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Mini âge glaciaire

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Toute la vérité, rien que la vérité

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Jean-François Delfraissy (ancien président du conseil scientifique) avoue : Véran savait que le « vaccin » ne protégeait pas.

En 2020, dans l’urgence, devant l’escroquerie couillonavirale, je me suis dépêché d’écrire De Mammon à Corona, en accès gratuit sur ce blog. Il est également disponible en version papier ici : https://www.thebookedition.com/fr/de-mammon-a-corona-p-375958.html

Désormais, tout ce que j’écrivais dans ce livre : c'est-à-dire la VERITE, sort de partout. Jugez-en par vous-même !

https://lemediaen442.fr/jean-francois-delfraissy-avoue-veran-savait-que-le-vaccin-ne-protegeait-pas/

Alors !

Olivier

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CITROUILLE ! VOUS AVEZ DIT CITROUILLE, VRAIMENT ?

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RIEN DE NOUVEAU SOUS LE SOLEIL DE SATAN (Partie 5 et fin)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à l’article 1 : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/10/rien-de-nouveau-sous-le-soleil-de-satan-partie-1.html

Je le répète depuis des années, à longueur d’articles et de livres : tout n’est que cycles ! Le système solaire possède les siens et l’humain également. Quant à Gaïa, n’en déplaise au GIEC, les siens fluctuent également en fonction des différents cycles solaires, dont le plus connu est celui de 11 ans.

L’échelle humaine ne permet pas souvent de mesurer les changements majeurs qui sont capables de survenir sur cette terre. Parfois, ils sont longs et parfois ils se précipitent au gré des alignements planétaires (antennes) et des éruptions volcaniques. Dois-je vous rappeler ce qu’il est advenu de l’empire romain ? L’homme peut bomber fièrement le torse ou chercher à se faire plus important qu’il n’est en réalité. Il n’est que poussière d’étoile et sa vie fluctue, au gré des éléments.

Ainsi, je le répète, l’élite pourra toujours chercher à nous tromper avec ses inepties, elle sera rattrapée par la réalité des événements. Un dernier cas historique en toile de fond, avec Louis XIV (1638-1715) qui, bien que « roi-soleil » eu une fin de règne glaciale.

Et là, croyez-moi, cela s’est déroulé très vite. Tout commence début janvier 1709. Louis XIV règne déjà depuis longtemps (66 ans), lorsque dans la nuit du dimanche 6 janvier Lille est d'abord pris dans sa gangue par un bise glaciale venue du nord. Trois heures plus tard, la vague polaire atteint Versailles et Strasbourg, avant de déferler impitoyablement sur le sud.

Le temps d'une nuit, la France va se changer en Sibérie. Dans la capitale, le 5janvier, il pleut et quelques heures plus tard, le thermomètre va y descendre à - 17 °C. A l'aube du 6, dans les campagnes, certains n'arrivent même pas à sortir de chez eux tant la neige est tombée.

Au bout de quelques jours, tout gèle. La Seine, le Rhône, tous les fleuves et cours d’eau sont pris par le gel. Même à Marseille, le Vieux-Port est pris dans les glaces. Et les températures continuent à diminuer. Les oiseaux tombent foudroyés par le froid et les animaux de ferme meurent dans les étables, les poissons dans les étangs. Les forêts sont pétrifiées et les arbres éclatent par le gel. Dans les maisons, il fait jusqu'à - 10 °C, tout comme à Versailles, où le vin gèle dans les carafes.

Un salutaire dégel fin janvier est suivi début février d'une autre vague de froid. Le cercle infernal recommence début mars, alors que la végétation est en pleine montée de sève. Comme les vignes, les récoltes de céréales sont mortes : le prix du froment est multiplié par cinq. Faute de nourriture et de routes praticables, Paris cesse d'être approvisionné jusqu'en avril ! Partout dans le royaume, on meurt de faim ou de froid. Les gens démunis s'attaquent aux boulangeries, ils pillent pour manger.

Ce grand hiver aura tué plus de 600 000 personnes. Tout ceci prouve une chose : en ce début de 21e siècle, beaucoup trop sont assis sur un tas de certitudes qui peuvent brutalement voler en éclats, même si, n’en déplaise au GIEC, les merdias vous disent le contraire. N’oubliez jamais qu’il y a un peu plus de mille ans, c’est une terre verte que découvrirent les Vikings (Groenland). 

Cela fait 16 ans depuis la publication du rapport AR4 du GIEC qui appelait à une « fonte incontrôlée » de la glace de mer arctique. Elle était alors le fruit d'une extrapolation sans fondement basée sur quelques « mauvaises » années. Publiée en 2007, le GIEC y indiquait au monde que la glace de mer arctique était le signe avant-coureur des changements catastrophiques qui se produisent dans le système climatique, et le résultat de la main de l'homme.

L’année 2007 avait fourni aux merdias la plus faible étendue de glace marine estivale jamais enregistrée par satellite. Al Gore, le réchauffiste fou, avait alors sauté sur ces découvertes, affirmant que des scientifiques lui avaient dit qu'il n'y aurait peut-être plus de glace d'été dès 2013.

16 ans plus tard, comment la banquise arctique a-t-elle évolué ? À l’époque, question « albédo » tout devait s’emballer. Je m’explique ! Le blanc réfléchi les rayons solaires. Moins de blanc, c’est plus de rayons pénétrants venant chauffer la terre et la mer. En réchauffant les eaux, ils doivent conduire à une plus grande fonte des glaces, ce qui signifie plus d'énergie solaire entrant, réchauffant les eaux, entraînant une fonte accrue des glaces, etc.

Cette explication d’une simplicité naïve révèle les intentions les plus sombres d’un GIEC piloté par l’élite. Cette hypothèse, en effet, se refusait à considérer et examiner les nombreux autres effets que l’augmentation des plans d’eau libres peut avoir et quelles autres rétroactions, positives ou négatives, peuvent entrer en jeu, du style : Plus de perte de chaleur la glace constituant une barrière isolante.

Plus de perte de chaleur par évaporation en raison d'une plus grande quantité d'eau libre exposée à des vents arctiques forts et persistants. Perte de chaleur radiative plus importante, puisque l'eau a une émissivité élevée dans l'infrarouge et rayonnera davantage tout au long de l'été et se poursuivra en hiver lorsque l'Arctique est dans l'obscurité permanente et qu'il n'y a aucune lumière solaire incidente.

Bref ! l'astuce préférée des alarmistes : c’est d’extrapoler. Ils le font à l’excès, mais dans le ponctuel. Ils excellent à promouvoir le futur avec des résultats extrêmes (ouragans, glace arctique, excès ou manque de neige, ours polaires en dépression ; couverture corallienne en décomposition, etc.

Bien que des données soient facilement disponibles, notamment celles provenant des satellites, une grande partie du débat semble basée sur l’obsession faussement attribuée à la suspecte augmentation linéaire du CO2 atmosphérique, en mettant hors circuit moult facteurs et rétroactions qui sont pourtant en jeu.

L’élite, par le biais de son GIEC, se contente de masquer la réalité en utilisant des reportages et des organismes gouvernementaux outrageusement payés à cacher la véritable nature du changement, bon et mauvais. Des reportages sélectifs ou erronés nous sont ainsi présentés ad nauseam et tous propres à construire un discours alarmiste.

Au moment où je rédige, de violentes dépressions et de fortes chutes de neige ont récemment frappé de vastes régions d'Europe. Dans toute la Scandinavie, de fortes gelées sont tombées, en particulier dans les montagnes de Suède, de Norvège et de Finlande, où les températures minimales nocturnes sont tombées entre -12°C et -19°C, avec des observations inférieures à -20°C, ce qui est historiquement précoce. Un minimum de -23 °C a été observé en Suède, au cours du week-end dernier ; la température la plus basse de la saison en Scandinavie jusqu'à présent.

La neige et la glace dans l’hémisphère Nord continuent d'arriver plus tôt que prévu et à un point tel que le Bureau norvégien des statistiques lutte contre l’hystérie du réchauffement climatique, déclarant : « Nous constatons que l'effet des émissions de CO2 d'origine humaine ne semble pas être suffisamment fort pour provoquer des changements systématiques dans les fluctuations de température au cours des 200 dernières années. Les quatre périodes interglaciaires précédentes étaient plus chaudes qu’aujourd’hui », poursuit le rapport publié en septembre dernier.

L’organisme précise en outre : « La notion de réchauffement climatique est physiquement mal posée. Les modèles climatiques ne sont pas suffisamment fiables pour faire la distinction entre les causes naturelles et les causes liées à l’homme. Et de « sérieux doutes » sont apparus quant à l’attribution des « émissions anthropiques de CO2 ».

