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LA GRANDE REINITIALISATION DE TONTON KLAUS (Partie 3)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Un simple exemple de ce programme sera que, jusque dans les cours de maternelles, l’idéologie LGBTQ d’une sexualité déstabilisée autant que déviante devra être enseignée. Elle sera dans un premier temps laissée à l’initiative de chaque gouvernement mais sous tutelle onusienne. Et avec le soutien actif et enthousiaste de tous les membres de ces gouvernements. Tout comme Hitler avait annoncé dans Mein Kampf (Mon combat) ce qu’il voulait faire, on ne peut pas parler de complot puisque tout ce qu’ils s’apprêtent à faire, ils l’ont annoncé depuis longtemps.

Ainsi, ce n’est qu’une énième preuve que les merdias sont là pour tout sauf pour nous informer. Pourquoi ? Le jour même où le Forum économique mondial a annoncé « Le Grand Reset » comme un moyen positif de construire « la résilience future aux risques mondiaux », le New York Times a déclaré que tout cela n’était qu’une « théorie du complot ».

« Le Grand Reset », c’est un groupe de grands capitalistes mondiaux qui déclare alors qu’il y a urgence et qu’il convient de tout remettre à plat dans la décennie qui vient : 2020-30. Et bizarrement ce plan arrive en parfaite synchronicité avec le programme de développement durable des Nations unies aussi conçu pour être implanté durant la même période. Cette coercition est donc prémédité. La « grande réinitialisation » du Forum Economique de Davos se permet donc ainsi de lancer le monde d'après : celui que devront subir les gueux.

Pour sa première édition post-pandémie prévue en janvier prochain, le Forum de Davos ne pouvait rester dans « le monde d'avant ».

Ainsi, son gourou et toujours président, l'économiste allemand Klaus Schwab propose une « grande réinitialisation ». Pour ce faire, il fédère toutes « les bonnes volontés du monde » : le Prince Charles d'Angleterre, le secrétaire général des Nations unies Antonio Guterres, la directrice générale du Fonds monétaire international Kristalina Georgieva, le spécialiste de l'économie du climat Lord Stern, les patrons de Mastercard et Microsoft et des représentants de la jeune génération. Et tout ce fait à grands coups de discours puants d’hypocrisie et suintant la philanthropie de Bazard à tous les étages.

« Afin d'assurer notre avenir et de prospérer, nous devons faire évoluer notre modèle économique et placer les humains et la planète au cœur d'une création de valeur mondiale, a déclaré le Prince de Galles. S'il y a une leçon essentielle à tirer de cette crise, c'est que nous devons placer la nature au cœur de notre mode de fonctionnement. Nous ne pouvons tout simplement pas perdre plus de temps ».

« Cette pandémie mondiale a également démontré une fois de plus à quel point nous sommes interconnectés, a de son côté souligné Klaus Schwab. Il est de notre devoir de rétablir un système fonctionnel de coopération mondiale intelligente, structuré pour relever les défis des 50 prochaines années ».

« Le Covid-19 a accéléré notre transition vers l'ère de la quatrième révolution industrielle, a ajouté Schwab. Nous devons nous assurer que les nouvelles technologies dans le monde numérique, biologique et physique restent centrées sur l'homme et servent la société dans son ensemble, en offrant à chacun un accès équitable ». « Nous ne devons pas rater cette fenêtre d'opportunité », insiste-t-il. Pour passer de l'incantation à l'action, « nous devons mobiliser tous les leaders », a exhorté le Prince Charles.

À cet effet, le Forum de Davos de janvier 2021, la 51ème édition de l'événement, accueillera encore les grands de ce monde dans la station alpine mais sera en partie virtuel. Quelque 10 000 personnes, dont beaucoup de représentants de la jeune génération, et parmi eux des « Young leaders » du Forum économique mondial, participeront depuis 400 villes du monde pour interpeller chefs d'État et grands patrons, et insuffler des idées innovantes. « Notre génération a grandi avec Internet, a commenté Victoria Alonso Perez, jeune ingénieure uruguayenne, fondatrice de la société « Ieetech » qui géolocalise le bétail, nous sommes beaucoup plus interconnectés, à nous de créer le changement, pas seulement de le réclamer ! ».

