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ZION OU L’AVENEMENT DE ZORGLUB (partie 7)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/05/zion-ou-l-avenement-de-zorglub-partie-1.html   

    À l’Est, l’objectif premier de la guerre entretenu par l’Empire russe était l’annexion de Constantinople, la capitale et la plus grande métropole de l’allié allemand que constituait l’Empire ottoman, chose qui aurait accordé à la Russie le contrôle stratégique sur le Détroit du Bosphore.

Les Balkans, où se côtoyaient plusieurs États querelleurs, s’étaient combattus les uns les autres en 1912, puis en 1913, et au vu des événements déclencheurs de 1914 à Sarajevo, la Grande Guerre qui suivit pourrait presque n’être considérée que comme un troisième round de combats qui fit entrer sans le vouloir le reste de l’Europe.

La Serbie avait déjà été vaincue et occupée à cette période, des éléments du gouvernement serbe avaient au départ provoqué la guerre en organisant l’assassinat de Franz Ferdinand, le dirigeant potentiel austro-hongrois, et leur objectif plus large était la destruction totale de cet État multi-ethnique, dont plusieurs morceaux trouveraient alors leur place dans une Grande Serbie.

Avant la conquête puis la longue occupation par les Ottomans, chacun des différents peuples des Balkans avait à un moment ou à un autre dirigé un empire régional plus étendu que son propre territoire, chose qu’ils essayèrent évidemment de ressusciter après le recul du pouvoir ottoman.

Mais tous ces empires passés des Balkans s’étaient recouverts les uns les autres territorialement, ce qui avait amené à des revendications amères et opposées, et à de nouveaux combats entre la Bulgarie, la Roumanie, la Serbie et la Grèce, dont chacun de ces pays convoitait également des parties des empires voisins austro-hongrois et ottoman, ce qui contribuait à l’importante instabilité de la situation.

Le rôle extrêmement important joué par les facteurs inattendus et fortuits, est considérable dans de tels imbroglios géopolitiques. Exemple, juste avant l’assassinat de Sarajevo, la Grande-Bretagne semblait vraiment au bord d’une violente guerre civile au sujet de l’Irish Home Rule.

Albion focalisait tellement sur ce problème qu’il lui fallut des semaines avant qu’elle n’examinât simplement la situation en développement dans les Balkans, et si ces événements s’étaient déroulés ne serait-ce que deux mois plus tard, l’implication militaire britannique aurait été impossible.

Dans tous les pays européens, on trouvait des factions puissantes qui avaient passé des années à pousser à la guerre, mais il existait d’autres factions puissantes qui voyaient les choses autrement, et les circonstances de l’éclatement de la guerre ont dépendu en grande partie des décisions particulières qui furent prises.

Après le conflit, le débat universitaire au sujet de qui porterait la culpabilité de la guerre s’est poursuivi tout au long du siècle qui a suivi, et aucun ouvrage n’a su apporter de réponse définitive à cette question.

Deux alliances lourdement armées et hostiles s’étaient plongées dans une guerre colossale sans qu’aucune des deux ne se fût vraiment attendue à ce qui se produisit en fin de compte.

Un élément essentiel reste à considérer. Bien qu’il soit resté totalement ignoré par les médias dominants, c’est le récit extrêmement conspirationniste des actions menées par une frange de l’ombre jusqu’à l’éclatement de la guerre.

Et à cet égard, un livre publié il y a tout juste un siècle, et qui pourrait aujourd’hui être considéré comme conspirationniste, m’a appris beaucoup de chose. Son auteur, l’un des intellectuels les plus en vue des États-Unis sera David Starr Jordan, le président fondateur de l’université de Stanford, un scientifique qui aura publié au moins quatre-vingt-dix ouvrages, dont le fameux Unseen Empire (empire de l’ombre), paru en 1912.

Bien que les États-Unis et les puissance européennes majeures soient en théorie, comme à notre époque, des pays souverains, leurs lourdes dépenses militaires improductives les avaient peu à peu englués dans la DETTE, ce qui allait amener la plupart d’entre eux à se faire les vassaux d’un réseau de puissants financiers, l’« empire invisible » qui constitue le titre de ce livre.

Aussi, les véritables dirigeants de l’Europe étaient déjà un jeu de dynasties bancaires interconnectées et mariées entre elles, pour la plupart juives, et au-dessus desquelles, les Rothschild de Londres et de Paris régnaient déjà en maîtres.

Une grande partie de l’élite juive britannique, disposait souvent de racines allemandes comme les Rothschild. Néanmoins et afin d’être honnête, une frange des intérêts juifs européens était contre la guerre ; non productive à leurs yeux.

La principale erreur commise par Jordan fut sans doute de surestimer le pouvoir politique détenu par les intérêts financiers dominants en Europe au détriment de ceux acquis par la Nouvelle Babylone :

Ainsi, en 1916, dans une vaste mesure, l’Allemagne et ses alliés étaient de fait les « puissances du statu quo », satisfaites de l’arrangement en place au niveau des frontières, une situation très différente de celle de leurs opposants, les Alliés, tous déterminés à démembrer l’Allemagne.

