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Bienvenu dans goulag mondialiste (Partie 5)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/07/bienvenu-dans-goulag-mondialiste-partie-1.html

Mais reconnaitre ces FAITS obligerait les ingénieurs sociaux à renoncer à argumenter contre la possibilité d’une production de viande éthique. Le discours végane veut que nous nous concentrions sur un crime éthique parce que c’est la campagne de recrutement parfaite pour les mouvements anti-viande.

Il reste néanmoins des viandards, beaucoup. C’est pourquoi les ingénieurs sociaux ont depuis longtemps compris qu’ils devaient pimenter l’histoire au-delà de l’éthique.

Voilà pourquoi la viande doit également être mauvaise pour l’homme et la planète. Mais la réalité est qu’un régime purement végétalien ne suffit pas à maintenir la plupart des gens en bonne santé. Une version pauvre en graisses n’est pas suffisante pour assurer l’entretien et la réparation à long terme du corps humain.

C’est au fil des ans que les problèmes chroniques s’accumulent lentement. L’équilibre en acides aminés. Et l’incidence des problèmes chroniques est nettement plus élevée chez les femmes de la quarantaine et de la cinquantaine qui suivent un régime végétalien depuis au moins 15 à 20 ans.

Les femmes qui ont évité la viande pendant plus de dix ans présentent davantage de problèmes chroniques, une baisse d’énergie, une plus grande incidence de dépression, des problèmes intestinaux et un système immunitaire plus faible.

Il est important de souligner que le régime alimentaire est toujours très individuel. Tout le monde n’a pas besoin de viande comme les autres. Mais on peut affirmer que presque tout le monde a besoin de produits d’origine animale dans son alimentation. La raison en est simple.

La viande peut fournir certains nutriments essentiels qu’aucun régime végétalien ne peut fournir avec la même efficacité métabolique.

Ces nutriments comprennent les vitamines A, B12, D3 et K2, le fer héminique, la taurine, la carnosine, la créatine, l’ALC, l’EPA et le DHA. Le zinc, l’iode, la méthionine, la leucine, la choline et la glycine sont des nutriments dont la teneur est faible dans les plantes.

Elles présentent souvent différentes formes d’un même nutriment qui sont moins biodisponibles et sont métabolisées différemment.

La vitamine A est essentielle à l’assimilation des protéines et du calcium, à la croissance osseuse, à la vue, au fonctionnement du système immunitaire, à la fonction thyroïdienne et à la production d’hormones sexuelles et de stress. Les régimes végétariens et végétaliens souffrent d’une carence quasi-totale en vitamine A.

La vitamine D favorise la solidité des os, la santé du système immunitaire, la réduction des inflammations, le métabolisme des minéraux, l’absorption du calcium, le tonus musculaire, le métabolisme sain du glucose, la fonction cellulaire et la longévité. L’organisme a naturellement besoin de D3, qu’il fabrique lorsqu’il est exposé au soleil.

Néanmoins, l’organisme a besoin d’aliments d’origine animale (y compris les crustacés, les huiles de foie de poisson, les jaunes d’œuf, les abats, la graisse de beurre et la graisse d’oiseaux et de porcs) car la D2 provenant des plantes est largement inférieure et la D3 provenant des aliments d’origine animale et beaucoup plus biodisponible et puissante.

La vitamine B12 joue un rôle dans la synthèse de l’ADN, la formation de la myéline, la production de globules rouges et le maintien du système nerveux central.

Il n’existe pas de sources végétales fiables de B12, c’est pourquoi les végétariens et les végétaliens présentent des niveaux élevés de carence en B12, entrainant fatigue, dépression, anxiété, mauvaise mémoire, problèmes d’équilibre, détérioration de la vision, confusion mentale.

Des données similaires s’appliquent aux acides gras oméga 3, qui sont essentiels pour les membranes cellulaires. Il n’est pas facile d’obtenir des oméga-3 à partir de graines de lin ou de chia.

Le poisson gras ou la viande nourrie à l’herbe seraient une bien meilleure alternative pour préserver la santé cellulaire. En plus, il est extrêmement difficile d’obtenir les 17 minéraux essentiels exclusivement à partir de sources végétales. Si nous devions éviter les aliments d’origine animale, nous devrions consommer des quantités d’équivalents végétaux pour atteindre des niveaux minimaux acceptables.

Avant que le colonialisme occidental ne les atteigne, les tribus indigènes prospéraient grâce à des régimes riches en graisses et centrés sur la viande, sans souffrir de maladies chroniques. Pas d’hypertension et de diabète, et la population indigène était mince.

Quarante ans de régimes britanniques à forte teneur en glucides ont suffi à transformer les Kényans minces en Africains obèses.

L’Inde a également été transformée en « capitale mondiale du diabète » grâce aux habitudes alimentaires introduites par les Britanniques.

Néanmoins, comme avec le GIEC, moult études persistent à « prouver » que les mangeurs de viande sont plus malades et plus enclins aux maladies chroniques. Mais lorsqu’on soulève le rideau, on découvre une autre réalité.

Souvent, les rares scientifiques qui ne sont pas d’accord avec le « consensus » sont des indépendants intègres qui ne sont pas influencés par les salaires des entreprises ou les subventions de recherche.

En bref, les recherches sont « cuisinées » pour donner une mauvaise image de la viande. Ces études erronées sont ensuite propagées par l’OMS, et citées par les médias grand public comme si elles représentaient des vérités axiomatiques, au même titre que les vaccins contre couillonavirus.

Les hormones utilisées dans la production animale pour favoriser la croissance et potentiellement perturber l’équilibre hormonal chez l’homme sont une réalité ainsi que l’action d’une foultitude d’autres produits chimiques ajoutée.

