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Il est où le réchauffement, il est où ???

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Certains vont me dire que j’en rajoute encore une couche (de neige), mais les FAITS sont là. Comme avec couillonavirus, il est approprié de ne considérer que les données de température réelles brutes et non de se limiter à celles communiquées par des organismes inféodées à l’élite et leurs capos : les organisations onusiennes, qui ajustent, normalisent ou, pire, corrigent ces données.

Les statistiques on peut leur faire dire ce qu’on veut ou presque, et à ce jeu-là, le GIEC et toute la chiourme onusienne sont des champions. Le pire dans cet exercice consiste à représenter les déviations des températures par rapport à une moyenne souvent choisie pour faire apparaître, comme par magie, un réchauffement plutôt qu'une stagnation de l'évolution de ces températures. C’est de la pseudo-science.

Après vous avoir parlé de l’air, aujourd’hui parlons de l’eau.

On parle de circulation thermohaline afin d’évoquer le système de circulation océanique engendrée par les différences de densité (masse volumique) de l'eau de mer. Ces différences de densité proviennent des écarts de température et de salinité des masses d'eau, d'où le terme de thermo pour température, et halin pour la salinité de l’eau.

Température, salinité et densité sont reliées par la l’'état de l'eau de mer. Les eaux refroidies et salées plongent au niveau des hautes latitudes dans l'Atlantique-Nord (Norvège, Groenland, et mer du Labrador). Elles descendent alors vers le sud, à des profondeurs comprises entre 1 et 3 km, formant l'eau profonde Nord-Atlantique. La remontée de ces eaux se fait principalement par mélange vertical dans tout l'océan.

Des zones de formation d'eau dense dans l'océan Austral, existent également au niveau des mers de Ross et de Weddell. Il est difficile de séparer la circulation engendrée par la densité seul des autres sources de mouvement des eaux, telles que le vent ou les marées. Pour étudier cette circulation les scientifiques préfèrent donc utiliser une notion mieux définie : la circulation méridienne de retournement ou MOC pour « Meridional Overturning Circulation ».

La circulation thermohaline a des conséquences encore mal estimées aujourd'hui sur le climat. Salinité et température ne sont pas suffisants pour maintenir cette circulation. Vents et marées y jouent un rôle primordial, notamment dans la remontée des eaux profondes. Voilà pourquoi progressivement, la notion de MOC, s'est substituée à celle de circulation thermohaline. L'intégration suivant la longitude peut être globale, ou restreinte à un bassin, comme c'est le cas pour la circulation méridienne de retournement Atlantique, ou AMOC pour « Atlantic Meridional Overturning Circulation ».

L'utilisation de l'une ou l'autre définition dépend du problème posé. La MOC est beaucoup utilisée dans la communauté scientifique, car elle est bien définie et facilement calculable par les modèles d'océan. Lorsque la zone se limite au bassin atlantique, on parle alors d'AMOC pour « Atlantic MOC ».

C'est dans l'océan Atlantique que la circulation méridienne de retournement est la plus intense et la plus étudiée. Elle est constituée de deux zones de convection. Dans la cellule supérieure, les eaux chaudes de surface sont transportées vers le nord, où elles se densifient sous l'effet de la chaleur et de l'eau douce, avec l'atmosphère. Dans certaines régions particulières, elles peuvent devenir plus denses que les eaux sous-jacentes et plonger, alimentant ainsi l'eau profonde nord-atlantique. Cette eau profonde est transportée vers le sud, où une partie remonte en surface dans l'océan Austral, fermant ainsi le tapis roulant.

Le transport vers le sud de l'eau profonde nord-atlantique et leur remontée au niveau de l’antarctique forment également la branche supérieure de la seconde cellule convective. Cette cellule est alors fermée par la formation, d'eau profonde et d'eau de fond, au niveau de la mer de Weddell, qui tapissent le fond de l'océan Atlantique.

Fin 2020, et début 2021 avec le rapprochement des deux grosses (Jupiter et Saturne) j’ai écrit une série d’articles démystifiant leur science qui est de la science-fiction.

