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economie

Anne, ma sœur Anne ne vois-tu rien venir ? (Partie 4)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/01/anne-ma-soeur-anne-ne-vois-tu-rien-venir-partie-1.html

La diminution des quantités de pétrole disponibles va entraîner des bouleversements importants qu’il est nécessaire d’anticiper. Or ce n’est pas réellement le cas actuellement. D’où l’intérêt primordial de tels articles, en vue notamment d’imaginer d’autres sources alternatives. Tous les experts et les scientifiques du monde tirent les mêmes conclusions. Ils estiment que la demande mondiale en pétrole va croître de 50% d’ici à 2025.

Pour satisfaire cette demande, de nouveaux champs doivent continuellement être découverts et le pétrole produit pour compenser l’épuisement des anciens champs et pour satisfaire la demande mondiale sans cesse elle aussi croissante. Sinon la production mondiale de pétrole ne satisfera plus la demande. Durant le siècle dernier, le développement économique mondial a fondamentalement été façonné par la disponibilité et l’abondance du pétrole bon marché.

Les transitions énergétiques précédentes (du bois au charbon, du charbon au pétrole, du pétrole au nucléaire, du gaz naturel aux schistes et quoi encore… !) ne furent même pas progressives et évolutives. Elles n’existent tout simplement pas. Sur ce sujet épineux, je vous invite à lire ma série :

https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/10/rien-de-nouveau-sous-le-soleil-de-satan-partie-1.html

Lorsque vous l’aurez lu, vous comprendrez que les transitions énergétiques ne sont que de la daube en gelée.

Ainsi, le fameux pic pétrolier sera abrupt et surprenant puisque voulu par l’élite luciférienne dans leur option Ordo Ab Chaos. Le monde n’a jamais fait face à un problème comme celui-ci, le pic pétrolier prendra de vitesse la transition du fossile au renouvelable, car la déesse de la richesse et de la bonne fortune, Vishnu au mille bras, va disparaitre et avec elle ses services.

Sans une préparation massive au moins de 20 ans avant les faits, le monde occidental vivra dans toutes les prochaines années au ralenti et dans l’obscurité.

Le raisonnement est simple, logique et sans équivoque : la société telle que nous la connaissons ne peut subsister sans pétrole. Il est le pilier de l’économie du monde industrialisé, car notre système fonctionne grâce aux hydrocarbures : transports, chauffage, l’eau chaude, l’électricité, les matières plastiques, les produits de beauté, les vêtements, mais aussi et surtout l’agriculture devenue intensive « grâce » aux engrais chimiques, aux traitements herbicides, fongicides et insecticides.

C’est cette superposition de facteurs concomitants qui a permis durant le 20e siècle de multiplier la population mondiale par trois.  Tout dans nos vies est conditionné et intégralement subordonné au pétrole.

Sa disparition équivaudrait par conséquent à une décroissance économique dramatique, à l’explosion du chômage massif (des Etats entiers vivant du pétrole) et à la réduction sensible du niveau de vie dans les pays industrialisés. Ce sont donc, selon le souhait de tonton Schwab, famine, désolation urbaine, exodes et mort qui nous attendent si nous ne dénonçons pas rapidement et en masse la falsification des chiffres. Les inexactitudes et les calculs sur l’avenir du pétrole sont l’objet d’une monstrueuse escroquerie intellectuelle.

Les hommes politiques ne veulent pas parler de catastrophe, car cela supposerait qu’ils apportent des remèdes, ce qu’ils savent impossible. Les pays producteurs exagèrent leurs ressources car elles reflètent le patrimoine financier que les Etats valorisent ou déprécient selon leur intérêt du moment. Pour les compagnies pétrolières, l’enjeu est évident. Leur valorisation boursière dépend en effet des réserves dont elles peuvent se prévaloir.

Nous consommons plus de 86 millions de barils par jour dans le monde, la théorie de la substitution, à terme, du pétrole, laisse perplexe les experts indépendants. En effet, ils prédisent également une déplétion pour le gaz naturel (2030) et le charbon (2050), ressources tout aussi épuisables que le pétrole. Le pétrole et le gaz représentent aujourd’hui 60% de la consommation énergétique.

Leur déplétion va nécessiter soit de réduire la consommation, soit de se tourner vers d’autres sources d’énergie, il n’existe pas de remplaçant unique au pétrole qui attendrait son tour en coulisse, mais plusieurs énergies de substitution en retard de maturation. Le futur énergétique sera pluriel.

L’information, la vraie (pétrole abiotique), est détenue par les Etats et les compagnies pétrolières assujettis à « l’élite qui nous veut du bien » et le secret est de règle. Alors, lorsqu’on nous parle de transition énergétique, relisez donc mes articles consacrés à une transition qui n’a jamais eu lieu. Au mieux pouvons-nous parler de superpositions énergétiques.

