En regardant les titres des journaux perfusés avec nos impôts, on y lit tout sauf la Vérité.
Il a peu, le Monde accusait le Pr Didier Raoult de fake news au sujet des effets de la chloroquine pour ensuite publier un article lui donnant raison ! Le 25 février 2020, le Pr Raoult publie une vidéo intitulée alors « Coronavirus : fin de partie ! » et renommée depuis « Coronavirus : vers une sortie de crise. » https://youtu.be/8L6ehRif-v8
À la suite de cette vidéo, certains journalopes payés avec nos sous se sont déchainés, bien que de nombreux articles paraissent dans les médias, accueillant avec scepticisme la nouvelle mais aussi plutôt positivement. Toutefois, les bras cassés les Décodeurs du Monde ont publié un article à charge d’Hervé Morin sur le Pr Raoult, l’accusant même de « fake news ».
Depuis, comme les politiques, ils ont retourné leur veste au regard d’une étude aux résultats encourageants menée sur cette molécule, « Sanofi s’engage à mettre son traitement à la disposition de la France et à offrir plusieurs millions de doses qui pourraient permettre de traiter 300 000 patients. » Aucune excuse ni aucun rectificatif n’a été publié par le Monde, par contre le quotidien a publié un article le 16 mars 2020 faisant l’apologie des effets de la chloroquine : « En France, une étude clinique vient d’être lancée par le professeur Didier Raoult, directeur de l’IHU Méditerranée Infection (Marseille). Evoqués lundi 16 mars dans une vidéo par ce dernier, les résultats préliminaires semblent spectaculaires. »
Par ailleurs un article de Frédéric Lewino paru dans le Point du 15 mars 2020 mettait carrément en garde contre la chloroquine : « Le retour de bâton pour le Pr Didier Raoult est cinglant. Le directeur de l’Institut hospitalo-universitaire Méditerranée Infection avait clamé il y a quinze jours, dans une vidéo retentissante, la « fin de partie » pour l’épidémie de coronavirus grâce à un traitement miraculeux, la chloroquine, un antipaludéen commercialisé en France à la fin des années 1940. » Ironie du sort, le Point est le magazine qui publiait en 2015 un dossier sur les bêtises qu’on nous raconte dans le domaine de la santé, tout en faisant la promotion d’un certain professeur Didier Raoult.
De même on pourrait écouter la déclaration de Martin Hirsch sur Europe 1, le 1er mars 2020 : « Coronavirus : « la chloroquine n’a jamais marché chez un être vivant », rappelle Martin Hirsch »
Le Pr Raoult indique qu’il s’agit d’ « un des médicaments les plus prescrits au monde depuis 70 ans ». Oui mais le problème, c'est qu'il n'est pas assez cher, il ne coûte que quelques euros !!!
Je vous propose ce livre avec un avertissement : être préparé à subir un choc et être capable de remettre en cause beaucoup de croyances conditionnées. La vérité est crue, incroyable, mais ...
La psychose, générée par les annonces délirantes du gouvernement et de ses médias, est en train de déborder les services de santé, d'arrêter la totalité des services publiques et de l'industrie. Macron a réussi en 15 jours ce qui avait pris un mois aux Allemands en 40 !
Décidé lundi 16 mars, pour ralentir et combattre l'épidémie, le confinement de la population inaugure une période inédite d'isolement forcé pour tous les Français. Avec à la clé des risques psychiques multipliés.
Quelles peuvent être les répercussions psychologiques dans la population ? Pourquoi Macron n'a-t-il pas prononcé le mot «confinement » ? C'est un mot angoissant, généralement, on confine les gens qui sont malades, qui risquent de mourir... Néanmoins, répéter à six reprises la phrase : « Nous sommes en guerre », n'en est pas moins anxiogène !?
Est-ce judicieux justement d'employer le mot « guerre » dans le contexte actuel ? Peut-être pour faire prendre conscience de la dangerosité du virus et de la nécessité de bien respecter les consignes car, avant cela, beaucoup de Français ne les respectaient pas. Psychologiquement et contrairement au confinement, la guerre renvoie, elle, à une notion collective. « Confiné », nous sommes seuls. « En guerre », nous sommes ensemble.
L'impossibilité de voir ses amis, ses proches, sa famille... ou encore l'incapacité d'aller voir des proches qui sont malades ou qui vont mourir est d'ores et déjà très difficile à gérer pour les personnes concernées. Cela va donc immédiatement engendrer des conséquences psychologiques majeures, mais différées dans le temps. Cela va commencer par une grande angoisse de ne pas être libre de ses mouvements dans un pays où les gens sont en temps normal très libres de leurs mouvements.
Ceux qui sont déjà très seuls ou très déprimés vont voir le suicides augmenter. Les paramètres ne sont pas les mêmes suivant que nous vivons dans un studio exigu à plusieurs ou dans une grande maison avec jardin. Les moins bien lotis vont forcément connaître plus de tensions, de violences, qui vont être très compliquées à gérer. Là-dessus viennent s’adjoindre les enfants à gérer et en plus le télé-travail, tout cela sans avoir un espace où sortir.