Pour lire le rapport du bureau norvégien des statistiques dans son intégralité, cliquez ici : https://www.ssb.no/en/natur-og-miljo/forurensning-og-klima/artikler/to-what-extent-are-temperature-levels-changing-due-to-greenhouse-gas-emissions/_/attachment/inline/5a3f4a9b-3bc3-4988-9579-9fea82944264:f63064594b9225f9d7dc458b0b70a646baec3339/DP1007.pdf     

Néanmoins, n’en doutons pas, lorsque vous allumerez votre téléviseur ce soir, on vous bassinera à nouveau avec ces pauvres ours qui meurent sur 0.5m2 de banquise, les océans qui se réchauffent et nous qui devrons en conséquence nous serrer toujours davantage la ceinture au nom de ce fameux réchauffement anthropique.

« Plus l'effondrement d'un empire est proche plus ses lois sont folles. » Cicéron

Alors pourquoi ne pas verrouiller le cercueil civilisationnel avec des grands clous de 110 ? Plus d'un millier de scientifiques viennent de signer une déclaration rejetant l'existence d'une crise climatique, rejoignant ainsi les rangs de plus en plus nombreux des climatosceptiques. Néanmoins, l'OMS a annoncé la nécessité d'une vaccination de masse « pour lutter contre les effets du changement climatique ».

Pour lutter contre le changement climatique, y compris la « menace de propagation de maladies par les moustiques OGM de tonton Gates migrant vers de nouvelles régions », pour le plus grand bonheur de Big Pharma une nouvelle vaccination de masse sera bientôt nécessaire, selon l'organisation.

C’est le Dr Maria Van Kerkhove, directrice technique de la réponse OMS au Covid-19 qui nous sort ces énormités. Lors d'une récente conférence de presse à laquelle a participé Tedros Ghebreyesus, sa subalterne a déclaré que les pays doivent « se préparer médicalement au changement climatique en surveillant l'évolution des effets secondaires (dus au « réchauffement climatique ») ».

Mais en plus de tous mourir vaccinés et non protégés, ces cons là veulent nous faire mourir de froid et de faim, mais dans le noir. En effet, au milieu du marasme européen, le moteur franco-allemand peine. Les verts allemands voient rouge. Pourquoi ? À cause de 56 réacteurs nucléaires Français. Un parc unique en Europe QUE NOUS ENVIENT les autres.

Une protection voulue à une époque où nos dirigeants pensaient encore à l’indépendance énergétique du pays et à son indépendance tout court. Ce parc est malheureusement placé au croisement de deux controverses qui traversent les Vingt-Sept pays de « l’union ». La première porte sur le rôle de l’électricité nucléaire dans la transition énergétique du continent. La seconde, sur la compétitivité des prix de l’électricité que chaque État est en mesure d’assurer à ses citoyens et à ses entreprises.

Bref ! nos « braves » camarades allemands si pragmatiques redoutent que la France ne vende son électricité à perte, pour mieux attirer sur son sol des industriels pour qui l’Allemagne, privée du gaz russe, est brutalement devenue moins séduisante ; puisque le gaz russe a été remplacé en Allemagne par du bien mauvais charbon.

Nos « têtes à penser » européennes ont donc adopté lundi 16 octobre dernier leur position commune pour la COP28. Et puisqu’il n’y a pas que les cons qui volent en escadrilles, les hypocrites le font aussi et en rangs très serrés, nos énarques ont décidé d’assouplir la formulation de l’objectif de réduction des émissions et de sortie des combustibles fossiles de l’UE, afin de parvenir à une décision unanime.

Bref ! les 27 ministres de l’environnement européens se sont réunis lundi à Luxembourg et après un bon gueuleton, ils ont décidé de définir la position de l’UE en vue du sommet COP28 qui débutera à Dubaï le 30 novembre. D’un coup de baguette magique à la Harry Potter, ils se sont engagés à tripler la capacité mondiale en matière d’énergies renouvelables et à doubler les améliorations en matière d’efficacité énergétique d’ici 2030.

L’UE, c'est-à-dire nous, 450 millions de connards rendus au Moyen âge, œuvrerons pour que le secteur énergétique mondial soit « exempt de combustibles fossiles » bien avant 2050. Pendant ce temps, les BRICS OUVRIRONT GRAND LES ROBINETS DE LA CONSOMMATION. Mais ce n’est pas tout ! L’UE aspire à un « système électrique entièrement ou principalement décarboné dans les années 2030 ».

Et puisqu’elle y aspire, ce sont nos vies de gueux qui seront aspirées avec.

Quant à celles et ceux qui désirent en savoir plus, il y a ça : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/01/retour-sur-le-climat-le-vrai-partie-1.html  et, bien entendu, mon livre entièrement consacré à la vérité climatique : Tonton Malthus est revenu. https://www.thebookedition.com/fr/tonton-malthus-est-revenu--p-381845.html

Bonne et saine lecture.

Olivier

Fin

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RIEN DE NOUVEAU SOUS LE SOLEIL DE SATAN (Partie 4 )

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Au 20e siècle, le pétrole sert à faire rouler les voitures et le charbon à les produire (sidérurgie, verre, électricité). Et ce n’est certainement pas Ford qui me contredirait ! On n’a jamais réalisé de transition énergétique et, hormis d’énormes mensonges, ce n’est certainement pas le vieux Schwab qui changera la donne.

Et question mensonges, j’en reviens au principal outil des réchauffistes : le GIEC.

Il est composé de trois groupes : le premier s’occupe du constat physique sur le climat, le deuxième s’occupe des impacts et le troisième s’occupe des scénarios de transition. Or, le GIEC fait reposer ses thèses sur l’idée que, de par le passé, on a effectué des transitions. Dans le chapitre deux de son dernier rapport paru en avril 2022, il est affirmé que les transitions pourraient avoir lieu beaucoup plus vite que par le passé.

Alors que ce fameux passé n’en a connu aucune.

Toutes les courbes de CO2 prouvent que les guerres, les crises et même couillonavirus n’ont aucune incidence sur la production de CO2 dans l’atmosphère. Or, on nous parle de décarboner l’économie avant 2050 ! Pour le GIEC, il faut donc avoir diminué nos émissions de 40% d’ici 2030. De quoi déjà nous renvoyer à l’âge de pierre. Pourquoi ?

Parce qu’à part les pays ayant connu des crises profondes style Corée du Nord et Cuba qui, même au prix d’embargos drastiques, n’ont même jamais atteint des niveaux aussi bas. Pire, eux devaient se restreindre faute d’approvisionnement alors que nous, nous devrions nous serrer la ceinture alors que ces mêmes ressources existent encore et toujours.

Toutes leurs histoires de pic de production pétroliers ne sont que mensonges orchestrés.

Ce qu’on invente maintenant, a un énorme temps de diffusion, et n’a donc aucun impact sur les objectifs fous de décarbonation d’ici 2050. En effet, ce qui fait notre quotidien a souvent été inventé il y a longtemps. L’automobile remonte à 1880, et en France ; sa vraie diffusion en masse n’a commencé que durant les années 60. Mon père a eu sa première voiture, une 2cv, en 1969.

Exception peut-être des USA ou la chose a pris moins de temps, environ 40 ans.

Néanmoins, c’est cette notion de « transition énergétique » qui semble avoir joué un rôle clé dans nos esprits, depuis les années 90, où l’on parle vraiment du climat dans le public, impliquant l’idée pernicieuse qu’il faut effectuer une transition qui sera gérable technologiquement.

C’est un déni du changement climatique qui passait alors par l’idée diffuse d’une transition énergétique. Le discours était un peu : « Pas la peine de s’affoler puisqu’il y a une transition en cours ! »

En réalité, durant les années 50, le discours sur la transition énergétique viendra surtout d’un petit noyau : celui des savants atomistes de l’AEC. La Commission de l'énergie atomique des États-Unis (United States Atomic Energy Commission, ou AEC) est un organisme fédéral établi dans le but de promouvoir et de contrôler le développement pacifique des applications atomiques et nucléaires tant au niveau scientifique que technique.

Tous ces individus sont des néomalthusiens obsédés par les limites productives de Gaïa. Ils sont persuadés que le nucléaire constitue le suppléant idéal aux défis environnementaux.

Marion King Hubbert (1903-1989), un géophysicien américain, travaillait notamment dans les laboratoires de recherche de Shell à Houston, il travaillait aussi pour l’AEC qui désirait se débarrasser des déchets nucléaires dans des puits de pétrole abandonnés.

Bien que peu réceptif à l’idée, Hubbert, en tant que grand théoricien du pic pétrolier, va néanmoins faire les choux gras de l’AEC dans le sens où il est l’instigateur comme quoi, il n’y a pas tant de pétrole que ça (courbe de Hubbert).

