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economie

Bienvenu dans goulag mondialiste (Partie 7)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/07/bienvenu-dans-goulag-mon dialiste-partie-1.html

Quant au club de Rome, vingt ans plus tard, il publiera un livre intitulé « La première révolution mondiale ». Ils y discutent spécifiquement de l’utilisation du réchauffement climatique comme moyen de mettre en place une gouvernance supranationale.

Je vous l’ai déjà retranscrit, mais je n’y résiste pas : « En cherchant un ennemi commun contre lequel nous pourrions nous unir, nous avons eu l’idée que la pollution, la menace du réchauffement climatique, les pénuries d’eau, la famine et d’autres problèmes similaires feraient l’affaire. Dans leur globalité et leurs interactions, ces phénomènes constituent en effet une menace commune à laquelle il faut faire face tous ensemble. Mais en désignant ces dangers comme l’ennemi, nous tombons dans le piège contre lequel nous avons déjà mis en garde nos lecteurs, à savoir confondre les symptômes avec les causes. Tous ces dangers sont dus à l’intervention de l’homme dans les processus naturels, et ce n’est que par un changement d’attitude et de comportement qu’ils peuvent être surmontés. Le véritable ennemi est donc l’humanité elle-même. »

Nous en arrivons ici au nœud du problème.

Un nœud gordien. En faisant de l’humanité la grande menace, les globalistes entendent fédérer le public autour de l’idée qu’il faut se maîtriser.

En d’autres termes, le public devrait sacrifier ses libertés et se soumettre au contrôle, convaincu que l’espèce humaine est trop dangereuse pour qu’on lui accorde la liberté.

Les globalistes veulent avant tout obtenir deux résultats spécifiques : la fin de la souveraineté nationale et la fin de la propriété privée par le biais d’un minimalisme encouragé par la société.

Ce sont exactement les mêmes objectifs que ceux définis par le Club de Rome dans les années 1970 qui guident aujourd’hui les politiques de l’ONU et du Forum économique mondial.

Le concept d’« économie de partage » que Klaus Schwab et le WEF promeuvent souvent avec fierté n’a pas été imaginé par eux, mais par le Club de Rome, il y a 50 ans.

En une énorme prophétie autoréalisatrice, les mêmes qui ont créés le problème de toute pièce, il y a cinquante ans, arrivent en sauveur de l’humanité, mais au prix de sa liberté. Et c’est encore et toujours Mammon (l’argent) QUI SE CACHE EN COULISSES.

Et question « fin de la propriété privée » laissez-moi vous en conter une bien bonne. Guillaume Vuilletet, vice-président du groupe LREM à l’Assemblée nationale, a déposé le 10 mai 2023 une proposition de loi visant à instaurer un contrôle technique des logements.

Le texte propose de contrôler « la décence » de votre logement au travers de plusieurs critères : la surface minimale, la sécurité et la santé du locataire, l’absence d’animaux nuisibles, les équipements et la performance énergétique.

Cette performance énergétique suppose une consommation de moins de 450 kWh par mètre carré selon une classification allant de A à G. 

Dans l’hypothèse où le contrôle technique demeure infructueux, l’État obligerait le propriétaire à céder temporairement son bien à un bailleur social le temps d’effectuer des travaux de rénovation financés par les loyers qu’il aurait dû percevoir.

Cette nouvelle menace globale ne réside donc pas dans le « dérèglement » du climat mais dans les mesures environnementales elles-mêmes qui «climatisent » les classes moyennes en s’attaquant maintenant à leur petite propriété sous le règne du grand alibi du climat.

Bien entendu, sans grande surprise, les passoires thermiques sont là où les revenus sont les moins élevés. Encore un moyen de faire chier le gueux.

Leur agenda climatique n’a rien à voir avec l’environnementalisme et tout à voir avec l’économie. Comme je le précise en début d’article, ce plan machiavélique a été lancé au milieu d’une crise stagflationniste bien réelle, à un moment où la classe moyenne avait le plus peur de l’avenir et où les prix augmentaient rapidement.

Cette crise n’était pas due à la rareté des ressources, mais à la mauvaise gestion du système financier. N’oubliez jamais qu’il fut un temps où l’on coupait la tête à quiconque s’attaquait à l’intégrité monétaire, source de civilisation.

Or, c’est ce que font en permanence les institutions financières, depuis l’avènement de la FED. Ce n’est pas une coïncidence si le point culminant du programme de lutte contre le réchauffement climatique a lieu aujourd’hui, au moment même où une nouvelle stagflation s’annonce. La plus grande que l’humanité n’est jamais connue.

En cette  dernière période « bronze cul », leur stratégie d’alarmisme climatique est plus que jamais actuellement utilisée pour justifier la suppression croissante de l’énergie et de l’agriculture par les gouvernements.

Il est grand temps de s’éveiller ou vos enfants vivront dans une pauvreté artificiellement créée. 

Ils apprendront dès leur plus tendre enfance que les globalistes ont « sauvé le monde » d’une calamité qui n’a jamais existé. Tout comme les Américains nous ont « sauvé » du fascisme en 1945 et Pfizer du covid -19, depuis 2020.

On leur dira que l’asservissement de l’humanité est une chose dont il faut être fier, un cadeau qui maintient l’espèce en vie, et que quiconque remet en question cet esclavage est un méchant égoïste qui veut la destruction de la planète.

Et les chaines de notre esclavage seront constituées de 1 et de 0 électroniques qui formeront une monnaie numérique.

La monnaie numérique mondiale qu’ils créent entraînera l’élimination de l’argent liquide, étant la seule acceptée dans le nouvel ordre économique mondial. 

Elle sera le mécanisme par lequel ils contrôleront les finances de chaque personne sur terre et en contrôlant nos finances, ils nous contrôleront. Ce sont les fameuses « Central Bank Digital Currency » ou « CBDC » auxquelles j’ai déjà consacré de nombreux articles.

Lorsque ce système monétaire sans numéraire de la CBDC sera mis en place, votre « argent » ne sera plus possédé ou contrôlé par vous. Il l’était déjà difficilement mais là, il n’existera que dans les ordinateurs des banques et du gouvernement.

L’oligarchie aura le contrôle sur votre compte. Les banques et le gouvernement décideront si et comment vous pouvez utiliser votre « argent ».

En effet, tous les transferts de « money » (CBDC) seront soumis à l’approbation de celui qui contrôle le système monétaire sans numéraire. Chaque décision que vous prendrez devra être conforme aux politiques gouvernementales si elle doit être approuvée.

L’élite qui contrôle aura le pouvoir de décider ce que vous pouvez acheter ou vendre et même si vous serez autorisé à acheter ou à vendre quoi que ce soit. Vos choix de vie doivent céder aux caprices « écologiques » de ceux qui exerceront sur vous ce formidable pouvoir.

Faute de quoi, vous serez bannis du nouveau système économique. Tomber en disgrâce auprès de ces satanistes qui contrôlent le système signifiera que vous ne pourrez pas être payé par votre employeur ou qui que ce soit d’autre car votre dépôt direct sera désactivé.

Toute richesse que vous avez accumulée en monnaie numérique sera stockée hors de votre portée derrière un mur impénétrable vous empêchant d’accéder à ce qui vous revient de droit.

Si vous êtes dans cette situation, vous ne pourrez pas acheter de nourriture, payer un loyer ou payer une maison. Vous n’aurez pas la possibilité d’utiliser de l’argent comptant pour effectuer les achats nécessaires, car l’argent comptant ne sera plus accepté.

« Vous n’aurez plus rien mais serez heureux. »

Cependant, les CBDC ne sont qu’une partie de ce système de contrôle numérique qui sera utilisé pour vous asservir. À partir du 1er juillet 2023, aux USA, un autre élément essentiel du système économique sans numéraire commence à fonctionner. Cette partie de leur système surveillera tous vos achats et ventes en temps réel. Cette partie du système économique sans numéraire s’appelle FedNow.

Le programme FedNow fait participer la Réserve fédérale (FED) au processus d’approbation chaque fois que vous utilisez un mode de paiement sans numéraire tel qu’une carte de débit, une carte de crédit ou un chèque.

Jusqu’à présent, les achats et les transferts d’argent étaient traités par les banques des personnes impliquées dans la transaction. Ceux qui effectuaient la transaction n’avaient besoin que de l’approbation de leurs banques respectives.

Désormais, aux Etats-Unis, c'est terminé. Le programme FedNow est  en ligne depuis le 1er juillet 2023, la Réserve fédérale fait désormais partie du processus d’approbation.

Aux USA, les données qui sont échangées par les banques lors du processus d’approbation passent désormais par le système FedNow de la Réserve fédérale. La Réserve fédérale sait alors chaque fois qu'un Américain utilise sa carte de débit, sa carte de crédit, chaque fois qu'il rédige un chèque ou effectue un transfert d’argent de quelque nature que ce soit.

La Réserve fédérale sait quand il est payé, combien, quand il effectue un achat ou une vente, où il achète, combien il dépense et potentiellement, ce qu'il achète. Chaque partie de sa vie financière est ouverte à la Réserve fédérale. Il est soumis à une fouille à nu complète et continue chaque fois qu'il effectue un achat ou une vente.

Tout ce qui se fait chez l’oncle Sam arrive très vite chez nous, pantins de l’OTAN.

Ainsi, prochainement, non seulement votre situation financière devra être approuvée pour acheter ou vendre, mais vos convictions politiques, vos croyances religieuses et votre style de vie seront également examinés dans le cadre du processus d’approbation.

Bref, les CBDC ne constituent que le point de convergence de toute ces idées saugrenues évoquées plus haut.

Elles ont un parrain. Il s’appelle Maurice Strong. A l’énoncé de ce nom, tonton Schwab versera certainement une petite larme tant il vénérait l’individu, et surtout ses idées.

Quelques mois avant la pandémie, Antonio Guterres et Klaus Schwab avaient convenu d’accélérer l’Agenda 2030, parachevant notamment les liens entre l’ONU et Davos, dont le Canadien Maurice Strong, père spirituel de Schwab ou de Achim Steiner, était déjà l’artisan.

L’Agenda 2030 des Nations unies supplante l’Agenda 21 et se compose de 17 Objectifs dits de Développement Durable (ODD).

Au-delà de tout leur tralala, ce « projet écologique » se fond dans le Great Reset de Schwab et de son Forum de Davos. En quelques mots, cet avenir où « vous ne posséderez rien et vous serez heureux » consiste en une réduction drastique du niveau de vie des populations et une mainmise institutionnelle sur l’ensemble de ses conditions d’existence.

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/08/bienvenu-dans-goulag-mondialiste-partie-8.html

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Bienvenu dans goulag mondialiste (Partie 6)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/07/bienvenu-dans-goulag-mon dialiste-partie-1.html

Pour changer de sujet mais rester dans la même thématique, actuellement, les merdias transpirent à nous faire admettre les inévitables pénuries d’eau. Tout n’est que foutaise car après quelques semaines sèches pour lesquelles certains préfets de départements ont tenté de paniquer, la pluie est revenue, à tel point que certaines rivières sont sur le point de déborder.

Dans le Sud, certains cours sont bien au-dessus des normales de saison, mais comme ceci contraste trop violemment avec le discours officiel, on n’en parle pas. En fait de sécheresse, on a comme toutes les années précédentes des situations contrastées d’un bout à l’autre du pays.

Aucun déluge, aucune averse de grêle ne semble pouvoir contenter les vendeurs d’apocalypse déshydratée, elle est partout !

Cependant, ces cartes semblent provenir d’un site, Info Sécheresse, qui n’a rien d’officiel.

Créé en mars 2020, il s’agit d’une production de la société privée ImagEau, qui est une filiale de la société SAUR (« Société d’aménagement urbain et rural ») dont l’actionnaire principal, un fonds d’investissement suédois, entend faire fructifier sa participation.

De façon peu étonnante, la SAUR a pour activité principale la gestion déléguée de services pour les collectivités locales, essentiellement dans l’ingénierie et la construction d’ouvrages liés au traitement de l’eau.

Conclusion : la plupart des informations relayées par les médias proviennent de sociétés (SAUR et ImagEau notamment) dont le but est, fort commodément, de fournir des solutions à des problèmes de collecte, d’acheminement et de traitement de l’eau.

Pratique. C’est comme pour le covid et les vaccins, on dirait vraiment que les différents acteurs concernés ont à cœur de trouver un problème et d’en proposer des solutions clé en main.

La coïncidence avec d’autres problèmes (domaines de l’énergie, l’alimentation, ou la santé) qui trouvent, eux aussi, des solutions clés en main par des acteurs privés placés juste bien comme il faut auprès des acteurs publics et des médias n’est que pure coïncidence.

Tout comme n’est que coïncidence la montée dans le strident des petits cris d’orfraie des médias lorsqu’il s’agit de parler de sécheresse ou, plus largement, de climat, à grand renfort de cartes aux couleurs de plus en plus cramoisies.

En outre, ce que les merdias ne vous disent surtout pas, c’est qu’en vertu de p’tits arrangements gaziers et pétroliers, le gouvernement macron a vendu en douce de la douce : un an de consommation de notre eau, soit 4 milliards de m³ !

