuellement en guerre contre une Russie dotée de l’arme nucléaire, à la frontière de celle-ci.

À ce stade, les combats au sol ont été laissés aux mandataires ukrainiens, nous, UE, livrons par le biais de l’OTAN tous les autres éléments : armes, munitions, finances, entraînements, renseignements et coordination. 

Nous apportons notre contribution avec certains combattants. Au cours de la longue Guerre Froide contre les Soviétiques, un tel scénario aurait été considéré comme le pire des cauchemars, mais il s’agit désormais de l’objectif délibéré du gouvernement étasunien.

Au moment de la crise des missiles de Cuba, la confrontation qui est actuellement la nôtre contre la Russie, rappelle que la destruction du monde n’avait été évitée que d’un cheveu en 1962, uniquement grâce à la prudence du président John F. Kennedy, fils de ce diplomate nommé à Londres et qui dès 1939, s’était opposé à la politique suicidaire de Roosevelt.

Néanmoins, l’administration Biden actuelle, dominée par les néo-conservateurs, semble prête à escalader le conflit et discute tranquillement de l’utilisation d’armes nucléaires contre la Russie.

Mais hormis le risque de guerre nucléaire, la situation contemporaine est totalement différente de celle qui prévalait sous la présidence de Kennedy. En 1962, l’Amérique avait failli entrer en guerre contre les Soviétiques, en un conflit qu’aucun des deux camps n’avait cherché à provoquer, et JFK était parvenu à calmer les choses.

Alors que, dans la confrontation présente, les USA ont passé volontairement des années à provoquer la Russie à dessein, en évitant toutes les tentatives visant à atteindre une résolution diplomatique du conflit, et en torpillant les pourparlers de paix russo-ukrainiens lorsqu’ils ont commencé au mois de mars 2022. La guerre contemporaine contre la Russie n’est pas une erreur : c’est presque complètement le résultat d’une politique étasunienne intentionnelle.

Au lieu de désigner la crise de 1962 comme un signal d’alarme à suivre, de nombreux néocons très cons affirment que l’analogie à faire est celle de la Seconde Guerre mondiale, lancée contre « l’agression gratuite » menée par l’Allemagne de Hitler.

Or, vous savez désormais (du moins je l’espère ?) ce qu’il en est. Voilà pourquoi je vous ai réservé ces quelques pages concernant 39-45.

Parce que presque tous les médias dominants étasuniens décrivent l’invasion russe de l’Ukraine comme « totalement non-provoquée », et la comparent souvent avec l’attaque allemande contre la Pologne qui avait provoqué la Seconde Guerre mondiale. Merci FDR !

De fait, ce qui est profondément instructif pour la suite de mon propos, c’est que si la Russie était vaincue et détruite à l’issue du conflit en cours, chose qui n’arrivera heureusement pas, nous pouvons être certains que les livres d’histoire judéo-maçonniques à venir dépeindraient Poutine comme le diable, et diaboliseraient l’ensemble des décisions qu’il a prises.

Et toujours pour ceux qui désirent en savoir plus :

Olivier

Suite ici : 

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ZION OU L’AVENEMENT DE ZORGLUB (partie 10)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/05/zion-ou-l-avenement-de-zorglub-partie-1.html          

Au printemps 1938, tous les envoyés étasuniens en Europe étaient subordonnés à Bullitt. Alors que la situation en Europe empirait en 1939, Roosevelt échangeait souvent avec son homme de Paris. Le secrétaire d’État Cordell Hull lui-même restait sans avoir connaissance de nombre des lettres et communications échangées entre Bullitt et Roosevelt.

Le second diplomate le plus important d’Europe était Joseph P. Kennedy, l’ambassadeur de Roosevelt auprès de la Cour de St. James.

Comme Bullitt, c’était un riche banquier. Mais hormis cela, ce catholique de Boston aux ascendants irlandais était un homme très différent. Ce Kennedy envoyé en Grande-Bretagne et figure importante du parti démocrate, n’était autre que le père du futur président JFK.

Roosevelt le détestait et n’avait pas confiance en lui, et ce sentiment allait croitre au fur et à mesure que Kennedy s’opposerait aux politiques guerrières du président avec de plus en plus de véhémence. Qui plus est, Kennedy détestait son homologue de Paris. Ce qui était réciproque.

Bien entendu, hormis les documents polonais, existent moult autres preuves prouvant que Roosevelt était un opportuniste et va-t’en guerre.

Et à ce jeu, Sir Ronald Lindsay, l’ambassadeur britannique de l’époque à Washington apporte de l’eau à mon moulin. Exprimant la légèreté de Roosevelt et sa perméabilité aux idées guerrières, durant ces trois années de fonction à Washington, il avait averti le Foreign Office britannique que celui-ci ne devrait rien dire à William Bullitt, l’âme damné de FDR en France.

Lindsay avait prévenu Londres du fait que Roosevelt l’avait convié à un entretien secret à la Maison Blanche, et duquel rien ne devait transpirer, même pas à son propre département d’État.

Le président affirma à l’ambassadeur que si l’existence de cette conférence était dévoilée publiquement, il pourrait se faire destituer. Et pour cause ! Ce que Roosevelt avait à proposer constituait un projet cyniquement hardi mais audacieux, visant à violer la constitution des États-Unis et à tromper le peuple étasunien.

Il affirma à l’ambassadeur que si la Grande-Bretagne et la France « se trouvaient contraintes à la guerre » contre l’Allemagne, les États-Unis finiraient par se rallier à elles.

Mais que pour cela, la Grande-Bretagne et la France devraient imposer un blocus total contre l’Allemagne sans lui déclarer formellement la guerre, et contraindre d’autres États (y compris des États neutres) à s’y conformer. Une manière d’étouffer l’Allemagne, sans lui déclarer vraiment la guerre et qui ressemble dans son hypocrisie, à ce que l’OTAN et nous, couillons de français, sommes en train d’infliger à Poutine.

Ainsi, tout comme à notre époque, à des fins de propagande, le « blocus devait être fondé sur des considérations humanitaires aussi élevées que possible, et sur le désir de déclencher des hostilités en provoquant le moins possible de souffrances et en minimisant autant que possible les pertes en vies et en propriétés, mais tout en mettant l’ennemi à genoux. » On croirait entendre Bruno Le Maire !

Roosevelt admit que cela impliquerait des bombardements aériens, mais « bombarder depuis les airs n’était pas la méthode d’hostilités qui provoquait vraiment de nombreuses pertes de vies. » Cette méthode pour mener la guerre par blocus serait, à l’avis de Roosevelt, approuvée par l’opinion publique aux États-Unis si son objectif humanitaire était fortement souligné.

Tous ces faits sont rapportés par l’ambassadeur Lindsay et confirmés par William Phillips, l’ambassadeur des États-Unis en Italie. Il a reconnu dans ses mémoires d’après-guerre que l’administration Roosevelt était déjà engagée à entrer en guerre du côté de la Grande-Bretagne et de la France à la fin 1938.

On comprend mieux, dès lors, la promesse consentie le 31 mars 1939 par la Grande-Bretagne à la Pologne d’entrer en guerre contre l’Allemagne en cas de conflit polono-allemand. Elle n’aurait pas pu être prononcée sans de fortes pressions émanant de la Maison-Blanche.

Le 14 mars 1939, la Slovaquie s’était auto-déclarée république indépendance, ce qui constituait une dissolution de la Tchécoslovaquie. Le même jour, Emil Hach, le président tchécoslovaque, signait un accord formel avec Hitler, établissant un protectorat allemand sur la Bohème et la Moravie, la portion tchèque de la fédération.

Le gouvernement britannique commença par accepter la nouvelle situation, mais c’était sans compter sur l’intervention de Roosevelt qui, en arrière-plan, soufflait sur les braises.

Le 16 mars 1939, Roosevelt envoyait un ultimatum virtuel à Chamberlain. Désormais, exigeait-il, le gouvernement britannique devait s’opposer fortement à l’Allemagne. Sinon, la Grande-Bretagne ne pourrait plus s’attendre à aucun soutien, moral ou matériel, si la politique de Munich se poursuivait. 