Pour eux qui pensent avoir découvert la clé du futur de l’humanité avec une énergie propre et inépuisable, Hubbert, c’est du pain béni. Ils pensent l’énergie à des horizons lointains, et commence donc à parler transition. Dès la fin des années 60, bien avant le choc pétrolier organisé de 1973, ce sont eux qui commencent à populariser la crise énergétique.

Vous connaissez mes « tendances complotistes » ! C’est à se demander si des blackouts du style de la panne de courant nord-américaine de 1965 ne furent pas orchestrés dans ce sens?  L’importante perturbation électrique du 9 novembre 1965 affecta même une partie de l'Ontario au Canada, ainsi que les États du Connecticut, Massachusetts, New Hampshire, New Jersey, New York, Rhode Island, Pennsylvanie, et le Vermont.

Plus de 30 millions de personnes réparties sur 207 000 km2 furent privées d'électricité durant 13 heures et 800 000 usagers furent bloqués dans le métro new yorkais.

Aubaine pour l’AEC qui en profitera pour dire que le pays va connaitre une crise énergétique, s’il ne finance pas rapidement l’installation de réacteurs. Cerise sur le gâteau ! 1973 sera pour eux la surprise positive. C’est à partir de ce choc pétrolier que l’idée de choc énergétique va devenir commune et entrer dans les mœurs. À travers cela, c’est l’idée de transition qui fait son p’tit bonhomme de chemin.

Alors qu’en fait, comme expliqué plus haut, il n’y a jamais eu de transition énergétique. Le bois fait son chemin grâce au pétrole. Située en Albion, la centrale électrique de Drax est une centrale thermique à bois, anciennement à charbon située au Royaume-Uni dans le Yorkshire du Nord. Elle consomme 80% des granulés de bois importés des États-Unis.

Avec le charbon, elle était la plus grande centrale thermique d'Europe. Elle consomme chaque année entre 6 à 12 millions de m3 de bois.

Ce qui est beaucoup plus que ne consommait l’Angleterre au 19e siècle. Ce bois est coupé par des engins fonctionnant au pétrole. Transformé en copeaux dans des machines qui fonctionnent au diesel et transporté à travers l’Atlantique dans de gros navires hyper polluants. Ou se trouve alors le rapport de substitution dans cet enchevêtrement énergétique ? En effet, plus on a de pétrole et plus on produit de bois. Un bois fortement utilisé dans les pays riches pour la construction des maisons individuelles.

Alors que le bois semble séparé du pétrole par le charbon, dans nos grandes fresques énergétiques, on voit bien que le bois se modernise grâce au pétrole. Quant au charbon, il est toujours extrêmement utilisé, avec la Chine qui, début des années 2000 (2008), explose le quota américain de consommation.

Un charbon qui s’est extrêmement modernisé avec de grandes machines souterraines qui l’extraient, ou dans des mines à ciel ouvert. Sans oublier toutes les matières produites à partir du charbon : béton armé, voitures, acier (70% de l’acier mondial se fait à partir du charbon).

Le total d’utilisation des énergies fossiles utilisées prouve que depuis les années 70, 80% de l’énergie utilisée est fossile. Au cours des 30 dernières années, l’humanité a émis autant de CO2 que durant les 130 années précédentes. De 280 ppm avant la révolution industrielle, on est passé à 410 ppm. Soit 130 ppm en plus et très concentrées dans les pays les plus riches : +32 pour les USA, +41 pour l’Europe, +18 pour la Chine et +39 pour les autres pays.

A côté, le renouvelable qui comprend par ailleurs l’hydroélectricité (barrages depuis le début du 20e siècle) ancienne est en minorité. Ainsi, malgré les innovations, on ne fait nullement disparaitre l’ancien. Le béton n’a pas fait disparaitre la brique, par exemple.

Néanmoins, Drax qui produisait 7 % de l'électricité de l’Angleterre en 2010. S’est progressivement reconvertie à la biomasse à partir de cette date et sa part dans la production atteignait 75 % en 2016. En 2018, quatre des six unités étaient converties à la biomasse.

Les deux unités restantes devraient être remplacées par des turbines à gaz à cycle combiné afin de remplir l'engagement du gouvernement de sortir du charbon d'ici 2025. À partir de mars 2021, la centrale n'utilisait plus de charbon.

Alors que les fossiles sont fondamentalement liés, l’Occident oxydé cherche à nier cette évidence. « L’autonomie recherchée » engage la fin de cette symbiose entre fossiles : c'est-à-dire pour extraire du charbon il faut du pétrole et inversement. C’est du jamais vu, impossible à réaliser à échelle humaine.  

Et pourtant … cela n’empêche pas le groupe trois du GIEC, dans son rapport de 2022 (2900 pages) de prononcer 2400 fois le mot transition et 23 fois le mot décroissance.

En fait, comme l’affirment de très nombreuses institutions dont l’Agence internationale de l’énergie (AIE), le GIEC, le World Economic Forum, etc., sans capture du CO2, les objectifs de décarbonation des trois prochaines décennies n’ont aucune chance d’être atteints. On en arrive alors à la géo-ingénierie à la tonton Gates. Alors qu’on a passé des siècles à l’extraire du sol à coup de trilliards, on voudrait recapter le CO2 dans l’atmosphère pour le remettre dans le sol.

Relisez donc mon article sur ce sujet : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/09/lorsque-la-connerie-atteint-des-sommets.html

Sachez le bien, le premier rapport fait sur le changement climatique remonte à 1965 à destination du président américain Johnson. Nulle part il n’y est question de décarbonation. Néanmoins, outre les particules soufrées envoyées dans l’atmosphère, nos apprentis sorciers ont deux projets.

Financés par le gouvernement américain pour plus d’un milliard de dollars, ils devraient permettre en Louisiane et au Texas de capter dans l’atmosphère et stocker ensuite deux millions de tonnes de CO2 par an.

Cette technologie expérimentale baptisée DAC est à la fois énergivore et coûteuse car le CO2 dans l’atmosphère est par nature très diffus, 420 parties par million, environ 0,04%. Mais pour qu’elle ait un impact sur le réchauffement climatique comme le préconisent les institutions citées dont l’Agence internationale de l’énergie, il est essentiel qu’elle passe rapidement à un stade industriel.

Il existe deux procédés différents de cette technologie. La capture et le stockage du CO2 (CCUS) lors de processus industriels et le captage direct dans l’atmosphère (DAC).

Ce dernier en est encore à un stade presque purement expérimental. Le DAC extrait le CO2 déjà présent dans l’air, via de grands ventilateurs et des procédés chimiques.  Preuve que sous prétexte de changement climatique anthropique on peut tout faire, tout dire, et même vouloir réaliser les pires aberrations au nom de leur NOM ; car les cons ça ose tout !

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/10/rien-de-nouveau-sous-le-soleil-de-satan-partie-5-et-fin.html

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RIEN DE NOUVEAU SOUS LE SOLEIL DE SATAN (Partie 3)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Ainsi voyons-nous ici l’idée insidieuse que, depuis longtemps, l’homme influe sur le climat.

De là vont naitre des études donnant vie à des savoirs perfectionnés : cette climatologie historique qui apparait au cours des années 1770. Mais uniquement à usage politique.

À cette époque, la forêt amalgame à elle-seule énergie et matériaux de construction : équivalents de nos bétons et plastiques actuels. Retenez bien que les seuls vrais précurseurs de « l’environnementalisme » se trouvent là, et uniquement là, mais à des fins de politique pure.

Ainsi, depuis, nous parle-t-on de pléthore de théories environnementales à destination du pauvre. Il est vrai qu’existe une symbiose environnementale entre les espèces.

Nos anciens le savaient pertinemment. Mais l’idée qu’un bruissement d’aile de papillon, qu’on attribue malicieusement au gueux, puisse déséquilibrer la nature, est un biais culturel qu’utilisent à souhait les vrais pollueurs de Gaïa. C’est d’ailleurs cette industrie polluante (soude) qui commence à naître au début du 19e siècle.

La soude caustique, aussi connue sous le nom d'hydroxyde de sodium, est une base très puissante et très polyvalente. Entre 1771 et 1791, le chimiste Nicolas Leblanc invente un procédé permettant d'obtenir du carbonate de sodium à partir d'eau de mer, procédé coûteux en combustible qui sera supplanté par le procédé Solvay plus économique entre 1861 et 1864 (mis au point par l'entrepreneur et chimiste belge Ernest Solvay). Ces procédés, surtout le second, permettent de réduire les coûts de revient de la soude et font disparaître les anciennes techniques.

En 1810, grâce aux conquêtes napoléoniennes, la France se trouve à l’apogée de son territoire. Cette année-là, et déjà sous couvert d’écologisme, parait un décret qui va influencer pas mal de nos voisins européens.

