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RIEN DE NOUVEAU SOUS LE SOLEIL DE SATAN (Partie 5 et fin)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

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Je le répète depuis des années, à longueur d’articles et de livres : tout n’est que cycles ! Le système solaire possède les siens et l’humain également. Quant à Gaïa, n’en déplaise au GIEC, les siens fluctuent également en fonction des différents cycles solaires, dont le plus connu est celui de 11 ans.

L’échelle humaine ne permet pas souvent de mesurer les changements majeurs qui sont capables de survenir sur cette terre. Parfois, ils sont longs et parfois ils se précipitent au gré des alignements planétaires (antennes) et des éruptions volcaniques. Dois-je vous rappeler ce qu’il est advenu de l’empire romain ? L’homme peut bomber fièrement le torse ou chercher à se faire plus important qu’il n’est en réalité. Il n’est que poussière d’étoile et sa vie fluctue, au gré des éléments.

Ainsi, je le répète, l’élite pourra toujours chercher à nous tromper avec ses inepties, elle sera rattrapée par la réalité des événements. Un dernier cas historique en toile de fond, avec Louis XIV (1638-1715) qui, bien que « roi-soleil » eu une fin de règne glaciale.

Et là, croyez-moi, cela s’est déroulé très vite. Tout commence début janvier 1709. Louis XIV règne déjà depuis longtemps (66 ans), lorsque dans la nuit du dimanche 6 janvier Lille est d'abord pris dans sa gangue par un bise glaciale venue du nord. Trois heures plus tard, la vague polaire atteint Versailles et Strasbourg, avant de déferler impitoyablement sur le sud.

Le temps d'une nuit, la France va se changer en Sibérie. Dans la capitale, le 5janvier, il pleut et quelques heures plus tard, le thermomètre va y descendre à - 17 °C. A l'aube du 6, dans les campagnes, certains n'arrivent même pas à sortir de chez eux tant la neige est tombée.

Au bout de quelques jours, tout gèle. La Seine, le Rhône, tous les fleuves et cours d’eau sont pris par le gel. Même à Marseille, le Vieux-Port est pris dans les glaces. Et les températures continuent à diminuer. Les oiseaux tombent foudroyés par le froid et les animaux de ferme meurent dans les étables, les poissons dans les étangs. Les forêts sont pétrifiées et les arbres éclatent par le gel. Dans les maisons, il fait jusqu'à - 10 °C, tout comme à Versailles, où le vin gèle dans les carafes.

Un salutaire dégel fin janvier est suivi début février d'une autre vague de froid. Le cercle infernal recommence début mars, alors que la végétation est en pleine montée de sève. Comme les vignes, les récoltes de céréales sont mortes : le prix du froment est multiplié par cinq. Faute de nourriture et de routes praticables, Paris cesse d'être approvisionné jusqu'en avril ! Partout dans le royaume, on meurt de faim ou de froid. Les gens démunis s'attaquent aux boulangeries, ils pillent pour manger.

Ce grand hiver aura tué plus de 600 000 personnes. Tout ceci prouve une chose : en ce début de 21e siècle, beaucoup trop sont assis sur un tas de certitudes qui peuvent brutalement voler en éclats, même si, n’en déplaise au GIEC, les merdias vous disent le contraire. N’oubliez jamais qu’il y a un peu plus de mille ans, c’est une terre verte que découvrirent les Vikings (Groenland). 

Cela fait 16 ans depuis la publication du rapport AR4 du GIEC qui appelait à une « fonte incontrôlée » de la glace de mer arctique. Elle était alors le fruit d'une extrapolation sans fondement basée sur quelques « mauvaises » années. Publiée en 2007, le GIEC y indiquait au monde que la glace de mer arctique était le signe avant-coureur des changements catastrophiques qui se produisent dans le système climatique, et le résultat de la main de l'homme.

L’année 2007 avait fourni aux merdias la plus faible étendue de glace marine estivale jamais enregistrée par satellite. Al Gore, le réchauffiste fou, avait alors sauté sur ces découvertes, affirmant que des scientifiques lui avaient dit qu'il n'y aurait peut-être plus de glace d'été dès 2013.

