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MONDE, DEMON, OU MONDE-DEMON ? (Partie 1)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Avec cet article, j’aimerais que vous compreniez que si notre société était saine, comme elle prétend l’être, les gens ordinaires bénéficieraient d’une totale confidentialité vis-à-vis du gouvernement, tandis que les responsables gouvernementaux devraient devoir être totalement transparents sur leur vie, leurs finances et leur comportement.

Or, c’est exactement l’inverse qui se précise : les gens sont surveillés et contrôlés tandis que les personnes au pouvoir cachent de vastes quantités d’informations derrière les murs de l’opacité gouvernementale.

Dans ma littérature, j’évoque souvent le fait que nous vivons dans un monde aux valeurs inversées où l’on fait taire coute que coute la Vérité. Pourquoi ? Parce qu’elle dérange ceux qui, à longueur de temps, orchestrent le mal.

En ce monde-démon, les pires problèmes sont créés par l’élite banxterisée. Si ces satanistes continuent à créer des problèmes de tous ordres, c’est parce que les « gueux » sont subjugués. 1% créent la zizanie pendant qu’environ 94% regardent ailleurs malgré le fait que 5% environ d’éveillés essaient de leur crier la Vérité aux oreilles. Mais ça ne marche pas !

Pourtant nous avons une bouche pour deux oreilles, ce qui revient à dire qu’il faut écouter deux fois plus, plutôt que de parler à tort et à travers. Alors pourquoi n’entendent-ils pas la voie des « complotistes » : ces fameux chercheurs de Vérité ?

Simplement parce que le système leur a zombifié le cerveau et tout le reste. Les 94% pourraient facilement arrêter les 1% de parasites, mais ils ne le font pas. Et s’ils ne le font pas, c’est parce qu’une puissante ingénierie sociale est à l’œuvre, et depuis longtemps. N’est-ce pas monsieur Edward Bernays !

Un de ceux qui, le premier, utilisa la manipulation continuelle de la compréhension que les gens ont de ce qui se passe. Sapiens aime à se raconter des histoire, qu’il est intelligent, qu’on ne lui fait pas à lui le …mais si vous arrivez à contrôler les histoires que les humains se racontent sur ce monde-démon, alors vous contrôlez les humains et vous contrôlez le monde. Pourquoi ? Parce que vous êtes un démon égocentrique.

C’est la propagande qui mène le bal des vampire. Tout ce qui s’oppose de près ou de loin au récit dominant, qui œuvre sur notre société, subit implacablement les foudres du système. Ils ne faut absolument pas parler de ceux qui créent machiavéliquement un problème pour ensuite y apporter une solution hautement lucrative (guerres, covid-19, Big-pharma, malbouffe, etc.)

Si jamais vous vous y risquez comme moi, avec mon article sur les JO, alors vous subissez des réprimandes toutes plus vicieuses les unes que les autres. https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/11/du-1984-a-la-puissance-10.html

Et face à leur armada, un p’tit internaute ne pèse pas lourd. Mon blog est constamment ralenti, classé aux oubliettes du Web. Pourquoi et comment ? Grace à la censure et leur manipulation des algorithmes. Bien entendu, ce sera toujours au nom d’un motif louable : en l’occurrence notre sécurité.

C’est qu’ils s’en préoccupent de notre sécurité ! ils le font à grands coups d’empoisonnement de l’air, de l’eau, de la terre, de ce que nous mangeons, de ce qu’ils nous injectent de force, des médocs de Big pharma, des flash Ball dans les yeux des Gilets jaunes, etc. Bref ! je vous parle ici d’une sécurité que nos dirigeants font tout pour ne pas assurer et pour rendre défaillante par tous les moyens possibles.

Ils créent donc de toutes pièces le problème. Une fois qu’il est devenu ENORME, invivable, alors ils arrivent, tel Zorro, avec une solution magique, et cette solution est toujours liberticide. Toujours. Masques, confinements, piquouzes (mais pour l’intérêt commun), autorisations de sorties que vous vous signez vous-même (faut avoir le culot d’y penser !), pour en arriver à l’emprisonnement volontaire, pendant qu’eux se pavanent en jet ou sur des yacht Lamborghini de 4000 cv.

Finalement, encéphale zombifié aidant, beaucoup en arrivent à aimer le QR code pour le passe sanitaire. Ce qui était l’objet de mon article concernant les JO 2024. De toute façon, mode vaccins expérimentaux, certains trouveront ça bien. Sécurisant. Qu’on aime ou pas, la suite logique est toute trouvée pour les Nunez et compagnie. Que ça marche ou pas pour la sécurité durant les JO, ces salopards trouveront le moyen de le rendre permanent par la suite. Pourquoi ? AU NOM DE NOTRE SECURITE.

Puis, dans la foulée, viendront le portefeuille numérique, l’obligation vaccinale X fois dans l’année, le contrôle de ce que vous mangez, buvez, baisez, vos déplacements, vos achats divers et variés acceptés ou non au nom du cota carbone. Si toi pas d’accord, alors ton crédit social fera prout ! De toute manière, beaucoup seront des carpettes dociles, de bons citoyens piquouzés qui attendront leur pitance sous forme d’un revenu universel.

Pour l’instant, ce qui attend les Parisiens ce sont des automobilistes et des piétons qui ne pourront pas circuler librement dans certaines zones de la capitale et en Île-de-France cet été. « Sauf s’ils s’inscrivent sur une plateforme numérique dédiée », annonce le Préfet de police, Laurent Nunez. Une dérogation sera nécessaire pour circuler librement dans Paris lors de la compétition, avec un QR code à présenter lors des contrôles », dit Laurent Nunez.

Nous avons là une pompe aspirante à données biométriques et justificatifs de tous ordres pour rayonner aux alentours de chez soi ! Mais, outre ces contraintes, il y a pire : les prix effroyables, un racket institué afin de compenser les énormes dépenses inconsidérées de la Maire de Paris.

Ils vont fermer des stations de métro ces cons là … et mettre le ticket de métro à 4€. Ensuite, il restera à 4 euros pour renflouer d’Hidalgo, et nous terminerons tous QR Codés.

Vous voyez là un simple exemple de leur veulerie. Ce sont des rats (je demande pardon aux rats). Car ce qui se passe en Gaulle, s’étend à tout ce monde-démon. Car les secrets de nos gouvernants, tous vendus à Mammon et son Nouvel Ordre Mondial, se doivent d’être gardés coute que coute. De fait, ils sont tous en guerre contre la vraie information colportée par le vrai journaliste (une denrée de plus en plus rare).

De nos Young Global Leaders, tous vendus à Davos en passant par l’Etat profond américain maître du jeu, ils jouent chacun leur propre rôle, mais ils font tous partie de la même chose et travaillent ensemble vers le même objectif. Ce ne sont que des aspects différents du système de contrôle narratif de l’empire centralisé étasunien.

Ainsi tout le monde est pour l’amour et la paix, jusqu’au moment où, pour la paie des multimilliardaires, la propagande de guerre commence. Elle est le système de création de narratives de l’étoile noire.  Tout le reste vise à empêcher les récits gênants de circuler, la propagande est le moyen par lequel l’empire génère les récits qui lui sont profitables.

Ça nous donne l’Irak, le 11 Septembre 2001, la Yougoslavie, la Syrie, etc. Ce dirigeant étranger est un sale dictateur. Au nom de la Démoncratie, il doit être écarté. Observez comme le vieil oncle Sam aime les droits de l’homme !  Toutes ses guerres sont humanitaires. Le vote fonctionne. Le capitalisme est génial. Vous pouvez nous faire confiance, nous sommes les gentils.

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/12/monde-demon-ou-monde-demon-suite-et-fin.html

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Du 1984 à la puissance 10

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Concernant le Nouvel Ordre Mondial (NOM), la France constitue une vitrine sioniste. Un laboratoire de cet avenir dystopique que l’élite nous réserve. Certes, certains diront « qu’il y fait encore bon vivre et certainement mieux qu’en Chine ». Croyez-vous vraiment ?

https://twitter.com/i/status/1730266755979731215

Les froggies sont, depuis des décennies, cuites à feu doux, et depuis le mouvement Gilet jaune, en 2018, précédé par l’arrivée de Macrouille, en 2017, c’est devenu évident, à moins d’être un décérébré de surcroit aveugle et sourd.

Après couillonavirus et ses restrictions toutes plus débiles les unes que les autres, nous avons pu constater Ô combien une majorité (fort peu préoccupée de sa descendance) était prête à s’abaisser à toutes les vilénies afin de garder ce qu’elle croit être « sa liberté ».

Preuve qu’Huxley et Orwell n’étaient que des enfants de cœur, la suite du Covid-19 s’annonce des plus croustillante. En effet, Aldous Huxley, créateur du roman dystopique Le Meilleur des mondes avait beau être le frangin d’un fou d’eugéniste, Julian, et donc d’être « légèrement » dans la confidence ; je ne pense pas qu’il aurait imaginé ce qui nous pend au nez au nom du Panem et circenses.

Nos dirigeants, sans doute nostalgiques des « Ausweis » (identifiant), nous préparent de jolies réjouissances pour les JO 2024.

Les Gilets jaunes se souviennent du triste sire qu’était le Préfet de police Didier Lallement, le nouveau n’est pas mal gratiné non plus ! En dévoilant les grands contours du dispositif de sécurité durant les Jeux olympiques de Paris le 28 novembre, le nouveau préfet de police de la capitale Laurent Nuñez n’a pas fait dans la dentelle républicaine.

En effet, les ausweis de tout bois vont s’envoler sur notre bonne vieille capitale, histoire de nous réaliser un test grandeur réelle de ce que sera bientôt la Gaulle de Macrouille.  Laurent Nuñez y parle avec ferveur de « Zone de restriction en matière de circulation, enregistrement des personnes désirant circuler à certains endroits sur une plateforme en ligne, etc. ».

Voilà pourquoi j’évoque mes deux écrivains de romans dystopiques, car ils sont bien en dessous de la réalité à laquelle l’élite désire manger les gueux, puisque, dans ses annonces, le préfet de police de Paris énumère un ensemble d’éléments plus que nuisibles pour les libertés, parmi lesquelles le « QR code pour circuler à Paris à pied ou en voiture » pendant les JO, ainsi que la « mise en place de caméras de reconnaissance faciale ».

Oui, vous savez, ces fameuses caméras auxquelles j’avais consacré un article en mars dernier, lorsque nous « courageux » députés avaient donné leur feu vert au recours à la vidéo-surveillance algorithmique.

De quoi nous plonger dans l’Enfer du Deep State : c'est-à-dire l’horreur totalitaire du techno contrôle à la Harari, le p’tit chouchou de tonton Klaus. Vous savez bien ! Yuval Harari, le conseiller principal de Davos, celui qui imagine l'homme numérique de demain.

Côté politiques, de rares voix se sont élevées lorsque le préfet de police de Paris a expliqué la mise en place de quatre zones à proximités des sites olympiques avec deux niveaux de sécurité. Avec le premier où seules les personnes accréditées et munies d'un billet pourront y entrer.

Le deuxième sera un « périmètre de protection », où tout le monde est fouillé », assure le préfet, qui précise que ce périmètre « n’englobe en général pas de riverains, sauf pour la cérémonie d’ouverture ».

Question voitures et deux-roues motorisés, une zone bleue et une zone rouge cohabiteront. La bleue sera autorisée aux résidents ou aux personnes qui justifieront d’une activité économique, des contrôles ayant cours. La rouge sera interdite à la circulation, sauf dérogation « en raison du flux piétonnier important et des risques d’attaque à la voiture-bélier ou de perturbations ».

