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DES DEMONS, TOUS DEGUISES EN ANGES DE LUMIERE

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Vous connaissez tous mon engouement concernant la Vérité climatique et mon entêtement à vouloir dénoncer une élite diabolique aux commandes de ce monde-démon. En 1972, la Conférence des Nations Unies sur l'environnement avait adopté une série de principes pour une gestion écologiquement rationnelle de l'environnement. Cette « Déclaration de Stockholm » avait placé les questions écologiques au rang des préoccupations internationales, la pollution (l'air, l'eau, les océans) et le « bien-être des peuples » dans le monde entier.

En juin 1992, à Rio de Janeiro (Brésil), la Conférence des Nations Unies sur l'environnement et le développement « Sommet planète Terre » sera orchestrée par un démon aux ordres des Rockefeller. Au début du processus de négociation précédant le Sommet, le démon en question : Maurice Strong, Secrétaire général de la Conférence, avait imaginé ce concept de Charte de la Terre.

La Déclaration de Rio sur l'environnement et le développement témoignait et témoigne encore de deux grandes préoccupations apparues pendant l'intervalle de 20 années séparant ces deux conférences : la détérioration de l'environnement, notamment de sa capacité à entretenir la vie, et l'interdépendance de plus en plus manifeste entre le progrès économique à long terme et la nécessité d'une protection de l'environnement.

Mais, le 22 septembre 1991, neuf mois seulement avant ce fameux Sommet de la Terre, une audience publique des Nations Unies sur l'environnement et le développement s'était tenue à Des Moines, dans Iowa.

Ce qu’il y a surtout à en retenir, c’est qu’un document issu de cette audition soulignait l'urgence de réduire la population mondiale. « Une réduction immédiate de la population mondiale, conformément aux recommandations du Draper Fund du milieu des années 1970, doit être entreprise immédiatement », indique le document. « Toutes les nations établissent des quotas annuels de réduction de la population, qui seront déterminés par le Conseil de sécurité des Nations Unies au moyen d'embargos sélectifs ou totaux sur le crédit, les biens commerciaux, y compris la nourriture et les médicaments, ou, si nécessaire, être appliqué par la force militaire » 

Depuis, ils ont trouvé d'autres solutions … c’est le but de cet article.

J’en parle abondamment dans mon livre De Mammon à Corona, paru en 2020, en 2001, j’avais été très choqué par l’histoire des soi-disant attaques terroristes à l’anthrax qui avaient suivi le 11 septembre. Aujourd’hui, l’on sait qu’il s’agissait d’opérations sous faux drapeau, destinées à justifier l’invasion en Irak et en Afghanistan et à vendre des armes et des vaccins.

C’est un sujet central de ma littérature : faire savoir qu’en réalité, l’industrie militaire et le cartel mafieux auquel elle est associée, s’emploient à entretenir diverses menaces pour faire tourner leur business.

Depuis des décennies, ils entretiennent savamment le spectre de la guerre, du terrorisme ou de la pandémie. Cela leur permet de faire des milliards de dollars de profit. Mais, plus encore, au-delà de cela, existe un plan séculaire : la prise contrôle de la société à l’échelle mondiale.

Créer de toute pièce des urgences sanitaires, simulées par ce cartel, constitue une véritable saga à laquelle Robert Kennedy Jr. a consacré un livre monumental, avec plusieurs milliers de références.

Couillonavirus a provoqué un réveil salutaire chez certains. Ceux qui étaient contre ces vaccins le sont plus que jamais, quant aux autres, les piquouzés, ils ont subi « au mieux » des problèmes graves (thromboses, cancers fulgurants, problèmes cardiaques) et au pire : en sont morts.

Bref ! un éveil s’est réalisé chez certains (pas assez). Il n’en reste pas moins que l’OMS a pour idée de prendre le contrôle total sur les gouvernements à la prochaine pandémie qui, comme toutes les autres, sera organisée artificiellement. Prendre l’ascendant sur les peuples et réduire drastiquement le nombre des gueux sur cette planète, fait intégralement partie du Grand Reset de Davos.

Existait donc une volonté de vacciner toute la planète, lors de la première pandémie, en activant toujours davantage le facteur PEUR. Mais un problème se pose alors à toute cette bande de salopards : les virus n’ont plus la cote.