Quant au "méchant CO2", me concernant, je ne cesserais jamais de l’aimer car il est source de vie. D’ailleurs sur ce sujet voici ce que déclarait feu Freeman Dyson (1923-2020), un physicien théoricien et mathématicien britannique-américain. Pour lui, la Terre entière est plus verte grâce à l'augmentation du dioxyde de carbone dans l'atmosphère. Selon lui, comme je l’indique dans Tonton Malthus, les modèles informatiques aident à comprendre le climat, mais ils sont très mauvais pour le prédire.

« Comme mesurée depuis l'espace, la Terre entière devient plus verte à cause du dioxyde de carbone, donc cela augmente les rendements agricoles, les forêts et augmente la croissance du monde biologique, et c'est plus important et plus certain que les effets sur le climat. », avait déclaré Dyson lors d'une interview avec Conversations that Matter en 2015.

Freeman Dyson, était un physicien théoricien et mathématicien américain d'origine britannique, connu pour ses travaux sur la théorie quantique et la physique de la matière. Il était l'une des figures les plus célèbres de la physique du 20e siècle. En 2006, Dyson a publié « The Scientist as Rebel », dans lequel il remettait en question le rôle de l'activité humaine dans le générateur climatique.

Dans une interview accordée à Physics World en 2008, il a déclaré que l'argent dépensé pour lutter contre le changement climatique devrait plutôt être ciblé sur « d'autres problèmes plus urgents et plus importants, tels que la pauvreté, les maladies infectieuses, l’éducation publique et santé. Il a également déclaré que réfléchir aux avantages potentiels du changement climatique « ne nous fera aucun mal ».

En 2015, il rejoint Stuart McNish, animateur de Conversations that Matter . « Il y a un changement climatique provoqué par l'homme », a-t-il déclaré. « La question est de savoir combien et si c'est bon ou mauvais. Tout d'abord, nous ne comprenons pas les détails. C'est probablement beaucoup moins qu'on le prétend généralement et le plus important est que le dioxyde de carbone a d'énormes effets non climatiques qui sont extrêmement favorables [et] qui ne sont pas pris en compte », a-t-il déclaré.

Comme mesurée par les satellites, « la Terre entière devient plus verte à cause du dioxyde de carbone présent dans l'atmosphère ». Dyson a commencé à étudier les effets du dioxyde de carbone (CO2) présents dans l'atmosphère sur la végétation « il y a 37 ans », c'est-à-dire vers 1978. Il a expliqué que l'augmentation du CO2 entraîne une augmentation des rendements agricoles, des forêts et de toutes sortes de croissance dans le monde biologique. « Et c'est plus important et plus certain que les effets sur le climat », a-t-il déclaré.

Lorsqu'il a commencé à étudier les effets du CO2 sur les plantes, il a pensé que cet effet pourrait être d'environ 10 %. Mais 35 ans plus tard, il a découvert que ce chiffre était d'environ 25 %. Le CO2 a augmenté d'environ 40 % et «environ la moitié de cette somme a été consacrée à la végétation », a-t-il déclaré. « C'est extrêmement bénéfique à la fois pour la production alimentaire, mais aussi pour la biodiversité, la préservation des espèces et tout ce qui est bon. » Cela vient de preuves observables, a-t-il ajouté.

Mais surtout ce qui est à retenir ce sont ses propos concernant les « modèles » et l'idée selon laquelle ils sont de bons prédicteurs, il a rappelé ce que l'expert climatique japonais Suki Manabe, qui a développé le premier modèle liant le réchauffement du climat de la Terre à l'augmentation du CO, dans les années 1960, a toujours dit : "Ces modèles climatiques sont d'excellents outils pour comprendre le climat, mais ce sont de très mauvais outils pour prédire le climat."

En effet, comme je l’explique dans Tonton Malthus, ce sont des modèles qui ne contiennent que quelques facteurs, alors que notre monde réel est bien plus compliqué que les modèles. Le changement climatique est trop complexe et implique trop de facteurs.

Depuis des années, je vous parle de notre soleil comme chef d’orchestre climatique. Or, certains climatologues affirment à tort qu’il n'a aucun effet parce que sa température ne change pas. Mais c’est son activité qui change.

Par activité, Dyson fait référence aux taches solaires et aux orages magnétiques. « Ils fluctuent très fortement avec le cycle de 11 ans et nous constatons un effet sur le climat », a-t-il déclaré. J’ai déjà, à de nombreuses reprises mentionné le Petit Âge Glaciaire, qui s'est produit au 17e siècle, et qui a également coïncidé avec le moment où le Soleil s'est endormi pendant environ 70 ans.

