« Mais ne t’inquiète pas, après la crise viendra le relance ! », c’est la romance à laquelle nous avions droit depuis 2008. C’est une relance qui, comme les « effets pervers » du CO₂ entropique, n’existe que dans les esprits malades de nos élites. Le phénomène arrivait donc déjà à son comble et l’histoire allait très mal se terminer, lorsque, miracle ! arriva Coronavirus.  

L’occident était pourtant en train de s’effondrer, la cavalerie « relance » ne venant certainement pas sauver les cowboys patriarcaux des indiens scalpeurs, mais brusquement tous se sont tus sur le champ de bataille. Plus de conflit pétrolier, de guerre au Moyen-Orient, de conflit sino-américain, de Gilets jaunes, de retraites, etc., chut ! corona est là…. Il est là… de grâce faisons bloc !!!!

Lorsque des usines, des cliniques, des centres, etc., fermaient c’était pour ne plus jamais réouvrir. Arriverait donc un jour où pour te faire soigner tu devrais faire des kilomètres à pied, comme en Afrique, parce que tous, comme des moutons, nous aurions accepté l’arnaque du réchauffement anthropique pompeur de fric. Oui mais une pompe aspire d’un côté pour rejeter de l’autre côté, celui des banxters.

Nos différents gouvernements savaient bien qu’à force de dégraisser ne resterait qu’un squelette bien incapable de produire des masques, du PQ, et donc encore moins des lits d’hôpitaux.

Lorsque Jésus interroge un possédé pour connaître le nom de l’entité qui est en lui, ce dernier répond « nous sommes légions ». Cela me permet de faire un parallèle avec nos sociétés où enseignants, journalistes, politiques, scientifiques et médecins style Michel Cymes et autres, sont tous devenus possédés par des légions de démons. Car toutes ces idées anxiogènes à l’extrême que je dénonce dans mon dernier livre Tonton Malthus est revenu ! sont toutes en train d’enfler telles des baudruches et vont bientôt, après ce confinement, nous péter à la gueule.

https://www.thebookedition.com/fr/tonton-malthus-est-revenu--p-371412.html

L’Etat maçonnique français s’est construit depuis plus de 230 ans, là où la France s’était bâtie sur bien plus d’un millénaire. Le patrimoine longuement constitué par nos aînés est désormais bradé par un Etat gaspilleur qui n’a rien d’un bon gestionnaire : routes, châteaux, vignobles, barrages, fleurons industriels, autoroutes, aéroports, santé, retraites, armée, parcs immobiliers, et j’en passe, sont bradés ou sur le point de l’être au nom d’un sempiternel droit capitalistique. Tout ce qui appartient au peuple est bradé afin de récupérer ce cash propre à payer cette DETTE.

Tous les prélèvements qu’on nous impose, et que l’on va d’ici peu bien plus nous imposer, ne sont qu’une captation de nos richesses, ils sont autant de clous apportés au cercueil France. Mais le plus gros de ces clous reste celui du climat, un clou de 110 !

La dessus est venu se greffer un autre gros clou de 110 nommé Covid 19. Il va permettre à nos banxters apatrides, une communauté dont il ne faut pas citer le nom, et nos dirigeants vendus à Mammon de se décharger de leurs sales turpitudes tout en accablant les peuples de reproches.

À suivre

Olivier

Le progressisme me laisse dubitatif. Les progressistes aiment le changement quel qu’il soit et applaudissent à la transformation accélérée de la nation, de la famille, de l‘individu. Leur idéologie est mondialiste : les nations sont obsolètes. La liberté des échanges est la seule voie à explorer.  Chez ces gens-là, la construction européenne, qui pouvait constituer l‘opportunité de créer une vaste nation pouvant contrebalancer les multinationales, n‘est vue que comme une zone géographique dans laquelle transitent les marchandises et les individus.

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Pour eux, pas d‘état-nation pourtant nécessaire à l’épanouissement de l’humanité. Mais c’est normal ! Que peut donc un homme isolé réduit à l’état d’électron libre, bien séparé du noyau, même bardé de droits, il n’a aucun pouvoir politique. Comme c’est pratique ! L ‘exercice de la démocratie est le fait de citoyens définis par rapport à une nation, il nécessite donc l ‘existence de frontières. Le citoyen du monde n‘existe pas ailleurs que dans l’esprit tordu des élites lucifériennes.