Sur le navire de croisière Diamond Princess, où les gens étaient confinés, ceux qui avaient la chance d'avoir un balcon s'en sortaient mieux que ceux qui se sont retrouvés coincés dans une cabine sans hublot. La période sera beaucoup plus difficile à vivre pour les gens qui sont seuls et malades, mais en famille, ce ne sera pas simple non plus.
Ce qu'il faudrait surtout éviter, c'est d'avoir pendant des jours et des jours des enfants qui passent leur temps derrière un écran. Et malheureusement c'est ce qui risque d'arriver.
Les tout-petits sentent l'anxiété des parents, même s'ils ne comprennent pas, ils sentent les choses et sont de véritables éponges émotionnelles. Quant aux plus grands qui commencent à comprendre les choses, les parents doivent être honnêtes avec eux et leur dire, avec le bon vocabulaire, qu'ils sont inquiets et que c'est pour ça qu'ils doivent rester à la maison, pour qu'ils puissent s'occuper d'eux.
Les enfants ont besoin de se dépenser. Mais le drame que les psys redoutent, c'est que beaucoup de parents n'y arrivent pas, soit parce qu'ils n'en ont pas l'envie, soit parce qu'ils n'en ont pas le courage. Ils risquent donc d'abandonner psychiquement leurs enfants.
Il y aura probablement plus de bébés avec un pic de natalité. Mais nous assisterons aussi à une hausse des crises conjugales débouchant sur des séparations. Les consultations en psychiatrie, psychologie ou pédopsys vont sans doute bondir.
Les gens stressés, par définition, sont moins inquiets que les anxieux. Cette période va également s'avérer être très traumatisante pour les victimes de violences conjugales ou d'incestes qui vont vivre chaque minute de leur vie avec leur tortionnaire. Mais le confinement va aussi être très violent pour des patients chroniques ou les personnes âgées qui ne sont pas en Ehpad et qui ont besoin d'aide. Les cas de maltraitance domestique et de maltraitance institutionnelle vont du coup se multiplier. Pour en revenir aux victimes, elles vont donc se retrouver totalement seules avec leur bourreau, alors même que les parquets et les conseils départementaux sont fermés. C'est catastrophique.
Beaucoup de Français sont désespérés de voir qu'ils ne peuvent pas aller à l'enterrement de leurs proches... Psychologiquement, il va falloir gérer les conséquences d'une telle décision. ça va être extrêmement compliqué pour le travail de deuil. De même, les personnes âgées et malades font face à un autre problème qui est celui de voir leurs soins reportés au regard du contexte actuel, ce qui est très angoissant. C'est un tri qui s'opère déjà et une condamnation à mort. Ces cas de figure s'étaient déjà produits à l'occasion d'autres catastrophes sanitaires comme la canicule de 2003, ou les attentats, et, à chaque fois, et plus encore, les soignants ont tiré la sonnette d'alarme. Les soignants, en première ligne, sont de fait eux-mêmes confrontés à des situations très dures d'un point de vue psychologique. Rien n'est prévu pour eux. Il faut aussi penser aux agents funéraires qui, eux, pour le coup, sont de grands oubliés alors même qu'ils sont dans l'œil du cyclone.
Beaucoup de Français risquent de mourir non pas du coronavirus en lui-même parce qu'il se soigne, ni à cause des soignants qui sont hyper-compétents, mais parce que les soignants ne sont pas assez nombreux et n'ont pas assez de moyens, comme des lits et des respirateurs. Nous allons payer le prix d'une catastrophe sanitaire dictée par des choix politiques et une logique comptable opérée il y a déjà plusieurs années.
Macron a dit que le bilan serait fait. Je vous pose donc la question : « pensez-vous qu’on ait besoin d'attendre la fin de la crise pour déjà le faire ? » Mais, de toute façon, une fois que la crise sera passée, l'aspect sanitaire passera une nouvelle fois derrière les considérations économiques, car le tsunami qui s’en vient fera vite oublier ce marasme, cette gabegie sans nom. Comme je l’ai écrit dans Le Centième Gueux, je crains que la mémoire de poisson rouge propre à beaucoup trop soit courte et, pire, que cette crise ne clive davantage la société française.
Dans Tonton Malthus est revenu ! je passe au crible ce qui pourrait devenir le premier chapitre d'une anarchie à la française.
Ce genre d’épisodes épidémiques semblent inévitables, compte tenu de la démographie et de la circulation massive et continue des personnes autour de Gaïa. L’irresponsabilité collective est la définition de l’État français. À chaque crise, nos comédiens « démocratiquement » élus jouent un rôle, on communique, on s’illusionne, et on finit par mettre de l’argent partout. Ça suffit en général à calmer le gueux. Mais cet argent souvent hors sujet n’est pas le leur, et les désillusions seront supportées par qui : les gueux contribuables. Ces gens ne sont pas formés pour agir, ni pour penser, mais pour dépenser l’argent public et communiquer.
Par ailleurs, nous sommes tellement habitués à l’Etat providence, à la prise en charge totale que la plupart semblent incapables de faire preuve de bon sens, d’autonomie intellectuelle, de responsabilité individuelle. Ils vont accorder encore plus de pouvoirs à cette classe politique d’amateurs, exiger encore plus d’État, de moyens, d’argent, sans se rendre compte qu’ils creusent leur propre tombe.