Difficile alors de trouver la paix.

Qui plus est, l’alliance allemande était confrontée à une coalition qui lui était largement supérieure en nombre d’hommes, en force économique, et en ressources militaires potentielles, si bien qu’elle menait ce qu’elle considérait raisonnablement comme une guerre purement défensive.

Seulement voilà, comme nombre de faits que je tente d’évoquer ici, cette situation, claire à l’époque, est exactement contraire à ce qui a été dit de manière implicite ou même explicite dans l’histoire judéo-maçonnique racontée par nos manuels scolaires au cours du dernier siècle.

D’évidence, un autre fait restait à considérer. Bien que le très puissant bloc politique social-démocrate au parlement allemand fût fortement antimilitariste, ses membres étaient également intensément hostiles au régime tsariste, que leurs éléments juifs influents diabolisaient comme âprement antisémite, si bien que la menace russe constituait un facteur important derrière l’unité politique intérieure quasiment totale une fois la guerre éclatée.

En outre, des éléments importants au sein de l’establishment militaire allemand avaient depuis longtemps soutenu l’idée d’une guerre préventive visant à briser la puissance russe avant que celle-ci devînt trop écrasante.

Les grandes victoires allemandes remportées durant les deux premières années de combats avaient amené à l’occupation de territoires russes considérablement étendus, et une armée de 20000 Polonais combattait aux côtés des Allemands.

En conséquence, les Allemands décidèrent de ressusciter une Pologne indépendante comme État-client de l’Allemagne, plus d’un siècle après la disparition de ce pays de la carte, un changement géographique qui devait fortement affaiblir la Russie tout en constituant un tampon face à l’expansion vers l’Ouest de la part de ce pays.

Ainsi, les conséquences de la poursuite de la guerre ont été totalement désastreuses pour toute l’Europe et pour une grande partie du monde.

Des millions de morts supplémentaires furent comptés, et les conditions difficiles contribuèrent sans doute à la diffusion de "l’épidémie" de Grippe Espagnole en 1918, qui s’abattit sur le monde entier, et balaya pas moins de 50 millions de vie.

Les défaites terribles subies par la Russie en 1917 portèrent les Bolcheviques au pouvoir, débouchèrent sur une longue guerre civile qui tua des millions de personnes en plus, suivie par un conflit global qui s’étala sur trois générations contre le communisme soviétique, auquel on peut sans se tromper imputer des dizaines de millions de morts civiles en plus.

Les conditions extrêmement punitives imposées en 1919 par le Traité de Versailles à l’Allemagne impériale amenèrent en fin de compte à l’effondrement de la République de Weimar et à un second tour de guerre mondiale, bien pire encore que la première, impliquant l’Allemagne nazie et la Russie soviétique, une catastrophe qui ravagea une grande partie de l’Europe et multiplia considérablement le nombre de victimes de la seule Grande guerre.

En 14-18, l’Allemagne finit par perdre la guerre, et le récit officiel qui s’ensuivit fit porter la catastrophe pour l’Europe par le militarisme incessant de l’Allemagne, si bien que les propositions de paix allemandes devinrent un élément historique discordant. Par conséquent, on a, durant le siècle qui a suivi, simplement éludé ces faits. Fin de l’aparté.

Passons maintenant au second conflit mondial grandement orchestré par son champion du monde FDR. 1939, c’est loin ! Par pour tout le monde. Nous allons voir avec le second conflit mondial, comment les choses ont une sale tendance à se répéter et oh combien la doxa qu’on nous impose dès le plus jeune âge dans le cadre judéo-maçonnique de l’école ripoublicaine est loin, bien loin de la Vérité.

Ainsi, la concernant, la manière dont le président américain, Franklin Roosevelt, a façonné la guerre en Europe est très pertinente. À moins de vouloir toutes et tous retournés à l’Âge de glace avec ce que nous vivons en Ukraine, les leçons du passé n’ont jamais été aussi importante que dans l’âge nucléaire actuel.

À moins qu’une minorité ne comprennent comment et pourquoi les guerres ont été menées, nous resterons impuissants à contrer les bellicistes de notre propre époque.

Nous allons voir que Roosevelt a eu une responsabilité majeure, aussi bien directe qu’indirecte, pour l’éclatement de la guerre en Europe. Et surtout où il a su et pu se trouver de sombres alliés bellicistes.

Comment il a exercé des pressions sur la France pour qu’elle se lève contre Hitler, dès la réoccupation de la Rhénanie par l’Allemagne, au mois de mars 1936. Comment ces pressions exercées sur la France, mais aussi sur l’Angleterre, se sont poursuivies jusqu’à la guerre au mois de septembre 1939.

