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Retour sur le climat : le vrai (Partie 13)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/01/retour-sur-le-climat-le-vrai-partie-1.html

Les comètes ne sont donc pas toujours des messagères d'infortune. L'apparition de la comète de 1811 coïncide avec l'époque où commença à pâlir l'étoile de Napoléon. Sa dénomination est : C/1811 F1 selon la nouvelle numération.

Sa période de révolution est de 3 095,39 ans. Son passage au périhélie avait eu lieu le 12 septembre 1811 à 18h 08m 55s (Temps Universel), sa magnitude était de + 1,4. Son découvreur fut Honoré Pierre Gilles Antoine Flaugergues (1755-1830), astronome amateur, juge de paix à Viviers (Ardèche). Période d'observation de cette comète : du 26 mars 1811 (mag. : 5,8) au 17 août 1812 (mag. : 8,8). Elle fut visible à l'œil nu pendant 9 mois jusqu'à la mi-Août 1812.

Elle présentait deux queues lumineuses, une droite et une fortement incurvée. Cette comète a été consignée par Tolstoï dans Guerre et Paix. Les observations corroborent ainsi l'existence de comètes à très longues périodes orbitales capables de suivre une trajectoire stable, comme en témoigne C/1811 F1 qui possède une période orbitale d'environ 3 096 ans.

Puisque la comète Napoléon semble rendre crédible les longues périodicités ajoutées au fait que nous vivons une PERIODE CHARNIERE, replongeons-nous 3600 ans en arrière, c'est-à-dire environ 1 600 ans av. J.-C. Une ligne verticale noire correspondant à la température enregistrée dans les carottes de glace du Groenland, l'événement situé il y a 3 600 ans porte la marque d'une baisse brutale de la température.

http://vecteur-douceur.over-blog.com/2020/07/qu-est-ce-qui-fait-chauffer-notre-cocotte-terre.html

Les astronomes se demandent depuis longtemps ce qui peut chauffer autant la couronne solaire. Une étude semble prouver que cette chaleur est transférée de l'intérieur du Soleil vers la couronne par de petits jets de plasma, les spicules.

http://vecteur-douceur.over-blog.com/2020/07/qu-est-ce-qui-fait-chauffer-autant-la-couronne-solaire.html   

J’ai consacré un livre entier : Tonton Malthus est revenu ! à tenter d’expliquer la réalité climatique face aux incessants mensonges de l’élite dont la Jeanne d’Arc n’est autre que « sainte » Greta.

Notre univers étant de nature électrique, comme je le clame depuis des années, notre soleil se comporte comme un énorme condensateur avec ses cycles accompagnés d’un incessant balai de changements magnétiques en surface.

Lorsqu'on admire une éclipse totale de Soleil, on remarque tout autour de notre étoile masquée par la Lune une grande auréole lumineuse, la couronne solaire. Bien que sa surface, la photosphère, soit à une température d'environ 6.000 K, la couronne solaire pourtant plus éloignée est beaucoup plus chaude, entre 1 et 3 millions de kelvins.

On connaît depuis longtemps l'existence à la surface du Soleil des spicules, de longs tubes formés par l'intense champ magnétique solaire dans lesquels circule très rapidement du plasma.

Les spicules sont particulièrement actifs autour des taches solaires. Au cours de leur brève durée de vie (quelques minutes) elles se soulèvent puis retombent sur le Soleil. Elles sont accélérées verticalement dans la couronne solaire et viennent y déverser leur plasma brûlant telles des fontaines.

En 2012, une mission de la NASA, Iris (Interface Region Imaging Spectrograph), avait permis de mieux comprendre ce phénomène de transfert ainsi que le rôle joué par la chromosphère (une couche épaisse de 10 000 kilomètres située entre la photosphère et la couronne), zone de transit des spicules.

En 2020, ce qui aux vues des changements climatiques n’est pas anodin, pendant que les Nations arabes unies décidaient de faire mumuse autour de la planète Mars, la sonde euro-américaine Solar Orbiter avait livré les images les plus rapprochées jamais prises du Soleil.