Même s’il laisse présager le contraire, il ne constitue certainement pas un acte fondateur du droit de l’environnement. Dorénavant, on doit demander une autorisation aux préfets concernant les actes polluants. Concernant les plus polluants (soude), on doit même demander l’autorisation au ministre de l’intérieur.

C’est loin de constituer une avancée car avant cela, l’individu lambda pouvait avoir recours à la police qui, par la même, portait bien son nom dans le sens où elle était chargée de "polisser" les relations entre voisins, concernant les nuisances de tous ordres. Elle s’occupe alors pleinement de l’urbain (urbanisme, bruits, odeurs, sécurité, etc.). L’industriel qui va investir beaucoup d’argent ne peut donc supporter ce polissage qu’il a tout intérêt à museler.

Ce sera le rôle de ce décret de 1810.

Des indemnisations qui, au préalable, se voyaient octroyées à toute malheureuse victime de nuisance, vont disparaître comme neige au soleil.

Un bon pot de vin au ministre de l’intérieur et l’affaire est réglée pour l’industriel qui se voit alors octroyé un droit inaliénable de polluer, par le biais de ce Décret impérial du 15.10.1810 relatif aux Manufactures et Ateliers qui répandent une odeur insalubre.

Outre le fait que les descendants de cette industrie polluante nous accusent désormais d’en être les responsables, ils trainent derrière eux une multitude de travailleurs esclaves, tous victimes premières de ces pollutions, et dont le tour de force constituait à ce qu’on ait en prime réussi à leur faire intérioriser l’entière responsabilité des horribles maux causés par ces pollutions.

Nous assistons de nos jours au même comportement avec ces couples qui, en accord avec la doxa, refusent d’avoir des enfants ou de manger de la viande ou encore ; de ne plus voyager.

L’industrie va donc prospérer en dépit de pollutions énormes autant que manifestes. La cours de cassation en arrivera même à dire que l’on ne peut plus indemniser pour toutes ces nuisances causées aux voisins.

Ce Décret fait que le seul recours devient les tribunaux civils, qui ne peuvent absolument pas casser une décision administrative.

Ils administrent donc des dommages, en compensant pour la baisse de valeur de la propriété en conséquence au préjudice. Ce qui peut chiffrer très vite.

C’est cette baisse de la valeur vénale des biens qui constitue le risque pour les industriels qui ne peuvent pas vivre avec cette épée de Damoclès au-dessus de leurs têtes d’escrocs.

En 1828, un arrêt de la cour de cassation mettra un terme à cela pour le plus grand bonheur des industriels de l’époque. Désormais, l’indemnisation s’effectuera au prorata des dommages déjà réalisés. Ainsi, tant qu’un bien n’est pas vendu, et pour le plus grand bonheur des industriels, on est en plein flou artistique.

Ce qui est ubuesque dans toute cette affaire, c’est qu’un rapport de l’OCDE datant du début des années 1970, met en avant l’idée du pollueur-payeur comme constituant une grande avancée sociale. Il a été adopté par l'OCDE (Organisation de coopération et de développement économique) en 1972, en tant que principe économique visant l'imputation des coûts associés à la lutte contre la pollution.

C'est un des principes essentiels qui fondent les politiques environnementales dans les pays développés.

À l’époque, cela fut présenté comme une grande avancée des économistes, alors que cela était déjà depuis longtemps dans la logique du Décret de 1810. C’est pollueur-payeur, mais toujours pollueur !

En 1815, l'éruption du Tambora  s'est produite sur l'île de Sumbawa, en Indonésie. Elle sera à l'origine de l'année sans été, l'éruption causant directement ou indirectement la mort d'environ 92 000 personnes, dont 10 000 personnes lors de l'éruption même. Cette catastrophe fut à l'origine d'un refroidissement climatique. L'année 1816 en particulier est restée connue comme « l'année sans été ». Tous les records de baisse de température ont été battus en 1815 et 1816.

L'éruption perturbe les récoltes comme rarement vu dans l'histoire de la culture des céréales et cause les grandes crises alimentaires de 1816-1817 en Europe avec leurs émeutes de la faim.

En 1820, dans le sud de la France, la gelée sera excessive : le thermomètre descend jusqu’à -15 degrés. Les orangers, les citronniers, les oliviers, les grenadiers et les figuiers périssent presque entièrement.

Il fait donc froid en ce début de 19e siècle, et en 1821, le ministre français de l’intérieur demande une grande enquête à tous les préfets au sujet du changement climatique. Le but est de faire le lien entre déforestation et changements climatiques, depuis 1789.

Preuve que le climat est un outil puissant permettant de blâmer l’autre, là, c’est clairement la Restauration qui incrimine les révolutionnaires.

Les préfets vont s’exécuter et consulter les notables (médecins, propriétaires fonciers, agronomes, etc.). Que va-t-il en résulter ? Pour cette petite élite provinciale, ce qui advient n’est nullement une surprise. Cela fait partie de leur vie, et depuis longtemps. Bref ! la sagesse populaire sait très bien qu’indépendamment du facteur humain, tout n’est que cycles au sein desquels le soleil est le chef d’orchestre.

Arrivé à notre époque, cela n’empêchera pas l’instauration du doute dans nos sociétés, à partir des années 50 et 60, notamment grâce au Club de Rome déjà longuement évoqué dans ma littérature. Mais reparlons-en !

Après la crise de 2008, toujours créée par les mêmes, certains vont chercher à prendre leur distance d’avec le pétrole contrôlé par le dollar américain. Ça va donner quoi ?

En Chine, l’électrique n’est certainement pas une histoire de lutte contre la pollution. C’est une idée de souveraineté énergétique.  Là-bas, actuellement, le carburant synthétique fabriqué à partir du charbon représente trente-cinq millions de tonnes, auxquelles viennent s’ajouter quatre-vingt cinq millions de tonnes de méthanol.

Lui-même synthétisé à partir du mélange de dihydrogène et de monoxyde de carbone, obtenu par vaporeformage du gaz naturel ou par gazéification du charbon.

Nous avons donc là cent vingt millions de tonnes d’essence, fabriquées à partir du charbon. Cherchez l’erreur ! lorsque chez nous, on consomme quarante millions de tonnes d’essence !? Et on veut décarboner la Gaule à coups de voitures électrique !

La moitié des voitures électriques roulent en Chine, grâce à une électricité produite là-bas à 80% à partir du charbon. La bascule s’opère du pétrole vers le charbon, et on nous parle d’écologie ? Pendant ce temps, bien que les Allemands commencent à freiner des deux pieds, les cons d’Européens annoncent la fin des moteurs thermiques pour 2035.

On nous parle CO2 et lutte contre les particules fines, et on nous emmerde avec l'AdBlue, une solution « d'une très grande pureté », qui provoque des pannes à répétition mais qui est spécialement développée pour les moteurs diesel. Pendant ce temps, un des pays les plus peuplés au monde roule électrique. Comprenez-vous l’arnaque : L’ENORME EXCROQUERIE?

La voiture électrique ce sont des terres rares hautement polluantes, des batteries qu’on ne sait pas recycler, de l’acier (donc du charbon), du plastique (donc du pétrole). Des routes qui nécessitent de l’entretien (du béton de très bonne qualité qui nécessite autant de charbon).

Tout est intrinsèquement lié. Qu’on ne me parle pas de transition énergétique. C’est du pipeau de révolutionnaires de 1789.  Tout ce qu’on nous enseigne à l’école judéo maçonnique est faux. Et surtout leurs histoires de « transitions » énergétiques. Du bois au charbon puis du charbon au pétrole, leurs paliers ne sont que mensonges. Ne les croyez-pas, ils ne maitrisent rien, même pas leur connerie abyssale.

Le capitalisme, malgré ses innovations, ne produit absolument aucune transition.

Il n’y a que cumulations des énergies et des matières premières et l’histoire, la vraie, le prouve sans difficulté. A part l’amiante, trouvez-moi une matière première que nous utilisons depuis le début de l’humanité et qui soit devenue obsolète ? Seules certaines interdictions permettent une diminution. A part la laine remplacée par des fibres synthétiques, je vous mets au défi de me trouver une matière première qui aurait disparue de nos vies.

On nous apprend tous que la Révolution industrielle c’est un basculement du bois au charbon, alors que la consommation de bois n’a fait qu’augmenter en même temps que l’industrialisation. Doit-on parler de chemin de fer ou de chemin de bois ?

Aux vues de l’utilisation monstrueuse du bois durant l’arrivée du ferroviaire, c’est plutôt la deuxième alternative qui prime. La sidérurgie a peut-être adopté le charbon au 19e siècle, mais sans l’extraction minière se faisant à partir de soutènements en bois comment cette industrie aurait-elle extrait le charbon ? C’est à partir des années 70, portées par les idées perfides du Club de Rome, qu’on commence à parler transition énergétique. Jusque-là, les experts (géologues, économistes, etc.) ne parlent jamais de transition.