Elles ont gagné en volume et en dynamisme après le discours de la quarantaine du mois d’octobre 1937. Alors que la crise s’approchait, entre Munich et l’éclatement de la guerre, Roosevelt fit pression sur les Polonais pour résister fermement à toute demande formulée par l’Allemagne, et exhorta les Anglais et les Français à soutenir indéfectiblement les Polonais.

Il y a grandement matière à douter que l’Angleterre serait entrée en guerre au mois de septembre 1939 sans les encouragements formulés par Roosevelt et ses assurances selon lesquelles, en cas de guerre, les États-Unis allaient entrer en guerre du côté de la Grande-Bretagne aussitôt qu’il serait parvenu à faire basculer l’opinion du public étasunien pour soutenir cette intervention.

Et toujours pour ceux qui désirent en savoir plus :

https://www.thebookedition.com/fr/37027_olivier-cape     

Olivier

Suite ici :https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/06/zion-ou-l-avenement-de-zorglub-partie-8.html

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ZION OU L’AVENEMENT DE ZORGLUB (partie 6)

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Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/05/zion-ou-l-avenement-de-zorglub-partie-1.html      

Aujourd’hui, aux États-Unis, le parti républicain représente les Anglos et le parti démocrate les sionistes. Le milliardaire Trump, comme Bush, est un WASP nationaliste anglophone typique : L’Amérique d’abord.

En revanche, Biden est un sioniste typique, tout comme Obama et Clinton avant lui, mais tout à fait différent de Kennedy. Un accident électoral, il devait bien sûr être éliminé. Et il l’a été.

Pendant 250 ans, les Anglos et les sionistes ont travaillé ensemble aux États-Unis, ils avaient les mêmes intérêts personnels : l’argent et le pouvoir. Cependant, il y a maintenant des discussions entre eux concernant l’Ukraine.

Déjà la moitié des républicains anglophones veulent quitter l’Ukraine. C’est trop coûteux et ils veulent sauver les États-Unis (et leur propre fortune) de ses multiples blessures auto-infligées, juste au cas où ils sombreraient. Mais les sionistes pensent de la même manière de leur point de vue. Il n’y a qu’une seule solution.

Les Anglos voulaient l’Ukraine afin de vaincre leur rival traditionnel, la Russie. Cependant, pour les sionistes, l’Ukraine avait un autre objectif, celui de détruire l’Europe blanche, le même objectif qu’ils avaient en fomentant la Première et la Deuxième Guerre mondiale, afin d’assurer la domination sioniste du monde : le « globalisme ».

Tous les néoconservateurs ne sont pas sionistes. Beaucoup sont des Anglos. Aujourd’hui, nous constatons déjà que les Républicains commencent de plus en plus à soutenir Zaluzhny, le commandant militaire de Kiev, tandis que les Démocrates soutiennent toujours le juif Zelenski, mais hésitent maintenant.

À l’origine, les Républicains voulaient affaiblir la Russie. Les Républicains sont nationalistes, les Russes aussi. Ils commencent à comprendre que la Russie ne veut pas recréer l’empire soviétique ou un autre type d’empire, qu’elle veut seulement protéger les Russes, pas envahir d’autres pays.

En tout cas, ils ne vont pas affaiblir davantage la Russie par le biais de l’Ukraine. Tout ce qu’ils ont fait jusqu’à présent, c’est de renforcer la Russie. L’Ukraine n’a pas rempli son rôle. Quant aux sionistes, ils sont heureux de tuer le plus grand nombre possible d’Européens blancs, en particulier les Russes et les Ukrainiens, mais ils veulent avant tout le pouvoir mondial.

Les intérêts des Anglos et des sionistes coïncident. Car si les Russes ne veulent finalement pas de la puissance mondiale, alors le vrai rival est la Chine, qui a une vraie puissance mercantile. Par conséquent, le pivot vers la Chine, où il y a de l’argent réel. Une fois que les États-Unis auront perdu en Ukraine, et Kadyrov prédit avec confiance que ce sera fini d’ici la fin de 2023, les États-Unis tourneront leur attention vers la Chine. Mais c’est déjà le cas.

C’est d’ailleurs le but du "spectacle de ballons". La Chine est une option beaucoup plus intéressante pour les profiteurs, qu’ils soient Anglos ou sionistes. Mais où cela laisse-t-il l’Europe ignorante ?

Depuis longtemps l’Europe oscille entre les unionistes et les nationalistes, les forces centripètes et centrifuges, qui ont tous deux reçu l’ordre strict de ne jamais permettre l’unité dans la diversité. Les unionistes sont toutes les grandes institutions supranationales, qui n’ont aucun compte à rendre et qui sont violentes, corrompues et tyranniques, ce depuis plus de 2000 ans : l’Empire romain païen, le « Saint Empire romain » barbare franc, la papauté centraliste « réformée » avec ses « croisades » et son « unité » médiévale tyrannique, Napoléon, Hitler et l’UE.