Leur progressisme fragmente sans fin l’identité des gueux en aspect et sous-aspects, pour y créer des catégories. Cela est particulièrement le cas pour les problèmes de genre : désormais nous sommes classés en hétérosexuel, homosexuel, bis sexuel, trans.

Il fut un temps où le terme famille avait un sens précis : un homme, une femme et leurs enfants, il est désormais employé à d‘autres situations. On a désormais droit à « famille monoparentale», on parle de famille homoparentale alors que l‘une des caractéristique de l‘homosexualité se trouve être le fait d‘être incapable de faire un enfant, donc une famille.

La famille, la vraie, s’en trouve atomisée en une multitude de particules facilement captables par ce système progressiste qui nous mène droit à leur Ordo ab Chaos chéri. Et c’est bien pratique pour ceux qui veulent nous mener vers leur nouveau paradigme à vitesse grand V.

Les protections qu’offraient la famille, les États et les systèmes sociaux deviennent autant d’entraves, et l’individu doit donc affronter seul le risque : les chômeurs n’ont qu’à créer leur entreprise ou traverser la rue (E. Macron).

Pour les progressistes il faut supprimer toutes les frontières. La différence homme-femme est niée. Dès l‘enfance, l’interchangeabilité des sexes doit être totale. Avec la PMA une femme peut avoir un enfant sans homme ; avec la GPA un homme peut avoir un enfant sans femme.

Il convient donc pour cette engeance de se libérer de la transmission des stéréotypes, se désaffilier, ouvrir les frontières du genre, jeter des passerelles vers ce nouveau monde transhumaniste.

Une dystopie où la confusion règnera en maître. Et cette volonté d‘abolir les frontières s‘applique à la définition même de l‘Homme où l’on ne veut plus distinguer de frontière claire entre l‘homme et l‘animal. Sous la pression de ces fous dangereux, on a ainsi changé, dans le code civil, la définition des animaux pour les rapprocher de celle de l ‘humain.

L‘animal se rapproche de l‘Homme, là où pour de plus en plus l’homme se rapproche de l’animal voir le dépasse en animalité. Bref, c’est le cas de le dire ! nous progressons à rebrousse-poil.  Et c’est grandement malin de la part de ces élites adeptes du Malin car si l‘Homme devient un animal comme un autre, c‘en est fini des droits de l ‘ Homme.

Mais qu’on se rassure chez la gueusaille, car à la mode Caligula et ses jeux du cirque, nos satanistes de service ont tout prévu ! Afin de compenser tout ce désordre on a promu la libération des mœurs : pilule, avortement gratuit utilisé comme moyen contraceptifs. La consommation endiablée de drogue et de psychotrope illustre cette volonté de fuir.

Fuir le progressisme qui lui est imposé, voilà le propre de l‘Homme moderne. Encore faudrait-il qu’on ne le confine pas Ad vitam æternam chez lui et dans ses instincts qui ne demande qu’à remonter à la surface.

À suivre

Olivier

Les démocrates américains font de la politique racialiste, ils divisent ainsi pour mieux régner. Et le reste de l’occident embraie sur cette tendance illuminée. Notre pensée occidentale oxydée étant sous influence US, toutes ces idées finissent un jour sur nos campus universitaires européens et dans nos merdias.

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Ils s’amusent à classer les gens par genres, pratiques, etc., un pur racisme ou le noir et gay se trouve relégué dans une case pendant que le musulman sera dans une autre et le chrétien blanc dans une autre encore. Sous ce progressisme de façade se cache en réalité un océan de régression car si l’on continue dans cet esprit d’intersectionnalité, on va chacun se retrouver dans une chambre étroite, noire et froide ayant tout du cercueil.

L’intersectionnalité est cette notion employée en sociologie et en réflexion politique. Elle désigne la situation de personnes subissant simultanément plusieurs formes de domination ou de discrimination sociale. Les « élites » considèrent donc que seul : religion, sexe et race différencient l’espèce humaine, tout le reste, ils s’en tamponnent le coquillard. C’est purement arbitraire, mais c’est comme cela que fonctionne notre société dorénavant.

Ils n’oublient qu’une chose c’est qu’une société est toujours construite selon la majorité à laquelle toute minorité se doit de se plier. En voyage en Chine ou dans un pays musulman, j’aurais peut-être du mal à satisfaire mes habitudes culinaires ou autres, mais c’est comme ça !