La sécurité des JO à Paris est un sujet récurrent dans les médias en France, pays d'Europe le plus touché par les attentats islamistes ces dernières décennies. Mais qui a orchestré cet islamisme radical, si ce ne sont les mêmes qui prétendent le combattre. Tout comme au Moyen Orient, à qui profite le crime ?

Tout comme avec le Covid-19, qui se sert de la PEUR pour, petit à petit resserrer les mailles du filet mondialiste ?

Tous ces dingues totalitaires imaginent un joli monde de demain pour nous ; une furieuse dystopie. Pour celles et ceux qui désirent connaitre toutes les ficelles de Davos, j’ai ça : https://www.thebookedition.com/fr/davos-et-son-echeveau-p-399771.html

Alors, qu’allons nous faire devant le retour du QR code ? On laisse faire au nom du Panem et circenses ? On laisse pisser, comme dirait l’autre ?

Olivier

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JE VOUS AI PREVENU !

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Où et quand ? Ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/10/rien-de-nouveau-sous-le-soleil-de-satan-partie-1.html

https://vk.com/@ocape-rien-de-nouveau-sous-le-soleil-de-satan

Partout à travers le monde, les catastrophes se succèdent. En Sicile, l’Etna fait des siennes : https://youtu.be/QpdvybklO7I En Indonésie, c’est le Krakatoa qui s’énerve. Pendant ce temps, nos merdias parlent Jérusalem, changement climatique et p’tits « problèmes » en France.

Mais rien, alors rien n'est dit sur les vraies menaces qui pèsent sur nous tous. Ce faisant, ils nous cachent les influences planétaires cycliques qui s'en viennent (Tremblements de terre, éruptions volcaniques, tsunamis, éruptions solaires, tempêtes…)

En faisant des siennes, le soleil est au centre du PROBLEME. Il vient encore de nous cracher dessus et un de ses filaments magnétiques est entré en éruption le 27 novembre aux alentours de (05h00 TU).

Ce filament a provoqué une éjection de masse coronale (CME) dans l’espace. La NASA nous dit qu’il va effleurer le champ magnétique de la terre demain, le 30 novembre, déclenchant potentiellement une tempête géomagnétique de classe G1. Mais depuis cette première éruption, deux autres ont été détectées.

Leur arrivée collective (du 30 novembre au 1er décembre) devrait déclencher des tempêtes géomagnétiques de classe G2. Cependant, je vous ai expliqué l’état de notre champs magnétique terrestre qui s’affaibli de plus en plus. Résultat, des tempêtes solaires bien plus fortes sont à craindre, entrainant avec elles de nombreuses catastrophes sur terre : tremblements de terre, éruptions volcaniques, tempêtes extrêmes, froid et pluviosité accrus.

Le Krakatoa est entré en éruption dans l'après-midi du 27 novembre, envoyant un panache de cendres à environ 2 160 m au-dessus du niveau de la mer. Il s’agissait de sa deuxième éruption de la journée. Il est entré en éruption neuf fois entre dimanche matin et lundi après-midi.

En Iran, dans l'ouest du pays, une avalanche a fait 5 morts. Ces alpinistes ont été retrouvés sur le sommet de San Boran, situé à environ 300 km au sud-ouest de la capitale, Téhéran. De fortes chutes de neige se sont abattues ces dernières semaines sur les montagnes du Moyen-Orient.

En Russie, Moscou a été frappée par un puissant blizzard. Ailleurs, en Europe, des blizzards extrêmes ont ravagé tout l'Est au cours du week-end, coupant l'électricité à des milliers de villes et villages, de la Lituanie à l'Ukraine jusqu'en Bulgarie.

Le début précoce de l’hiver a également persisté jusqu’à lundi et s’est déplacé plus à l’est vers la Russie européenne où Moscou connaît son premier épisode neigeux majeur bien plus tôt que d'habitude.

Comme indiqué plus haut, la capitale russe a été victime d’un « blizzard noir », phénomène habituellement rencontré dans l'extrême nord du pays. Les flocons de neige y volent alors presque parallèlement à la surface, diminuant la visibilité jusqu'à moins de 100 m.

La neige a commencé à tomber dimanche 26 novembre et s'est intensifiée pendant la nuit, les dernières prévisions prévoyant que les conditions persisteraient jusqu'à hier, mardi 28 novembre constituant l’une des plus fortes chutes de neige jamais enregistrées en novembre. Quatre morts sont à déplorer et deux millions de personnes sans électricité en Russie et Ukraine https://youtu.be/soCStyjhYm4

C’est le soleil, le grand responsable de tous ces changements et certainement pas nous, pauvres petits humains. En effet, la dernière fois que Moscou a connu pareil phénomène, c’était en 1977, lors du minimum solaire du cycle 20. Quant à nous, l’air polaire descend brutalement, les anomalies de température chutent jusqu’à -30 °C en dessous des normes saisonnières.

Et croyez-moi, ce qui va suivre n’a rien à voir avec l’augmentation du co2 dans l’atmosphère, comme s’échinent à vouloir nous le faire croire tous ces ordures de mondialistes.

La quantification de l'effet de serre s’effectue en considérant la vapeur d'eau dans l'atmosphère, sans aucune référence à la concentration de dioxyde de carbone (CO2), qui, cependant, au siècle dernier est passée de 300 à environ 420 ppm. Ces formules utilisées pour quantifier l’effet de serre ont été introduites, il y a 50 à 90 ans. 

Depuis, l'augmentation observée de la concentration atmosphérique en CO2 n'a pas modifié de manière perceptible l'effet de serre, qui reste dominé par la quantité de vapeur d'eau dans l'atmosphère. Néanmoins, moult institutions vendues à l’élite persistent à dire que le dioxyde de carbone (CO2) est le gaz à effet de serre le plus important.

Alors, équipez-vous d’un bon feu au bois et faites donc rentrer du bois RAPIDEMENT. Sans oublier les couvertures afin d’accueillir les malheureux qui n’auront  pas votre chance. Et puis, priez, mais certainement pas comme lui là, au-dessus !

Olivier

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SpaceX dans ta lune

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Malgré un potentiel technologique exceptionnel, pour la énième fois, la fusée Starship d’Elon Musk a explosé en vol. Cette géante de 120 mètres de haut s'est arrachée du sol dans un jet de flammes digne des Enfers, le samedi 18 novembre dernier, à 07H00 locales (13H00 GMT) depuis la base de SpaceX à Boca Chica, dans l'extrême sud du Texas.

« SpaceX a fait décoller samedi 18-11, la plus grande et plus puissante fusée jamais construite, Starship, dont les deux étages se sont séparés avec succès avant qu'une « anomalie » n'entraîne leur explosion. », peut-on encore lire dans les journaux.

Ou encore : « Starship a réussi son décollage, aux États-Unis ce samedi 18 novembre 2023, indique la société SpaceX. Le vaisseau spatial, placé au sommet de sa puissante fusée Super Heavy, s'est élancé sans équipage d'une rampe à Boca Chica, près de Brownsville, au Texas. »

Néanmoins, lorsqu’on cherche des réactions à ce phénomène de « succès », on peut lire : Séparation réussie puis explosion pour la fusée Starship, un « progrès », estime SpaceX.

On est alors en droit de se poser des questions lorsqu’une telle entreprise se réjouie de ses multiples échecs ? « Trajectoire de Starship nominale », a-t-on pu entendre sur le flux vidéo en direct de SpaceX, quelques minutes après le décollage de la fusée. Bizarres réjouissances lorsque l’on sait qu’un premier lancement au printemps dernier s'était terminé, comme en 2021, par une gigantesque explosion.

Je vous épargne les détails technique concernant le samedi 18 novembre dernier, mais ce qu’on en sait, c’est que le module Starship, placé au sommet de la fusée, s'est séparé avec succès de l'étage de propulsion Super Heavy, mais les deux parties de la fusée n'ont pas survécu jusqu'à leur redescente programmée et ont explosé en vol, selon SpaceX.

La fusée se compose de deux étages : l'étage de propulsion Super Heavy et ses 33 moteurs, et le vaisseau Starship, qui se trouve au-dessus et donne son nom à la fusée. Lors du premier essai, les deux étages n'avaient pas pu se séparer en vol avant donc de réussir samedi. C’est pour cela que SpaceX qualifie l’essai de réussite.

Des experts parle alors de « Succès partiel fantastique ». Bizarre lorsque l’on sait que la NASA scrute de près ces essais, elle qui compte sur ce vaisseau pour ses missions « de retour » sur la Lune. Bill Nelson, l’actuel patron de l'agence spatiale américaine, a adressé ses félicitations à SpaceX samedi 18 novembre pour les « progrès » effectués.

Il y voit une « opportunité pour apprendre, puis voler à nouveau ». Waouh ! c’est super ! Nous assistons là à un formidable cas de régression de la part du « premier de la classe ? Qu’est devenue toute cette avancée technologique financée par le contribuable américain ? Ou est passée cette expérience ?

Qu’est devenue la technologie ayant permis à une boite de conserve montée sur rivets et fonctionnant avec « l’équivalent d’un boulier » comparée à l’informatique actuelle et surtout celle à disposition d’Elon Musk ?

Cette boite de conserve aurait permis à trois hommes de marcher sur la lune et d’en revenir et, désormais, avec nos nanotechnologies ayant envahi le corps de vaccinés, on n’est même pas capable de sortir de notre atmosphère sans faire boum ! Depuis des années on se contente de tourner autour de la terre, dans un puzzle nommé station ISS.

Au printemps 2023, le 20 avril, Starship avait décollé pour la première fois dans sa configuration complète. Mais plusieurs moteurs n'avaient pas fonctionné, et SpaceX avait volontairement fait exploser la fusée au bout de quatre minutes. Et la Nasa compte sur cette société pour « retourner » sur la lune ? Ça ne vous fait pas réfléchir ?

Pour SpaceX, l'explosion de prototypes est moins problématique en matière d'image qu'elle ne le serait pour la Nasa et ses fonds publics, selon les experts.

Néanmoins, le développement de Starship ne semble malgré tout pas assez rapide pour cadrer avec les plans de l’agence américaine, qui a passé contrat avec SpaceX. Une version modifiée de l'engin doit servir d'alunisseur afin de déposer, pour la première fois … depuis 1972, des astronautes sur la surface lunaire.

Cette mission, nommée Artémis 3, est officiellement prévue en 2025.  Au-delà de la Lune, Elon Musk souhaite faire de son lanceur et de Starship « un moyen de transport généralisé vers n'importe quelle destination dans le système solaire », notamment Mars. Son but est l'établissement d'une colonie autonome sur Mars.

Mais la véritable innovation de Starship est qu'elle doit être entièrement réutilisable, les deux étages étant conçus pour à terme revenir se poser sur leur pas de tir, afin d’en réduire les coûts. Pour l’instant, seul le premier étage de la fusée Falcon 9 de SpaceX est actuellement récupéré.

Starship est à la fois plus grande que la nouvelle méga-fusée de la Nasa, SLS (98 m), qui s'est envolée pour la première fois il y a un an, et que Saturn V, la fusée du programme lunaire Apollo (111 m). Au décollage, Starship dispose d’une poussée environ deux fois supérieure à ces deux lanceurs. Ce qui en fait la plus grande et puissante fusée actuellement au monde.

https://twitter.com/i/status/1725879726479450297

Quant à moi, j’ai une chose à vous dire au beau milieu de tous les mensonges proférés par l’élite kabbaliste. La Véritable conquête spatiale est intrinsèquement liée à nos origines. Concernant celles et ceux qui désirent en savoir plus et connaitre la Vérité, j’ai deux ouvrages à vous proposer.

https://www.thebookedition.com/fr/nachash-p-388763.html Nachash est entièrement consacré à la conquête spatiale et secondairement à nos origines.

https://www.thebookedition.com/fr/une-autre-histoire-la-vraie--p-392634.html Une autre Histoire : la Vraie ! est entièrement consacré à nos origines et secondairement à la conquête spatiale.

