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Roro et son empire basé sur la fausse science (Partie 3)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Il n’y a pas de remède contre le cancer, le diabète, l’autisme, l’asthme ou même la grippe. Il y a des petites pilules. Pourquoi y aurait-il de vrais remèdes contre tout et même ce fichu cancer ? Roro y a bien pensé puisqu’en 1913, il a fondé l’American Cancer Society. Allait donc pouvoir débuter la valse des chimiothérapies, de la radiothérapie et de la chirurgie.

Sacré Roro! ce vampire allait tous nous embarquer dans sa valse mortifère et endiablé. En 1918, la maladie à l'origine d'un si grand nombre de victimes n'était donc ni la grippe ni un virus.

C'était une bactérie. Agenda 2021 oblige, « se préparer à une pandémie » allait devenir au milieu des années 2000 un sujet VITAL pour l’élite et son plan d’éradication des gueux. C’est ainsi qu’aux USA et ailleurs, les fabricants de vaccins contre la grippe ont reçu des milliards de dollars des contribuables.

Lorsque les États-Unis sont entrés en guerre en avril 1917, notre Big Pharma adolescent disposait d'une manne providentielle : un grand nombre de sujets humains pour des tests effectués sous forme de première ébauche de l'armée américaine.

Pendant les années de guerre 1918-1919, les effectifs de l'armée américaine ont atteint 6 000 000 d'hommes, dont 2 000 000 ont été envoyés outre-mer. L'Institut Rockefeller pour le Medical Research a profité de ce nouveau réservoir de cobayes humains pour mener des expériences vaccinales.

Entre le 21 janvier et le 4 juin 1918, des soldats ont reçu trois doses d'un vaccin contre la méningite bactérienne. Les personnes qui ont mené l'expérience sur les soldats se contentaient de doser au petit bonheur la chance le sérum vaccinal fabriqué à partir de chevaux.

En mars de cette année-là, « cent hommes par jour » entraient à l'infirmerie de Fort Riley.  Le lundi 11 mars, le premier signal d’alarme se fait entendre, signalant le début de la première vague de grippe de 1918.

Plusieurs des hommes qui ont participé à l'expérience vaccinale présentent ensuite des symptômes de type grippal : toux, vomissements et diarrhée. Ces symptômes sont une catastrophe pour les hommes, vivant dans des casernes, voyageant en train jusqu'à la côte atlantique, ils naviguent ensuite vers l'Europe, vivent et se battent dans des tranchées.

Les conditions d'insalubrité à chaque étape du voyage constituent un environnement idéal, un terrain favorable à la détérioration du système immunitaire préparant ainsi la voie à la propagation d'une maladie contagieuse comme la pneumonie bactérienne.

Les réactions ont parfois ressemblé au début d'une méningite épidémique et plusieurs hommes vaccinés ont été envoyés à l'hôpital de la Base pour diagnostic. Les soldats ont développé des symptômes semblables à ceux de la grippe.

La méningite bactérienne, à l'époque comme aujourd'hui, est connue pour provoquer des symptômes similaires à ceux de la grippe. La similitude des premiers symptômes de la méningite bactérienne et de la pneumonie bactérienne avec les symptômes de la grippe est peut-être la raison pour laquelle les expériences de vaccination à Fort Riley ont pu échapper à tout examen en tant que cause potentielle de la grippe dite « espagnole » depuis cent ans et plus.

La Première Guerre mondiale s'est terminée seulement dix mois après les premières injections. Malheureusement pour les 50 à 100 millions de morts, les soldats à qui l'on a injecté des bactéries chevalines se sont rapidement déplacés pendant ces dix mois.

Un article de 2008 sur le site du CDC décrit comment des soldats malades de la Première Guerre mondiale ont pu transmettre la bactérie à d'autres en devenant des « vecteurs de propagation ».

Pendant plusieurs jours au cours des épidémies locales, en particulier dans les lieux très fréquentés tels que les salles d'hôpital, les camps militaires, les navires de transport de troupes et les mines (et les tranchées), certains étaient immunologiquement sensibles, infectées ou en phase de guérison d'une infection par le virus de la grippe.

Bien que le vaccin ait rendu beaucoup de gens malades, il n'a tué que ceux qui y étaient sensibles. Ceux qui sont tombés malades et ont survécu sont devenus des « vecteurs de propagation » qui ont transmis la bactérie à d'autres, créant davantage de vecteurs de propagation, lesquels se sont propagé à d'autres personnes en tuant les personnes qui y étaient vulnérables. Et le cycle s'est répété au-delà des conditions d'insalubrité qui prévalaient en temps de guerre, et les millions de soldats sur lesquels faire des expériences n'étaient plus là.

Le bilan pour les troupes américaines fut énorme et il est bien documenté. Quatorze des plus grands camps d'entraînement avaient signalé des épidémies de grippe en mars, avril ou mai, et certains des soldats infectés avaient transporté le virus avec eux à bord de navires à destination de la France.