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/10/rien-de-nouveau-sous-le-soleil-de-satan-partie-4.html

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RIEN DE NOUVEAU SOUS LE SOLEIL DE SATAN (Partie 2)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

L'empire se réorganise, il se transforme,  il s'adapte à la nouvelle donne, sur un mode dégradé. Il ne retrouvera jamais une prospérité pareille à celle des deux premiers siècles de notre ère, ce qui contribuera à  vraie chute cette fois-ci, avec les invasions barbares et la déposition du dernier empereur à la fin du 5e siècle.

La dégradation constatée à partir des 3e et 4e siècles est avant tout économique et politique.

L'entrée progressive des Barbares sur le territoire désorganise l'appareil administratif et les réseaux commerciaux. Leur installation au Maghreb et en Egypte, en particulier, réduit l'approvisionnement de Rome en céréales.

Pour certains experts, vient s’ajouter à cela la «peste antonine ». L'épidémie frappe l'Empire romain à la fin de la dynastie antonine, durant les règnes de Marc Aurèle et Commode, entre 165 et 190. Certains historiens la voient comme cause probable du déclin démographique de l'empire et du dépeuplement des villes.

Il s'agissait probablement de la variole. Elle s'expliquerait essentiellement par l'impact de la «première mondialisation », notamment les mouvements des troupes à travers l'Empire qui ont favorisé la propagation des maladies contagieuses.

Ainsi, nous constatons que l'optimum climatique disparait doucement pour être remplacé par une période d'incertitudes, de désorganisation et de changements qui va durer environ trois siècles, constituant la transition de la fin de l'Empire romain.

Il en est de même de nos jours car, bien caché derrière un hypothétique réchauffement entropique soi-disant causé par la gueusaille, c’est en réalité une nouvelle période de refroidissement planétaire qui vient de pointer son nez.

Elle est adroitement cachée aux populations, par le biais d’un cirque médiatique voulant que nous soyons toutes et tous de vilains producteurs de CO2, cette horrible chose néfaste à la planète et sa végétation. Pourquoi ?

Afin de créer ce RESET des hommes riches tant voulu par Davos et qui permettra de prendre définitivement l’ascendant sur nos libertés déjà « en train de reculer » comme les glaces des Pôles.

Mais revenons à nos moutons !

Ailleurs sur cette terre, l'origine de l'effondrement des cités mayas a longtemps posé question aux archéologues. Le climat apparaît désormais comme un facteur clé de leur abandon.

Plus proche de nous, une profonde instabilité climatique aurait précipité la chute de l'empire khmer au 15e siècle. Plus proche encore, au début du 17e siècle, le climat se refroidit en Chine. Les sécheresses et les inondations se multiplient tandis que des famines dramatiques déciment des régions.

Déjà fragilisée, la dynastie au pouvoir finit par disparaitre. Dans une région proche de Shanghai (Jiangnan), généralement considérée comme un paradis, les années 1640 commencent mal.

La décennie qui vient de s’achever s’est caractérisée par un climat anormalement froid et sec et les récoltes ont été mauvaises. Le prix des denrées n'a cessé de monter, poussant aux tensions sociales.

Plus proche de nous encore, et en Gaule, la météo va jouer en défaveur des rois afin de nous amener la future « démocratie ».

Et c’est au moment de la Révolution française que ce discours anxieux au sujet du climat va se changer en catastrophisme à tous les étages. Il va y jouer un rôle important. Pour les révolutionnaires, cette dégradation du climat va devenir un moyen de blâmer la royauté pour sa mauvaise gestion des territoires ayant entrainé des disettes (mauvaises récoltes, prix du pain).

Le peu que comprenne la paysannerie de cette révolution téléguidée, c’est la récupération de droits dont ils estiment avoir été spoliés depuis vingt à trente ans. En effet, depuis plusieurs décennies le prix du bois augmente, l’aristocratie essayant de récupérer des droits féodaux autant que pécuniers sur les forêts.

Privatisées, les aristos construisent des murs autour, y mettent des gardes forestiers, pour rentabiliser au mieux la production de bois au détriment de la gueusaille. Au moment de la Révolution, une certaine élite parisienne vivant dans un autre monde (comme aujourd’hui) va mal apprécier ces revendications paysannes.

Ces déjà « bobos parisiens » sont acculturés au fait que l’accaparement des richesses forestières constitue la meilleure façon de gérer le patrimoine. C’est à partir de ce moment là qu’un discours en provenance d’agronomes et diffusé par les maires et les curés auprès des élites provinciales. Elle va considérer que lorsqu’on coupe le bois on crée une catastrophe climatique.

Manière machiavélique de gouverner les usages populaires de la nature, auquel va s’ajouter une loi de 1791 (deux poids deux mesures) qui permet au propriétaire forestier de déboiser chez lui, sans aucune autorisation administrative.

De là l’idée d’inculquer au gueux une conscience environnementale, mais à sens unique. 1789 peut donc, derrière ses faux idéaux, se résumer à comment on peut, par la tromperie, gérer un peuple de paysans libres, par le biais de la main invisible du gros propriétaire terrien.

Le tout aura été accompli sur fond de sécheresses, inondations, gels, orages… Car, sachez-le bien ! même sans industries polluantes et CO2 « mortifère », depuis un certain temps déjà, la météo est exécrable.

Celles des années 1787 et 1788 a fait flamber les prix du pain et poussé les Français dans la rue. Si elle n'a pas causé la Révolution, elle a lancé la mécanique de la rébellion qui sera formidablement entretenue par une élite prédatrice autant que franc-maçonnique.

De là à penser que le 14 juillet 1789 pourrait venir du 13 juillet, pas du 13 de 1789, jour d'émeutes comme d'autres en ce mois fiévreux ; mais d’un bien plus terrible : celui de l'année 1788, il n’y a qu’un petit pas facile à franchir.

Ce jour est celui où un terrible orage non politique mais climatique ravagea la France. «Tous les pays affectés de cet orage n'offraient plus que le spectacle de pays totalement ruinés et détruits par la grêle, écrit Charles-Joseph Messier, un astronome passionné de météorologie. Tout fut enterré, haché, abîmé, déraciné ; les toits découverts, les vitres brisées, les vaches et les moutons tués ou blessés ; le gibier, la volaille périrent. »

Une grêle désastreuse tua plusieurs personnes. Louis XVI étant à la promenade, son cocher fut tué. Les chevaux blessés, les portières du carrosse brisées. Les scientifiques se passionnent alors pour le sujet, allant jusqu’à peser des grêlons de plus d'un demi-kilo.

Les dégâts sont évalués à 25 millions de livres, soit 5 % du budget de l'Etat. Mais, comme de nombreuses pertes n'ont pas été déclarées, la note réelle aurait été deux fois plus élevée.

Même si plus de mille paroisses sont frappées, il serait cependant naïf de croire que l'orage de 1788 a déclenché la tempête de 1789. La France en comptait 38 000 à l'époque. Les récoltes amputées par la grêle ont certes poussé les prix à la hausse, mais on savait déjà que les récoltes seraient médiocres. En réalité, l'orage de 1788 est un symbole de la pagaille climatique qui a précédé la Révolution française.

Car la météo des années 1780 a été désastreuse. J’ai déjà longuement expliqué que tremblements de terre et éruptions volcaniques sont en lien étroits avec l’activité solaire. Le 8 juin 1783, débute l'éruption du volcan Laki en Islande.

Elle va durer huit mois. En Europe, les trois hivers suivants sont terribles. En 1785, une sécheresse inhabituelle survient en été. Il tombe dans le pays et dans les environs une quantité prodigieuse d'eau pendant le mois d'octobre et la moitié de novembre.

L'été 1787 est catastrophique après des récoltes miraculeuses l'année précédente. Des pluies fréquentes empêchent de moissonner. Quand la moisson est faite, le grain pourrit. La paille et le foin manquent. L'automne est pire encore.

Puis l'hiver est trop doux. Insectes et mauvaises herbes prolifèrent. La douceur continue au printemps. Puis en mai-juin, le thermomètre grimpe encore. Les grains de blé sont « échaudés » : la chaleur freine leur croissance.

Il ne pleut presque plus, comme en 1774, juste avant la « guerre des farines » de 1775, provoquée par la flambée des prix du pain.

Le pays s'échauffe aussi pour d'autres raisons. A court d'argent, après les dépenses engendrées par la contribution française à la guerre d'indépendance américaine (déjà), le roi veut augmenter les impôts et revenir sur les pouvoirs accordés aux parlements régionaux au début de son règne. Le 8 août, n'ayant pas encore perçu le problème de la récolte, il se résout à annoncer la convocation des Etats généraux.