En plus de lever un énorme voile sur ces mensonges qui obscurcissent nos vies, les deux feront en outre d’excellents cadeaux de fin d’année. Bonne lecture à celles et à ceux qui désirent honorer le travail d’un chercheur de Vérité que ce monde-démon ose nommer « complotiste ».

Olivier

 

 

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DES DEMONS, TOUS DEGUISES EN ANGES DE LUMIERE

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Vous connaissez tous mon engouement concernant la Vérité climatique et mon entêtement à vouloir dénoncer une élite diabolique aux commandes de ce monde-démon. En 1972, la Conférence des Nations Unies sur l'environnement avait adopté une série de principes pour une gestion écologiquement rationnelle de l'environnement. Cette « Déclaration de Stockholm » avait placé les questions écologiques au rang des préoccupations internationales, la pollution (l'air, l'eau, les océans) et le « bien-être des peuples » dans le monde entier.

En juin 1992, à Rio de Janeiro (Brésil), la Conférence des Nations Unies sur l'environnement et le développement « Sommet planète Terre » sera orchestrée par un démon aux ordres des Rockefeller. Au début du processus de négociation précédant le Sommet, le démon en question : Maurice Strong, Secrétaire général de la Conférence, avait imaginé ce concept de Charte de la Terre.

La Déclaration de Rio sur l'environnement et le développement témoignait et témoigne encore de deux grandes préoccupations apparues pendant l'intervalle de 20 années séparant ces deux conférences : la détérioration de l'environnement, notamment de sa capacité à entretenir la vie, et l'interdépendance de plus en plus manifeste entre le progrès économique à long terme et la nécessité d'une protection de l'environnement.

Mais, le 22 septembre 1991, neuf mois seulement avant ce fameux Sommet de la Terre, une audience publique des Nations Unies sur l'environnement et le développement s'était tenue à Des Moines, dans Iowa.

Ce qu’il y a surtout à en retenir, c’est qu’un document issu de cette audition soulignait l'urgence de réduire la population mondiale. « Une réduction immédiate de la population mondiale, conformément aux recommandations du Draper Fund du milieu des années 1970, doit être entreprise immédiatement », indique le document. « Toutes les nations établissent des quotas annuels de réduction de la population, qui seront déterminés par le Conseil de sécurité des Nations Unies au moyen d'embargos sélectifs ou totaux sur le crédit, les biens commerciaux, y compris la nourriture et les médicaments, ou, si nécessaire, être appliqué par la force militaire » 

Depuis, ils ont trouvé d'autres solutions … c’est le but de cet article.

J’en parle abondamment dans mon livre De Mammon à Corona, paru en 2020, en 2001, j’avais été très choqué par l’histoire des soi-disant attaques terroristes à l’anthrax qui avaient suivi le 11 septembre. Aujourd’hui, l’on sait qu’il s’agissait d’opérations sous faux drapeau, destinées à justifier l’invasion en Irak et en Afghanistan et à vendre des armes et des vaccins.

C’est un sujet central de ma littérature : faire savoir qu’en réalité, l’industrie militaire et le cartel mafieux auquel elle est associée, s’emploient à entretenir diverses menaces pour faire tourner leur business.

Depuis des décennies, ils entretiennent savamment le spectre de la guerre, du terrorisme ou de la pandémie. Cela leur permet de faire des milliards de dollars de profit. Mais, plus encore, au-delà de cela, existe un plan séculaire : la prise contrôle de la société à l’échelle mondiale.

Créer de toute pièce des urgences sanitaires, simulées par ce cartel, constitue une véritable saga à laquelle Robert Kennedy Jr. a consacré un livre monumental, avec plusieurs milliers de références.

Couillonavirus a provoqué un réveil salutaire chez certains. Ceux qui étaient contre ces vaccins le sont plus que jamais, quant aux autres, les piquouzés, ils ont subi « au mieux » des problèmes graves (thromboses, cancers fulgurants, problèmes cardiaques) et au pire : en sont morts.

Bref ! un éveil s’est réalisé chez certains (pas assez). Il n’en reste pas moins que l’OMS a pour idée de prendre le contrôle total sur les gouvernements à la prochaine pandémie qui, comme toutes les autres, sera organisée artificiellement. Prendre l’ascendant sur les peuples et réduire drastiquement le nombre des gueux sur cette planète, fait intégralement partie du Grand Reset de Davos.

Existait donc une volonté de vacciner toute la planète, lors de la première pandémie, en activant toujours davantage le facteur PEUR. Mais un problème se pose alors à toute cette bande de salopards : les virus n’ont plus la cote.

La grippe, les derniers variants du Covid et la variole du singe n’ont pas fait peur au public.

Dans mon dernier livre Davos et son Echeveau https://www.thebookedition.com/fr/davos-et-son-echeveau-p-399771.html j’explique d’ailleurs tout ça en détail avec les modes de propagation trop souvent ignorés du public.

Aujourd’hui, les gens ont enfin compris que les virus vraiment dangereux, tuent leur hôte avant de se propager, et par conséquent ils savent que quand les virus sont fort contagieux, ils sont relativement bénins. Quant à moi, je n’irais pas jusqu’à dire comme certains que « les virus n’existent pas », j’explique cependant que leur rôle n’est certainement pas celui que l’on croit trop fréquemment.

Enfin, couillonavirus était un test, mais pas suffisamment concluant pour l’élite : au-delà de la monstrueuse ingénierie sociale orchestrée autour de lui, pour l’élite, il n’a pas été suffisamment létal.

Le délai entre l’apparition de couillonavirus et le développement du vaccin mortifère a été trop long. En 2020, le Covid n’a pas provoqué une réelle hécatombe.

Beaucoup de gens ont compris que la mortalité n’a augmenté qu’au moment où l’on a commencé à vacciner. Ainsi, le scénario de la grande pandémie causée par un virus est grillé. Mais faisons confiance à des psychopathes comme Bill le coyote afin de trouver la parade. Nos « bons vieux terroristes » pourraient faire l’affaire.

Ce n’est pas pour rien que Bill Gates a d’ailleurs prédit que la prochaine pandémie sera probablement d’origine bioterroriste.  On pourrait alors nous refaire le « coup de l’anthrax » attribué aux islamistes ou au méchant Poutine. Un pathogène mortel cultivé dans un laboratoire de type P4 en Russie ou en Chine… ça arrangerait bien les affaires du vieil oncle Sam zombifié.

Et pour ça, une bonne vieille bactérie pourrait faire l’affaire.

On en meurt depuis le Moyen-âge, mais la différence, c’est qu’aujourd’hui nous avons les antibiotiques. Les guerres provoquent des famines, des mauvaises conditions d’hygiène et des pénuries de médicaments.

Ce sont des circonstances dans lesquelles certaines épidémies peuvent vraiment faire des ravages. Et là, les organismes de santé publique vont pouvoir « sauver » des millions de vie grâce aux antibiotiques. Ça leur permettra de retrouver la confiance des populations, qui est au plus bas.

Il sera plus facile d’éliminer les gens avec des nouveaux produits, car cela ne sera pas aussi visible qu’avec les vaccins Covid où l’on a eu un an d’écart entre la maladie et le vaccin.

Il ne faut pas nécessairement s’attendre à une grande pandémie mondiale. Il pourrait y avoir différentes alertes qui se succèdent ou qui se produisent en même temps. À mon avis, nous aurons au moins une vilaine bactérie qui renaîtra avec « la fonte des pôles et le réchauffement climatique ». Voyez-vous l’astuce !?

N’oublions pas que pour l’élite la santé est liée au climat. C’est d’ailleurs pour cela que Sainte Greta arpente le monde, financée par "un autre saint" : Georges Soros, le « bienfaiteur de l’humanité ». Cela fait partie du discours lancinant dont on nous abreuve machiavéliquement depuis des décennies.

Bien sûr, l’idée est soutenue par l’OMS et le Forum économique mondial de tonton Schwab, un autre bienfaiteur.

La vilaine bactérie sera mise au banc des accusés, bien plus méchante qu’en réalité. Tout comme avec le Covid-19, elle provoquera la peur. Mais le vrai danger sera caché au coin du mur. Tout comme avec le Remdesivir administré à doses létales dans les EHPAD, le vrai danger viendra des médicaments administrés soi-disant afin de soigner.

En ce moment, ils sont en train de développer des antibiotiques « non-traditionnels ». L‘OMS travaille à modifier la définition et la classification des antibiotiques. Et ce n’est pas pour rien ! C’est similaire avec ce qui s’est passé pour les injections d’ARNm. Ce ne sont pas des vaccins, mais on les fait passer comme tels. Si vous lisez les textes du futur traité sur les pandémies, ils veulent obliger tous les pays du monde à constituer des stocks de ces médicaments contre la résistance antimicrobienne.

Bref ! c’est nous qui, une fois de plus, paierons ces poisons avec nos impôts.

C’est leur langage de faux-cul qu’il convient ici d’analyser. Ils ne parlent pas toujours d’antibiotiques. Comme avec les injections Covid, il y a « des mesures de lutte contre » … la résistance aux anti-microbiens. Grâce à ces termes, n’importe quel poison expérimental peut échapper aux définitions pharmacologiques et aux réglementations associées à divers types de médicaments.

Pire encore, comme avec les « vaccins Covid » et l’opération Warp Speed de Trump, on peut tout faire entrer dans la case militaire. C’est simple et ça peut rapporter gros (dollars et mortalité). Et là tout est secret, toutes les expérimentations et tous les crimes sont permis, personne n’est responsable.

Circulez, il n’y a rien à voir ! On entre dans le laboratoire du docteur Mengele où toutes sortes d’armes biologiques seront développées et dirigées contre les populations pour servir un agenda de contrôle à la chinoise.

Notamment de nouveaux « médicaments anticancer », qui seront surtout des poisons cellulaires. Nous « entrons » dans l’ère des armes biologiques.

Cela n’a véritablement commencé qu’avec le coronavirus. En réalité, lorsque la convention internationale contre les armes biologiques a été signée en 1972, leurs capacités de déploiement étaient assez faibles. Par contre, l’intention de mener ces recherches était bien là.

La convention alors promue par Richard Nixon, a servi pour décourager la communauté internationale de développer de telles armes, et pour cacher le fait que les Américains se lançaient eux-mêmes dans ces recherches.

Dans mon livre, je parle de Fort Detrick. Ils s’en sont sortis alors en renommant une partie du centre de recherche militaire de Fort Detrick en un Institut national pour le cancer. On a gardé les mêmes chercheurs et les mêmes bâtiments où des milliards ont été engloutis pour soi-disant développer un vaccin contre le sida, alors qu’en réalité, on n’a jamais rien vu d’efficace.

En fait, pratiquement tout ce fric a servi aux recherches d’armes biologiques. Maintenant, ces gens s’emploient à mettre au point des vaccins ARNm contre le cancer (des armes génétiques expérimentales). Depuis le début de la vaccination Covid on assiste à l’apparition de « turbo-cancers » et à l’augmentation foudroyante de l’incidence de tous types de cancers.

On a poursuivi tout cela, comme les recherches de gain de fonction des virus, sous prétexte de pouvoir se défendre en cas d’attaques. Ce sont ces recherches « à double usage » qui permettent encore aujourd’hui de cultiver des agents pathogènes susceptibles d’être utilisés par des terroristes.

Bill Gates est même propriétaire de quelques-unes de ces saloperies.

Notre microbiote intestinal a une grande influence sur notre ressenti et notre comportement. Aujourd’hui, les travaux sur le lien « intestin-cerveau » (autisme-microbiote) sont très nombreux, mais ils restent trop souvent ignorés par les professionnels de la santé.

