Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

DES MARCHANDISES (Partie 1)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

L’Europe des PLOUTOCRATES aux ordres de l’Etat profond va nous imposer une tyrannie digitale inédite. Ils veulent créer un alias digital. Entre euro numérique et personnalité (et non identité) digitale, ils vont tout liquider.

Ils avaient déjà liquidé l’âme et l’esprit (Rudolf Steiner), ils vont liquider les corps et leur semblant de liberté et de consommation. La fin des religions les aide d’autant plus qu’elle leur permet d’instaurer leur règne techno-satanique.

L’outil crée la fonction, dit-on, et on a raison. Avec un outil de contrôle absolu et permanent la démocratie techno-bourgeoise va dépasser Hitler et Staline, sur fond d’inflation-impression-bancaire, d’éducation, d’abrutissement.

Avant on t’apprenait à aller te faire tuer dans les tranchées, aujourd’hui on le fait par le biais du chasseur de carbone. Le contrôle digital du cerveau a été chose simple. Après la dernière guerre, on a programmé une génération pour bien vivre (les boomers), on programme les petits-enfants des boomers pour crever de la malbouffe des chemtrails et des vaccins. Et pour en rajouter une couche et être bien sûr d’en éradiquer un max ; Macron cherche des noises au Grizzli.

Qui va garder le camp de concentration d’abord, d’extermination ensuite (style Soleil Vert) ? On a une énorme administration conditionnée et enrôlée par strates qui veut nous ôter la gêne de penser et la peine de vivre.

Après l’électrochoc couillonaviral, certains se sont réveillés, mais on reste néanmoins avec un troupeau télé et digitalisé de première catégorie qui ne se rend plus compte de rien. L’élite mondialiste qui possède déjà 95% des richesses a fait de Malthus son gourou.

Elle est devenue motivée dans l’art d’éradiquer les gueux, mais son pouvoir absolu via la technologie va la rendre plus motivée encore. Elle va donc avec l’aide de notre hébétude accélérer le programme Davos-Hariri qui a compris que plus on révèle moins on est cru.

Ils ont des agendas qu’ils nous brandissent et devant lesquels beaucoup trop gardent l’œil torve d’une vache broutant dans un pré. Leur rêve ? Que tout soit terminé avant 2030, avant que le troupeau ait réalisé.

Et, actuellement, foot-Baal, Ukraine, Gaza, inflation, JO, virus, Troisième Guerre mondiale, le bruit généré par nos gouvernements de pantins, battant des bras dans tous les sens, fournit une couverture commode pour les véritables agendas en jeu : les véritables intentions qui se cachent derrière le déploiement massif de la 5G et sa place au sommet de la pyramide des agendas de l’élite.

Pourquoi a-t-on continué à couvrir le monde d’antennes 5G, même et surtout durant les confinements ; alors que le monde était à l’arrêt ? Quel est donc l’objectif principal de la campagne mondialiste en faveur de la 5G ? Le géo-repérage.

Lorsque la plupart des gens pensent à la 5G, ce qui leur vient d’abord à l’esprit, ce sont des vitesses d’internet plus rapides.

Bien sûr, ce sont là des chevaux de Troie bienvenus qui nous incitent à baisser notre garde, mais le véritable cœur de la question commence avec le principe de la géolocalisation extrême. C’est à dire un moyen de suivre et de délimiter une zone géographique donnée en établissant une « frontière » numérique. D’une certaine manière, c’est ce que fait déjà votre téléphone portable lorsqu’il entre dans les « zones » d’un pylône ou d’une tour de téléphonie mobile.

Mais le problème est que les itérations précédentes de la technologie des données, comme la 4G, n’ont pas l’acuité spatiale nécessaire pour un positionnement extrêmement précis. Avez-vous déjà remarqué que la fonction de localisation de votre iPhone, peut donner une estimation approximative de la position qui se situe toujours dans une zone vaguement large de plusieurs mètres ?

Comme je l’explique en détail dans mon dernier bouquin, la précision de la 4G LTE se mesure en dizaines de mètres, tandis que celle de la 5G se mesure en centimètres en raison de l’étroitesse de son faisceau, celui-là même qui risque d’endommager l’ADN humain, faire vomir des classes entières dont les toits sont surplombés de pylônes, de déclencher des cancers potentiels, etc.

Randall Stephenson, PDG d’AT&T, en parle. Il est particulièrement instructif de l’entendre dire cela car AT&T est le leader mondial de l’intégration de la 5G. Bien plus qu’un service de téléphonie mobile moyen, AT&T est aujourd’hui un conglomérat mondial qui possède certaines des marques les plus puissantes, comme TimeWarner, CNN, etc. Cela en fait l’une des entreprises les plus influentes en termes de contrôle du contenu sociétal et de l’expérience générale de notre vie quotidienne.

L’acuité de la 5G en matière de géolocalisation ultra précise fournit la base et l’infrastructure sous-jacente, le fondement, de la future « ville intelligente » à laquelle j’ai déjà consacré des articles et en laquelle ils prévoient de transformer nos sociétés. Elle permet aux capteurs déployés partout d’avoir des capacités de suivi très précises de tous les autres capteurs à proximité, avec des temps de latence extrêmement faibles.

Cela permet d’intégrer comme jamais auparavant la distribution des systèmes et services d’IA et de robotique dans une ville donnée, étant donné que chaque « machine » sera mise en réseau de manière à ce qu’elle ait une « conscience » extrêmement précise de la géolocalisation des autres dans l’espace, par rapport aux capacités actuelles de la 4G.

Mais, outre l’internet des objets qui, seul, saura donner un sourire béat à tout adolescent boutonneux, le véritable « côté obscur » de ce que permet cette précision de localisation est la création de « zones » précisément délimitées, qui permettent de suivre les mouvements d’une personne avec une résolution finement granulaire (à quelques centimètres près) et, le cas échéant (et bien sûr, il y aura de tels « besoins »), d’empêcher son accès à partir de « zones interdites ».

Du bla bla technique, me direz-vous ! L’application la plus urgente, et de loin, concerne la conformité des Covid-ID et des QR-Codes. Une ville en réseau 5G peut créer des géo-barrières qui identifieraient la conformité de votre appareil, ou son absence de conformité, à distance et avec beaucoup plus de précision.

Il peut s’agir de quelque chose d’aussi simple que l’entrée d’un magasin qui scannera automatiquement votre appareil (téléphone, bracelet, puce RFID, etc.), signalera une « violation » et vous empêchera d’entrer. Bien que la crise Covid soit dépassée et que nombre des initiatives totalitaires qu’elle a engendrées soient mort-nées, le TPTB a certainement télégraphié ses plans pour d’autres « épidémies » à venir. Ce n’est pas la dernière fois que nous entendons parler de pressions en faveur des Vax-Pass.

Cela s’étend également à des secteurs généraux d’une ville donnée, qui peuvent être entièrement “isolés numériquement” par le biais de ces géo-barrières précises. Cela s’inscrit dans l’agenda du WEF qui vise à promouvoir non seulement les “villes intelligentes” en général, mais aussi sa vision spécifique des « villes de 15 minutes », qu’il a déjà testée dans de nombreux endroits.

J’évoquais déjà ces villes ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/08/des-origines-au-crime-mondial.html

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/03/des-marchandises-partie-2.html

Commenter cet article