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Entre le SRAS et le SRAS CoV-2 mon cœur de « complotiste » balance.

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

La durée la plus probable de l’immunité à un virus respiratoire comme le SRAS CoV-2 est de plusieurs années. Pourquoi ? Le SRAS a balayé certaines parties du monde il y a dix-sept ans, et le SRAS CoV-2 est similaire à 80% au SRAS.

L’immunologie cellulaire en résultant fut très étudié avec ceux qui avaient survécu au SRAS. Un échantillon de sang prélevé sur chacun a révélé s’ils répondaient ou non au SRAS original. Bingo ! ils avaient tous une mémoire de cellules T parfaitement normale et robuste. Ils étaient également protégés contre le SRAS CoV-2, car il est similaire ; ce qu’on nomme immunité croisée. La réponse des cellules T de ces personnes était la même que si elle avaient été vaccinées et cette immunité a été conservée.

Traduction : une exposition antérieure au SRAS, c’est-à-dire une variante similaire au SRAS CoV-2, a conféré une immunité contre le SRAS CoV-2. Or, de nombreux gouvernements y compris la France se servent des variants causés par la vaccination afin de justifier leurs lois liberticides :  confinements, verrouillages, fermetures de vols, restrictions diverses et variées, le tout pour en arriver à leur « saint graal » ; la délivrance d’un passeport vert, le rêve des Davosiens.

Il existe des tests permettant de vérifier l’immunité aux lymphocytes T   en mesurant les réponses des cellules dans un petit échantillon de leur sang. Sur la base des expériences effectuées dans certains pays, 30 à 50% des personnes avaient une immunité antérieure et environ 25% ont été infectées et sont maintenant immunisées. Ceux qui ne présentent aucun symptôme ne constituent jamais une menace pour la santé des autres.

Les « vaccins » actuels sont des vases fuyant à l’état d’étude, et tous ceux qui se précipitent sur la « sainte » piquouze ne sont que des rats de laboratoire. Il atténue seulement les symptômes chez les vaccinés tout en en créant d’autres, mais n’arrête pas la transmission ; il permet donc la propagation de ce qui devient alors un virus plus mortel. Cette technique est d’ailleurs utilisé comme moyen de propagation chez certains animaux, on voit alors les non vaccinés tomber rapidement comme des mouches. C’est le serpent, l’ouroboros qui se mord la queue.

Dans certains cas, la seule solution était de vacciner 100% du cheptel, car tous les non vaccinés couraient un risque élevé de mort. De là à penser que, chez l’homme, l’intention puisse être de causer un grand tort aux non-vaccinés, il n’y a qu’un tout petit pas à franchir. Je le franchis !

Un virus est un organisme vivant désireux de survivre. Ainsi, les souches plus fortes ne se propagent généralement pas à travers une population parce qu’elles tuent l’hôte trop rapidement avant de pouvoir s’y installer « confortablement ». En revanche, si les vaccinés ne souffrent que d’une maladie moins grave, alors ils transmettent ces souches aux non vaccinés qui contractent une maladie grave et meurent.

Dans le précédent article : http://vecteur-douceur.over-blog.com/2021/04/n-en-jetez-plus-la-cour-est-pleine.html  j’ai mentionné la cinquième colonne avec Gerrt Vanden Bossche, un boy de chez Bill Gates. Il déclare comme un petit agneau que la vaccination conduira à des variants dangereux. C’est très suspect dans la bouche d’un homme comme lui, lorsque l’on sait que son patron, Bill le coyote, bande de joie à l’idée de dépeupler la planète ; chose qu’il a déjà commencé à faire en rendant stériles des milliers de femmes africaines. Les variants se forment très souvent, et ont tendance à devenir moins dangereux et plus infectieux avec le temps. Traduction : les variantes sont au moins 99,7% identiques à la séquence de Wuhan.

C’est donc une fiction et un mensonge que de déclarer que les variants échappent probablement à l’immunité. Au contraire, les recherches montrent que les personnes qui se remettent d’une infection ont un large éventail de cellules immunitaires qui reconnaissent TOUTS les variants.

Les seules personnes susceptibles de rester vulnérables et d’avoir besoin d’une prophylaxie ou d’un traitement sont celles qui sont âgées et / ou malades et qui ne souhaitent pas recevoir de vaccin. Et dans ce cas, il existe pléthores de produits pouvant soigner sans pour autant vacciner : l’hydroxychloroquine, l’ivermectine, la vitamine D par voie orale, le zinc, l’azithromycine, etc.

Bien entendu, lorsque quelque chose soigne efficacement et pour pas cher, le système s’empresse de le trainer dans la boue. À ce jeu-là, la Fondation Bill & Melinda Gates sert souvent de pourvoyeur de fonds vis-à-vis des différentes Agence de réglementation des médicaments. Bref, les régulateurs ne protègent pas et « l’approbation » n’a donc pas de sens.

Big pharma est tout puissant et l’argent corrompt tout. Déjà au niveau d’une première injection, ils ont les moyens de plomber la gueusaille tout en lui collant un fil à la patte. Comment ? À travers moult injections de rappel permettant d’acquérir un pouvoir sans précédent sur nous.

Je reprends ici les propos de l’ancien directeur scientifique et vice-président de Pfizer, le Dr Mike Yeadon issus de mon précédent article : « si quelqu’un souhaitait nuire ou tuer une proportion significative de la population mondiale au cours des prochaines années, les systèmes mis en place en ce moment le permettront. Je suis d’avis qu’il est tout à fait possible que cela soit utilisé pour un dépeuplement à grande échelle. »

À suivre, si je ne suis pas mort.

Olivier

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