En le modifiant, sans nanotechnologie, on aurait alors une nouvelle façon de contrôler les populations. Les rendre dociles ou agressifs. Cela peut paraître étonnant, mais tous ces micro-organismes influencent notre personnalité.

Il faut DONC surtout s’attendre à un assaut sur notre microbiote. D’abord, il y a aura des attaques bactériennes. Ensuite, tout le monde se ruera sur les nouveaux « anti-microbiens » qui vont empoisonner toute la population et flinguer leur flore intestinale.

Après cela, les gens auront de plus en plus de mal à digérer la nourriture et leur système immunitaire va s’affaiblir.  Là, ils recevront de nouveaux types d’aliments (viande artificielle, insectes, etc.) et des nouveaux types de bactéries OGM ou d’enzymes pour les digérer.

Vous me prenez pour un fou ? Pensiez vus un jour devoir vous signer une autorisation de sortie ? Vous retrouver confiné ? Ne pas avoir le droit d’aller en forêt ou à la plage ? Devoir prendre un café assis afin que les virus passent au-dessus de vos têtes ? Être obligé de vous faire piquer avec une merde en phase d’étude, même pas homologuée ? Réfléchissez !

Olivier

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« Les gentils » Partie 5 et fin

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

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D’une certaine manière, c’est tout le contraire : les Juifs font preuve entre eux d’un haut degré d’empathie, ou du moins de solidarité, allant souvent jusqu’au sacrifice de soi. Mais le caractère sélectif de cette empathie suggère qu’elle s’adresse moins à l’humanité d’autrui qu’à sa judéité.

En fait, la pensée juive a tendance à confondre judéité et humanité. Il s’ensuit que ce qui est bon pour les Juifs doit nécessairement être bon pour l’humanité. À l’inverse, un crime contre les Juifs est un « crime contre l’humanité », un concept qu’ils ont créé en 1945. Confondre judéité et humanité pourrait n’être que du narcissisme collectif, mais considérer les non-juifs comme moins qu’humains est un symptôme clair de psychopathie collective.

En tant que communauté, les Juifs se considèrent innocents des accusations portées contre eux. C’est la phobie du juif qui, pour eux, constitue une psychose héréditaire, une maladie incurable transmise depuis deux mille ans. En conséquence, les Juifs sont « le peuple élu par la haine universelle ».

Israël, l’État juif, est le psychopathe parmi les nations. Il agit envers les autres nations de la même manière qu’un psychopathe agit envers ses semblables. « Seuls les psychiatres peuvent expliquer le comportement d’Israël », écrivait le journaliste israélien Gideon Levy dans Haaretz en 2010. Compte tenu de la capacité illimitée d’Israël à manipuler les autres nations, les États-Unis en premier lieu, nous avons bel et bien affaire à un psychopathe.

Je ne blâme pas les Israéliens en tant qu’individus. Ils ne font partie de cette psychopathie collective que dans la mesure de leur soumission à l’idéologie nationale qui, à travers Bibi est en train de tous les métastaser. Mais, dans son ensemble, Israël est bien plus dangereux que n’importe quelle multinationale (même Pfizer), car l’idéologie qui engendre son trouble de la personnalité est bien plus insensée que la philosophie libérale d’une entreprise. La philosophie d’Israël est biblique.

Sa psychopathie collective n’est pas génétique, elle est culturelle, elle s’est formée il y a des temps très anciens, et elle est donc ancrée dans le subconscient ancestral (qui est peut-être épigénétique). Elle leur vient en fin de compte d’une mauvaise interprétation des textes qu’elle « détient » soi-disant « d’un dieu jaloux ». Par son acte de naissance, Israël est la nation du dieu psychopathe.

Yahvé, « le dieu d’Israël », peut en effet sembler au premier abord jaloux, colérique, solitaire, etc. Mais ce sont des traits un peu trop anthropomorphiques que l’athée s’empressera d’attribuer à ce Dieu unique suite à une lecture du texte biblique, mais en diagonale. Et s’il m’a fallu écrire plusieurs ouvrages concernant ces sujets cruciaux afin de rétablir la Vérité, ce n’est pas pour rien.

Car, en effet, manifester une haine implacable envers tous les autres dieux, se déclarant le seul et unique vrai dieu, et par conséquence, le créateur de l’Univers, cela peut sembler relever de la psychopathie. Yahvé enseigne aux Hébreux une haine mortelle envers les divinités de leurs voisins (Deutéronome 12,2-3).

Cela semble caractériser clairement un comportement psychopathe parmi les dieux, alors qu’au contraire chez les Égyptiens, les dieux semblent "des êtres sociaux", l’harmonie entre eux garantissant celle du cosmos.

Mais quoi de plus normal lorsqu’on considère ce panthéon égyptien directement issu de Sumer et de ces humains s’étant fait divinisés (Nimrod et les siens). Il serait hélas trop long d’expliquer ici tous ces sujets cruciaux. Celles et ceux qui désirent le faire peuvent, je le répète lire : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2021/10/les-prophetes-du-diable.partie-1.html   (27épisodes)

Il est vrai que Yahvé a enseigné aux Juifs à se tenir strictement séparés des autres. Les interdits alimentaires servent à empêcher toute socialisation en dehors de la tribu : « Je vous mettrai à part de tous ces peuples pour que vous soyez à moi » (Lévitique 20,26). Mais il y avaient là de nombreuses raisons (voir mes livres).

La nature de l’alliance mosaïque semblera immorale à l’athée. Il n’en est rien !

Suite à une lecture sommaire du texte biblique, il peut sembler que le seul critère d’approbation par Yahvé est l’obéissance à ses lois et commandements « arbitraires ». Massacrer. Les Hébreux peuvent sembler des victimes sans volonté propre, des instruments entre les mains du dieu d’Israël. Il n’en est rien. Si, à l’époque, les Hébreux doivent suivre le commandement de Yahvé de s’aliéner du reste de l’humanité, et qu’à l’époque Yahvé promet en retour de les faire régner sur l’humanité, c’est qu’il y a une RAISON qui échappe totalement au béotien (voir mes livres).

« Si tu obéis vraiment à la voix de Yahvé ton Dieu, en gardant et pratiquant tous ces commandements que je te prescris aujourd’hui, Yahvé ton Dieu t’élèvera au-dessus des toutes les nations de la terre » (Deutéronome 28,1).

À l’époque, si Israël suit scrupuleusement la Loi, Yahvé promet de soumettre toutes les nations à la domination d’Israël et de détruire celles qui lui résistent. « Les rois se prosterneront devant toi, ils lécheront la poussière de tes pieds », tandis que « la nation et le royaume qui ne te servent pas périront, et leurs peuples seront exterminées » (Isaïe 49,23 et 60,12).

Yahvé n’offre alors que deux voies possibles à Israël : la domination des autres nations si Israël respecte les termes de l’alliance avec Yahvé, ou l’anéantissement par ces mêmes nations si Israël rompt cette alliance (Josué 23,12-13).

Ces faits s’appliquaient à l’époque, pour des raisons bien déterminées. L’une d’elles ; la primordiale était de préparer la future venue du Messie. Lorsque ces temps furent venus, même les athées le savent, ce fameux peuple élu, loupa la coche et perdit alors toutes les dispositions qui lui étaient attribuées et qui furent par la suite étendues au monde entier (vrai christianisme).

Néanmoins, diasporas après diasporas, un peuple « un jour élu » continua à vouloir prétendre à ce titre.

Et, c’est extraordinaire de constater comment, de nos jours, le sionisme a « suivi » l’Ancien Testament. Ainsi, actuellement, l’histoire de Gaza semble n’être qu’un triste copier-coller de l’histoire de Josué entrant en possession légitime de sa terre promise. Déposséder les autres ou être dépossédé, dominer ou être exterminé : Israël ne peut pas penser au-delà de cette alternative.

Voilà pourquoi le sionisme prétend être biblique en tant que pur produit de la judéité. Et puisque cette judéité semble enracinée dans la Bible hébraïque, le sionisme actuel se croit investi. Qu’il y croie ou non, peu importe que le Juif définisse sa judéité en termes religieux ou ethniques.

Il fonde en fin de compte sa judéité sur la Bible. Pour lui, et d’un point de vue religieux, la Bible semble préserver l’essence de cette Alliance avec Dieu, tandis que d’un point de vue laïc, la Bible est le récit fondateur, le modèle par lequel le Juif lambda interprète toute l’histoire ultérieure de son peuple (la Dispersion, l’Holocauste, la renaissance d’Israël, etc.).

Theodor Herzl, « le prophète du sionisme politique », ne s’est peut-être pas inspiré ouvertement de la Bible. Pourtant, il a nommé son idéologie le « sionisme », en utilisant un nom biblique de Jérusalem. Quant aux véritables fondateurs sionistes de l’État moderne d’Israël, ils étaient tous imprégnés de la Bible. « La Bible est notre mandat », déclarait Chaim Weizmann en 1919, et en 1948 il offrit à Truman un rouleau de la Torah en remerciement de sa reconnaissance d’Israël.

David Ben Gourion, le père de la nation, n’était jamais allé dans une synagogue et mangeait du porc, mais il était pourtant imprégné d’une vision biblique du peuple juif. Pour lui, la renaissance d’Israël en 1948 « était comparable à l’exode d’Égypte, à la conquête du pays par Josué et à la révolte des Maccabées ». Il ne peut y avoir aucun doute sur le fait que l’État moderne d’Israël est fondé sur la prétention de l’héritage biblique.

La mentalité biblique de Ben Gourion est devenue de plus en plus évidente.  Alors qu’il suppliait John Kennedy de permettre à son peuple de se doter de la bombe atomique parce que les Egyptiens voulaient les exterminer (comme à l’époque de Moïse), il prophétisait dans le magazine Look du 16 janvier 1962) que d’ici vingt ans, Jérusalem « sera le siège de la Cour suprême de l’humanité, pour régler toutes les controverses entre les continents fédérés, comme l’a prophétisé Isaïe13. »

Presque tous les dirigeants israéliens de la génération de Ben Gourion et Moshe Dayan partagent le même état d’esprit biblique. Il y a désormais des fous de la Bible au sein du gouvernement israélien, comme le ministre de la Sécurité nationale Itamar Ben-Gvir. « Dieu a donné la terre d’Israël au peuple juif » est l’alpha et l’oméga du sionisme, non seulement pour les Israéliens, mais aussi pour les chrétiens qui, depuis 1917, ont soutenu la revendication juive et soutiennent Israël aujourd’hui.

Plus encore que Ben Gourion, Bibi Netanyahou pense bibliquement, et cela devient de plus en plus clair à mesure qu’il vieillit. Il sait également que les chrétiens américains ne peuvent pas sérieusement contester les affirmations bibliques. Le 3 mars 2015, il dramatisait devant le Congrès américain sa phobie de l’Iran en faisant référence au Livre d’Esther, en référence au vice-roi perse nommé Haman, qui, il y a environ 2 500 ans, avait comploté pour détruire le peuple juif. Une juive courageuse, la reine Esther, dénonça le complot et donna au peuple juif le droit de se défendre contre ses ennemis.

Netanyahou avait programmé son discours la veille de Pourim, qui célèbre la fin heureuse du Livre d’Esther : le massacre de 75 000 hommes, femmes et enfants perses. En 2019, Netanyahou avait déclaré lors d’une tournée en Cisjordanie : « Je crois au livre des livres et je le lis comme un appel à l’action selon lequel chaque génération doit faire ce qu’elle peut pour assurer l’éternité d’Israël. »

Plus tard, ne faisant certainement pas l’unité au sein du peuple israélien, il a même déclaré à son peuple : « Nous allons réaliser la prophétie d’Isaïe. » Que vient donc faire ici le religieux dans la sphère politique ? Alors oui, la Bible hébraïque justifie aux yeux des élites Israéliennes leur traitement des Palestiniens de Gaza. Dieu lui-même, pensent-ils, MAIS À TORT, leur commande d’infliger un tel traitement de ceux qu’ils ont dépossédés.