Le problème est que nos pays riches réagissent très bien à la culpabilité longuement entretenue. Si l’Europe de l’ouest était pauvre, on ne nous culpabiliserait pas de telle sorte. C’est ainsi qu’on cherche à nous habiller d’un vert vertueux alors que 90% de la pollution nous vient des pays pauvres où la notion d’écologie n’est certainement pas à l’ordre du jour.

Ainsi, par couches médiatiques superposées, arrive-t-on à nous faire prendre sur nos épaules l’entière responsabilité de la pollution, simplement parce que nous sommes les seuls à pouvoir encore payer. Ou plutôt parce qu’il y a peu (avant l’effet Corona) nous le pouvions encore. On te culpabilise durant des années jusqu’au jour où tu finis par culpabiliser. Et ce jour-là, bingo, on t’emmène jusqu’à la case taxe. La pollution continuera, mais toi tu auras commencé à payer pour ne plus jamais t’arrêter, et surtout pas après X jours de confinement.

Ainsi Covid 19 arrive-t-il à point pour l’élite. Il va lui permettre d’embrayer sur ces nouvelles technologies vertes qui vont continuer à les enrichir en nous taxant toujours d’avantage sous la fosse bannière, le fallacieux prétexte, qu’il aura su mettre nos économies à genoux. Adieu 35 heures, congés payés, protection sociale, etc. Il conviendra de se serrer la ceinture bandes de gueux !

À suivre.

Olivier

Laisse-moi te parler de boucles et boucle-là !

À la suite de la première partie :    http://vecteur-douceur.over-blog.com/2020/03/le-dessous-descartes-premiere-partie.html, vous voyez bien que nous faisons là face à un non-sens voulu et entretenu sciemment face aux cataclysmes qui nous agressent depuis des années. Ainsi, lorsqu’on nous parle des problèmes qui concernent la planète entière, on ne peut évidemment pas faire confiance à des discours aussi simplistes présentant les choses d’une manière aussi linéaire. Des discours du style : « c’est la crise économique, il convient de relancer la croissance en diminuant la pression fiscale sur les entreprises. De cette manière, elles pourront embaucher et réduire le chômage. »

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Alors qu’en fait ce genre de mesure engraisse seulement les actionnaires qui, chaque année, deviennent ainsi de plus en plus riches. C’est là une boucle de rétroaction négative hautement préjudiciable aux salariés. De plus, il en résulte automatiquement un déficit plus grand au niveau de l’Etat. Bien entendu, il sera imputable aux gueux qui devront payer plus d’impôts. Ainsi, en une « belle boucle » on vide les poches des pauvres plutôt que celles des riches actionnaires qui placent leur fric dans des paradis fiscaux. C’est de l’argent volé aux peuples et qui ne revient jamais dans la richesse du pays.

Vous voulez un autre exemple : Prenons la lutte contre le cancer qui dure depuis des dizaines d’années, sans succès. Dès mon enfance, j’entendais dire qu’il serait éradiqué avant l’an 2000. En 2020, rien n’a changé et bien en contraire les pourcentages de cancers sont en hausses, et notre qualité de vie fortement en baisse.

Qu’on ne vienne surtout pas me dire que notre espérance de vie augmente, ça c’était valable juste après 45, durant les trente glorieuses.

Chimiothérapie et radiothérapie ne font qu’affaiblir notre système immunitaire en détruisant l’équilibre du corps humain qui est extrêmement complexe avec énormément de boucles de rétroaction.

Les discours linéaires alliés à des solutions simplistes sont donc tous à fuir comme la peste.

Karl Popper (1902-1994) était un épistémologue des sciences, un critique de la pensée scientifique dans sa manière de penser le réel. Pour lui, la science était trop compartimentée, chaque chercheur se contentant d’observer le réel à partir du p’tit coin de fenêtre qu’on lui aura attribué, un espèce de prolétariat de la science. L’étroitesse du champ des connaissances qui est alors attribué à chacun est voulu. Il est nécessaire au contrôle des masses. Chacun dans son coin serre alors ses p’tits boulons sans connaître le moins du monde l’objet qui résultera de son travail.

