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N’en jetez-plus, la cour est pleine !

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

J’aimerais ne plus avoir à écrire sur ces vaccins de merde dont on nous écorche les oreilles ad nauseam. Seulement voilà, pour un «complotiste » comme moi, chaque jour qui passe révèle son quota de nouvelles toutes plus folles les unes que les autres. Il y a de quoi mettre au chômage le plus « complotiste » des « complotistes » tant la réalité de ce monde de fous dépasse la prétendue fiction dépeinte depuis des années par des « fous » en mon genre !

Je l’ai déjà écrit dans de précédents articles, mais hélas, comme tout ce qui est sérieux, pour ne pas dire vital, cette nouvelle est passée au-dessus de la tête de la plupart.

Fin mars dernier, l’ancien directeur scientifique et vice-président de Pfizer, le Dr Mike Yeadon, a déclaré que la « deuxième vague » a été truquée lors de tests COVID faussement positifs !

« VEUILLEZ avertir le monde de ne pas s’approcher des vaccins complémentaires. Si quelqu’un souhaitait nuire ou tuer une partie importante de la population mondiale au cours des prochaines années, les systèmes mis en place en ce moment le permettront. Je suis d’avis qu’il est tout à fait possible que cela soit utilisé pour un dépeuplement à grande échelle. », a-t-il déclaré à American Frontline Doctors.

Au début, le Dr Yeadon a dit : « Je suis bien conscient des crimes mondiaux contre l’humanité perpétrés contre une grande partie de la population mondiale. »

https://youtu.be/8bX-wFVBP94  

Ces commentaires de Yeadon s’inscrivent parfaitement dans le contexte des prévisions des « lanceurs d’alertes », dont votre serviteur a la fierté de faire partie, qui mettent en garde contre une catastrophe sans égale en raison de la manière dont ces vaccins ont été et sont de plus en plus utilisés.

Des vaccins expérimentaux, qui n’empêchent pas l’infection ou la transmission du virus, et favorisent le développement de « variants dangereux » qui seront beaucoup plus mortels pour les non-vaccinés et les vaccinés qui, pour différentes raisons, ne bénéficient pas d’une immunité suffisante pour les protéger.

Contre ce fléau qui nous guette, certains, hélas, prêchent encore pour plus de vaccination, ou une autre d’un type différent. Comprenez bien le piège, ils sont pressés de réaliser leur plan d’éradication et tous leurs vaccins sont en phase de test jusqu’en 2022-2023, minimum. Devant ce qui est trop voyant (effets secondaires provoqués et morts suspectes), certains jouent alors les bons samaritains : une cinquième colonne de fils de p….

Geert Vanden Bossche est de ceux-là, un expert en vaccins associé à la Fondation Bill & Melinda Gates, qui, avec l’apparence d’un « lanceur d’alerte », semble dénoncer le non-sens de cette vaccination tout en continuant à prêcher pour sa paroisse. Pardon ! je voulais dire celle de bill le coyote, oups !!

En décembre dernier, déjà, avant de s’adresser dernièrement et dans l’urgence aux médecins de première ligne américains (AFLDS), Yeadon avait déposé une pétition auprès de l’Agence européenne des médicaments (EMA). Son but était la suspension immédiate de cette vaccination qui n’est, pour beaucoup, qu’un test expérimental risquant de créer de nombreux problèmes de sécurité, y compris un amorçage pathogène, qui implique selon lui « une réaction immunitaire exagérée, en particulier lorsque le test personne est confrontée au vrai virus « sauvage » après la vaccination. »

Il a également indiqué que, majoritairement, il est totalement contraire à l’éthique d’administrer quelque chose de nouveau et pour lequel le potentiel d’effets indésirables après quelques mois est totalement inconnu. S’interrogeant sur un motif qui dépasse largement l’aspect financier, c’est donc pour Yeadon autre chose qui motive l’élite. Comprenant qu’il est également prévu que les mineurs et éventuellement les bébés soient inclus dans le processus vaccinal, c’est pour lui un acte pervers.

Il a SURTOUT soutenu qu’il n’y a « pas besoin de vaccins » pour le COVID-19. Qu’il fallait se tenir loin d’eux car ils sont DANGEREUX.

À suivre.

Olivier

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