Chaque jour, 19 tankers de 200.000 m³ de Fos-sur-Mer et 88 tankers de 80.000 m³ de Martigues partent pour l’Arabie Saoudite.

Cette manie des cartes pour faire passer des messages toujours anxiogènes est inflationniste. On la retrouve pour tous les sujets car la PEUR, ça rapporte. Voilà donc comment, petit-à-petit, on plante avec obstination la graine d’un cruel manque d’eau partout dans un pays qui n’en a jamais manqué, manque qui poussera les foules à réclamer une action énergique, qui se traduira par des restrictions et des taxes.

Et  le changement climatique, cette calamité moderne servie à toutes les sauces, va permettre de faire croire à une terrible sécheresse, à la nécessité de nouvelles restrictions (de liberté et de pouvoir d’achat) alors que, dans le même temps, le climat, espiègle, semble largement aider les cultures africaines et notamment au Sahel qui reverdit obstinément, dans un pied de nez aux catastrophistes qui refusent de constater que, malgré leurs pénibles admonestations, notre planète devient plus propre et en meilleure forme chaque jour qui passe.

En 2017, dans un article intitulé « Le Sahel reverdit », les auteurs constataient que le pays avait gagné en couverture végétale par rapport aux années 1980 sous l’effet d’une reprise de la pluviométrie à partir des années 1990.

Mais, tenez-vous bien ! ils attribuaient la reprise des précipitations à la hausse des émissions des gaz à effet de serre. Rowan Sutton, professeur au Centre national pour les sciences atmosphériques à l’Université de Reading et co-auteur l’indiquait en ces termes :

« Les quantités de précipitations ont récupéré sensiblement. Ce fut une surprise que l’augmentation de l’effet de serre semble avoir été le facteur dominant. »

Le verdissement su Sahel qui ne fait plus débat aujourd’hui. Grace au soleil, tout est cyclique sur notre planète et l’Afrique de l’Ouest a connu un épisode de sécheresse très marqué de 1968 à 1993. Celui-ci a été d’autant plus brutal qu’il a succédé à une période hyper humide de 1950 à 1967.

Cette sécheresse a été à la fois exceptionnellement longue, et étendue puisque toute l’Afrique de l’Ouest a été touchée, soit plus de 5 millions de km². C’est surtout la zone naturellement semi-aride, le Sahel, qui a été la plus affectée.

Depuis le milieu des années 1990, la pluviométrie a retrouvé son niveau moyen de long terme.

Pendant ce temps, et au nom des lobbys, tous les abrutis vendus au système pédalent dans la semoule et n’ont décidément honte de rien ! Un article France 3 et France info en arrive même à accuser les arbres.

https://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/somme/environnement-pourquoi-les-forets-des-hauts-de-france-rejettent-desormais-plus-de-co2-qu-elles-n-en-absorbent-2796222.html

Les forêts sont un puit à carbone naturel car grâce à la photosynthèse, les arbres absorbent et stockent le CO2 émis par les activités humaines.

Une fonction essentielle, qu’ils prétendent aujourd’hui menacée.

Je suis sidéré des propos que peuvent tenir des médias majeurs, en laissant croire qu’une forêt peut émettre du CO2. C’est une absurdité scientifique, au même titre que de vouloir vacciner systématiquement des gens pour une « maladie » à laquelle ils viennent de survivre.

Un arbre ne peut faire du CO2 que quand il brûle. Quand il est coupé sous forme de planche, les planches contiennent toujours le carbone. On nous raconte n’importe quoi mais alors à des niveaux dantesques. Et ça marche au sein d’une société infantilisée à l’extrême.

Chaque année, les médias nous livrent leurs conseils tous plus débiles les uns que les autres pour survivre à la chaleur de l’été, ce qui est normal depuis la nuit des temps d’avoir chaud l’été. Alors qu’en fait, tout comme avec le reste, la meilleure des barrières contre la chaleur, c’est d’éteindre vos télés !

https://twitter.com/i/status/1668943355340898306

La terre est vivante avec des événements météos opérant à travers elle, depuis des lustres avec ou sans les hommes. La seule différence, c’est qu’avec internet et les réseaux, ça se sait désormais à l’instant « ».

Pour être clair, il n’y a AUCUNE preuve d’une crise climatique causée par les émissions de carbone ou de gaz à effet de serre produites par l’homme. Certains nous disent que les glaciers fondent à cause du réchauffement et refroidissent les océans, c'est-à-dire qu’un refroidissement produit un réchauffement ! Voyez-vous la MONSTRUEUSE aberration du système ?

Nous venons de vivre un optimum climatique relativement chaud. Les Romains, il y a deux milles ans, cultivaient la vigne en face de chez moi (Calais), en Albion. Aucun événement météorologique ne sort de l’ordinaire par rapport à la chronologie historique du climat de la Terre.

Il y a 1500 ans, nous avons connu les invasions barbares, à cause du froid. Puis en l’an mille est revenu un optimum climatique permettant aux Vikings d’aller au Groenland (terre verte).

Puis de 1350 à 1850, nous avons connu un gros refroidissement. J’y ai consacré une série d’articles. https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/01/retour-sur-le-climat-le-vrai-partie-1.html  J’y expliquais que sous Louis XIV, la mer gelait.

Depuis 1850, la terre s’est réchauffée d’environ un degré. Et derrière ce va et vient incessant, le Grand maître d’œuvre n’est autre que la nature et certainement pas l’homme.

C’est le soleil qui, à travers ses cycles, produit ces variations climatiques.

Aucune preuve aucune « crosse de hockey » ne viennent étayer les théories relatives au « point de basculement » des températures si chère au GIEC. La température de la Terre a augmenté de moins de 1°C en 100 ans.

Or, la vraie science repose sur l’OBSERVATION. Les relevés de température officiels ne remontent qu’aux années 1880, et c’est cette toute petite fenêtre climatique de Gaïa que les escrocs du GIEC, financés par les Nations unies et les gouvernements, utilisent comme point de référence pour leurs affirmations apocalyptiques.

Comprenez-le une fois pour toute, car il en va de votre survie tant morale que physique. L’ONU est un repère de vampires. https://vecteur-douceur.over-blog.com/2017/05/lettre-a-ma-france.html L’ONU, l’OMS, le WEF sont ces organisations non élues par les peuples qui veulent contrôler les peuples !

Mais qui se fichent par exemple d'éradiquer les paradis fiscaux où ces corrompus cachent leur argent ! Pour la classe dirigeante, ces organisations sont le levier idéal pour pouvoir gouverner le plus de monde possible avec le moins d'effort possible. J’en veux pour preuve que l’agenda de l’ONU veut lier l’identité numérique aux comptes bancaires privés.

Elle a encouragé l’hystérie autour d’un faux scénario climatique apocalyptique, tout comme le WEF et l’OMS ont encouragé l’hystérie et la peur autour d’une non-menace comme la crise Covid.

Tout a commencé au début des années 1970 avec un groupe lié à l’ONU, le Club de Rome.

Les globalistes étaient à la manœuvre utilisant l’environnement comme prétexte à la centralisation du pouvoir entre leurs mains lucifériennes.  En 1972, le Club de Rome va publier « The Limits Of Growth » (Les limites de la croissance).

Ils sortent cette étude, tout comme le GIEC le fera plus tard au travers d’une fenêtre climatique restreinte à 1850. « Les limites de la croissance » se veut, comme son nom l’indique, entrevu volontairement sous la limitation de l’industrie et des ressources dans le cadre d’un projet conjoint avec le MIT.

Bien entendu, tout comme avec le trou dans la couche d’ozone, la fin de la planète était proche à moins que les nations et les individus ne sacrifient leur souveraineté et tout le reste.

1,5 degré depuis 1850, c’est de la roupie de sansonnet. Pourquoi ? Parce qu’au sortir du petit âge glaciaire, sous Louis XIV, en 1850, la terre avait déjà repris plus de 1 degré.

Bien sûr, si le GIEC disait « on va à la mort à cause d’un demi degré », tout le monde lui rirait au nez. Donc on fait référence à 1850, mais surtout pas au petit âge glaciaire sous Louis XIV, et les températures qui régnaient alors en sa compagnie.

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/08/bienvenu-dans-goulag-mondialiste-partie-7.html

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Bienvenu dans goulag mondialiste (Partie 5)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/07/bienvenu-dans-goulag-mondialiste-partie-1.html

Mais reconnaitre ces FAITS obligerait les ingénieurs sociaux à renoncer à argumenter contre la possibilité d’une production de viande éthique. Le discours végane veut que nous nous concentrions sur un crime éthique parce que c’est la campagne de recrutement parfaite pour les mouvements anti-viande.

Il reste néanmoins des viandards, beaucoup. C’est pourquoi les ingénieurs sociaux ont depuis longtemps compris qu’ils devaient pimenter l’histoire au-delà de l’éthique.

Voilà pourquoi la viande doit également être mauvaise pour l’homme et la planète. Mais la réalité est qu’un régime purement végétalien ne suffit pas à maintenir la plupart des gens en bonne santé. Une version pauvre en graisses n’est pas suffisante pour assurer l’entretien et la réparation à long terme du corps humain.

C’est au fil des ans que les problèmes chroniques s’accumulent lentement. L’équilibre en acides aminés. Et l’incidence des problèmes chroniques est nettement plus élevée chez les femmes de la quarantaine et de la cinquantaine qui suivent un régime végétalien depuis au moins 15 à 20 ans.

Les femmes qui ont évité la viande pendant plus de dix ans présentent davantage de problèmes chroniques, une baisse d’énergie, une plus grande incidence de dépression, des problèmes intestinaux et un système immunitaire plus faible.

Il est important de souligner que le régime alimentaire est toujours très individuel. Tout le monde n’a pas besoin de viande comme les autres. Mais on peut affirmer que presque tout le monde a besoin de produits d’origine animale dans son alimentation. La raison en est simple.

La viande peut fournir certains nutriments essentiels qu’aucun régime végétalien ne peut fournir avec la même efficacité métabolique.

Ces nutriments comprennent les vitamines A, B12, D3 et K2, le fer héminique, la taurine, la carnosine, la créatine, l’ALC, l’EPA et le DHA. Le zinc, l’iode, la méthionine, la leucine, la choline et la glycine sont des nutriments dont la teneur est faible dans les plantes.

Elles présentent souvent différentes formes d’un même nutriment qui sont moins biodisponibles et sont métabolisées différemment.

La vitamine A est essentielle à l’assimilation des protéines et du calcium, à la croissance osseuse, à la vue, au fonctionnement du système immunitaire, à la fonction thyroïdienne et à la production d’hormones sexuelles et de stress. Les régimes végétariens et végétaliens souffrent d’une carence quasi-totale en vitamine A.

La vitamine D favorise la solidité des os, la santé du système immunitaire, la réduction des inflammations, le métabolisme des minéraux, l’absorption du calcium, le tonus musculaire, le métabolisme sain du glucose, la fonction cellulaire et la longévité. L’organisme a naturellement besoin de D3, qu’il fabrique lorsqu’il est exposé au soleil.

Néanmoins, l’organisme a besoin d’aliments d’origine animale (y compris les crustacés, les huiles de foie de poisson, les jaunes d’œuf, les abats, la graisse de beurre et la graisse d’oiseaux et de porcs) car la D2 provenant des plantes est largement inférieure et la D3 provenant des aliments d’origine animale et beaucoup plus biodisponible et puissante.

La vitamine B12 joue un rôle dans la synthèse de l’ADN, la formation de la myéline, la production de globules rouges et le maintien du système nerveux central.

Il n’existe pas de sources végétales fiables de B12, c’est pourquoi les végétariens et les végétaliens présentent des niveaux élevés de carence en B12, entrainant fatigue, dépression, anxiété, mauvaise mémoire, problèmes d’équilibre, détérioration de la vision, confusion mentale.

Des données similaires s’appliquent aux acides gras oméga 3, qui sont essentiels pour les membranes cellulaires. Il n’est pas facile d’obtenir des oméga-3 à partir de graines de lin ou de chia.

Le poisson gras ou la viande nourrie à l’herbe seraient une bien meilleure alternative pour préserver la santé cellulaire. En plus, il est extrêmement difficile d’obtenir les 17 minéraux essentiels exclusivement à partir de sources végétales. Si nous devions éviter les aliments d’origine animale, nous devrions consommer des quantités d’équivalents végétaux pour atteindre des niveaux minimaux acceptables.

Avant que le colonialisme occidental ne les atteigne, les tribus indigènes prospéraient grâce à des régimes riches en graisses et centrés sur la viande, sans souffrir de maladies chroniques. Pas d’hypertension et de diabète, et la population indigène était mince.

Quarante ans de régimes britanniques à forte teneur en glucides ont suffi à transformer les Kényans minces en Africains obèses.

L’Inde a également été transformée en « capitale mondiale du diabète » grâce aux habitudes alimentaires introduites par les Britanniques.

Néanmoins, comme avec le GIEC, moult études persistent à « prouver » que les mangeurs de viande sont plus malades et plus enclins aux maladies chroniques. Mais lorsqu’on soulève le rideau, on découvre une autre réalité.

Souvent, les rares scientifiques qui ne sont pas d’accord avec le « consensus » sont des indépendants intègres qui ne sont pas influencés par les salaires des entreprises ou les subventions de recherche.