Popper disait qu’un scientifique ne devrait jamais démarrer aucune de ses théorie sans dire : « Tout se passe comme si … » puis la terminer par : « jusqu’à preuve du contraire. »

Ainsi, si nous faisons référence à tonton Einstein et sa célèbre équation E= mc2 et comme il convient toujours de douter de tout. Tonton aurait dû se déposséder de son Ego et dire : « tout se passe comme si E=mc2, jusqu’à preuve du contraire. » Imaginez donc un instant un monde où les médecins, les biologistes, les économistes, etc., commenceraient à résonner ainsi, la science progresserait à pas de géant. Il manque un peu d’humilité à cette humanité, une pensée nuancée et respectueuse lui fait grandement défaut. Mais quoi de plus normal lorsque l’on sait que notre chute à tous fut dû à l’Ego.

Le philosophe Friedrich Nietzsche est célèbre pour ses aphorismes et ses courtes phrases percutantes. Aujourd'hui elles sont utilisées à tort et à travers, mais j’aime particulièrement celle-ci : « Ce n’est pas le doute qui rend fou mais la certitude… »

Néanmoins, je serais plus nuancé sur un FAIT. Toute ma littérature se borne à l’évoquer : une élite autoproclamée cherche à nous rendre toutes et tous psychorigides et enfermés dans nos croyances dogmatiques étriqués, le tout agrémenté d’un gros nuage de peur culpabilisante. Il convient donc, je le répète, de se méfier des affirmations définitives du style : « au niveau vaccination, il n’y a plus de débat à avoir, la discussion est close, toute la communauté scientifique est solidaire sur le sujet », rien que cette phrase devrait tous nous faire reculer.

Méfiez-vous également de ceux qui s’attaquent aux messagers plutôt qu’à leurs messages, la plupart du temps ce sont des langues de putes vendues au système qui n’ont aucun fondement crédible à apporter à toute rhétorique crédible basée sur des faits et non sur des dogmes « novlendesques ».

Dernièrement, en tant que victime, le professeur Didier Raoult et sa Chloroquine en sont les exemples flagrants !

À suivre.

Olivier

Lorsque j’écris depuis dix ans que Big Brother arrive à grands pas, beaucoup d’abrutis rechignent encore à voir la vérité en face. Il a bon dos Covid 19 !!! La très « sainte » inquisition, pardon ! Commission européenne, demande aux principaux opérateurs télécoms de partager les données de localisation recueillies grâce aux téléphones portables. En France, après les Révolutions orange, c’est Orange, leader sur le marché avec 34 millions d'abonnés mobile, qui a été choisi.

Tels des "bienfaiteurs" de l’humanité, Orange, Vodafone, Deutsche Telekom et cinq autres opérateurs télécoms ont accepté de partager l’œil qui voit tout : les données de localisation de leurs clients. But avoué : vérifier si les consignes de confinement sont appliquées et suivre la propagation la pandémie de coronavirus. Jusque-là, on veut y croire. Mais pensez-vous un instant que cette décision sera abandonnée une fois tout ce chambard terminé !?

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En Gaule, Orange, leader avec 34 millions d'abonnés mobiles, avait indiqué dès la semaine 12 qu'il travaillait d'ores et déjà avec l'Institut français de la recherche médicale (Inserm). Les données de géolocalisation qu’il a fourni aux scientifiques ont permis d'évaluer les variations de population « avant confinement » et « après confinement ». C'est ainsi que les autorités ont pu établir que près de 17% des Parisiens auraient quitté la ville à ce moment.

« Il n'y a pas de traçage individuel pour l'instant (...) Nous ne transmettons pas vos photos, vos contacts... Uniquement votre géolocalisation. » qui disaient les affreux !

Frontalement et officiellement, l’exploitation de nos données est surtout censée permettre aux autorités européennes d'améliorer les estimations prévisionnelles épidémiologiques par zone pour « adapter en temps réel le système de soin, et permettre d'estimer les mobilités par zone pour vérifier l'effectivité des mesures de confinement ». Tout est anonymisé, a assuré le PDG d’Orange. Nos données seront détruites une fois la crise sanitaire surmontée, affirme de son côté la Commission européenne.

L'exploitation de certaines données à des fins notamment de « cartographie » de la population, est autorisée par la réglementation européenne. En revanche, lorsqu'il est nécessaire d'avoir recours à des données sans consentement, les Etats membres doivent mettre en place une législation spéciale, motivée par la « sécurité nationale » et la « sécurité publique ».