Chamberlain allait céder et le lendemain, 17 mars, la politique de coopération britannique avec l’Allemagne prendrait fin au cours d’un discours prononcé à Birmingham, dénonçant sévèrement Hitler.

Deux semaines plus tard, le gouvernement britannique s’engageait formellement à entrer en guerre en cas d’hostilités germano-polonaises. Quant à Bullitt qui sévissait en France, sa réponse à la création du protectorat allemand sur la Bohème et la Moravie fut de téléphoner à Roosevelt, et, avec une voix « quasiment hystérique », de l’exhorter à dénoncer dramatiquement l’Allemagne et à demander sur le champ au Congrès de mettre fin à la loi de neutralité.

Bien que la Loi Johnson interdise tout prêt consenti par les États-Unis à d’autres pays européens y compris la Pologne, Bullitt allait montrer son côté roublard dans un télégramme confidentiel envoyé à Washington et daté du 9 avril 1939.

Bullitt y rapportait une conversation qu’il avait eu avec l’ambassadeur Lukasiewicz, l’envoyé polonais. Bien que la loi étasunienne interdise une aide financière directe à la Pologne, il avait expliqué à l’ambassadeur qu’il serait peut-être envisageable de contourner les clauses de cette loi. Allant dans mon sens, de nombreuses années après la guerre, Georges Bonnet, ministre des affaires étrangères en France en 1939, confirmera le rôle d’adjoint de Roosevelt tenu par Bullitt pour pousser la France à la guerre.

Dans une lettre datée du 26 mars 1971, Bonnet a écrit : « … C’est une chose certaine que Bullitt, en 1939, a fait tout son possible pour faire entrer la France en guerre. »

On trouve une autre confirmation du rôle crucial tenu par Roosevelt et par les Juifs pour pousser la Grande-Bretagne en guerre dans le journal personnel de James V. Forrestal, premier secrétaire des États-Unis à la défense. Pour la journée du 27 décembre 1945, il confirmait tout ce qui vient d’être vu avec le rôle crucial de Bullitt, celui de Roosevelt ainsi que le fait voulant que Chamberlain le Premier ministre britannique, affirmait que les États-Unis et les Juifs mondialistes avaient contraint l’Angleterre à entrer en guerre.

Mieux encore. Lorsque Potocki, l’ambassadeur polonais, revint à Varsovie en congés, durant son service à Washington, il parla avec le sous-secrétaire au ministre polonais des affaires étrangères, le comte Jan Szembek, au sujet du danger de guerre qui arrivait à grands pas.

Dans son journal en date du 6 juillet 1939, le comte Szembek rapporte la stupeur manifestée par Potocki face au calme, c'est-à-dire à ce manque de discernement face au danger, qui régnait alors en Pologne. En comparaison avec la psychose de guerre qu’il avait perçue à l’Ouest, la Pologne ressemblait à une maison de repos.

« En Occident, affirma l’ambassadeur à Szembek, on trouve toutes sortes d’éléments poussant ouvertement à la guerre : les Juifs, les super capitalistes, les vendeurs d’armes. Aujourd’hui, ils sont tous prêts à une grande affaire, car ils ont trouvé un endroit qui peut être embrasé : Dantzig ; et une nation qui est prête à se battre : la Pologne. Ils veulent faire des affaires sur notre dos. La destruction de notre pays les indiffèrent. De fait, comme il va ensuite falloir tout reconstruire, ils pourront en profiter également. »

Quelques jours avant le début du conflit, fin août 1939, Chamberlain, le premier ministre anglais, envoya Sir Horace Wilson, son conseiller le plus proche, voir l’ambassadeur Kennedy avec un appel urgent de la part du premier ministre britannique à destination du président Roosevelt, afin d’éviter le conflit. Il regrettait déjà d’avoir engagé son pays en mars, auprès de la Pologne en cas de guerre.

Chamberlain se tournait désormais désespérément vers Roosevelt, dans un dernier espoir de paix. Il voulait que Roosevelt mette la pression sur les Polonais afin qu’ils rouvrent des négociations avec l’Allemagne. Au téléphone, Kennedy affirma au département d’État que les Britanniques « estimaient qu’ils ne pouvaient pas, au vu de leurs obligations, agir ainsi, mais que nous, nous le pouvions. »

Bien entendu et au nom des intérêts plus haut évoqués, Roosevelt refusa cette opportunité extraordinaire de préserver la paix en Europe, et d’éviter ainsi un bain de sang monstrueux.

Tout comme Biden le fait actuellement avec son pantin Zelenski, Roosevelt aimait se présenter au peuple au monde comme un homme de paix.

Aujourd’hui, son image est largement restée celle-là. Mais derrière le cynisme habituel se cachaient bel et bien d’authentiques opportunités d’agir pour la paix lorsque celles-ci se présentèrent.

Sans l’aide de ses puissants alliés argentés, Roosevelt aurait pu faire peu de choses pour inciter à la guerre en Europe. Mais derrière lui, on trouvait les intérêts financiers et juifs internationaux, tous arc-boutés sur la destruction de l’Allemagne.

L’organisation qui rythmait la cadence avant l’attaque de Pearl Harbor avait été savamment intitulé « Comité de Défense des États-Unis en Aidant les Alliés. » Bien entendu, tout ce « beau monde » tirait des profits colossaux des prêts consentis à la Grande-Bretagne au combat et d’investissements avisés au sein des industries de guerre géantes des États-Unis.

Les puissants intérêts de J.P. Morgan, avec ses filiales au sein de l’Empire britannique, contribuèrent donc à établir l’organisation et financèrent ses premières dépenses.

Au mois de mars 1941, une liste comprenant la plupart des soutiens financiers du Comité fut rendue publique. Elle révélait la nature des forces désireuses d’amener les États-Unis dans la guerre européenne. Outre J.P. Morgan, d’autres membres de la grande maison bancaire Morgan y figuraient.

D’autres noms importants du monde financier de New York étaient Paul Mellon, Felix M. et James F. Warburg, ainsi que J. Malcolm Forbes. Marshall Field, William Averill Harriman, le millionnaire des trains et des investissements, qui deviendrait par la suite ambassadeur de Roosevelt à Moscou.

Bien sûr, ces noms juifs constituaient une part très importante de cette longue liste. Car si l’on ne comprend pas ses liens étroits avec la communauté juive organisée, les politiques de Roosevelt ne font guère de sens.

Roosevelt a fait entrer dans son cercle immédiat davantage de Juifs que tout autre président avant ou après lui.

Ce point n’est peut-être pas si remarquable au vu de l’ascendance de Roosevelt, dont certaines sources indiquent qu’il avait un huitième de sang juif.

Dans son journal personnel, pour la journée du 1er mai 1941, Charles A. Lindbergh, le héros étasunien de l’aviation et dirigeant du mouvement pour la paix, dénonça la coalition qui poussait les États-Unis vers la guerre : « … La plupart des intérêts juifs du pays sont favorables à la guerre, et ils contrôlent une part énorme de notre presse et de notre radio, ainsi que la plupart de nos studios cinématographiques. Il y a également les « intellectuels », les « anglophiles … »

Et toujours pour ceux qui désirent en savoir plus : https://www.thebookedition.com/fr/37027_olivier-cape      

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/06/zion-ou-l-avenement-de-zorglub-partie-11.html

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EVEIL (2)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Pour celles et ceux qui, possédant encore de l’odorat, se rendent compte que notre société est devenue ça, et désirent comprendre QUI et POURQUOI on nous a mis dedans ; j’ai un bon déodorisant.

Qui ? C'est lui et sa clique.

 

 

 

Pour provoquer ça :

Pourquoi ? Pour notre bien !!

Parce qu’à leurs yeux de psychopathes, nous sommes trop nombreux sur cette terre qu’ils se sont arrogés.

Pour toute cette merde, j'ai ce déodorisant : https://www.thebookedition.com/fr/chronique-d-un-occident-oxyde-p-394854.html

J’en ai même un nouveau  qui sort prochainement : Davos et son Echeveau.

