LES SOMBRES ARTISANS DE NOTRE MALHEUR (PARTIE DEUX) Tonton Schwab

Voici venir l’opus 2 de ma série LES SOMBRES ARTISANS DE NOTRE MALHEUR http://vecteur-douceur.over-blog.com/2021/01/les-sombres-artisans-de-notre-malheur-partie-une.html Elle a été élaboré avec El papa.

Je vous conseille de lire ou relire l’opus 1 afin d’y découvrir les origines de « SION » et donc du sionisme. Aujourd’hui, je vais vous prouver que les chiens ne font pas des chats en vous reparlant d’un autre triste sire.

Les plus éveillés parmi vous ont déjà entendu parler de la grande remise à Zéro (la tête à Toto). Notre « bonne amie » Christine Lagarde alors directrice du FMI et désormais de la BCE, nous en avait donné un aperçu, le 15 janvier 2014. Elle l’avait fait avec des références au chiffre « 7 ». Elle en avait d’ailleurs plein la bouche de ses sept et de ses reset.

Voir : http://vecteur-douceur.over-blog.com/2020/10/de-7-a-seth-ou-lorsque-le-15-janvier-2014-lagarde-mettait-une-gueusaille-aveugle-en-garde-contre-un-avenir-radieux.html   

Et 2014+7, ça nous amène comme par hasard à 2021, une année où l’élite, et un certain Klaus Schwab, ne pensent qu’à foutre définitivement notre économie en l’air afin d’imposer leurs monstruosités.

Celui qui aimerait voir « fusionner » nos identités, c’est tonton Schwab. Pour vous dépeindre le personnage, Klaus Schwab était un fils de collaborateurs nazis devenu élève de Henry Kissinger à l’École de gouvernement d’Harvard. Kissinger né Heinz Alfred Kissinger le 27 mai 1923 à Fürth en Allemagne sera pour Schwab un excellent professeur, à n’en pas douter. De confession juive, Kissinger va émigrer aux États-Unis en 1938 où il sera naturalisé en 1943. Il y deviendra diplomate, politologue et le consultant en géopolitique responsable de multiples carnages à travers le monde.

C’est lui que vous pouvez voir sur cette photo, à droite et au dessus de Rothschild en train de se faire baiser la main par El papa. Très controversé, Kissinger jouera donc un rôle important dans la diplomatie américaine au cours de la guerre froide de 1968 à 1977. Il inspire la politique de la Détente avec l’Union soviétique et joue un rôle crucial dans le rapprochement avec la Chine à partir de 1971. Cette Chine qui, question surveillance, fait tant saliver nos élites tant elles désirent en appliquer les principes dystopiques (N.O.M.) partout sur Terre.

Et comme rien ne relève du hasard en ce bas monde/démon, un jour, on va retrouver notre tonton Schwab en tant que le directeur du Forum économique mondial de Davos où, depuis quelques temps, lui et ses sombres acolytes se frottent les mains en voyant en couillonavirus une opportunité à placer leur Great Reset.

Vous remarquerez au passage que Klaus Schwab entretien des accointances avec toujours les mêmes : ce peuple « élu » qui attend toujours et encore son Messie.

Une élite sioniste qui n’hésite pas, tout comme durant le Second Conflit Mondial, à sacrifier un peuple comme nous l’avons vu dans un précédent article ; afin d’arriver au terme de son PLAN. Désormais, Schwab a acquis une réputation internationale en faisant du Great Reset (la grande initialisation) un des thèmes de travail de son organisation luciférienne qui ratisse large.

Dans les années 70-80, il sera l’un des directeurs de la société Escher-Wyss (absorbée par Sulzer AG) qui joua un rôle important dans le programme de recherche atomique de l’Afrique du Sud.

Tout cela pour vous dire que : l’apartheid, tonton Schwab, il connaît ! Une forme extrême d'institutionnalisation du racisme qui sera prochainement revue et corrigée entre : les vaccinés et les autres ; les titulaires d’un passeport vaccinal désiré par Macron et les autres.

Mais revenons-en à la recherche atomique. Ce programme de contribution se déroulera bien entendu en violation complète de la résolution 418 du Conseil de sécurité des Nations unies.

Passons en Gaule qui sait toujours accueillir en son sein les «meilleurs ». C’est Raymond Barre (membre de la Commission trilatérale) qui sera à l’origine le créateur d’un cercle de chefs d’entreprise qui deviendra plus tard le Forum économique mondial.

Comment ? Avec l’aide du Commissaire européen pour les questions économique. Ce changement de nom se fera avec l’aide du Centre pour l’entreprise privée internationale (CIPE) ; la branche patronale de la National Endowment for Democracy (NED/CIA).

C’est pourquoi Schwab sera enregistré en 2016 au Groupe de Bilderberg (organe de l’OTAN) comme fonctionnaire international, ce qu’il ne sera jamais officiellement. Ne soyons donc pas étonnés du chemin transhumaniste prie par notre pays et bien d’autres depuis quelques années. En effet, tonton Schwab est issu d’une famille de collaborateurs nazis, et se dit ouvertement «transhumaniste », promoteur de la « globalisation équitable ».

De quoi dormir tranquille sur nos deux oreilles !

Olivier

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