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Un p’tit article pour faire « faire des risettes » à tonton Reset.

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Aujourd’hui, je vais vous parler d’agenda caché et effectuer ainsi un petit intermède avant de terminer ma chronique à Roro (encore deux épisodes). Je l’ai déjà fait, mais, vue la situation qui s’aggrave, le temps est venu de mettre le doigt dessus avec tous les neurones qui vont avec.

Nous faire décroitre, tant sur le plan population que consommation semble devenue la litanie de ceux qui prétendent posséder et diriger ce monde. Mon prochain livre sort bientôt, il concerne Davos et n’était pas prévu au programme.

C’est le Vatican qui se trouvait et se trouve toujours dans ma ligne de mire. Ce n’est que partie remise ! Mais pour l’instant, mon but est de vous prouver qu’avant de nous faire majoritairement tous crever, l’élite désire nous en faire baver. Ainsi, le rôle de ce livre et de cet article sont-ils de vous en convaincre.

Les lecteurs de ma génération (1960) connaissent le slogan « la France n’a pas de pétrole, mais elle a des idées ». Décennies aidant, elle a surtout cultivé une nouvelle race de parasites : "des écolos" qui ont des idées.

Ils en ont tellement qu’il ne se passe plus un jour sans que ces frétillants militants de l’Ascétisme pour Autrui ne pondent une nouvelle idée suscitant de nouveaux quotas ou de nouvelles restrictions qui garantiront enfin une avancée décisive de l’Humanité vers un futur « riant ».

Au milieu de tour ça, j’habite en bord de mer et j’attends toujours de couler ! Par contre, j’aimerais me promener toute l’année en T-shirt, chaussettes et tongs. Malheureusement, je n’ai jamais utilisé autant de stères de bois afin de chauffer ma vieille carcasse ?

Et pourtant, à écouter tous ces « spécialistes » de plateaux TV œuvrant avec délice dans le catastrophisme merdiatique, notre avenir ne tient plus qu’à un fil très tenu ? Encore plus bizarre ?

Alors que Bill le coyote et ses p’tits copains voyagent en yacht ou en jet afin d’aller acheter leur pain, ce fil tenu nous tenant tous au-dessus du gouffre de l’Enfer, c’est nous, pauvres gueux, qui, du haut de nos frivolités de gaspilleurs-pollueurs, risquons de la casser.

Bref ! Afin de survivre, nous devons expier nos fautes par différents moyens, bizarrement mais systématiquement tous coercitifs. Nous devrons bientôt tous nous serrer la ceinture déjà pourtant au dernier cran pour beaucoup de Gilets jaunes, depuis 2018. Nos kapos au pouvoir trépignent tous d’impatience à vouloir imposer de fermes limitations énergétiques, rebaptisés pudiquement « quotas carbone » pour faire croire à un quelconque lien avec le dioxyde de carbone.

Quelle que soit l’émission télé, le reportage, le film, la personnalité interviewée, il existe un coupable évident, pratique et systématique à savoir l’Humanité qui, une fois soigneusement taxée, contrainte et limitée afin d’expier sa faute, pourra échapper à l’apocalypse si et seulement si elle se laisse diriger par une élite éclairée et sa novlangue.

« Permis carbone », « pass énergétique », « quota carbone », constituent ainsi autant d’ausweis destinés à nous faire expier le simple fait d’exister.

Grâce à ce procédé, chaque citoyen peut être contraint jusque dans son intimité à limiter toutes ses activités, à ne faire que ce qui est approuvé et ne plus avoir ni le droit, ni le temps, ni l’énergie pour faire ce qui lui plaît.

Tu ne voyageras plus en avion, tu iras bosser à vélo, tu te doucheras une fois par semaine et à l’eau froide. Tu n‘oublieras pas de récupérer cette eau pour des usages divers et variés. Tu ne te chaufferas qu’à 19° et n’utiliseras l’électricité que deux heures chaque jour. Et encore ! Bref tu ne gaspille rien, sous peine d’amende. Seul l’État et ses garde-chiourmes peuvent se le permettre. Avec ta bénédiction de sale pollueur, bien sûr !

Finis, terminés les bons gueuletons du weekend en famille. Beaucoup seront morts d’ailleurs, grâce à la vaccination covid. La transition écologique passera par la bouffe, et Jiminy Cricket va se retrouver dans ton assiette.