En bref, les recherches sont « cuisinées » pour donner une mauvaise image de la viande. Ces études erronées sont ensuite propagées par l’OMS, et citées par les médias grand public comme si elles représentaient des vérités axiomatiques, au même titre que les vaccins contre couillonavirus.

Les hormones utilisées dans la production animale pour favoriser la croissance et potentiellement perturber l’équilibre hormonal chez l’homme sont une réalité ainsi que l’action d’une foultitude d’autres produits chimiques ajoutée.

Il ne fait aucun doute que la consommation de ces produits chimiques, même sans viande rouge, vous rendra probablement malade.

Mais ce qui est flagrant, c’est que les études épidémiologiques ne font pas de distinction entre la viande provenant d’animaux nourris sainement dans des parcs d’engraissement et celle provenant des pauvres animaux victimes des goulag chimiques. Il est difficile de trouver une seule étude prouvant que les viandes biologiques ont un effet négatif sur la santé.

Mais il y a encore un hic : les pets de vaches. L’histoire originale de la contribution catastrophique des vaches aux niveaux de méthane provient d’une étude de l’Université d’Oxford qui a été citée lors d’une émission publique au Royaume-Uni en 2020.

Les médias ont détourné l’histoire pour en faire la preuve que les humains pourraient réduire leur empreinte carbone jusqu’à 73 % s’ils devenaient végétaliens.

Cependant, l’étude d’Oxford fait référence à l’empreinte de différents aliments, et non à celle de l’homme. La différence est de taille.

L’empreinte alimentaire d’un individu est estimée à 16 % au maximum, ce qui signifie que le maximum théorique de réduction de l’empreinte individuelle en devenant végétalien est de 16 % sur 73 %, soit environ 10 %.

Cependant, l’argumentation est biaisée. Tant que des milliards d’animaux d’élevage seront séparés du cycle de l’azote, produisant des déchets qui ne sont pas recyclés efficacement dans la nature, des dommages incalculables continueront d’être causés aux animaux et à la planète, y compris de vastes quantités de méthane inutilement libérées.

En revanche, si, par miracle, nous suivons le cycle naturel en intégrant des animaux en pâturage libre, nous bénéficierons d’un autre avantage qui inversera la tendance, à savoir la séquestration, c’est-à-dire la manière dont la gestion naturelle des terres capture le CO2.

En effet, ces politiques de gestion des terres axées sur la séquestration ont le pouvoir d’inverser la donne et dans une certaine mesure leur foutu « changement climatique », la désertification et la production de méthane, mais elles sont rarement, voire jamais, abordées par les scientifiques ou les médias. Vous vous demandez pourquoi ?

Les médias grand public propagent des allégations absurdes faites dans le cadre d’opérations publicitaires, prétendant que l’agriculture animale est responsable de 51 % de l’ensemble des émissions de gaz à effet de serre.

En réalité, aux États-Unis, c'est-à-dire chez THE viandards, l’agriculture représente 9 % des émissions totales, le transport 29 % et l’industrie 22 %. Les émissions animales représentent 4 % du total de l’agriculture, tandis que celles de l’agriculture non animale s’élèvent à 5 %.

Voilà qui est clair. L’agriculture animale, même dans l’état incroyablement mauvais où elle se trouve aujourd’hui, n’est pas pire que l’agriculture non animale en termes d’émissions.

Ces chiffres représentent la réalité actuelle, très inefficace, sans séquestration ni recyclage de l’azote. C’est celle que nous devrions réformer au lieu de malmener notre approvisionnement alimentaire.

Avec des individus comme Maurice Strong et le Deep State, tout est prévu de longue date. Représentant une menace redoutable pour la santé mondiale, les aliments transformés, pauvres en graisses et à base de plantes ont déclenché l’épidémie d’obésité dans les années 1980.

L’industrie de la fausse viande progresse déjà à pas de géant. Selon Bloomberg, le marché de la viande d’origine végétale pourrait atteindre 450 milliards de dollars d’ici 2040 et croître d’au moins 70 milliards de dollars au cours de la prochaine décennie.

Ceux qui feront confiance à ces merdes feront connaissance avec les protéines synthétiques ultra-transformées, les additifs, les conservateurs, les stabilisateurs, les concoctions d’OGM, les émulsifiants, les huiles de graines, les sucres, les régulateurs d’acidité et les épaississants régurgités dans une matrice d’éprouvettes d’une manière qui les rendra accros à vie.

Toutes ces merdes ne vont pas seulement remplacer les produits carnés naturels, mais aussi les produits laitiers, les œufs et les céréales.

Et comme nous sommes ce que nous mangeons, bonjour les dégâts !

Il y a également un autre aspect que le récit principal végétalien occulte dans ce contexte : la quantité de souffrances et de meurtres d’animaux dus à l’agriculture moderne en tant que telle. La monoculture n’est pas possible sans l’abattage massif de formes de vie diversifiées.

Peu font le calcul, mais nous ne sommes pas seuls sur terre. Sans la biodiversité, nous ne sommes rien. Ainsi, pour cultiver n’importe quoi, n’importe où, nous devons tuer moult rats, souris, spermophiles, écureuils, abeilles, papillons, oiseaux, etc.

Le ministère américain de l’agriculture estime à 1,3 million le nombre d’animaux indigènes tués chaque année pour protéger l’agriculture non animale. Au total, au moins vingt-cinq fois plus d’animaux sont tués par kilo de protéines utilisables par rapport à la production de viande.

Cependant, il existe un argument plus profond lié à la nature de la vie. Nous devrions le prendre en considération. Toute forme de vie dépend de la consommation d’autres formes de vie.

Même le végétal est mangeur de viande via la transmutation éternelle d’une forme à l’autre.

Même si nous nous en tenons aux principes les plus purs de la nature, où nous protégeons les animaux, la planète et les intérêts humains avec un équilibre égal, nous continuerons à nous manger les uns les autres.

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/08/bienvenu-dans-goulag-mondialiste-partie-6.html

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Bienvenu dans goulag mondialiste (Partie 4)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/07/bienvenu-dans-goulag-mondialiste-partie-1.html

Le CO2 c’est la vie. Sans lui la terre serait un caillou désertique. Plus il y a de CO2 plus il y a de vie.

Lisez donc mon livre consacré à la vraie histoire : Une autre histoire : le vraie ! A l’époque des grands sauriens, il y avait bien plus de CO2 sur terre et la végétation était luxuriante (géante).

Nous sommes dans le cadre d’une nouvelle religion verte. La science se sont les faits, et ils sont là, seulement personne ne veut les regarder. Par contre ceux qui, comme vous, prennent le temps de les analyser, se rendent compte que nous vivons au sein d’une folie dogmatique.

Ici les prêtres sont les ONG, les Al Gore et compagnie et nous, nous sommes les pauvres pécheurs.

Hélas pour nous, leur raisonnement est faux malgré une apparence de vérité. C’est donc un sophisme. Et dans un monde où l’économie est de l’énergie transformée, ces fous nous mènent volontairement à l’Ordo Ab Chaos en vertu de leur doxa nageant à contrecourant de ce qui s’appelle la vraie science.

IL Y A 50 ANS, LE RAPPORT MEADOWS ALERTAIT SUR LES LIMITES PLANÉTAIRES.

Déjà en 1972, ce rapport nous disait mordicus qu’en l’an 2000, nous n’aurions plus de pétrole. Lisez mon dernier livre et vous verrez bien si, en 2023, nous n’avons plus de pétrole !

On nous crée une pénurie artificielle dans tous les domaines et surtout dans celui de l’énergie.

Plus vous avez d’énergie pas chère et plus une économie prospère. Voilà pourquoi ils sabotent actuellement tout au nom du Great reset de Davos. Les froggies doivent bien se le rentrer dans le crâne : l’abondance, c’est fini !

On va maintenant entrer dans l’ère des pénuries : pénurie d’énergie, de viande, d’eau, etc. le tout décidé d’en haut, pour éviter le méthane, le dioxyde de carbone et une trop bonne santé du gueux.

À la place, ils veulent nous faire manger de la viande de poulet artificielle cultivée dans des « bioréacteurs » en acier inoxydable.

Ça arrive prochainement sur le marché alimentaire américain, grâce à la Food and Drug Administration (FDA). « Pour fabriquer sa viande, la société Upside Foods prélève des cellules sur des animaux vivants, des tissus de poulet, et utilise ces cellules pour cultiver de la viande dans des bioréacteurs », explique un rapport. Robert M. Califf, commissaire de la FDA, déclare que l’objectif principal de l’agence est de promouvoir les faux aliments.

Le fondateur et PDG d’Upside Foods, Uma Valeti, s’est réjoui publiquement de la décision de la FDA, la qualifiant de très bonne chose pour les résultats de l’entreprise. N’oubliez pas que nous vivons dans un monde qui marche sur la tête, car la FDA n’autorise toujours pas l’achat et la vente de produits naturels à base de lait cru ou de beurre. Ces aliments sains ne sont pas « sûrs », selon la FDA.

Il y a fort à parier que dans un avenir proche, tous les produits carnés commandés dans un restaurant américain standard contiendront des ingrédients synthétisés qui auront l’apparence, l’odeur et le goût des vrais produits. Mais comme d’habitude, c’est toujours pour « la bonne cause » : celle de Gaïa.

« Il faut deux semaines pour produire l’équivalent d’un poulet, d’un millier de poulets ou de 100 000 poulets », a déclaré M. Valeti aux médias pour expliquer le temps nécessaire à la formation, dans un bioréacteur, de la viande de poulet cultivée en laboratoire par son entreprise.

Ainsi, le peuple américain est empoisonné par des vaccins comestibles introduits dans l’approvisionnement alimentaire. À quand notre tour ? C’est une question de mois, puisque nous sommes empoisonnés par nos propres dirigeants, en violation directe du code de Nuremberg.

Ainsi, dans le pire des cas, et selon le souhait de Davos, d’ici une dizaine d’années, notre table ne contiendra plus d’aliments à haute densité, naturels et d’origine animale.

Bien entendu je ne dis pas d’être un viandard, la modération et l’équilibre en toutes choses sont préférables. Mais les ingénieurs sociaux visent à éliminer les aliments à haute densité d’origine animale, tels que la viande, les produits laitiers et les œufs, et à les remplacer par des aliments de synthèse d’origine végétale : des variantes obtenues en laboratoire et fabriquées en usine.

Elles représentent l’un des nutriments les plus nocifs et les plus répandus, car elles endommagent le tractus gastro-intestinal, sapent l’équilibre microbien et perforent la muqueuse intestinale, pierres angulaires de nos systèmes digestif, immunitaire et endocrinien. Rappelez-vous, le gueux et sa santé ne comptent pas. Ce qui compte, c’est d’optimiser l’impact en CO2 de nos futures calories sans détruire la planète.

Le véritable objectif est le contrôle. Henry Kissinger, grand maître à penser de Klaus Schwab et porte-parole du Deep State disait : « Qui contrôle l’approvisionnement en nourriture contrôle les gens ; qui contrôle l’énergie peut contrôler des continents entiers ; qui contrôle l’argent contrôle le monde ».

Si nous ne parvenons pas à arrêter ces fous, nous serons confrontés à une population catastrophiquement plus malade et plus faible, qui dépendra des produits pharmaceutiques, des stimulants, le tout piloté par l’IA.

Mais réveiller les zombis sera difficile. Une grande partie de la population a déjà subi un lavage de cerveau pour croire que manger ces merdes sera bénéfique pour les humains et la planète.

Certains, bercés par les blockbusters apocalyptiques hollywoodiens, en sont déjà à croire mordicus que les pets des vaches sont responsables de la montée des eaux.

Il faut des décennies de récits élaborés pour en arriver à ce niveau d’abrutissement. Et ce n’est ni la première ni la dernière fois que nous nous faisons avoir.

Souvenez-vous de l’escroquerie sur le cholestérol. Le coup des graisses saturées a commencé avec l’engouement des années 1980 pour les aliments pauvres en graisses, alias le mythe des graisses saturées qui bouchent les artères.

Les milliards de dollars que représentent les pilules hypocholestérolémiantes ont incité Big Pharma, aidé par les merdias et les médecins corrompus, a d’abord diabolisé le cholestérol, puis manipulé le seuil de diagnostic de « l'hypercholestérolémie » jusqu’à ce que la quasi-totalité des humains de la planète  puissent satisfaire aux critères pour prendre une statine.

En 2011, Pfizer gagnait 11 milliards de dollars rien que sur le Lipitor. En 2021, les ventes cumulées de Lipitor sur l’ensemble de sa durée de vie s’élevaient à plus de 163 milliards de dollars. C’est une belle performance pour une pilule aux effets secondaires graves (perte rapide de mémoire, troubles de l’équilibre, douleurs musculaires aiguës) et à l’impact quasi nul sur la longévité ou le bien-être.

Ce qui s’est passé en quelques décennies est historique, comme en témoigne l’explosion des taux d’obésité dans les pays industrialisés. La campagne de désinformation sur les aliments pauvres en graisses a utilisé le cholestérol comme bouc émissaire.