La directrice du FMI s'est interrogée : qu'est-ce que « l'histoire retiendra de cette crise ? » Un grand retour en arrière ou cette « grande réinitialisation » ? Restant les pieds sur terre, Klaus Schwab a conclu cette conférence de lancement de ce « processus » de mise en réseau des bonnes volontés, en rappelant qu'on ne pourra pas «changer d'état d'esprit » ou changer le monde si l'économie ne reste pas solide et prospère. Laquelle ? La nôtre, ou la leur ?

Les GAFAM, c'est-à-dire tous ceux qui contrôlent l’information mondiale sont tous partie prenante de ce forum et du projet porté par lui. Les Big Four en font également partie. C’est-à-dire les quatre plus grands groupes d'audit financier au niveau mondial : Deloitte Touche Tohmatsu, EY (Ernst & Young), KPMG, PwC (PricewaterhouseCoopers). Big Pharma : c'est-à-dire les quatre gros dont on entend beaucoup parlé grâce au Covid-19 en font aussi partie. Les plus grosses banque aussi. Et tout ce joli monde vient de déclarer qu’il y a urgence climatique extrême : fer de lance d’une prise de contrôle de l’humanité. Et comprenez-le, c’est ce saint Graal que proclame Facebook et Google. En un « gentil » ouroboros se mordant la queue, ils font donc ce qu’ils disent vouloir faire en censurant toute pensée contraire à ce dogme.

Pfizer, Astra Zeneca Moderna, Johnson and Johnson sont ou partenaires stratégiques ou partenaires du forum économique mondial : celles qui figurent à Davos.

La traçabilité rentre donc dans ce plan avec les outils technologiques. Toutes les interactions humaines où les gens s’échangent de l’information sont visées en un outil totalitaire extrême face à une pandémie aussi peu importante. Les échanges, les proximités avec les outils de traçabilité sont au cœur de leur projet. Les algorithmes propres à ce genre de flicage sont simples à mettre en application et existent déjà. Savoir si vous étiez à pied en voiture, en train d’effectuer des achats, ou assis à une table en train de discuter est alors ultra simple. Combien de temps vous avez parlé et avec qui l’est tout autant. Sont-ils fichés comme opposants au système ou positifs l’est également.

Le ferment de la liberté n’est-il pas à l’extrême opposé des faits ici décrits ? Conséquences ? Admettons que le 4e Reich macronien ait alors décidé que tout rassemblement de plus de six personnes est prohibé alors que vous étiez sept à cette table. Triangulation des signaux aidant, comme dans les séries Netflix, la police sait alors où vous êtes et avec qui. Sachant que dans certains pays comme l’Australie, les mandats de perquisition sont automatiques, ils déboulent chez vous pour vous verbaliser ou au pire vous matraquer gentiment avant de vous conduire au cachot pour comportement sanitaire inacceptable.

Au mieux, même si la police n’intervient pas, appli aidant, tous ceux que vous allez croiser vont savoir qu’ils voient passer quelqu’un « au comportement social dangereux ».

Ne venez surtout pas me dire qu’un tel système n’est pas gérable aux vues du nombre de gueux sur terre. La technologie est là et déjà en application depuis longtemps. Pensez donc à vos achats réalisées par CB ou sur internet. Au moment des fêtes de fin d’année, les transactions sont innombrables et bientôt boostées par la 5G et celles qui suivront.

Elles font déjà transiter un flot d’infos bien plus énorme que celui nécessaire au piège virtuel ici décris.

Suite ici :http://vecteur-douceur.over-blog.com/2020/12/la-grande-reinitialisation-de-tonton-klaus-partie-4.html

Olivier

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