16 ans plus tard, comment la banquise arctique a-t-elle évolué ? À l’époque, question « albédo » tout devait s’emballer. Je m’explique ! Le blanc réfléchi les rayons solaires. Moins de blanc, c’est plus de rayons pénétrants venant chauffer la terre et la mer. En réchauffant les eaux, ils doivent conduire à une plus grande fonte des glaces, ce qui signifie plus d'énergie solaire entrant, réchauffant les eaux, entraînant une fonte accrue des glaces, etc.

Cette explication d’une simplicité naïve révèle les intentions les plus sombres d’un GIEC piloté par l’élite. Cette hypothèse, en effet, se refusait à considérer et examiner les nombreux autres effets que l’augmentation des plans d’eau libres peut avoir et quelles autres rétroactions, positives ou négatives, peuvent entrer en jeu, du style : Plus de perte de chaleur la glace constituant une barrière isolante.

Plus de perte de chaleur par évaporation en raison d'une plus grande quantité d'eau libre exposée à des vents arctiques forts et persistants. Perte de chaleur radiative plus importante, puisque l'eau a une émissivité élevée dans l'infrarouge et rayonnera davantage tout au long de l'été et se poursuivra en hiver lorsque l'Arctique est dans l'obscurité permanente et qu'il n'y a aucune lumière solaire incidente.

Bref ! l'astuce préférée des alarmistes : c’est d’extrapoler. Ils le font à l’excès, mais dans le ponctuel. Ils excellent à promouvoir le futur avec des résultats extrêmes (ouragans, glace arctique, excès ou manque de neige, ours polaires en dépression ; couverture corallienne en décomposition, etc.

Bien que des données soient facilement disponibles, notamment celles provenant des satellites, une grande partie du débat semble basée sur l’obsession faussement attribuée à la suspecte augmentation linéaire du CO2 atmosphérique, en mettant hors circuit moult facteurs et rétroactions qui sont pourtant en jeu.

L’élite, par le biais de son GIEC, se contente de masquer la réalité en utilisant des reportages et des organismes gouvernementaux outrageusement payés à cacher la véritable nature du changement, bon et mauvais. Des reportages sélectifs ou erronés nous sont ainsi présentés ad nauseam et tous propres à construire un discours alarmiste.

Au moment où je rédige, de violentes dépressions et de fortes chutes de neige ont récemment frappé de vastes régions d'Europe. Dans toute la Scandinavie, de fortes gelées sont tombées, en particulier dans les montagnes de Suède, de Norvège et de Finlande, où les températures minimales nocturnes sont tombées entre -12°C et -19°C, avec des observations inférieures à -20°C, ce qui est historiquement précoce. Un minimum de -23 °C a été observé en Suède, au cours du week-end dernier ; la température la plus basse de la saison en Scandinavie jusqu'à présent.

La neige et la glace dans l’hémisphère Nord continuent d'arriver plus tôt que prévu et à un point tel que le Bureau norvégien des statistiques lutte contre l’hystérie du réchauffement climatique, déclarant : « Nous constatons que l'effet des émissions de CO2 d'origine humaine ne semble pas être suffisamment fort pour provoquer des changements systématiques dans les fluctuations de température au cours des 200 dernières années. Les quatre périodes interglaciaires précédentes étaient plus chaudes qu’aujourd’hui », poursuit le rapport publié en septembre dernier.

L’organisme précise en outre : « La notion de réchauffement climatique est physiquement mal posée. Les modèles climatiques ne sont pas suffisamment fiables pour faire la distinction entre les causes naturelles et les causes liées à l’homme. Et de « sérieux doutes » sont apparus quant à l’attribution des « émissions anthropiques de CO2 ».

Pour lire le rapport du bureau norvégien des statistiques dans son intégralité, cliquez ici : https://www.ssb.no/en/natur-og-miljo/forurensning-og-klima/artikler/to-what-extent-are-temperature-levels-changing-due-to-greenhouse-gas-emissions/_/attachment/inline/5a3f4a9b-3bc3-4988-9579-9fea82944264:f63064594b9225f9d7dc458b0b70a646baec3339/DP1007.pdf     

Néanmoins, n’en doutons pas, lorsque vous allumerez votre téléviseur ce soir, on vous bassinera à nouveau avec ces pauvres ours qui meurent sur 0.5m2 de banquise, les océans qui se réchauffent et nous qui devrons en conséquence nous serrer toujours davantage la ceinture au nom de ce fameux réchauffement anthropique.