Pourquoi je vous parle de mes livres ? Pour ça :

Cela vous évitera, je l'espère, de devenir la Froggie sacrifiée sur l'hôtel de leur satané NOM.

Olivier

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EVEIL

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Certains, conscients du déclin de nos sociétés, se demandent comment nos aïeux ont pu réaliser de tels prodiges d’ingénierie.

Les plus éveillés refusent même la doxa historique qu’on leur impose. Cette bouillie infecte à base des mensonges les plus pervers.

Pour eux, j’ai ça : 

https://www.thebookedition.com/fr/une-autre-histoire-la-vraie--p-392634.html

 

Quant à celles et ceux qui ont décelé la langue du serpent chez la NASA, j’ai ça :

https://www.thebookedition.com/fr/nachash-p-388763.html

Dans les deux cas, ils seront avertis des énormes mensonges au sein desquels notre société occidentale se meurt dorénavant.

Olivier

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ZION OU L’AVENEMENT DE ZORGLUB (partie 9)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/05/zion-ou-l-avenement-de-zorglub-partie-1.html         

La situation s’en trouvait exacerbée par l’intervention des émigrés d’Allemagne et de Tchécoslovaquie qui ne ménageaient aucun mot pour inciter le public à toutes les formes de diffamation, faisant l’éloge de la liberté aux États-Unis, qu’ils opposaient aux États totalitaires.

Dans cette campagne extrêmement bien préparée et menée par-dessus tout contre le national-socialisme, la Russie soviétique était presque complètement exclue, ainsi que l’Espagne rouge. Comme c’est étrange ?

C’est l’ingénierie sociale qui marchait déjà bon train afin de créer artificiellement une psychose de guerre.

On affirmait au peuple étasunien que la paix en Europe ne tenait plus qu’à un fil, et que la guerre était inévitable. Dans le même temps, on lui affirmait sans équivoque qu’en cas de guerre mondiale, les États-Unis devraient également prendre une part active pour défendre les slogans de la liberté et de la démocratie dans le monde.

Roosevelt, le premier à exprimer de la haine contre le fascisme, répondait ainsi à deux desseins : détourner l’attention du peuple des problèmes politiques intérieurs, surtout la lutte entre le capital et le travail.

Deuxièmement, en créant une psychose de guerre, il voulait amener le peuple étasunien à accepter un énorme programme d’armement qui dépassait et de loin les besoins de défense des États-Unis. Le marché du travail ne faisait qu’empirer avec douze millions de chômeurs.

Des sommes colossales, les milliards que le trésor déboursait, maintenaient seuls un certain niveau de paix dans le pays. L’effervescence et l’indignation de l’opinion publique, et le grave conflit qui opposait d’une part les entreprises privées et les énormes trusts, et d’autre part les forces du travail, avaient créé de nombreux ennemis face à Roosevelt.

Voilà pourquoi, Roosevelt, en acteur politique avisé et expert de la mentalité étasunienne, avait, style Macron, rapidement détourné l’attention du public de la situation intérieur pour l’arrimer à la politique étrangère. Les accords de Munich se sont alors présentés à lui comme un cadeau du ciel. Il les a décrit comme une capitulation de la France et de l’Angleterre face au militarisme allemand belliqueux.

La haine, répandue contre tout ce qui est d’une manière ou d’une autre relié au nazisme allemand s’est encore enflammée par la politique brutale menée en Allemagne contre les Juifs et par le problème des émigrés. Les intellectuels juifs prirent part à cette action, ainsi que d’autres, amis personnels du président Roosevelt.

Ils firent de lui le champion des droits de l’homme, de la liberté de religion et de la liberté d’expression. Ces groupes occupant les positions les plus élevées au sein du gouvernement étasunien voulaient se faire passer pour les représentants du « vrai américanisme » et les « défenseurs de la démocratie ».

Ils étaient tous reliés de manière indissoluble à la communauté juive internationale.

Pour cette internationale juive, préoccupée par-dessus tout par les intérêts de sa race « élue », dépeindre le président des États-Unis comme le champion « idéaliste » des droits de l’homme constituait une action très avisée.

La guerre mondiale qui approchait, et à laquelle les Juifs aspiraient de manière très consciente, détournait machiavéliquement l’attention du public de l’antisémitisme, qui connaissait une croissance constante aux États-Unis, en parlant de la nécessité de défendre les religions et la liberté individuelle contre l’agression.

Le 16 janvier 1939, Potocki, l’ambassadeur de Pologne, rapportait au ministère des affaires de Varsovie une autre longue conversation qu’il avait eu avec l’envoyé personnel de Roosevelt, William Bullitt. Selon les termes de Bullitt, Roosevelt attendait de lui qu’il incite la France et la Grande-Bretagne à mettre fin à toute sorte de compromis avec les pays totalitaires.

Elles ne devaient pas entrer dans des discussions visant à une forme ou une autre de changement territorial. En contrepartie, elles disposeraient de l’assurance morale que les États-Unis allaient abandonner la politique d’isolement et seraient prêts à intervenir activement aux côtés de la Grande-Bretagne et de la France en cas de guerre.

La situation internationale devait être considérée par les cercles officiels comme extrêmement grave. Ceux qui tenaient le pouvoir avaient pour opinion que si la guerre devait éclater entre d’une part la Grande-Bretagne et la France, et d’autre part l’Allemagne et l’Italie, et si la Grande-Bretagne et la France devaient la perdre, les Allemands mettraient en danger les véritables intérêts des États-Unis sur le continent américain.

Voilà pourquoi l’ambassadeur Bullitt déclarait : « Si la guerre doit éclater, nous n’y prendrons pas part au début, mais nous la finirons. »

Le 7 mars 1939, l’ambassadeur Potocki envoyait à son gouvernement de Varsovie un rapport remarquablement lucide et perspicace sur la politique étrangère menée par Roosevelt.

Plus tard, le 28 octobre 1940, il serait rendu public dans les journaux allemands, avec une reproduction à l’identique. Le principal journal du parti national socialiste, le Voelkischer Beobachter, publia le rapport de l’ambassadeur avec entre autres cette observation : « … Dans l’intérêt de la vérité historique, il est important pour nous de montrer que les activités belliqueuses de la diplomatie étasunienne, particulièrement en Europe, sont une fois de plus révélées et prouvées par ce document. »

Ce qu’il est encore intéressant de relever ici, c’est que malgré les horreurs perpétrées par Lénine et ensuite Staline, l’URSS n’était pas intégrée au « camp du mal absolu ». Le public étasunien considérait la Russie comme appartenant au camp des démocraties.

Ce fut également le cas durant la guerre civile en Espagne, où lesdits Loyalistes étaient considérés comme des défenseurs de l’idée démocratique.

Bien entendu, dans les rouages politiques qui écrasent sans encombre tout ce qui ne va pas dans le sens étasunien : celui « du droit », Roosevelt aurait été heureux de voir l’Armée rouge émerger comme victorieuse d’un conflit contre le Japon. C’est pour cette raison que les sympathies de son gouvernement se portaient clairement vers la Chine, qui avait reçu une aide financière considérable, en millions de dollars.

Néanmoins, jusqu’au bout, les Allemands feront confiance au bon sens du petit peuple américain ainsi qu’aux représentants et sénateurs, qui étaient tous censés avoir le dernier mot. Les nazis pensaient que la possibilité de voir les États-Unis entrer en guerre comme en 1917 n’était pas très élevée.

Se souvenant trop bien de la déclaration du traité de Versailles, et de la phrase célèbre, affirmant que la guerre était destinée à préserver le monde pour la démocratie. Ni le traité de Versailles, ni ce slogan, n’avaient réconcilié les Américains avec cette grande boucherie.

Crise de 1929 aidant, des millions en conservaient un arrière-goût amer en raison des milliards de dollars d’impayés que les États européens devaient toujours aux États-Unis.

La majorité des États du mid-West et de l’Ouest, où prédominait la composante rurale, voulait donc à tout prix éviter tout implication dans les conflits européens. Et l’Allemagne comptait un peu trop sur ce fait établi.

C’était penser sans l’ingénierie sociale.

