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RESISTANCE

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Actuellement, Covid aidant, se forme une bulle de lumière en résistance à la noirceur de cette pantomime "couillonaviresque". Elle se forme face à la contrainte et au totalitarisme ambiant.

Le confort n’étant pas un but en soi, la vie n’est pas là pour être confortable. Ceux qui aspirent à une vie confortable, immuable, où rien ne bouge, n’aspirent en fait qu’au cercueil. Certains ont, fort heureusement, une mission, un chemin de vie, une quête à accomplir afin de se remplir. Cette lumière ne se manifeste qu’à travers une résistance, autrement on ne l’entend pas, on ne la voit pas, on ne la sent pas. C’est grâce à l’électrochoc, l’orage, qu’on prend conscience de l’électricité. Le Covid, est donc pour certains, très peu, trop peu, la prise de courant et son 220 volts.

Nous avons du chemin à faire en ce monde, pour ceux qui s’éveillent, ce chemin est initiatique. Lorsque vous marchez vous revenez néanmoins souvent au point de départ, à la maison. Peu importe ! C’est la marche qui transforme le marcheur. Rien de valeur ne s’acquiert par la facilité et la rapidité. Cette crise est donc pour certains une pépite brute nécessaire autant qu’utile à l’évolution SPIRITUELLE.

Je ne suis pas en train de glorifier le chaos, d’évoquer la destruction créatrice, cette expression associée à l'économiste Joseph Schumpeter (1883-1950). Schumpeter la voyait comme un processus continuellement à l'œuvre dans les économies et qui voit se produire de façon simultanée la disparition de secteurs d'activité économique conjointement à la création de nouvelles activités économiques.

Non, loin de là ! Je dis simplement qu’il faut refuser la dystopie que veulent nous imposer les « Davosiens » de tonton Schwab tout en balançant également ce monde économique qui ne crée que des inégalités et du malheur.  D’ailleurs, Schumpeter tira une grande partie de sa compréhension de la « destruction créatrice » des œuvres du sataniste Karl Marx.

Je suis simplement d’accord pour la destruction de ce monde/démon qui ne crée que des gens juxtaposés les uns aux autres. Un monde où beaucoup aspirent seulement à plus de confort, de vacances, d’iPhone, etc. Plus de produits de consommation destinés à combler les trous laissés béants par les pulsions de désirs immédiates, mais qui ne nourrissent pas en profondeur. C’est du McDonald's, là où nous avons tous besoin de nourriture écologique saine.

C’est quoi le fils d’Ariane de vos vies ? On ne vous pose même plus la question, puisqu’en ce bas monde, c’est du secondaire destiné aux rêveries du weekend. Entre travail à la con et dérivatifs à la con, cette société de loisir qu’on promet désormais au gueux vacciné armé de son QR code, et où il pourra consommer et où tout sera automatique ne fera qu’accentuer les trous laissés par cette béance spirituelle : le vide abyssale d’une vie qui, au lieu de se remplir, s’étiole et se vide de son sang, de son sens chaque jour un peu plus.

Où est la joie, le rire, l’amour, la paix, l’étreinte dans tout ça ? Nulle part en ce monde décalcifié à dessein de toute vraie spiritualité. Personnellement, pour mes enfants, petits enfants et moi-même, je refuse ce monde techno cocoon autant que techno concon. Où se situe la liberté en ce monde dessiné par Klaus Schwab et sa clique de Davos qui se rapproche paradoxalement et dangereusement de la matrice du film Matrix ?

Le maître mot face à tout cela est donc RESISTANCE.

À suivre.

Olivier

 

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