Pendant ce temps, une population en marge circule et piétine les règles de confinement avec des policiers désœuvrés incapables de faire respecter l'ordre, début de l'anarchie. Comme je le crains et l’écris, cette crise est un parfait révélateur de ce qu’est réellement le « vivre ensemble » multicommunautaire. Nombre de quartiers mènent une perpétuelle guérilla contre la société, n’en acceptent ni les mœurs ni la loi. Les policiers ne peuvent rien faire de plus que contrôler et arrêter des gens que la justice ne punit pas. Le fait que les tribunaux soient fermés pour cause de virus ne risque pas d’accroître leur civisme...
Le contexte va renforcer leur sentiment d'immunité face à une police débordée et une justice en dérangement. Les caïds et les «jeunes » regardent la télé, savent bien que les forces de l’ordre sont très occupées. La crise va créer des opportunités. Le confinement, pour les quartiers, ça veut dire zoner à plusieurs.
L’inoccupation de centaines de milliers de jeunes va se transformer en tentation de la délinquance « ludique ». On assiste déjà à de nombreux guet-apens visant pompiers et policiers. Les bagarres de « bandes » sont innombrables. De plus, le crime organisé doit compenser le recul du trafic et des cambriolages. C'est une économie très retorse, elle sait parfaitement s’adapter. Braquage d’infirmières, trafic de matériel médical…
Le contexte va renforcer leur sentiment d'immunité face à une police débordée et une justice en dérangement… Tous savent qu’en plein confinement on met dehors les clandestins, on relâche les prévenus parce que les tribunaux sont fermés, et on parle de procéder à des libérations massives de prisonniers…
Il ne faut pas dégarnir les effectifs, et donner au monde l’image d’une France submergée par ses émeutiers, et aux Français l’idée que ces pans du territoire sont irrécupérables. Les « quartiers sensibles » seront donc largement dispensés de confinement. Il n’y aura pas non plus de mise au pas autoritaire, parce qu’on ne le peut pas, surtout en ce moment. À moins d’envoyer l’armée et de risquer une guerre des cités.
Covid-19 sera l’élément déclencheur. Le reste de la société va mettre ses revendications entre parenthèses, et d’ici quelques jours largement jouer le jeu du confinement. Ce ne sera pas le cas pour les enclaves communautaires. Les policiers sont à bout, l’épidémie peut générer dans ces quartiers des tensions inédites. Les rumeurs les plus folles y circulent déjà. Le virus serait une invention des Blancs. Les personnels soignants n’y pourront pas faire leur travail, et quand l’épidémie y proliférera on accusera les pouvoirs publics d’abandon et de ségrégation.
Il faut comprendre que ces quartiers sont en sécession, et ne font pas partie de la société française. Comme beaucoup d’autres problèmes, notre gouvernement et nos concitoyens se sont jusque-là appliqués à l’ignorer.
Je vous propose ce livre avec un avertissement : être préparé à subir un choc et être capable de remettre en cause beaucoup de croyances conditionnées. La vérité est crue, incroyable, mais ...
Afin de développer et d’améliorer sa stratégie contre le Covid-19, l’Allemagne a eu le facteur temps de son côté. Les premières foyers de contagion s’y sont développés beaucoup plus tard qu’en Italie et dans d’autres pays européens. Berlin, malgré les lenteurs du départ dans l’application des mesures de restriction pour combattre la propagation du virus, a été en mesure de préparer et de protéger les hôpitaux contre la contagion.
Là-bas, aucun test de dépistage n’est effectué dans les hôpitaux.
Le pays dispose d’un vaste réseau de laboratoires indépendants, dont beaucoup ont commencé à tester dès les premières semaines de 2020. Dans la plupart des centres, vous restez dans votre voiture et exécuter le test directement en ouvrant simplement votre fenêtre. S’il n’est pas possible de prendre rendez-vous dans l’un des centres, la procédure prévoit que le médecin généraliste peut effectuer le test. C’est la première personne que le patient doit contacter en cas de symptômes et, s’il a l’équipement de protection individuelle nécessaire, il peut se rendre à la maison de son patient pour effectuer le test. Il est possible aussi de contacter le ministère de la Santé qui s’occupera ensuite du test à domicile, directement à votre porte.
Environ 15 à 20% des cas positifs sont admis dans leurs hôpitaux, dont un tiers ont besoin de soins intensifs. À ce jour, il n’y a donc pas d’urgence, car le nombre de patients qui ont besoin de réanimation est gérable. Fort des 28 000 lits de soins intensifs, c’est précisément parce que l’épidémie est à la traîne par rapport à d’autres pays que chez la plupart des gens la maladie n'a va pas jusqu'à un stade avancé. L’objectif du gouvernement est de doubler le nombre de lits de soins intensifs.
Malgré un début des pénuries concernant les tests de dépistage disponibles, l’Allemagne est convaincue de la validité de sa stratégie de dépistage massif.
Je vous propose ce livre avec un avertissement : être préparé à subir un choc et être capable de remettre en cause beaucoup de croyances conditionnées. La vérité est crue, incroyable, mais ...