Les Polonais, quant à eux, se méfiaient de la puissance allemande, néanmoins, à l’inverse de FDR qui les rejetait ouvertement, le gouvernement polonais soutenait les accords de Munich de 1938. En effet, une petite portion de territoire polonais, qui avait été rattachée à la Tchécoslovaquie contre la volonté de ses habitants, s’en trouvait réunifiée à la Pologne selon les termes de ces accords.

Côté allemand, les accords du Munich accordaient l’auto-détermination aux trois millions et demi d’Allemands de Tchécoslovaquie et réglaient une crise européenne majeure.

Nous avons ici un des cas où Roosevelt a semé la zizanie en les dénonçant comme une capitulation honteuse et humiliante au chantage allemand.

Je pense sans me tromper que les politiques polonais voyaient alors avec mépris Roosevelt, comme une espèce de Biden actuel. Roosevelt poussait les États-Unis dans la guerre pour détourner l’attention du public de ses échecs en matière de politique intérieure.

Au risque de paraitre pronazi, ce que je ne suis nullement, pour décrire la complexité des relations germano-polonaises entre 1933 et 1939, il me faudrait des centaines de pages.

Néanmoins, il faut bien reconnaitre que les Polonais ont longtemps cherché la petite bête à notre tonton nazi. L’attaque lancée par l’Allemagne contre la Pologne à l’aube du 1er septembre 1939, découle de nombreux faits.

Notamment du fait que la Pologne était allée jusqu’à refuser de négocier au sujet de l’auto-détermination de la ville allemande de Dantzig et de la minorité ethnique allemande qui vivait dans ledit Couloir polonais.

Hitler a agi quelque peu comme Poutine vis-à-vis des minorités russes du Donbass massacrés par les pronazis de Kiev.

Il s’est senti obligé de recourir aux armes, lorsqu’il lança cette attaque, en réponse à une campagne polonaise de terreur et de dépossession contre le million et demi d’Allemands ethniques qui vivaient sous administration polonaise. À mon sens, si une action militaire fut jamais justifiée avant celle de Poutine en Ukraine, ce fut bien la campagne allemande contre la Pologne, en 1939.

Croyant bêtement à l’aide militaire de la perfide Albion, les Polonais jouaient depuis un bon moment les gros bras, pensant que la puissance allemande était une illusion. Ils se voyaient déjà à Berlin en quelques semaines.

Pensez alors à nos va-t’en guerre de dirigeants européens actuels, car ce conflit strictement circonscrit entre l’Allemagne et la Pologne ne fut transformé en conflagration à l’échelle de l’Europe que par les déclarations de guerre britannique et française contre l’Allemagne.

Bien entendu, Edward Raczynski, l’ambassadeur de Pologne à Londres entre 1934 et 1945, au même titre que beaucoup d’autres, a confirmé l’authenticité des documents dans son journal personnel, publié en 1963 sous le titre In Allied London.

Mais les intérêts américains prévalaient déjà.

Après la guerre, les juges nommés par les Alliés, siégeant au tribunal de Nuremberg, refusèrent de reconnaître les documents polonais comme preuves, comme demandé par la défense allemande. Si ces documents avaient été estimés recevables, l’initiative de Nuremberg aurait moins ressemblé à un procès spectacle pour les vainqueurs, et aurait pu constituer une cour de justice internationale plus impartiale.

Deux diplomates étasuniens qui jouèrent des rôles particulièrement centraux dans la crise européenne de 1938-1939 sont mentionnés de manière répétée dans les documents polonais.

William C. Bullitt qui, officiellement était ambassadeur en France, était dans les faits le « super envoyé » de Roosevelt et son adjoint personnel en Europe. Comme son président, il était né avec une cuillère en argent à la bouche, d’une importante famille de banquiers de Philadelphie, membres du gratin de la ville, et Juif du côté de sa mère.

Fait important, Bullitt avait été l’un des assistants du président Wilson à la « conférence de paix » de Versailles. La même année, Wilson et Lloyd George, le premier ministre britannique, l’avaient envoyé rencontrer Lénine en Russie pour déterminer si le nouveau gouvernement bolchevique méritait une reconnaissance de la part des Alliés (Ce qu’il fera).

Lorsque Roosevelt devint président en 1933, il fit revenir Bullitt dans les sphères diplomatiques. En novembre 1933, Roosevelt l’enverra à Moscou comme premier ambassadeur des États-Unis auprès de l’Union soviétique. En 1936, il sera muté à Paris pour y jouer le rôle de diplomate clé de Roosevelt en Europe jusqu’en 1940, lorsque la montée au pouvoir de Churchill en Grande-Bretagne et la défaite de la France feront tomber son rôle spécial en désuétude.

Et toujours pour ceux qui désirent en savoir plus : https://www.thebookedition.com/fr/37027_olivier-cape        

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/06/zion-ou-l-avenement-de-zorglub-partie-10.html

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Le N.O.M. et sa mise en place « définitive ». (Suite et fin)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/06/le-n.o.m.et-sa-mise-en-place-definitive.partie-1.html

Il s’agit d’une philosophie particulièrement malsaine visant à une inversion systématique des valeurs morales ou le mal devient le bien et le bien devient le mal

Ce fléau trouve ses racines dans les anciennes pratiques babyloniennes et les cultes à Mystères.

Bien entendu comme je l’explique en détail dans les deux tomes du Centième Gueux, avant d’en arriver jusqu’à nous, il aura su traverser des paliers intermédiaires.

Ainsi, le Frankisme et le Sabbataïsme, constitueront une dégénérescence satanique du judaïsme et de la Kabbale, fondée par les faux messies Sabbataï Tsevi (17ème siècle) et Jacob Frank (18ème siècle).

Tous deux de proches ancêtres des Illuminés de Bavière (Illuminati), du sionisme, du communisme, ainsi que du fascisme.

Cette doctrine va se propager par l’infiltration des religions et de la franc-maçonnerie et d’autres sociétés secrètes travaillant dans les coulisses des gouvernements et œuvrant derrière des façades « démocratiques ».

Mais le maitre d’œuvre bien caché dans les coulisses reste bel et bien le contrôle mental basé sur les traumatismes et à la dissociation.

Le fractionnement de la personnalité est bien connu en psychologie, lors d’un choc émotionnel ou physique brutal. Et dans cette idée l’abus sexuel est de règle.

À travers cette connaissance occulte, l’élite luciférienne contrôle non seulement ses propres membres, sa propre descendance, mais par-dessus tout domine l’humanité toute entière afin d’établir un règne absolu.

Tous ceux qui, actuellement, occupent le devant de la scène dans les domaines de la politique, des arts, de la finance, de la mode et des affaires, font partie intégrante du processus.

Tout est pourri jusqu’à la moelle. Financiers, artistes, têtes couronnées, chefs d’états, religions, tous ont la personnalité dissociée, et travaillent aujourd’hui à l’introduction de l’humanité dans un Nouvel Ordre Mondial.

Mais, venant en aide à ces états dissociatifs voulus, l’intelligence artificielle IA, vient désormais porter le coup décisif, l’estocade finale nécessaire à l’arrivée du NOM. Cette estocade ne se fait pas du bout de l’épée, mais de celui de la seringue. Du psychologique, ils sont passés au biologique afin de l’asservir à leur but.

Grace à l’IA, « le gueux » y devient un morceau de viande pucé là où eux : « l’élite », occupent la place la plus élevée. Dieu est « mort » : une abstraction secondaire.

Ce n’est nullement un hasard si l’on nous a confiné avec une production à l’arrêt pendant que dans le même temps les gouvernements intensifiaient la pose du réseau 5G.

La 5G cohabite avec les réseaux plus anciens, la 4G bien sûr, mais aussi la 3G et la 2G, qui utilisent des technologies et des câbles différents.

J’explique tout cela en détail dans Chronique d’un Occident oxydé.

Une antenne 4G envoie un signal tout autour d'elle dans son rayon d'action. L'antenne 5G, elle, est « intelligente ». Elle identifie votre téléphone et envoie un faisceau unique vers lui. C'est ce qui explique pourquoi le débit est quatre fois supérieur qu'en 4G. Ce fonctionnement traite les demandes de connexion au cas par cas et avec moins de dépense d'énergie.