Il ne fait aucun doute que la consommation de ces produits chimiques, même sans viande rouge, vous rendra probablement malade.

Mais ce qui est flagrant, c’est que les études épidémiologiques ne font pas de distinction entre la viande provenant d’animaux nourris sainement dans des parcs d’engraissement et celle provenant des pauvres animaux victimes des goulag chimiques. Il est difficile de trouver une seule étude prouvant que les viandes biologiques ont un effet négatif sur la santé.

Mais il y a encore un hic : les pets de vaches. L’histoire originale de la contribution catastrophique des vaches aux niveaux de méthane provient d’une étude de l’Université d’Oxford qui a été citée lors d’une émission publique au Royaume-Uni en 2020.

Les médias ont détourné l’histoire pour en faire la preuve que les humains pourraient réduire leur empreinte carbone jusqu’à 73 % s’ils devenaient végétaliens.

Cependant, l’étude d’Oxford fait référence à l’empreinte de différents aliments, et non à celle de l’homme. La différence est de taille.

L’empreinte alimentaire d’un individu est estimée à 16 % au maximum, ce qui signifie que le maximum théorique de réduction de l’empreinte individuelle en devenant végétalien est de 16 % sur 73 %, soit environ 10 %.

Cependant, l’argumentation est biaisée. Tant que des milliards d’animaux d’élevage seront séparés du cycle de l’azote, produisant des déchets qui ne sont pas recyclés efficacement dans la nature, des dommages incalculables continueront d’être causés aux animaux et à la planète, y compris de vastes quantités de méthane inutilement libérées.

En revanche, si, par miracle, nous suivons le cycle naturel en intégrant des animaux en pâturage libre, nous bénéficierons d’un autre avantage qui inversera la tendance, à savoir la séquestration, c’est-à-dire la manière dont la gestion naturelle des terres capture le CO2.

En effet, ces politiques de gestion des terres axées sur la séquestration ont le pouvoir d’inverser la donne et dans une certaine mesure leur foutu « changement climatique », la désertification et la production de méthane, mais elles sont rarement, voire jamais, abordées par les scientifiques ou les médias. Vous vous demandez pourquoi ?

Les médias grand public propagent des allégations absurdes faites dans le cadre d’opérations publicitaires, prétendant que l’agriculture animale est responsable de 51 % de l’ensemble des émissions de gaz à effet de serre.

En réalité, aux États-Unis, c'est-à-dire chez THE viandards, l’agriculture représente 9 % des émissions totales, le transport 29 % et l’industrie 22 %. Les émissions animales représentent 4 % du total de l’agriculture, tandis que celles de l’agriculture non animale s’élèvent à 5 %.

Voilà qui est clair. L’agriculture animale, même dans l’état incroyablement mauvais où elle se trouve aujourd’hui, n’est pas pire que l’agriculture non animale en termes d’émissions.

Ces chiffres représentent la réalité actuelle, très inefficace, sans séquestration ni recyclage de l’azote. C’est celle que nous devrions réformer au lieu de malmener notre approvisionnement alimentaire.

Avec des individus comme Maurice Strong et le Deep State, tout est prévu de longue date. Représentant une menace redoutable pour la santé mondiale, les aliments transformés, pauvres en graisses et à base de plantes ont déclenché l’épidémie d’obésité dans les années 1980.

L’industrie de la fausse viande progresse déjà à pas de géant. Selon Bloomberg, le marché de la viande d’origine végétale pourrait atteindre 450 milliards de dollars d’ici 2040 et croître d’au moins 70 milliards de dollars au cours de la prochaine décennie.

Ceux qui feront confiance à ces merdes feront connaissance avec les protéines synthétiques ultra-transformées, les additifs, les conservateurs, les stabilisateurs, les concoctions d’OGM, les émulsifiants, les huiles de graines, les sucres, les régulateurs d’acidité et les épaississants régurgités dans une matrice d’éprouvettes d’une manière qui les rendra accros à vie.

Toutes ces merdes ne vont pas seulement remplacer les produits carnés naturels, mais aussi les produits laitiers, les œufs et les céréales.

Et comme nous sommes ce que nous mangeons, bonjour les dégâts !

Il y a également un autre aspect que le récit principal végétalien occulte dans ce contexte : la quantité de souffrances et de meurtres d’animaux dus à l’agriculture moderne en tant que telle. La monoculture n’est pas possible sans l’abattage massif de formes de vie diversifiées.

Peu font le calcul, mais nous ne sommes pas seuls sur terre. Sans la biodiversité, nous ne sommes rien. Ainsi, pour cultiver n’importe quoi, n’importe où, nous devons tuer moult rats, souris, spermophiles, écureuils, abeilles, papillons, oiseaux, etc.

Le ministère américain de l’agriculture estime à 1,3 million le nombre d’animaux indigènes tués chaque année pour protéger l’agriculture non animale. Au total, au moins vingt-cinq fois plus d’animaux sont tués par kilo de protéines utilisables par rapport à la production de viande.

Cependant, il existe un argument plus profond lié à la nature de la vie. Nous devrions le prendre en considération. Toute forme de vie dépend de la consommation d’autres formes de vie.

Même le végétal est mangeur de viande via la transmutation éternelle d’une forme à l’autre.

Même si nous nous en tenons aux principes les plus purs de la nature, où nous protégeons les animaux, la planète et les intérêts humains avec un équilibre égal, nous continuerons à nous manger les uns les autres.

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/08/bienvenu-dans-goulag-mondialiste-partie-6.html

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