ZION OU L’AVENEMENT DE ZORGLUB (partie 11)
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La vie n’étant qu’un éternel recommencement, même Joseph Kennedy, dont le fils JFK, aurait un jour à en découdre avec la même « engeance du Diable », partageait les appréhensions de Lindbergh au sujet de la puissance juive.
Avant le début de la guerre, il avait exprimé ainsi ses préoccupations en privé au sujet « des Juifs qui dominent notre presse » et de la communauté juive mondiale dans son ensemble, qu’il considérait comme une menace envers la paix et la prospérité.
Peu après le début des hostilités, Kennedy se plaignit « de l’influence juive croissante dans la presse et à Washington, demandant la poursuite de la guerre. »
Mais, comble du cynisme, lorsque le conflit éclata grâce à lui et ses sbires, comme Roosevelt l’avait planifié et préparé, les dirigeants polonais et français s’attendirent à ce qu’il respecte au moins ses engagements en cas de guerre.
Hélas, Roosevelt n’avait pas pris en compte le sentiment pour la paix de la vaste majorité des Étasuniens. Aussi, non content de tromper MONSTRUEUSEMENT son propre peuple, Roosevelt laissa tomber ceux à qui, en Europe, il avait promis un soutien. Il en fut même réduit à orchestrer pratiquement un attentat sous faux drapeau : Pearl Arbor.
Au cours d’un discours de campagne de réélection en 1940, Roosevelt répondit aux craintes de millions d’Étasuniens qui soupçonnaient que leur président avait secrètement promis le soutien des États-Unis à la Grande-Bretagne dans sa guerre contre l’Allemagne.
Ces soupçons bien fondés étaient basés sur la FAMEUSE publication, au mois de mars, des documents polonais saisis par les Allemands. Le discours du 23 octobre 1940 fut émis sur le réseau radiophonique à destination de la nation.
Roosevelt réfuta tout ce que j’ai ici évoqué, et catégoriquement.
L’épisode du Watergate a profondément ancré dans la conscience étasunienne le fait que ses présidents puissent se comporter de manière criminelle. Cette affaire a contraint Richard Nixon à démissionner de son poste de président, et il reste considéré comme un criminel. Mais les crimes commis par Nixon sont un pet de lapin malade dans la blogosphère en comparaison à ceux de Franklin Roosevelt.
Bien entendu, ses défenseurs, l’équivalent de nos fact-checkers du Web, arguent qu’il a violé la loi en vertu de principes nobles, alors que des tromperies similaires menées par les présidents Johnson (à l’époque de JFK) et Nixon, pour en nommer deux, ne le sont pas.
Or, dans un système démocratique, l’argument suggère que le peuple est trop stupide pour comprendre ses propres intérêts et que, style Macron, la meilleure forme de gouvernement est une forme de dictature bienveillante libérale-démocratique.
La haine de Roosevelt envers Hitler était profonde. Cela n’était pas étranger à une jalousie enracinée dans le grand contraste entre les deux hommes, non seulement en vertu de leurs caractères personnels, mais également dans les traces qu’ils ont laissées en tant que dirigeants nationaux. En effet, les succès publics des deux hommes étaient remarquablement proches.
Chacun d’eux assurait la direction de son pays respectif au début de l’année 1933. Ils étaient tous deux confrontés au défi gigantesque du chômage de masse, au cours d’une dépression économique mondiale catastrophique.
Et, jusqu’à présent, chacun est devenu le dirigeant puissant d’une vaste alliance militaire au cours de la guerre la plus destructrice de l’histoire. Les deux hommes sont morts en exercice à quelques semaines d’intervalle au cours du mois d’avril 1945, juste avant la fin de la Seconde Guerre mondiale. Mais les contrastes énormes entre les vies de ces deux hommes sont encore plus remarquables.
Roosevelt était né une cuillère en argent dans la bouche. Là où un Hitler pauvre allait s’illustrer veillement dans les tranchées de 14-18, Roosevelt allait se retrouver le cul dans la soie, en participant à la première guerre mondiale depuis un bureau de Washington, au poste de sous-secrétaire à la Navy.
Hors, de sa rhétorique rassurante, Roosevelt s’avéra incapable de gérer les grands défis auxquels les États-Unis étaient confrontés.
Après quatre années de présidence de sa part, en 1937, des millions de gens restaient sans emploi, mal nourris et mal logés, sur une terre riche dotée de toutes les ressources propres à une prospérité incomparable mais pompée par qui vous savez.
Le New Deal était rongé par des grèves dures, et des affrontements sanglants entre les travailleurs et le capital.
Roosevelt ne fit rien non plus pour résoudre les problèmes raciaux profonds et envenimés qui faisaient éruption de manière régulière dans des révoltes et des conflits armés.
De son côté, le petit caporal Hitler, avait rallié son peuple derrière un programme radical qui allait transformer l’Allemagne en quelques années. D’une terre ruinée, au bord de la guerre civile, il allait faire durant le même temps que Roosevelt, la locomotive économique de l’Europe. Le contraste entre les deux personnalités était en même temps un contraste entre deux systèmes et idéologies diamétralement opposées.