En 2003, le professeur Didier Raoult avait remis un rapport de 372 pages au gouvernement.
Il y parlait du « risque d’apparition de mutants de virus respiratoires » soulignant déjà l’insouciance des autorités « face à ces événements chaotiques ». À l’époque, Jean-François Mattei, le ministre de la Santé avait ignoré cette mise en garde, a rapporté Le Parisien.
Ce monsieur avait déjà plusieurs fois fait la une des journaux comme le prouve cette autre couverture du Point.
Il y parlait de la densification de la population humaine comme facteur aggravant dans les maladies transmises par voie respiratoire, et qui peuvent avoir des conséquences extrêmement rapides et extrêmement dangereuses. Dans ce rapport, le docteur Raoult souhaitait remédier au manque de préparation du gouvernement en créant des « pôles de surveillance infectieuse » dans les plus grandes villes de France afin de mieux se préparer aux saloperies style Covid 19, un paramètre où la France était déjà à la traîne en 2003, et encore plus aujourd’hui. Un rapport ignoré par le gouvernement
À l’époque, le gouvernement avait trouvé comme excuse la canicule de 2003, ce qui a bloqué certaines décisions sanitaires. « À l'époque, j'ai prêché dans le désert et eu la désagréable impression que l'on me prenait pour un imbécile, mais j'ai finalement réussi à bâtir à Marseille l'infectiopôle que je conseillais de faire », s’est rappelé Didier Raoult, interrogé par Le Parisien. Depuis le 23 mars, les patients y affluent afin de recevoir un traitement à base de chloroquine (qui soi-disant ne sert à rien) ou de se faire dépister gratuitement.
En Allemagne, des tests de dépistages du covid19 sont effectués depuis le mois de janvier, jamais dans les hôpitaux mais par les médecins généralistes, qui étaient déjà préparés et protégés pour lutter contre le coronavirus dès le début de l’année.
Des centres spécialisés, dispersés sur tout le territoire, permettent d’effectuer les tests de dépistage directement par la fenêtre de la voiture, comme en Corée du Sud, mais aussi les médecins de famille. L’Allemagne, avec jusqu’à un demi-million de tests de dépistage effectués par semaine protège ses hôpitaux contre la pandémie, en attendant l’augmentation des cas qui mettront à l’épreuve le système de santé, fort de ses 28 000 places en soins intensifs.
Je vous propose ce livre avec un avertissement : être préparé à subir un choc et être capable de remettre en cause beaucoup de croyances conditionnées. La vérité est crue, incroyable, mais ...
Covid, Covid, on en dit tant sur toi, et ce n’est hélas pas terminé ! Dans un entretien accordé à la revue américaine Science et publié mardi 31 mars par Le Monde, George Gao, l’un des plus importants virologues chinois a évoqué la gestion de l’épidémie de coronavirus par la Chine et a révélé la « grande erreur » des pays occidentaux, dont la France, à savoir celle de ne pas porter de masques.
En effet, le simple fait de parler peut transmettre le virus. En ce qui concerne les autres mesures de lutte, il a fait état d’un usage actif des thermomètres.
À l’inverse de la France, l’Allemagne et la Corée du Sud ont très rapidement suivi la recommandation de l’OMS en multipliant les tests, en isolant les malades et en traçant les contacts de ces derniers. L’Allemagne pratique aujourd’hui près de 300 000 à 500000 tests par semaine contre 35 000 à 85 000 en France. Dès le 28 février, les épidémiologistes de l’OMS revenus de Chine estimaient que ces méthodes, bien plus que le confinement massif, semblaient les plus efficaces face à Covid-19.
Si la France n’a pas suivi cette stratégie dans un premier temps, c’est tout simplement qu’elle en était incapable. Ce n’est pas moi qui le dis, c’est Jean-François Delfraissy, président du conseil scientifique sur le Covid-19, qui l’affirmait au Monde le 20 mars « Nous ne possédons pas les capacités de tester à la même échelle que la Corée du Sud », expliquait-il. D’ailleurs, l’Institut Pasteur n’a rejoint la liste de l’OMS que le 2 mars. « On est totalement incapables de tester à très grande échelle parce qu’il n’y a pas d’industrie de biologie moléculaire en France », déclarait avec tristesse Michel Bendahan, un biologiste qui dirige un laboratoire clinique.
Dans d’autres pays comme l’Allemagne, il n’y a pas d’autorité de santé globale qui restreint les autres laboratoires de réaliser des tests. La France n’a pris que le 7 mars un décret autorisant les laboratoires privés à réaliser des tests de dépistage du coronavirus.
Mais ce n’est pas tout ! Une fois le test effectué, encore faut-il l’analyser. Ici aussi, la France a du retard, note le magazine L’Opinion : « sur les 900 machines du laboratoire Roche actuellement en service dans le monde, seules 12 fonctionnent en France contre une centaine en Allemagne. Ici aussi, l’État français devrait acquérir plus d’automates dans les jours à venir. »
Face à l’incurie et la pénurie, la France a donc utilisé la carte du confinement. Une fois la propagation de l’épidémie endiguée, l’augmentation du nombre de tests et un suivi des cas devraient permettre au p’tit village gaulois de "contrôler" la propagation du virus tout en permettant à la population de vivre « plus normalement ». En tout cas, si tout se passe comme prévu et si les plans ne changent pas en cours de route.
