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DES MARCHANDISES (Partie 4)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/03/des-marchandises-partie-1.html

Mais pour l’instant, tout ceci nous laisse entrevoir comment ils nous considèrent ; c’est à dire même pas comme un bout de barbaque, mais plutôt comme des marchandises. Ainsi, concernant cette sombre désignation, prenons "le large" afin de vous faire apprécier mon point de vue. Enfin « apprécier » n’est pas tellement le terme … Si j’ai autant insisté sur « MARCHANDISE », c’est afin d’aborder le cœur d’un sujet que très peu de personnes connaissent.

Comme très souvent, tel un ouroboros, tout commence et se termine à Babylone, là où, dans les cryptes, les premiers « élus » d’un système mondialiste autant que post diluvien, établirent les règles premières de l’asservissement des masses. Ce n’est d’ailleurs pas pour rien que les frères la truelle considèrent Nemrod comme le premier des leurs !

Qui, en effet, sait que lorsque l’on naît, nous sommes tous des êtres souverains jouissant de la richesse (eau, ressources, etc.) de la terre sur laquelle nous arrivons ? Nous sommes alors les créditeurs du système, mais ça ne dure que « le temps des roses ». Pourquoi ? Parce qu’en signant notre acte de naissance, nos parents nous cèdent « volontairement » à l’état, qui va nous transformer chacun en débiteur, envers le gouvernement en question, The CROWN, et de façon ultime, envers le Vatican.

Le Code de Hammurabi est un texte juridique babylonien daté d'environ 1750 av. J.-C., à ce jour le plus complet des codes de lois connus de la Mésopotamie …

Les premières lois furent des lois commerciales afin de faciliter les échanges. Jusqu’à être englobées par les lois maritimes, à l’arrivée des navires. Ces lois s’appliquent partout où il y a des mers, c'est-à-dire partout en ce monde-démon. Polices et gouvernements n‘exercent en fait aucune autorité sur nous. Elles ne constituent que des sociétés interagissant avec nos personnalités juridiques (autre société).

Les sociétés ne peuvent interagir entre-elles que par l’intermédiaire de contrats, qui peuvent être verbaux, tacites et acceptés par le silence (Art 1100 et suivant du code civil). C'est-à-dire de manière purement implicite. « Monsieur » étant un nom qu’on donne aux entités juridiques, lorsque vous y répondez, tacitement, vous êtes déjà dans l’acceptation. Vous reconnaissez alors être une personnalité juridique qui fait du commerce avec eux.

Le tribunal est ce qui nous rattache à ce droit maritime. Un endroit où l’on peut être appelé à la barre. En ce monde-démon tout étant commerce, il est dirigé par le code maritime, et l’endroit où l’on règle tout litige commercial ; où l’on nous « mène en bateau » : c’est sur un "bateau".

Lorsque vous allez en prison pour avoir tué quelqu’un, vous n’y allez pas pour un crime. Ça ils s’en moquent. Vous y allez uniquement pour le fait d’avoir lésé l’Etat d’une rente sur laquelle il avait capitalisé. Ainsi, tout humain est une marchandise sans drapeau : une ressource.

De même que comprendre signifie accepter, tout dans le langage juridique est galvaudé en ce sens. Un enfant est présenté (donné) à l’état civil. Pire encore, devant le tribunal, nous ne sommes que des chiens qui aboient. Et un chien nécessite un maître. Sans certains codes qu’il est seul à comprendre si nous ne les avons pas, l’avocat ne voit en vous qu’un chien aboyant et qui a besoin d’un maître. On se lève devant son maître et un chien reconnait son NOM (personnalité juridique).

Vous êtres monsieur … ? Oui. Trop tard, vous avez acceptez !

Seules les sociétés possèdent des noms de famille. Lorsque, grâce à une Révolution Judéo-maçonnique, nous sommes passés du nom d’usage au nom de famille, nous sommes entrés de plein fouet dans la Loi du 6 Fructidor, de l'an deuxième de la République française. À partir de cette date, seule a compté la personne légale dans tous les aspects de la vie.

Ainsi, RETENEZ-LE C’EST FONDAMENTAL, faisant un pont avec le numérique, un passeport biométrique est quelque chose qui vient associer votre ADN à cette fichue personnalité juridique. De quoi rendre PROCHAINEMENT totalement impossible de la nier.

Puisqu’en ce monde-démon tout est contrat, être citoyen constitue un contrat (contrat social-privilèges-sécurité) En échange de tout ça, vous échangez vos droits coutumiers (droit de vivre libre dès l’instant ou vous ne nuisez pas à autrui et à ses biens) contre un numéro de SS (sécurité sociale).

