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Eradication programmée (partie 3)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

PS : cette série d’articles qui va aller crescendo est à lire dans l’ordre SVP.

Ainsi, la réalité ne compte pas, seule compte la réalité qu’on en a, servie sur un plateau par une élite de l’ombre au-dessus de laquelle seul brille le soleil !

Il faudra choisir, il n’y aura pas de place pour tout le monde. De toute façon, si on en est là, c’est à cause de vous les gueux pollueurs pas assez payeurs. Vous n’êtes pas responsables, pas suffisamment disciplinés. Avez-vous pensé aux vôtres, parents, enfants ? Un cauchemar, ou plutôt un Enfer qui nous renvoie à nos archétypes, nos croyances.

Car n’en déplaise aux agnostiques, tout ce que nous sommes actuellement en train de vivre nous vient du refus de l’incarnation par la majorité d’un peuple se croyant élu. Ceux qui porteront bientôt le fermant actif d’un poison visant à cette mondialisation endiablé seront le monde anglo-saxon. Je m’explique, et pour ce faire effectuons ensemble un bon en arrière de plusieurs siècles.

A la bataille de Bouvine, en 1214, va faire suite la révolte des barons anglais. Ce qui, en 1215, permettra à une caste financière d’imposer ses vues au pouvoir politique alors en place.

Va alors naître la « Magna Carta », latin pour une « Grande Charte », arrachée une première fois par le baronnage anglais au roi Jean sans Terre le 15 juin 1215 après une courte guerre civile qui culmine le 17 mai par la prise de Londres. Les barons, excédés par les demandes militaires et financières du roi et par les échecs répétés en France, en particulier à Bouvines et à La Roche-aux-Moines, y imposent leurs exigences.

Et c’est Oliver Cromwell (1599-1658), qui, après la mise à mort du roi Charles 1er en 1649, va se hisser à un rôle de premier plan au sein de l'éphémère Commonwealth d'Angleterre. Il impose un despotisme puritain, fait régner l'austérité, et pratique une certaine tolérance religieuse, sauf en ce qui concerne les catholiques. A cette époque « Wall Street » : c’est-à-dire la puissance financière marrane est installée en Hollande, aux Pays-Bas.

À l'initiative de Menasseh Ben Israël, Cromwell va abolir en 1656 le décret de 1290 qui avait expulsé la communauté juive d'Angleterre. La puissance financière marrane va alors émigrer à Londres donnant naissance à la City ainsi qu’à la puissance anglo-saxonne. Suivra la création de la banque d’Angleterre en 1694. Arriveront bientôt les Rothschild pour y jouer un très grand rôle. Suivra ensuite Cecil Rhodes lieutenant des Rothschild. La politique d’une élite secrète anglo-américaine va alors commencer ses ravages idéologiques autant que physiques en vue de l’instauration de leur messianisme.

En vue de l’instauration de ce NOM, le fils spirituel de Cecil Rhodes ne sera autre que Alfred Milner (1854-1925), un homme d'État britannique et administrateur colonial qui jouera un rôle important dans la définition des politiques coloniales de l'Empire entre les années 1890 et les années 1920. C’est lui qui lancera les fameuses bourses d’étude Cecil Rhodes afin de recruter dans tous les domaines de nouvelles recrues favorables à leur cause.

C’est le groupe Milner qui, dès le début du 20e siècle, interviendra telle une pieuvre tentaculaire à travers toutes les strates de la société afin d’y diffuser leur idéal technocratique. Dans les années 20, un des représentants de la banque Lazard s’appelait Robert Brant qui déclarait que « les démocraties devaient disparaître puisqu’elles étaient incapables de produire des budgets équilibrés. » Seuls des technocrates de leur trempe pourraient régir le genre humain sans doute ?!

Avançons encore et toujours vers notre temps et un certain Covid-19.

Bien que les chiens du système parlent de scénarii étudiés seulement en cas de pandémie, en 2010, la Fondation Rockefeller a bel et bien présenté un rapport ETRANGE. Et lorsqu’on connaît le pédigrée et les déclarations sulfureuse des membres de cette caste, on est en droit de se poser les bonnes questions.