Le nouveau coronavirus a tué plus de 43 000 personnes dans le monde, dont les trois-quarts en Europe. Depuis le début de la pandémie en décembre en Chine, plus de 865 000 cas ont été officiellement déclarés dans le monde, dont plus de la moitié en Europe, 189 000 aux États-Unis et plus de 110 000 en Asie. Pour freiner la propagation de la pandémie, plus de 48% de la population mondiale, est appelée ou contrainte par les autorités à rester chez elle.
Mais la « belle » histoire ne s’arrête pas là. Chez nous, en Gaule nous avons pu entendre tout et son contraire. Contraints par leur hiérarchie à ne pas se protéger, afin de ne pas créer de frustration dans la population, 300 policiers français ont déjà été contaminés à ce jour, et près de 10 000 ont été placés en confinement.
Irritée par les leçons et les accusations d’un occident oxydé et les commentaires visant à minimiser le succès relatif des autorités chinoises face à l’épidémie, l’ambassade de Chine en France a publié le 27 mars une série de tweets au vitriol.
Le 28 mars, dans une interview pour la presse transalpine, Emmanuel Macron s’en est pris à la médiatisation, excessive selon lui, de l’aide russe et chinoise à l’Italie. Confrontée à l’attitude ambiguë des pays occidentaux, consistant à demander à la Chine de l’aide tout en la critiquant, Pékin a répliqué le 30 mars. Il faut bien reconnaitre que chez nous, grâce à un président ayant fait du théâtre dans le secondaire, tout est dans le spectacle du style : transfert des patients en TGV, alors qu'il y a des cliniques privées à ouvrir !
Jupiter et ses sbires gèrent l'épidémie de loin par peur des postillons sans doute ! Tout se fait donc dans la com spectacle, et aucun nouveau moyen. Ce gouvernement est déjà dans l'après épidémie, tout en continuant à limiter les dépenses pour les gueux. Nous assistons là, impuissants puisque tous confinés, à la bérézina d’un libéralisme du désastre.
Aucune volonté de changement n’est apparente chez ces lucifériens obstinés, il faut continuer à vendre ce qui reste de la France.
Lorsque Macaron avait fait ses vocalises transalpines le 28 mars, la presse française aux ordres avait emboité le pas de nos « vaillants dirigeants » oubliant bien vite au passage, style poisson rouge, que les gouvernement occidentaux, parmi lesquels le nôtre dont faisait partie Agnès Buzyn, n’avaient pas envisagé que le « tsunami » puisse un jour atteindre l’Europe.
Alors que le gouvernement français estime les besoins des personnels soignants à 40 millions de masques par semaine, la France ne serait en mesure d’en produire que 8 millions. Cependant, face à nos étrons de dirigeants, la puissance industrielle et logistique chinoise parle d’elle-même. Faute de sites de production atomisés sous nos différents gouvernements, et après avoir renoncé à maintenir un stock stratégique, sur fond de « rigueur budgétaire », la France s’est vue contrainte à commander un milliard de masques de protection à la Chine.
Dans un mouvement de délocalisation et de désindustrialisation VOULUà la Tonton Malthus, l’Europe a désormais perdu son indépendance sanitaire, et notre pays bronze cul bien plus que tout autre. Et, ironie du sort, en quelques décennies, la Chine est devenue l’atelier du monde. Covid-19 constitue ainsi un point de bascule où un pays de ce qui fut le tiers-monde vient désormais porter assistance à l’Occident.
Je vous propose ce livre avec un avertissement : être préparé à subir un choc et être capable de remettre en cause beaucoup de croyances conditionnées. La vérité est crue, incroyable, mais ...
Dans un précédent article http://vecteur-douceur.over-blog.com/2020/04/il-est-l-or-de-l-or-noir-monsignor.html j’indiquais que le sieur Covid-19 a fait baisser la demande d’or noir un peu partout dans le monde. Dans cette optique, début mars, les plus grands manitous de l'OPEP+, ont échoué à se mettre d'accord sur des coupes supplémentaires de la production. Ils n’ont pas non plus réussi à s’entendre sur la prolongation des accords existants.
La Russie proposait de maintenir les conditions actuelles, là où l'Arabie saoudite se prononçait pour une réduction immédiate de la production. Résultat, à partir du 1er avril, il n'y a plus aucune restriction concernant les volumes de production de pétrole.
Chez l’oncle Sam, la demande de pétrole a chuté à un tel niveau que certaines compagnies sont prêtes à payer pour se débarrasser de leurs stocks, rapporte Bloomberg. À la mi-mars, un producteur outre-Atlantique, Mercuria Energy Group, était prêt à payer 19 cents pour chaque baril de brut retiré de ses lieux de stockage. La demande a tellement chuté que certains producteurs se sont décidés à vendre à perte.