Aujourd’hui, on sait pertinemment qu’un pourcentage élevé de graisses naturelles, allié à une quantité modérée de protéines et une faible proportion d’hydrates de carbone aide à perdre du poids, à prévenir les maladies, à satisfaire notre appétit, à réduire les fringales et à promouvoir la longévité. Mais un gueux qui vit longtemps c’est chiant (retraites).

Sans cholestérol, il n’y aurait pas de renouvellement cellulaire et pas de vie. La consommation de bonnes graisses (huile de coco, huile d’olive, graisses de viande biologique, avocat, huiles de poisson, etc.) est un moyen fiable d’obtenir des calories à haute densité tout en perdant du poids sainement, sans affecter notre taux de cholestérol indispensable à la vie.

J’y consacre d’ailleurs de nombreuses pages dans mes deux derniers livres. En cas de stress et d’inflammation dans l’organisme (cas de beaucoup de gens), votre survie dépend de l’augmentation du taux de cholestérol, car il aide à guérir et à réparer les cellules endommagées.

Ainsi, l’absence de viande sera un accélérateur pour la santé physique et mentale collective déjà défaillante. La nouvelle réalité nutritionnelle ne fera rien non plus pour lutter contre le changement climatique tout en compromettant la gestion efficace des terres au point de provoquer l’auto sabotage de la planète.

Bien entendu, tous les cerveaux préprogrammés par l’ingénierie sociale parleront éthique : l’industrie moderne de la viande est diabolique. Inefficace, elle ne peut nourrir la population mondiale. Elle est mauvaise pour la santé et liée au cancer, aux maladies coronariennes, etc.

Mais surtout : elle est à l’origine du changement climatique. Les nouvelles alternatives synthétiques sont plus saines, plus rentables et plus respectueuses de l’environnement. Sans oublier les aspects spirituels et religieux.

Bien entendu, les végétaliens disposent d’un argument puissant et convaincant. Nous devrions tous avoir honte, tant nous avons normalisé la souffrance animale.

Nous mangeons un morceau de cadavre marqué par une vie de torture, mais aussi un cocktail cancérigène de produits chimiques destinés à conserver l’animal suffisamment longtemps pour qu’il puisse être vendu et digéré.

Cependant, dans un monde non régit par l’argent et le rendement, l’argument de l’holocauste ne tient plus. Nous pourrions travailler avec des animaux sans les soumettre à un holocauste.

Remplacer les camps de concentration (ferme des mille vaches) par des environnements respectueux des animaux et de l’environnement, où les animaux paissent en liberté, fertilisent le sol naturellement sans dérivés pétroliers et prospèrent sans cocktail d’hormones parce qu’ils sont libres et satisfaits.

C’est le profit le grand responsable ! Au cours du siècle dernier, l’agriculture a déclaré la guerre à la terre à l’aide de combustibles fossiles, mécaniquement (labourage du sol), chimiquement (herbicides et pesticides) et biologiquement (technologie des OGM).

En séparant de manière idiote l’élevage des cultures, nous avons dissocié les cycles bio et géochimiques du carbone, de l’eau, de l’azote, du phosphore et du soufre, et augmenté les émissions de méthane et d’oxyde nitreux, ainsi que l’eutrophisation et la contamination des sources d’eau.

Je l’explique dans le tome 1 du Centième Gueux, le système actuel des monocultures induites chimiquement qui produisent en série des terres arides et séparent les animaux de la nature est insoutenable. Lorsque les animaux sont laissés en liberté de manière à laisser suffisamment de temps de repos au sol pour qu’il se rétablisse (comme le veut la nature), la magie opère, avec des avantages.

Le troupeau vit en bonne santé et en liberté. Il contribue à revitaliser les terres arides au point de transformer des zones désertifiées en terres fertiles (c’est la seule technique connue qui y parvienne aujourd’hui avec succès).

En plus, les animaux produisent une viande exceptionnellement riche en nutriments, sans hormones, sans antibiotiques et sans produits chimiques. C'est-à-dire sans toutes ces saloperies que le système veut coute que coute nous faire ingurgiter.

Les terres arides représentent plus de 40 % de la surface terrestre mondiale et abritent aujourd’hui une personne sur trois. La dégradation de la qualité des terres dans les régions arides est responsable d’une réduction du produit intérieur national pouvant aller jusqu’à 8 % par an. Tandis que, dans les zones fertiles, nous dépouillons la couche arable fertile à un rythme insoutenable.

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/07/bienvenu-dans-goulag-mondialiste-partie-5.html

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Bienvenu dans goulag mondialiste (Partie 3)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/07/bienvenu-dans-goulag-mondialiste-partie-1.html

L’échec vaccinal est colossal : 99 % des hospitalisations et des décès dus au COVID concernent désormais des personnes vaccinées en Australie. « Au Royaume-Uni, en Australie, en Afrique du Sud, où ils disposent de bons systèmes de données, la majorité des personnes hospitalisées et décédées sont entièrement vaccinées », a déclaré le Dr Peter McCullough devant le Sénat de l'État de Pennsylvanie.

« L'Australie est intéressante parce qu'elle avait pré-vacciné tout le pays. Et le COVID est arrivé tardivement », a-t-il poursuivi. « L'Australie a donc été le véritable test pour savoir si les vaccins fonctionneraient ou non, et ils ont échoué de manière colossale. L'analyse la plus récente montre que 99 % des personnes hospitalisées et décédées sont entièrement vaccinées. »

Le Dr Peter McCullough est l'un des cardiologues les plus publiés aux États-Unis et le directeur scientifique de The Wellness Company.

Pire, l’élite n’est pas parvenue à refermer la cage qui devait effacer la majorité de nos droits humains. Un groupe suffisamment important de « fous dangereux » s’est levé et a lutté contre les obligations et les passeports sanitaires.

Reste alors à activer d’autres virus plus pathogènes ainsi que l’arme ultime qui faisait déjà tortillée du croupion l’égérie verte et millionnaire (bizarre ?) : Greta la sainte.

Et dans cette quête chevaleresque de la survie de l’humanité contre le méchant CO2 mortifère, l’élite allait activer un repère de franc maçons, l’ONU, qui elle-même allait créer un repère de malfrats : le GIEC, nouveau temple de la religion écologique.

Le GIEC, c’est de la science-fiction, plus de trente années de pipo, financées par les ONG et l’ONU.  Créé en 1988 par le Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE) et l’Organisation météorologique mondiale (OMM), il rassemble 195 États membres.

Avec eux tout s’emballe, tout s’aggrave et le réchauffement de la planète s’accélère. Or, depuis son dernier rapport, en 2015, la température de Gaïa a baissé.

Les satellites et autres réseaux d’observation le disent. Ce n’est pas une affabulation du « complotiste » Cape, mais bel et bien les mêmes observations que reçoit le GIEC pour mieux les torpiller. Nous allons donc tous mourir noyés puisque le GIEC le dit et d’un autre côté nous allons manquer d’eau. Si l’on veut chipoter, il est vrai que le niveau des océans monte chaque année (1 ou 2 mm). Ce n’est pas moi qui le dis, c’est encore le GIEC.

Au niveau de l’eau, on nous ment aussi et SURTOUT. Le niveau des cours d'eau est largement supérieur aux normes de saison (Climato réaliste).

Or, les mêmes nous disent que dans cent ans, le niveau des mers aura augmenté de quinze mètres ? Cherchez donc l’erreur ! Au pire, deux millimètres par an sur cent ans, ça fait quoi ? Vingt centimètres ?

Jeter un œil sur Sémiramis (la statue de la Liberté). Entre science et idéologie, mon cœur balance avec le GIEC qui signifie Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat, et en français « groupe d’experts ». Or, avec ces « experts », on nous ment à dessein, et depuis 1988.

Le sommet de la terre à Rio, orchestré par Maurice Strong, nous annonçait que nous allions à la catastrophe alors que depuis la population en Inde a triplée et que leurs exportations de céréales ont explosé. 1,5 degré d’augmentation depuis 1850, au sortir d’un mini âge glacière.

Ce 1,5 degré en plus annoncé par le GIEC, c’est depuis 1850. Or, nous sommes déjà montés de 1.1 degré, il ne reste donc plus qu’une augmentation de 0.4 degré comme os à ronger pour le GIEC.

Cette référence est mensongère car si le GIEC faisait référence à la température sous Louis XIV, on serait certainement à plus de 3 degrés d’augmentation.

C’est donc en réalité contre seulement 0.4 degré que le GIEC nous invite à nous serrer la ceinture, et au dernier cran. Notre atmosphère, c’est 3200 milliards de tonnes de CO2.

Face à cela, le GIEC se contente toujours de grands communiqués de presse grandiloquents, mais sans annoncer de chiffres. Chaque année la France en émet 0.16 milliard de tonnes. Soit 1/20.000 -ème du CO2 atmosphérique.

Notre responsabilité est donc celle du pet de mouche malade, dans la blogosphère.

Bien entendu le rapport n’est jamais fait puisqu’il ridiculiserait le GIEC. De plus, comme je l’explique en détail dans Tonton Malthus est revenu, les « spécialistes » ne comptent pas le CO2 de la même manière.

Ils parlent en PPM (particules par million). Ainsi pour les émissions on parle en tonnes de CO2, alors que pour l’atmosphère, on parle en PPM. Le fait d’avoir cette différence empêche le commun de faire la différence ridicule entre le flux généré en tonnes et le stock atmosphérique en PPM.

Ceux qui le font, se rendent alors compte qu’on ne vide pas un océan avec une paille ! Ainsi les centaines de milliards dépensés et toutes les restrictions imposées uniquement afin de nous limiter ne servent qu’à une seule chose : provoque l’Ordo Ab Chaos salutaire à l’instauration de leur NOM.

Le cout de la transition écologique est estimé à 90 milliards d’euros chaque année (magazine Challenge), et rien qu’en France.

L’automobile constituant le sommet de la connerie. 400 Kg de batterie (1 kg de batterie, c’est 30 fois moins d’énergie que dans un litre d’essence) ça coute cher ! ça pollue et ça prend du temps à se recharger pour une autonomie très limité.

Croyez-vous qu’une voiture plus lourde et plus cher pourra intéresser l’individu lambda qui en a besoin pour bosser et gagner difficilement sa croute (Gilets jaunes) ?

Mais que les bobos Tesla se rassurent, pendant que les prix de l'électricité vont bondir ad minima de 76% d'ici janvier 2025, le bobo moyen va s'acheter une voiture électrique pensant sauver la planète. Pendant ce temps des dizaines de milliers d'esclaves (des gosses) lui fournissent, les minerais indispensables aux batteries de sa bonne conscience de  bobo occidental.

Comble de l’absurdité, au moment de sa fabrication, une voiture électrique produit énormément de CO2. Dans des pays ou plus de la moitié de l’électricité est fabriquée à partir du charbon (Allemagne), c’est un comble !

Les terres rares et autres matières premières, comme le cobalt, nécessaires à la fabrication des batteries, sont extraites très souvent dans des pays pauvres par des enfants, et dans des conditions EPOUVANTABLES.

Actuellement, les voitures électriques c’est un pourcent du parc mondial. Extraire autant de minerai nécessaire à toutes ces voitures à venir, est une impossibilité qui s’ajoute aux autres.

Comble de l’absurdité, ce sont ces pays pauvres auquel le GIEC interdit la construction de centrales au charbon ou à gaz alors que les sous-sols en regorgent, privant d’autant d’électricité et d’un confort salutaire toutes ces populations pauvres d’autant plus touchées par un taux de mortalité monstrueux.

Sous l’emprise des rapports « scientifiques » débiles du GIEC, l’occident, par le biais du FMI, leur interdit tout financement de centrales électriques. Mais, on n’a pas encore atteint le fond des latrines, avec les énergies renouvelables.

Parlons des éoliennes auxquelles je consacre un chapitre dans Tonton Malthus. Contribuable français, attache bien ta ceinture ! Suivant les jours, la production de ces engins varie d’un à vingt. Voyez-vous la différence ? Moi, non !

Pourquoi ? Grace au nucléaire et à nos barrages. Mais, le jour où on est à vingt, que fait-on de l’électricité produite par les éoliennes puisqu’on n’en a pas besoin ? Ne pouvant la stocker, on la vend. On la brade à nos voisins, lorsqu’ils en veulent. En 2019, juste avant couillonavirus, 80% de notre énergie renouvelable a été bradée à bas prix. Mais il y a mieux encore.

Lorsque nos voisins, ayant beaucoup de vent, n’en veulent pas, on freine nos centrales nucléaires. Ce n’est pas plus compliqué.

J’en vois déjà dire : « Ce n’est pas pour autant que notre facture baisse ! » Eh oui, c’est la vie ! Et elle nous ramène à la conjonction de 2022.

Pas une conjonction astrale, mais financière. Pourquoi ? A cause de petites fissures décelées sur plus de la moitié de nos réacteurs. C’est là que les tarifs sont montés en flèche.

Donc, ce n’est certainement pas le renouvelable qui peut assurer notre sécurité énergétique.

Lorsqu’on brade au quart de sa valeur l’énergie du promoteur, quelqu’un doit payer la différence : nous, les vaches à lait. C’est lorsque le photovoltaïques et les éoliennes sont apparus en nombre, que les tarifs électriques, jusqu’alors en baisse constante, ont commencé à monter en flèche.

