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Retour sur le climat : le vrai (Partie 10)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/01/retour-sur-le-climat-le-vrai-partie-1.html

Avant de continuer à parler « éruption volcanique », j’aimerais revenir sur cette histoire de minimum de Maunder et à l’extrême soudaineté d’événements climatiques capables de se produire durant cette période.

Il n'aura fallu qu'une seule nuit de l'année 1709 pour que le climat bascule. Le 5 janvier, les températures vont chuter. « Nous sommes en hiver ! », me direz-vous. Mais celui de 1709 n'a rien d'ordinaire. Le lendemain, le continent européen est glacé de l'Italie à la Scandinavie et de l'Angleterre à la Russie. Cela va durer trois mois avec son cortège mortifère provoqué, entre autres, par des pénuries alimentaires. Au point qu’une guerre en cours sera mise en standby.

Ces conditions météorologiques extrêmes auront en effet des répercussions politiques. Le conflit entre la France et la Grande-Bretagne dans la guerre de Succession d'Espagne sera suspendu jusqu'au retour des beaux jours.

Et, comme le dit si bien la Bible : « Rien de nouveau sous le soleil … », comme actuellement avec les sanctions « sensées anéantir la Russie », mode Bruno Le Maire, le froid aura en partie contribué à faire de la Russie une puissance régionale.

En effet, alors que les historiens considèrent la victoire russe de Pierre 1er  le Grand sur la Suède lors de la bataille de Poltava en juin 1709 comme une étape décisive de cette transition, le Tsar aura pu remercier le froid  qui a anéanti l’armée suédoise réduite et affaiblie par la mort d'un grand nombre de soldats en raison des conditions épouvantables.

Et comme un écho à travers les siècles, le pays le plus touché par ce froid sera la France.

1709 avait déjà mal commencé. Les paysans français devaient composer entre récoltes homéopathiques et impôts gargantuesques.

Viendra s’adjoindre à ce cocktail déjà détonnant, l'enrôlement pour la guerre de Succession d'Espagne. Malgré tout cela, les vagues de froid endurées fin 1708 n'auront rien de commun face à l'effondrement des températures de la nuit du 5 au 6 janvier 1709.

Les deux semaines suivantes, la neige tombera sur la France avec des températures avoisinant les -20 °C. Cette période est désormais qualifiée de Grand Hiver. Bêtes et gens vont mourir d'hypothermie avant la prise de mesures visant à aider les citoyens.

Sur l'ensemble du pays, les fleuves, les canaux et les ports seront figés par la glace et les routes bloquées par la neige. Du nord au sud, c’est la disette et le froid qui vont s’installer n’épargnant personne, même les plus riches.

La faim constituera, à bien des égards, le plus implacable des fléaux engendré par ce froid.

Les conséquences des pénuries alimentaires vont durer jusqu'à la fin de l'année 1710. Arbres fruitiers, céréales, vignes, légumes,  et troupeaux, tout sera perdu et les récoltes de l'été suivant ne pourront même pas être plantées. Face à cette situation, le prix des céréales atteindra des sommets en 1709, jusqu'à six fois le cours habituel. (ça ne vous fait penser à rien !?)

En effet, ceux qui se pensaient à l'abri avec leurs stocks de nourriture et de boissons vont bientôt réaliser que le froid les rend inutilisables. Le pain, la viande et certaines boissons alcoolisées vont geler, sauf les boissons fortement alcoolisées.

Le reste de l'Europe ne sera pas non plus épargné par les monstrueuses conséquences du froid. La mer Baltique va se figer durant quatre longs mois et les voyageurs, vont, selon les récits de l’époque, pouvoir la traverser à pied ou à cheval depuis le Danemark pour rejoindre la Suède ou la Norvège.

Les troncs d'arbre vont même se briser avec fracas. En Espagne, l'Èbre sera couvert de glace et la région de Valence verra ses oliviers anéantis par le froid. Phénomène exceptionnel, même « Babylone » sera touchée. En effet, dans les églises, les cloches vont même en arriver à se fendre au lieu de résonner.

À Londres, la Tamise sera prise par les glaces. Les canaux et le port d'Amsterdam vont connaitre le même sort. Le gel toucha la quasi-totalité des rivières de l'Europe du Nord et Centrale, même les sources chaudes d'Aix-la-Chapelle.

À Venise, les habitants vont utiliser des patins à glace au lieu des gondoles pour traverser la ville. Rome et Florence seront coupées du monde par des chutes de neige monstrueuses.

Malheureusement, l’histoire ayant une sérieuse tendance à se répéter, aussi épouvantables auront pu être ces conditions glaciales, elles n’auront constitué que le premier événement d'une série de fléaux à s'abattre sur l'Europe cette année-là.

Les températures vont rester anormalement basses jusqu'en avril, mais une fois la neige et la glace fondues, elles vont laisser la place à des inondations. Et comme la maladie n’est qu’affaire de terrain propice, elles vont proliférer.

Le froid et la faim du Grand Hiver vont en faciliter la propagation et entraîner une épidémie à l'échelle européenne en 1709 et 1710.

La peste va aussi frapper cette année-là, venue de l'Empire ottoman via la Hongrie. En France, la population va connaitre un net déclin au cours des années 1709 et 1710 : 600 000 morts supplémentaires et un recul de 200 000 naissances par rapport à la moyenne annuelle de l'époque.

À notre époque, le froid et la peste auront été sournoisement remplacé par couillonavirus et l’Ukraine. Tout comme en 1709-1710, il n'en faudra pas plus pour achever une économie déjà chancelante.

Et pour en revenir à mes volcans, encore aujourd'hui, cette période détient le record de l'hiver européen le plus froid des 500 dernières années et occupe toujours l'esprit des climatologues.

Diverses théories ont vu le jour pour tenter de l'expliquer. En effet, avant cette vague de froid, plusieurs volcans étaient entrés en éruption autour de l'Europe, notamment le Teide situé sur l'île de Tenerife, dans l'archipel des Canaries, le volcan de Santorin en Méditerranée et le Vésuve près de Naples. D'énormes volumes de poussière et de cendre envahiront l'atmosphère et entraveront le passage du Soleil.

Mais, surtout, n’oublions pas « le chef d’orchestre » qui me permet ainsi de reprendre le fil directeur de mon propos. 1709 tombait dans la période du minimum de Maunder (1645-1715) par les climatologues, époque à laquelle les émissions d'énergie en provenance de notre étoile ont connu un affaiblissement considérable.

Ainsi, Club de Rome aidant, on prête trop à l’homme, ce gueux pollueur, des capacités de nuisance qu’il ne possède tout simplement pas.

Nous ne sommes que des insectes qui devons, tels, nos aïeux, réapprendre à vivre avec les cycles de la nature. Mais ça, le GIEC semble n’ignorer !

Mais, même si l'on remonte plus loin dans le temps que ce minimum du 17e siècle, l’éruption de Théra ne suffit pas à expliquer à elle seule l'intégralité de ce qui compose le pic majeur d'acidité découvert dans les carottes de glace.

Malgré son ampleur et bien que l'éruption du Théra soit estimée cinquante fois plus importante que celle du Krakatoa, elle ne peut à elle seule expliquer le pic majeur de poussières atmosphériques qui s'est produit au cours de la première moitié du 17e siècle av. J.-C.

De fait, l'éruption du Théra semble avoir été un très petit contributeur à cet apport poussiéreux. La couche d'acidité contenue dans les carottes de glace révèle des niveaux élevés de sulfate, mais les récents calculs pétrologiques (étude de la formation des roches) sur les émissions de soufre spécifiques à l'explosion du Théra ne représentent dans la glace que 3 à 6 % de la quantité de concentration d'acide attendue.

Si l'éruption du Théra ne représente qu'environ 6 % de l'ensemble des poussières présentes dans l'atmosphère issus notamment du sulfate volcanique qui se transforme en acide sulfurique dans les carottes de glace, alors d'où viennent les 94 % restants de poussière ?

La réponse est : « à des collègues ». À cette époque Théra n'était pas le seul volcan actif. Et c’est là que la dendrochronologie (étude des anneaux de croissance des troncs d'arbres) vient à notre secours en corroborant la période située dans la première moitié du 17 siècle avant J.-C. Pouvant correspondre à d’autres éruptions dont celle du Mont Aniakchak situé dans la Chaîne aléoutienne en Alaska, aux États-Unis.

Plus précise que les carottes de glace, la dendrochronologie permet de mettre en exergue la quasi synchronicité de cette éruption avec celle du Théra.

La dendrochronologie révèle une perturbation dans la croissance normale des arbres d'Amérique du Nord qui témoigne de l'existence d'un événement climatique majeur survenu entre 1629 et 1628 avant notre ère.

Mais ces deux éruptions ne suffisent toujours pas à expliquer certains taux élevés retrouvés dans les carottes de glace. Ainsi, certains éminents scientifiques en sont arrivés à la conclusions que, tout comme concernant le minimum de Maunder, quatre éruptions majeures eurent lieu à cette époque et presque simultanées : Théra, Aniakchak, Vésuve et Saint-Helens.

Elles se seraient toutes produites vers 1628 avant J.-C., « plusieurs éruptions synchronisées », mais cela ne suffit toujours pas à expliquer l'intégralité de ce qui compose le pic majeur d'acidité découvert dans les carottes de glace.

Ces quatre volcans sont situés dans l'hémisphère nord. Le plus méridional est Théra à 36° de latitude Nord, tandis que Saint-Helens et Aniakchak sont situés au-dessus de 45° de latitude Nord (53° et 56°), tandis que le Vésuve se situe à 40°.