Tout comme la crise du logement qui a provoqué la crise financière de 2008, le boom de la fracturation a conduit les banquiers de Wall Street à trouver des moyens innovants pour financer un business déficitaire. C’est un secteur qui a toujours été rempli de promoteurs, d’escrocs, et les gens ont gagné des milliards lorsque les investisseurs ont perdu leur chemise.
Certaines entreprises vendent même aujourd’hui des obligations basées sur les performances futures des puits, un concept similaire aux titres adossés à des créances hypothécaires qui ont conduit à la crise du logement de 2008. Comme je l'explique dans Tonton Malthus est revenu !
beaucoup aiment donc parler de la fraude du schiste. Ce n’est tout simplement pas vrai : On ne peut pas commettre de fraude quand les règles sont si laxistes pour les banxters. Ils inventent de la merde et puis la vendent en disant que ça sent la rose et le jasmin : et c’est toujours permis !
Je vous propose ce livre avec un avertissement : être préparé à subir un choc et être capable de remettre en cause beaucoup de croyances conditionnées. La vérité est crue, incroyable, mais ...
La Russie a annoncé le 28 mars avoir mis au point un médicament pour traiter le coronavirus, et basé sur le médicament antipaludique Méfloquine. Le Centre de recherche et de production Pharmazachita, s’est basé sur l'expérience chinoise. Selon l’agence, ce médicament bloque les altérations métaboliques, biochimiques et morphologiques des cellules hôtes infectées par le virus (effet cytopathique). Ce médicament inhibe donc la réplication virale, alors que les effets immunosuppressifs du Méfloquine bloquent l'inflammation provoquée par le virus.
Plus tôt dans la journée, un nouveau test de dépistage permettant de déceler la présence du Covid-19 en 90 minutes a été certifié en Russie. La mise en service était prévue pour le 30 mars. À Moscou, seulement 5% des nouveaux cas de contamination sont des enfants. Parmi les nouveaux cas : 40% des personnes de 40 à 65 ans ; 35% des 18 à 40 ans ; 20% sont des personnes de plus de 65 ans. Tous les patients, ainsi que ceux en contact étroit avec eux, sont déjà sous surveillance médicale. Environ 10% des patients au cours des deux dernières semaines ont visité des pays européens.
La faible charge virale constatée par le professeur Raoult chez les enfants est donc confirmée. Ils seraient moins contagieux que les personnes plus âgées. Même constat pour les personnes âgées, qui sont peu contagieuses et moins touchées, mais dont l'infection, si elles souffrent d’autres pathologies, peut être létale. Les 18 à 65 sont les plus touchés, mais sans présenter de grands risques quant à l'évolution de la maladie. Ils sont aussi les plus contagieux, alors qu'ils sont censés faire tourner l'économie, d'où les tests systématiques qui devraient être effectués dans cette fourchette d'âge, pour pouvoir redémarrer les outils de production en minimisant les risques, chose qui n’est pas faite en France.
Mais si les antipaludéens ont la côte, afin de traiter les victimes du Covid-19, on parle peu des effets secondaires importants de ces médicaments, ainsi que d'éventuelles alternatives moins toxiques. Ces molécules antipaludéennes, utilisées à l'origine contre un parasite, fonctionnent aussi contre un virus et peut-être contre d’autres.
L'artemisia annua, l'armoise annuelle, est bien connue pour son action sur les effets du paludisme, maladie de Lyme, etc.
Mais l’Artemisia annua, un antipaludéen végétal, reconnu pour avoir une efficacité très nettement supérieure à ces molécules de synthèse, pourrait éventuellement s'envisager. Le traitement à l'Artemisia contre le paludisme est répandu et peu onéreux, cette plante pousse partout dans le monde. Son utilisation courante en Afrique pourrait peut-être expliquer le faible nombre de cas de Covid-19 sur ce continent.
Je vous propose ce livre avec un avertissement : être préparé à subir un choc et être capable de remettre en cause beaucoup de croyances conditionnées. La vérité est crue, incroyable, mais ...
Nous devrions tous dire merci à Coronavirus et vomir en même temps. Je m’explique ! Il a eu au moins le mérite de mettre en lumière l’échec patent, l’incurie massive des soi-disant démocraties devant les défis qu’il nous lance. Il ne sera hélas pas le dernier, ces cousins vont arriver. Ils feront alors face à un désarmement unilatéral des populations les plus fragiles orchestré par des gouvernements qui ont livré les Gaulois à leurs pires ennemis.
Ils ont offert la Gaule en pâture à une oligarchie qui vendrait père et mère pour le pognon.
Nous faisons face à un occident oxydé, en voie de décomposition avancée, au bord de l'implosion sanitaire, incapable, ce dès le départ, de faire face à l'épidémie, et dont les dirigeants vendus à Big pharma nous disaient en janvier qu'il n'y avait aucun problème, en février que ce n'était qu'une p’tite grippe, et début mars qu'il fallait aller voter la bouche en cœur et nous agglutiner sur les terrasses des cafés.
Ces incompétents parlent d’une guerre qu’ils ne veulent tout simplement pas gagner. Ce qui explique pourquoi ils répugnent à admettre des résultats qui semblent faire leurs preuves et qui méritent d'être testés massivement ; qu’il s’agisse du "confinement", du dépistage ou du traitement. Nous avons assisté, et assistons encore, à une suite d’indécisions et une cacophonie qui donnent l’impression qu’il n’y a plus personne à bord du Boeing France.
