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Eradication programmée (partie 2)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

PS : cette série d’articles qui va aller crescendo est à lire dans l’ordre SVP.

Un : distraction : téléphones, tablettes, écrans plats, séries tv (Netflix), jeux, sport, émissions abrutissantes à n’en plus finir. Lorsque le cerveau est en mode distraction, nous sommes en état d’hypnose et le sens critique s’endort.

Deux : créer artificiellement un problème puis venir en sauveur apporter la solution. Nous vivons actuellement une telle situation avec la DETTE, le « réchauffement climatique, l’insécurité et les attentats et dernièrement Covid-19, toutes et tous créés de toutes pièces par l’élite de l’ombre et ses capos assermentés.

C’est Naomi Klein qui le résume le mieux dans son ouvrage « La stratégie du choc ». Chez nous, en Gaule, nous avons un président qui, tout comme ses prédécesseurs avant lui, a œuvré avant son accession afin de saccager notre économie en vendant au plus offrant nos derniers fleurons industriels. La solution à un Grand reset voulu sera sans doute un « revenu universel » : un quignon de pain et une écuelle d’eau croupie. Ces gens savent comment fonctionne l’être humain au niveau de ses fondements archétypaux : la peur, le matérialisme, le sexe et l’agressivité.

À nouveau, je vais vous parler d’un individu que j’aborde souvent dans mes livres. Zbigniew Brezinski qui est à l’origine d’un drôle de mot : « le tittytainment », un terme désignant la propagande destinée à protéger la tambouille capitaliste de l’élite et des néolibéraux qui dirigent la mondialisation.

C’est de la censure, une belle propagande de désinformation dont l’objectif fondamental consiste à minimiser, aux yeux des citoyens des pays démocratiques occidentaux, les effets nocifs de leur mondialisation endiablée responsable de la mort des écosystèmes pour lesquels, désormais, Club de Rome aidant, ils veulent nous faire porter le chapeau en tant que pollueurs.

Le terme « le tittytainment » sera utilisé en 1995 par le désormais célèbre Brzezinski, membre de la commission trilatérale et ex-conseiller du Président des États-Unis Jimmy Carter, pendant la conclusion du premier « State Of The World Forum », dans l’Hôtel Fairmont à San Francisco. L’objectif de la rencontre était de déterminer l’état du monde, de suggérer des objectifs désirables et proposer des principes d’activité pour les atteindre, et d’établir des politiques globales pour obtenir sa mise en œuvre.

Les leaders réunis à San Francisco (Mikhaïl Gorbatchev, George Bush, Margaret Thatcher, Vaclav Havel, Bill Gates, Ted Turner, etc..) y arriveront à la conclusion que l’arrivée de la dénommée Société 20/80 est inévitable, celle dans laquelle le travail de 20% de la population mondiale serait suffisant pour soutenir la totalité de l’appareil économique de la planète. 80% de la population restante s’avérerait alors superflu, ne disposant pas de travail ni d’occasions d’aucun type en nourrira une frustration croissante. Il conviendra alors de s’en débarrasser.

C’est là que Brzezinski proposa le tittytainment, un mélange d’aliments physiques et psychologiques qui endormirait les masses et contrôlerait sa frustration et ses protestations prévisibles. Ce principe vise à endormir la grenouille pour en faire ça. Et ça a marché, regardez autour de vous !

Brzezinski explique l’origine du terme tittytainment, comme une combinaison des mots anglais « tits » (« poitrines » en jargon américain) et « entertainment » allusif à l’effet endormant et léthargique que l’allaitement maternelle produit chez le bébé quand il boit.

Voici un extrait du livre « Le piège de la mondialisation » expliquant clairement le processus :

« Dans le siècle à venir, deux dixièmes de la population active suffiraient à maintenir l’activité de l’économie mondiale. ‘On n’aura pas besoin de plus de main d’œuvre’, estime le magnat Washington Sycip. Un cinquième des demandeurs d’emploi suffira à produire toutes les marchandises et à fournir les prestations de services de haute valeur que peut s’offrir la société mondiale. Ces deux dixièmes de la population participeront ainsi activement à la vie, aux revenus et à la consommation – dans quelque pays que ce soit. Il est possible que ce chiffre s’élève encore d’un ou deux pour cent, admettent les débatteurs, par exemple en y ajoutant les héritiers fortunés. Mais pour le reste ? Peut-on envisager que 80 % des personnes souhaitant travailler se retrouvent sans emploi ? « Il est sûr, dit l’auteur américain Jeremy Rifkin, qui a écrit le livre La Fin du travail, que les 80 % restants vont avoir des problèmes considérables. »

À l’avenir, la question sera : avoir à manger ou être dévoré. Parmi ces innombrables nouveaux chômeurs répartis dans le monde entier, on trouvera des dizaines de millions de personnes qui, jusqu’ici, avaient plus d’accointances avec une vie quotidienne confortable qu’avec la lutte quotidienne pour le survie à laquelle doivent se livrer les titulaires d’emplois précaires. C’est, sans dément, un nouvel ordre social qui se dessinait à l’hôtel au Fairmont, un univers de pays riches sans classe moyenne digne de ce nom.