La juridiction civile de droit commun est compétente pour connaître des litiges et requêtes relatifs au statut civil coutumier ou aux terres coutumières et elle est alors complétée par des assesseurs coutumiers. Nous ne sommes nullement obligés d’être citoyen. La mise en esclavage est interdite, ça c’est vrai ! mais pas l’esclavage consenti dans lequel nous sombrons tous implicitement dès la naissance.

Tout le vocabulaire de la naissance, en Angleterre, a été remplacé, il est le même que pour les bateaux. Tout étant lié aux marchandises, lorsqu’un bébé né dans les pays anglosaxons, on dit qu’il est « delivered » : « livré » comme un colis. Un enfant dans le ventre de sa mère est un navire sans drapeau avec une marchandise (ressource humaine) en son sein. Un navire possède un port d’attache et dans le cas de la maman, c’est l’hôpital. Quant au capitaine du port, il doit faire un manifeste de ce qu’il y a sur ce bateau.

Les dockers prennent les marchandises et vérifient si elles sont viables et les enregistrent sur ce manifeste. A l’hôpital le docker devient le docteur.

L’enfant, à sa naissance, est donc déclaré en tant que marchandise égarée en mer. Pour que la disparition soit légalement reconnue, il faut attendre sept ans. Traduction : nous avons tous été déclaré morts en mer, à l’âge de sept ans. L’être humain est mort, disparu, ne reste plus que sa personnalité juridique. Néanmoins, dans le droit maritime, nous pouvons ressusciter puisque tout est basé sur des présomptions.

Vient donc s’adjoindre à cette histoire une grille de lecture biblique et juridique puisque ces lois maritimes existaient bien avant les textes sacrés. Jésus est né avec son prénom Emmanuel (pas le même, heureusement). On en a fait Jésus de Nazareth, puis Jésus Ben Joseph (fils de) et puis on a tué le Christ. On a tué son nom.

Jésus marchait sur l’eau, c'est-à-dire au-dessus des lois maritimes. On a tué le nom du Christ, mais il est ressuscité. A notre époque, on parle beaucoup de Révélations. Nous sommes à la fin des temps et les morts vont "renaitre" à la vie.

Parallèlement à ça, bizarrement, juridiquement, le temps n’existe pas en dehors de commerce. Chaque commerce possède en effet sa propre chronologie et chronométrie. Il existe donc des temps !

L’Apocalypse serait la fin des temps : de tous les commerces, faisant que tous les morts reviendraient à la vie. Tout cela nous ramène au culte de l’être suprême : le GOD des maçons. Dans les droits universels des droits de l’homme de 1948, il est écrit ceci : « Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne. Nul ne sera tenu en esclavage ni en servitude ; l'esclavage et la traite des esclaves sont interdits sous toutes leurs formes. Nul ne sera soumis à la torture, ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants. »

C’est beau, c’est vrai ! mais ça ne dure que le temps d’un soupir : c’est- dire jusqu’à la signature de l’acte de naissance. On parle de « chacun » a le droit ou « Tous sont égaux » devant la loi, « personne », etc. A partir du moment où l’on parle de « personne » sur les quelques trente articles, aucun ne concerne donc les êtres humains : mais les personnes ; c'est-à-dire des fictions juridiques.

Allons encore plus loin dans mon "délire". Afin de nous noyer toujours davantage en ces lois maritimes, sur les châteaux d’eau figurent les noms des villages ; façon de garder les gens sous les eaux. Le terme gouvernement vient de gouvernail. Capitale vient de capitaine, capitalis : qui concerne la tête. Tout comme le commissaire-priseur, le juge utilise un marteau avec lequel il tape trois fois. Il compte trois fois pour la banque : deux pour les avocats et une pour lui. Quant au commissaire-priseur, c’est le courtier des marchandises. Vous voyez, on n’en sort pas !

Lorsque tu désires posséder quelque chose, tu mets un nom dessus. Lors de sa seule et unique incarnation, l’humain déchu arrive seul, nu et sans rien sur cette Terre où tout lui est donné gratuitement. Bienvenu en ce monde-démon. À tout vouloir ainsi nommer, tu deviens possédé par ce que tu désirais posséder. Nous arrivons tous dans un monde de terre, de mer et d’air. La couronne de la mer, c’est l’Angleterre. The Crown. Celle de la terre, jusqu’à il y a peu, était l’Espagne, qui est devenu Washington DC. Quant à celle de l’air, c’est le Vatican.

Le gouvernement a besoin de « personnalités juridiques » : sans elles il n’est rien. La souveraineté du peuple n’est autre que toutes nos souverainetés réunies : la réunion de notre libre arbitre à chacun. ELLE EST LÀ ET SEULEMENT LÀ, LA VRAIE REVOLUTION.

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/03/des-marchandises-partie-5.html

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