Ainsi voyons nous défiler sur nos merdias tous les bras cassés du système allant d’un Michel Cymes à un Daniel Cohn Bendit déclarant que le professeur Raoult devrait fermer sa gueule alors que, c’est plutôt lui qui devrait s’exécuter, avec toutes les casseroles pédophiles qu’il traine derrière son gros cul.
Ainsi, comme en 14-18, ceux qui en parlent le plus sont tous ces planqués du système qui, sous les projecteurs, faute d'aller au front en blouse blanche, passent leur temps à pérorer sur BFM poubelle en compagnie de journalopes dont la vilenie transpire dans le moindre de leurs propos.
Nous assistons à un remake des Gilets jaunes où une clique de bobos ne sachant même pas planter un clou crache sur tous ceux qui produisent la vraie richesse dont ils se goinfrent allégrement. Car, loin des projecteurs, en revanche, des personnels soignants se battent héroïquement sous le mépris de cette classe de bobos dégénérée qui a exigé le démantèlement d’un l'hôpital public jusqu’il y a peu encore exemplaire, pour accroître ses profits. Ce système créé en 1945, et qu'on a sacrifié sur l'autel du capital à coups de réformes néo-libérales a sauvé des millions de vies.
Pendant qu’à l'autre bout du monde, des Chinois vilipendés sans relâche par nos médias de l’axe du mal, ont tout fait pour juguler l'épidémie, en deux mois. Et la Russie, qui a réussi à contenir la progression de l’épidémie sur le sol national. On leur crache dessus, et sans masque, mais des équipes médicales chinoises, cubaines et vénézuéliennes volent au secours de l'Italie, pays européen trahi par une Union Européenne de mes deux, bien incapable de faire jouer le moindre mécanisme de solidarité.
J’ai beau être un écrivain à l’imagination fertile, jamais je n’aurais pensé voir un jour des médecins cubains intervenir en Martinique. C’est une véritable claque dans la gueule d'une soi-disant puissance mondiale nommée France. Une grande puissance capitaliste, un va-t-en-guerre et marchant d’armes aux ordres de l’axe américano-sioniste, contrainte d'appeler à la rescousse le seul Etat socialiste de la Caraïbe.
Si nous analysons, avec ce que nous sommes censés avoir entre les oreilles, les vertus comparées des soi-disant démocraties et des soi-disant dictatures qui font tout pour les leurs ; nous sommes face à une leçon de vrai progressisme, sur des régimes qui n'ont que les droits de l'homme à la bouche, mais qui font comme si la pandémie était l'effet de lois naturelles et ont les yeux rivés sur les cours de la Bourse pendant que se poursuit l'hécatombe.
Je vous propose ce livre avec un avertissement : être préparé à subir un choc et être capable de remettre en cause beaucoup de croyances conditionnées. La vérité est crue, incroyable, mais ...
J’apprends par le Journal Officiel qu’un décret a été publié ce jour, 26 mars 2020, autorisant la prescription de l’hydroxychloroquine et l’association lopinavir/ritonavir, sa dispensation et son administration « sous la responsabilité d’un médecin aux patients atteints par le covid-19, dans les établissements de santé qui les prennent en charge, ainsi que, pour la poursuite de leur traitement si leur état le permet et sur autorisation du prescripteur initial, à domicile. » Le décret précédent n’autorisait son administration que pour les cas graves.
Macron retourne-t-il sa veste ?
Après avoir craché sans masque sur le professeur Raoult, le p’tit village gaulois semble lui donner raison en généralisant l’usage de la Chloroquine comme remède à l’épidémie de coronavirus, sous contrôle médical.
Macron a autorisé la chloroquine ET le lopinavir/ritonavir. Or, il y a quelques jours une étude chinoise concluait que ce médicament n’avait pas d’effet concluant. Si ça n'avait été que la chloroquine, mon p'tit doigt me dit qu’elle ne serait pas passée...
De plus, lorsque l’on creuse un peu, on constate que l’effet secondaire le plus fréquent de ce médicament (l’association lopinavir/ritonavir) est... l’infection respiratoire !
Arrêtez-moi si je me trompe ! mais n’y a-t-il pas là de quoi discrédité le médicament du professeur Raoult qui ne coûte que quelques euros et ne rapporte donc pas assez à Big Pharma!? Adieu bénéfices juteux et belles rétrocommissions aux vendus du système.
Par contre en torpillant la Chloroquine au profit d’un vaccin bancable pour les escrocs, mais qui fera une hécatombe à la moindre mutation du virus ou mieux encore, ça c’est du bon boulot de salaud !
De plus, c’est Incroyable mais vrai : Famar, le seul fabricant de chloroquine en France pourrait fermer ses portes !
Je vous propose ce livre avec un avertissement : être préparé à subir un choc et être capable de remettre en cause beaucoup de croyances conditionnées. La vérité est crue, incroyable, mais ...
Le Covid19 est déjà partout, comme tous les autres virus saisonniers d'ailleurs.