Mais malgré leurs ampleurs exceptionnelles, ces quatre éruptions ne représentent qu'environ 42 % de la poussière atmosphérique totale présente dans les carottes de glace.

Alors ?

Cette concentration d'activité volcanique se situait exclusivement dans l'hémisphère nord, alors que des recherches effectuées dans des carottages en Antarctique ont révélé que le pic d'acide sulfurique relevé vers 1620 av. J.-C. est presque quatre fois supérieur en Antarctique avec 620 parties par milliard contre 180 pour le Groenland. D’où peuvent provenir ces 58 % de poussières atmosphériques EN TROP ?

Et qu’est-ce qui a pu déclencher quasi simultanément au moins quatre éruptions volcaniques majeures ?

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Quant à celles et ceux qui veulent en savoir plus, j’ai ceci :

https://www.thebookedition.com/fr/tonton-malthus-est-revenu--p-381845.html         

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/03/retour-sur-le-climat-le-vrai-partie-11.html

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Retour sur le climat : le vrai (Partie 9)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/01/retour-sur-le-climat-le-vrai-partie-1.html

Dans notre histoire les comètes ont souvent été des « anges noirs » annonciateurs de plaies diverses et variées. Si c’est le cas, le lien avec Katchina sera rapidement fait. En effet nombre de cultures à travers le monde s’attendent à une comète de fin des temps, et les indiens Hopis qui habitent ce pays qu’on appelle les « Quatre Coins », où se rejoignent l’Arizona, le Nouveau Mexique, l’Utah et le Colorado, croient à la création de neuf mondes successifs.

D’après eux, le Quatrième Monde s’achève, il nous en reste encore cinq à vivre… Ils s’attendent donc comme de nombreux peuples anciens à la venue d’une comète.

« Quand l’étoile bleue Kachina apparaîtra dans le ciel, émergera le Cinquième Monde. Ce sera le Jour de la Purification. »

On peut penser que nos dirigeants continuent à jouer adroitement sur les cordes de la peur ou alors que réellement quelque chose se prépare en bleu ou en vert, par l’intermédiaire d’un visiteur glacé venant des confins du système solaire déjà venu effectuer un bref clin d’œil à nos lointains ancêtres.

Le temps exceptionnellement doux au tournant de l’année en Europe centrale renforce certains dans ce pays dans l’idée que le réchauffement climatique lié au CO2 bat son plein. À l’échelle mondiale, et c’est tout ce qui compte, les températures évoluent dans une direction différente avec la baisse des températures dans l’Atlantique Nord jusqu’en 2040.

Orages monstrueux, gigantesques ouragans, lacs qui disparaissent brusquement, augmentation des éruptions volcaniques et des tremblements de terre, sont tous la résultante d’un seul phénomène méconnu : Nous vivons le déclin de l'activité solaire le plus rapide depuis des milliers d’années.

 

Le 23 juin 2015 paraissait dans Nature  une étude reprise dans Tonton Malthus est revenu ! Elle expliquait que le récent minimum solaire prolongé et le faible cycle solaire 24 qui s'en est suivi ont conduit à penser que le grand maximum solaire pourrait être sur le point de se terminer.

En 2010, toujours selon l'étude, les scientifiques avaient estimé à seulement 8 % la probabilité d'un retour à des conditions similaires au minimum de Maunder dans les 40 prochaines années.

En astronomie, ce minimum de Maunder correspond à une époque approximativement située entre 1645 et 1715, durant laquelle le nombre de taches solaires (et son activité de surface) était significativement plus faible qu'aujourd'hui. Cette époque correspond au cœur d'une période, le petit âge glaciaire, où le climat terrestre était froid en Europe, en Amérique du Nord et en Chine. Le climat terrestre est fonction de l'activité magnétique du Soleil.

Et ce déclin de l'activité solaire s'est poursuivi, l'estimation de la probabilité de 8 % a alors été  portée à un taux compris entre 15 et 20 %. »

Mais le constat actuel est flagrant, les probabilités sont bien plus élevées que cela.

De nombreuses études ont identifié des liens entre le climat passé et la variabilité solaire. Durant le minimum de Maunder (1645-1715), très peu de taches solaires ont été observées malgré des observations régulières. Ce minimum de Maunder a coïncidé avec des hivers plus rigoureux au Royaume-Uni et en Europe continentale.

Sur des périodes plus longues, un grand minimum d'activité solaire comme celui du Minimum Homérique, il y a environ 2 750 à 2550 ans, a affecté les conditions climatiques à travers toute l'Europe occidentale. 

Les auteurs prévoient donc comme je l’écris depuis plus de dix ans une diminution progressive des conditions de vie pour atteindre celles du minimum de Maunder, qui durera quelques décennies.

Malheureusement, omerta oblige et pensée mondialiste faisant son chemin, ces chercheurs avaient à l'époque embrassé le gros cul d’Al Gore et son idée du réchauffement climatique, en disant qu'une fois que le grand minimum solaire aurait pris fin, le réchauffement climatique se poursuivrait.

Bien entendu, ils ont formulé leur avertissement en termes plus scientifiques : « Un minimum solaire aussi prolongé ne ferait pas grand-chose pour compenser ou retarder de manière substantielle le réchauffement dû à l'augmentation prévue des gaz à effet de serre persistants. »

Covid-19 et crise de tout aidant, je me demande combien de survivants seront inquiets du réchauffement climatique après que des milliards de personnes seront mortes de faim ou auront été tuées dans des guerres déclenchées par une quête de nourriture et le besoin de terres arables.

De fait, un Grand Solar Minimum est à nos portes. Et j'ai consacré quelques pages à cette scientifique dans Tonton Malthus est revenu !

La professeure Valentina Zharkova avait fait une présentation de son hypothèse sur le climat et le champ magnétique solaire à la Global Warming Policy Foundation en octobre 2018. 

Elle fut l'une des rares spécialistes du climat à prédire correctement que le cycle solaire 24 désormais révolu serait plus faible que le cycle 23. Ses modèles ont fonctionné à plus de 93% et ses résultats suggéraient qu'un Super Grand Solar Minimum était là au-dessus de nos p’tites têtes à partir de 2020. Il fonctionnera pendant 350 à 400 ans. La dernière fois que nous avons eu un petit âge glaciaire, seuls deux champs magnétiques du soleil s’étaient déphasés. Cette fois, ce sont quatre champs qui le sont.

À tous ceux qui croient aux pires scénarii des réchauffistes du GIEC, ce n’est pas chaud que nous allons bientôt avoir, mais très froid au cul avec non pas une augmentation de 1,5 watts par mètre carré, mais une diminution de 8 watts par mètre carré de TSI pour la planète.

En astronomie, une syzygie (réunion) est une situation où trois objets célestes ou plus sont alignés en conjonction ou en opposition. Ce terme est généralement utilisé pour le Soleil, la Terre et la Lune ou une planète.

Par exemple, les éclipses de lune ou de soleil sont des syzygies ; on emploie ce terme pour désigner les nouvelles et pleines lunes, lorsque le Soleil et la Lune sont respectivement en conjonction et en opposition, bien qu'ils ne soient pas parfaitement alignés avec la Terre.

Une conjonction de deux objets célestes, en astronomie et en astrologie, signifie que, vus depuis un troisième (généralement la Terre), ils apparaissent très proches l'un de l'autre dans le ciel. En astronomie et en astrologie, l'opposition est un terme utilisé lorsque deux objets se trouvent du côté opposé de la sphère céleste vus depuis un troisième objet.

En particulier, vues de la Terre, deux planètes sont en opposition lorsque leurs ascensions droites diffèrent de 12 heures, ou parfois, lorsque leurs longitudes écliptiques diffèrent de 180°.

Ainsi, notre soleil était en syzygie avec Jupiter le 14 juillet 2020, c’est-à-dire en opposition, avec la terre au centre. Le 20 juillet, il était en syzygie avec Saturne et nous étions encore au centre du feux d’artifice débuté ce 14 juillet. 

Oubliez les discours de tous ces cons vendus au N.O.M., et préparez-vous simplement. Le temps est  écoulé.

Les isotopes sont des atomes possédant le même numéro atomique, (même nombre de protons) mais de masse atomique différente (nombre différent de neutrons). La plupart des éléments se présentent naturellement sous forme d'un mélange d'isotopes. L'oxygène naturel est constitué des trois isotopes stables 16O, 17O et 18O, 16O étant le plus abondant.

L'importante abondance relative et absolue de 16O s'explique par le fait qu'il est un produit principal de l'évolution des étoiles. Les molécules d'eau contenant l'isotope le plus léger sont plus susceptibles de s'évaporer et de retomber sous la forme de précipitations, ainsi l'eau de glacier et la glace polaire contiennent légèrement moins (0,1981 %) de l'isotope lourd 18O que l'air (0,204 %) ou l'eau de mer (0,1995 %).

Cette disparité permet des analyses de températures anciennes via l'étude de carottes de glace. La ligne verticale noire du diagramme GISP2 correspondant à la température enregistrée dans les carottes de glace du Groenland. Un événement situé il y a 3 600 ans porte la marque d'une baisse brutale de la température.

La chute brutale de température mesurée par l'isotope Oxygène 18 n'est pas le seul paramètre atmosphérique signifiant. Parmi eux signalons un pic majeur de 140 parties par milliard dans la concentration de sulfate (SO4), soit une concentration dix fois plus importante que la moyenne observée de l'ordre de 15 parties par milliard dans les siècles qui ont suivi.