Ces tourments sortent tous exactement du même chaudron unioniste, bouillant de haine pour l’État-nation et les petites gens. Les nationalistes sont représentés par les guerres et les massacres entre les différents pays. De Rome contre la Gaule en passant par la guerre de Cent Ans anglo-française, les guerres de « religion » d’Europe centrale, l’UE et le Brexit, etc., et par tous ces autres interminables conflits d’intimidation entre grands voisins et petits voisins, entre capitales et provinces.

Un de ces conflits se déroule en ce moment même en Ukraine, avec déjà des centaines de milliers de morts. Ces tourments aussi sortent tous exactement du même chaudron nationaliste, bouillant de haine de l’Unité.

Le plus dangereux dans l’histoire de l’Europe n’est pas la stupidité suicidaire des Européens, mais lorsque des étrangers aggravent la situation en s’immisçant. Par exemple, dans une certaine mesure, dont l’étendue exacte fait encore l’objet de débats, l’élite britannique dans son île était responsable de l’ingérence en Europe continentale et donc de la création de la Première et de la Deuxième Guerre mondiale.

Cependant, l’Europe moderne est une invention des États-Unis. Cette Union, construite sur le sang de plus de 600 000 de ses citoyens, a voulu créer une Union similaire en Europe. Le résultat est l’UE et son anneau d’étoiles captives. Une espèce d’ouroboros à la Nemrod.

Le dernier conflit en Ukraine est le résultat de l’ingérence du tyran mondial, qui se présente comme le « gendarme du monde », les États-Unis. Comme les États-Unis sont en train de perdre dans ce conflit, que se passera-t-il lorsque le tyran mondial américain aura disparu de la scène, non seulement de l’Ukraine, mais de l’Europe en général ?

Les actuels États-Unis d’Europe conçus par les Unionistes, l’UE, qui est sur le point de s’effondrer, retomberont-ils dans les nationalismes mesquins et les massacres intertribaux comme avant ?

Les Européens ne pourraient-ils pas enfin apprendre à vivre en paix après deux mille ans d’ingérence dans la vie des autres Européens et, pire encore, après mille ans d’ingérence dans la vie des non-Européens ? Qu’est-ce qui pourrait remplacer l’unionisme et le nationalisme ?

Et si c’était De Gaulle qui avait toujours eu raison ? Il ne peut y avoir de paix en Europe, tant que l’Est et l’Ouest de l’Europe ne s’accepteront pas mutuellement sur un pied d’égalité. Et le seul axe qui puisse unir l’Europe est l’axe Moscou-Berlin-Paris, celui qui avait été perturbé avant 1914.

Cet axe est le seul qui puisse aussi faire entrer tous les autres, et même Londres, même si cette dernière doit d’abord renverser son Establishment brutal, même quand les USA l’auront lâchée.

Et nous pouvons même y inclure Vilnius, Riga et Tallinn. Les Baltes n’aiment peut-être pas les Russes à cause de l’occupation soviétique, mais c’était il y a longtemps et les Baltes, contrairement à leurs élites fantoches, n’aiment pas l’occupation américaine qui l’a remplacée et le fait d’être obligés de s’exiler à l’étranger simplement pour vivre.

Et puisque j’en suis à évoquer des « perturbations » avant 1914. Je vais, en aparté, me livrer à quelques confidences que peu connaissent. Fin 1916, le gouvernement allemand avait proposé publiquement des négociations de paix internationales sans prérequis, dans le but de mettre fin à la guerre, ce qui suggérait que le massacre à grande échelle et inutile soit arrêté.

Les Allemands venaient de remporter plusieurs grandes victoires, avaient infligé des pertes colossales aux Alliés dans la Bataille de la Somme et avaient totalement fait sortir la Roumanie de la guerre. Aussi, forts de leurs succès militaires, ils soulignaient qu’ils recherchaient la paix, non pas par faiblesse, mais sur la base de leur force.

Malheureusement, les Alliés la rejetèrent catégoriquement, déclarant que l’offre formulée par l’Allemagne ressemblait à une défaite, et réaffirmant leur détermination à remporter une victoire totale comprenant d’importantes prises territoriales.

Il s’en est suivi que des millions de personnes sont mortes sans raison au cours des deux années qui suivirent, et quelques mois plus tard, début 1917, le gouvernement tsariste de Russie s’effondra, ce qui permit aux Bolcheviques de prendre le pouvoir, un virage qui porta à des conséquences néfastes à long terme.

Tous les gros titres de la fin 1916 décrivaient l’offre de paix, et ensuite, cette affaire disparaitra complétement de nos livres d’histoire. Si une paix négociée avait mis fin aux massacres de la guerre deux années après son ouverture, l’impact sur l’histoire du monde aurait été considérable, et ce pas uniquement du fait que la moitié des morts auraient été évités. Tous les pays européens étaient entrés en guerre début août 1914 avec pour idée bien ancrée et erronée que le conflit serait bref.

Si les combats avaient cessé en 1916 sans qu’aucun des deux camps n’en sortît vainqueur, il est certain que les lourdes pertes induites par un conflit totalement stérile auraient modéré le mode de gouvernement de tous les États européens d’importance, et auraient contribué à éviter sa répétition.

