Eradication programmée (partie 1)

PS : cette série d’articles qui va aller crescendo est à lire dans l’ordre SVP.

Le but de cette série est de vous apporter une vue d’ensemble concernant le cauchemar que nous vivons tous actuellement et qui va aller crescendo. Nous en sommes encore au moment où la grenouille se pose des questions.

Les chiens (scientistes, politiques, médiatiques) à la solde du système nient le complot et pourtant je vais m’évertuer à vous démontrer le contraire. Je vais vous prouver qu’il existe bel et bien depuis le début du monde post diluvien.

Alors, bien entendu, face à cette première déclaration ne faut-il déjà pas être un agnostique, un apôtre de ce seul monde « physique ». En effet, tel comportement revient à posséder une jambe de bois ou pire encore être cul-de-jatte durant une course de cent mètres.

Je tiens ici à vous apporter « la lumière », non pas quant à nos origines, ce serait trop long, et elles sont de reste relatées dans mes livres et notamment les deux tomes du Centième Gueux. Non. Je tiens ici à vous éclairer quant à notre avenir. Et, concernant ceux qui veulent rester aveugles et sourds face à cette dystopie imposée par une élite diablement luciférienne, qu’ils se cassent donc la gueule dans l’escalier, le « Stairway to Haven » de cette élite aux commandes, ils iront ainsi tout droit en Enfer.

Quant aux autres, celles et ceux qui ont soif de CONNAISSANCE, prenez-donc le temps de disséquer ces articles, ils sont là pour vous, se suivent et possèdent la trame nécessaire afin de ne pas se perdre dans les méandres des mensonges « merdiatiques » que nous imposent nos bourreaux.

Je débuterais donc mon propos par cette citation : « L'ennemi numéro 1 de tout État est l'homme qui est capable de penser par lui-même sans considération de la pensée unique. Presque inévitablement il parviendra alors à la conclusion que l'État sous lequel il vit est malhonnête, insensé et insupportable, ainsi, si cet homme est idéaliste il voudra le changer. S'il ne l'est pas, il témoignera suffisamment de sa découverte pour générer la révolte des idéalistes contre l'État. » Henry Louis Mencken, journaliste, écrivain et libre penseur, l'un des écrivains américains les plus influents du 20^e siècle (1880-1956). J’ai en effet la prétention d’être de ceux-là, mais un idéaliste qui croit surtout en DIEU !

Commençons par nous poser quelques questions : les bonnes !

Comment en est-on arrivé là dans un monde où un personne normale est celle qui dénonce son voisin et demande encore plus de restrictions et toujours moins de liberté à son gouvernement chéri. Pourquoi ? Afin de sauver sa misérable vie et celle de ce voisin qu’on dénonce au moindre « faux pas civique » peut-être ?

Vous vous demandez sûrement comment il se fait que ceux qui étaient vos amis il y a peu, ces personnes avec qui vous partagiez les mêmes valeurs… puissent maintenant avoir perdu tout contrôle de leur raison.  Vous leur expliquez les chiffres, leur apportez des études, des faits. Mais les yeux restent vides, rien ne se passe. Et vous vous dites : « c’est pas possible ! Ils dorment ! En réalité, vous n’avez pas tort, car le monde est sous hypnose… »

Avez-vous déjà entendu parler de dissonance cognitive, d’ingénierie sociale ? De la fabrique du consentement ?

Eh bien, la dissonance cognitive en plus du Titanic c'est ça !

Je vais aller droit au but aujourd’hui. J’ai une question pour vous : pensez-vous que ceux qui vous dirigent souhaitent votre bien ? Pensez-vous qu’il serait possible qu’ils vous connaissent mieux que vous ? Je vais commencer par vous parler de celui qu’en automne 1990, le magazine Life classera parmi les cent Américains les plus importants du 20^e siècle Celui qui sera aussi associé à Henry Ford comme l'un des pères du consumérisme américain.

Je veux parler d’Edward Bernays (1891-1995). C’était un publicitaire austro-américain d’origine juive, considéré comme le père de la propagande politique et d'entreprise, ainsi que de l'industrie des relations publiques. Il est à double titre le neveu du psychanalyste Sigmund Freud, puisque neveu germain et neveu par alliance. En effet, son père, Ely Bernays (1860-1923), était le frère de Martha Bernays, l'épouse de Freud, et sa mère, Anna Freud (1858-1955) était l'une des sœurs de Freud.