Ainsi, nous nous retrouvons avec une technologie qui ne nous veut que « du bien ». Elle ferait baver Georges Orwell de concupiscence, lui qui, dans son roman 1984, décrit une dystopie totalitaire avec une surveillance absolue de la population, les habitants doivent avoir un « télécran » à leur domicile.

Il s’agit à la fois d’une télévision qui diffuse en continu la propagande du gouvernement et d’une caméra de surveillance. Elle permet aux autorités de voir ce qui se passe chez vous, dans chaque pièce.

Et ce rêve est actuellement celui de Macron et sa bande qui essaient de passer en force une loi dans laquelle votre téléphone devient THE mouchard.

Ajoutez à cela le rêve de Schwab : « les poussières intelligentes », autrement dit l'électronique injectable à l'échelle nanométrique, qui est injecté ou autrement introduits dans un sujet, et vous vous retrouvez avec un joli cocktail détonant.

Un cocktail dont je dénonce l’efficacité redoutable depuis des années mais surtout depuis couillonavirus. Allié à la 5G, il permet de provoquer un changement de l'état de conscience ; produire ou arrêter le sommeil par des moyens mécaniques, optiques ou acoustiques, comme pour l'hypnose. Je ne plaisante pas ! Cherchez vous-même les brevets américains US5356368A et US20180328884A1.

Le rêve de Schwab et de ses sbires du WEF est de fusionner le biologique et le numérique. Le tout avec la sainte bénédiction de l’oxyde de graphène injecté avec les « vaccins » covid-19 et/ou contre la grippe.

L’humain étant de nature électrique, quoi d’étrange à ce qu’il soit sensible aux champs électromagnétiques ? En plus de fusionner le biologique au numérique, le rêve ultime de l’élite n’est autre que d’abolir la pensée humaine en l’asservissant à « la pensée » de l’IA.

Cinq cents millions de survivants pensant la même chose ; c’est leur rêve. Pas d’emmerdes, le contrôle absolu.

Donc je le répète, se prenant pour des dieux, ces salauds désirent « tuer » le Dieu de la Bible et régner en maître sur 500 millions de zombis pucés. (Voir https://vecteur-douceur.over-blog.com/2020/01/tout-est-prevu-et-depuis-longtemps.html )

Quant à ceux qui font encore la moue face à mon propos et surtout les « vaccins » covid. Beaucoup de professeurs et de médecins INTEGRES (ça existe encore) dénoncent l’arnaque de la pandémie. Le 9 mai dernier, le Dr David Martin a pris la parole au Sommet International du Covid, au Parlement Européen (et aucun MSM n’en parle).

Il a décortiqué l’historique du Covid et démontré la guerre contre l’humanité, préparée de longue date. Il a déclaré : « Le Covid-19 était un acte de guerre biologique perpétré contre la race humaine. C’était un braquage financier. La nature a été détournée. La science a été détournée. »

En effet, nous n’avons pas connu une épidémie de covid, mais de tests PCR frelatés. N’oubliez jamais que les vétérinaires vaccinent les veaux par le biais d’un coton tige introduit dans les narines ! En outre, ces tests PCR ont servi à établir avec précision une cartographie ADN de toute l’humanité.

Les Israéliens s’y étaient déjà confrontés sans succès vis à vis des Arabes, mais ici, la récolte d’ADN effectuée par le biais des tests aura permis de cibler avec précision le type de modification virale nécessaire pour cibler avec précision l’ADN de groupes ethniques particuliers ou des humains gênants à éliminer avec ces nouveaux virus fabriqués en Ukraine et en Chine par le Deep State

Ils seront alors répandus à travers les chemtrails et les drones sur les populations. Sans oublier l’électromagnétisme qui permettra d’enclencher certains virus dormants déjà injectés ou par le biais des nouvelles vaccinations en partant des enfants pour arriver aux adultes.

Dans mes premiers livres, j’ai déjà évoqué la mémoire de l’eau. J’y reviens en détail dans mes deux derniers ouvrages. Jacques Benveniste (1935-2004) était un scientifique qui a beaucoup travaillé sur la mémoire de l'eau. Il a collaboré avec le professeur Montagnier qui lui a même rendu hommage pour son travail hélas tant décrié par les scientistes.

Et pour l’élite putride qui nous dirige, cette « mémoire » trouve son application dans le fait que, très souvent, les antennes 5G se trouvent placées au sommet des châteaux d’eau, histoire de bien irradier cette source de vie.

Je possède une formation en électronique. Comprenez-le une fois pour toute. Ils possèdent et maitrisent des technologies que nous découvrons à peine. Dans Chronique d’un Occident oxydé, j’explique comment on est capable de transmettre à distance l’effet d’un médicament simplement avec des fréquences électromagnétiques.

S’ils sont capables de le faire sur un réservoir, ils sont capables de déclencher des maladies mortelles à travers le même support en bombardant d’ondes électromagnétiques des villes entières, des vaccins, des réserves d’eau, alimentaires, etc…

La 5G n’est pas faite pour votre confort, mais pour mener à bien leur plan.

Mon prochain livre Davos et son Echeveau sort bientôt. J’y explique en détail que le nazisme n’est jamais mort, bien au contraire ! Les nazis visaient des groupes ethniques. Désormais, c’est toute l’humanité qui est visée dans cette guerre bactériologique. Après avoir pourri l’air, l’eau, les médicaments et la nourriture, l’ARNm est dans nos cellules. Elle n’attend plus que le petit signal extérieur (électromagnétisme 5G).

Ils veulent le contrôle absolu sur tout et surtout sur nous.

Dès la rentrée nous serons confrontés à leur monnaie numérique, dernier rouage essentiel à leur plan d’esclavage total. Hitler avait été aidé par les mêmes financiers américains, qui alimentent désormais Schwab et ses sbires. C’est pourquoi les Nazis sont toujours en place, ils n’ont jamais capitulé. D’où cette haine viscérale à l’encontre d’une Russie qui les a déjà battus durant la Seconde Guerre mondiale.

Certains scientifiques annoncent donc que la prochaine pandémie pourrait être déclenchée par le biais de multiples interrupteurs qu’ont reçu en injection les vaccinés covid.

Une fréquence 5G à 18 (3x6 ou 666) GHz serait capable d’actionner le réveil d’un virus Marbourg dormant ou autre saloperie injectée.

Devant ce nouveau monstre épidémique l’OMS prendrait définitivement le contrôle tant désiré en vaccinant tout et n’importe quoi pour le plus grand bonheur de Big Pharma.

Fin

Olivier

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Afin de garder votre intégrité physique et mentale, ne les croyez en rien !

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Ne les croyez sur RIEN. Ni sur la science, ni sur notre histoire, ni sur « leur philanthropie » et encore moins sur la santé préconisée par leur Big Pharma. Pourquoi ? Parce que, prochainement, ils vous feront prendre des vessies pour des lanternes.

Afin de vous en convaincre, visualisez donc ces quelques secondes de vidéos.

https://twitter.com/i/status/1668363492322156546

https://twitter.com/i/status/1668616914107789313

Puis, si vous êtes convaincu, lisez donc mes deux articles : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2022/10/un-ecran-de-fumee.html  ainsi que ; https://vecteur-douceur.over-blog.com/2022/07/attention-apres-couillonavirus-voici-venir-blue-beam-partie-1.html

Vous m’en direz des nouvelles ! Enfin, pour les curieux, j’ai ça :

 

Olivier

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Le N.O.M. et sa mise en place « définitive ». (Partie 1)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

J’en parle et l’écris depuis des lustres, l’élite mondiale applique militairement, le doigt sur la couture du pantalon, une science de l’esprit liée au traumatisme et à la dissociation. Le satanisme n’a jamais été autant à la mode.

Et lorsque l’on sait qui fut en réalité le dénommé « Lucifer », il y a de quoi se marrer (Voir Une autre histoire : la vraie).

Les francs-maçons dirigent le monde, ou tout au moins l’espèrent. Tels des cancrelats, les hautes loges se sont infiltrées partout, dans toutes les officines.