Nombreux sont ceux qui marquent 1914 comme point haut de l’optimisme occidental. Et avec l’impact modérateur de deux années de guerre désastreuse, et de millions de morts qui auraient pu être évités, ce point haut aurait pu se stabiliser en plateau pour une très longue période.

Côté Oncle Sam, quoique des éléments influents, parmi lesquels son conseiller politique le plus proche, voulaient que les États-Unis entrent en guerre aux côtés des Alliés, le président Woodrow Wilson avait longtemps espéré pouvoir assurer une médiation de nature à mettre fin au conflit, à l’image de l’action de son prédécesseur, Theodore Roosevelt, qui avait ainsi mis fin à la guerre russo-japonaise, ce qui lui avait valu pour couronnement de recevoir le Prix Nobel de la Paix en 1906.

Mais, comme je l’explique souvent dans ma littérature, Woodrow Wilson était très mal entouré. Son seul conseiller proche était le colonel Edward House. Il soutenait tellement les Britanniques qu’il apparaissait parfois clairement vouloir saboter à dessein les tentatives de paix.

Quant à Wilson, il ne disposait guère d’expérience en matière politique ou en matière de diplomatie internationale. Fin 1916 et après plusieurs mois de négociations la tentative de paix échoua.

Les objectifs des Allemands étaient relativement modérés, et ne comportaient quasiment aucune demande d’annexion de nouveaux territoires. En contraste, les Français étaient résolument engagés à la destruction totale de l’Allemagne en tant qu’objectif premier.

Ils considéraient l’Allemagne unifiée créée en 1870 comme un rival trop puissant en Europe, qui devait par conséquent être refragmenté en de multiples États faibles. Et la France devait non seulement récupérer les provinces perdues de l’Alsace et de la Lorraine, mais elle devait également annexer une grande partie de la Rhénanie, un territoire qui était allemand depuis mille ans. Les Britanniques ne tenaient pas une position aussi extrême, mais le plus gros de leur classe politique dirigeante était convaincu que l’Allemagne, du fait de son statut de compétiteur économique et militaire, devait être paralysée.

Et toujours pour ceux qui désirent en savoir plus :

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Olivier

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UNE HISTOIRE TRAFIQUEE

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Entre le fait que des archéologues découvrent un monde perdu de 417 anciennes villes mayas enfouies dans une jungle isolée, reliées par plus de 170 kilomètres d'autoroutes et datant d'environ 3 000 ans, toutes interconnectées ; que l’on découvre des épées géantes et des cercueils qui le sont tout autant, il est grand temps que l’histoire judéo-maçonnique revoit sa copie.

Ce monde perdu remonte à 1 000 avant JC à l'époque préclassique des Mayas, auparavant considérés comme une société nomade de chasseurs-cueilleurs. Cette découverte a été réalisée dans la région de la jungle d'El Mirador, dans le sud du Guatemala, à la frontière entre le Mexique et le Guatemala. Cette jungle tropicale isolée n'est accessible que par hélicoptère.

https://www.washingtonpost.com/science/2023/05/20/mayan-civilization-pyramid-discoveries-guatemala/

En Egypte, à Alexandrie, des archéologues ont mis au jour un sarcophage de 2.65 mètres de long. Il date de 2 000 ans et se trouve à côté d'une tête de pierre massive. C'est un géant pour cette période.

La découverte a été faite lors d'une fouille dans le quartier de Sidi Gaber à Alexandrie. Mesurant 2,65 mètres de long, c’est le plus grand sarcophage en granit jamais trouvé dans la région. Il remonte à la période ptolémaïque (323 av J.C. à 30 avant notre ère).

La tombe a été découverte à une profondeur de 5 mètres. Il mesure également 1,85 mètre de haut et 1,65 mètre de large. Et la couche de mortier entre le couvercle et le corps du sarcophage semble être intacte, indiquant que le contenu du cercueil en pierre n'a pas vu la lumière du jour depuis l'Antiquité.

Nara est une ville du Japon, capitale de la préfecture du même nom située dans la région du Kansai, proche de Kyōto. Elle fut la capitale du pays entre 710 et 784. Des chercheurs y ont découvert un miroir en bronze en forme de bouclier et une épée massive en fer dans un ancien tumulus.

Ce fait est sans précédent au Japon. Le miroir a une forme inhabituelle et l'épée de plus de 2 mètres. Ils ont été découverts au Tomiomaruyama kofun, le plus grand kofun rond du Japon, qui a été créé dans la seconde moitié du 4e siècle.

Un kofun est un tumulus funéraire, une colline artificielle créé par l'homme. Le centre de Nara a commencé à creuser celui de Tomiomaruyama kofun au cours de l'exercice 2018.

Ils y ont trouvé une installation funéraire abritant un cercueil en bois de 5 mètres de long. Les experts y ont également découvert une épée de fer et un miroir de bronze dans l'argile qui recouvrait le cercueil.