Le 25 février dernier, la revue Nature géoscience confirmait : « le système de circulation océanique dont fait partie le Gulf Stream est à son plus bas niveau depuis plus d’un millénaire.  Le système de courants marins du bassin atlantique (AMOC en anglais) est en partie piloté par la densité des eaux. Lorsqu’elles arrivent à hauteur du Groenland et du Svalbard, elles deviennent suffisamment froides et salées pour plonger en profondeurs et créer un appel de masse depuis le sud. C’est ainsi qu’est maintenue l’extension vers le nord du Gulf Stream. »

Or, pour la plus grande joie des réchauffistes, avec le changement climatique soi-disant provoqué par l’homme, les glaces du Groenland et de l’Arctique fondent, libérant d’importantes quantités d’eau douce. De fait, la couche océanique supérieure tend à devenir moins dense au niveau de ces mers nordiques. Aussi, on s’attend à ce que la plongée des eaux soit de plus en plus difficile et que la circulation océanique ralentisse.

Le système du Gulf Stream est en perte de vitesse, c’est vrai. Mais sur cette Terre et dans la nature, tout est cyclique. Nos scientistes feraient bien de ne pas l’oublier avant d’incriminer le gueux, et de lui envoyer sainte Greta en amorce expiatoire.

Groenland, une « Terre verte », c’est ce que trouvèrent les Vikings lors de leurs raids, il y a plus de mille ans. L’industrie n’existait pourtant pas ?

N'oublions pas les volcans dans la donne, vous n’êtes pas sans savoir que beaucoup se réveillent. L’Etna en Sicile, et un de ses potes en Islande dans la nuit de vendredi à samedi 20 mars après une éruption volcanique survenue à Geldingadalur. Et ce ne sont que quelques cas non isolés. Le "bal des grosses" a eu une influence sur notre soleil qui, par redondance, a une influence sur la Terre et ses courants : soient-ils marins ou magmatiques. Or, les fonds marins sont criblés de volcans.

Il existe 1 000 fois plus de volcans sous-marins que les 1 500 volcans terrestres actifs. Les éruptions sous-marines se produisent au niveau des dorsales océaniques, là où les fonds marins se forment. Il y aurait donc 1,5 million de volcans sous-marins.

Et ces volcans sous-marins pourraient expliquer les grands changements climatiques de la Terre, puisqu’elle-même sujette aux bombardements d’énergie cosmique dont notre soleil est le grand ordonnateur. Ces énergies influencent davantage le climat et le magma en période de cycle faible, ce qui est le cas avec ce cycle 25 solaire débuté en 2020.

Les failles volcaniques actives au milieu des océans quadrillent le fond des mers et des océans comme une coutures, sur près de 60000 km. Il s'agit des bordures en expansion des plaques tectoniques gigantesques que l'apport constant de lave vient remodeler, représentant environ 80 % de la croûte terrestre.

Lorsqu’on est prisonnier du mensonge, il est difficile de s’en libérer, surtout lorsque les FAITS tendent à étayer l’inverse. Voilà pourquoi les chercheurs tournent autour du pot en parlant du soleil sans pouvoir dire qu’il est l’acteur majeur des cycles terrestres. Ce serait se tirer une balle dans le pied.

Aussi suggèrent-ils que l'expansion de la calotte glacière terrestre accentue la pression sur les volcans sous-marins, tendant à contenir les éruptions. Mais avec le réchauffement provoqué par l’homme, la glace fond, la pression baisse et les éruptions sont plus nombreuses. Elles libèrent du CO2 qui accentue encore le réchauffement, et on est reparti pour un tour avec ces vicelards.  La fonte des glaces intervient alors selon une boucle de rétroaction qui précipite la planète dans une ère chaude et bla bla bla et bla bla bla.

Alors, à quel point le réchauffement climatique, si indispensable à la concrétisation du PLAN de l’élite mondiale, contribue-t-il à ce changement ? Dans son rapport spécial sur les océans et la cryosphère (toutes les portions de la surface des mers ou terres émergées où l'eau est présente à l'état solide) paru en 2019, le GIEC indiquait TOUT EN RETENUE que « l’AMOC s’est affaiblie par rapport à 1850-1900 ».  Le GIEC a bien fait car les nouveaux résultats publiés ce 25 février dans la revue Nature géoscience viennent renforcer davantage l’idée d’un ralentissement très atypique au cours des dernières décennies. Plus précisément, d’une ampleur sans précédent depuis plus de 1000 ans.