Tu vas acheter ce qu’on te dit, en fonction de tes quotas carbone. Oui. Espèce de gueux ! n’espère pas continuer à acheter ce dont tu as envie sans trop te soucier du climat, de l’environnement, de la pollution et des ours polaires.

Terminée l’idée de reprendre deux fois des pâtes ! Tu vas en chier sale pollueur de Gaïa ! Qu’est-ce que tu crois ?

Il y a plus de pauvres que de riches, tout ceci va ruiner les efforts de la transition écologique destinés à nous empêcher de tous mourir noyé par la fonte inexorable des pôles.

La conclusion est donc sans appel ; la variable d’ajustement c’est toi, le pauvre.

Il faut donc dilapider l’argent public pour médiatiser et propagandiser, puis contraindre, interdire et empêcher, limiter par la loi, réguler de tous les côtés et tailler en pièce la liberté individuelle, le tout en utilisant des mots novlandesques inventés de toute pièce.

Et au milieu de tout cela, le grignotage de grillons et de vers de farine ne faisant pas encore recette auprès des Français, deviendra prochainement «  ton pain quotidien ».

Il faudra patiemment attendre encore un peu (les premières famines ?) avant ce genre de solutions. En attendant, rassurez-vous, Bill Gates et Al Gore nous ont concocté de la « bonne » viande artificielle.

Quotas carbone, pistage de votre alimentation jusqu’au moindre grain de riz… Les signaux sont encore discrets, mais ils sont persistants, répétés et de moins en moins faibles : il faut absolument imposer l’ascétisme, les contraintes de la limitation et du jeûne alimentaire et énergétique, à tous, tout le temps au milieu d’une France qui s’appauvrit attaquée de toute part par l’hystérie écologique permanente d’une caste dévoyée.

Bref, il est clair que les puissances à l’origine de ce programme fou de zéro carbone sont conscientes de cette réalité. Ils s’en moquent, car leur objectif n’a rien à voir avec l’environnement.

Il s’agit d’eugénisme et d’abattage du troupeau humain, comme l’a fait remarquer feu le prince Philip, qui se serait bien vu « réincarné en virus afin de nous faire la peau ».

Dans Tonton Malthus est revenu et dans mon livre à paraitre, j’évoque longuement Maurice Strong, fondateur du Programme des Nations unies pour l’environnement.

Celui qui, « fort avisé », avait déclaré dans son discours d’ouverture du Sommet de la Terre de Rio en 1992 : « Le seul espoir pour la planète n’est-il pas que les civilisations industrialisées s’effondrent ? N’est-il pas de notre responsabilité d’y parvenir ? ».

Lors du sommet de Rio, Strong avait supervisé la rédaction des objectifs de l’ONU en matière d’«environnement durable », de l’Agenda 21 pour le développement durable qui constitue la base de la Grande Réinitialisation de Klaus Schwab, ainsi que la création du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) de l’ONU.

Strong, un protégé de David Rockefeller, a été de loin la personnalité la plus influente derrière ce qui est aujourd’hui l’Agenda 2030 de l’ONU.

Il était co-président du Forum économique mondial de Davos de Klaus Schwab. En 2015, lors du décès de Strong, le fondateur de Davos, Klaus Schwab, a écrit : « Il était mon mentor depuis la création du Forum : un grand ami, un conseiller indispensable et, pendant de nombreuses années, un membre de notre conseil de fondation ».

Ainsi, si les grands gouvernements, les entreprises, les groupes de réflexion et le Forum économique mondial de Davos font tous la promotion d’un programme mondial « zéro carbone » visant à éliminer l’utilisation du pétrole, du gaz et du charbon, c’est afin de réaliser les souhaits de Strong, ex gourou de tonton Klaus.  

Ils savent que le passage à l’électricité solaire et éolienne est impossible parce que la demande de matières premières est irréaliste.  Cuivre, cobalt, lithium, béton, acier ; toutes ces matières utiles à la concrétisation verte dépassent LARGEMENT l’offre mondiale.

Rien que le problème des batteries est insoluble, soient-elles d’usage courant ou de secours. L’est encore davantage l’utopie de relier tout cela à un réseau électrique « fiable » 100% renouvelable.

C’est également impossible sans provoquer l’effondrement de notre niveau de vie actuel et une rupture de notre approvisionnement alimentaire qui entraînera des décès massifs dus à la famine et à la maladie.