Officiellement, aucun projet de ce type n'est sur la table en France, mais vu que le « copain » Covid rend, comme par hasard, bien service à l’élite, officieusement, il y a de quoi faire bander le sieur Big Brother. Alors pourquoi se priver de traquer la gueusaille avec comme prétexte la limitation de la propagation du virus ?

Toute cette belle entourloupe sous faux drapeau est déjà en application dans moult Etats. L'utilisation des données de géolocalisation dans « la lutte contre la pandémie » est déjà en œuvre en Corée du Sud, en Russie ou en Israël. Au grand dam de ses détracteurs qui dénoncent une atteinte aux libertés individuelles.

Un conseil : éloignez-vous de votre téléphone et laissez-le chez vous quand vous sortez ou utilisez un même téléphone pour plusieurs, lors de vos sorties... ou mieux encore apprenez à l’utiliser avec parcimonie d’autant que cette merde de 5G arrive bientôt à point nommé.

Pour vous en convaincre jetez-donc un œil de Big Brother à cet article : http://vecteur-douceur.over-blog.com/2020/03/sante-et-5g.html

A suivre

Olivier

Lorsqu’il fait froid dans une pièce, j’augmente le thermostat (cause), il envoi alors un message à la chaudière qui s’allume pour amener un apport supplémentaire de chaleur (effet). L’effet est alors une montée en température, et plus cette température va augmenter, plus elle aura un effet rétroactif sur le thermostat. La montée en température qui est alors la résultante de la cause (thermostat) va avoir pour conséquence de diminuer puis supprimer cette cause.

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Ex : la rétroaction positive la plus spectaculaire c’est en physique nucléaire la réaction en chaine. Proton sur particule d’uranium = collision qui brise le noyau d’uranium qui libère alors deux noyaux de masse inférieure+ création de nouveau neutrons et des particules alpha, etc.

Ex : lorsque dans le cadre d’une « opération de marketing » totalement ratée l’OMS a essayé d’effrayer les populations avec la grippe H1NI, à l’automne 2009. Les gens se sont alors méfiés face à ce discours de peur beaucoup trop exagéré voulant faire rivaliser l’épisode de 2009 avec la grippe espagnol de 1918-19. En réalité, cette année 2009 a vu beaucoup moins de morts de la grippe que les années précédentes.

La cause était ce faux discours de l’OMS, et l’effet : l’augmentation de la méfiance des gens. En réaction, ils ont commencé à se méfier des vaccins et l’OMS est, depuis, obligée de mentir de plus en plus, de dissimuler et d’acheter de plus en plus l’intégrité de nombreux scientifiques et des politiques. La conséquence en est que les gens se méfient encore davantage face à ce foutage de gueule grossier voire odieux. C’est un cas évident de rétroaction positive.

Ainsi lorsqu’on nous présente certaine problématiques mondiales style : réchauffement climatique, chômage, crise économique, la Dette, etc., il convient de DOUTER. Pourquoi ? Parce que face à un système complexe, où il y a de multiples causes, l’ensemble va engendrer de multiples effets ayant tous de multiples rétroactions croisées les unes sur les autres.

Et, quelques fois, un effet peut avoir une rétraction sur une cause qui ne l’a pas créé ou des rétroactions sur plusieurs causes. Bref lorsqu’on est face à un système complexe, il est impossible de prédire les multiples réactions.

Alors lorsque des scientistes arrivent en vous disant que nous allons prendre 4 degrés d’augmentation terrestre pour 2100, et que toutes les mers vont déborder, en réalité, ils n’en savent rien. C’est strictement impossible ! Dans la nature, les phénomènes d’évaporation de l’eau et du CO₂ dans l’atmosphère, sont entièrement inclus autant qu’impliqués dans d’autres systèmes ultra complexes et totalement impossibles à modéliser avec des équations simples. On ne peut traduire en équation des systèmes complexes. Mais cela n’a pas empêcher l’élite de dépenser des trilliards de dollars dans des ordinateurs toujours plus complexes et dont la vraie finalité sera le flicage total des population, un financement orwellien réalisé avec les deniers publics.

La chose est non prouvée et elle apparait de plus en plus contesté par moult scientifiques honnêtes, mais admettons un instant que le CO₂ soit en réalité le grand coupable de tous les dérèglements auxquels nous sommes désormais confrontés. Ça n’est qu’un mensonge éhonté au service de la clique qui est en train de promouvoir le nucléaire et nous asservir. Mais admettons. Moi, je serais plutôt partisan du fait que l’augmentation du CO₂ et l’effet du réchauffement ont tous deux la même cause. Comment peut-on alors prédire que cette augmentation de CO₂ ne va pas avoir pour conséquence de booster la croissance des végétaux friands de carbone ?