Il maintient la libéralisation des exportations de grains mise en œuvre l'année précédente par son ministre des Finances, Etienne-Charles de Loménie de Brienne.

Les campagnes sont pour l'instant paisibles. Mais les médiocres moissons de l'été vont faire basculer le climat politique. L'orage du 13 juillet, et plus encore l'échaudage, aboutissent à un déficit de production d'environ un tiers, après une récolte 1787 déjà médiocre.

Les prix du blé et des autres céréales grimpent, dès juillet. La mécanique de la rébellion est enclenchée. En août, une première émeute éclate à Lamballe, en Bretagne, suivie d'autres en Provence et dans le Languedoc à l'automne.

Ayant succédé à Loménie de Brienne, Jacques Necker tente de réagir. Il interdit en septembre les exportations de grains. Deux mois plus tard, il subventionne même les importations d'Amérique.

Après un été trop chaud, la fin de l'automne puis l'hiver sont glaciaux. Jamais depuis en France les températures n'ont été aussi basses (86 jours de gel à Paris). Thomas Jefferson raconte dans ses Mémoires les grands feux au coin des rues à Paris, pour réchauffer les pauvres. Messier décrit une Seine glacée : « On y avait établi de petites boutiques de fruits et autres. »

Plus de 230 émeutes seront provoquées par le blé sur les quatre premiers mois de l'année 1789, soit quatre fois plus que sur toute l'année précédente. Dans certains champs qui ont gelé trop tôt, il faut ressemer en urgence, ce qui diminue encore la quantité à manger.

Les transports sont freinés par la glace des fleuves et des rivières. Et le dégel apporte à son tour son lot de catastrophes, car des blocs de glace cassent ponts et moulins. Le prix du blé continue de monter. A Lille, il prend 50 % en neuf mois.

La population n'en peut plus. Les actes de rébellion se multiplient partout et la maréchaussée est débordée. A Paris, des manifestants défilent le 27 avril en scandant notamment « Mort aux accapareurs ! Le pain à deux sous ! » Les autorités ordonnent l'inspection des fermes, pour que le grain disponible soit mis en vente. C'est dans cette atmosphère tendue que s'ouvrent les Etats généraux, le 5 mai 1789.

Des hypothèses circulent pour expliquer la pénurie. Au début, les grands fermiers et les marchands de grains ont été accusés de garder des stocks en espérant les vendre plus cher. J’adhère tout à fait à cette explication ! La soudure, cette époque entre l'épuisement des stocks et la récolte suivante, est douloureuse. Des pluies tombent en juin, retardant la moisson.

Le prix du pain continue de monter. Les manifestants qui défilent à Paris début juillet exigent avant tout la baisse des prix du grain et du pain. Les prix culminent à la mi-juillet, avant que les céréales des nouvelles récoltes commencent à arriver sur les marchés.

Mais c'est trop tard : la Bastille a été prise le 14 juillet, et un nouveau chapitre de l'histoire de France a commencé. Bien sûr, la crise agricole engendrée par l'incroyable succession de gels, d'inondations, de sécheresses et d'orages n'explique pas à elle seule la Révolution française.

La crise financière aiguë, les idées nouvelles des Lumières (orchestrées par les frères la truelle), une noblesse et un clergé cramponnés à leurs privilèges, l'inconscience du roi y ont aussi leur part.

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/10/rien-de-nouveau-sous-le-soleil-de-satan-partie-3.html

Olivier

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RIEN DE NOUVEAU SOUS LE SOLEIL DE SATAN (partie 1)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

C’est l’Histoire, la VRAIE, et non pas une vision binaire des choses, qui nous permet de déterminer le la réalité des faits. Chaque humain vivant sur cette planète est bien entendu libre de se laisser duper par une élite putride, néanmoins, ce que nous sommes tous, pour la plupart, possède au tréfond de lui un irrépressible besoin de VERITE. C’est tout l’intérêt de mon sujet.

La sensibilisation au climat afin d’amadouer le gueux ne date pas d’hier. Le climat peut changer le cours de l'Histoire, et ça, nos dirigeants le savent très bien. La Véritable Histoire fait état de catastrophes récurrentes que nos anciens savaient prédire et que, de tout temps, l’élite s’est empressée de cacher aux peuples.

Dans mon livre en deux tomes Dernier regard sur un monde corrompu, j’évoque le déclin de l’Empire sumérien provoqué par des changements climatiques profonds.

La chute de Rome, l'effondrement des cités mayas, ou encore des Ming, la Révolution française, tous ces évènements ont marqué l'Histoire avec en toile de fond un seul dénominateur commun :  une origine... climatique !

La météo qui fait flamber le prix du pain, les famines qui déciment des régions entières en Chine, la fin de « l'optimum climatique romain », ont provoqué révoltes ou révolutions, crises sociales ou alimentaires qui ont finalement conduit à un changement de régime.

On nous parle de « prise de conscience », mais l’idée est dans l’air carboné depuis des lustres. Passionné d’histoire, j’ai cherché à quand pouvait bien remonter la genèse du canulard anthropique si utile aux élites, afin d’assoir leur domination totale. On se rend alors compte qu’un grand débat au sujet des changements climatiques s’est d’abord instauré autour du cycle de l’eau.

À l’époque, c’est la déforestation qui tenait lieu en place de la pollution industrielle.

La naissance de la climatologie et de la théorie des âges glaciaires remonte à des temps anciens. Les premières études scientifiques sur le climat sont déjà en lien avec le changement climatique anthropique, autour du fait qu’on coupe trop d’arbres. Au début, il s’agit d’un discours impérial d’optimalisation

Dès le 15e siècle, des explorateurs européens vont constater les pluies diluviennes (mousson) qui tombent à certains endroits du globe (canaries, caraïbes) et les attribuer à une mauvaise gestion de la nature réalisée par les autochtones.

De ce fait, la balle est alors dans le camp des impérialistes qui vont trouver là prétexte à revendiquer des territoires gérés par des « sauvages ignares ». Ce qui va permettre de créer une hiérarchie des peuples : d’un côté les cons de sauvages et de l’autre ; les « catholiques civilisateurs ».

Espagnols et Portugais vont alors s’en donner à cœur joie. L’idée va faire son chemin qu’en arrivant pour coloniser ces lieux, les occidentaux optimisent la situation en coupant le bois.

Chose que ne faisaient pas, ou alors très peu, les « idiots de sauvages » vivant là. « La terre appartient à celui qui la travaille », donc dégagez bandes de sauvages ! Cet argument pro colonisation va faire son chemin avec la Nouvelle France et la Nouvelle Angleterre.

Se basant sur l’idée qu’étant sous la même latitude, tout en ignorant à l’époque les effets du Golf Stream (voir mon précédent article), en cultivant intelligemment la terre, ces pays « hautement civilisateurs » allaient se retrouver là avec le même climat doux qu’en France et en Angleterre. Bref ! une motivation destinée à inciter des hommes à aller coloniser le Canada en plein milieu d’un mini âge glaciaire.

Retenez-le c’est déterminant !

L’Orient n’y fera pas exception, j’en parle déjà dans le tome 1 de Dernier regard sur un monde Corrompu. Babylone fut un empire florissant, jusqu’à ce qu’un changement climatique majeur ne rende ces contrais inhabitables.

Il n’en faudra pas plus pour que, fin 18e, début 19e siècle, tout ceci ne soit interprété par l’Occident déjà oxydé, comme les conséquences climatiques d’une mauvaises gestion locale causé par des autochtones ayant alors dans ce cas trop coupé de bois, et qui, en changeant le climat, ont causé leur propre dégénérescence raciale.

Déjà, à l’époque, c’est le climat qui façonne l’intellect des sociétés et des civilisations. Un simple exemple avec Montesquieu. Avec lui, la théorie des climats issue de l’antiquité trouve son apogée. Elle culmine dans son ouvrage L’esprit des lois (1748).

Pour lui, à travers son discourt, de près ou de loin, rien n’est étranger au climat : toutes les institutions humaines s’en ressentent. Plus loin encore, chez les penseurs grecs, on relève l'influence des éléments climatiques sur les comportements humains. Cette théorie était basée sur une étude minutieuse de la géographie humaine et des climats.

Mais pour l’instant, remontons le cours du temps avec la fin de l'optimum climatique romain, au 3e siècle de notre ère. Il va marquer le début du déclin d'un immense empire qui regroupe alors le quart de la population mondiale. La chute de Rome n'interviendra que beaucoup plus tard, à la fin du 5e siècle, et le climat est loin d'en être le seul responsable.

Ce n'était jamais arrivé depuis que l'Egypte est devenue romaine. Au printemps 246 après J.-C., sous pression du directoire romain, à Oxyrhynque (Haute-Egypte), les fonctionnaires impériaux ordonnent d'enregistrer tous les stocks  de céréales dans les 24 heures, sous peine de lourdes pénalités. L'Etat ratisse en procédant à des achats de récoltes à des prix incroyablement élevés dans cette ville, signe d’une volonté désespérée d'acquérir des céréales à prix fort.