Preuve, s’il en faut encore, qu’en haut lieu on sait et on prépare la suite des événements avec un gros bobard à raconter à la gueusaille. La sonde avait ainsi dévoilé des éruptions miniatures appelées « feux de camp » qui pourraient expliquer le chauffage de la couronne solaire, l’un des phénomènes les plus mystérieux de notre étoile.

La mission Solar Orbiter, collaboration entre l’Agence spatiale européenne (ESA) et la NASA, s’était élancée le 10 février en direction du Soleil, avec à son bord dix instruments, dont six télescopes d’observation, conférant au véhicule spatial une capacité unique à prendre des images de la surface solaire.

À environ la moitié de la distance Terre-Soleil (77 millions de kilomètres), les premières images rapprochées avaient mis en évidence un phénomène nouveau : des « feux de camp », mini-éruptions solaires omniprésentes proches de la surface.

Ces « feux de camp », qui, jusqu'ici, n’étaient pas visibles en détail, sont minuscules comparés aux éruptions solaires géantes observables depuis la Terre, des milliards de fois plus petits.

Les scientifiques ignorent encore s’ils sont une simple version miniature des grosses éruptions ou le résultat de mécanismes différents. Mais des théories avancent déjà qu’ils pourraient contribuer au chauffage de la couronne solaire, la couche la plus extrême de l’atmosphère du Soleil, qui s’étend sur des millions de kilomètres dans l’espace.

Elle dépasse en effet largement le million de degrés, alors que la surface atteint « seulement » 5500 degrés.

C’est cet écart gigantesque qui défie les lois de la nature, plus on s’éloigne d’une source de chaleur, plus la température baisse. Comprendre ces mécanismes est considéré par tous ces « spécialistes » comme le « Graal » de la physique solaire.

Considérer leurs boniments peut contribuer à faire croire que ce n’est pas un phénomène nouveau, mais une mise en évidence grâce au Solar Orbiter. Il n’en est rien ! Et ceux qui m’ont déjà lu connaissent parfaitement la science des anciens qui appréhendaient parfaitement tous ces cycles et leurs multiples incidences terrestres.

Il n’est qu’à se référer à un seul exemple : le calendrier Maya qui, comme des idiots à la solde de l'élite ont tenté de le faire croire ne s’arrêtait pas en 2012, mais prévoyait bien la fin d’un cycle en 2012, c’est tout à fait différent !!!

Comprenez-vous la distance entre le QI de nos anciens et celui de ces hommes de « science » vendus à l’élite ?

Si vous n’avez qu’une chose à retenir de cet article, c’est que cela constitue bien un phénomène nouveau qui se produit au moment critique mentionné dans mes livres et sur ce blog.

Il y a danger, le soleil a changé, ne vous exposez pas. Surtout les personnes vaccinés X fois covid-19. J’en veux pour preuve les incendies qui prospèrent à certains endroits stratégiques de la planète pour la plus grande joie d’Al Gore et de ses prophètes réchauffistes de malheur.

En 2020, le service d'incendie de la République de Sakha avait signalé 127 incendies naturels dans le secteur fédéral russe. Pour eux, ces incendies et la chaleur qui allait avec sont dus à la crise climatique due aux rejets humains dans l’atmosphère. En réalité, ces incendies font partie d'une boucle de rétroaction dangereuse dans la région nord.

Avec le réchauffement en Sibérie, d'énormes quantités de carbone logées dans le pergélisol peuvent être libérées pendant des périodes comme la nôtre, en particulier lorsque les incendies se développent dans les régions arctiques.

Mais si « l'Arctique était littéralement en feu », comme l’indiquaient ces experts, il ne se réchauffe pas en réponse à l'augmentation des niveaux de dioxyde de carbone et d'autres gaz à effet de serre dans l'atmosphère, comme le clament ceux qui sont à la solde du GIEC.