 

Tout cela au nom d’une fraude scientifique appelée « réchauffement climatique » d’origine humaine et portée à bout de bras par les « grands noms » de la planète, tous plus vendus les uns que les autres à Mammon, le dieu de ce monde : l’argent.

Afin d’y voir plus clair n’allumons pas la lumière (ça coûte cher). Il suffit de mettre en parallèle cette pseudo écologie avec une pseudo pandémie.

La corruption éhontée qui entoure couillonavirus et sa vaccination menée par les grandes sociétés pharmaceutiques et les principaux responsables gouvernementaux à l’échelle mondiale est encore plus évidente lorsque l’on constate que les gouvernements de l’Union européenne et des États-Unis s’efforcent inconsidérément de promouvoir un programme vert dont les coûts et les avantages ont rarement fait l’objet d’un examen ouvert.

Il y a une bonne raison à cela. Il s’agit d’un programme sinistre visant à détruire les économies industrielles et à réduire la population mondiale de plusieurs milliards d’êtres humains.

Dans l’un de ses premiers actes, Joe Biden a proclamé en 2021 que l’économie des États-Unis deviendrait zéro carbone net d’ici à 2050 pour les transports, l’électricité et la fabrication.

L’Union européenne, sous la direction d’Ursula von der Leyen, notoirement corrompue, a annoncé des objectifs similaires dans le cadre de son programme « Fit for 55 » et d’innombrables autres programmes verts.

L’agriculture et tous les aspects de l’agriculture moderne sont visés par de fausses allégations de dommages causés au climat par les gaz à effet de serre.

Le pétrole, le gaz naturel, le charbon et même l’énergie nucléaire sans CO2 sont progressivement abandonnés. Pour la première fois dans l’histoire moderne, nous sommes poussés à passer d’une économie plus efficace sur le plan énergétique à une économie nettement moins efficace sur le plan énergétique.

Personne, du Deep State washingtonien, en passant par le futur 4ème Reich bruxellois, ne parle des véritables ressources naturelles nécessaires à cette fraude MONSTRUEUSE, et encore moins de son coût. Seul compte le résultat : l’éradication des gueux. La preuve ?

L’un des aspects les plus remarquables de ces idioties sans nom est bel et bien l’engouement mondial frauduleux pour les énergies vertes dites « propres et renouvelables ».  Alors que solaire et éolien sont bel et bien un piège à con tant leur caractère se veut non renouvelable et écologiquement polluant.

Presque aucun « vert » ne semble porter attention aux coûts environnementaux stupéfiants liés à la fabrication de ces gigantesques éoliennes, des panneaux solaires ou de ces fameuses batteries lithium-ion des véhicules électriques. Mais que le béotien se rassure ! Cette grave omission est délibérée.

L’un comme l’autre nécessite d’énormes quantités de matières premières pour un rendement médiocre. La construction d’une seule éolienne nécessite 900 tonnes d’acier, 2500 tonnes de béton et 45 tonnes de plastique non recyclable. Les parcs solaires nécessitent encore plus de ciment, d’acier et de verre, sans parler des autres métaux. Il ne faut pas oublier que leur efficacité énergétique est nettement inférieure à celle de l’électricité conventionnelle.

Les matières premières nécessaires à la fabrication des panneaux solaires photovoltaïques ou des éoliennes sont concentrées dans un petit nombre de pays : Chine, Australie, République démocratique du Congo, Chili, Bolivie et Argentine.

La Chine est le plus grand producteur de métaux utilisés dans les technologies solaires photovoltaïques et éoliennes, avec la plus grande part de production d’aluminium, de cadmium, de gallium, d’indium, de terres rares, de sélénium et de tellure. En outre, la Chine exerce une grande influence sur le marché du cobalt et du lithium pour les batteries.

L’Australie est le plus grand producteur de lithium […] la plus grande mine de lithium, Greenbushes, dans sa partie occidentale, est détenue en majorité par une société chinoise.

Ce n’est pas très bon quand l’Occident, afin de satisfaire aux caprices de l’oncle Sam, intensifie la confrontation avec la Chine.

Quant à la République démocratique du Congo, elle exploite plus de la moitié du cobalt mondial.

L’exploitation minière y a entraîné la contamination de l’air, de l’eau et du sol par des métaux lourds.

Tout ceci a eu de graves répercussions sur la santé des mineurs et des communautés environnantes. La zone d’extraction du cobalt est l’un des dix endroits les plus pollués au monde.