Le miroir mesure 64 centimètres de long et 31 cm de large. En règle générale, les miroirs en bronze que l'on trouve sur les sites archéologiques sont arrondis, mais celui-ci est en forme de bouclier.

C'était la première fois qu'un miroir en bronze en forme de bouclier était découvert sur un site archéologique au Japon. Des motifs complexes sont inscrits au dos du miroir et les experts déclarent qu’il constitue un « chef-d'œuvre d'artefact en bronze de la période Kofun », qui a duré du 3e au 7e siècle.

Quant à l’épée, elle mesure exactement 2,37 mètres de long et environ 6 cm de large. Appelée « dakoken », sa lame est légèrement pliée, comme un serpent.

Il s'agit de la plus grande épée découverte intacte sur un site archéologique au Japon. Vue sa taille, les experts y voient un instrument de cérémonie. Mais en réalité, quel genre d’individu aurait pu manier une telle arme, un géant ?

Partons en Chine maintenant où deux gravures rupestres géantes représentant un ancien poète chinois et un héros légendaire chinois ont été dévoilées sur le mont Xianshan à Xiangyang, dans la province chinoise du Hubei.

L'un représente Meng Haoran, poète de la dynastie Tang (618-907), et l'autre Fuxi, héros légendaire de la Chine ancienne, dont le corps aurait été enterré dans la ville.

La statue de Fuxi, la plus grande du genre en Chine, représente son visage, haut de 70,5 mètres et long de 230 mètres.

Située au sud de Fuxi, la statue de Meng mesure 50 mètres de haut et 90 mètres de long, avec son célèbre poème "Spring Dawn" ainsi que des bambous, des livres et des pinceaux à encre.

Entre dextérité extrême et science du sublime, nos anciens n’avaient certainement rien à envier au petit humain atrophié du 21e siècle. Nous cacherait-on la vérité sur nos origines que je n’en serais certainement pas étonné !?

Et pour celles et ceux qui désirent en savoir BEAUCOUP plus, j’ai ça : 

https://www.thebookedition.com/fr/une-autre-histoire-la-vraie--p-392634.html

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Sous Macron, 21 000 lits d’hôpitaux ont été supprimés en 5 ans

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Ça fait partie du PLAN ! Et toujours pour ceux qui désirent en savoir plus, j'ai ça : https://www.thebookedition.com/fr/de-mammon-a-corona-p-375958.html

 

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Un monceau d'âneries

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https://twitter.com/i/status/1663634442693357569

Prenez une minute de votre temps afin d'écouter ce monceau d'âneries. Rien qu'un volcan entrant en éruption produit beaucoup plus de CO2 que nous, pauvres humains asservis.

Et toujours pour ceux qui désirent en savoir plus, j'ai ça : 

https://www.thebookedition.com/fr/tonton-malthus-est-revenu--p-381845.html

 

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ZION OU L’AVENEMENT DE ZORGLUB (partie 5)

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Le Sud voit également l’Organisation de coopération de Shanghai se développer. De plus en plus de pays souhaitent rejoindre les BRICS et certains utilisent désormais des devises qui les éloignent du dollar, de l’euro ou de l’Occident.

Pendant ce temps, certains pays d’Europe et nous les premiers risquent de se désindustrialiser en raison de la hausse des coûts énergétiques. Cela révèle une vulnérabilité économique de l’Occident qui n’était pas aussi évidente avant la guerre.

Les pays en développement ayant l’obligation de faire passer les intérêts de leurs propres citoyens en premier, il n’est pas étonnant qu’ils voient leur avenir de plus en plus lié à des pays extérieurs à l’Occident. Voilà pourquoi le rempart du libéralisme de l’après-guerre, que de nombreux pays du Sud considèrent avoir été conçu par l’Occident et imposé unilatéralement aux autres pays, s’effrite désormais inexorablement.

Peu de pays non occidentaux, voire aucun, n’ont adhéré à cet ordre, tel que conçu par l’Occident.

Mais il faut aussi se demander si l’ordre international fondé sur des règles s’applique même à l’Occident ? Depuis des décennies, de nombreux pays du Sud considèrent que l’Occident mène le monde à sa guise sans se soucier de respecter les règles du jeu.

Plusieurs pays ont été envahis à volonté, le plus souvent sans l’autorisation du Conseil de sécurité des Nations unies. Il s’agit notamment de l’ex-Yougoslavie, de l’Irak, de l’Afghanistan, de la Libye et de la Syrie. Selon quelles « règles » ces pays ont-ils été attaqués ou dévastés, et ces guerres ont-elles été provoquées ou non ?

Aujourd’hui encore, les sanctions économiques imposées à plus de 40 pays par l’Occident imposent des difficultés et des souffrances considérables. En vertu de quel droit international ou « ordre fondé sur des règles » l’Occident a-t-il utilisé sa puissance économique pour imposer ces sanctions ?