Ce réchauffement qui avait entraîné une fusion rapide et une augmentation des incendies de forêt n’était dû qu’aux interactions solaires décrites plus haut. Les températures en Sibérie pour les cinq premiers mois de 2020 étaient en moyenne de 14 ° F au-dessus de la normale.

Et ce n’était que le début des catastrophes qui vont désormais s’enfiler les unes derrière les autres comme les perles sur un collier. Car d’après une étude menée par la Royal Astronomical Society, l'activité du Soleil pourrait brutalement chuter de 60% d'ici les années 2030-2040, provoquant une baisse de température généralisée comme pendant le Minimum de Maunder (1645-1715).

Durant ce minimum, nous l’avons vu, le champ magnétique terrestre était beaucoup plus puissant qu’aujourd’hui, ce qui avait pu atténuer certains des effets de la faible activité solaire et de l’accroissement des rayons cosmiques à l’époque.

Il y a moins d'explosions lors d'un grand minimum solaire, mais les éruptions qui en résultent peuvent causer davantage de dommages à nos réseaux. Depuis l’ère moderne, l’humanité électronique n'a pas été testée par une forte éruption ou une tempête solaire de type Carrington.

Des éclairs et autres événements électriques ainsi qu’un risque accru d'éruption solaire sont donc susceptibles de perturber nos réseaux.

Les chercheurs russes ont enregistré d’énormes explosions de lumière qui se produisent dans la partie supérieure de l’atmosphère s’accompagnant par un orage. Un télescope spatial ultraviolet installé sur le satellite russe Lomonossov a enregistré ce phénomène jusqu'ici inconnu des scientifiques.

L’élite sait pertinemment que des désastres climatiques localisés, voire planétaires, vont se produire au cours des prochaines années et qu'ils n'ont rien à voir avec l'activité humaine.

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Quant à celles et ceux qui veulent en savoir plus, j’ai ceci :

https://www.thebookedition.com/fr/tonton-malthus-est-revenu--p-381845.html             

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/03/retour-sur-le-climat-le-vrai-partie-14.html

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Retour sur le climat : le vrai (Partie 12)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/01/retour-sur-le-climat-le-vrai-partie-1.html

Les observations relevées dans ces articles semblent révéler les probables événements cométaires auxquels la Terre a dû faire face depuis 3600 ans, qu'ils se soient produits par impact direct et/ou par explosion aérienne, voire associés à des perturbations électriques.

Par conséquent, le fait qu’on ait voulu cacher aux gueux l’étendu d’une  science postdiluvienne n’est pas anodin.  3 600 ans était l'une des principales unités de temps utilisées par les Sumériens et le reflet d'un cycle cosmique connu.

Conclusion : j’ai, il y a longtemps, dévoré le livre d’Emmanuel Velikovsky Mondes en collision. J’en ai acquis la certitude qu’à maintes reprises la terre a été bouleversée par des cataclysmes sans précédent : année à 360 jours, inversions de polarité dans les rochers, océans qui se sont-ils massivement déplacés et jungles transformées en déserts, présence de mammouths en Sibérie et instantanément gelés alors qu'ils étaient en train de manger paisiblement, etc.

À de nombreuses reprises depuis des milliers d’années des comètes dont l’une est devenu depuis la planète Vénus, sont venues nous secouer.

De là à adhérer aux élucubrations d’un Zecharia Sitchin (1920-2010), je n’irais pas jusque-là ! Tout un pan de la littérature moderne, largement repris sur le Net, mêle adroitement le vrai au faux, tant il s’évertue à mettre en évidence un ou des événements catastrophiques, de nature probablement cométaire, aux environs de 14 400 ans avant aujourd'hui : 3 600 (4 x 3 600 = 14 400).

Dans son ouvrage intitulé La Douzième planète, basé sur son interprétation de l'iconographie sumérienne, Sitchin a obtenu beaucoup de soutien médiatique et d'attention populaire.