Pourtant, tout comme un Klaus Schwab de nos jours, Roosevelt pensait agir de manière droite et noble en faisant pression sur la Grande-Bretagne et la France pour les faire entrer en guerre contre l’Allemagne. Comme Wilson avant lui, et d’autres après lui, Roosevelt se considérait comme seul qualifié, et appelé par la destinée, à remodeler le monde selon sa vision d’une démocratie égalitariste et universelle.
Il était convaincu, comme de nombreux dirigeants étasuniens l’ont été, que le monde pouvait être sauvé de lui-même en le refaçonnant selon leur modèle judéo-maçonnique établi.
Roosevelt se prenait pour un missionnaire auto-satisfait, divisant le monde entre des pays moralement bons et mauvais.
Il fallait convertir les « mauvais » à l’idéal démocratique améri-Caïn. Selon ce schéma de pensée, les États-Unis constituaient alors et constituent encore (pour peu de temps) la puissance dirigeante providentielle des "forces du bien".
Par chance, il se trouve que cette vision correspondait et correspond toujours aux intérêts économiques et politiques des mêmes vipères judéo-maçonniques qui exercent encore et toujours le vrai pouvoir aux États-Unis : le Deep State.
Harry Elmer Barnes (1889-1968), est, au même titre que Seymour Hersh, un dépoussiéreur de la Vérité. C’est un historien américain qui, dans ses dernières années, a été connu pour son révisionnisme historique. Il a écrit 30 livres, 100 essais et plus de 600 articles.
Concernant Roosevelt et son rôle, ce grand historien pensait que cette guerre aurait sans doute pu être évitée en 1939 sans les ingérences pratiquées par Roosevelt.
« De fait, il existe des preuves tout à fait convaincantes du fait que sans les pressions exercées par M. Roosevelt sur la Grande-Bretagne, la France et la Pologne, et sans les engagements qu’il prit auprès de ces pays avant le mois de septembre 1939, surtout vis-à-vis de la Grande-Bretagne, et sans les singeries de son agent provocateur, William C. Bullitt, il n’y aurait sans doute pas eu de guerre mondiale en 1939. » Harry Elmer Barnes, The Struggle Against the Historical Blackout, 2nd Ed. 1948, p. 12.
Si l’on compare les faits plus haut évoqués avec l’Ukraine actuellement, les idées sur l’impasse où nous nous trouvons sont à prendre au sérieux.
Elles sont frappantes.
Les États-Unis et leurs alliés de l’OTAN sont actuellement en guerre contre une Russie dotée de l’arme nucléaire, à la frontière de celle-ci.
À ce stade, les combats au sol ont été laissés aux mandataires ukrainiens, nous, UE, livrons par le biais de l’OTAN tous les autres éléments : armes, munitions, finances, entraînements, renseignements et coordination.
Nous apportons notre contribution avec certains combattants. Au cours de la longue Guerre Froide contre les Soviétiques, un tel scénario aurait été considéré comme le pire des cauchemars, mais il s’agit désormais de l’objectif délibéré du gouvernement étasunien.
Au moment de la crise des missiles de Cuba, la confrontation qui est actuellement la nôtre contre la Russie, rappelle que la destruction du monde n’avait été évitée que d’un cheveu en 1962, uniquement grâce à la prudence du président John F. Kennedy, fils de ce diplomate nommé à Londres et qui dès 1939, s’était opposé à la politique suicidaire de Roosevelt.
Néanmoins, l’administration Biden actuelle, dominée par les néo-conservateurs, semble prête à escalader le conflit et discute tranquillement de l’utilisation d’armes nucléaires contre la Russie.
Mais hormis le risque de guerre nucléaire, la situation contemporaine est totalement différente de celle qui prévalait sous la présidence de Kennedy. En 1962, l’Amérique avait failli entrer en guerre contre les Soviétiques, en un conflit qu’aucun des deux camps n’avait cherché à provoquer, et JFK était parvenu à calmer les choses.
Alors que, dans la confrontation présente, les USA ont passé volontairement des années à provoquer la Russie à dessein, en évitant toutes les tentatives visant à atteindre une résolution diplomatique du conflit, et en torpillant les pourparlers de paix russo-ukrainiens lorsqu’ils ont commencé au mois de mars 2022. La guerre contemporaine contre la Russie n’est pas une erreur : c’est presque complètement le résultat d’une politique étasunienne intentionnelle.
Au lieu de désigner la crise de 1962 comme un signal d’alarme à suivre, de nombreux néocons très cons affirment que l’analogie à faire est celle de la Seconde Guerre mondiale, lancée contre « l’agression gratuite » menée par l’Allemagne de Hitler.
Or, vous savez désormais (du moins je l’espère ?) ce qu’il en est. Voilà pourquoi je vous ai réservé ces quelques pages concernant 39-45.
Parce que presque tous les médias dominants étasuniens décrivent l’invasion russe de l’Ukraine comme « totalement non-provoquée », et la comparent souvent avec l’attaque allemande contre la Pologne qui avait provoqué la Seconde Guerre mondiale. Merci FDR !
De fait, ce qui est profondément instructif pour la suite de mon propos, c’est que si la Russie était vaincue et détruite à l’issue du conflit en cours, chose qui n’arrivera heureusement pas, nous pouvons être certains que les livres d’histoire judéo-maçonniques à venir dépeindraient Poutine comme le diable, et diaboliseraient l’ensemble des décisions qu’il a prises.
Et toujours pour ceux qui désirent en savoir plus :
Olivier
Suite ici :