La grippe, les derniers variants du Covid et la variole du singe n’ont pas fait peur au public.

Dans mon dernier livre Davos et son Echeveau https://www.thebookedition.com/fr/davos-et-son-echeveau-p-399771.html j’explique d’ailleurs tout ça en détail avec les modes de propagation trop souvent ignorés du public.

Aujourd’hui, les gens ont enfin compris que les virus vraiment dangereux, tuent leur hôte avant de se propager, et par conséquent ils savent que quand les virus sont fort contagieux, ils sont relativement bénins. Quant à moi, je n’irais pas jusqu’à dire comme certains que « les virus n’existent pas », j’explique cependant que leur rôle n’est certainement pas celui que l’on croit trop fréquemment.

Enfin, couillonavirus était un test, mais pas suffisamment concluant pour l’élite : au-delà de la monstrueuse ingénierie sociale orchestrée autour de lui, pour l’élite, il n’a pas été suffisamment létal.

Le délai entre l’apparition de couillonavirus et le développement du vaccin mortifère a été trop long. En 2020, le Covid n’a pas provoqué une réelle hécatombe.

Beaucoup de gens ont compris que la mortalité n’a augmenté qu’au moment où l’on a commencé à vacciner. Ainsi, le scénario de la grande pandémie causée par un virus est grillé. Mais faisons confiance à des psychopathes comme Bill le coyote afin de trouver la parade. Nos « bons vieux terroristes » pourraient faire l’affaire.

Ce n’est pas pour rien que Bill Gates a d’ailleurs prédit que la prochaine pandémie sera probablement d’origine bioterroriste.  On pourrait alors nous refaire le « coup de l’anthrax » attribué aux islamistes ou au méchant Poutine. Un pathogène mortel cultivé dans un laboratoire de type P4 en Russie ou en Chine… ça arrangerait bien les affaires du vieil oncle Sam zombifié.

Et pour ça, une bonne vieille bactérie pourrait faire l’affaire.

On en meurt depuis le Moyen-âge, mais la différence, c’est qu’aujourd’hui nous avons les antibiotiques. Les guerres provoquent des famines, des mauvaises conditions d’hygiène et des pénuries de médicaments.

Ce sont des circonstances dans lesquelles certaines épidémies peuvent vraiment faire des ravages. Et là, les organismes de santé publique vont pouvoir « sauver » des millions de vie grâce aux antibiotiques. Ça leur permettra de retrouver la confiance des populations, qui est au plus bas.

Il sera plus facile d’éliminer les gens avec des nouveaux produits, car cela ne sera pas aussi visible qu’avec les vaccins Covid où l’on a eu un an d’écart entre la maladie et le vaccin.

Il ne faut pas nécessairement s’attendre à une grande pandémie mondiale. Il pourrait y avoir différentes alertes qui se succèdent ou qui se produisent en même temps. À mon avis, nous aurons au moins une vilaine bactérie qui renaîtra avec « la fonte des pôles et le réchauffement climatique ». Voyez-vous l’astuce !?

N’oublions pas que pour l’élite la santé est liée au climat. C’est d’ailleurs pour cela que Sainte Greta arpente le monde, financée par "un autre saint" : Georges Soros, le « bienfaiteur de l’humanité ». Cela fait partie du discours lancinant dont on nous abreuve machiavéliquement depuis des décennies.

Bien sûr, l’idée est soutenue par l’OMS et le Forum économique mondial de tonton Schwab, un autre bienfaiteur.

La vilaine bactérie sera mise au banc des accusés, bien plus méchante qu’en réalité. Tout comme avec le Covid-19, elle provoquera la peur. Mais le vrai danger sera caché au coin du mur. Tout comme avec le Remdesivir administré à doses létales dans les EHPAD, le vrai danger viendra des médicaments administrés soi-disant afin de soigner.

En ce moment, ils sont en train de développer des antibiotiques « non-traditionnels ». L‘OMS travaille à modifier la définition et la classification des antibiotiques. Et ce n’est pas pour rien ! C’est similaire avec ce qui s’est passé pour les injections d’ARNm. Ce ne sont pas des vaccins, mais on les fait passer comme tels. Si vous lisez les textes du futur traité sur les pandémies, ils veulent obliger tous les pays du monde à constituer des stocks de ces médicaments contre la résistance antimicrobienne.