Mais en ce monde/démon aux valeurs inversées lorsque tu es mis en lumière, c’est pour favoriser les intérêts de ceux qui se disent illuminés bien qu’ils œuvrent dans l’ombre des cryptes et des loges. Son hypothèse se fonde sur la supposée existence dans notre Système solaire d'une 12e planète nommée « Nibiru ». Elle suivrait une longue orbite elliptique pour atteindre le Système solaire intérieur tous les 3 600 ans.

Mais si, comme moi, vous vous référez à la fée électricité, cette hypothèse ne me semble pas cohérente. Pourquoi ? Parce qu’un corps astronomique traversant notre Système solaire en présentant une orbite très allongée ne saurait être de nature planétaire.

Cependant, ce corps pourrait très bien correspondre à une orbite cométaire. Les preuves indiquent une interaction cyclique tous les 3 600 ans entre une comète ou un essaim cométaire et la Terre : 14 400 ans, 10 800 ans, 7 200 ans et 3 600 ans.

Et puisque le dernier cycle s'est produit il y a 3 600 ans, le cycle suivant se déroule au moment où je rédige ces lignes. D'ailleurs, l'American Meteor Society recense les boules de feu observées dans le monde entier, et les données collectées au cours des quinze dernières années suggèrent que le « spectacle » pourrait bien avoir déjà commencé.

Un corps astronomique suivant une orbite très elliptique autour du Soleil avec une période de 3 600 ans ne peut pas être une planète mais une comète. Suivant son parcours elliptique autour du soleil, une trajectoire cométaire passe par différentes lignes de champ électrique (des cercles concentriques autour du soleil).

Pensez donc aux lignes d'altitude sur une carte géographique où chaque point de la ligne est à la même altitude. Eh bien ! pour une ligne de champ c’est pareil !

Elle va définir les zones où le potentiel électrique est le même. Ces variations dans la différence de potentiel électrique vont entraîner un puissant courant électrique entre la comète et son espace environnant, y compris des décharges électriques, ce qui conduit à sa surchauffe et à son rayonnement de plus en plus accru au fur et à mesure de son approche du foyer (soleil).

Le potentiel électrique à une distance donnée du Soleil étant à peu près le même, les corps célestes suivant une orbite circulaire ou très légèrement elliptique traverseront l'espace avec un potentiel électrique qui restera constant.

Cet équilibre entre le potentiel électrique du corps et son espace environnant étant constant, aucune décharge électrique ne se produira et le corps ne rayonnera donc pas.

Ainsi, la différence fondamentale entre une comète et une planète ne réside pas dans leurs compositions mais dans leurs activités ou inactivités électriques liées à l'excentricité de leurs orbites, entre autres facteurs.

Une comète est donc simplement une planète qui rayonne et une planète est une comète qui ne rayonne pas. Ainsi, comme l’explique Immanuel Velikovsky (1895-1979) dans son livre Mondes en collisions, et à propos de Vénus, selon la variation du champ électrique ambiant auquel il est soumis, un même corps astronomique peut, successivement, être une comète, puis une planète, puis une comète, etc.

J’ai beaucoup écrit depuis plus de douze ans sur Sumer et la civilisation babylonienne. Elle s’est s'épanouie en Mésopotamie du Sud du début du 2e millénaire av. J.‑C. jusqu'au début de notre ère. Cette civilisation mère réclame énormément d’intérêt tant elle influence encore notre époque.

L’élite s’est d’ailleurs empressée d’en faire disparaitre tous les vestiges et connaissances vraies. Il n’est qu’a observé les ravages qu’ont fait subir à l’Irak les GI américains durant les deux guerres du Golfe.

Ainsi, puisque la vérité sur nos origines se doit de rester cachée, penser un seul instant que toute l’histoire faite autour des écrits de Sitchin est fortuite revient à se mettre le doigt dans l’œil jusqu’à l’épaule !

Néanmoins, ses travaux nous invitent à une analyse plus approfondie de l'astronomie Suméro-babylonienne. Les Sumériens avaient une excellente connaissance de l'astronomie et des comètes en particulier.