Pourquoi les avoirs de l’Afghanistan sont-ils toujours gelés dans les banques occidentales alors que le pays est confronté à la famine et à l’inanition ? Pourquoi l’or vénézuélien est-il toujours retenu en otage au Royaume-Uni alors que le peuple vénézuélien vit au niveau de subsistance ?

Et si l’exposé de Seymour Hersh est vrai (il l’est j’en parle dans Chronique d’un Occident oxydé), en vertu de quel « ordre fondé sur des règles » l’Occident a-t-il détruit les pipelines Nord Stream ?

Un changement de paradigme semble s’opérer. Nous passons d’un monde dominé par l’Occident à un monde plus multipolaire.

Celui où beaucoup diront : « paix et sécurité. » La guerre en Ukraine a rendu plus évidentes les divergences internationales à l’origine de ce changement. En partie à cause de sa propre histoire, et en partie à cause des réalités économiques émergentes, le Sud considère qu’un monde multipolaire est une issue préférable, et dans lequel sa voix a plus de chances d’être entendue.

En 1963, JF Kennedy avait terminé son discours à l’American University par les mots suivants : « Nous devons faire notre part pour construire un monde de paix où les faibles sont en sécurité et les forts sont justes. Nous ne sommes pas impuissants devant cette tâche ni désespérés de la réussir. Confiants et sans crainte, nous devons travailler à l’élaboration d’une stratégie de paix. »

Après sa mort, nous l’avons vu, cette « stratégie de paix » est devenue celle du chaos orchestré. À qui le devons-nous d’après vous ? Depuis des années, dans mes livres et sur ce blog, je dénonce le phagocytage de notre modèle de droit européen, fondé sur un droit civil commun.

J’explique oh combien il est gangréné par des instances et autres organisations, y compris académiques, dévouées à la cause «commercialiste » chère au droit anglo-saxon devenus Anglo-sioniste.

Chaque société, chaque pays, a au moins deux bases fondatrices : une idéologie officielle et un certain nombre de mythes fondateurs.  Dans le cas de l’Occident, l’idéologie officielle est la « démocratie libérale occidentale ». Cependant, si nous regardons de plus près, nous constatons que depuis sa naissance au Moyen-Âge, le mythe fondateur de l’Occident est l’exceptionnalisme et son inévitable sous-produit, l’impérialisme.

Il peut s’agir des prétentions démentes à l’autorité universelle de la papauté, des soi-disant « valeurs universelles » (alias droits de l’homme) de la franc-maçonnerie, de la supériorité raciale des nazis ou de l’agenda mondialiste des financiers internationaux.

Au cours des deux dernières décennies, on a cependant assisté à un phénomène très intéressant : l’abandon total de toute idéologie envers des valeurs autre que le fric, « l’or, rien que l’or, monsignor ». Cela ne signifie pas pour autant qu’aucune idéologie n’existe actuellement.

Elle existe bel et bien, mais, wokisme aidant, elle est uniquement fondée sur la haine de l’autre, afin de diviser pour mieux régner. D’ailleurs, pour une certaine élite, l’autre n’est qu’un animal (un goyim). Et comme toutes les idéologies occidentales, l’idéologie Woke exige non seulement que vous acceptiez un mensonge (de nombreux mensonges, en fait tournant tous autour d’une reproduction devenue caduque), mais aussi que vous le proclamiez haut et fort.

Dans cet Occident oxydé, nous évoluons dans une société postchrétienne. Des faussetés y sont proclamées comme « dogme séculaire » et la notion même de « vérité » y a perdu tout sens.

De temps à autre, un Seymour Hersh tente de dépoussiérer la vérité. Mais la poussière ça retombe très vite. En outre, alors que dans le passé, la violence devait être justifiée, aujourd’hui, elle est acceptée simplement avec le raisonnement. Les guerres génocidaires en Irak ou l’attaque terroriste du North Stream 2 sont de bons exemples de l’idéologie du « parce qu’on le peut ».

En d’autres termes, nous vivons aujourd’hui dans une société ouvertement fondée sur la répudiation du concept de « vérité » et la violence et le terrorisme. Les faits n’y ont tout simplement plus d’importance. L’analyse logique non plus.

Deuxièmement, l’idéologie actuelle est profondément narcissique. Elle est faite de l’idée que la brute épaisse de la cour de récréation a des « droits » que les autres malingres n’ont pas.

Elle mesure la loyauté en fonction de l’ampleur du mensonge qu’une personne est prête à proclamer et à affirmer haut et fort, moyennant fric et légion d’horreur. Mais que la brute, ou la Bête, fassent attention. En vieillissant, la brute se sclérose au même titre que ses armes rouillent et se trouvent ainsi dépassées par un « méchant russe » violeur et dévoreur de bébés.

À l’inverse, si vous rejetez un mensonge parce qu’il est manifestement contrefactuel, vous n’avez pas « simplement » tort, vous êtes l’ennemi.