Or, comme je l’ai relaté en 2016 dans le tome 1 de Dernier regard sur un monde corrompu, un événement catastrophique s'est produit il y a environ 3 600 ans. 1628 av. J.-C. fut l'année de l'éruption du Théra, un volcan situé en Méditerranée orientale qui portera ensuite le nom de Santorin.

Elle aurait été cinquante fois plus importante que celle du Krakatoa, l’éruption de 1883 en Indonésie. Ses explosions ont été entendues à une distance de 4 800 kilomètres. Ses cendres ont été propulsées à 80 kilomètres dans l'atmosphère et son onde de pression a fait le tour du globe près de quatre fois. Des dizaines de milliers de personnes ont été tuées et les températures moyennes ont chuté de 1,2 °C dans l'année qui a suivi l'éruption.

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Quant à celles et ceux qui veulent en savoir plus, j’ai ceci :

https://www.thebookedition.com/fr/tonton-malthus-est-revenu--p-381845.html        

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/02/retour-sur-le-climat-le-vrai-partie-10.html

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Retour sur le climat : le vrai (Partie 8)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/01/retour-sur-le-climat-le-vrai-partie-1.html

Depuis un certain temps, beaucoup sont sensibilisés au thème du Killshot, une tempête solaire d’ampleur capable de griller la majorité de l'infrastructure électrique de notre planète.

Le soleil est ainsi suivi quotidiennement par des milliers d'internautes prêts à lancer l'alerte, car il fait souvent des siennes. Les élites connaissent ce rôle mais le garde jalousement pour eux.

Ainsi, grâce au principe des alignements planétaires, la NASA anticipe ce danger des années à l'avance. En Novembre 2003, une éruption de classe X 40 aurait pu anéantir le monde tel que nous le connaissons si elle avait été dirigée vers la Terre (elle était causée par un alignement mettant en jeu Jupiter et un corps inconnu « X »)

Entre temps, aucune éruption d'une telle ampleur n'avait eu lieu, du moins si l'on en croit les enfoirés de la NASA. C'était avant qu’un savant : le professeur Daniel Baker de l'université Boulder du Colorado ne dévoile le pot aux roses, en révélant au monde qu’en Juillet 2012, une éruption solaire extrêmement puissante aurait pu constituer une catastrophe technologique majeure en court-circuitant les satellites, les réseaux électriques, les équipements de télécommunication et la sécurité des astronautes et du personnel navigant.

Selon lui, elle a engendré une éjection massive de matière solaire (EMC) se déplaçant à plus de 10 millions km/h. Elle est survenue de l'autre côté du soleil à partir d'une région qui faisait face à la Terre une semaine plus tôt.

Cette éjection de masse coronale (EMC), a sans doute été plus puissante que la fameuse tempête de Carrington de 1859 qui grilla un grand nombre de lignes télégraphiques et qui engendra des aurores boréales jusqu'à l'Amérique centrale.

La NASA opère ainsi à deux niveaux d’informations : scientifique ; et des brides d’infos pour les moutons. Dès lors peut-on faire confiance à cet organisme phagocyté par la Maçonnerie et voué comme la plupart des scientifiques à l’avènement de leur N.O.M. ?

Plus haut et entre parenthèses j’ai écrit : « elle était causée par un alignement mettant en jeu Jupiter et un corps inconnu « X » ».  C’est en effet en 1966 qu’on avait découvert une masse étrange dans le système solaire.

Elle se situait dans une direction très proche de la constellation du Cancer. En son temps, Zacharie Sitchin (1920-2010) avait interprété Nibiru comme une planète qui revient de manière récurrente. À contrario, les anciens considéraient toujours l’univers sous l’angle de l’astroclimat.

Nibiru, la planète qui revient tous les 3600 ans, est un piège du Web. Cette théorie a été conçue afin de faire affabuler et mettre ainsi à l’écart l’astroclimat, en laissant à penser que nos grands cataclysmes reposent sur des catastrophes créées par la gravitation alors qu’en réalité ils sont d’origine électromagnétique.

Un corps noir, invisible, cela n’est pas sans rappeler le soleil noir des occultistes ou celui de tonton Adolphe, ou de Lord Bracken réalisé en l’honneur de son pote Churchill. En tous cas, cela permet astucieusement de minimiser l’impact de l’astroclimat.

En faisant le parallèle entre les religions, il est possible de retrouver la correspondance entre cycles et croyances, particulièrement chez les Indiens, religion dans laquelle les exégètes étaient appelés les Brahman.

Chez les Chaldéens, la période mythique était exprimée en sars de 3600, en NERS de 600, et en SOSS de 60 ans. 60 ans, soit la période précise entre deux conjonctions Jupiter/Saturne, ou Zeus/Chronos, au même endroit du zodiaque. 

Cette période était la composante essentielle du cycle de 360 années au centre de toute le géo-climat. 12 de ces « années divines » donnent 4320 ans, soit l’âge de la durée du monde selon les Brahms et les Égyptiens, ce qui serait aussi la période entre le grand déluge et 2020.

En recoupant toutes ces informations volontairement cachées et disséminées, on pouvait considérer que notre calvaire allait commencer en 2020. Voilà pourquoi j'averti mes lecteurs depuis 2013.

Ce n’est pas un évènement, c’est une série d’évènements qui vont se poursuivre jusqu’en 2030, souvenez-vous des 3% d’erreur de l’astrophysicienne Valentina Zharkova

Elle admet une marge d’erreur de 3% dans sa prévision d’un nouvel âge glaciaire à partir de 2030 qui serait la conséquence de la désynchronisation de cette dynamo géante qu’est le soleil.

Après, ce sont des déplacements de températures très importants qui vont affecter les cultures de plus en plus lourdement du sud au nord avec un point culminant entre 2023 et 2026. 2023 constituant un catalyseur. Pourquoi ? PARCE QUE : 2021+2022+2023 ça nous fait 6066.

Ce 666 qui fait tant bander l'élite satanique.

En plus de l’appauvrissement des sources de nourriture, de l’instabilité climatique grandissante et des plaies diverses et variées créées artificiellement et additionnées aux plaies célestes, ce sera la fin du monde connu. Ou plus exactement l'Ordo ab Chaos si désiré par une élite.

Les franges continentales submergées qui bordent tous les continents sur une centaine de kilomètres à faible profondeur contiennent énormément d’histoire. Tous les peuples de la planète ont ces légendes à propos de terres disparues sous la mer et auxquelles, élite aidant, on ne croit plu.

De nombreuses cartes marines anciennes présentent des îles qui n’existent plus dont la localisation se retrouve sur des hauts fonds marins. Avant que je l’expose, vous avez déjà entendu cette possibilité que les mers aient été à une époque ancienne plus basse qu’elles ne le sont de nos jours et qu’elles exposaient alors de grandes terres bordant les mers actuelles et des îles qui sont aujourd’hui inondées.

Ceux qui ont repoussé d’un revers de la main ces « théories » sont les tenants de notre véritable Histoire. Voilà la raison pour laquelle cette frange continentale est la partie la plus floutée et la plus importante de Google Earth, le bleu pâle, cette large zone de débordement des fosses océanique qui entoure tous les océans, une profondeur qui apparait correspondre à la période avant notre ère. Tout a été flouté, dissimulant ainsi tous les détails.

https://www.thebookedition.com/fr/une-autre-histoire-la-vraie--p-392634.html

La chaleur cessera cette année, en 2023. À partir de là, la pluie prendra beaucoup d’intensité. Elle retombera sous forme de neige qui va demeurer sur les continents diminuant la hauteur des mers, ajoutant au froid, et asséchant les sources.

Tous les centres continentaux vont être figés sous la glace. Il faudra alors descendre vers le sud et vers les rivages marins. Deux vagues de froid vont alors correspondre à deux périples de Jupiter sur une douzaine d’années. C’est l’abaissement de la mer qui va occasionner un froid durable. La pression atmosphérique va chuter entrainant le froid comme en montagne. L’eau va manquer ainsi que la nourriture. Les étés seront très secs et les hivers très froids.

Les merdias serviles nous expliquerons alors que ces grands froids ne peuvent pas durer longtemps, car la Terre se réchauffe et que tout cela est dû à des effets de convections.

Deux grandes crises ont lieu par millénaire, une de chaleur extrême et une de froid extrême. L’intensité de l’une ne présage pas de celle de l’autre. La dernière crise de chaleur s’est déroulée vers 1500.  Les seules zones de vie normale seront situées approximativement entre le 50e parallèle nord jusqu’à 10° au-dessus du Tropique du Capricorne pour l’hémisphère sud.

Le reste sera impossible à vivre, autrement il faudra se rabattre sur les rivages marins essentiels, car c’est la seule ressource permanente.

De grands froids ont affecté le Québec et le reste de l’Amérique depuis Noel 2017, des températures pouvant descendre jusqu'à -50 degrés ont sévit jusqu'au début du mois de janvier 2018 dans plusieurs provinces. Il a neigé en Egypte et dans le désert. Ailleurs, les feux, les tempêtes et les coulées de boues ne sont qu’une pâle image de ce qui approche. La NASA a avisé du cycle de froid qui a commencé en 2018.

Quand la nourriture va coûter 10 fois le prix, les gens vont se réveiller très vite, et des « fous » comme moi, peut-être déjà mort, seront vus comme des prophètes, mais un peu trop tardivement. C’est un portail durant lequel tout sera propice à l’émergence de pandémies. Ce « pré-alignement » a pris toute sa puissance dès le printemps 2018. À partir de maintenant, il y aura une foule d’évènements célestes rares et inédits.