La tablette sumérienne K 8538 retrace avec une grande précision l'impact cométaire qui s'est produit dans le sud de l'actuel Irak vers 2200 av. J.-C. 

https://www.knowledgeminer.eu/climate/pdf/Sumerian_K8538_Paper.pdf

Elle représente la toute première documentation scientifique au monde sur l'approche et l'impact d'une grande comète sur Terre.

Babylone utilisait un système élaboré de chiffres sexagésimaux basé sur 60, qui, cinq millénaires plus tard et dans le monde entier, est encore utilisé pour mesurer les angles, le temps et les coordonnées géographiques.

L'une des unités principales de ce système numérique était égale à 3 600 ans et se nommait le sar ou saros. Ainsi, associer leur unité de temps de 3 600 ans à une formidable connaissance des cieux constitue-t-elle une coïncidence ou une constante astronomique comme un cycle cométaire ?

Jusqu’à présent mis à part chez certains «hurluberlus » l’idée d’une comète avec une telle récurrence visitant notre planète selon une périodicité de 3 600 ans est généralement rejetée.

Pourquoi ? L'attraction qu'exerceraient d'autres étoiles que le Soleil sur une telle comète, constitue l’objection la plus souvent formulée par les scientistes. Les deux données spéculatives sur l’existence d’un tel objet céleste sont : une période orbitale de 3 600 ans, et un passage à moins de 1 unité astronomique (UA) du Soleil.

Une UA, c’est 150 millions de kilomètres, la distance minimale requise pour approcher la Terre. Avec ces données, il est possible de déterminer que le point de sa trajectoire cométaire qui serait le plus éloigné du Soleil (l'aphélie) doit être supérieur à 460 unités astronomiques : 469 fois la distance Terre -Soleil pour être exact.

À titre de comparaison, la distance entre Pluton et le Soleil varie entre 29,7 UA au périhélie et 49,5 UA à l'aphélie, et l'année plutonienne dure 248,1 années terrestres.

Il est vrai que la gravité du Soleil s'exerce très faiblement à une distance de 469 unités astronomiques. Par conséquent, une autre planète de notre Système solaire ou tout objet astronomique y transitant déstabiliserait facilement l'orbite de cette comète et la propulserait dans l'espace interstellaire. 

Une orbite stable de 3 600 ans est-elle donc vraiment impossible ?

Gardez à l'esprit que Proxima du Centaure est l'étoile qui nous est la plus proche avec une distance d'environ 4,25 années-lumière et qu'une comète présentant une orbite de 3 600 ans resterait donc dans une limite de 2,7 jours-lumière du Soleil et à une distance bien plus grande, au moins 570 fois plus, des autres étoiles. Par conséquent, cette comète subirait le contrôle gravitationnel du Soleil pendant tout son voyage orbital, y compris à son aphélie.

L'aphélie (nom masculin) est le point de la trajectoire d'un objet céleste en orbite héliocentrique qui est le plus éloigné du centre de masse, donc du Soleil (dans le cas du système solaire). L'antonyme d'aphélie est périhélie.

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Quant à celles et ceux qui veulent en savoir plus, j’ai ceci :

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Olivier

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Retour sur le climat : le vrai (Partie 11)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/01/retour-sur-le-climat-le-vrai-partie-1.html

Alors, qu’est-ce qui a fait chauffer la cocotte-minute ? Les annales chinoises semblent avoir enregistré un événement apparenté à un passage cométaire pratiquement au moment des événements cités dans l’article précédent. De là à penser que des événements cométaires soient en lien étroit avec l'activité sismique et l'activité volcanique précédemment décrites, est un pas que je vais allègrement franchir dans cet article.

Les preuves d'une corrélation entre l'activité cométaire et l'activité volcanique existent, tout comme un impact direct où une explosion aérienne (Tcheliabinsk ou Toungouska).

En dépit de ce qu'il est communément admis, à savoir que la dynastie Xia ne serait qu'un mythe, de récentes découvertes archéologiques viennent bousculer ce consensus. Dans Sciences et Avenir d’avril 2019, il est fait mention des vestiges inattendus de Shimao, vaste ville aux fortifications de pierre (cinq fois plus grands que la Cité interdite) mise au jour dans le nord de la Chine. Les autorités y voient la première preuve archéologique de l'existence de la mythique dynastie des Xia.