Cet engouement de l’Occident pour le mensonge, l’idéologie et la violence trouve ses racines dans les hérésies d’une papauté babylonienne, mais il s’est depuis longtemps métastasé dans toutes les facettes de notre société post Vatican II, et est devenu ouvertement le principal pilier idéologique sur lequel tout le reste est construit.

Albion, bien sûr, est seul et au-dessus de tous les autres en termes de haine raciste de « l'autre » ; quant au reste de l’anglosphère, il est dirigé par des néocons et des mondialistes dont la haine de l’autre est fondée sur des siècles de mythologisation du racisme, c’est même devenu un pilier central de leur vision du monde, même si la plupart des sujets ayant subi un lavage de cerveau n’en sont absolument pas conscients.

C’est l’Anglo-sionisme qui nous empoisonne depuis des siècles.

Les banquiers qui ont quitté Venise pour Amsterdam, puis se sont installés à Londres, après avoir financé leur agent, Cromwell, et ont ainsi placé la monarchie anglaise sous le contrôle des banquiers-commerçants (« parlementaires »), en fondant la Banque d’Angleterre en 1694 et en soudoyant les Écossais pour qu’ils s’unissent en 1707, étaient "sionistes".

C’est ainsi qu’est né l’Anglo-sionisme. Les Anglos étaient les commerçants de l’impérialisme britannique et les sionistes étaient les banquiers de l’impérialisme britannique, quelle que soit leur nationalité.

Bien sûr, il y a eu des mélanges, certains Anglos devenant banquiers et certains Sionistes devenant commerçants, allant par exemple jusqu’à se rendre aux Caraïbes pour le commerce des esclaves, dont la famille de l’ancien Premier ministre britannique Cameron a tiré des millions.

Et l’arrière-arrière-grand-père de M. Cameron était un banquier juif allemand qui est devenu citoyen britannique en 1871. Le monde est petit.

De tout cela est né le système politique Anglo-sioniste. En général, le parti de droite (les Tories) était composé d’Anglos, le parti de gauche (aujourd’hui appelé Labour) était composé de Sionistes, bien qu’il y ait eu des exceptions ; par exemple, le Premier ministre juif Disraeli, était dans le parti de droite.

Ce système a perduré au Royaume-Uni jusqu’à aujourd’hui, où, sans surprise, on parle de la civilisation « judéo-chrétienne ». Ainsi, les ministres du régime Blair, prétendument travaillistes, étaient presque tous écossais, homosexuels et juifs.

Lorsque l’ultra-tory Blair, « fils de Thatcher », a été renvoyé après avoir fait son devoir, un homme appelé Jeremy Corbyn a fini par devenir le chef du parti travailliste.

Contrairement à Blair, il était en fait de gauche, un socialiste convaincu. Par conséquent, il était naturellement propalestinien et a été immédiatement qualifié d’« antisémite » par la presse britannique Anglo-sioniste.

Ils se sont débarrassés de lui par le biais d’intrigues, notamment en l’incitant à être anti-Brexit (deux tiers de ses partisans, sa colonne vertébrale de la classe ouvrière, étaient pro-Brexit et ont donc, contre toute attente, mais sans autre choix, voté Tory pro-Brexit).

Corbyn a été remplacé par un millionnaire de l’establishment appelé Starmer, qui ressemble à une découpe en carton d’un Tory. Comment a-t-il obtenu ce poste ? Tout simplement parce qu’il est marié à une juive et que ses enfants sont donc juifs.

Cependant, le même système a été exporté dans toute l’Europe. En Union soviétique, l’idéologue de la Troisième Internationale était Bronstein (Trotsky) qui voulait une révolution mondiale.

En Roumanie, l’homme qui a remplacé Ceausescu en 1989 était un Juif. L’actuel dirigeant roumain est un Allemand. La situation en Ukraine est bien connue, du milliardaire marchand d’armes Porochenko (de son vrai nom Walzman) à l’acteur millionnaire Zelenski.

En France, le lobby sioniste est fort depuis le 19ème siècle. Bien que l’actuel président français Macron soit français, il est un banquier de Rothschild. Le franco-sionisme. Il existe des dizaines d’autres exemples à travers l’Europe au cours des 300 dernières années, en particulier depuis Napoléon.

Cependant, le principal bastion de l’Anglo-sionisme est sans aucun doute les États-Unis, que les banquiers de Londres ont sérieusement colonisés pendant la Première Guerre mondiale, notamment lors du tournant de 1916, lorsqu’il est devenu évident pour l’organisation de la Table ronde qu’il n’y aurait qu’un seul vainqueur, ni l’Allemagne, ni la Grande-Bretagne, mais les États-Unis.

Dès que la Russie a été retirée de l’équation par les banquiers américains via leurs agents britanniques et les traîtres russes à Petrograd au début de 1917, les premières troupes américaines sont apparues en France moins d’un mois plus tard. Tout avait été planifié à l’avance.

Et toujours pour ceux qui désirent en savoir plus :

https://www.thebookedition.com/fr/37027_olivier-cape   

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/06/zion-ou-l-avenement-de-zorglub-partie-6.html

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