Environ 20% du cobalt en provenant est extrait par des mineurs artisanaux et à petite échelle qui travaillent dans des conditions dangereuses dans des mines creusées à la main et où le travail des enfants est très répandu.

L’extraction et le raffinage des terres rares sont essentiels à la transition vers le zéro carbone dans les batteries, les éoliennes et les panneaux solaires.

L’éolien et le solaire nécessitent jusqu’à 300 fois plus de terrain pour produire la même électricité qu’une centrale nucléaire classique.

En Chine, 25 kilomètres carrés d’un parc solaire sont nécessaires pour produire 850 MW d’électricité, soit la taille d’une centrale nucléaire classique.

Alors que les coûts sont stupéfiants, presque aucune étude du lobby vert n’examine la chaîne de production totale, de l’exploitation minière à la production de panneaux solaires et d’éoliennes, en passant par la fonte.

Au lieu de cela, ils font des affirmations frauduleuses sur le prétendu coût inférieur par KWh de la production solaire ou éolienne à des coûts hautement subventionnés.

En 2018, le système énergétique mondial dépendait à 85% des combustibles carbonés (charbon, gaz, pétrole). Un autre 10% provenait du nucléaire, pour un total de 95% d’énergie conventionnelle.

Seuls 4% provenaient des énergies renouvelables, principalement le solaire et l’éolien. Nos politiciens débiles autant que vendus à Davos parlent donc de remplacer 95% de notre production énergétique mondiale actuelle d’ici 2050 au plus tard, et une grande partie de cette production d’ici 2030.

En ce qui concerne les véhicules électriques (voitures, camions ou bus), moins de 1% du parc automobile mondial, qui compte quelque 1,4 milliard de véhicules, est aujourd’hui électrique.

Si nous devions passer au tout VE, pour fabriquer une seule batterie pour chaque véhicule du parc mondial de transport, il faudrait près de 50% des réserves mondiales de nickel de 2018 et 44% des réserves mondiales de lithium.

Chacune des 1,39 milliard de batteries lithium-ion ne pourrait avoir qu’une durée de vie utile de 8 à 10 ans. Ainsi, 8 à 10 ans après leur fabrication, de nouvelles batteries de remplacement seront nécessaires, soit à partir d’une source minérale extraite, soit à partir d’une source métallique recyclée.

Rien que pour le cuivre, il faut 4,5 milliards de tonnes, soit environ six fois le total de la production mondiale. C’est environ six fois la quantité totale que l’homme a extraite de la Terre jusqu’à présent. Le ratio roche-métal pour le cuivre étant supérieur à 500, il faudrait extraire et raffiner plus de 2250 milliards de tonnes de minerai. Et pour fonctionner, les équipements miniers devraient être alimentés par des moteurs diesel.

Pour éliminer progressivement les produits pétroliers et remplacer l’utilisation du pétrole dans le secteur des transports par un parc de véhicules entièrement électriques, c’est une capacité supplémentaire MONSTRUEUSE de production d’électricité qui serait nécessaire de la part du réseau électrique mondial pour charger les batteries des 1,4 milliard de véhicules du parc mondial.

Cela signifie qu’en se référant à la production mondiale d’électricité en 2018, pour rendre viable la révolution des VE, il faut ajouter une capacité supplémentaire de 66,7% de l’ensemble de la capacité mondiale existante de production d’électricité.

Et encore ne s’agit-il là uniquement de remplacer les moteurs à combustion interne des véhicules à l’échelle mondiale.

Si l’on considère ensuite la proposition de remplacer les sources d’énergie électrique conventionnelles actuelles à 95% par des panneaux solaires et de l’énergie éolienne sur terre et en mer pour atteindre l’objectif absurde et arbitraire de zéro carbone dans les prochaines années, tout cela pour éviter le faux « point de basculement » d’Al Gore, à savoir une augmentation de 1,5°C de la température moyenne de la planète (qui est elle-même une notion absurde), le calcul devient encore plus absurde. L’éolien et le solaire ne sont pas fiables.

Les pannes d’électricité imprévisibles qui affectent la stabilité du réseau étaient pratiquement inexistantes aux États-Unis ou en Europe avant l’introduction des grandes centrales solaires et éoliennes.

Alors, que faire ? Tout d’abord s’informer ! Faites donc circuler cet article et, pourquoi pas, procurez-vous mon prochain livre qui sort mi-mai : Davos et son écheveau « Des origines du mal à la tentative de crime mondiale ». C’est de l’économie solidaire !

Olivier

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