Un cocktail de divertissement abrutissant et d’alimentation suffisante permettrait selon Brzezinski de maintenir de bonne humeur la population frustrée de la planète. Ce Démocrate a bien raison quand il parle de tittytainment. On essaye de dévier l’humain des problèmes réels de la vie et de la politique par des imbécilités.

Trois : la dégradation progressive ou le fascisme progressif dont le Covid-19 est le meilleur exemple tant sa progression est hypocrite autant que déstructurant pour les intelligences. On y joue pleinement sur le fait que, comme disait Pétain : « le peuple à la mémoire courte. »

Quatre : la stratégie du différé ; on s’occupe de cette pandémie mortifère on verra ensuite pour l’économie. Un plus tard que vous oublierez bien vite devant vos écrans face à Cyril Anounna.

Cinq : s’adresser aux gueux en langage infantilisant. Si tu éternues prends donc un mouchoir et si tu vas faire caca, n’oublies pas d’essuyer ton cucul. Sans oublier de faire culpabiliser les p’tits n’enfants qui ne portent pas chacun leur masque et qui sont égoïstes autant qu’inciviques.

Six : s’adresser à l’émotionnel plutôt qu’à le réflexion. 27 millions de Français fréquentent les salles de fitness pour deux cents cas avérés. On ferme donc toutes les salles de sport et ça passe comme un suppositoire glycériné. La fabrique du consentement est donc un formidable outil entre les mains des salopards qui nous dirigent.

Ils la sortent alors juste à point nommé. Appuyez sur les vieux traumatismes liés à l’injustice dont nous sommes toutes et tous porteurs, ajoutez-y un sentiment de désobéissance et de punition et on devient tous dociles. Lorsqu’on était petit on nous disait : « tu n’as pas lavé tes mains, tu n’auras pas de dessert. » Désormais, c’est : « tu n’as pas ton attestation ou tu ne portes pas ton masque, tu es un égoïste inconscient ; c’est 135 euros. »

Sept : entretenir bêtise et ignorance chez le gueux. En se spécialisant, on ne relie pas les choses les unes aux autres. Chacun est peut-être pointu en son domaine mais il ne se pique plus de curiosité en bien d’autres. L’analyse pluridisciplinaire fait défaut, mieux elle a disparu « à force de connaître tout sur rien on fini par connaître rien sur tout. » Le besoin de donner du sens disparaît et face à un couillonavirus c’est bien pratique puisque la majorité dira alors : « je ne sais pas, je ne suis pas médecin ?! »

Huit : se complaire dans la médiocrité. On a besoin d’appartenir à un groupe et c’est là qu’intervient la « pyramide de Maslow », une représentation de la hiérarchie des besoins, une théorie de la motivation élaborée à partir des observations réalisées dans les années 1940 par le psychologue Abraham Maslow.

Hormis les besoins physiologiques faciles à comprendre, les étages supérieurs laissent apparaître un besoin d’appartenance auquel le masque et la distanciation sociale apportent de graves conséquences. Quant au besoin d’estime de soi, il se trouve lui aussi gravement atteint tant l’on nous culpabilise depuis des mois. Quant au besoin de réalisation, il est gravement ébranlé avec cette crise actuelle entièrement fabriquée. En fait, le constat est indéniable : cette pyramide ne peut se gravir que dans le cas d’une société prospère. Ce qui n’est plus le cas.

Neuf : remplacer la colère par de la culpabilité. Face à un humain qui aime difficilement changer ses habitudes, nous avons ainsi une élite perverse qui le connaît mieux que lui-même. Culture et traditions sont nos racines profondes, elles nous ont nourries.

Pour en changer, il faut donc un choc ou plutôt un électrochoc : couillonavirus. Pro masque/anti-masque, pro vaccin/anti vaccin, pro ceci/anti-cela, etc., sont alors autant de sujets de controverses propres à faire imploser l’ancien monde en un joli Ordo Ab Chaos puisqu’une foule ne réagit pas à la raison, mais à l’émotion.

Bienvenue en dictature sanitaire, bientôt dictature tout court, lorsque, vaccin « aidant », on pourra alors retirer le sanitaire pour ne garder que la DICTATURE.

 

Suite ici :http://vecteur-douceur.over-blog.com/2020/12/eradication-programmee-partie-3.html

Olivier

Encouragez ceux qui luttent contre la pensée unique et œuvrent pour la Vérité.

http://vecteur-douceur.over-blog.com/2020/11/encouragez-ceux-qui-luttent-contre-la-pensee-unique-et-oeuvrent-pour-la-verite.html  

 

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