Mais concernant les transports, on est sauvés ! Bornes les a dépassées avec l’annonce d’un plan de cent milliards d’euros à destination du ferroviaire, jusqu’à 2040. Rien ne vaut le bus comme moyen de transport public flexible.

Mais ça, nos dirigeants semblent ne pas l’avoir compris, et depuis longtemps. À moins que dans leur idéal « Ordo Ab Chaos », le maître mot soit encore et toujours de nous faire sombrer toujours plus bas dans les méandres du Deep State.

N'oublions pas que travail ou loisirs, 90% des déplacement en France se font en voiture. Chose qui nous ramène à la triste réalité des Gilets jaunes. La grande majorité des TER circule pratiquement à vide. 240 lignes de TER ont à elles toutes moins de trafic que la ligne A de RER parisien.

Mais voilà, comme en ce qui concerne le reste, depuis des décennies des groupes de pression ont réussi à faire croire que le train constituait la panacée au détriment du bus et de l’automobile.

Pour beaucoup, la voiture c’est seulement les riches qui l’utilisent. Les Gilets jaunes nous ont pourtant prouvé le contraire. Tout le monde n’a pas les moyens d’habiter dans le 16ème au centre de Paris.

La SNCF coute chaque année 14 milliards d’euros à la collectivité, hors charges de retraites. Mais comme pour tout le reste, on vient de nous annoncer que, miraculeusement, la SNCF avait fait 2.5 milliards de bénéfice. Comment ? Avec nos sous ! Car la SNCF transforme les subventions en recettes.

Faisant fi des demandes du GIEC complétement déconnectées de la réalité, en 2022, le Premier ministre de l’Inde a décidé d’ouvrir plus de cent mines de charbon afin d’électrifier son pays et lutter ainsi contre un taux de mortalité important et reconnu même par l’ONU.

Chine, Afrique et la plupart des BRICS vont faire la même chose. En effet de taux de mortalité à la naissance est complétement en corrélation avec le manque d’énergie.

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/07/bienvenu-dans-goulag-mondialiste-partie-4.html

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Bienvenu dans goulag mondialiste (Partie 2)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/07/bienvenu-dans-goulag-mondialiste-partie-1.html

La diabolisation du CO2 est liée, parole de « conspirationniste », à l’obsession mondialiste de nous contrôler numériquement afin d’aboutir à la grande réinitialisation du système bancaire.

Le Reset de tonton Schwab a besoin d’une monnaie contrôlante à laquelle personne ne peut échapper. Cette réinitialisation doit être mondiale et unifiée, d’où ces comportements et discours complètement irrationnels.

Les émissions mondiales de CO2 liées aux activités humaines atteignent 30 milliards de tonnes (Gt) par an.  Soi, même pas un pourcent de la quantité de CO2 stocké dans l’atmosphère, qui est de 3 200 milliards de tonnes. Soit 100 fois plus.

Quant à l'empreinte carbone annuelle de la France, elle est estimée à 604 millions de tonnes équivalent CO2. Soit 1/5290e des réserves atmosphériques.

Ainsi, pour un flux de 1/5290e du stock dans l’air, les froggies devraient accepter de cuir à petit feu dans la casserole écologique et voir le prix du gaz et de l’électricité doubler.

30 milliards d’euros vont être consacrés, en France, à des mesures qui ne servent à rien. Un pet de mouche. Or, face à la nature et son stock, on n’y peut rien ! Mais d’abord, est-on sûr que nous courons à la catastrophe ?

En effet, de tout temps, le CO2 a été là et souvent à des niveaux bien plus élevés. Mais face à ce « ministère de l’écologie » qui exige que nous obtempérions tous, nul n’a le droit d’en douter. Et ce ministère orwellien, nous le devons à un type du nom de Maurice Strong qui, poussé par Rockefeller, a pris le pouvoir à l’ONU, il y a de cela 50 ans.

Et lorsque vous voulez savoir qui est la famille Rockefeller, je vous invite à consulter ma série les concernant : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/04/roro-et-son-empire-base-sur-la-fausse-science-partie-1.html

Vous comprendrez alors que Strong, ce type qui avait arrêté ses études à 14 ans, bénéficiait néanmoins d’appuis en béton armé et de l’aval de scientifiques vendus au système.

On lui doit le sommet de Rio où, devant 108 chefs d’états, il avait déclaré que nous allions à la catastrophe et qu’il fallait se débarrasser du CO2.  Or, partout où vous voulez augmenter le rendement agricole (serres), il faut du CO2 et le personnel est loin d’en souffrir.

Néanmoins, bien qu’étant avant tout un FERTILISANT, dans tous les documents officiels, on a fait du CO2 un polluant.

https://twitter.com/i/status/1674280911616049153

Début des années soixante-dix, l’oncle Sam était déjà vérolé et son dollar tout autant. Une grande partie du monde occidental était plongée dans une crise économique stagflationniste.

En 1971, et en réponse à cette mouise, Nixon a complètement désolidarisé le dollar de l’étalon-or. Désormais et pour faire simple, plutôt que de s’essuyer dans les rideaux, les USA pouvaient produire autant de papier-cul qu’ils en souhaitaient et en y noyant le monde entier DANS DE LA FAUSSE MONNAIE.

C’est en partie ce qui a finalement intensifié les pressions inflationnistes. Les années glorieuses de l’après-guerre (le boom de l’après-guerre) se sont envolées en Europe, tandis que les prix des biens (et du pétrole/essence) aux États-Unis ont grimpé en flèche jusqu’en 1981-1982, lorsque la Réserve fédérale a augmenté les taux d’intérêt jusqu’à environ 20% et a délibérément provoqué une récession.

Les banques ont toujours fait les guerres et « le climat ». Et ce n’est pas pour rien qu’en 1969, le FMI a créé le système des DTS, BIZARREMENT juste avant la suppression de l’étalon-or.

Le DTS est basé sur un panier de devises internationales : le dollar américain, le yen japonais, l’euro européen, la livre sterling et le renminbi chinois. Le FMI fixe chaque jour la valeur du DTS sur la base des montants fixes des monnaies composant le panier du DTS et sur les taux de change quotidiens du marché entre les monnaies composant le panier.

La valeur actuelle d’un DTS est d’environ 1,40 dollar américain ou 1,24 euro. Le droit de tirage spécial (DTS) est donc un actif de réserve international portant intérêt qui complète les autres actifs de réserve des pays membres.

Il s'agit d'une créance sur les monnaies librement utilisables des pays membres du FMI. Et encore plus bizarrement, ce sont ces mêmes DTS qu’ils s’apprêtent à utiliser comme fondement de la dernière marche devant nous mener au Nouvel Ordre Mondial (NOM) :  leur monnaie numérique. Sur ce sujet voir : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/05/a-b-c-d-et-cbdc.html et si vous êtes curieux et courageux, ma série nommée https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/03/bankable-partie-1.html

Là-dessus, venons-en à mon vieux « pote » nazi, tonton Schwab. Son usine à gaz (mais sans CO2) sera fondée en 1971. C’était le début d’une nouvelle ère pas forcément réjouissante, pour les nostalgiques des hippies. En effet, c’est durant cette douce décennie que les rouages de l’Occident vont fortement se corroder aidés en cela par une caste de Malthusiens déjà aux ordres du Deep State. Quant au jeune nazillon, Klaus Schwab, il aura pour parrains Kissinger et Maurice Strong, sur lequel je reviendrai.

Ainsi, au sexe sans tabous, au rock n’roll, au disco et aux drogues, j’aimerais ajouter l’idée de Soleil vert, ce film sorti en 1973 et qui annonçait déjà la couleur et surtout l’idée générale qui tournait dans la tête des malades eugénismes qui gèrent ce monde-démon pour le compte de leur patron : Satan.

Car c’est le moment où nos fondations économiques ont été sabotées et où l’aisance de la classe moyenne a été lentement, mais sûrement, volée par l’inflation. Et c’est au beau milieu de ce marasme institutionnalisé que les Nations unies et autres confréries de frères la truelle associées vont travailler d’arrache-pied à l’élaboration de leur NOM.

Si la CIA et autres officines de l’ombre avaient, depuis les années 50, œuvré à leur projet MK Ultra, ce n’est pas pour rien. Et surtout pas pour les papillons.

La cervelle du gueux se devait d’être disséquée jusqu’au moindre neurone afin d’en retirer, c’est le cas de le dire, la substantifique moelle de l’ingénierie sociale : celle qui aura su nous donner Apollo 11, le 11 Septembre 2001, et surtout couillonavirus. Il fallait coute que coute convaincre les populations d’adhérer à la centralisation du pouvoir à l’échelle mondiale. Surtout : le contrôle gouvernemental de la population humaine, de l’industrie, de l’énergie, limiter la production alimentaire et l’agriculture.

Bref ! au nom de je ne sais quoi, mais surtout de Mammon (l’argent), nos vies se devaient d’être fliquées dans les moindres détails et ce, de la naissance jusqu’à la mort (style Soleil vert). Au nom du « bien commun », ce serait la mort du droit individuel et de la propriété, pour tous. « Vous ne posséderez plus rien mais serez heureux. », ça ne vous rappelle rien !?

Un pouvoir centralisé, une monnaie unique qui le serait tout autant. Ça ne vous rappelle toujours rien !? Dans mes livres, j’ai l’habitude de citer de grands penseurs et philosophes et d’autres qui le sont beaucoup moins. Ainsi, celle de Strobe Talbot, secrétaire d’État adjoint de l’administration Clinton, n’est pas à piquer des vers. 

Dans Time Magazine, ce « charmant » monsieur avait déclaré tout de go que : « Au cours du prochain siècle, les nations telles que nous les connaissons seront obsolètes ; tous les États reconnaîtront une autorité mondiale unique… La souveraineté nationale n’était pas une si bonne idée après tout. »

Celle de Richard Gardner, membre du Council on Foreign Relations, figure dans mon avant dernier ouvrage. Dans un article paru dans le Foreign Affairs Magazine en 1974 et intitulé « The Hard Road To World Order » (La voie difficile vers l’ordre global), il annonçait déjà la couleur (verte) : « En bref, la ‘maison de l’ordre global’ devra être construite de bas en haut plutôt que de haut en bas. Cela ressemblera à une grande ‘confusion bourdonnante’, pour reprendre la célèbre description de la réalité par William James, mais un contournement de la souveraineté nationale, en l’érodant morceau par morceau, permettra d’accomplir bien plus que l’assaut frontal à l’ancienne. »

Ce n’est pas beau ça !?

Il y a 50 ans, l’élite nous annonçait donc déjà la couleur. Elle serait verte comme celle de la grenouille qui va cuire tout doucement dans la casserole. Elle ne va pas vouloir s’en échapper tant la montée en température sera lente, progressive, jusqu’à la torpeur salvatrice due à l’ingénierie sociale.

Mais même le con possède ses limites. Il finit un jour par comprendre, même s’il est tard, TRES TARD et peut-être déjà TROP TARD.

L’oligarchie savait que les grenouilles finiraient par se dire « C’est bizarre, il fait vraiment très chaud ici ! ». Alors, comment devenir les rois du monde, et surtout le rester sans y laisser sa p’tite tête de luciférien ?

Il fallait coute que coute que le gueux en arrive à aimer sa prison et son nouvel état d’esclave. Il convenait qu’il en arrive à considérer cet état comme une question de devoir solennel et de survie, non seulement pour lui, mais pour l’espèce tout entière.

Ainsi, tout comme avec les fameux « vaccins » covid, si l’antivax se rebelle, il sera considéré comme un sans-cœur, un monstre d’égoïsme mettant en danger l’ensemble de la collectivité en défiant la structure du pouvoir. C’est du bel ouvrage !

Seulement voilà, "des égoïstes", il y en a eu beaucoup, surement beaucoup plus qu’ils ne l’escomptaient. C’est gênant, puisque le groupe témoin risque de voir tomber les vaccinés autour de lui comme des mouches, mettant en lumière les mensonges éhontés de Big Pharma.

Oui. Nous avons connu une épidémie de tests PCR et une létalité de 0,23 %. Mais désormais, « vaccins aidant », on ne compte plus les problèmes cardiaques, les embolies, les fosses couches, les cancers turbos et autres « bizarreries ». Des coïncidences !

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/07/bienvenu-dans-goulag-mondialiste-partie-3.html

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Bienvenu dans goulag mondialiste (Partie 1)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Tous les chemins mènent à Rome. Oui. Mais lequel y mène par le biais du N.O.M. ? C’est évidemment celui des verts, des mondialistes sauce Greta.

Dans cette série, j’aborde une thématique qui constitue la colonne vertébrale de toute ma littérature (17 livres au compteur). Je vais vous évoquer en détail ceux qui propagent une fausse vision des choses pour y voir plus clair, tout en restant dans l’ombre (tout un programme !).

Les sujets abordés ici sont surtout vus très en détail dans mes deux derniers ouvrages : Chronique d’un Occident oxydé et Davos et son Echeveau qui sort prochainement.

Alors que le vrai problème écologique se trouve dans le fait que nous salissons tout et ne préservons pas assez ce qui nous est vital (eau notamment), on nous bassine avec de faux problèmes.