Il y aurait alors plus de végétaux à cause du CO₂ et ceux-ci absorberaient alors plus de CO₂ ayant pour conséquence un rééquilibrage, soit une rétroaction négative. Et, grâce à cela, nous aurions peut-être droit à une p’tite diminution de la température et là, les océans réabsorberaient le CO₂ en masse, car on le sait, son excès dans l’atmosphère se stocke alors dans l’eau des mers et des océans. Nous ferions alors face à un effet cumulatif inverse qui donnerait peut-être lieu dans 20, 30, 40 ans, à un refroidissement de l’atmosphère provoquant alors d’autres boucles systémiques avec d’autres cycles de l’eau et du carbone.

N’oublions pas que la vapeur d’eau est en proportion de 1 à 5% dans l’atmosphère alors que le CO₂ n’est que de 0,034% soit 340ppm. Il y a donc 20 à 100 fois plus de vapeur d’eau dans l’atmosphère (qui est un gaz à effet de serre) que de CO₂.

À suivre.

Olivier

Lorsque la Kundalini indou rencontre le transhumanisme d’Huxley.

De nos jours, nous assistons à une métamorphose des mœurs et de la morale. Beaucoup trop l’observent sans réagir ou en grommelant tout en restant le cul bien au chaud dans leur zone de confort. À ce titre, la France constitue le fer de lance de quelque chose d’opaque et de destructeur de l’humanité.

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Qui est médiatisé dans et par le système, sert ce système non harmonieux et vecteur de morbidité. Chaque acte, chaque pensée au sein de cette époque cruciale est proprement déterminante pour notre sauvegarde et celle des autres. Des conditionnements destructeurs doivent être dénoncés au risque de laisser venir à courte échéance le Meilleur des mondes d’Huxley et/ou le 1984, d’Orwell.

Lisez Machiavel pour comprendre que, depuis la nuit des temps, une élite nous vampirise énergétiquement afin de garder les moutons en place. Le complot n’est pas nouveau car, de tout temps, les dirigeants ont orchestré des complots contre les peuples. Diviser pour mieux régner, orienter la manière de penser, ont toujours été leur fer de lance.

On n’est jamais responsable, on ne sait pas, et l’on s’en remet à d’autres principes. C’est d’ailleurs celui qui prévaut dans le fait de voter pour nos futurs bourreaux. Et cela passe par un bureau. La pression s’exerce par les mots, le politiquement correct des bobos prévaut alors. Plus personne n’ose parler puisque tout est devenu offensant. On se doit d’utiliser le vocabulaire strict et dénutri qu’ils nous ont adroitement imposé comme autant de verrous mis en place afin de nous empêcher de penser.

Enfermé que l’on est dans un p’tit enclos, si l’on n’est pas transgresseur, on végète. Aujourd’hui, nous sommes dans un monde pervers ou l’on nous empêche de symboliser la pulsion au risque de voir exploser la cocotte-minute. Si l’humain savait les conséquences qu’impliquent sa tacite acceptation d’un système comme celui où nous vivons, il se prendrait alors en horreur.

Mais pour la plupart cette humanité zombifiée s’ignore. Lorsque l’on collabore docilement, on vend son âme au Diable. La littérature nous l’enseigne pourtant, mais l’occidental tout oxydé qu’il est par des idées fausses s’y refuse.

Il lui suffirait pourtant de lire quelques écrits du Maçon Johann Wolfgang von Goethe, un expert donc ! pour savoir que : « Nul n'est plus esclave que celui qui se croit libre sans l'être. » 

A suivre.

Olivier

Extrait de mon livre le Centième Gueux (partie 3)

Un phonème est la plus petite unité distinctive autant qu’abstraite (permettant de distinguer des mots les uns des autres) que l'on puisse isoler par segmentation dans la chaîne parlée.

John Marco Allegro (1923-1988) était un archéologue dont les recherches sentaient « le soufre ». Bref, il est devenu célèbre parce qu’il dérangeait la doxa imposée pour avoir défendu des thèses controversées par les courants dominants sur les manuscrits de la mer Morte, la Bible et l'histoire de la religion.