Et pour terminer, écoutez-donc les propos du Général de Gaulle, tenus en 1967, à propos de ce peuple « élu » ici :  https://twitter.com/i/status/1721202076963750284

Tué au nom de Dieu constitue le blasphème par excellence : LE SEUL QUI NE PUISSE ETRE PARDONNE.

Quant à celles et ceux qui désireraient approfondir plus encore ces sujets d’une actualité BRULANTE, j’ai ça : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2021/10/les-prophetes-du-diable.partie-1.html  ainsi que mes livres, bien entendu !

Olivier

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« Les gentils » Partie 4

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/11/les-gentils-partie-1.html

Les autorités israéliennes profitent de l’assaut actuel contre Gaza pour modifier encore les règles. En 2009, Yoav Gallant, l’actuel ministre de la défense, était alors le commandant militaire en charge de Gaza, un « homme sauvage », qui n’avait pas le temps de s’occuper des subtilités juridiques. Il est de nos jours responsable de l’instauration d’un siège complet de Gaza. Pas d’électricité, pas de nourriture, pas d’eau, pas de carburant. Tout est fermé. Ce « brave homme » décrit les Palestiniens comme des animaux humains.

La punition collective entre alors dans un tout autre domaine. En termes de droit international, elle frôle le territoire du génocide, tant sur le plan rhétorique que sur le fond. Mais même des hommes politiques occidentaux centristes encouragent Israël.

Keir Starmer, le chef de l’opposition travailliste, l’homme qui est presque certain d’être le prochain premier ministre britannique, soutient le siège complet de Gaza, un crime contre l’humanité, en le reformulant comme le « droit d’Israël à se défendre ». Starmer et pourtant avocat spécialisé dans les droits de l’homme.

Par ailleurs, ce n’est pas une coïncidence si la position de Starmer contraste autant avec celle de son prédécesseur, Jeremy Corbyn. Ce dernier a été chassé du pouvoir par une campagne soutenue de diffamation antisémite fomentée par les plus fervents partisans d’Israël au Royaume-Uni.

Comme je l’explique à souhait dans Le Centième Gueux, à grands coups d’antisémitisme, c’est exactement le résultat que les responsables israéliens voulaient et attendaient.

Tout le monde sert les fesses devant la menace d’antisémitisme. Starmer est loin d’être le seul. Grant Shapps, le ministre britannique de la défense, a également exprimé un soutien sans faille à la politique israélienne consistant à affamer deux millions de Palestiniens à Gaza.

Rishi Sunak, le premier ministre, a apposé le drapeau israélien sur la façade de sa résidence officielle, le 10 Downing Street.

Quelle que soit l’ampleur de ce soutien collectif à Israël, présenté comme un acte de solidarité après le massacre de civils israéliens par le Hamas le 7 octobre dernier, le sous-texte est évident : La Grande-Bretagne soutient Israël au moment où il entame sa campagne de représailles pour crimes de guerre à Gaza. C’est également l’objectif du conseil donné par la ministre de l’intérieur Suella Braverman à la police de traiter comme des actes criminels le fait d’agiter des drapeaux palestiniens et de chanter pour la libération de la Palestine lors des manifestations de soutien à la bande de Gaza.

Les médias jouent leur rôle, comme toujours. Une équipe de télévision de Channel 4 a poursuivi Corbyn dans les rues de Londres , exigeant qu’il condamne le Hamas, confirmant l’antisémitisme de l’ancien dirigeant travailliste.

L’implication claire des politiciens et des médias de l’establishment est que tout soutien aux droits des Palestiniens, toute contestation du “droit incontestable” d’Israël à commettre des crimes de guerre, équivaut à de l’antisémitisme.

Cette double approche, qui consiste à encourager les politiques israéliennes génocidaires à l’égard de Gaza tout en étouffant toute dissidence ou en la qualifiant d’antisémitisme, ne se limite pas au Royaume-Uni.

Dans toute l’Europe, de Berlin à Paris et j’en passe et des meilleurs, des bâtiments officiels ont été illuminés avec le drapeau israélien. Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, a déclaré à plusieurs reprises que « l’Europe est aux côtés d’Israël », alors même que les crimes de guerre israéliens commencent à s’accumuler.

L’armée de l’air israélienne s’est vantée d’avoir largué quelque 6 000 bombes sur Gaza. Dans le même temps, des groupes de défense des droits de l’homme ont signalé qu’Israël tirait sur Gaza du phosphore blanc, une arme chimique incendiaire, qui constitue un crime de guerre lorsqu’elle est utilisée dans des zones urbaines. Plus de 500 enfants palestiniens ont été tués jusqu’à présent par les bombes israéliennes.

C’est du deux poids deux mesures. Il y a presque exactement un an, la présidente de la Commission européenne avait dénoncé les frappes russes sur les infrastructures civiles en Ukraine comme des crimes de guerre. « Priver des hommes, des femmes et des enfants d’eau, d’électricité et de chauffage à l’approche de l’hiver, ce sont des actes de pure terreur », écrivait-elle.

Pendant ce temps, la France a déjà commencé à disperser et à interdire les manifestations contre le bombardement de Gaza. Son ministre de la justice s’est fait l’écho de Braverman en suggérant que la solidarité avec les Palestiniens risquait d’offenser les communautés juives et devait être traitée comme un « discours de haine ».

Washington apporte un soutien sans faille à Israël, quelle que soit la décision qu’il prendra à l’égard de Gaza, comme l’a clairement indiqué le secrétaire d’État Anthony Blinken.

Même les responsables dont le rôle principal est de promouvoir le droit international, comme Antonio Gutteres, secrétaire général des Nations unies, ont commencé à s’adapter à l’évolution de la situation. Comme la plupart des responsables occidentaux, il a mis l’accent sur les « besoins humanitaires » de Gaza en évitant de parler des règles de la guerre qu’Israël est tenu de respecter.

C’est là le succès d’Israël. Le langage du droit international qui devrait s’appliquer à Gaza a cédé la place, bien au fond du couloir humanitaire, dans le noir et le froid, ils reste des malheureux dont les droits sont systématiquement bafoués et dont les vies sont anéanties.

Les responsables occidentaux sont plus que satisfaits de la direction prise. Non seulement dans l’intérêt d’Israël, mais aussi dans le leur. Car un jour, leurs propres populations pourraient leur poser autant de problèmes que les Palestiniens de Gaza en posent aujourd’hui à Israël. Soutenir le droit d’Israël à se défendre est, pour eux, une sorte d’investissement dans un avenir qu’ils savent dystopique, sauf pour eux ; du moins l’espèrent-ils ainsi.

Car vu l’endroit où se situe le conflit, venons-en à l’aspect eschatologique des choses. On peut penser ces versets hors contexte, mais je ne puis m’empêcher de penser à Zacharie 12 : 3 qui stipule : « En ce jour-là, je ferai de Jérusalem une pierre pesante pour tous les peuples ; Tous ceux qui la soulèveront seront meurtris ; Et toutes les nations de la terre s'assembleront contre elle. »

Si l’on se réfère à l’eschatologie biblique, Bibi Netanyahou n’est pas un psychopathe isolé. Ce sont de nombreux dirigeants israéliens ainsi qu’une partie du peuple israélien qui font l’objet d’une psychopathie collective, ce qui est très différent. Selon Freud, la religion (le christianisme) est une névrose collective. Les sionistes, même les plus sanguinaires, ne sont pas des psychopathes individuels.

Beaucoup d’entre eux sont dévoués au sein de leur propre communauté. Ils sont plutôt les vecteurs d’une psychopathie collective, c’est-à-dire d’une manière inhumaine de considérer et d’interagir avec les autres communautés humaines. Je suis  conscient que de traiter les dirigeants israéliens de psychopathes n’aide en rien à notre compréhension d’Israël. Mais c’est un point crucial.

Pour tenter d’avancer, il est nécessaire de reconnaître Israël comme un psychopathe collectif et d’étudier l’origine de ce caractère national unique et de comprendre ses schémas de pensée et de comportement. Mais même là, je me dois d’apporter un bémol. Comprendre intelligemment ne revient pas à éprouver de la haine pour Israël. Car, sachez-le bien, le Sionisme révisionniste de Bibi se nourrie de cette haine antisioniste. C’est même son super carburant.

À la base, le sionisme est un mouvement national d'une partie du peuple juif visant à la formation d'un foyer national, et à l'autodétermination du peuple juif en Terre d'Israël, correspondant à peu près à Canaan, la Terre sainte, ou à la région de Palestine. C’est le sionisme d’Yitzhak Rabin, qui, bien que doté de l’arme atomique afin de calmer les ardeur des voisins, se destinait au travail en terre d’Israël et se destinait à se cantonner à ses frontière actuelles.

Le sionisme révisionniste était, jusqu’à présent (un an à peu près), l'un des courants minoritaires du mouvement sioniste. Ce courant sera créé comme une « révision » des méthodes de fonctionnement de l'Organisation sioniste mondiale en 1923, lorsque son leader, Zeev Jabotinsky, se retirera de l'organisation.

En 1925, est fondée l'Alliance sioniste révisionniste. Mais,  « Gaza aidant », ce courant est actuellement en train d’entrainer tous les Juifs, pourtant majoritairement opposés à Bibi et ses idées folles, vers un courant eschatologique des plus dangereux pour le monde entier.

C’est donc avec ce sionisme travailliste qui fut symboliquement détruit par l’assassinat d’Yitzhak Rabin, à Tel Aviv, le 4 novembre 1995, qu’il convient de chercher une solution. Certainement pas avec Bibi. Les travaillistes représentent la frange avec laquelle les Arabes et les musulmans de monde entier se doivent de trouver un dialogue rationnel. Tout autre comportement antisioniste ne fera que nourrir la Bête Netanyahou et ses visées du Grand Israël allant du Nil à l’Euphrate.

La psychopathie, style Bibi, est un syndrome : une incapacité à se socialiser de manière authentique. Le psychopathe est incapable d’empathie. Par conséquent, c’est cette absence de toute inhibition morale dans sa relation à autrui qui, combinée à une soif de pouvoir, fait de lui ce qu’il est : un narcissique possédant une vision éléphantesque de sa propre importance. Dans son esprit, tout lui est dû car il est exceptionnel. Il n’a jamais tort et ses échecs sont toujours la faute des autres.

La vérité n’a aucune valeur pour le psychopathe. C’est un menteur pathologique, mais il n’en a guère conscience. Mentir lui est naturel et il apprend facilement à la simuler l’empathie. Son pouvoir réside dans son extraordinaire capacité à tromper. Il est immunisé contre toute culpabilité, tout en étant maître dans l’art de culpabiliser les autres.

Convaincu de son droit en toute circonstance, il est véritablement surpris par la rancune de ses victimes et les punira pour cela. S’il vole la propriété de quelqu’un, il considérera le ressentiment des spoliés comme une haine irrationnelle. Cette tare fait de lui un super héros bodybuildé et sur adapté à la vie sociale, puisque, pour lui, la vie sociale consiste uniquement à tracer son chemin individuel.

Ce « travers » nous fait bien entendu tout de suite penser à des Bill Gates, Soros, etc., tous ces multimilliardaires qui semblent tous dénués d’âme.

C’est pourquoi le véritable mystère n’est pas l’existence des psychopathes, mais leur faible proportion dans la population (environ 1%), mais le fait qu’ils ne se confondent pas avec le proverbial 1 % qui possède la moitié de la richesse mondiale. Une étude menée auprès des cadres supérieurs de grandes entreprises a montré que les traits psychopathiques sont répandus parmi eux.