Ils ont fait du premier homme qui, post Déluge, défia Dieu, le premier des leurs. C’est l’héritage babylonien qui, tel un torrent de boue, déferle depuis longtemps sur ce monde -démon.

L’héritage de l’ancienne Babylone : la religion à Mystères, avec ses sacrifices de sang et la mise en esclavage d’êtres humains se transmettra ainsi tel un poison à travers les générations, jusqu’à nos jours les plus sombres.

Et question « maçons », les USA et Washington, possèdent leur lot de frères la truelle, très hauts en couleur. Presque tout le monde l’ignore, mais c’est en fait Sémiramis, la reine de Babylone, l’épouse de Nimrod, qui trône sur son pied d’estale à l’entrée du port de New York.

C’est Nimrod qui fut le constructeur de la Tour de Babel, il a été le premier homme à avoir voulu établir un Gouvernement Mondial avec une Religion universelle en opposition à Dieu. De nos jours, c’est plus que jamais d’actualité.

D’ailleurs observez-bien la forme extérieure du Parlement européen. Pourquoi cette dernière marche du plan devant nous mener tous au NOM reprend-elle à dessein la forme que l’on attribue couramment à la tour de Babel ? Surtout la Babel peinte par Bruegel.

Comme bon nombre d’officines internationales elle a grouillé d’ex-nazis recasés et, aujourd’hui, comme nombre d’autres, telles Davos, elle héberge en nombre leurs sombres descendants fascistes. Le fait est peu connu, mais Himmler, le Reichsführer SS, avait, sur la fin du conflit mondial, écrit à de Gaulle. De Gaulle publiera cette lettre dans ses mémoires de guerre (III).

Himmler voulait une Europe allemande décidée à refaire la guerre perdue contre la Russie. La France aura servi de bouc émissaire.

Afin d’arriver à ses fins, dans sa lettre, Himmler mettait en garde de Gaulle contre les Anglo-Saxons d’un côté et les Soviets de l’autre. Concernant les Anglo-Saxons, il avertissait le Général qu’ils « vous traiteront en satellite et vous feront perdre l’honneur. »

Et, de fait, plus tard, de Gaulle parlera avec mépris des démocraties anglo-saxonnes, disant de Churchill : « Toute sa vie, il a fait des affaires avec le diable. C’est la méchanceté et l’alcool qui le conservent. » Autre fait peu connu du public, c’est en des termes dithyrambiques que, dans ses mémoires, de Gaulle évoquera le « règne » d’Hitler ainsi que sa fin.

Henri de Kérillis (1889-1958), est un militaire, journaliste, résistant et homme politique français. Il va passer de l'éloge du général de Gaulle à l'antigaullisme. Ses ressentiments concernant le Général seront résumés dans son livre intitulé De Gaulle dictateur, paru en 1945. Kérillis qualifiait même le gaullisme comme « un national-socialisme dans le camp des vainqueurs ! ».

Himmler prônait donc un rapprochement franco-allemand contre les Anglo-Saxons. J’y reviens dans ma série consacrée à JFK, lorsque ce dernier s’opposa aux souhaits de de Gaulle vis-à-vis de l’Allemagne d’Adenauer.

Ce rapprochement franco-allemand fut d'ailleurs visible dès l'ajout par le parlement allemand, au printemps 1963, d'un préambule de l’OTAN au traité de l'Elysée que de Gaulle avait négocié avec Adenauer.

Toute cette histoire est très représentative, de la façon de penser des milieux dirigeants allemands. Et c'est bien dans l'amitié franco-allemande et la construction européenne qu'une partie d'entre eux, moins compromis qu’Himmler, cherchèrent la réhabilitation internationale dans les années 1950 afin de mettre en couveuse un nouveau type de fascisme qui serait alors diffusé aux peuples, mais à doses homéopathiques.

Reste une question IMPORTANTE que j’évoque dans les deux tomes du Centième gueux. Pétain avait fait fermer toutes les loges FM, pourquoi de Gaulle s’est-il pressé de les rouvrir des son retour en France ? Cherchez l’erreur ! Mais revenons au number ONE chez les FM.

Chez les maçons, Nemrod est honoré comme « Grand Maçon » pour sa tentative à vouloir construire le premier un « Nouvel Ordre Mondial ». Elle lui a valu la distinction de « Premier Grand Maître ».

La Maçonnerie, selon ce que rapporte « la légende », a été fondée à Babylone, d’où elle s’est transmise dans le monde entier, par l’entremise de son culte des démons, cette dévotion aux anges déchus, où bien plus tard, les tenants du New âge iront chercher leurs ET civilisateurs en un joli complément à cette « religion sans nom ».

Le polythéisme des Mésopotamiens, des Sumériens, des Assyriens, des Perses et des Babyloniens était lié aux entités démoniaques dont certains, de nos jours, font des p’tits gris.

Plus tard, cette « religion sans nom » sera transmise au fil du développement de cette nouvelle société post diluvienne. De nombreux dieux cananéens, égyptiens, grecques et romains sont du même acabit que les dieux babyloniens.

De parfaits copiés collés, dirais-je même ! Les pratiques de magie, la quête d’immortalité, les sacrifices d’animaux et d’humains, etc. dérivent tous de ces anciens cultes dédiés aux démons.

À notre époque où, tout comme cette religion, les sociétés sont devenues d’une hypocrisie « sans nom », beaucoup d’enfants disparaissent, mais ces cultes n’ont plus leur autel sur la place publique, et pour les profanes ils n’existent plus que dans les livres d’histoire, et encore…

Mais, soyez en sûrs, l’adoration des démons, les rituels sacrificiels de sang et les pratiques traumatiques initiatiques créant de profonds états dissociatifs sont plus que jamais d’actualité.

Ils servent en premier lieu à former cette caste dirigeante sans foi ni loi autre que celle du Grand capital.

Rien qu’à l’Élysée, actuellement, nous avons un « échantillon » de ce que peut donner un état dissociatif (merci les Rothschild !).

Ce culte transmettant les Mystères de génération en génération n’existe pas de manière officielle.

Il n’est pas censé exister pour le commun des mortels de notre époque.  Cette « religion » venue du fond des âges est polymorphe.  Elle s’adapte aux époques et aux civilisations humaines. Tel un moule elle forge les idées qui, bientôt, deviendront la norme.

C’est une Gnose qui n’a donc pas d’appellation précise mais qui façonne pourtant notre société moderne par l’infiltration depuis des siècles. Elle marque son empreinte par une symbolique que les initiés aiment à afficher dans le monde profane, mais aussi par une influence entraînant une décadence des mœurs de plus en plus marquée (wokisme). C’est une sous-culture qui émerge petit à petit et qui tente d’imprégner les profanes pour devenir une culture hégémonique mondiale.

Cette « religion sans nom » est divisée en une multitude de sectes et groupes n’ayant pas au premier abord les mêmes centres d’intérêts.  Mais que le profane se rassure, elles ont toutes et tous en commun de travailler plus ou moins ardemment à la mise en place d’un gouvernement mondial, un Nouvel Ordre Mondial, berceau de leur pseudo Antéchrist.

Ce culte à Lucifer se divise en plusieurs branches : Kabbalistes, Martinistes, Rosicruciens, Théosophes, Lucifériens, Gnostiques et Néo-gnostiques, etc. sans oublier le New âge. Et comme tout principe humain se veut pyramidal, le plus souvent ceux d’en bas ignorent tout de ce qui se trame en réalité dans les derniers étages, avant l’œil qui voit tout. Les lignées d’en haut sont les vrais dirigeants.

Ils descendent tous de familles lucifériennes transgénérationnelles ou bien sont initiés et corrompus dans les hautes loges. Tous travaillent à l’établissement du règne de leur Prince, l’ange déchu.

Lucifer, le dieu « civilisateur ». Ils ont su faire de nos sociétés un océan d’athées alors qu’eux sont de fervents croyants en leur petit dieu médiocre : l’ennemi héréditaire du vrai Dieu de la Bible.