Mais en plus de ceux naturellement produits, nous pouvons compter sur l'élite qui "Projet blue beam" aidant, va en profiter pour en rajouter  une couche, question stupeur.

Des milliers d’années après son précédent passage, une comète verte est apparue dans le ciel nocturne en janvier. Découverte le 2 mars 2022 par des astronomes à l’observatoire Palomar dans le comté de San Diego, en Californie, elle s’est approchée au plus près du Soleil le 12 janvier dernier.

Visible depuis la Terre sous la forme d’un petit point vert, on l’a nommée C / 2022 E3 (ZTF). D’environ un kilomètre de diamètre, elle a une orbite autour du soleil qui traverse les confins du système solaire, c’est pourquoi il a fallu si longtemps entre son dernier passage et aujourd’hui.

Elle s’est régulièrement éclaircie à l’approche du Soleil, et a fait ensuite son passage le plus proche de la Terre entre le 1er février et le 2 février, à environ 42 millions de kilomètres. La comète était alors à 0,28390 unités astronomiques de la Terre. L’unité astronomique (au) est une unité de longueur pour exprimer les dimensions dans le système solaire et l’Univers. 1 au = 149 597 870 700 mètres. Cela correspond à la distance Terre-Soleil.

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Quant à celles et ceux qui veulent en savoir plus, j’ai ceci :

https://www.thebookedition.com/fr/tonton-malthus-est-revenu--p-381845.html        

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/02/retour-sur-le-climat-le-vrai-partie-9.html

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Retour sur le climat : le vrai (Partie 7)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/01/retour-sur-le-climat-le-vrai-partie-1.html

Alors, qu’est-ce qui peut bien causer toute cette température folle ? Comme je l’ai déjà écrit et  dit dans mes vidéos, le soleil se comporte étrangement. Son activité a considérablement diminué.  Lorsqu’il y a très peu de taches, il y a généralement des hivers très froids, et c’est précisément ce que nous vivons actuellement. Et, s’il ne se réveille pas, les experts nous disent que nous pourrions nous diriger vers un « mini-âge glaciaire ».

La circulation des courants océaniques dans l’Atlantique est devenue tellement faible qu’elle leur rappelle le schéma qui s’est produit au cours du dernier « mini-âge glaciaire ».

Les scientifiques ont découvert que l’affaiblissement des courants ressemblait à ceux qui se sont produits juste avant le petit âge glaciaire, observée entre environ 1600 et 1850. Au cours de cette période, la mer Baltique, ainsi que de nombreux lacs et rivières d’Europe, ont gelé.  Et, des études récentes démontrent que les courants dans l’océan Atlantique nord sont au plus bas depuis 1500 ans.

Cela va à l’encontre des exagérations sur le climat que vous avez entendues.  Même un scientifique de la NASA avertit « qu’une diminution de l’activité solaire pourrait signifier l’hiver le plus froid des temps modernes ».

Si nous entrons dans une « mini ère glaciaire », ou même si nous ne connaissons que des hivers difficiles pour les prochaines années, cela pourrait peser énormément sur la production alimentaire sachant ce que vous venez déjà de lire. Nous en sommes déjà au point où l’approvisionnement alimentaire mondial devient VOLONTAIREMENT vulnérable.

Et un  rapport rédigé par 130 universitaires a mis en garde sur le fait que l’approvisionnement devient de plus en plus vulnérable aux conditions météorologiques extrêmes. Dans le même temps, l’humanité n’a toujours pas atteint ses objectifs en matière de nutrition, le nombre de personnes sous-alimentées étant en augmentation constante.

Quant à leur intox sur le réchauffement, il est vrai que l’argument de base semble sensé.  Si vous ajoutez des milliards de tonnes de gaz à effet de serre connu comme le C02 dans l’atmosphère, il faut s’attendre à une augmentation de la température mondiale. Et c’est vrai, depuis le début de l’ère industrielle, les niveaux de CO2 ont augmenté

Nous l’avons vu, la météo est très complexe, et il pourrait facilement y avoir un facteur inconnu qui pourrait invalider les hausses des températures qui de toutes manières ne sont pas provoquées par les activités humaines. Jusqu’à fin 2007, pour les journalopes, nous avions « des signes forts de réchauffement. »  « Les années 2005 et 2006 furent les plus chaudes jamais enregistrées. »

En 2006, plusieurs violentes tempêtes tropicales eurent lieu tout autour du globe, et l’Australie connu sa pire sécheresse jamais enregistrée. En 2007, les glaciers et les calottes glaciaires des pôles montraient des signes de fontes rapides, et les Pays Bas enregistrèrent cette année comme la plus chaude depuis 1706.

Puis quelqu’un a soudainement décidé de baisser le thermostat. Pendant six années consécutives, les différentes régions du monde ont connu des périodes de froid. En 2008, la Chine et l’Asie centrale virent la neige pour la première fois de mémoire d’homme dans certaines parties.

En 2009, les Grands Lacs américains enregistrèrent un de leurs étés les plus frais. En 2010, la totalité de la Floride fut frigorifiée comme jamais, ainsi que l’Argentine, l’Uruguay et le Chili. En 2011, Nowata en Oklahoma, a établi un nouveau record pour l’ensemble de l’état à -35°C, et la Corée du Sud a connu des températures les plus froides en 96 ans.

En 2012, Jim River, en Arkansas, a atteint la température la plus froide de tous les temps avec un record de -62°C. En 2013, la Chine a connu son mois de janvier le plus froid depuis des décennies et l’Allemagne son mois de mars le plus froid depuis 1883. 2013 connu le printemps le plus froid en moyenne jamais enregistré aux États-Unis, et fut l’année ou la température la plus froide jamais enregistrée sur terre avait atteint un nouveau record. 

La NASA, en août 2010, avait annoncé -93°C.  Le 31 juillet 2013, elle indiquait encore avec -92,9°C. L’ancien record avait été    - 89,2 degrés Celsius. En 2013, les États-Unis avaient eu une moyenne nationale de 15 degrés plus froide que n’importe quelle autre journée de la saison hivernale de 2012-2013. 

Le Caire avait connu sa première chute de neige en 100 ans. Cependant, ça n’avait pas découragé les promoteurs du réchauffement climatique.  Al Gore, avait réussi à trouver le moyen de s’en sortir.  Il publiait ceci sur son site : « Comme il s’avère, la communauté scientifique s’est penchée sur cette question en particulier pour un certain temps et ils disent que l’augmentation des chutes de neige est complètement compatible avec ce qu’ils avaient prédit comme une conséquence du réchauffement climatique produit par l’homme. En fait, les scientifiques ont mis en garde pendant au moins deux décennies que le réchauffement climatique pourrait produire des tempêtes de neige plus sévères.  La neige a deux ingrédients simples le froid et l’humidité.  L’air chaud recueille l’humidité comme une éponge jusqu’à ce qu’il atteigne une masse d’air froid. Lorsque la température descend en dessous de zéro, beaucoup d’humidité va créer beaucoup de neige. »

Avec ces blackbouleurs de la vérité on se demande combien de personnes devront mourir de froid à cause du réchauffement de la planète avant le grand réveil des consciences.  Afin de conforter mon propos, je vous invite à visionner cette vidéo sur YouTube : François Gervais L’urgence climatique est un leurre.

https://youtu.be/iK3G8wqqp_k.  

Elle n’est pas la seule, il y en a beaucoup qui, plus scientifiques que moi, défendent néanmoins ma position. Cela ne m’empêche pas de recevoir ce genre de propos émanant de parasites sur ma chaine (j’ai corrigé les fautes) : « Bordel ! le ridicule ne tue pas heureusement pour vous…C'est sûr qu'un obscur quidam sans culture est mieux informé que l'académie des sciences qui établit la réalité du réchauffement et de la responsabilité humaine… »

Malgré tous ces cons, les climatologues honnêtes nous prévoient de drôles de choses très prochainement, et je ne les démentirai pas. Des phénomènes météorologiques intenses sont déjà là, présents, dans notre quotidien. Depuis début 2018, avez-vous déjà oublié les tornades, les sécheresses, les grands froids ou les précipitations violentes !?

Les récoltes pourraient et vont devenir de plus en plus aléatoires. Exemple : à cause de la sécheresse, les Etats-Unis n'auraient actuellement en stock que quelques % du maïs qu'ils consommeront dans l'année. Là dessus vient se rajouter la guerre en Ukraine et la volonté délibérée de Davos pour nous voir  crever de faim et bouffer des insectes.

Conséquence de la diminution des stocks, les prix s'emballent rendant encore plus difficile pour les populations pauvres l'accès à la nourriture. De surcroît, beaucoup d'ONG dénoncent la spéculation des banksters sur les matières premières, ou encore les agrocarburants, puisqu’on a poussé la connerie jusqu’à mettre dans nos voitures des céréales qui pouvaient nourrir des millions d’enfants qui crèvent de faim depuis des décennies dans le déni le plus total.

Conclusion : la punition arrive.

Nous avons laissé faire dans l’indifférence la plus totale, trop préoccupés par notre tour de taille, nos futures vacances, les résultats du foot et des J.O., et j’en passe. Le phénomène d'accaparement de terres par des pays étrangers, menace l'alimentation des populations locales dans des régions souvent déjà défavorisées par un modèle agricole dicté par la concurrence mondiale.  Nous allons bientôt pleurer !