Cet épisode n'est pas isolé cette année-là dans la vallée du Nil. Il est la conséquence de changements climatiques aux conséquences dévastatrices en Egypte, qui est alors THE «greniers à blé » de l'Empire romain. Depuis quelques décennies déjà, les crues du Nil sont devenues irrégulières et moins abondantes. Le pays vit alors « la pire crise environnementale au cours des sept siècles où l'Egypte a été romaine.

Au même moment en Palestine, le rabbin Bar Hama, une figure, est témoin d'une terrible sécheresse dans les années 230-240.

A l'autre bout de l'empire, à Carthage (actuelle Tunisie), l'évêque Cyprien prend publiquement la défense des premiers chrétiens, tenus pour responsables du désastre.

Les témoignages écrits existent, mais ils sont trop rares et épars. Mais, comme je l’explique souvent dans ma littérature, les progrès de plusieurs disciplines scientifiques ont permis de mesurer le changement climatique qui ébranle l'Empire romain au 3e siècle.

La glaciologie, notamment l'analyse des carottes de glace du Groenland, restitue les variations du climat au semestre près.

La dendrochronologie, étude des anneaux de croissance des troncs d'arbres, permet de reconstituer les niveaux des températures et des pluies.  Tout ceci mis en parallèle avec les maigres récits des historiens a permis d'importantes avancées, laissant poindre une période de froid généralisé. Même les glaciers alpins qui font actuellement les « choux gras » des Verts permettent d'en savoir plus.

Dans le massif du Mont-Blanc, à cette époque, après des années de fonte, la mer de Glace commence à progresser à nouveau. Ainsi, comme ce qui nous pend au nez, la fin du 2e siècle de notre ère a marqué la fin de « l'optimum climatique romain », qui durait depuis  400 ans.

Il ne s'agit aucunement d'un cataclysme brutal, mais d'une évolution sur plusieurs décennies. Et cette « crise » marque, en réalité, un retour à la normale. Car, sachez-le bien, ce qui était exceptionnel, c'est justement cet optimum, marqué par des températures plus douces, une humidité plus forte dans le bassin méditerranéen, et un climat particulièrement stable.

Outre ces conditions favorables, l'optimum climatique se caractérise par l'absence d'éruptions volcaniques majeures susceptibles de voiler l'atmosphère de Gaïa. En fait, même celle du Vésuve qui a détruit Pompéi en 79 après J.-C., n'a heureusement pas eu d'impact sur le climat.

Ce sont ces conditions favorables qui, durant quatre siècles, ont accompagné l'essor de l'Empire romain. Néanmoins, l'expansion de la civilisation romaine ayant démarré sous la République, bien avant l'avènement de l'optimum ; elles n'en sont évidemment pas la seule explication.

L'optimum concerne d'ailleurs une grande partie du globe, bien au-delà de l'Europe et du bassin méditerranéen. La Chine de la dynastie des Han connaît alors son essor à la même époque.

Le grand responsable ? Celui dont je vous parle depuis des années dans mes livres et articles : le soleil et ses cycles. Ils ont évolué dans un sens moins favorable. Ensuite, des perturbations climatiques et océaniques du type de celles qu'on connaît aujourd'hui avec El Nino, ont joué.

Enfin, des éruptions de volcans plus fréquentes ont envoyé des aérosols à haute altitude, faisant écran au soleil. Ce qui est certain, c'est que : tout comme aujourd’hui, même si les déboisements à grande échelle ont pu avoir un impact au niveau local ; l'activité humaine n'est pas responsable de la fin de l'optimum.

Pénalisées par un climat plus frais et plus sec, les récoltes sont moins bonnes. Suffisamment pour provoquer des disettes et des famines dans plusieurs régions de l'Empire romain à des intervalles plus fréquents.

Autre conséquence notable, les fleuves gèlent plus souvent et plus longtemps, perturbant la navigation fluviale qui était un moyen de communication essentiel à cette époque.

Moins de céréales signifie moins d’argent, et moins d'impôts dans une société où l'agriculture tient une place prépondérante.  De plus, cela se produit à un moment où la population augmente avec des besoins plus importants. 

Au milieu de 2e siècle, l'empire comptait 75 millions d'habitants (sans doute le quart de la population mondiale), 20 millions de plus qu'au début de notre ère.

C'est aussi la période où la pression des peuples germaniques aux frontières européennes de l'Empire commence à se faire sentir. Les razzias se multiplient. Avec moins de rentrées pour payer les soldats, la crise climatique contribue à créer un défi militaire pour l'empire le plus étendu du monde. Cette crise sans précédent ne signe néanmoins pas la chute de l'Empire romain.

Elle intervient beaucoup plus tard, en 476 pour la partie occidentale (l'Empire romain d'Orient, ou Empire byzantin, ne s'éteindra qu'au 15e siècle). Mais dans les décennies qui suivent la fin de l'optimum, Rome perd de sa puissance.

Fin de la première partie.  Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/10/rien-de-nouveau-sous-le-soleil-de-satan-partie-2.html

Olivier

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Quoi de neuf concernant 1789 ?

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

La vraie science commence dans l’étonnement et se termine dans la certitude des faits.

La Charte de déontologie de Munich (ou Déclaration des devoirs et des droits des journalistes), signée le 24 novembre 1971 à Munich et adoptée par la Fédération européenne des journalistes, est une référence européenne concernant la « déontologie » du journalisme.

Comme notre société merdiatique le démontre chaque jour, chaque heure, chaque minute et chaque seconde, elle est sensée reposer sur la quête de la Vérité. Doux euphémisme, lorsqu’on écoute BFM poubelle et consort !

Les vérités particulières sont des mensonges généraux. Un cas de figure : 1789. Comment des paysans parlant différents patois pouvaient-ils comprendre le français, langue du roi et SURTOUT le mot liberté ?

1789 CONSTITUE en sorte le crime fondateur. Avec cette révolution téléguidée, nous entrons en contact avec le mensonge qui nous a tous réduit à l’esclavage policé. Il n’y a jamais eu de prise de la Bastille et encore moins par le peuple.

La Bastille s’est rendue à des troupes de ligne françaises, contre le fait d’avoir la vie sauve pour les quelques bougres qui la défendaient. Depuis, nous vivons en esclavage au nom de cette prétendue liberté.

Machiavel disait bien que « la France est un pays hérissé de libertés. Or, la LIBERTE, c’est la fin des libertés. Le 14 juillet 1790, la fête de la Fédération aura lieu au Champs de Mars, dieu de la guerre. Contre qui ? Contre les peuples.

Ceux qui se cachaient en réalité derrière la Révolution utiliseront à souhait leur lot d’idiots utiles qui finiront tous guillotinés. Tous y perdront la tête, place de la Concorde. Dans cette mécanique au service, entre-autre, de la perfide Albion, « bons » et « méchants », vont s’occire au nom de la LIBERTE.

« Nous avons brûlé le vaisseau qui nous a permis d'accéder à l'ile de la liberté », cette phrase de Pierre-Joseph Cambon (1756-1820), député de l'Hérault à la Convention nationale, illustre à merveille l’idée que 1789 et la mort de Louis XVI ont servi au mieux les intérêts d’une bande de voleurs assassins eux-mêmes au service d’Albion, la « mère des démocraties », qui agit entre autres sans constitution écrite (une prouesse d’ingénierie sociale).

Le but des révolutionnaires sera de déconstruire cette constitution française faite de nations, afin de servir les intérêts d’une dictature absolue au service de l’argent (Mammon) : dieu de ce monde-démon.

1789, c’est la destruction de toutes les identités organiques pour n’en faire qu’une seule qu’ils vont baptiser nation. Une termitière d’individus juste bons à obéir.

Douze siècles de royauté avaient su protéger toutes ces identités qui vont alors voler en éclats au profit d’une seule : une hyper royauté dont Macron incarne à lui seul la transcendance finale.

Les idiots utiles de Mammon vont ainsi tous travailler pour l’alter égo de Dieu : l’argent.

Depuis, nous sommes dirigés par les mots et lorsqu’on désire changer un peuple, on change les mots. 1789, c’est une prise du pouvoir pour en faire une monarchie absolue. Auparavant, le roi de France lui-même n’avait pas le droit de changer les coutumes du peuple.

Désormais c’est le 49.3 qui œuvre !

L’ennemi mortel de tout pouvoir, c’est l’intelligence : la clairvoyance de celui qui va douter. L’intelligent s’étonne face au mensonge, puis comprend qu’on veut l’atomiser. Un vrai scientifique, non vendu au système de la Bête, est capable de voir les rapports de cause à effet. Le vrai scientifique est dangereux dans le sens où, par le biais des faits et non des dogmes, il oppose la vérité au mensonge : qu’il soit climatique, écologique ou encore médical (couillonavirus).