Bref ! c’est nous qui, une fois de plus, paierons ces poisons avec nos impôts.

C’est leur langage de faux-cul qu’il convient ici d’analyser. Ils ne parlent pas toujours d’antibiotiques. Comme avec les injections Covid, il y a « des mesures de lutte contre » … la résistance aux anti-microbiens. Grâce à ces termes, n’importe quel poison expérimental peut échapper aux définitions pharmacologiques et aux réglementations associées à divers types de médicaments.

Pire encore, comme avec les « vaccins Covid » et l’opération Warp Speed de Trump, on peut tout faire entrer dans la case militaire. C’est simple et ça peut rapporter gros (dollars et mortalité). Et là tout est secret, toutes les expérimentations et tous les crimes sont permis, personne n’est responsable.

Circulez, il n’y a rien à voir ! On entre dans le laboratoire du docteur Mengele où toutes sortes d’armes biologiques seront développées et dirigées contre les populations pour servir un agenda de contrôle à la chinoise.

Notamment de nouveaux « médicaments anticancer », qui seront surtout des poisons cellulaires. Nous « entrons » dans l’ère des armes biologiques.

Cela n’a véritablement commencé qu’avec le coronavirus. En réalité, lorsque la convention internationale contre les armes biologiques a été signée en 1972, leurs capacités de déploiement étaient assez faibles. Par contre, l’intention de mener ces recherches était bien là.

La convention alors promue par Richard Nixon, a servi pour décourager la communauté internationale de développer de telles armes, et pour cacher le fait que les Américains se lançaient eux-mêmes dans ces recherches.

Dans mon livre, je parle de Fort Detrick. Ils s’en sont sortis alors en renommant une partie du centre de recherche militaire de Fort Detrick en un Institut national pour le cancer. On a gardé les mêmes chercheurs et les mêmes bâtiments où des milliards ont été engloutis pour soi-disant développer un vaccin contre le sida, alors qu’en réalité, on n’a jamais rien vu d’efficace.

En fait, pratiquement tout ce fric a servi aux recherches d’armes biologiques. Maintenant, ces gens s’emploient à mettre au point des vaccins ARNm contre le cancer (des armes génétiques expérimentales). Depuis le début de la vaccination Covid on assiste à l’apparition de « turbo-cancers » et à l’augmentation foudroyante de l’incidence de tous types de cancers.

On a poursuivi tout cela, comme les recherches de gain de fonction des virus, sous prétexte de pouvoir se défendre en cas d’attaques. Ce sont ces recherches « à double usage » qui permettent encore aujourd’hui de cultiver des agents pathogènes susceptibles d’être utilisés par des terroristes.

Bill Gates est même propriétaire de quelques-unes de ces saloperies.

Notre microbiote intestinal a une grande influence sur notre ressenti et notre comportement. Aujourd’hui, les travaux sur le lien « intestin-cerveau » (autisme-microbiote) sont très nombreux, mais ils restent trop souvent ignorés par les professionnels de la santé.

En le modifiant, sans nanotechnologie, on aurait alors une nouvelle façon de contrôler les populations. Les rendre dociles ou agressifs. Cela peut paraître étonnant, mais tous ces micro-organismes influencent notre personnalité.

Il faut DONC surtout s’attendre à un assaut sur notre microbiote. D’abord, il y a aura des attaques bactériennes. Ensuite, tout le monde se ruera sur les nouveaux « anti-microbiens » qui vont empoisonner toute la population et flinguer leur flore intestinale.

Après cela, les gens auront de plus en plus de mal à digérer la nourriture et leur système immunitaire va s’affaiblir.  Là, ils recevront de nouveaux types d’aliments (viande artificielle, insectes, etc.) et des nouveaux types de bactéries OGM ou d’enzymes pour les digérer.

Vous me prenez pour un fou ? Pensiez vus un jour devoir vous signer une autorisation de sortie ? Vous retrouver confiné ? Ne pas avoir le droit d’aller en forêt ou à la plage ? Devoir prendre un café assis afin que les virus passent au-dessus de vos têtes ? Être obligé de vous faire piquer avec une merde en phase d’étude, même pas homologuée ? Réfléchissez !

Olivier

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