En Afrique, là où des millions d’enfants meurent de faim, le continent est pourtant riche en ressources diverses. Mais la Force veille avec Dark Vador. Il n’y a pas d’étoile noire afin d’y faire régner la terreur, y règne seulement un esprit bien plus noir encore, celui de l'Empire. Il est là, et des millions d’enfants noirs en meurent.

En 2017, Vladimir Poutine avait remis en cause la responsabilité de l'homme dans le changement climatique, au moment où Donald Trump promettait de prendre position sur l'accord de Paris sur le climat qu'il avait critiqué pendant sa campagne présidentielle.

« Le réchauffement, il a commencé dans les années 1930 », avait déclaré M. Poutine, lors d'un Forum sur l'Arctique à Arkhangelsk, dans le Grand nord russe. « À l'époque, il n'y avait pas encore de tels facteurs anthropologiques comme les émissions (de gaz à effet de serre) mais le réchauffement avait déjà commencé », avait-il affirmé.

Selon lui, il est impossible d'empêcher ce réchauffement qui pourrait être lié notamment selon lui « à des cycles globaux sur Terre. La question est de s'y adapter », avait-il estimé. Ces déclarations intervenaient alors que la Maison-Blanche avait annoncé que Trump prendrait position d'ici fin mai sur l'accord de Paris sur le climat, signé fin 2015 par plus de 190 pays, dont les États-Unis.

Pendant sa campagne Trump avait en effet promis de se retirer de cet accord et de cesser tout paiement des contribuables américains aux programmes de l'ONU sur le changement climatique. Les États-Unis sont le deuxième plus gros émetteur de gaz à effet de serre derrière la Chine. Poutine, avait fait, lors de ce déplacement, l'éloge du réchauffement climatique, relevant que la fonte des glaces facilitait la navigation dans cette région, ainsi que son « exploitation à des fins économiques, tout comme l'extraction des ressources naturelles. »

Ses propos tranchaient avec ses déclarations lors de l'ouverture de la conférence mondiale sur le climat de Paris en 2015 : « La qualité de la vie de tous les habitants de la planète dépend du règlement du problème climatique, avait alors déclaré M. Poutine, en louant les efforts de la Russie en matière de réduction des émissions de gaz à l'effet de serre qui ont permis de freiner d'un an le réchauffement climatique. »

Je partage l’avis du Président Poutine sur le fait que l’homme n’y est pour rien. Je partage également, mais en partie, son avis sur, je cite :   « des cycles globaux sur Terre. La question est de s'y adapter. »

Je suis parfaitement d’accord sur l’existence de cycles globaux et la suite vous en convaincra. Néanmoins, mon rôle est ici de tenter de mettre bien en évidence la dichotomie existante entre nous les gueux et eux les élites.

Souvenez-vous de l’Arctique, des réserves de graines et de la mémoire de notre société. Rappelez-vous également des Georgia Guidestones, et de la menace à peine cachée qu’elle fait peser sur la plèbe, ce, à l’échelon planétaire. Une plèbe qui, pendant qu’eux se préparent à s’enterrer dans des trous bien au chaud, se comporte comme dans la Rome antique avec comme maître mot : « panem et circenses » : littéralement « pain et jeux du cirque ».

Et du pain et des jeux nous en avons et à profusion. Du pain et de la bouffe de très mauvaise qualité certes, mais « dieu soit loué » nous mangeons ou plutôt nous bouffons encore.

On n’est pas au Yémen. En plus nous avons le foot, les J.O., les séries, le cul, l’alcool, les drogues et Cyril Hanouna. Bref, de quoi nous faire oublier l’essentiel, bêh bêh bêh ! Tels des mougeons, mélange de mouton et de pigeon, nous nous dirigeons bien sagement vers l’abattoir. La NASA a cherché à occulter le rôle des alignements planétaires sur le climat et la géologie de notre planète.

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Quant à celles et ceux qui veulent en savoir plus, j’ai ceci :

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Retour sur le climat : le vrai (Partie 6)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/01/retour-sur-le-climat-le-vrai-partie-1.html

Paris fut inondée en 1658 et en 1910. Je vous invite à vérifier les similitudes astronomiques planétaires à ces époques. Vous constaterez alors une étrange concordance avec ce qui approchait en 2020. Pendant ce temps, l’élite se préparait dans le but de faire face à une éventuelle catastrophe mondiale : guerre, changement climatique, maladies.

Nous avons tous entendu parler du Svalbard. C’est une chambre forte souterraine isolée sur l’île norvégienne du Spitzberg, une réserve de semences couvrant toutes les diversités et destinée à conserver dans un lieu sécurisé des graines de toutes les cultures vivrières de la planète.

Cette arche des temps modernes n’est désormais plus la seule. Une nouvelle voisine existe désormais, elle est conçue pour assurer la survie des livres et documents les plus importants du monde. On appelle ce bunker l’archive mondiale de l’Arctique. Il est bâti aux côtés de la Réserve mondiale de semences, à environ 1 120 km du pôle Nord, dans le pergélisol gelé de l’Arctique.

Fait remarquable, au lieu de tirer parti des systèmes de sécurité des données les plus avancées connues à ce jour, nos « élites » ont opté pour une approche plus analogique et rétrograde ? Ils ont choisi de tout stocker sur pellicule photosensible, beaucoup plus sûre que le numérique selon eux. 

La mémoire de notre précieuse « civilisation » se retrouve physiquement « gravée » sur des bobines de films. Là, désormais, en Arctique, la mémoire de l’humanité se retrouve « gravée dans la pierre. » Les experts assurent que, de ce fait, les données ne seront pas vulnérables aux cybers attaques. Les conditions du pergélisol garantiront quant à elles une température constante pendant des siècles.

Selon les estimations, même si les températures extérieures augmentent de façon spectaculaire, en cas de guerre nucléaire, ou de changement climatique brusque par exemple, les données pourront survivre pendant au moins 500 ans.

C’est en quelque sorte donnant-donnant, 500 millions de survivants pour 500 ans.

Et ils font bien nos élites, ils ont le « nez » car pour la toute première fois, des jets de plasma supersoniques atteignant des températures de 10.000 °C ont été détectés dans l’ionosphère (la haute atmosphère terrestre).

Cela a modifié radicalement sa composition chimique. Cette couche atmosphérique couvre de 75 à 1 000 kilomètres au-dessus de nos têtes.

Olaf Birkeland (1867-1917), est un physicien norvégien qui s'intéressa au vent solaire et expliqua le mécanisme des aurores polaires. Ses contributions à la science l'ont amené à être proposé huit fois pour le prix Nobel (quatre fois en chimie et quatre fois en physique).

En plus d'expliquer les aurores boréales, ces expériences lui permirent d'expliquer d'autres phénomènes liés aux queues des comètes, aux anneaux de Saturne et à la lumière zodiacale.

Il proposait l’idée que de vastes courants électriques alimentés par les vents solaires voyageaient dans cette couche par le champ magnétique terrestre.

Plus tard, les premiers satellites envoyés dans la haute atmosphère confirmeront l’existence de ces courants très puissants dits « courants de Birkeland ». Responsables des aurores boréales et australes, ils peuvent en atteindre jusqu’à 1 TW c'est-à-dire 10 puissance 12 d’énergie électrique dans l’atmosphère supérieure, soit l’équivalent d’un tiers de la consommation annuelle totale d’énergie d’un pays comme les États-Unis.

En 2013, l’Agence spatiale européenne (ESA) envoya trois satellites Swarm dans l’espace entre l’ionosphère de la Terre et la magnétosphère pour enquêter sur ces fameux courants de Birkeland.

Depuis leur lancement, ces satellites ont étudié les différents signaux magnétiques du noyau de la Terre, du manteau, de la croûte, des océans, de l’ionosphère et de la magnétosphère. Ce que les scientifiques constatèrent alors fut stupéfiant.

Ces puissants champs électriques peuvent entraîner des jets de plasma supersoniques : des courants électriques hyper puissants.

De quoi nous faire réfléchir concernant la "conquête " spatiale !

https://www.thebookedition.com/fr/nachash-p-388763.html

En conséquence, ces jets peuvent chauffer l’ionosphère à des températures proches de 10 000 °C, et en modifier complètement la composition chimique. Ils font alors monter les courants de l’ionosphère à des altitudes plus élevées où l’excitation supplémentaire entraîne des pertes de matière dans l’espace.

Ces courants sont plus forts dans l’hémisphère nord et varient selon la saison. Ils sont plus intenses en hiver. La conclusion est simple, une fois encore nous pouvons constater que la Gaïa d’Al gore et de sa petite bande de menteurs n’a pas besoin des humains pour se réchauffer ou se refroidir.

Avant d’aller plus loin, je ne résiste pas à cette p’tite dernière pour la route ! J’ai écrit que mon  livre Tonton Malthus était destiné à paraître fin 2018, et que j’en avais retardé la parution aux vues de la richesse des événements. Ce qui me permet, aux vus des éléments anxiogènes évoqués jusqu’ici, de vous exposer cette tartuferie.

En janvier 2019, à Davos, les pollueurs étaient venus comme d’habitude se préoccuper du climat en jet privé. Lors de ce cirque barnum, on peut croiser à la fois de farouches défenseurs de l’environnement et des patrons d’entreprises polluantes. Etant chacun venu en « p’tit navion », tout ce « beau monde » s’efforçait de conjuguer bonnes affaires et respect de la planète.

Il est bon de figurer au Forum économique de Davos, y venir est pour eux une évidence. Peu leur importe qu’il s’agisse du rassemblement d’une élite responsable de tous les maux que nous subissons à l’heure actuelle, ils ne sont plus à un non-sens près.