Lorsque dans les chroniques chinoises il est écrit les « étoiles tombaient comme la pluie », elles témoignent d’un événement de tout évidence majeure, puisque 1600 avant J.-C. marque aussi la fin du règne de plus de quatre siècles de la dynastie Xia sur la Chine orientale.

Selon la chronologie proposée dans les Annales de Bambou, le règne du roi Jie de Xia s'est terminé vers 1600 av. J.-C., et celui du roi T'ae-Këah de Shang a pris fin 70 ans plus tard. Ces deux règnes sont tous deux placés dans la période de Théra, à savoir vers 1670-1520 av. J.-C.

Avec ce que nous savons déjà, une question se pose : combien de pics de poussière couplés à des chutes de température sont attribués à tort aux éruptions volcaniques ?

Il est particulièrement préoccupant de constater que la présence de ces mystérieuses éruptions volcaniques auxquelles aucun pic de poussière n'est attribué ne concerne pas uniquement des époques révolues.

Les données sont claires, à une période aussi récente que l'année 1808, un pic de sulfate s'est élevé vers le mois de décembre. Le pic de poussière commence vers décembre 1808 et s'avère presque aussi élevé que celui laissé par le Tambora en 1815, qui fut la plus puissante éruption volcanique recensée dans l'histoire de l'humanité. En outre, l'année 1808 affiche une chute évidente de température ultérieure.

1808 coïncide avec une hausse soudaine du taux magnésium. Le magnésium constitue au sein de certaines comètes l'élément le plus abondant. En raison de son aspect récent, il existe des rapports de témoins oculaires de l'événement de l'an 1808. Francisco José de Caldas, directeur de l'observatoire astronomique colombien de Santa Fe de Bogotá a rapporté ce qui suit : « Depuis le 11 décembre de l'année dernière (1808), le disque solaire est apparu dénué d'irradiance. » Moult déclarations de l’époque font mention d’un voile singulier opacifiant le ciel. On notera qu'il n'est nulle part fait mention d'une éruption volcanique.

Toutefois, un événement volcanique demeure jusqu'à présent la seule hypothèse possible pour expliquer ce phénomène de voile, bien qu'aucune éruption ne puisse lui être spécifiquement attribué. L'événement mystérieux de 1808 impliquait : un pic atmosphérique de soufre et de magnésium ; une baisse de température a posteriori ; des témoins rapportant un voile atmosphérique de grande envergure (2600 kilomètres au minimum).

Ces caractéristiques sont typiques d'une explosion cométaire aérienne ou d'une pluie de météores. Coïncidence ou pas, trois comètes toutes découvertes par l'astronome français J.L. Pons de l'observatoire de Marseille furent toutes observées en 1808 : C/1808 M1, C/1808 F1 et 26P/1808 C1.

Ainsi, je le répète, combien d'éruptions volcaniques qualifiées de « mystérieuses » sont en fait des événements cométaires, qu'ils se soient produits par impact direct ou par explosion aérienne ?

Notre univers étant de nature électrique, il existe non seulement une évidente corrélation entre le volcanisme et l'activité cométaire, mais l'activité cométaire peut en outre constituer une cause directe au déclenchement d'éruptions volcaniques.

Il n’est qu’à lire les mentions des philosophes de l'Antiquité. Tous croyaient qu'une comète approchant le Soleil déclenchait la peste sur Terre, par l'exaltation de son feu volcanique et la perturbation de son atmosphère.

Je le clame et l’écris depuis des lustres sans susciter grand intérêt de la part du gueux zombifié, cette ancienne connaissance a, durant des centaines d'années, été qualifiée de «superstition sans fondement » puis systématiquement supprimée de nos enseignements par des p'tits kapos formatés à l'uniformité dogmatique de la science moderne.