Un affaiblissement que les auteurs de l’étude attribuent pour l’essentiel au dérèglement climatique d’origine humaine. Leur étude s’étend de l’an 400 après J.C. jusqu’à nos jours. Glaces, sédiments marins, etc. tout y est passé et surtout la relecture de tout ce qui a été publié dans les études antérieures. Au bout du compte, les données indiquent que l’AMOC a été très stable jusqu’au 19e siècle. Vers 1850, en sortie du petit âge de glace, une première phase d’affaiblissement s’est produite. Puis, une deuxième beaucoup plus marquée en seconde partie du 20e siècle.

Le Gulf Stream fonctionne comme un tapis roulant. Il transporte l’eau chaude de surface de l’équateur vers le nord et renvoyant des eaux froides et à faible salinité en profondeur vers le sud.  Il déplace près de 20 millions de mètres cubes d’eau par seconde, soit près de 100 fois le débit de l’Amazone. Toute modification du fonctionnement du tapis aura donc des répercussions notables sur les continents adjacents. L’écoulement de surface de l’AMOC vers le nord entraîne une déviation des masses d’eau vers la droite, loin de la côte est des États-Unis.

À mesure que le tapis ralentit, cet effet s’affaiblit et davantage d’eau peut s’accumuler sur la côte est des États-Unis, conduisant à une élévation accrue du niveau de la mer. De l’autre côté de l’Atlantique, une AMOC affaiblie a été liée à des tempêtes hivernales et des canicules plus intenses.

Conclusion : Voilà pourquoi deux groupes très inégaux s’affrontent : celui des tenants de la doxa élitiste qui fait de nous tous des réchauffeurs-pollueurs-payeurs à éliminer, et celui des p’tits gars comme moi, des « complotistes fous » non relayés par les médias et pour cause ! Ce serait admettre l’ENORME mensonge du CO2.   C’est pourquoi ils continueront à prétendre que si nous continuons à alimenter le réchauffement climatique, le Gulf Stream va encore s’affaiblir nous rapprochant dangereusement du point de basculement auquel l’écoulement devient instable.

Ils vont continuer à nier l’extrême importance des cycles solaires sur la Terre, et LE FAIT MAJEUR qu’au lieu de se réchauffer le climat se refroidit dangereusement.

Tout ceci existe parce que 99,9% de la population mondiale est prise en otage par 0.01% d’ultra riches. Ils veulent nous asservir, mieux, éradiquer toutes celles et ceux, trop faibles, qui ne sont pas ou plus « bankables ».

Couillonavirus et sa vague de vaccins mortifères constituent donc l’une des mâchoires du piège. L’autre est verte, au-dessus de tout soupçon. Cette écologie-là a besoin du réchauffement climatique anthropique afin de nous piéger. Drapée dans l’hypocrisie la plus crasse, elle fait de nous des pollueurs payeurs.

C’est pourquoi, cette écologie mortifère et son cortège de croquemitaines psychopathes, je vous invite à les découvrir dans la seconde réédition de TONTON MALTHUS EST REVENU : une saine lecture pour ce printemps !

Les piquouzes vaccinales sont destinées à vous faire crever et les hypocrisies vertes, elles, sont destinées à vous faire banquer. Il vaut mieux connaître le piège et ces deux mâchoires (sanitaire et écologique). Au pire on mourra moins con.

À suivre.

Olivier

Et pour ceux qui douteraient encore voici une liste d’articles que j’ai écrit sur le sujet  :

http://vecteur-douceur.over-blog.com/2020/12/le-great-reset-mais-pas-celui-de-klaus-chwab-et-de-davos.html

http://vecteur-douceur.over-blog.com/2021/01/ce-froid-qui-vous-a-laisse-froid.html

http://vecteur-douceur.over-blog.com/2021/01/suite-du-froid-qui-vous-a-laisse-froid.html

http://vecteur-douceur.over-blog.com/2021/01/suite-des-rejouissances-au-bal-des-grosses.html

http://vecteur-douceur.over-blog.com/2021/03/c-est-le-printemps-on-va-se-les-geler.html

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