Allegro a analysé les dérivations des langages. Il est remonté jusqu'à leurs racines sumériennes, montrant comment les phonèmes sumériens se reproduisent dans un grand nombre de langues indo-européennes, sémitiques, classiques et autres.

Dans son livre The Sacred Mushroom and the Cross met, il met en rapport le développement des langues en Eurasie avec le développement des mythes, religions et pratiques cultuelles dans moult cultures. Allegro voulait prouver par l'étymologie qu’un certain christianisme, comme beaucoup d'autres religions, trouvait ses racines dans des cultes de fertilité et que l'ingestion de drogues hallucinogènes afin d’entrouvrir le voile d’ISIS, a persisté dans les temps chrétiens.

Et il avait à la fois tord et raison, j’y reviendrai !

The Sacred Mushroom and the Cross va déclencher une réaction qui va ruiner sa carrière. Ce spécialiste des parchemins de la Mer Morte, a utilisé sa connaissance experte des langues anciennes pour démontrer des références cachées au champignon Amanita Muscaria dans la Bible.

De fait, son ouvrage n'a pas été bien accueilli par l'établissement franc-maçonnique qui dépendait de la suppression des connaissances historiques pour garder leurs secrets en sécurité. Le Time a qualifié le livre d'Allegro sur le sujet comme les ravages psychédéliques d'un culte hippie. Lorsque les adversaires recourent à la mise à mort médiatique, c'est généralement un signe qu'ils ont perdu l'argument et que l'art de l'église catholique et non chrétienne montre que ses chefs savaient déjà ce qu'Allegro avait démontré.

Il n'y a pas qu'en Europe ou en Afrique du Nord qu'on retrouve sculptés ou gravés dans la pierre, des champignons sacrés dans des lieux sacrés. On en retrouve aussi sur des gravures grecques, en Amérique du Sud et, nous l’avons vu, partout en Égypte Antique. Alors ?

A suivre.

Olivier

Extrait de mon livre le Centième Gueux

Tome 2 : Antidote

Un état modifié de conscience ou EMC (ou état de conscience modifié ou ECM) est un état mental différent de l’état de conscience ordinaire. Ainsi en est-il des rêves, des états hypnotiques, des hallucinations, des transes, de la méditation, des états mystiques, etc. Les EMC rassemblent un certain nombre de ces expériences au cours desquelles le sujet a l’impression que le fonctionnement habituel de sa conscience se dérègle et qu’il vit un autre rapport au monde, à son identité, etc.

Dans notre cerveau, cent milliards de machines traitent l’information, pendant que cinq mille milliards de cellules nerveuses approvisionnent ces neurones en énergie électromagnétique afin qu’ils puissent tous jouer leur rôle de traitement de l’information.

Retenez cette définition, elle est essentielle à notre sujet et constitue une clef de compréhension à la suite de ce second tome. Jusque-là tout va bien ça plait aux neuroscientifiques qui aiment d’ailleurs montrer tout cela en fonctionnement par le biais d’imageries : l’imagerie cérébrale style forêt vierge. C’est le côté immatériel du cerveau qui les dérange, car lorsqu’ils vous montrent toutes ces belles images, les réseaux des neurones, sachez-le bien, elles ne représentent que 5% du réel fonctionnement cérébral. Autrement dit : c’est l’arbre qui cache la forêt ! 

Une faible partie de cette merveilleuse machinerie biologique (5%) accède donc à la conscience, le reste est soigneusement caché dans les « méandres de l’esprit ». De quoi entretenir solidement la controverse cerveau-Esprit. Ainsi, tout le monde considère que l’intuition est une faculté cognitive : rentrez donc chez vous, circulez bandes de crétins, y’a rien à voir !!! Elle fait partie « d’Alex » et se range dans la même boîte poubelle que : question, résolution, solutions.

Les neuroscientifiques l’on encager à l’extérieur avec le cognitif, et pour eux, c’est du conscient pur. Mais dès l’instant où l’on commence à déborder du conscient, on se trouve où pour eux ? Nous avons une zone tampon entre « Alain » et « Alex », et cette zone porte le nom de subconscient : entre conscient et inconscient. Beaucoup en font un instrument magique, un super ordinateur on est là en effet dans les 25% qui n’accède pas au conscient.

À suivre.

Olivier.