Ce Dieu-là serait pour eux un Dieu « destructeur » qu’il faut renverser. Une de leur méthode est l’infiltration et la subversion des religions, des gouvernements et des organismes importants pour y infuser patiemment et méthodiquement leur doctrine luciférienne.

Le mot d’ordre est « discrétion » grâce à cette loi du silence, garantie par les états dissociatifs. Le but est de détruire l’ordre social (la nation, la famille, la religion…) et d’inverser la moralité et les valeurs traditionnelles pour imposer un nouvel ordre par la destruction : Ordo ab Chao, l’ordre par le chaos.

Que vous adhériez ou pas à mon propos importe peu. Vous êtes bien obligés de constater les résultats de cette doctrine destructrice qui consiste à obtenir la « rédemption par le péché ».

Olivier

Suite et fin ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/06/le-n.o.m.et-sa-mise-en-place-definitive.suite-et-fin.html

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ZION OU L’AVENEMENT DE ZORGLUB (partie 8)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/05/zion-ou-l-avenement-de-zorglub-partie-1.html        

C’est ainsi que chaque année, on découvre de nouveaux éléments qui viennent contredire l’image brillante de Roosevelt dépeinte par les merdias et les politiciens. Roosevelt a tout fait pour que les États-Unis interviennent dans la seconde guerre mondiale avant l’attaque japonaise contre Pearl Harbor du mois de décembre 1941.

L’aide accordée par Roosevelt à la Grande-Bretagne et à l’Union soviétique, en violation de la neutralité étasunienne et du droit international, ses actes de guerre contre l’Allemagne, visant à provoquer une déclaration de guerre allemande contre les États-Unis, son autorisation d’une grande campagne de false flag par des agents de renseignements britanniques contre des citoyens étasuniens en violation de la Constitution, et ses provocations et ses ultimatums contre le Japon qui ont fini par provoquer l’attaque contre Pearl Harbour, tous ces faits sont bien connus.

Mais bien avant cela, Roosevelt a fait preuve de machiavélisme pour provoquer la guerre en Europe, avant l’éclatement des hostilités, au mois de septembre 1939. Il a exercé des pressions sur la Grande-Bretagne, la France et la Pologne pour les pousser à la guerre contre l’Allemagne, en 1938 et 1939.

J’en veux pour preuve le recueil de documents polonais secrets tombé entre les mains des Allemands lorsque ceux-ci s’emparèrent de Varsovie, au mois de septembre 1939.

Ces documents établissent le rôle central de Roosevelt pour faire survenir le conflit. Ils révèlent également et SURTOUT les forces qui, derrière poussèrent à la guerre. Mais, doxa aidant et agissant, tout comme en ce qui concerne la Vérité sur JFK, durant de nombreuses années, leur authenticité est restée sujette à questions.

Quoi qu’il en soit, lorsque les Allemands ont pris Varsovie à la fin du mois de septembre 1939, ils se sont emparés d’une quantité de ces fâcheux documents détenus par le ministère polonais des affaires étrangères. Au moment même où les dirigeants du ministère s’employaient à brûler ces documents compromettants.

Le gouvernement allemand considérait les documents polonais capturés comme présentant une importance colossale. Le bureau allemand des affaires étrangères allait donc les rendre public, le vendredi 29 mars 1940. À Berlin, des journalistes du monde entier, y compris étasuniens, en avaient reçu des copies ainsi que des traductions en langue allemande.

Bien entendu, les journalistes purent examiner les originaux par eux-mêmes, ainsi qu’une pile énorme de documents en provenance du ministère polonais des affaires étrangères. Leur publication produisit un mouvement international.

Quant aux journaux étasuniens, ils accordèrent à l’événement une couverture en première page, et en publièrent de longs extraits. Mais, en s’en doutera, tout comme ce qui concerne le Covid-19, l’Ukraine et hélas beaucoup d’autres faits gravissimes, l’impact fut bien moindre que celui qui avait été espéré par le gouvernement allemand.

La doxa s’en mêla. Cordell Hull (photo 1), le secrétaire d’État américain nia catégoriquement, William Bullitt (photo 2), l’ambassadeur des États-Unis à Paris, particulièrement compromis dans les documents, fit de même.

Quant à l’ambassadeur de Pologne à Washington, dont les rapports envoyés confidentiellement à Varsovie étaient détonants, il réfuta en bloc toutes les allégations. Puisque le sérail de la bien-pensance niait en bloc, cela eut pour effet de briser presque totalement l’impact anticipé des documents.

Si vous doutez, pour les plus anciens, pensez un instant à la guerre du Vietnam et l’affaire du Watergate, qui enseignèrent à une nouvelle génération d’Étasuniens à se montrer très sceptiques vis-à-vis de réfutations officielles de cette nature. Mais pour l’instant, en 1940, la vaste majorité du peuple étasunien avait confiance en l’idée que ses dirigeants politiques lui disaient la vérité.

Le parallèle avec notre époque est ici flagrant. Comment mettre en doute les gentils politiques étasuniens et leurs alliés contre les méchants nazis de tonton Adolf ? Comment actuellement faire confiance au méchant Poutine et ses hordes de mangeurs d’enfants face au gentil Zelenski et ses troupes « régulières » ?

Et ici, concernant mon propos, comme un pont à travers le temps, il est particulièrement important de conserver à l’esprit que ces rapports secrets avaient été écrits par de hauts ambassadeurs polonais, c’est-à-dire par des hommes qui, comme de nos jours, n’aimaient pas du tout l’Allemagne, mais qui néanmoins comprenaient bien mieux les réalités de la politique européenne que ceux qui décidaient des politiques aux États-Unis.

Nous sommes encore dans un cas de figure où la Bible a raison avec (Ecclésiaste I,9) parmi de nombreuses autres maximes : « Ce qui fut sera, Ce qui s'est fait se refera, Et il n'y a rien de nouveau sous le soleil. » Et puisque j’en suis à citer la Bible, j’en arrive au CŒUR du problème, tout au moins à celui, tordu, des certains hommes se prenants pour les riches « élus ».

En effet, ces ambassadeurs polonais n’étaient pas sans savoir que derrière toute leur rhétorique sur la démocratie et les droits de l’homme, et les expressions d’amour envers les États-Unis, des Juifs qui produisaient de l’agitation pour la guerre contre l’Allemagne ne faisaient rien d’autre que poursuivre la quête de leurs propres intérêts sectaires.

De nombreux siècles de cohabitation avec les Juifs avaient éveillé la conscience des Polonais bien davantage que bien d’autres nationalités du monde vis-à-vis de ce peuple.

Le 9 février 1938, l’ambassadeur de Pologne à Washington, le comte Jerzy Potocki, rapportait au ministre des affaires étrangères en poste à Varsovie le rôle tenu par certains Juifs dans l’établissement de la politique étrangère étasunienne.

J’en reproduis ici certains termes : « La pression exercée par les Juifs sur le président Roosevelt et sur le département d’État se fait de plus en plus puissante… Les Juifs sont actuellement les premiers à créer une psychose de guerre qui pourrait plonger le monde entier dans la guerre et provoquer une catastrophe générale. Cette humeur se fait de plus en plus apparente. Dans leur définition des États démocratiques, les Juifs ont également créé un véritable chaos : ils ont mélangé l’idée de démocratie et de communisme, et ont par-dessus tout élevé la bannière de la haine brûlante contre le nazisme… Cette haine est devenue frénétique. Elle est propagée partout et par tous les moyens ; dans les théâtres, au cinéma, et dans la presse. Les Allemands sont dépeints comme une nation vivant sous l’arrogance de Hitler qui veut conquérir le monde entier et noyer l’ensemble de l’humanité dans un océan de sang.