Pour eux et leur science au rabais, la vie sur Terre est déconnectée des événements cosmiques. Néanmoins, la connexion électrique entre les comètes d'une part et les éruptions volcaniques et les séismes d'autre part est flagrante pour qui veut voir !

Grands ou petits, tous les tremblements de terre et toutes les éruptions volcaniques sont déclenchés par une pression externe induite sur le champ magnétique terrestre.

La pression exercée par une puissante éjection de masse coronale orientée vers la Terre peut déformer et rétrécir sa magnétosphère.

Et en fonction des différentes spécificités tectoniques de chaque région terrestre, la pression affecte ou impacte les couches situées sous la surface de façons diverses. Cette tension va entraîner la libération d'énergie sous forme de tremblements de terre dans certaines régions, et sous forme d'éruptions volcaniques dans d'autres.

Tremblements de terre et éruptions volcaniques constituent ainsi des phénomènes similaires en ce qu'ils libèrent tous deux de l'énergie tectonique. Il en ressort également que l'activité solaire entraîne des modifications dans cette énergie tectonique terrestre en étroite corrélation avec l'activité cométaire.

Dans mes deuxième et troisième ouvrages La Promesse (2013) et J’ai à te parler (2014), je parlais déjà de l’influence que la comète Elenin exerce sur la terre.

La comète C/2010 X1 (Elenin) seul corps céleste jusqu'alors présent dans notre Système solaire, hormis les planètes, mettait en évidence son impact sur une très forte sismicité depuis 1965.

Sur les douze séismes majeurs qui se sont produits entre avril 2007 et mars 2011, la moitié d'entre eux, impliquaient un alignement avec Elenin.

Vous allez me dire : « comment est-ce possible ? »

Pour comprendre il convient de sortir du cadre restreint où nous maintient un enseignement scolaire et universitaire galvaudé par l’élite, ce par le biais d'une éducation judéo-maçonnique.

Le Soleil possède une activité électrique de charge positive. Il est enveloppé d'une couche électrique de charge négative : l'héliosphère.  Elle s'étend au-delà du Système solaire.

Le condensateur géant formé par le couple Soleil-héliosphère va ainsi se décharger lors d'alignements planétaires et/ou lors de l'entrée dans le Système solaire de corps étrangers.

C’est la queue de plasma conductrice d’une comète qui va lui donner cet éclat intense et son étendue sur des centaines de millions de kilomètres. Elle est à elle seule la preuve par neuf que l’univers est de nature électrique et qu'une comète est toute désignée pour produire de telles décharges solaires.

Lorsqu'elle provoque une décharge du « condensateur » solaire, il libère des éjections de masse coronale constituées de quantités massives de protons : des particules chargées positivement. Orientées vers la terre, ces décharges sont susceptibles d'atteindre et d'affecter la Terre, et tout le vivant.

Si l'activité solaire est faible, la Terre reçoit moins de vents solaires qui sont de charge positive. Par conséquent, le potentiel électrique de l'ionosphère est moins positif et tend à attirer moins d'électrons libres depuis l'intérieur de la Terre vers sa surface, ce qui rend la surface de la Terre moins négativement chargée.

Il en résulte que le champ électrique entre l'ionosphère et la surface de la Terre (champ électrique atmosphérique) est moindre. Puisque moins d'électrons libres sont attirés depuis l'intérieur de la Terre vers sa surface, le champ électrique entre la surface de la Terre et son noyau est également amoindri.

La force de ce champ électrique constitue la cohésion de la petite orange bleue.

Elle « maintient l'unité de ses parties comme un tout ». Une violente décharge solaire est à même d'induire une brusque augmentation de la charge positive de l'ionosphère, laquelle entraîne une soudaine surtension dans cette force cohésive.

La petite orange se trouve compressée et du jus commence à en sortir.

Les infimes variations géomorphologiques de notre planète consécutives aux variations de l'activité solaire exercent sur la croûte terrestre de formidables contraintes mécaniques.

Les tremblements de terre et les éruptions volcaniques en sont la manifestation la plus directe.

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