Les grandes entreprises se comportent comme des psychopathes, insensibles à la souffrance de ceux qu’elles écrasent dans leur quête de profit. De fait, le comportement des entreprises et de leurs dirigeants est très similaire à celui d’un psychopathe. 

Le fait que les Juifs soient aujourd’hui représentés de manière disproportionnée parmi l’élite économique (ils forment la moitié des milliardaires américains, alors qu’ils ne représentent que 2,4 % de la population), ne signifie pas non plus que la psychopathie soit plus répandue parmi les Juifs.

Olivier

Suite et fin ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/11/les-gentils-partie-5-et-fin.html

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« Les gentils » Partie 3

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

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Les gouvernements américain et européen ne cherchent certainement pas une autre zone de guerre en plus de celle ukrainienne, qui vide les dépôts de munitions de l’OTAN et tarit l’envie de ses dirigeants d’intervenir dans des guerres qui ne sont pas les leurs.

Certains verront dans l’attaque iranienne une opportunité de se débarrasser du « mal de tête » qu’Israël leur cause depuis des années. Ce point de vue s’est intensifié ces derniers mois après les troubles internes dans l’État d’Israël, qui projette l’image d’un pays en conflit et en désordre avec une force civile épuisée qui a perdu toute volonté de mobilisation et de combat et, d’un autre côté, un pays sans direction, un gouvernement irresponsable et impuissant qui ne peut même pas faire face aux personnes qui bloquent les routes.

Du point de vue de l’Occident, la perte d’Israël ne serait pas si terrible, car de toute façon, le Moyen-Orient a tourné le dos à l’Occident lorsque l’Arabie Saoudite et ses partenaires du Golfe, des pays bien plus importants qu’Israël, ont décidé de tourner le dos à la faible coalition occidentale et de rejoindre l’Alliance orientale, forte et en pleine croissance : Russie, Chine, Iran, Corée du Nord, Venezuela et d’autres encore.

Les forces américaines déployées dans l’est de la Syrie sont censées protéger les intérêts américains, et non israéliens, et l’Iran a déjà démontré à plusieurs reprises qu’il n’avait aucun problème à attaquer ces forces américaines avec des missiles et des drones. L’administration américaine connaît l’attitude négative de la majorité libérale de la communauté juive américaine à l’égard d’Israël, en particulier ces derniers mois, et n’a donc pas peur de payer un prix public et politique trop élevé si elle permet à Israël de faire face seul à l’invasion iranienne.

L’argent du Qatar a également acheté des politiciens occidentaux pour qu’ils ne voient pas ce que le Qatar ne veut pas qu’ils voient, depuis la violation des droits de l’homme et des travailleurs étrangers au Qatar jusqu’à ce que l’allié du Qatar, l’Iran, envisage de faire à Israël.

Une invasion terrestre israélienne de la bande de Gaza présente donc un risque élevé. Si Israël s’enlise dans la bande de Gaza, ce qui n’est absolument pas exclu, il est fort possible que le Hezbollah ouvre un second front. Ce qui, à son tour, peut déclencher une réaction en chaîne susceptible d’échapper à tout contrôle. C’est là que réside le danger, si un cessez-le-feu n’est pas convenu suffisamment tôt dans le conflit. Mais au regard de tout ce qui vient d’être énoncé, une question se pose ?

Pourquoi, jusqu’ici, le Royaume Uni et l’Occident tout oxydé soutiennent-ils les crimes d’Israël ? Pour faire simple, je suis tenté de dire qu’ils pensent sérieusement à leurs miches. Ils investissent sur un avenir en train de devenir dystopique pour tout le monde. Nos politiciens occidentaux encouragent Israël à affamer les civils de Gaza et à les plonger dans l’obscurité pour les amadouer avant la prochaine invasion terrestre israélienne. Il est donc PRIMORDIAL de comprendre comment nous en sommes arrivés là, et ce que cela présage pour notre avenir.

Il y a plus de dix ans, Israël a commencé à comprendre qu’assiéger Gaza pouvait être à son avantage. Il a commencé à transformer la minuscule enclave côtière du statut de boulet lourd à porter en un jeu commercial très attractif dans sa politique de puissance internationale. Ce fut purement machiavélique.

Cette minuscule bande de terre a été transformée en un mélange de terrain d’essai et de vitrine. Israël a utilisé Gaza mode camp de concentration nazi. Pourquoi ? Pour développer TOUTE UNE BATTERIE DE JOUETS DYSTOPIQUES. Toutes sortes de nouvelles technologies et stratégies associées aux industries de la sécurité intérieure en plein essor dans tout l’Occident.

Et c’est là que les Athéniens s’atteignirent parce que ce but rejoint couillonavirus et ses restrictions imposées ainsi que les soi-disant djihadistes fous. Puisque les responsables des pays occidentaux « s’inquiètent » de plus en plus de l’agitation intérieure qui touche leur pays, parfois appelée populisme, quoi de mieux que de pouvoir leur fournir des solutions radicales.

À l’époque, en 2007, le siège des 2,3 millions de Palestiniens de Gaza, imposé par Israël à la suite de l’élection du Hamas à la tête de l’enclave, a permis toutes sortes d’expériences. Comment contenir une population ? Quelles restrictions alimentaires peuvent être imposées et à leur mode de vie ? Quel effet l’enfermement et les bombardements répétés ont-ils eu sur les relations sociales et politiques des Palestiniens ? Comment recruter à distance des mouchards et de collaborateurs ? Enfin, comment maintenir les habitants de Gaza dans la soumission et empêcher un soulèvement ?

Tout cela ne vous rappelle rien !?

Matraquage et répression des Gilets jaunes puis l’horreur du Covid-19 et ses vaccinations forcées.

Tout ce qui allait permettre à nos p’tits capots d’attenter à nos libertés fut mis à la disposition des alliés occidentaux sur le portail commercial d’Israël. Capteurs électroniques, systèmes de surveillance, drones, systèmes de reconnaissance faciale, systèmes d’interception de roquettes, tours de tir automatisées, etc. Tous ont été testés en situation réelle à Gaza.

La réputation d’Israël a été sérieusement ébranlée par le fait que les Palestiniens ont réussi à contourner cette infrastructure de confinement le 7 octobre dernier avec un bulldozer rouillé, quelques deltaplanes et le sentiment de n’avoir rien à perdre. C’est en partie pour cette raison qu’Israël doit maintenant retourner à Gaza avec des troupes au sol pour montrer qu’il a encore les moyens d’écraser les Palestiniens.

Ce qui nous amène à la deuxième raison de l’utilité de Gaza. De plus en plus inquiétés par les signes d’agitation populaire dans leur pays, les États occidentaux ont commencé à réfléchir plus attentivement à la manière de contourner les restrictions que leur impose le droit international, formalisé au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, lorsque les deux camps traitaient les civils se trouvant de l’autre côté des lignes de combat comme de simples pions sur un échiquier.

L’objectif des rédacteurs du droit international était de rendre inadmissible la répétition des atrocités nazies en Europe, ainsi que d’autres crimes tels que les bombardements par la Grande-Bretagne de villes allemandes comme Dresde ou le largage par les États-Unis de bombes atomiques sur Hiroshima et Nagasaki. L’un des fondements du droit international est l’interdiction des punitions collectives, les fameuses représailles contre la population civile de l’ennemi, dont les Palestiniens prennent plein les mirettes actuellement.  

Gaza constitue de fait la violation la plus flagrante de cette interdiction. Un million d’enfants y sont privés des libertés les plus élémentaires, telles que le droit de circuler, l’accès à des soins de santé appropriés parce que les médicaments et le matériel ne peuvent être acheminés, l’accès à l’eau potable et l’utilisation de l’électricité pendant une grande partie de la journée parce qu’Israël ne cesse de bombarder la centrale électrique de Gaza.

Israël n’a jamais caché qu’il punissait les habitants de Gaza parce qu’ils sont dirigés par le Hamas, qui rejette le droit d’Israël d’avoir dépossédé les Palestiniens de leur patrie en 1948 et de les avoir emprisonnés dans des ghettos surpeuplés comme Gaza. Ce qu’Israël fait à Gaza est la définition même de la punition collective. C’est un crime de guerre perpétré chaque seconde, depuis 16 ans. Et pourtant, personne dans la soi-disant communauté internationale ne semble le remarquer.

Juridiquement, « le plus délicat » pour Israël et l’Occident est la manière dont Israël bombarde Gaza, comme il le fait actuellement, ou envoie des soldats. Benjamin Netanyahu a a dit aux habitants de Gaza : « Partez maintenant ». Mais, pour aller où ? Comme lui et les dirigeants occidentaux le savent, les habitants de Gaza n’ont nulle part où aller, pour échapper aux bombes.

Toute attaque israélienne est donc, par définition, dirigée contre la population civile. C’est l’équivalent moderne des bombardements de Dresde dont je parle dans le tome 1 du Centième Gueux. Ainsi, depuis fin 2008 et son premier grand bombardement de Gaza, Israël élabore des stratégies pour surmonter cette difficulté, après l’instauration du siège.

Ce qu’ils désirent ? Trouver des moyens de réécrire les règles de la guerre en faveur d’Israël.

À l’époque, une unité juridique créée uniquement à cet effet craignait qu’Israël ne soit critiqué pour avoir fait exploser une cérémonie de remise de diplômes de police à Gaza. Israël avait alors tué de nombreux jeunes cadets : des civils, et non des soldats. En droit international, cela ne constitue pas une cible légitime. Les juristes israéliens s’inquiétaient également du fait qu’Israël avait détruit des bureaux gouvernementaux, l’infrastructure de l’administration civile de Gaza.

Désormais, tout cela est devenu de la roupie de sansonnet. Ce qui montre à quel point le pays a déjà changé de cap en matière de droit international. Toute personne liée au Hamas, même de manière indirecte, est considérée comme une cible légitime, non seulement par Israël, mais aussi par tous les gouvernements occidentaux. Le Hamas est pourtant un gouvernement, néanmoins, les responsables occidentaux ont rejoint Israël en le traitant comme une simple organisation terroriste.

C’est proprement une révision du droit international.

Si vous faites quelque chose pendant suffisamment longtemps, le monde l’acceptera, et un acte interdit aujourd’hui devient autorisé s’il est exécuté par un nombre suffisant de pays. En fait, Israël est coutumier du fait ! Pour les plus anciens, souvenez-vous !

L’attaque israélienne contre le tout jeune réacteur nucléaire irakien en 1981, un acte de guerre condamné par le Conseil de sécurité des Nations unies. Israël avait alors commis un crime contre l’humanité. Aujourd’hui, tout le monde dit qu’il s’agit d’une légitime défense préventive. Le droit international progresse au fil des violations.

Des responsables israéliens se sont rendus quatre fois aux États-Unis en 2001 pour persuader les responsables américains de l’interprétation de plus en plus souple du droit international par Israël en ce qui concerne l’assujettissement des Palestiniens. De quoi bodybuilder « la thèse de la guerre contre le terrorisme à l’échelle actuelle ». Ah ils ont bon dos les terroristes, tout comme le Covid-19 !

Il n’empêche que ces redéfinitions des règles de la guerre se sont avérées précieuses lorsque les États-Unis ont choisi d’envahir et d’occuper l’Afghanistan et l’Irak. C’est pratique le concept d' « avertissement préalable », en annonçant parfois quelques minutes à l’avance la destruction d’un bâtiment ou d’un quartier. Les civils vulnérables qui se trouvent encore dans la zone, comme les personnes âgées, les enfants et les handicapés, sont alors considérés comme des cibles légitimes s’ils n’ont pas quitté les lieux à temps.

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/11/les-gentils-partie-4.html

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« Les gentils » Partie 2

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/11/les-gentils-partie-1.html

Et dans tout ce marasme, à l’instar de la question ukrainienne, l’Occident se retrouve une fois de plus isolé (voir mon livre Chronique d’un Occident oxydé) dans son soutien inconditionnel à Israël.