Jamais le confinement n'a vaincu aucune épidémie, même récemment en Afrique. La peste des temps passés a disparu comme elle était apparue, sans que l'on en comprenne les raisons.
C'est l'instrumentalisation de cette pseudo-épidémie, la psychose qui est créée par les politiques, les pseudo-experts et les merdias qui sont dangereuses. Leurs effets sur la société, l'économie vont être plus terrible que le nombre de morts annoncé.
La mortalité dans le monde correspond à 1,81 décès chaque seconde sur Terre, soit 109 par minute et près de 157 000 décès par jour, soit près de 57,3 millions chaque année. C'est beaucoup, mais inférieur au nombre de naissances.
800 000 personnes meurent en se suicidant chaque année dans le monde, soit quasiment deux fois plus de morts que pour le paludisme ou pour les homicides. Toutes les 40 secondes, une personne met fin à ses jours ...
Et si nous revenons à nos « poumons », la mortalité saisonnière n'est pas supérieure aux années précédentes et nous constatons à travers les témoignages que tout ce qui ressemble à un décès par pneumopathie est catalogué Covid-19, avec très peu de cas testés d'ailleurs.
Dans certaines régions, les urgences étaient déjà dépassées en temps normal, la psychose les a inondé de malades qui se faisaient habituellement soigner à domicile et de toute une panoplie d'hypocondriaques !
Les médias serviles aux ordres de l’oligarchie ne font que filmer l'écroulement des services de santé, curieusement accélérés par le fait que le gouvernement refuse de faire appel aux cliniques privées, qui disposent de nombreux lits de réa vacants !
Cet autre scandale est à mettre en relation avec la longue chaine de tous les autres auxquels ce gouvernement menteur nous a habitués. La région Ile-de-France compte 250 établissements privés non sollicités. Lamine Gharbi, président de la Fédération de l'hospitalisation privée, invité de France Bleu Paris l’affirmai sur cette, alors que le cap des 1.000 patients graves atteints du coronavirus était franchi ce jour en région parisienne.
« La Fédération l'assure, les patients peuvent venir se faire dépister dans les établissements privés sans rien à payer, c'est la sécurité sociale qui nous rémunère », expliquait alors Lamine Gharbi. En revanche, le privé réclame aussi davantage de moyens pour mener ces dépistages. « Il manque des écouvillons, des réactifs, on ne peut même pas dépister la totalité de notre personnel soignant. On se demande comment c'est possible en France », indiquait le président de la Fédération de l'hospitalisation privée.
Tout comme concernant nos retraites et Black Rock, tout porte à croire que cette crise soit au minimum le prétexte à la privatisation totale du système de santé et de nombreux services publiques, à la destruction de ce qui reste du droit, des retraites, sous prétexte d'incompétence et de mal nécessaire pour faire face à « l'épidémie ».
Quant au pire, je vous invite à lire ou relire mes article :
Les pneumopathies représentaient 37.427 morts annuelles en 2013, soit une moyenne de 3.118 morts/mois. En 2018, il y a eu 609.648 décès en France et Outre-mer inclus. L’année d’avant, en 2017, 606.274 décès pour une population de 66,89 millions d'habitants soit un taux de mortalité de 9,1 pour 1000, un taux stable sur les 10 dernières années. Quatre causes principales, tous sexes confondus, totalisent les deux tiers (67 %) des décès en France (données 2013) :
Tumeurs malignes (27,6 % des décès),
Maladies de l’appareil circulatoire (maladies cardiovasculaires, 25,1 %),
Maladies de l’appareil respiratoire (6,6 %)
Les morts violentes (accidents, suicides et autres causes externes de décès, (6,5 %).
Comme le précise le Professeur Raoult, et d'après les statistiques, il n'y a pas d'épidémie en France.... Nous avons affaire à une instrumentalisation des décès, partie de Chine, où la région de Wuhan est polluée et où les maladies par pneumopathies sont endémiques. Le Pr Peronne de l’hôpital Poincaré (qui comme Douste Blazy et beaucoup d’autres... soutiennent à fond le traitement préconisé par Raoult) a annoncé sur C News qu’un de ses confrère New Yorkais soigne tous ses patients à l’hydroxichloroquine 600mg/J + Azythromycine, résultat : aucun patient n’est parti en réanimation, zéro décès.
Le Covid-19 a été un facteur aggravant, qui a causé des ravages dans la population majoritairement âgée et fait paniquer les autorités. Le nombre de mort en Chine, rapporté à la totalité de la population, est insignifiant. La grande majorité de la Chine n'a pas été confinée ni touchée par lui.
Je vous propose ce livre avec un avertissement : être préparé à subir un choc et être capable de remettre en cause beaucoup de croyances conditionnées. La vérité est crue, incroyable, mais ...
/image%2F1388797%2F20170125%2Fob_4a2e43_img-1.jpg)
/https%3A%2F%2Fwww.thebookedition.com%2F847671-large_default%2Ftonton-malthus-est-revenu-.jpg%23width%3D458%26height%3D458)
/https%3A%2F%2Fwww.thebookedition.com%2F847671-img_product_list%2Ftonton-malthus-est-revenu-.jpg%23width%3D315%26height%3D445)