« Plus l'effondrement d'un empire est proche plus ses lois sont folles. » Cicéron

Alors pourquoi ne pas verrouiller le cercueil civilisationnel avec des grands clous de 110 ? Plus d'un millier de scientifiques viennent de signer une déclaration rejetant l'existence d'une crise climatique, rejoignant ainsi les rangs de plus en plus nombreux des climatosceptiques. Néanmoins, l'OMS a annoncé la nécessité d'une vaccination de masse « pour lutter contre les effets du changement climatique ».

Pour lutter contre le changement climatique, y compris la « menace de propagation de maladies par les moustiques OGM de tonton Gates migrant vers de nouvelles régions », pour le plus grand bonheur de Big Pharma une nouvelle vaccination de masse sera bientôt nécessaire, selon l'organisation.

C’est le Dr Maria Van Kerkhove, directrice technique de la réponse OMS au Covid-19 qui nous sort ces énormités. Lors d'une récente conférence de presse à laquelle a participé Tedros Ghebreyesus, sa subalterne a déclaré que les pays doivent « se préparer médicalement au changement climatique en surveillant l'évolution des effets secondaires (dus au « réchauffement climatique ») ».

Mais en plus de tous mourir vaccinés et non protégés, ces cons là veulent nous faire mourir de froid et de faim, mais dans le noir. En effet, au milieu du marasme européen, le moteur franco-allemand peine. Les verts allemands voient rouge. Pourquoi ? À cause de 56 réacteurs nucléaires Français. Un parc unique en Europe QUE NOUS ENVIENT les autres.

Une protection voulue à une époque où nos dirigeants pensaient encore à l’indépendance énergétique du pays et à son indépendance tout court. Ce parc est malheureusement placé au croisement de deux controverses qui traversent les Vingt-Sept pays de « l’union ». La première porte sur le rôle de l’électricité nucléaire dans la transition énergétique du continent. La seconde, sur la compétitivité des prix de l’électricité que chaque État est en mesure d’assurer à ses citoyens et à ses entreprises.

Bref ! nos « braves » camarades allemands si pragmatiques redoutent que la France ne vende son électricité à perte, pour mieux attirer sur son sol des industriels pour qui l’Allemagne, privée du gaz russe, est brutalement devenue moins séduisante ; puisque le gaz russe a été remplacé en Allemagne par du bien mauvais charbon.

Nos « têtes à penser » européennes ont donc adopté lundi 16 octobre dernier leur position commune pour la COP28. Et puisqu’il n’y a pas que les cons qui volent en escadrilles, les hypocrites le font aussi et en rangs très serrés, nos énarques ont décidé d’assouplir la formulation de l’objectif de réduction des émissions et de sortie des combustibles fossiles de l’UE, afin de parvenir à une décision unanime.

Bref ! les 27 ministres de l’environnement européens se sont réunis lundi à Luxembourg et après un bon gueuleton, ils ont décidé de définir la position de l’UE en vue du sommet COP28 qui débutera à Dubaï le 30 novembre. D’un coup de baguette magique à la Harry Potter, ils se sont engagés à tripler la capacité mondiale en matière d’énergies renouvelables et à doubler les améliorations en matière d’efficacité énergétique d’ici 2030.

L’UE, c'est-à-dire nous, 450 millions de connards rendus au Moyen âge, œuvrerons pour que le secteur énergétique mondial soit « exempt de combustibles fossiles » bien avant 2050. Pendant ce temps, les BRICS OUVRIRONT GRAND LES ROBINETS DE LA CONSOMMATION. Mais ce n’est pas tout ! L’UE aspire à un « système électrique entièrement ou principalement décarboné dans les années 2030 ».

Et puisqu’elle y aspire, ce sont nos vies de gueux qui seront aspirées avec.

Quant à celles et ceux qui désirent en savoir plus, il y a ça : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/01/retour-sur-le-climat-le-vrai-partie-1.html  et, bien entendu, mon livre entièrement consacré à la vérité climatique : Tonton Malthus est revenu. https://www.thebookedition.com/fr/tonton-malthus-est-revenu--p-381845.html

Bonne et saine lecture.

Olivier

Fin

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