Tout prouve que Freud semble avoir beaucoup compté sur son neveu Bernays pour l'aider à vulgariser la psychanalyse en Amérique. Son grand-oncle, Jacob Bernays, sera le premier juif pratiquant à être nommé à un poste universitaire dans l'Allemagne du dix-neuvième siècle. Edward Bernays sera marié à l'écrivaine et activiste féministe Doris E. Fleischman. Il est également le grand-oncle paternel de Marc Randolph (né en 1958), le co-fondateur et premier PDG de Netflix.

Netflix, une structure bien incapable de produire un contenu de qualité qui ne serait pas agressif pour un grand pourcentage de la population. Pourquoi ?

Prenons quelques exemples : la série Bill Nye Saves the World (Bill Nye sauve le monde) s’écarte du domaine des faits scientifiques pour promouvoir un agenda radical. L’épisode The Sexual Spectrum incarne parfaitement mon propos. Bill Nye y affirme qu’il n’y a pas deux sexes (homme et femme) mais 76 genres différents ! Dans Chilling Adventures of Sabrina (Les effrayantes aventures de Sabrina) outre le fait d’aborder des scènes qui sexualisent des mineurs, normalisant ainsi l’amour de l’élite pour la pédophilie, la série est remplie de messages toxiques faisant la promotion de Sabrina, une lycéenne qui devient une sorcière en livrant son âme à Satan.

Et bien entendu, parmi les messages promus : le satanisme est sympa et moderne, un allié du féminisme et du LGBTQ, un outil pour renverser le « patriarcat blanc », etc. Les chrétiens en prennent pour leur grade et le téléspectateur est gratifié de scènes de cannibalisme impliquant des enfants ; de quoi rendre normal l’amour de l’élite pour un cannibalisme sur lequel il y aurait beaucoup à dire avec l’introduction de cellules fœtales dans ces satanés vaccins qu’on veut nous inoculer.

Mais revenons à nos moutons !

Edward Bernays va se spécialiser dans la manipulation de l'opinion publique. En 1917, durant la Première Guerre mondiale, il fera partie de la « commission Creel » créée par le président Thomas Woodrow Wilson (1856-1924), le vingt-huitième président des États-Unis. Il aidera ainsi Wilson à mettre sur pied toute une machinerie mentale destinée à retourner l'opinion publique américaine et la préparer à l'entrée en guerre.

Nous sommes déjà là dans les prémisses d’une « science » sur laquelle Edward va savoir surfer. Dans le domaine des relations publiques et de la publicité, il va mettre au point les méthodes d'incitation à la consommation pour des firmes comme Lucky Strike.

Et, sous motif d’émancipation de la femme, il va les inciter à fumer. Partisan du plus offrant, on le verra ensuite, début des années soixante, retourner sa veste en une campagne anti-tabac. Il est le père de la propagande moderne, autrement dit de la manipulation de l'opinion.

Il a été l'un des premiers à industrialiser la psychologie du subconscient pour « persuader » l'opinion publique malgré elle. Il a élaboré ses propres théories en combinant les idées de Gustave Le Bon sur la psychologie des foules, celles de Wilfred Trotter sur la psychologie sociale et celles de Freud sur la psychanalyse.

Autant son oncle aura su se « préoccuper » de la libido du gueux, autant lui travaillera à faire accepter en « toute conscience » ce qui relève de l’inconscient par le biais de sa science des processus mentaux dits inconscients. Pour lui, une foule ne peut pas être considérée comme pensante, seul le ça s'y exprime, c'est-à-dire les pulsions inconscientes. Il s'y adresse pour mieux vendre des produits grâce à des publicités ciblées sur les émotions.

La Propagande du 3^e Reich saura s’imprégner de ses préceptes par le biais de l’un des chouchous d’Hitler : Joseph Goebbels. Par ses travaux sur l'inconscient à l'usage des lobbys, Bernays va contribuer à l'émergence du marketing moderne, en inspirant fortement les pionniers de la discipline : Louis Cheskin, Ernest Dichter, etc.

D’après ces gens-là, « ce n’est pas la réalité qui compte, mais la perception qu’on en a. » Et ce n’est pas Sarkozy le répétant souvent au fil de ses discours qui me contredira ! Mais pour arriver à faire de nos cerveaux du fromage mou et ainsi "zombifier" les populations, il faut un plan. Laissez-moi vous le résumer en neuf petites étapes qui feront toute la différence pour nous amener progressivement jusqu’à Covid-19, une jolie casserole portée à ébullition avec ses mangeurs de grenouilles. Ou la vengeance des grenouilles ; comme vous voulez !

Olivier.

Suite ici :http://vecteur-douceur.over-blog.com/2020/12/eradication-programmee-partie-2.html

Encouragez ceux qui luttent contre la pensée unique et œuvrent pour la Vérité.

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