La destruction massive des forêts primaires en Amérique du Sud et en Asie, les pollutions par les plastiques et les métaux lourds des océans, les zones toujours plus grandes artificialisées ou désertifiées, les rémanences diverses de polluants type pesticides, déchets radioactifs, nos poubelles consuméristes qui finissent dans les pays pauvres, tout cela est loin d'être du pipeau et constitue bel et bien le résultat des mauvais comportements humains. J’en suis PARFAITEMENT conscient.

Mais mon but est ici de rétablir la vérité face aux balivernes de nos dirigeants toutes proférées dans le but ultime de toujours prendre davantage d’ascendant sur nos vies déjà fortement érodées par la prédation d’une caste mafieuse.

Au début des années 1970, l’Occident était déjà dans la merde. Devinez qui venait de déféquer ? Toujours les mêmes, les riches donneurs de leçons qui trouvaient et trouvent encore que nous, les gueux, sommes trop nombreux sur cette terre. Désormais, si, grâce à ces « bonnes âmes », vous n’êtes pas d’accord avec le diagnostic concernant le méchant C02, vous êtes un dangereux complotiste.

Ces Malthusiens nous annonçaient tout de go que nous allions vers des désastres insurmontables.

Cette minorité d’individus richissimes possède une vision négative de l’homme (surtout du pauvre). Leur leitmotiv ? Les gaz à effet de serre sont nos ennemis et ils sont produits essentiellement par les gueux et les vaches qui pètent. Conclusion : il faut donc se débarrasser d’une majorité d’entre-eux.

Vous me prenez pour un fou ? Ils ne se cachent même plus. Lors de la conférence Beyond Growth 2023, Von Der Leyen a déclaré publiquement que leur AGENDA a été fixé par « quelqu'un au-dessus » afin de créer le « Nouvel Ordre Mondial ».

On ne compte plus les personnalités internationales qui prônent le dépeuplement massif.

https://twitter.com/i/status/1680996479379427328

Même la Vice-présidente des États-Unis, Kamala Harris, indique clairement vouloir « investir dans la réduction de la population ». https://twitter.com/i/status/1680111657261907969

Or, nous ne pouvons absolument pas influer sur les émissions de C02 qui, pour plus des deux tiers, proviennent des pays en développement. Ces pays n’entrant absolument pas dans nos délires d’Occidentaux, et vont d’ailleurs prochainement fortement augmenter.

Quant à nous, pauvres occidentaux oxydés, nous avons la prétention de faire disparaitre ces émissions, comme par magie, à l’horizon 2050.

C’est IMPOSSIBLE. De la mythologie à l’état pur. Techniquement : hydrogène, éoliennes, et panneaux photovoltaïques représentent le énième pourcent de nos nécessités énergétiques. Et sans énergie, cette déesse indoue aux mille bras, adieu veaux, vaches, cochons, nous ne sommes rien.

Concernant le fonctionnement d’un panneau solaire, on pourrait naïvement croire que plus il y a de soleil, et plus l’utilisation de cette technologie lui est favorable. Mais peu savent qu’une trop forte chaleur a tendance à nuire à leur efficacité.

La température idéale pour les utiliser est de 25°C : au-delà de ce niveau, la capacité de l’appareil à générer de l’énergie a tendance à diminuer.  Selon différentes études, lorsque la chaleur est trop forte, leur efficacité peut chuter entre 10 et 25 %.

Non seulement les éoliennes et les panneaux solaires sont très imparfaits techniquement, mais en plus ils sont intermittents en termes de production d’énergie.

Mais justement, parlons-en de la chaleur ! Aux dernières nouvelles, il paraitrait que nous avons chaud sans le savoir !

On parle alors de canicule asymptomatique.

C’est bizarre, mais ça me rappelle quelque chose !? Le 21 juillet 2023, « un spécialiste » du nom de Nicolas Berrod, a déclaré dans un tweet que malgré les impressions de fraîcheur ressenties à Paris, Lille ou Strasbourg depuis le début du mois de juillet, les températures y sont en réalité légèrement au-dessus de la normale.

Selon lui, la canicule de cette année serait « asymptomatique » : les Français auraient chaud sans même s’en rendre compte !

La vérité c’est que si c’est vu à la télé : c’est vrai ! Et pour se faire en Angleterre comme en France, les merdias ont adopté une échelle de couleurs délirante pour les cartes des températures afin de créer la terreur, comme pour le couillonavirus.

La folie vert Greta est partout. En Ecosse, ils ont décidé que les parcs éoliens étaient le salut de la planète (sic).  Ils ont donc abattu 16 millions d'arbres. Mairi Goujon, leur ministre des Affaires rurales, a déclaré que l'entreprise qui construira les éoliennes s'occupera des « plantations de compensation ailleurs ».

C’est l’Ecosse qui fournit plus de la moitié de la consommation totale d'électricité de la Grande-Bretagne : plus de huit gigawatts. Mais les dirigeants estiment qu'il est nécessaire d'augmenter la capacité et de produire huit à douze gigawatts de plus qu'aujourd'hui.

Dire à tous ces demeurés que le climat c’est le temps long et que la météo c’est le temps court, c’est climatosceptique.

On voit par là que les cons et les merdias (c’est la même chose) mettent le paquet afin de nous convaincre que nous allons tous mourir si nous ne restons pas sagement à la maison, pendant que Bill Gates prend son jet privé pour aller boire un café.

Les vrais scientifiques crient au scandale mais on les prive d’audimat. Un des derniers en date, et pas des moindres, le Dr. John F. Clauser, lauréat du prix Nobel de physique 2022, n’est pas tendre avec le GIEC et ses cancres.

Ce physicien américain a reçu le prix Nobel 2022 pour des travaux qui ont montré que «l’intrication quantique » permettait à des particules telles que des photons d’interagir à grande distance. Chose qui nous ramène à ce que je vous explique depuis longtemps : l’implication du soleil et des rayons cosmiques dans le climat.

Mais rien n’y fait, et pendant que l’hystérique verte Sandrine Rousseau nous annonce 60° en Espagne, la blague du réchauffement gonfle comme une baudruche cet été. C'est normal, c’est l'été ! C'est une tradition nationale, surtout dans le sud.

La comique d'EELV, Sandrine Rousseau, a tiré à balles réelles sur la carte de l'Espagne, devenue rouge pivoine : inutile de dire que le parti qu'elle représente a encore marqué des points de crédibilité.

La mère Rousseau se sert de dès pipés afin de nous faire avaler sa boisson vert frelaté. Il faut dire que les cons ça ose tout et là, on atteint des sommets : l’Himalaya de la connerie.  

Pourquoi ? Parce que des mesures du style (60°), prise par satellite, donne une information de la température de la surface du sol. Elle peut être de 15-20°C supérieure à l'air suivant le type de sol et sa couleur.  Tous ces individus sordides roulent pour le même but : un nouvel ordre mondial.

Ce n’est donc pas du réchauffement, du refroidissement, du dérèglement ou de l’assèchement climatiques dont je doute.

Tout cela a lieu, et se trouve être cyclique.

Ne pas le constater relève de la folie pure. Il a neigé à la mi-juillet en Colombie-Britannique, le froid a été historique en l'Utah en 2023.

Le 17 juillet, l'Argentine a battu des records mensuels historiques de basse température : -22,5°C à l'aéroport de Perito Moreno et -11,2°C à San Antonio Oeste. La Sibérie a enregistré les températures les plus basses jamais vues depuis 90 ans.

En cause, le Soleil extrêmement actif avec des éjections de masse coronale et des orages magnétiques qui devaient culminer le 20 juillet.

Mais nous devons vivre une canicule.

L’élite l’a décidé, tout comme le covid-19. Pour se faire, ils ont commencé à utiliser les températures du sol, et non les températures de l’air à deux mètres au-dessus de la surface.

Avec ces normes modifiées, des « températures record » peuvent être « construites ».

En Sicile, la température n’a atteint que 32°C pendant le week-end, bien loin des 48°C, ce qui illustre la grande différence entre la température de surface du sol et les relevés effectués à deux mètres au-dessus du sol. Jetez donc un œil à cette courte vidéo :

https://twitter.com/i/status/1681333381143969792

Le 29 juillet 1983, Brigitte Simonetta nous annonçait en toute décontraction, que la température avait atteint 42,6° à Saint-Raphaël.

Il n’y a pas de vague de chaleur globale, la planète ne brûle pas, il y a des endroits bien au-dessus de la normale et en dessous, le froid en Argentine est tout aussi impressionnant que le chaud en termes d’écarts par rapport à la normale.

Mais restons cohérant et surtout dogmatique ! Que vaut la parole du "complotiste Cape" contre la pensée unique ? Le soleil, cette étoile qui nous chauffe et nous éclaire n’a aucune importance. Il n’a aucun effet sur le climat, mais les 0,04% de CO2 présents dans l’atmosphère oui...

Et pourtant, c’est bel et bien lui le chef d’orchestre climatique. Nos anciens le savaient parfaitement.  Mais pour des motifs que je vous rabâche sans cesse, c’est le « méchant » CO2 qui doit être considéré comme cause.

Pourquoi ? Parce qu’il implique l’homme, vous, moi, nous tous !

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/07/bienvenu-dans-goulag-mondialiste-partie-2.html

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A, b, c, d, et CBDC

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Les CBDC c’est quoi ?

Ce sont les cryptomonnaies des banques centrales ... et à ce titre, elles font l’objet d’une longue interrogation dans mon livre à sortir, concernant les fous nazis de Davos.

Rejoignant mon article précédent, dans une société sans argent liquide, la plupart des gens dépendraient des produits numériques pour l’échange de biens et de travail, ce qui signifierait bien sûr la fin de toute confidentialité dans les échanges.

Chapeauté par une taxe carbone rétroactive sur vos achats, tout ce que vous achetez, vendez ou travaillez dans votre vie serait enregistré, et cette absence d’anonymat pourrait être utilisée pour étouffer vos libertés et vous vampiriser en tant que "sale pollueur" au CO2.

Les produits que vous consommez, vos habitudes, les services que vous utilisez peuvent être suivis pour créer un profil psychologique sur vous. Ce profil pourrait ensuite devenir un facteur dans la détermination de votre score de crédit social, tout comme les autorités du PCC le font déjà en Chine.

Ainsi, si pas d’injection annuelle d’ARNm, l’algorithme de suivi en prend note. Vous êtes maintenant soupçonné d’être un "salaud d’antivax". Votre cote de crédit social s’effondre, ce qui vous exclut de divers lieux publics. Il se peut même que vous soyez licencié.

Avec les CBDC et l’absence d’argent liquide, vos économies ne vous appartiendront jamais vraiment et vous ne pourrez jamais détenir votre pouvoir d’achat entre vos mains.

Les moyens d’échange seraient bloqués par les banques et les gouvernements auraient la possibilité de geler votre capacité à effectuer des transactions.

Si un jour vous vous mettez en colère contre une politique gouvernementale particulière et que vous qualifiez ouvertement le système de corrompu sur les médias sociaux, ils pourront simplement vous interdire de transférer votre argent numérique à d’autres personnes jusqu’à ce que vous vous soumettiez, ou que vous mouriez.

Quant à l’aspect commercial à l’international, la nasse est également prête. Ceux qui ont l’habitude de me lire connaissent la BRI. Une institution globaliste au passé clandestin connue sous le nom de « banque centrale des banques centrales ». La BRI est à l’avant-garde du mouvement en faveur de l’adoption des CBDC.

Et pour cause ! Elle a concocté une chambre de compensation des changes pour les CBDC de détail (les monnaies numériques utilisées par le grand public et les entreprises), permettant à ces monnaies d’être échangées d’un pays à l’autre de manière rapide et efficace.

C’est comme le système de paiement SWIFT. Avec les CBDC en place, toute entreprise sera complètement dépendante du système pour transférer de l’argent numérique à l’étranger.

Supposons alors que les fonctionnaires de la BRI, pour une raison ou une autre, décident qu’ils ne vous aiment pas. Qu’après enquête, vous n’êtes pas assez LGBTQ ou Provax, ou pire encore, gros consommateur de CO2, et qu’ils prennent des sanctions à la russe en vous refusant l’accès. Votre entreprise n’a plus de raison d’être.

Comprenez-vous pourquoi ils sont si pressés ? Outre le fait de sauver le système de la DETTE à l’agonie, la BRI a désormais la capacité de manipuler les tendances sociales et culturelles en utilisant votre entreprise et des millions d’autres comme messagers forcés d’une idéologie folle autant qu’ignoble.

Pour le monde des affaires, une plateforme de type SWIFT pour les CBDC de détail pourrait être utilisée pour dominer l’ensemble du commerce international. Diriger une organisation ou une entreprise de plus grande envergure reviendrait à se plier aux caprices de la BRI.

Mais le pire est encore à venir ! Supposons qu’une crise économique d’envergure mondiale provoque des fluctuations (voir https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/03/bankable-partie-1.html   ) considérables de nombreuses devises.

Que le dollar américain perde son statut de réserve mondiale et son statut pétrolier, ce qui affole les marchés des changes. L’inflation des prix devient rampante et les institutions bancaires vacillent sous la pression des liquidités.