Au même titre que Jacques Attali dès 2009, la Fondation Rockefeller prévoit donc « comment une pandémie peut être utilisée comme excuse pour établir un pouvoir autoritaire mondial. » Ce genre d’expression correspond à des propos tenus récemment par  Klaus Schwab que nous retrouverons plus loin. C’est même la preuve que cette crise de coronavirus était un scénario pré-planifié. Ce rapport de 2010 a établi quatre scénarii pour le futur de la technologie et du développement international. L’un d’entre eux prévoit une pandémie et ses conséquences.

Une souche de grippe provenant de l’oie sauvage se propage à travers le monde. Elle tue huit millions d’individus en sept mois. 20% de la population est infectée. La plupart des décès sont des jeunes adultes en bonne santé. La fondation prévoyait la possibilité d’une réponse autoritaire des gouvernements. Elle a bien publié cette étude qui prévoit l’émergence d’une pandémie mais pour les journaleux à la solde du régime, il s’agissait d’étudier des scénarii de réaction à une crise sanitaire et non pas d’un plan pour instaurer une dictature mondiale.

On peut me taxer de « complotiste », je m’en tape, mais seuls les gogos, les mous du bulbe victimes du tittytainment de Brzezinski croiront une telle connerie.

Le gros problème c’est que ce rapport écrit noir sur blanc que les mesures autoritaires prises durant la pandémie doivent ensuite perdurer et monter crescendo. Un rapport qui fait état de moult caméras de surveillance destinées à Big Brother. N’est-ce pas ce à quoi nous sommes en train d’assister ? Et des scénarii reprenant presque entièrement ce que nous vivons actuellement, il y en a beaucoup.

« The Eyes of Darkness », un thriller de 1981 de l'auteur Dean Koontz, parle d'un laboratoire militaire chinois qui crée un virus dans le cadre de son programme d'armes biologiques. Le laboratoire est situé à Wuhan, qui donne son nom au virus, Wuhan-400. Ce qui est troublant c’est que l’auteur du roman américain y dévoile son intrigue sur l’année 2020.

Troublant encore le fait que la BD s'en mêle, ainsi tout comme ce qui concerne le 11-Septembre 2001, les Simpson, la série télévisée d'animation américaine créée par Matt Groening nous dépeint, Chinois aidant, un épisode bizarre, bien longtemps avant 2020.

Les journaux aussi s'en mêlent !

Et nos "pecnocrates" de l'UE ne sont pas en reste. Publiée en 2012 par la Commission européenne, une bande dessinée nommée INFECTED signée Jean-David Morvan décrit en effet une pandémie semblable à celle qui sévit aujourd'hui.

Elle dit que les fonctionnaires de Bruxelles peuvent régler des problèmes globaux rapidement et efficacement. En effet, question se laisser corrompre tout en se prenant les pieds dans le tapis, on peut leur faire confiance. Afin de vous en convaincre vous n’aurez qu’à lire cet autre article : http://vecteur-douceur.over-blog.com/2020/11/recyclage-a-tous-les-etages-et-rififi-a-l-union-europeenne.html

L’œuvre dénommé INFECTED présente des similitudes avec l’actuelle pandémie de Covid-19. Les évènements se déroulent notamment dans un laboratoire chinois qui mène des expériences sur des agents pathogènes mortels. Par ailleurs, il est question d'une tentative de vol du remède élaboré contre la maladie pour le vendre à Big Pharma, industrie toute-puissante. La pandémie est d’abord hors de contrôle. Puis des mesures de sécurité draconiennes, dont la distanciation sociale, sont instaurées.

Suite ici :http://vecteur-douceur.over-blog.com/2020/12/eradication-programmee-partie-4.html

Olivier

Encouragez ceux qui luttent contre la pensée unique et œuvrent pour la Vérité.

http://vecteur-douceur.over-blog.com/2020/11/encouragez-ceux-qui-luttent-contre-la-pensee-unique-et-oeuvrent-pour-la-verite.html

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