En effet, face à nous et sur le plan diplomatique, les opinions mondiales se radicalisent vers une condamnation unanime du caractère disproportionné de la réaction israélienne à l’attaque du Hamas.

Enfin, sur le plan militaire, Tsahal n’est plus confronté à une intifada de bric et de broc mais à une force combattante équipée et préparée à l’accueillir sur un terrain qu’elle maîtrise. D’ailleurs, il semblerait que les armements du Hamas se soient considérablement améliorés depuis sa dernière confrontation avec Israël. Un combattant palestinien vient de montrer l’un des nombreux stocks d’armes antichars dispersés sous Gaza et on y découvre des choses surprenantes.

Comment ces armes de l’OTAN ont-elles fini à Gaza ? Suivez mon regard… car les vieux RPG7 des précédentes guerres Israélo-arabes ont été remplacés par des roquettes antichars étasuniennes M136 et M141 et des missiles suédois-britanniques. Tout porte à croire que le p'tit « David» palestinien ait décidé d’affronter le géant « Goliath » israélien avec autre chose qu’une fronde et des cailloux et que cette fois-ci, il a du high-tech dans ses cartons !

Si vous vous demandez comment ces armes de l’OTAN ont pu se retrouver dans les sous-sols gazaouis, il vous suffit de regarder vers le nord, de l’autre côté de la mer Noire, là où les Occidentaux déversent depuis des années des tonnes de matériels et d’armes dans les bras de la mafia bandériste de Kiev.

Un armement high-tech entre les mains de combattants capables de bien se cacher dans tout le nord de la bande de Gaza certes en ruine, peut constituer un cauchemar pour tout assaillant qui tenterait d’y pénétrer, car chaque tas de gravats peut cacher un combattant ou un piège.

La bande de Gaza a depuis toujours été connue comme «une prison à ciel ouvert ». Depuis les récents bombardements, qui ont fait en deux semaines plus de 6000 victimes, parmi lesquels 2 000 enfants, ce territoire de 400 km² est devenu « un cimetière à ciel ouvert ».

Dans un avenir plus ou moins proche, cependant, il se pourrait bien que l’enclave palestinienne se transforme en « une barricade géante » permettant au Hamas de mener une guérilla urbaine meurtrière et longue, surtout depuis qu’il dispose d’armes de l’OTAN en quantité suffisante.

Je tiens à être clair dans mon propos. Je ne suis certainement pas antisémite. Je ne fais que décortiquer l’Histoire : la Vraie. Quiconque s’élève contre les atrocités commises par Israël est automatiquement accusé d’antisémitisme. C’est absurde : les Palestiniens sont des « sémites » au même titre que les Juifs.

Je fais une différence entre Juif et sioniste. J’en fait également une entre Juif et Israélien. Juif, c’est une désignation ethnique et un Israélien, c’est une nationalité.

La plupart des Juifs sont parfaitement adaptés à une coexistence pacifique, tandis beaucoup trop d’Israéliens sont belliqueux.

Ce faisant, il apparait clairement que les méchants ne sont pas là où la doxa voudrait nous les faire trouver. Depuis longtemps, une chiourme de banxters apatrides utile à souhait une partie du peuple juif afin d’arriver à ses buts. Ils sont Sionistes ; des fous de dieu, mais tendance judaïsme. Ils se pensent l’élite et nous les goym (animaux).

Beaucoup d’Israéliens sont donc otages des sionistes et du gouvernement d’extrême droite de Netanyahou, sont-ils prêts au même sacrifice que les Ukrainiens, otages des bandéristes ? L’avenir nous le dira. Et, qu’on le veuille ou pas, tout cet imbroglio nous plonge tête baissée dans les prévisions du 66ème livre biblique : celui de la Révélation.

On y parle faux prophète, Bête à deux cornes, dragon, des métaphores qui viennent s’intercaler avec ce que nous vivons et allons prochainement connaitre.

Là-dedans que devient la motivation de l’oncle Sam ; le grand Satan des islamistes ? Le besoin désespéré des États-Unis de récupérer leur rôle de leader dans le Moyen-Orient musulman. En effet, il convient d’avouer que, désormais, une forte solidarité régionale unie dépasse les clivages sectaires pour rechercher un règlement sur la Palestine, avec en prime un rapprochement saoudo-iranien. Les derniers développements impliquant le Hamas et Israël ont sapé les efforts américains visant à persuader l’Arabie saoudite de reconnaître Israël.

Ce profond désaccord se reflète également au sein du Conseil de sécurité des Nations unies, où les Émirats arabes unis ont soutenu le projet de résolution russe, qui appelait à « un cessez-le-feu humanitaire immédiat, durable et pleinement respecté ». Ben Salman s’est opposé au projet de résolution américain, qui restait évasif sur la question de la fin des combats et insistait plutôt sur un droit d’Israël « à l’autodéfense » que nous allons voir en détail.

Une déclaration commune signée par les ministres des affaires étrangères de l’Égypte, de la Jordanie, du Bahreïn, des Émirats arabes unis, de l’Arabie saoudite, d’Oman, du Qatar, du Koweït et du Maroc a appelé à un cessez-le-feu immédiat dans la bande de Gaza. Dans une mise en garde adressée aux États-Unis et à Israël, la déclaration indique que « le droit à l’autodéfense prévu par la Charte des Nations unies ne justifie pas les violations flagrantes du droit humanitaire et du droit international ».

Alors, que mijote l’Etat profond américain ? Manœuvre musclée ou complot caché visant à créer des faits sur le terrain qui pourraient servir de casus belli pour lancer une offensive contre l’Iran, un projet de longue date des néoconservateurs qui dominent les discours sur la politique étrangère des États-Unis ? Biden a déclaré : « J’ai averti l’ayatollah que s’il continuait à s’en prendre à ces troupes, nous réagirions. Et il doit s’y préparer. Cela n’a rien à voir avec Israël ». (Biden faisait référence aux attaques croissantes contre les bases américaines en Irak et en Syrie).

Selon les informations disponibles, une vingtaine de militaires américains ont été blessés et un contractant militaire a été tué jusqu’à présent. Il y a environ 2 500 soldats américains en Irak et quelque 900 en Syrie. Il est probable que les États-Unis espèrent pousser l’Iran à empêcher les milices en liberté en Syrie et en Irak d’exacerber la situation.

Mais l’Iran est sur la même longueur d’onde que la Chine, la Russie et les États arabes, qui appellent à un cessez-le-feu immédiat afin que les conditions soient réunies pour que la diplomatie s’attaque de manière significative au problème palestinien. Ils sont en faveur d’une solution à deux États. Ironiquement, les États-Unis affirment également « qu’ils soutiennent » une solution à deux États.

Comme en témoignent les délibérations du Conseil de sécurité des Nations unies, toutes les puissances responsables comprennent que le Moyen-Orient reste le centre de gravité de la politique mondiale et qu’une conflagration dans la région pourrait facilement se transformer en guerre mondiale. Et aucune des grandes puissances ne souhaite une telle issue apocalyptique.

Cela dit, si les États-Unis jouissent toujours d’une puissance inégalée au Moyen-Orient, leur influence a diminué à mesure que de nouvelles réalités sont apparues : Israël est devenu plus puissant militairement et économiquement face aux Palestiniens, mais ne jouit plus d’une position dominante dans la région. L’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis, deux puissances dominantes au Moyen-Orient, affirment de plus en plus leurs propres intérêts.

La Chine, bien qu’elle soit un acteur relativement nouveau, ne se limite plus à la diplomatie économique. Les États-Unis ont perdu la capacité de peser sur le marché mondial du pétrole, car la Russie travaille en étroite collaboration avec l’Arabie saoudite dans le cadre de l’OPEP+ pour calibrer le niveau de production et les prix du pétrole.

Par conséquent, le pétrodollar s’affaiblit. Les accords d’Abraham ont été pratiquement abandonnés. Le conflit israélo-arabe a pris une nouvelle dimension ces dernières années, grâce à la montée en puissance de l’axe de la résistance, ce qui exige de nouvelles postures et une nouvelle réflexion opérationnelle de la part des États-Unis.

La politique israélienne a fortement basculé à l’extrême droite. L’environnement mondial est très compliqué ; le processus de paix ne peut plus être placé sous la tutelle des États-Unis.  En cas de guerre totale avec l’Iran, les États-Unis subiraient de lourdes pertes et l’État d’Israël risquerait d’être détruit. En effet, l’Iran pourrait opter pour une capacité de dissuasion nucléaire. Il est presque certain qu’une guerre entre les États-Unis et l’Iran se transformera en guerre mondiale.

Au Liban : le Hezbollah et le Hamas, avec plusieurs milliers de missiles, dont certains à guidage de précision, et des drones. En Syrie : Dix-sept unités armées et prêtes au combat. L’Iran a transféré un très grand nombre de missiles et de drones en Syrie, qui sont prêts à être lancés. En Irak : des dizaines de milices, armées de missiles et de drones. Au Yémen : Les Houthis, qui disposent de missiles iraniens à longue portée et de drones capables d’atteindre Israël.

A Gaza : le Hamas et le Jihad islamique palestinien possèdent des missiles capables de neutraliser les bases des Forces de défense israéliennes et de l’armée de l’air israélienne. Tous sont des pays en faillite adjacents à Israël : le Liban, la Syrie, l’Irak et le Yémen, tous des pays qui n’ont presque rien à perdre. L’argent du Qatar et la chaîne médiatique jihadiste Al Jazeera ne cessent d’alimenter le feu de la haine envers Israël et de préparer l’opinion publique du Moyen-Orient et du reste du monde à la grande et dernière campagne.

Une attaque par étapes, globale, intégrée et coordonnée contre Israël, avec en première phase une pluie de missiles et de drones épuiserait le stock d’intercepteurs Iron Dome en deux à trois heures. Après quoi, le ciel israélien serait ouvert et l’armée de l’air dégradée ou clouée au sol.

J’en parlais déjà dans Tonton Malthus est revenu. Une attaque coordonnée de missiles et de drones n’est pas une théorie ; L’Iran l’a déjà fait en Arabie saoudite, le 14 septembre 2019, et cette attaque a causé d’énormes dégâts à la capacité d’exportation de pétrole de l’Arabie saoudite, la réduisant pendant de nombreux mois.

C’est probablement la raison pour laquelle l’Arabie saoudite a évité de rejoindre les accords d’Abraham et un facteur qui a poussé l’Arabie saoudite à abandonner récemment l’accord qu’elle avait avec Israël et à rejoindre le camp iranien. Les États-Unis sous la présidence de Trump et l’Europe n’ont rien fait contre l’Iran après l’attaque de 2019. Il est donc certain qu’aujourd’hui ils ne feront rien lorsque Biden sera président.

La première phase, aérienne, s’accompagnerait d’une cyber-attaque contre les infrastructures israéliennes. Après une journée entière de cyberattaques et une pluie de missiles, la deuxième phase pourrait commencer : une attaque terrestre coordonnée depuis le Liban, la Syrie et Gaza.

L’invasion des forces terrestres depuis la Syrie, le Liban et Gaza se concentrerait sur les colonies israéliennes, dans le but de démoraliser l’opinion publique israélienne et de forcer le gouvernement à se rendre afin de sauver la vie des nombreux civils israéliens capturés par les forces arabes.

La Russie et la Chine, alliées de l’Iran, les soutiendront presque ouvertement et lui fourniront des informations sur ce qui se passe en Israël. La Turquie aussi soutiendra implicitement l’Iran. Dans le monde arabe et islamique, des foules se rassembleront pour des manifestations de soutien à l’Iran et à son action visant à éliminer l’entité sioniste, à l’instar du soutien que les foules ont apporté à Hassan Nasrallah lors de la Seconde Guerre du Liban en 2006.