On y a fait feu de tout bois afin de verdir l’événement : des limousines électriques transportent les personnalités officielles pendant que la marche dans les rues enneigées, avec crampons, était « fortement recommandée » pour les subalternes.

De nombreux ateliers autour de la lutte contre les déchets en plastique y ont été proposés avec en toile de fond la projection de Notre planète, un documentaire de David Attenborough qui a fait pleurer Marco Lambertini, le directeur général du Fonds mondial pour la nature (WWF), un « héritier » de Sir Julian Huxley.

Dans tout ce théâtre, cette bouffonnerie grandiose, une Jennifer Morgan, directrice exécutive de l’organisation non-gouvernementale britannique Greenpeace s’efforça de convaincre les climatosceptiques affichés, au grand dam des ONG, inquiètes de l’impact de ses projets économiques pour la forêt amazonienne et les tribus autochtones.

Mais que l’on se rassure, dormons sur nos deux oreilles comme Nicolas et Pimprenelle, la directrice de Greenpeace œuvrait là aux côtés de grandes figures de l’écologie : l’ex-vice-président américain Al Gore, et pour faire beau et faire ainsi pleurer la ménagère de plus de 50 ans, il y avait aussi la primatologue Jane Goodall, le naturaliste David Attenborough, etc.

De l’industrie pétrolière à la chimie en passant par les transports ou l’agroalimentaire, ces « chevaliers » des temps modernes ont de quoi faire avec tous ces « bons patrons » à convertir aux énergies renouvelables ou aux alternatives au plastique. Et pour cela on avait pensé à tout, les pailles en plastiques étaient bannies, et ces messieurs avaient dû manger dans des assiettes en carton recyclable pendant que Mimil du Gland leur servait du saucisson mais pas de pinard, non, du soda m’sieur et dans des bouteilles en verre.

Ne manquait plus qu’un p’tit reportage sur les baleines dont Greenpeace a la recette, ou sur les ours polaires en voie d'extinction au Canada, alors que les Inuits brisent le consensus, et hop ! les gueux auront bien vite oublié le nombre record de vols de jets privés qui fut atteint durant ce Forum 2019 dans les aéroports avoisinant la coquette station des Alpes suisses : 1 500 contre 1 300 un an plus tôt, selon la société d’affrètement Air Charter Service (ACS).

Un paradoxe alors que le changement climatique avait été placé au premier rang des risques pour l’économie mondiale par les participants à ce Forum, dans un sondage dévoilé une semaine avant par ses organisateurs. Ç’est pas beau ça la sodomie passive des peuples qui en redemandent, pendant que le Forum proclame unanimement qu’il « s’engage à réduire et compenser l’empreinte carbone de l’événement » ! Ah ! ça fait du bien de rire un coup, hein !

Les incendies de 2018 en Californie sont une série de feux de forêts ayant brûlé plus de 4 346 kilomètres carrés. De juillet à août 2018, une série de grands incendies a éclaté en Californie, principalement dans la partie nord de l'État.

En novembre, une recrudescence des incendies, attisés par des vents violents, provoquera la mort de plusieurs dizaines de personnes. Le Black Friday s'aligne sur la « fête » d’Halloween aux origines également anglo-saxonnes. Une semaine après Halloween, le Vendredi 9 Novembre, un 9.11, un incendie historique baptisé camp fire démarré la veille au soir commençait à détruire la ville de Paradise paradoxalement bientôt transformée en enfer

Comme je l’explique souvent, le nombre 666 est de plus en plus présent dans notre quotidien, à peine dissimulé comme l'annonce de 66 morts et 600 disparus que l'on pouvait lire et/ou entendre sur les médias au matin du Vendredi 16 Novembre, à une semaine du Black Friday.

Au matin de ce Vendredi 16 Novembre en effet, cette suite 66 + 600 était d'actualité. Et à Paradise comme à Malibu, l'alerte était donnée et des dizaines de milliers de résidents, stars comprises, étaient évacués alors que d'autres inconnus mouraient au volant, carbonisés.

Nous polluons et devons toujours payer davantage de « Taxes Carbone ». En Anglais, voiture se traduit par car et os par bone, et ces taxes sont faites pour nous sucer jusqu’à l’os, sous l’égide de sectes style Skull and Bones.

Le feu avait pris à cause d'une défaillance d'une ligne électrique nous raconte-t-on ? Pas encore remis de ces incendies dévastateurs, le sud de l'Etat américain subira des intempéries hivernales localement violentes. Une tempête de pluie et de neige touchera le sud de la Californie alors que l’État commençait à peine à se remettre des incendies dévastateurs. Au cours du mois de novembre 2018, les États-Unis seront frappés par un froid glacial et un temps neigeux.

74 villes de la Nouvelle-Angleterre aux Plaines et aux Rocheuses connaitront une saison extrême de froid et de neige jusqu’au 27 novembre alors que le début officiel de l’hiver était dans presque un mois.

Ce mois de novembre aura été presque le plus froid de tous les temps.  Et, il y aura une quantité extraordinaire de précipitations également.  En fait, cela aura été le mois de novembre le plus humide jamais enregistré pour les grandes villes de la côte est.

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Quant à celles et ceux qui veulent en savoir plus, j’ai ceci :

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Retour sur le climat : le vrai (Partie 5)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/01/retour-sur-le-climat-le-vrai-partie-1.html

Donc, on parle beaucoup des cycles solaires de 11 ans et on passe sous silence les cycles de 60 ans (influence des planètes sur la terre et donc influence sur le flux de rayonnement solaire reçu par la terre) ; cet effet-là permet de constater et d'expliquer que les variations de température sur terre ne sont absolument pas corrélées aux variations de CO2.

La plus grande augmentation de CO2 est causée par la déforestation. Les forêts tropicales et équatoriales se réduisent à vitesse grand V. Les agriculteurs les brûlent pour avoir de nouvelles surfaces agricoles. Non seulement les forêts en brûlant, produisent du CO2, mais en plus, elles ne l'absorbent plus. Cependant, c'est tabou de le dire parce que ça touche les pays pauvres, et qu'il vaut mieux s'auto-flageller et surtaxer les automobilistes vaches à lait.

L'immensité de notre univers et ses flux énergétiques sont hélas méconnus, bien qu’ils ne le furent pas tout le temps. Un exemple : le carbone 14 ne devrait plus exister sur terre, pourtant, les animaux, les hommes et les plantes, sont « datables » grâce à lui.

Ce C14 que nous respirons et qui permettra de « dater » nos os des milliers d'années après notre mort est issu d'une molécule que des rayons cosmiques désagrègent et qui se séparent en C14 et une autre molécule. L’astrophysicien Valentina Zharkova de l’université de Northumbria, au Royaume-Uni, a fait une grande découverte en 2015. Elle va malheureusement à l’encontre du dogme du réchauffement anthropique.

L’existence d’un champ magnétique au cœur du soleil était connu mais pas celle d’un autre champ à sa surface. La synchronisation et la désynchronisation de ces deux champs expliquerait les cycles solaires et leurs durées.

Elle admet une marge d’erreur de 3% dans sa prévision d’un nouvel âge glaciaire à partir de 2030 qui serait la conséquence de la désynchronisation de cette dynamo géante qu’est le soleil. La bonne question sera alors: qu’est-ce qui peut bien désynchroniser notre étoile ?

Les flux en provenance extérieure à notre soleil peuvent donc avoir des conséquences. La capacité de Gaïa à « digérer » du CO² joue aussi un rôle. Si l'on suit les annonces de prévisions climatiques pour une augmentation du CO² de quelques %, alors quelle température faisait-il sur Terre il y a 400 millions d'années messieurs les évolutionnistes ?

La Terre ne s'est pas transformée en Vénus. Peut-être que la vapeur et les nuages d'acide qui constituent l'atmosphère de Vénus favorisent plus l'effet de serre que le CO² ?

On connait en fait très peu de choses et les modèles climatiques avec plus de 300 paramètres, que le GIEC peut ajuster selon qu'il veut du chaud ou du froid, et des rétroactions principalement non linéaires, me font grimacer !

On pourrait en rire si les conséquences politiques de cette intox n'étaient pas aussi graves ! Je dirais qu’au moins les faiseurs d’argent ont l’excuse de croire à leurs mensonges alors que les tenants du réchauffement sont les mêmes idiots utiles au système qui croient encore en l’équation bidonnée : Ben Laden + 19 terroristes armés jusqu’aux dents de cutters + 4  avions = Le 11-Septembre 2001, un 911 en fait.

C'est dire le degré de crétinisme avancé auquel nous avons affaire. Mais surtout, surtout, tous les donneurs de leçons du GIEC feraient mieux d’interpeler les vrais pollueurs : leurs employeurs. Car ce monde abandonné entre les mains d’hypocrites est devenu insupportable, j’en ai les oreilles qui saignent à force de les entendre parler économie, géo-ingénierie, etc.

Ils parlent d'arrêter le gaspillage, qu’ils aillent donc expliquer cela aux fabricants suffisamment retords pour nous imposer une obsolescence programmée à deux ans, ou les supermarchés qui préfèrent jeter la nourriture et empêcher quiconque de la récupérer. Si le réchauffement existe il faut donc arrêter de faire venir des produits alimentaires de l'autre bout du monde, et par avion.

Supprimer tous ces porte-conteneurs qui polluent plus qu’un million de voitures réunies. Faire venir des moules du Chili, des cerises d'Afrique, des melons de Guadeloupe et des écrevisses de Chine est un non-sens, une atteinte à l’intelligence. Il suffit de voir ce qu'un avion-cargo peut polluer.