Lorsque les soldats dans les tranchées sont tombés malades, les militaires les ont évacués des lignes de front et les ont remplacés par des hommes en bonne santé. Ce processus a continuellement mis le virus en contact avec de nouveaux hôtes, de jeunes soldats en bonne santé dans lesquels il pouvait s'adapter, se reproduire et devenir extrêmement virulent sans danger d'épuisement.

Avant qu'une interdiction de voyager puisse être imposée, un contingent de troupes de remplacement a quitté le Camp Devens près de Boston pour le Camp Upton à Long Island, qui était le point d'embarquement de l'armée pour la France, et a emporté la grippe avec lui.

Les États-Unis n'étaient pas le seul pays à posséder le vaccin bactérien expérimental de l'Institut Rockefeller. Un rapport de 1919 de l'Institut indique qu'il « convient de mentionner qu'avant l'entrée en guerre des États-Unis (en avril 1917), l'Institut avait repris la préparation de sérum anti-méningococcique, afin de répondre aux demandes de l'Angleterre, de la France, de la Belgique, de l'Italie et d'autres pays. » On n'en sait pas assez sur la façon dont ces pays ont mené leurs propres expérimentations sur leurs soldats.

Je sais néanmoins que malgré toutes ces preuves écrasantes certains, trop nombreux, verront encore en des gens comme moi de simple « complotistes » qui, face au doux nom de Rockefeller ou Rothschild crient toujours « Illuminati ! » ou « Réduction de la population ! ».

Qu'en est-il de nos jours ? Big Pharma est toujours à la recherche de sujets humains. Bill Gates et sa bande se sont fait la main sur de pauvres filles en Inde ou sur de malheureux africains. C'est-à-dire là où on a le plus de succès lorsqu'on parvient à trouver des populations qui ne sont pas en mesure de refuser.

Vous ne me croyez pas ? Il n’est qu’à jeter un œil sur la vidéo du Dr Stanley Plotkin où il décrit l'utilisation de vaccins expérimentaux sur les orphelins, les retardés mentaux, les prisonniers et les personnes sous domination coloniale. La déposition a eu lieu en janvier 2018.

Voici une toute petite partie de l’effrayante déclaration que le Dr Plotkin admet avoir écrit : « La question est de savoir si nous devons faire des expériences sur des adultes pleinement fonctionnels et sur des enfants qui sont potentiellement des contributeurs à la société ou si nous devons faire des études initiales sur des enfants et des adultes qui sont humains dans leur forme mais pas dans leur potentiel social. »

Bien que l'eau propre, l'assainissement, les toilettes à chasse d'eau, les aliments réfrigérés et les régimes alimentaires sains aient fait et font encore beaucoup plus pour protéger l'humanité des maladies infectieuses que n'importe quel programme de vaccination, on continue à dépenser des fortunes pour en produire.

Ainsi, Big Pharma et sa chiourme de médecins assujettis ont malhonnêtement usurpé le crédit qui revient de droit aux plombiers, aux mineurs urbains, aux ingénieurs, aux urbanistes, etc.

Hélas, l'orgueil de la communauté médicale ne disparaîtra jamais et les vaccins, comme toutes les interventions médicales, ne sont pas infaillibles. Nous avons tous une sensibilité différente aux maladies. Les êtres humains ne répondent pas à une approche bonne pour tous et ont des besoins qui sont spécifiques à chacun.

En 1918-1919, l'industrie du vaccin a fait des expériences sur des soldats, probablement avec des résultats désastreux.

En 2020, l'industrie du vaccin a expérimenté à l’échelle mondiale avec les effets désastreux que nous ne commençons hélas qu’à entrevoir. Tous les jours, elle le fait sur des nourrissons. Résultat : un enfant américain sur sept, entièrement vacciné, suit une forme ou une autre d'éducation spécialisée et plus de 50 % d'entre eux souffrent d'une maladie chronique.

En 1918-1919, aucun suivi du ou des risques n'a été effectué après les vaccinations. En 2020, il n'y a pratiquement pas eu de suivi du ou des risques après l'administration d'un vaccin.

En 1918-1919, le fabricant n'était pas responsable des lésions ou des décès causés par les vaccins. En 2020, aucune responsabilité n'était prévue pour les fabricants de vaccins en cas de lésions ou de décès causés par des vaccins, ce qui fut officialisé en 1986.

C’est Bill le coyote lui-même qui s’en est assuré. Parcourant le monde dans son jet privé, il a rendu visite à tous les chefs d’état occidentaux, y compris Macron, afin de prêcher la bonne parole du Deep State : « Tu vaccines tout le monde et en cas de problème, on n’a rien vu. C’est ton gouvernement qui paie (avec nos impôts). » Il l’a fait alors que nous étions tous confinés et qu’aucun avion n’était censé circuler. Cherchez l’erreur ?

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Quant à celles et ceux qui veulent en savoir plus, j’ai ceci :

https://www.thebookedition.com/fr/37027_olivier-cape    

Olivier

Suite ici :

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