De nouvelles mathématiques « modernes » ont été créés pour une nouvelle société en court de formatage. Un simple exemple. Couillonavirus a été mené, telle une guerre contre les peuples, par le biais de chiffres tronqués issus des mathématiques modernes, tous destinés à casser dans l’œuf l’intelligence scientifique.

Ces nouvelles mathématiques ont servi à couper la chaine des raisonnements. Elles permettent de dire que le roi n’est pas nu.

Les psychopathes, les tortionnaires, en veulent toujours plus. Et c’est 1789 qui leur a permis d’accéder au sommet de la pyramide du pouvoir.

Inversion du langage, de la politique, de la morale, des mœurs, etc. Tous ceux qui jouissent de leurs fonctions et du mal qu’ils causent ont souvent des mœurs inversés, preuve de l’inversion des valeurs qui règne dans leur tête.

Cette perversion mathématique fait l’objet d’un de mes livres (Nachash), consacré à l’espace. Elle constitue le centre de gravité d’un pouvoir maçonnique. Déjà, chez les Grecs, la république de Platon était basée sur le mensonge : celui du peuple qu’on doit punir et celui du philosophe qu’on doit récompenser.

D’ailleurs, l’ambition mathématique remonte à Pythagore qui divisait ses élèves en deux catégories : ceux qui écoutaient et les autres ; les mathématiciens (initiés). La discipline mathématique se désignant par son pluriel, cela prouve bien que, tel un initié, elle trône au-dessus de l’algèbre, de la géométrie, etc., tel un savoir initiatique.

À Rome, les ateliers de mathématiques étaient des ateliers de sorcellerie. C’est donc Pythagore qui fonde les mathématiques politiques, comme moyen de dominer les gens.

À Crotone, un temple pythagoricien et ses ouailles sera même brûlé par ceux qui, déjà à l’époque, refusaient cette « numérisation des temps anciens ». Et, depuis, ce n’est pas pour rien que Mitterrand avait jumelé sa ville de Château chinon avec Cortona, en Italie.

C'est d'une rencontre entre lui alors Sénateur Maire de Château Chinon et Spartaco Mennini, Secrétaire de Mairie de Cortona, qu'un projet de jumelage fut évoqué puis réalisé entre la ville de Cortone en Toscane, célèbre pour son tombeau de Pythagore. La Tanella di Pitagora (la tombe de Pythagore), une tombe étrusque datée du 2e siècle av. J.-C., située près de Cortone. Géode, cube et pyramide du Louvre (les trois solides pythagoriciens de base) seront leurs enfants.

Je mentionne toute cette géométrie « sacrée » dans le second tome du Centième Gueux.

N’oubliez jamais que nous vivons en démocratie maçonnique avec ses cons (nous) et ses initiés (les vampires). Ils prônent Liberté-Egalite-Fraternité POUR LES ESCLAVES, mais dès que vous entrez dans le temple, vous avez affaire à « un autre type d’égalité » : la pyramide avec tous ses degrés.

En effet, durant la tenue en loge, c’est le triangle flamboyant qui trône en bonne place.

Si la République maçonnique était fière d’elle, elle ne maintiendrait pas le Français dans l’analphabétisme politique. Je veux ici parler de ces fameux « droits de l’homme » avec ses nouvelles tables de la loi dont il convient de lire la partie du bas, pour les nuls.

Bref ! au début vous êtes libre et à la fin ; esclave. C’est comme un contrat d’assurance, il convient de lire ce qui est écrit en tout petit.

Ils seront ratifiés seulement le 5 octobre par Louis XVI sous la pression de l'Assemblée et du peuple accouru à Versailles. Cette déclaration sert de préambule à la première Constitution de la Révolution Française de 1791. Le texte sera suivi deux autres déclarations des droits de l'homme en 1793 et 1795.

Mais, c'est le texte du 26 août 1789 qui va s’imposer à la postérité, c’est lui qui va inspirer des textes similaires dans de nombreux pays d'Europe et d'Amérique latine tout a long du 19e siècle, et c’est sur lui que s’appuient les constitutions françaises de 1852, 1946 et 1958.

La Déclaration universelle des droits de l’homme, signée à Paris le 10 décembre 1948, tout comme la Convention européenne des droits de l'homme, née à Rome le 4 novembre 1950, revendiquent le même héritage.

Et ce n’est certainement pas une bonne nouvelle où dans un sens caché, Thot, le Dieu des mathématiques, vient alors susurrer à l’oreille du mécréant, que « c’est mauvais pour son matricule ». En effet, notre civilisation est basée sur le verbe et le chiffre y est l’ennemi de l’homme.

N'oublions jamais qui était Thot : un père vert pervers.

Lorsque vous regardez ces nouvelles Tables de la loi, ces « droits » représentent une loge maçonnique ouverte avec le bas pour les gueux, et le haut pour les initiés.

« Une et indivisible » y fait référence à une dictature absolue : celle du NOM de tonton Schwab. Le langage symbolique permettant une certaine flexibilité, lorsque l’on jette un œil à la pyramide et son œil qui voit tout, on nous administre un collyre qui rend la plèbe aveugle ainsi qu’un double langage qui va la rendre sourde à toute vérité.

Liberté-Egalité-Fraternité, était la devise des frères de la côte : les pirates. J’allais oublier la mort qui figurait sur leur drapeau !

Les pirates étaient tous libres de voler. Ils étaient tous frères pour piller et égalitaires afin de se partager le butin, avec pour sanction la mort si vous ne leur obéissiez pas. Chaque jour qui passe, nous sommes toutes et tous victimes d’une piraterie internationale. Elle porte un nom : la franc-maçonnerie des banxters apatrides.

En France, « pays des droits de l’homme », nous sommes, chaque jour qui passe, invités à un diner de cons national où les initiés, bien cachés derrière un double langage outrancier, se moquent des cons de français et des autres pays.

Ce fameux langage des oiseaux dont je parle abondement dans le second tome du Centième Gueux.

Lorsque Rabelais publie son Gargantua sous le pseudonyme de Pantagruel, il nous parle en fait de « guerre, gain tu as ! » Au même titre, le verlan ou l’argot, sont des dialectes d’initiés destinés à communiquer.

De nos jours, la langue de bois des politiques, n’est pas de bois pour tout le monde. Elle constitue une trique pour mater le peuple.

La question est : qui vous donne ces droits ? C’est le Dieu des Chrétiens ? Avec leur triangle, les FM parlent de l’être suprême. Mais ce triangle, que symbolise-t-il VRAIMENT ? 

C’est tout simplement la représentation de la FM. C’est l’auteur du texte qui se trouve en dessous : une révélation de la FM. Cette hyper royauté s’est insinuée dans la vie des peuples. Une singerie biblique dont ils reprennent toute la symbolique religieuse. Obéissant continuellement au niveau du dessus, le maçon ignore qu’en fait, tout en haut, la vérité est blackboulée, à l’extrême opposée de ce qu’il connait en bas.

Ne soyons donc pas étonnés qu’actuellement cette République soit la négation de la France et de ses valeurs. C’est d’ailleurs ce qui fait la fierté de tous ses pervers animés d’un double langage.

A travers la mathématisation de tous les espaces de la vie, du religieux au politique, en passant par la science, etc. Désormais, à travers le numérique et le transhumanisme, ces mathématiques ont remonté toute la chaine biologique.

Du pied en passant par la main, c’est désormais le cerveau qu’elle est en train de phagocyter. La machine remplace l’homme et pour le plus grand bonheur de cet œil qui voit tout.

Le mathématicien pense, là où la machine calcule. Mais, hélas ! le cerveau est en train d’être remplacé par la machine, dans sa fonction noble. Beaucoup deviennent des terminaux d’ordinateur.

Plus jeune, lorsque j’étais électronicien, on parlait de maître-esclave en informatique, pour un modèle de communication ou de contrôle asymétrique dans lequel un dispositif ou un processus (le maître) contrôle un ou plusieurs autres dispositifs ou processus (les esclaves) et sert de centre de communication.

Pour le plus grand bonheur de Mammon, nous sommes presque tous devenus des terminaux (esclaves) à travers nos tablettes et téléphones portables. Il convient de reprendre le langage à ceux qui se le sont arrogés au nom de leur grand maître, inversant le message évangélique.

Mais courage ! L’heure approche où ceux qui fomentent cela iront tous à leur perte. À l’horloge biblique, nous vivons les dernières minutes du règne de l’homme et les événements qui se déroulent actuellement au Moyen-Orient constituent un formidable catalyseur : un repère temporel.

Olivier

 

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