Pensez alors à tous ces « penseurs » venus chacun à Davos dans leurs Jet privés afin de « s’inquiéter de nos santés ». Plus de 1 200 jets privés, c’est vraiment se foutre de la tronche du pauvre crétin qui va néanmoins défiler dans la rue contre le réchauffement climatique !

Je regrette les années 70, époque de mon enfance, ou ma mère ayant déjà sa machine à laver achetée d’occasion depuis plusieurs années, je lui dirais néanmoins au revoir en quittant la maison à 21 ans, car jusque-là, la machine et pas ma mère, auront continué à laver mes slips et mes chaussettes. Aujourd’hui, une machine à laver dure cinq ans, et encore !

Si l’on veut une pièce de rechange, y'en a pas… alors on vous propose un autre modèle Smurtch avec microprocesseur incorporé qui vous dira quand il n’y aura plus de lessive. C’est tout un modèle économique qui est à changer si on veut arrêter ces gaspillages, cette incommensurable gabegie orchestrée par et pour une élite, mais ça n’arrivera pas ! Car la transition énergétique est un piège à con.

Si les intérêts de la dette publique payés aux banques privées servaient à financer l'écologie on n'en serait pas à taper sur les contribuables.

Le terme "Anthropocène" sera proposé en 2002, par le Prix Nobel de chimie, Paul Crutzen. Depuis, il est de plus en plus employé pour désigner une nouvelle ère géologique résultante des actions anthropiques de l'homme sur l'environnement : perte de biodiversité, changement climatique, érosion des sols, je partage en partie ce point de vue mais j’y vois plutôt du "Capitalocène".

Le problème n'est pas l'homme mais bien le capitalisme et ses financiers mortifères qui au fil des décennies orientent nos goûts et nos façons de penser. Car, on veut nous faire rouler à l'électrique au nom du réchauffement climatique, sans se poser la question d'où viendra cette électricité. tout en fermant les centrales nucléaires.

Pendant qu'on nous focalise sur le CO2, soi-disant cause de notre perte, on ne s'occupe pas des vrais problèmes écologiques de notre planète et de notre civilisation, qui eux sont les véritables défis d’un futur déjà présent ! Avant, la très « sainte » inquisition babylonienne brûlait sur un bûcher tous ceux qui la contrariaient.

Aujourd’hui, le rebelle a droit au bûcher médiatique, et peut-être bientôt aussi, le tribunal pour « Crime contre la Science et l'Humanité ».

Alors qu’en ce monde/démon aux valeurs inversées ce sont plutôt tous ces Al Gore et autres escrocs du GIEC qui mériteraient le peloton d’exécution ! Les médias vulgarisateurs diffusent l’idée que s'il n'y avait pas d'effet de serre la température moyenne au sol serait de -18°C au lieu des +15°C que nous connaissons.

Or, cette température de +15°C n'est pas dû à un quelconque effet de serre mais tout simplement et majoritairement à la pression de 1bar au sol (loi de la thermodynamique et relation pression/température qui régit notre atmosphère).

Les avions de ligne volent généralement entre 30 et 40 000 pieds, soit entre 9 200 et 12 200 mètres au-dessus du niveau de la mer.

Ce qui explique les températures très faibles (environ -50°C que rencontrent tous les jours les avions en croisière) à +15°C au sol. Et c'est la même chose sur Vénus dont la pression de son atmosphère de CO2 est de 93 bars au sol ce qui donne une température de 470°C au sol, sans besoin d'invoquer un effet de serre du CO2 ou de H2O.

C'est tout simplement la pression d'une atmosphère (qu'elle soit faite d'air ou de CO2) qui pilote le niveau de t° au sol.  Le soleil ne se refroidit pas en 11 ans ou 1000 ans, son flux reste le même, ce qui change c'est son magnétisme. Lorsqu’il est faible, il ne fait plus bouclier vis-à-vis des rayons cosmiques et la terre est envahie par des protons haute énergie venant de la galaxie, qui permettent à la vapeur d'eau (effet de serre) de se transformer en gouttelettes (qui renvoient la lumière visible du soleil) et il fait froid.

Quand il fait chaud les océans dégagent leur CO2, ce n'est pas la cause du réchauffement mais la conséquence (voir théories de Swensmark). Le réchauffement climatique est devenu une vérité intangible pour le groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC).

Ce groupe défend sa légitimité en arguant « des publications scientifiques dont la valeur est largement reconnue. » N’en déplaise aux tenants de la lutte contre le réchauffement climatique lié à l’activité humaine, nous sommes retombés dans les temps reculés de l’inquisition.

Rares sont ceux qui mettent en doute ce dogme car cela signifie leur exclusion, mais aussi leur possible déferrement devant un procureur de la république !

Le taux de CO2 atmosphérique n’a jamais été aussi faible qu’aujourd’hui et il n’y aucune corrélation simple ou linéaire entre le taux de CO2 et la température. Afin de prendre au piège de leurs élucubrations les tenants du dogme GIEC, je peux me servir d’autres élucubrations du même acabit : celles des Darwinistes.

En effet selon eux : au Paléozoïque, période comprise entre 541 et 242 millions d’années, le taux de CO2 de l’atmosphère était compris entre 3000 et 7000 ppm. Au Permien, période comprise entre 298 et 252 millions d’années, le taux de CO2 diminua jusqu’à 210 ppm.

Malgré la remontée du taux de CO2 de 310 à 400 ppm depuis 1960, la période actuelle est anormale d’un point de vue géologique puisque les teneurs en CO2 n’ont jamais été aussi basses en dehors du Permien.

Pour mémoire d’évolutionniste, il y a dix autres périodes charnières dans l’histoire de la terre allant du précambrien (4600 millions d’années) jusqu’au paléogène se terminant il y a 23 millions d’années.

Selon toutes ces études partisanes l’augmentation de CO2 dans l’atmosphère entraînerait une hausse de la température. Or, en se basant sur des forages menés à la base russe de Vostok en Antarctique, le carottage d’une glace vieille de 240 000 ans aurait établi que c’est la hausse de la température qui induit celle de CO2 dans l’atmosphère, et non l’inverse comme le proclament le GIEC.

De plus, il a mis en exergue un décalage de 800 ans entre ces deux phénomènes. N’en déplaise aux organisateurs de la COP 21, en décembre 2015, qui nous promettaient l’apocalypse si nous ne réduisions pas drastiquement nos émissions de gaz à effet de serre dans les meilleurs délais, ces 800 ans de répit nous laissent le temps pour quitter la Terre en direction de la planète Smurch.

Mais surtout, surtout, cela permet de comprendre que notre activité humaine n’est pas la cause des changements climatiques.

C’est pourquoi le précautionneux GIEC emploie depuis un moment le terme de « changement climatique » au lieu de « réchauffement climatique ». C’est une sage précaution car ils sont sûrs de ne pas se tromper sur ce point car pour le reste, ils ont tout faux.

Cette vaste opération d’enfumage de l’opinion publique n’a qu’un seul objectif : restreindre les libertés individuelles au profit d’une nouvelle idéologie totalitaire. Il semble que l’humanité soit vouée à succomber à toute forme d’idéologie totalitaire parce qu’une minorité agissante ne supporte pas sa liberté.

C’est pourquoi il était vital pour eux que l’immense majorité des citoyens avale la théorie du réchauffement climatique liée à l’activité humaine assenée par les écologistes, les experts onusiens, les journalistes et nos politiques.

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Quant à celles et ceux qui veulent en savoir plus, j’ai ceci :

https://www.thebookedition.com/fr/tonton-malthus-est-revenu--p-381845.html     

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/02/retour-sur-le-climat-le-vrai-partie-6.html

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Retour sur le climat : le vrai (Partie 4)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/01/retour-sur-le-climat-le-vrai-partie-1.html

Le GIEC est donc une émanation de l’ONU. Insoupçonnable en apparence, elle est mise au service d’une lutte contre un phénomène « aux conséquences déjà visibles. » Voilà donc réunis en un beau film hollywoodien tous les ingrédients propres à réaliser un merveilleux consensus scientifique et économique, couronné par un prix Nobel.

La messe était dite ! Néanmoins, dès sa publication, la fameuse courbe sera tirée à boulets rouges par certains scientifiques honnêtes. De sorte que le GIEC finira par la retirer du circuit sans bien sûr revenir sur les conclusions qu’il en avait tirées.

Il va dès lors la remplacer par une autre réalisée depuis 1950 jusqu’à nos jours où l’on constate alors une pause climatique depuis 1998 jusqu’à nos jours. Mais les médias s’étant depuis longtemps emparés du sujet, chaque année, nous avons droit à des déclarations tonitruantes du style : « D’après la NASA, 2014 aurait été plus chaude que l’année 2010 d’environ un centième de degré … »

On parle de centième de degré alors que le GIEC lui-même reconnait des incertitudes dans ces mesures de l’ordre du dixième de degré, ce qui est déjà très optimiste !

Et on nous parle toujours du volume de glace qui fond en Arctique en oubliant de préciser que, dans le même temps, il se renforce en Antarctique. C’est globalement, la teneur en glace de la planète qui va déterminer son albédo.

C'est-à-dire, quel pourcentage du rayonnement solaire arrivé sur terre est ensuite réfléchi dans l’espace. Traduction : si on remplace de la glace qui réfléchit par des forêts qui absorbent ça va se réchauffer encore plus vite, au secours ! Or, la glace n’a jamais fondu car lorsqu’elle disparait au pôle nord, elle est compensée au pôle sud. Si vous ne me croyez pas, allez sur Google Earth.