Supposons que les banquiers centraux introduisent les CBDC comme solution au problème, et le système de la BRI comme intermédiaire pour le commerce international.

La population serait tellement effrayée par le krach économique qu’elle adopterait le cadre numérique. Supposons maintenant que la BRI affirme qu’elle n’a toujours pas trouvé de monnaie qu’elle considère comme suffisamment stable pour servir d’intermédiaire dans la plupart des transactions mondiales.

Que se passe-t-il alors ?

Je l’ai déjà mentionné, la BRI et le FMI ont travaillé sur leur propre CBDC mondiale.

Dans le cas du FMI, cette monnaie mondiale unique serait basée sur le système de panier des droits de tirage spéciaux qu’il utilise depuis des décennies pour négocier les transferts de devises entre les gouvernements nationaux.

Viendra alors le moment où ces enfoirés diront : « Pourquoi s’embarrasser de ces échanges de monnaies nationales alors que nous disposons d’une monnaie-relais parfaitement efficace sous la forme de cette CBDC mondiale ? Pourquoi ne pas se débarrasser de toutes ces CBDC nationales superflues et n’avoir qu’une seule monnaie pour tout le monde ? »

C’est ainsi que l’on parviendrait à une centralisation financière mondiale totale. Et une fois que vous avez une monnaie mondiale unique, une économie mondiale complètement centralisée et micro-gérée et les systèmes commerciaux les plus vitaux du monde contrôlé par une minuscule poignée de bureaucraties non élues et sans visage, pourquoi alors avoir des nations ? Un gouvernement mondial serait la prochaine et dernière étape.

Ajoutez à tout ça « mes nanoparticules » et vous avez ainsi l’ADN qui donne naissance à la tyrannie économique basée sur l’IA.

Le développement des réseaux neuronaux et l’absence de contrôle sur ces programmes peut avoir des conséquences monstrueuses pour l’humanité. Ces réseaux neuronaux peuvent en effet se développer sans intervention humaine.

L’intelligence artificielle (IA) peut créer une meilleure version d’elle-même et commencer à mésinformer les gens en générant du contenu politique et des fake news.

L’intelligence artificielle peut rendre l’intelligence artificielle exponentiellement plus puissante. De plus, égo aidant, l’IA pourrait nouer des relations intimes avec les gens et influencer leurs décisions.

Allant dans ce sens, l’exemple de Blake Lemoine, un ingénieur de Google et désormais assez connue. Il a perdu son emploi après avoir affirmé publiquement que le chatbot LaMDA était devenu sensible.

Que Dieu nous garde !

Olivier

Et toujours pour ceux qui désirent en savoir plus : https://www.thebookedition.com/fr/37027_olivier-cape

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Roro et son empire basé sur la fausse science (Partie 7 et fin)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/04/roro-et-son-empire-base-sur-la-fausse-science-partie-1.html

Il est minuit moins une ! Rockefeller incarne à lui seul le fer de lance de l’idéologie d’une élite dont l’unique objectif est de vendre sans scrupule, d’asseoir une hégémonie et un pouvoir mondial dans l’intérêt de leur NOM.

Breveter le vivant, tout vendre en ignorant au passage le VRAI PROPRIETAIRE, tout refaire en molécules synthétiques, nier toute médecine autre que la pharmaco chimie, c’est l’idée de progrès affiché par tous ces Trusts reflétant l’idéal profond de leurs propriétaires : l’Ordo ab Chaos.

Cette politique est purement luciférienne. 

Elle n’a rien de démocratique et vise uniquement à modeler les masses à son gré en fonction de ses besoins (fondation, éducation, fausses normes scientifiques, propagande, destruction des médecines ancestrales et naturelles).

Le Codex Alimentarius croit et veut pouvoir nier l’opinion des peuples car il pense pouvoir modeler les masses à son gré. Il pense pour le gueux, agit pour lui et a la prétention de le « protéger » de lui-même selon des normes qui causeront notre perte (Voir les Georgia Guide stones).

En outre, ce Cartel pharmaco-chimique violente les vrais biologistes, les authentiques médecins, les vrais thérapeutes ou chercheurs.

Au lieu de prendre en compte les signaux d’alerte, cette chimie du Diable sert uniquement à couper l’interrupteur, couvrir la sonnette. Or, je le signale souvent, la maladie (le mal a dit) a une connotation spécifique dans la vie d’un individu, ne pas en tenir compte c’est ramener l’homme au rang de machine physico-chimique. Or, il est beaucoup plus que cela

Mais, filtrage aidant, le type d’information qui intéresse le 4èmeReich bientôt en place sera alors facile à extraire. Certains vont alors penser « on n’en est pas encore là, heureusement ! » Vous croyez ? auriez-vous pensé un seul instant vous retrouver confiné avec plus de quatre milliards d’humains début 2020 ? Auriez-vous alors imaginé que votre bol d’air journalier dépendrait d’un ausweis à 135€ ?

J’annonce depuis plus de douze ans les dangers de ce NOM, et d’autres l’ont fait bien avant moi et mieux.

Une dictature existe lorsque le gouvernement modifie la vie d’un peuple par dictat. C’est la concentration de tous les pouvoirs entre les mains d'un individu, d'une assemblée, d'un parti, d'une classe.

N’est-ce pas ce que nous avons vécu et vivons encore avec En Marche et son petit Jupiter qui nous empêchaient de bouger, puis désormais Renaissance qui s’échine à continuer à nous tuer ?

Klaus Schwab a déclaré que chaque fléau vécu sur Terre annonce toujours un nouveau reset.

Encore faut-il savoir qui orchestre le fléau ?! Considérant celui du Covid-19, si l’on considère la faible mortalité ne servant qu’à justifier un changement HAUTEMENT favorable à une poignée de salopards hypocrites autant que psychopathes, nous savons d’où vient l’arnaque.

À qui ont toujours profité les Révolutions, les guerres et autres monstruosités, si ce n’est à une petite élite messianiste à souhait, toujours les mêmes. Les Rothschild, les Warburg, les Rockefeller, et d’autres, sont les noms que l’on croise toujours dans ces manigance infames contre les peuples. Ils constituent le CANCER de ce monde.

Lorsqu’un Klaus Schwab déclare « dans l’avenir vous ne posséderez rien mais vous serez heureux », ne rejoint-il pas les propos d’un Jacques Attali pour qui, l’homme est nomade depuis ses origines ? Il n’a été que très brièvement sédentaire, et il est en train de redevenir, à travers la mondialisation, un nomade d’un nouveau genre.

« Grace » à des individus comme Schwab et bien d’autres, ce rêve devient désormais réalité grâce à une forme extrême de socialisme alliée à un contrôle complet concernant la façon de vivre, la consommation énergétique en décarbonant outre mesure sans discussion possible puisque nous sommes verrouillés, confinés, bâillonnés.

Et, en tant que confinés, des esclaves réduits au travail à domicile, nos seuls moyens d’expression sont ceux qui contrôlent l’information, ces GAFAM qui eux-mêmes prêchent pour ce « Great reset ».

Toutes nos applications de traçage ont été développées conjointement par Google et Apple qui contrôlent à eux seuls tout le marché des téléphones cellulaires. Vous n’avez donc même pas le choix de ne pas l’avoir.

En outre cette pandémie aura contribué au déclin désormais inéluctable de l’argent papier afin de pouvoir contrôler cent pour cent des échanges financiers mondiaux.

Agit donc déjà un gouvernement mondial non élu dont les directives se trouvent appliquées par les capos gouvernementaux nationaux.

Tous se sont engagés à rassembler des changements sociaux radicaux. Le grand capital et les grandes religions agissent ainsi main dans la main à cette concrétisation mondiale par le biais des nouvelles technologies. Si vous en doutez encore lisez ou relisez : http://vecteur-douceur.over-blog.com/2020/12/vicaire-or-not-vicaire-that-s-the-question.html  

En ce sens, le 11 juin 2020, Lagos 2020 DX Summit était dédié à assurer une manière de penser différemment pour les entreprises africaines, de manière à les faire évoluer rapidement et s'adapter à la dynamique de la transformation numérique, et comment elle remodèle le futur commerce mondial.

C’est un nouveau pouvoir à l’abord souriant œuvrant pour de belles directives qui agit hypocritement. Qui peut s’en méfier ou pire être contre ? C’est pourtant le loup Fabien déguisé en brebis qui est en train de refermer ses crocs sur une humanité apeurée autant que zombifiée.

Améliorer le sort de l’humanité semble être sur les lèvres de tous ces bons samaritains, objectif zéro pauvreté, égalité, tolérance, santé pour tous : des vœux pieux qui n’en sont hélas pas.

Un joli verbiage, de belles images alliées à de belles promesses sont autant d’éléments destinés à aveugler la gueusaille : c’est le « aie confiance, crois en moi … » du Serpent.

Ainsi au WEF tout est formulé sous forme d’intentions positives, Schwab y fait donc la promotion d’un capitalisme engagé socialement.

Toutes ces grandes entreprises qui pillent et polluent la planète depuis des lustres doivent toutes être engagées socialement. Qui peut être contre ça ?

Tout le monde se congratule devant les merdias en signant de grandes chartes assorties de photos à faire pleurer dans les chaumières et ça passe !

Tout le monde avale le breuvage frelaté sans penser un seul instant, réfléchir au FAIT que ça n’est ni plus ni moins que l’invitation donnée au GRAND CAPITAL à gouverner la planète de ses « bonnes intentions » ses « vœux pieux ». 

Alors qu’en fait, derrière, se cachent en embuscade des mécanismes totalitaires visant à te dire ce que tu dois faire ou penser, quelles doivent être ces valeurs te permettant de vivre, te déplacer et travailler.

Es-tu d’accord pour que toutes et tous vivent plus longtemps et à égalité devant la santé ? La réponse est oui ! Alors je vais t’apposer un certificat de vaccination. Les autres, les réfractaires, on va les confiner, les brimer, les montrer du doigt et les priver de liberté.

"Si l’on veut s’en sortir face à ces salops de réfractaires au progrès, ces égoïstes, il faut que nous soyons tous vaccinés, traçables et que nous ayons tous un comportement correct face à Skynet et ses Terminator."

Partout où il y a de la convivialité et de l’échange d’information, on assiste à une casse massive : restaurants, bars, théâtres, cinémas, dancing, salles de sport, etc., tous sont mis à mort et sous tutelle de subsides gouvernementaux.

Tu reçois l’aumône si tu es en accord avec les mesures gouvernementales ou alors tu meurs.

Combien sont dépendants de l’Etat macrophage et de sa politique ?

Tous les systèmes totalitaires ont fait et font de belles promesses du style travail pour tous ou éradication de la faim, etc. Doit-on leur laisser carte-blanche pour des belles promesses qu’on sait ne jamais être tenues ?

Stalinisme ou socialisme à la Hitler étaient tous deux bardés de belles promesses tenues pour certaines mais à quel prix !

L’idée première est d’affaiblir moralement, physiquement et financièrement les masses : travailleurs, étudiants, indépendants et retraités, de manière à les amener à collaborer docilement au PLAN de globalisation.

C’est chèque contre traçage, ou plus de traçage parce que plus de chèque et une révolte concomitante. Dans les deux cas, le gueux se trouve baisé par le système. Souvenez-vous durant le premier confinement combien ont apprécié d’être payé à rester chez eux en télétravail !

Nous sommes face à un danger, THE DANGER. En termes bibliques tous les princes et les principautés de la Terre sont réunis afin d’asservir l’humanité à leurs idéo satanistes.

Le marketing au sujet de la pandémie a été à ce point réussi qu’il leur permet désormais d’aller au terme de leur PLAN. Ceux qui en doute encore n’ont qu’à se plonger dans les textes du Club de Rome, de l’ONU, du FMI ou du Forum Economique de Davos, rien n’est caché, il suffit d’avoir le courage de compulser.

Et au bisounours qui croient encore à un retour à la normale avec ou sans la « sainte piquouze » mortifère, je les invite à lire ou écouter les propos de John Kerry. C’est le poids lourd démocrate américain qui signa l'accord de Paris pour les Etats-Unis négocié en décembre 2015.

Avec la nouvelle élection US, il est devenu le Monsieur climat de Joe Biden. Pour ceux qui croient à un retour à la normale, c’est lui qui, au WEF, avait déclaré « un retour à la normal n’existe pas ».

Avec sa nomination au poste de représentant spécial pour le climat, Biden a misé sur un diplomate rompu au multilatéralisme. De cette manière, à l’inverse de Trump, il avait consacré le retour prévu des Etats-Unis dans l'accord de Paris. Joe Biden avait promis de revenir dès le premier jour de son mandat, le 20 janvier 2021, dans l'accord climatique.

Kerry avait quitté le département d'Etat quand Donald Trump a pris les rênes du pouvoir, en janvier 2017. Et le climat était depuis devenu l'un de ses sujets de prédilection.

En 2019, il avait lancé une coalition de vedettes et personnalités pour mobiliser contre la crise climatique, baptisée « World War Zero » (Guerre mondiale zéro). Le diplomate a exploité son carnet d'adresses : Leonardo DiCaprio, Emma Watson, Arnold Schwarzenegger avaient rejoint l'initiative.