Au cours de conversations avec des représentants de la presse juive, je me suis élevé de manière répétée contre la vision inexorable et convaincue selon laquelle la guerre serait inévitable. Cette communauté juive internationale exploite tous les moyens de propagande pour s’opposer à toute tendance vers toute forme de consolidation et d’entente entre les nations. De cette manière, l’opinion publique aux États-Unis se trouve de manière régulière mais certaine imprégnée de l’idée selon laquelle les Allemands et leurs satellites, sous la forme du fascisme, sont des ennemis qui doivent être mâtés par le ‘monde démocratique’. »

Le 21 novembre 1938, le même ambassadeur Potocki envoyait un rapport à Varsovie, discutant en détail une conversation tenue entre Bullitt et lui, l’ambassadeur des États-Unis en France se trouvant à ce moment-là à Washington. Outre le fait qu’il y révélait les pensées profondes de Bullitt au sujet de l’Allemagne et du chancelier Hitler, notamment une grande véhémence et une forte haine, Potocki indiquait que selon Bullitt, seule la force, et en fin de compte la guerre, pourraient mettre fin à l’avenir insensé de l’expansionnisme allemand.

Voici quelques termes de Potocki concernant Bullitt : « Lorsque je lui ai demandé comment il visualisait la guerre en approche, il a répondu que par-dessus tout, les États-Unis, la France et l’Angleterre devaient pratiquer un réarmement colossal pour se trouver en position de s’opposer à la puissance allemande. Ce n’est qu’alors, lorsque le moment sera propice, a poursuivi Bullitt, que l’on sera prêt pour la décision finale. Je lui ai demandé de quelle manière un conflit pourrait se déclencher, puisque l’Allemagne n’attaquerait sans doute pas l’Angleterre et la France en premier. Je ne parvenais simplement pas à voir le point de connexion dans toute cette combinaison.

Bullitt a répondu que les pays démocratiques avaient absolument besoin de deux années de plus avant d’être pleinement réarmés. Dans l’intervalle, l’Allemagne aurait sans doute poursuivi son expansion en direction de l’Est. Il relèverait du désir des pays démocratiques qu’un conflit armé éclaterait là-bas, à l’Est, entre le Reich allemand et la Russie. Comme on ne connaît pas encore la force potentielle de l’Union soviétique, il se pourrait que l’Allemagne se soit trop éloignée de sa base, et soit condamnée à mener une guerre longue et affaiblissante. Ce n’est qu’alors que les pays démocratiques attaqueraient l’Allemagne, déclara Bullitt, et la contraindraient à capituler.

En réponse à ma question de savoir si les États-Unis participeraient à une telle guerre, il a répondu « Oui, indubitablement, mais uniquement après que la Grande-Bretagne et la France y seront entrées ! » Le sentiment aux États-Unis est tellement intense contre le nazisme et l’hitlérisme qu’une psychose règne déjà parmi les Étasuniens, semblable à celle qui précéda la déclaration de guerre des États-Unis contre l’Allemagne en 1917. »

Bullitt agissait à la mode de nos merdias actuels, il ne donnait pas l’impression d’être très bien informé sur la situation en Europe de l’Est, et il s’exprimait d’une manière plutôt superficielle.

Au fil de ses rapports et plus le temps passait Potocki ne cessera de dénoncer le comportement va-t’en guerre de Roosevelt et ses proches vis-à-vis « des gouvernements dictatoriaux », par-dessus tout ceux de l’Allemagne et du Japon.

Il est indéniable que le grand public étasunien était sujet à une propagande plus alarmante que jamais. Sous influence juive, elle évoquait de manière continuelle le spectre du danger de la guerre, marqué par une haine croissante du fascisme et, par-dessus tout, du chancelier Hitler et de tout ce qui avait trait au nazisme.

La propagande était principalement entre les mains des Juifs qui contrôlaient quasiment à 100% la radio, les films, et la presse quotidienne et périodique.

Cette propagande était extrêmement grossière et présentait l’Allemagne sous un jour aussi sombre que possible, par-dessus tout, les persécutions religieuses et les camps de concentrations étaient exploités. Elle était néanmoins extrêmement efficace, car comme l’indiquait Potocki dans ses rapports à Varsovie, « le public est ici complètement ignorant et ne sait rien de la situation en Europe ».

Et toujours pour ceux qui désirent en savoir plus : https://www.thebookedition.com/fr/37027_olivier-cape      

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/06/zion-ou-l-avenement-de-zorglub-partie-9.html

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Vous en reprendrez bien une louche ?

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Il y a peu, dans un magazine, j’ai relevé cette phrase dans un article. « Dans les montagnes de l’Himalaya, des scientifiques chinois s’intéressent de très près à la fonte des glaciers provoquée par le réchauffement climatique. »

Elle relève encore et toujours de la même ingénierie sociale : celle qui consiste à faire PEUR en permanence. Dotée d’un machiavélisme certain, cette phrase vise à entériner définitivement l’idée inepte d’un réchauffement planétaire entropique produit par les pauvres.

Ensuite, elle remet au gout du jour un deuxième aspect des choses qui n’a pas marché comme l’élite l’aurait espéré : celui de la peur du méchant virus.

Ainsi, on nous sort des articles de dessous les fagots, amenant l’idée qu’en se réchauffant, Gaïa émet des miasmes dangereux pour la gueusaille que nous sommes toutes et tous au regard de l’élite luciférienne.

Ceux qui ne comprennent pas peuvent se rafraichir les idées ici concernant leur PLAN : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2020/01/tout-est-prevu-et-depuis-longtemps.html  

Dans l’article de France info, une photo représentant une vue du glacier Gyaimaryangzhong, au Tibet, permet encore et toujours à l’élite de signer son crime. En effet, on y voit en toile de fond le glacier avec une forte connotation pyramidale.

L’article se fait un malin plaisir de nous annoncer que les glaciers, constituent d’immenses congélateurs qui ont permis de conserver pendant des dizaines de milliers d’années moult méchants microbes et bactéries, ainsi que d’autres virus tous excités à l’idée de nous faire la peau. 

Et, bien entendu, ce n’est pas de bol, car c’est le méchant réchauffement climatique qui est en train de remettre en cause ce mode de conservation.

Conclusion : en plus de mourir noyés par la fonte des glaces, nous allons en plus mourir à cause de la libération dans l’atmosphère de toute cette masse grouillante de microbes et de bactéries.

Mais qu’on se rassure ! Avant que cette manne scientifique inestimable ne s’évapore à cause de la fonte des glaciers, et surtout à cause de nous : les pauvres réchauffeurs-pollueurs, les chercheurs de l’institut chinois de ressources écologiques et environnementales effectuent des prélèvements dans la glace pour récupérer microbes et bactéries, et éviter que tout cela ne disparaisse à jamais.

Mieux encore, l’article se termine sur ces mots : « Les scientifiques ont par ailleurs des inquiétudes sur l’apparition de nouvelles pandémies : certains virus et bactéries, qui sont restés endormis par le froid, pourraient se réveiller et constituer une menace pour la faune, mais aussi pour l’homme. »

Ils nous parlent d’ « un virus inconnu très pathogène », qui serait libéré avec la fonte de la glace, pourrait infecter les humains.  Voyez-y un énorme marchepied pour l’OMS (L’OMS et l’UE annoncent l’arrivée de la surveillance numérique mondiale).

L'OMS est cet antre du démon où une bête à cornes du nom de Bill Gates se frotte déjà les mains de ses futurs profits réalisés grâce à un nouveau vaccin censé tous nous sauver, comme couillonavirus. Mais voyez-y surtout un OMS qui pèsera de tout son poids pour une vaccination obligatoire, puisqu’ayant pris le pas sur tous les gouvernements.

Quant à ceux qui ne veulent pas sombrer dans la peur, j’ai ça : Chronique d’un Occident oxydé.

J’y explique en détail, sur un chapitre complet, ce que sont en réalité les virus et les bactéries. Le titre de chapitre peut vous sembler insensé, néanmoins il reflète la REALITE. Des pages 182 à 200, le chapitre se nomme : LES VIRUS SONT NOS AMIS.

En voici un court extrait : « Les virus recouvrent la terre de leurs codes génétiques et font ainsi partie de nous et de notre ADN. Ils créent ainsi une biodiversité et permettent l’adaptation de l’ensemble de l’écosystème. En parallèle à cela, le comportement irresponsable de l’homme crée une véritable catastrophe environnementale, pas l’arnaque du carbone, mais la pollution, la déforestation et l’extinction des espèces, pour ne citer que quelques fléaux. »

Olivier

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