Tous les modèles prédictifs d’il y a 10 ou 20 ans en arrière sont actuellement dans les choux, l’augmentation de chaleur n’étant pas au RDV.

Alors comment faire confiance à des modèles prédictifs du GIEC sur 100 ou 200 ans !?

On nous demande de croire ainsi en des modèles qui n’ont pas marché ces dix dernières années. On est actuellement, comme dans le registre Création contre évolution à la Darwin, bourré de tabous inavouables. Les tenants d’un réchauffement entropiques vouent ainsi à l’anathème tous ceux, qui, comme moi, contestent cette folie intellectuelle à deux balles.

Il n’est pas bon de ne pas croire à ce «réchauffement » entropique.

Chez nous, l’ancien ministre Claude Allègre, en a fait les frais, quant au responsable météo de France 2, Philippe Verdier, il prouve à lui seul qu’il n’est pas bon de soulever le fonctionnement ni l’ « objectivité » du GIEC.

Dans son livre Climat Investigation, il avait osé dire et écrire que « Le climat est aujourd’hui une guerre, une religion », il a été licencié dans la semaine qui a suivi la publication de son livre.

Ce qui formate l’opinion publique des gens qui ne lisent plus, c’est le GROS TITRE. Malicieusement, il dira trop souvent le contraire de l’article en lui-même. Tout réside dans l’accroche médiatique ! 

Additionné à un bon montage Photoshop, on arrive ainsi à affoler tout le monde avec un malheureux ours blanc dérivant sur un m2 de banquise, ce même morceau de glace que l’on retrouvera ensuite comme moyen de transport d’une bande de manchots de terre Adélie.

Mais il y a mieux encore dans l’accroche mortifère, du style « La fonte du glacier Thwaites, le plus massif de l’Antarctique occidental, large de 120 km, fera monter les océans de 60 cm ! » Au secours, je ne sais pas nager !!! La fonte de glaciers de l'Ouest de l'Antarctique « a atteint un point de non-retour. »

« Deux études affirment que la fonte des grands glaciers de la région, qui contiennent assez d'eau pour faire monter les océans d'un mètre, s'accélère », explique Eric Rignot, un glaciologue de l'université de Californie à Irvine, principal auteur de cette recherche à paraître dans la revue Geophysical Research Letters

Selon lui, cette situation, nécessite de réviser à la hausse les projections du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC), selon qui les océans pourraient s'élever de 90 centimètres d'ici la fin de ce siècle sans mesures pour réduire les émissions de gaz à effets de serre, affectant des dizaines de millions de personnes vivant dans des régions côtières.

« Ces glaciers seront un contributeur majeur à la montée des océans au cours des décennies et des siècles à venir », insistait-t-il.

Le Monde avec AFP.  Publié le 13 mai 2014 à 06h11 - Mis à jour le 13 mai 2014 à 11h34.

La plupart des gens ne lisant que ces gros titres, il y a de quoi s’affoler. Cependant lorsque l’on se plonge dans ce genre d’article chiant, on se rend compte que « au plus tôt dans 200 ans et au plus tard dans un millénaire … Mais le scénario le plus probable se situe entre 200 et 500 ans, … fera monter les océans de moins d’un millimètre par an durant 200 ans avant de commencer à se désintégrer et disparaitre. »

Il faut bien comprendre que les motivations derrière tout ce foutage de gueule sont tout sauf écologiques. Elles sont économiques et politiques. Nous vivons une ère d’endoctrinement massif. J’en veux pour preuve l’écart monstrueux entre les données chiffrées du GIEC à destination des gueux et celles à destination des décideurs.

Afin de vous en convaincre, je vous invite à aller vous-même sur le NET afin de vérifier le GIEC 2013 WG3 (rapport pour décideur publiques).

Cet organisme a, dès le départ, était conçu pour instruire à charge. Chaque donnée récoltée sera ainsi utilisée avec l’idée d’y voir toujours le verre à moitié vide là où n’importe quel scientifique de bonne fois le trouvera toujours pratiquement plein.

Il a volontairement pris le réchauffement comme postulat de départ malgré le fait que de plus en plus de scientifiques se soulèvent contre ce faux postulat.

De nombreux scientifiques ont constaté que le GIEC avait falsifié leur travail et en ont démissionné. Keith Peter Shine est professeur de météorologie et de climatologie à l'Université de Reading. Il est le premier titulaire de ce poste attribué à l'université par la reine Elizabeth à l'occasion de son jubilé de diamant.

Ce chercheur britannique ayant participé à la rédaction du second rapport avait résumé ainsi la situation : « nous écrivons un texte et les politiques le transforme ligne par ligne, c'est quand même étonnant qu'ils aient le dernier mot dans ce que contient un rapport scientifique. »

Un autre expert constatant la malhonnêteté du GIEC lui avait demandé de ne plus associer son nom dans ses rapports, le GIEC refusa, il dû avoir recours à une procédure juridique pour obtenir gain de cause et ne plus figurer dans les rapports tordus de cet organisme.

En réalité ce ne sont pas les élus ou des personnes disposant d'autorité qui les rédigent, ce sont des fonctionnaires dont la carrière dépend de leur docilité et de leur adhésion à la pensée unique voulue par les lobbys.

Sa seule raison d’être est de lever de nouvelles taxes et doper à grands coups de milliards de dollars des organismes au service de sociétés ayant investi des sommes considérables dans les énergies « renouvelables », style éolienne, rien de plus, rien de moins !

Cette organisation a été créée par l'ONU en 1988 et réunit des scientifiques « désignés par leurs gouvernements ». Et dans son ombre plane celle de l’Agenda 21, devenu agenda 2030. Cet organisme non indépendant aux conclusions très discutables prend comme point de départ une controverse scientifique non réglée à ce jour, à savoir que le réchauffement climatique est liée aux émissions d'origine humaine.

Parmi les nombreux climatosceptiques, certains admettent le réchauffement mais n'accréditent pas l'idée qu'il soit d'origine anthropique.

Dès le départ son raisonnement est biaisé puisque le GIEC n'étudie pas le changement climatique, mais « les risques liés au changement climatique d'origine humaine ». La conclusion de ses travaux se trouve donc déjà dans l'intitulé de ses missions, c'est à dire dans le « parti pris de départ ». Il s'agit pour lui d'éliminer toute théorie déviante par rapport à ce parti pris.

Tous les scientifiques qui, en son sein, ont tenté d'apporter une analyse critique ont été évincés. Il ne se revendique pas comme un organisme de recherche puisqu'il a déjà la « bonne réponse ».

En revanche, il se fixe la mission d'envisager des stratégies d'adaptation et d'atténuation du changement climatique d'origine humaine. Animé par ce parti pris déviant, il a donc pour fonction de conseiller les gouvernements et même leur enjoindre d'appliquer telle ou telle politique avec en lisière du bois les lobbies âpres au gain. 

Personne ne peut plus ignorer que le GIEC est infiltré par des « scientifiques activistes » tous empreints d'un dogmatisme scientiste, tel qu’il est prôné par les écologistes. Néanmoins, nombre de scientifiques (dont des prix Nobel) réfutent désormais l'idée d'un réchauffement climatique ou d'un réchauffement d'origine anthropique.

L’alarmisme actuel sur le changement climatique est un instrument de contrôle social, un prétexte pour des batailles politiques et économiques. Ce qui menace la planète, ce n'est pas le réchauffement, mais les politiques économiques stupides qui pourraient en dériver, poussées par des politiciens en quête d'une bonne cause.

Je serais alors tenté de les titiller avec notre soi-disant préhistoire ou le CO2 était en bien plus forte proportion que de nos jours. Et néanmoins, nous sommes là !? Qu'il y ait un réchauffement, c'est certain, mais pas anthropique.

Les sédimentologistes nous fournissent la courbe de l'évolution phanérozoïque des dépôts de carbonates, de roches carbonées et du pH marin.

À partir de cette courbe, ils estiment la teneur en CO2 atmosphérique. Pour eux, depuis 600 millions d'années, la quantité de CO2 atmosphérique a varié entre 0,5 et 20 fois la quantité actuelle. La terre et la vie se sont bien portées durant ces millions d'années.

Plus récemment, selon le dogme évolutionniste, l'homme préhistorique a connu la hausse des températures. La grotte Cosquer qui a soi-disant été décorée entre -27 000 et – 19 000 ans est aujourd'hui à 37 mètres sous le niveau de la mer.

Comment expliquer cette baisse du CO2 et la hausse des températures qui permet de monter le niveau des mers de 37 mètres ?

Mais il y a plus. Le cycle solaire de 11 ans est connu depuis quelques siècles, mais il y d'autres cycles plus longs et d’autres causes extérieures. Un cycle naturel d'environ 60 ans est connu (a été redécouvert) depuis 1994 par un article publié dans la revue Nature (Schlesinger, ME, Ramankutty, N, 1994. An oscillation in the global climate system of period 65-70 years. Nature 367, 723).

Ce cycle est relié à l'oscillation Atlantique multi décennale (AMO). On constate que nous sommes depuis une dizaine d'années dans la zone de maximum de température de la sinusoïde et que cette t° amorce son cycle de décroissance (alors que le CO2 ne cesse de croître, et donc aucune corrélation entre CO2 anthropique et température).

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Quant à celles et ceux qui veulent en savoir plus, j’ai ceci :

https://www.thebookedition.com/fr/tonton-malthus-est-revenu--p-381845.html    

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/02/retour-sur-le-climat-le-vrai-partie-5.html

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