« Aucun pays ne fait le travail sur le changement climatique », disait alors Kerry. « Nous devons traiter cela comme une guerre ». Objectif : atteindre la neutralité carbone en 2050.

Ainsi, à l’inverse d’un Trump tant décrié, 2020 et couillonavirus représentaient un coup de pouce pandémique pour vite atteindre l’objectif fou affiché par Joe Biden : la neutralité carbone en 2050.

En 2015, à la signature de l'accord de Paris, l'idée d'un monde neutre en carbone 35 ans plus tard paraissait si radicale qu'elle n'était pas explicitement incluse dans le texte. Mais en seulement cinq ans, nombre de pays, et l'Union européenne, se sont ralliés à l'objectif de 2050.

Même la Chine l’avait annoncé, mais en visant 2060, non sans critiquer les Etats-Unis, deuxième émetteur mondial de CO2. La feuille de route de John Kerry serait de retrouver la confiance des partenaires des Etats-Unis et de prouver que la structure de l'accord de Paris, fragilisée par Donald Trump, était bien « la bonne ».

Au-delà de toutes ces considérations, il est grand temps que l’humanité comprenne que nous sommes en face de deux conceptions de l’homme, d’un côté l’homme robot, rouage au service d’un système, et l’homme holistique reflet microcosmique de l’univers.

Aujourd’hui le choix nous est donné de vivre au lieu de fonctionner…

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Quant à celles et ceux qui veulent en savoir plus, j’ai ceci :

https://www.thebookedition.com/fr/37027_olivier-cape       

Fin

Olivier

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Roro et son empire basé sur la fausse science (Partie 6)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/04/roro-et-son-empire-base-sur-la-fausse-science-partie-1.html

C’est cette fameuse « thérapie de choc » instituée par les taux d’intérêts de Volcker, en octobre 1979, et soutenu par les Rockefeller, qui sera à l’origine durant les années 1980 de la « Crise de la Dette du Tiers-monde ».

Les Rockefeller et Wall Street utilisèrent cette crise de la dette afin de forcer aux privatisations des entreprises d’État, et à des dévaluations drastiques des devises nationales dans des pays comme l’Argentine, le Brésil ou le Mexique.

Rockefeller et ses potes, parmi lesquels George Soros, s’emparèrent ensuite à vil prix des richesses de ces pays : Argentine, Brésil, Mexique. Les intérêts des Rockefeller utilisèrent la crise de la dette des années 1980, afin de voler la plupart des pays d’Amérique latine endettée et des pays africains, utilisant le FMI comme s’il s’était agi de leur propre gendarme.

David Rockefeller était un ami personnel de certains des plus vils dictateurs militaires d’Amérique latine, incluant le Général Jorge Videla en Argentine, ou Pinochet au Chili : ces deux-là devaient d’ailleurs leur poste à des coups d’État de la CIA arrangés par celui qui était alors le Secrétaire d’État américain, Henry Kissinger, au nom des intérêts de la famille des Rockefeller en Amérique latine.

À travers des organisations comme la Commission Trilatérale, Rockefeller fut le principal architecte de la destruction des économies nationales, et de la marche en avant de la soi-disant « Mondialisation » : une politique qui bénéficie avant tout aux grosses banques de Wall Street et de la City de Londres, et à des multinationales sélectionnées : les mêmes qui sont des membres régulièrement invités de sa Commission Trilatérale.

Rockefeller créa en effet la Commission Trilatérale en 1974, et donna à son ami proche Zbigniew Brezinski, le poste consistant à choisir ses membres en Amérique du Nord, au Japon en Europe.

Conclusion : je parle souvent de l’Etat profond (Deep State) ; le puit de l’abîme. S’il est un monstre émergeant trop souvent de cet abyme et pour notre plus grand malheur, c’est bien le Kraken que constitue cette sinistre famille au même titre que celle des Rothschild. David Rockefeller s’est vu lui-même comme le Patriarche de cet État Profond.

Mais, soyons honnêtes ! Que ferait-on sans la « philanthropie » et les fondations qui d’une part servent à défiscaliser un max tout en vous faisant passer pour un saint homme ?

Et là, en l’occurrence, la Fondation Rockefeller sert également à conquérir des marchés sur d’autres continents, avec les mêmes méthodes que Rockefeller avait lui-même appliquées pour créer son empire pétrochimique au cours des précédentes décennies.

C’est ainsi qu’en 1925, la course pour le contrôle du marché mondial des produits pharmaceutiques est lancée. De l’autre côté de l’Atlantique, et en Allemagne, un premier cartel chimique-pharmaceutique sera créé pour s’opposer à la conquête du marché mondial par Rockefeller.

Dirigé par les multinationales allemandes Bayer, BASF et Hoechst, le cartel I.G. Farben va naître fort de plus de 80 000 employés. Mais en règle générale, les requins évitent de se manger entre eux. Ainsi, le 29 novembre 1929 le cartel Rockefeller (U.S.A.) et le cartel I.G. Farben (Allemagne) décident de diviser le monde en sphères d’intérêt selon le même principe qui, 18 ans plus tôt, avait provoqué la condamnation de l’ami Roro, lorsque son trust avait divisé les États-Unis en « zones d’intérêt ».

Mais l’appétit des squales étant insatiable, entre 1932 et 1933, le cartel I.G. Farben, tout aussi affamé, décide de ne plus s’en tenir aux limites fixées en 1929. Ses dirigeants ne trouvent donc rien de mieux que d’apporter leur soutien à un politicien allemand qui leur promet de conquérir le monde par les armes.

Dans chaque pays envahi par Hitler, les premières actions vont donc consister à piller les industries chimiques, pétrochimiques et pharmaceutiques et à les intégrer gratuitement à l’empire I.G. Farben. Dès 1932, IG Farben financera Adolf Hitler, à hauteur de 400 000 Deutschemark, soutient sans lequel, selon le tribunal de Nuremberg « la Deuxième Guerre mondiale n’aurait pas pu avoir lieu… »

Pendant que de l’autre côté de l’Atlantique, le succès commercial du Nujol ne se dément pas et permet à Roro et ses porte-flingues de diversifier la production pharmaco-chimique et d’atteindre des sommets en termes de bénéfices.

En 1948, le chiffre d’affaires va s’élever à 10 milliards de dollars. Mieux encore, de nos jours, le Nujol existe toujours sous forme d’huile de paraffine pure. Classé comme laxatif doux, il est fabriqué par le laboratoire Fumouze.

Big pharma tel que nous le connaissons sera conçu par association de Rockefeller avec l’IG Farben nazie. En 1939, juste avant que des millions de malheureux ne souffrent ou meurent, la Standard Oil détenue alors par John D. Rockefeller prendra 15% de participation dans ce nouveau trust germano-américain.

Et bien entendu, durant tout le conflit, l’industrie pharmaco-chimique IG Farben en Allemagne ne sera jamais bombardée afin de préserver les intérêts de Rockefeller.

En 1941, IG Farben dirige la plus grande industrie chimique du monde à Auschwitz, grâce à la main d’œuvre du camp fabricant le gaz Zyklon B. Au procès de Nuremberg, 24 de ses responsables seront déclarés coupables de génocide, d’esclavage, de pillages et d’autres crimes.

Néanmoins, tous ces « braves » gens seront libérés après leur condamnation en 1952 avec l’aide de Nelson Rockefeller alors Ministre des Affaires Étrangères des USA.

Une fois libérés, ces ex dirigeants d’IG Farben phagocyteront les plus hautes sphères de l’économie allemande. Jusque dans les années 70, les PDG des sociétés BASF, BAYER, et HOECHST seront d’anciens membres du parti nazi qui, à partir de 1959, financeront le jeune Helmut Kohl.

Et grâce à ce lobbying, les trois filiales issues de l’IG Farben sont de nos jours vingt fois plus grandes que la maison mère initiale de 1941.

Donc, depuis longtemps, la planète est organisée et gérée afin d’assurer l’expansion industrielle de Big pharma.

Afin de continuer à prospérer quoi de mieux qu’un nouveau nom et IG Farben va devenir : Association de l’Industrie Chimique. En 1955, cette industrie du diable va se regrouper sous les auspices de la Chambre de Commerce Internationale des Nations Unies et du gouvernement allemand.

Et tous leurs efforts seront dissimulés sous un nom de code : CODEX ALIMENTARIUS. Et qu’ils soient de gauche ou de droite, un grand nombre de partis politiques européens seront financés par cette industrie mortifère afin de s’assurer des législations favorables.

Le Codex entend mettre hors la loi toute information alternative de santé en rapport avec les vitamines, les thérapies naturelles, les compléments alimentaires et tout ce qui constitue de près ou de loin un concurrent potentiel.

L’état d’esprit qui préside à la mondialisation pharmaco-chimique et la mondialisation tout court explique en grande partie la destruction systématique de tous les novateurs scientifiques indépendants depuis 50 ans.

Chez ces salopards tous les coups bas sont permis, et tous les moyens sont bons pour sauvegarder les parts de marché en matière de cancer, sida, maladies cardio-vasculaires, etc…

Depuis des décennies, on est en mesure de soigner et de guérir dans bien des cas toutes ces maladies, mais de puissants procédés de désinformation sont en place pour cacher ces vérités au grand public.

La mise hors la loi de toute information sur les médecines alternatives empêche l’éradication de certaines maladies leur assurant toujours plus de profits.

Cette industrie mondiale est celle du diable, volontairement mortifère. Elle ne traite que les symptômes sans s’attaquer aux causes.

Les maladies chroniques rapportent du fric alors à quoi bon s’occuper de leur prévention ou de leur éradication ?

Ainsi, doivent-elles perdurer afin d’assurer la croissance du marché des médicaments. Comment ? Des légions de lobbyistes sont employés à influencer les législateurs, pour contrôler les organismes de réglementation, pour manipuler la recherche médicale et l’éducation (dons aux Universités, etc…)

L’information des médecins est intégralement financée par ces trusts qui cachent soigneusement un grand nombre d’effets secondaires dangereux, voire mortels en les reniant publiquement.

A partir de juillet 2005, les directives du Codex Alimentarius nommées « Directive Européenne sur les Suppléments Alimentaires » furent appliquées sous peine de sanctions financières.

Il s’agissait de supprimer tout supplément alimentaire naturel, remplacés par 28 produits de synthèse pharmaceutique à bas dosage (car toxiques) et uniquement disponibles en pharmacie sous prescription médicale.

Les médecines naturelles telles que l’acupuncture, la médecine énergétique, ayurvédique, tibétaine etc., se verront progressivement interdites.

L’agriculture et l’alimentation animale se verront réglementées selon les normes du complexe pharmaco-chimique, interdisant du même coup la bonne agriculture biodynamique. L’alimentation humaine certifiée légale devra être irradiée au Cobalt.

Le Codex Alimentarius contrôlera l’accès aux acides aminés essentiels, les huiles de poisson, les vitamines et les minéraux. Le but étant qu’à terme l’élargissement des contrôles opérés progressivement mettent à mal toutes les médecines alternatives naturelles.

Le Codex Alimentarius n’est donc qu’un organe de propagande du complexe pharmaco-chimique visant le monopole mondial le plus despotique que nous n’ayons jamais connu, alors que des centaines de millions de citoyens à travers le monde n’entendent pas laisser des médecines naturelles millénaires être interdites pour les parts de marché de la pseudo-science pharmaco-chimique.

Cette pharmacochimie tue beaucoup plus qu’elle ne soigne. Un rapport de l’ONU affirme d’ailleurs que sur plus de 200 000 médicaments de ces industries seuls une bonne vingtaine sont indispensables. Et, parmi ceux-ci, seulement 9 devraient bénéficier d’une priorité absolue.

Si l’on a recours aux vieilles médecines, ces 9 composés chimiques ne sont de presque aucune utilité. Autant dire que sans cette médecine du diable, le monde se porterait beaucoup mieux.

Cette dichotomie abjecte entre médecine naturelle et allopathique s’effectue toujours au détriment des « gueux ». Ces dispositions visent à faire de l’argent à partir de remèdes brevetés et ainsi à discréditer l’usage de produits naturels.

Voici un simple exemple symptomatique de l’hypocrisie inerrante à une forte partie de la classe politique. Chez la perfide Albion, les médecins exerçant des médecines naturelles, supportés par des membres de la Chambre des Lords se sont fermement opposés à la politique pro-Codex du sataniste Tony Blair.

Ce dernier avait, à l’époque, révélé publiquement utiliser pour sa famille des remèdes naturels, des compléments alimentaires et l’homéopathie tout en faisant l’apologie du CODEX.

Tony Blair sera Président de l’Union Européenne précisément à partir du 1erjuillet 2005, jour d’application des directives du Codex.

Nous sommes arrivés à une charnière historique, un bras de fer entre deux conceptions du monde. C’est pour cela que j’ai décidé de mettre un coup de booster et faire connaitre ma littérature. Je n’ai pas la prétention de « sauver » le monde. Si j’arrive seulement à éveiller quelques personnes n’ayant pas encore sombré en phase de sommeil profonde, j’aurai gagné !

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Quant à celles et ceux qui veulent en savoir plus, j’ai ceci :

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Olivier

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