Cette fois, contrairement à 2006, l’Arabie Saoudite n’adoptera pas de position négative, face à l’attaque contre Israël.

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/11/les-gentils-partie-3.html

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« Les gentils » Partie 1

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Petite mise en bouche avant d’attaquer le plat principal, il n’y en a que pour quelques minutes et c’est TRES EDIFIANT.

https://twitter.com/i/status/1720016890079195413

https://twitter.com/i/status/1720489331406619038

https://twitter.com/i/status/1719983562181472338

Ce que nous vivons depuis le 7 octobre dernier avec l’attaque dont Israël, c’est de l’hypocrisie puissance 1000. Bien entendu l’attaque du Hamas a été d’une violence inouïe, mais la question est : comment en est-on arrivé là ? Comment des humains peuvent-ils en arriver à ça ?

Sans se poser plus de questions, les hypocrites du monde entier se sont donnés le mot. Ils ont pris le relais des spécialistes en tout genre : covid, Ukraine, climat, CO2 et j’en passe et des meilleurs.

Tous ces intellectuels, universitaires, journaleux, politiques, ceux choisis pour leur logorrhée infame, ayant donc de fait, accès aux médias, y sont allés plein feu. Terrorisme, sauvagerie, bestialité, juste vengeance, horreur, inhumanité, sont les termes obligatoirement employés sous peine de passer pour un sans cœur ou plutôt un antisémite, si l’on s’en abstient, justifiant ainsi par avance tous les excès d’une vengeance à caractère biblique (vous comprendrez bientôt).

Jetez donc un œil ici :

https://twitter.com/i/status/1721123313529786559

D’un côté nous avons donc, selon la doxa imposée, « des bêtes assoiffées de sang », de l’autre des victimes combattant pour une juste cause. Comme si le monde ne pouvait être que binaire, divisé entre le blanc et le noir sans nuances de gris.

Du journaliste sans plus de réflexion que celle de la propagande que le plus fort lui souffle, voire lui impose servis sur un plateau par les agences de presse, au cœur exalté des experts autoproclamés et des politiques à la vue courte et à la réflexion inexistante, tous diffusent sans vergogne à longueur de temps des messages de peur et d’horreur, à base d’affirmations non vérifiées.

Exemple : la soi-disant information concernant la quarantaine de bébés dont les « terroristes » auraient tranché la tête. Sans pitié bien évidemment. Ce fut finalement mais discrètement démenti.

Ce mensonge n’est pas sans nous en rappeler un autre qui, durant la Guerre du Golfe couta la vie à des dizaines de milliers d’hommes, de femmes et d’enfants. Des soldats de Saddam Hussein avaient soi-disant arraché des bébés de couveuses. Cette histoire, sera l’un des arguments décisifs employés par tous ceux qui, sur fond de pétrodollars voulaient à tout prix en découdre avec le dictateur irakien. Mais c’est seulement après la guerre qu’on découvrira que la fameuse Nayira avait tout inventé…

Après l’agression du 7 octobre dernier, aucun ne parle des causes initiales, principales et aggravantes, sans oublier les causes structurelles c’est-à-dire historiques qui ont conduit des Palestiniens avant même que d’être des affidés du Hamas, à tuer sans hésitation des civils désarmés de tous âges, innocents donc, sans jamais se poser la question de savoir s’il est plus humain de tuer à coups de bombes les malheureux dans les hôpitaux, les fidèles dans le lieu de leur culte, les familles dans les immeubles, pas seulement au nom d’une vengeance qualifiée de juste, puisque c’est le lot des Palestiniens depuis la création d’Israël.

Faut-il être un abruti pour ne pas appréhender le problème dans toutes ses dimensions : con, stupide ou simplement cynique ?  Depuis 75 ans, les Palestiniens ont été chassés de leur pays, colonisés ou parqués dans la bande de Gaza, la plus grande prison à ciel ouvert du monde transformée en camp de concentration.

Un homme qui, de sa naissance jusqu’à l’âge adulte y a été enfermé, trouve là toutes les raisons pour devenir un résistant actif, un combattant, un patriote, que ses ennemis appellent du vilain nom de terroriste. Quel qualificatif donner alors aux pilotes israéliens qui balancent des bombes au phosphore sur des civils ou une bombe sur l’hôpital de Gaza sur l’ordre de « respectables » Juifs ?

Pendant ce temps-là, en France, « pays des Droits de l’homme », des sénateurs réclament la pénalisation de l'antisionisme. Ailleurs, à l’ONU, 187 pays votent pour la fin du blocus de Cuba, exceptés les Etats-Unis, Israël et l'Ukraine. Cherchez l’erreur !

Gaza : « un désastre humanitaire aux proportions bibliques », ce n’est pas moi qui le dis, c’est le représentant permanent de la Russie à l’ONU Vassily Nebenzia lors de la réunion d’information du Conseil de sécurité sur la question palestinienne, le 30 octobre 2023.

L’article le plus lu sur ce blog s’intitule « Tout est prévu et depuis longtemps ». https://vecteur-douceur.over-blog.com/2020/01/tout-est-prevu-et-depuis-longtemps.html

Je vais donc respecter cette logique pour vous indiquer que plus de deux mois avant que le Hamas n'attaque Israël, le vieil oncle Sam avait attribué un contrat de plusieurs millions de dollars pour construire une base secrète au cœur du désert israélien du Néguev, à seulement 32 kilomètres de Gaza. Cette base se nomme « Site 512 » : une installation radar qui surveille le ciel pour détecter les attaques de missiles contre Israël.

Bizarrement, le 7 octobre, lorsque des milliers de roquettes du Hamas ont été lancées, ce site n’a rien détecté. Pourquoi ? Parce qu’il est concentré sur l’Iran, à plus de 700 milles de distance.

https://pic.twitter.com/aSZY9hvaPE

La guerre à Gaza, comme toutes autres, crée ainsi un prétexte à des interventions, à des programmes, à des réponses… Elle montre la grande différence entre la vie de tous les jours… et la vie dans les journaux.  Bien confortablement assis dans son canapé, après un bon repas, l’occidental lambda apprend que le Hamas prend d’assaut les territoires limitrophes à Gaza pour cause de revendications contre Israël, qui répond avec une contre-attaque, avec comme objectif l’élimination des terroristes.

Tsahal envoie moult missiles, tanks et soldats. Des civils perdent la vie dans les dégâts en marge du conflit. Facile, simple à comprendre. Nous appartenons « au camp du bien » qui souffre en ce moment d’une attaque de la part du Hamas d’un côté, et de Poutine de l’autre.

La presse reprend le refrain des élus comme quoi les ennemis de l’Occident veulent l’anéantissement d’Israël et de l’Ukraine. Les dirigeants, grâce à nos impôts toujours plus lourds, envoient des armes et du soutien à leurs alliés.  

Ils promettent des mesures velléitaires contre l’adversaire. Victime d’une ingénierie sociale plus que jamais affutée, l’occidental moyen est content de faire partie du "camp des gentils". Ça lui fait chaud au cœur face à la hausse des prix en magasins… et le déclin de son pouvoir d’achat.

« Nous détruirons le Hamas et nous vaincrons. » Telles furent les promesses que Bibi Netanyahou adressa à un peuple israélien traumatisé par l’attaque surprise de la résistance palestinienne du 7 octobre dernier. Une violente et meurtrière campagne de bombardements aériens aveugles s’abattit alors sur la bande de Gaza. Voici en aparté un petit aperçu de ce que le sieur Bibi déclarait déjà il y a 20 ans : https://twitter.com/i/status/1713341156237423102

Cependant, les bombardements aériens, aussi massifs soient-ils, ne suffiront jamais pour venir à bout des combattants du Hamas, qui se cachent sous terre dans un vaste réseau de tunnels. Pour atteindre l’objectif proclamé haut et fort par le premier ministre israélien, un assaut terrestre est nécessaire. Dès les premiers jours de la contre-attaque de Tsahal, 300 000 réservistes furent mobilisés, attendant l’ordre de passer à l’assaut.

Cette incursion terrestre dans Gaza risque de provoquer une déflagration régionale et l’ouverture de plusieurs fronts (Liban, Syrie, Cisjordanie, Jordanie, etc…). Les récents bombardements israéliens sur le Liban et la Syrie visent à dissuader les pays formant l’Axe de la Résistance palestinienne à intervenir dans le conflit.

Les porte-avions américains envoyés en toute urgence vers les côtes du levant s’inscrivent dans ce même objectif de montrer les gros biceps.

Sur le plan intérieur, l’unité nationale israélienne née du choc de l’attaque sanglante du Hamas est en train de se fissurer sous l’impopularité du gouvernement d’extrême droite. Netanyahou pensait que le choc provoqué par l’attaque meurtrière du Hamas lui permettrait de fédérer sous l’étendard du Likoud. Il faut toujours se demander à qui profite le crime ? Ne l’oublions jamais.

Néanmoins, envers et contre tous (surtout Bibi) une opinion publique israélienne divisée lui était de moins en moins favorable.  Connaissant ce sioniste extrême, il s’attendait, une fois réalisée l’union sacrée grâce à la menace d’un ennemi extérieur, à avoir les mains libres pour lancer l’épuration ethnique de Gaza, un projet qui était dans les cartons sionistes depuis longtemps, dans le but de l’établissement ce « Grand Israël » que j’ai depuis longtemps décris dans mes livres et articles.

https://vecteur-douceur.over-blog.com/2021/10/les-prophetes-du-diable.partie-1.html

Ainsi, les Sionistes et les États-Unis planifient le nettoyage ethnique de Gaza. Un crime de guerre déguisé en geste humanitaire. Il s’agit d’un nettoyage ethnique de personnes dont les terres ont été volées par les colons sionistes. Ces personnes ont été enfermées dans une prison à ciel ouvert, n’ont pas accès à l’électricité, à l’eau et à la nourriture et font actuellement l’objet d’attaques intenses.

L’Égypte, le seul pays où ils pourraient être transférés, est déjà en faillite. Elle ne peut donc pas subvenir aux besoins de sa propre population, et encore moins à deux millions de malheureux en provenance de Gaza, dont certains se radicalisent. Cela déséquilibrerait l’État égyptien. La mise en œuvre d’un tel plan garantirait l’intervention de l’axe de la résistance, du Hezbollah et de divers autres groupes sunnites et chiites du Moyen-Orient. Ils attaqueraient Israël pour empêcher une telle action.

Les États-Unis pensent pouvoir dissuader la résistance en menaçant d’intervenir. Mais la résistance ne se laissera pas décourager pour autant. La dernière fois que l’oncle Sam a tenté d’intervenir au Liban, il s’est retrouvé avec plus de 240 Marines morts et a dû se retirer, honteux. Or, à l’époque, le Hezbollah ne comptait qu’une poignée d’hommes. Aujourd’hui, il en compte des milliers très bien entraînés et surarmés. Et puis il y a aussi l’Iran et la Russie.

Les militaires russes considèrent depuis longtemps Israël comme un État ennemi. Poutine leur donne désormais raison après que sa politique visant à utiliser la communauté juive russe en Israël par l’intermédiaire de son ami Avigdor Lieberman qui dirige le parti nationaliste Israel Beytenou, ait fait échec. Les juifs russes d’Israël étant tous anti-arabes, Poutine s’est efforcé de ne pas les contrarier.

Mais, avec Bibi qui fait intervenir toute la puissance de l’OTAN en Méditerranée orientale pour menacer non seulement le Liban mais aussi les bases russes en Syrie, il n’est plus question d’être gentil.  Face à une menace claire et présente de l’OTAN aux portes de la Syrie, il faut s’attendre à une intervention forte de la Russie dans la guerre multi frontale Israël-Hamas-Hezbollah.

Olivier

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