Tout comme je l’ai fait, Dyson déclare à ce sujet : « Il existait une chose appelée le Minimum de Maunder, lorsque les taches solaires n'apparaissaient tout simplement pas et qu'en même temps il y avait un climat très froid en Europe. C'est donc une preuve assez solide de corrélation.

Mais il existe désormais des preuves et des enjeux directs des observations modernes. L'autre truc des alarmistes du climat est de retirer la vapeur d'eau ‘de l'équation’.

La vapeur d'eau représente environ 90% de l'atmosphère. Donc, vous ne pouvez pas retirer la vapeur d'eau de l'équation. C'est bien [de négliger la vapeur d'eau] si vous voulez parler de Mars, car il n'y a pas de vapeur d'eau sur Mars. Le CO2 est tellement bénéfique à d'autres égards qu'il serait insensé d'essayer de le réduire. Le fait est que le dioxyde de carbone va augmenter, nous continuerons à brûler du pétrole et du charbon et cela nous fera probablement du bien, la Terre deviendra ainsi plus verte. »

Néanmoins, de monstrueux enjeux financiers font que nous devons décroitre et combattre le « méchant » dioxyde de carbone. Certains idiots proclament même que cette transition est source de nouvelles richesses, puisque de nouvelles filières technologiques viennent remplacer les polluantes Ah bon !  C’es compter sans le « péril jaune » et sa « nouvelle invasion chinoise » du solaire, des éoliennes et des voitures électriques en Europe.

L’Europe « verte » du solaire, de l’éolien et des voitures électriques, est de plus en plus influencée par la Chine.

Après avoir détruit une grande partie de l’industrie européenne dans ce secteur par des années de concurrence déloyale, la Chine est désormais le principal bénéficiaire de la décarbonation européenne, telles que : voitures électriques, batteries, panneaux solaires, éoliennes et bien entendu tous les composants de tous ces produits. « China Standards 2035 », la suite du plan « Made in China 2025», montrent que le Parti communiste chinois veut dominer les projets industriels dans le monde entier.

Avec « Standards 2035 », Pékin va encore plus loin. Elle veut ainsi dominer les nouvelles technologies comme l’IA et le Big Data en développant elle-même les normes technologiques et en les exportant sur le marché international. Et tous les autres devront ensuite se conformer à ses normes.

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/02/anne-ma-soeur-anne-ne-vois-tu-rien-venir-partie-5.html

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SANS LUI, NOUS MOURRONS DE FAIM. AVEC EUX, CE SERA LA FIN.

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Sans lui, nous n'aurons rien à bouffer. Alors permettons-lui de vivre dignement de sont travail. Quant à ceux de la deuxième rangée, ils ne désirent que notre perte. Qui va dégainer le premier: eux ou nous ?

La révolte qui touche la France est une révolte européenne, contre les ploutocrates non élus de Bruxelles. En 2022, j’y avais consacré des articles, les paysans hollandais étaient alors touchés avec un gouvernement totalement sous coupe de Davos et qui voulait réquisitionner les fermes hollandaises. Puis, depuis plusieurs semaines, les paysans en Allemagne et en Roumanie, se sont réveillés avant que d’autres pays ne soient concernés, probablement l’Italie et l’Espagne.

Comme dans tous les secteurs y compris industriels, la compétitivité française dans l’agriculture ne cesse de s’étioler, les marges se réduisent. Or, un pays qui n’est pas capable de nourrir son peuple n’est rien. Début 18e siècle, un paysan nourrissait 1,7 personne. En 1800, il en nourrissait 2,1. En 1980, il nourrissait 30, chacune obtenant plus de calories qu’un siècle auparavant.

Mondialisation aidant, le monde rural a connu une transformation massive en moins d’une génération et qui l’a fait passer d’un monde à l’autre de façon rapide et souvent brutale. D’où les monstrueuses difficultés rencontrées par les agriculteurs et le monde rural. Depuis longtemps on alerte, dans une indifférence quasi totale, sur les suicides répétés des agriculteurs. Rien n’y a fait. Le monde agricole n’est souvent connu qu’à travers ses vaches qui pètent et sont censées « réchauffer l’atmosphère ».

Mais beaucoup trop de bobos ignorent les nouveautés techniques dans les méthodes culturales, les nouveaux usages mécaniques, les enjeux mondiaux. Ainsi, pour aller à contre-courant de nos salauds de ploutocrates bruxellois, est-il grand temps de sauver l’agriculture française.

La Nouvelle-Zélande a réussi, dans les années 1980-1990, une transformation réussie qui en fait désormais un poids lourd dangereux en matière de prix de la viande et du lait. Le projet européen Farm to fork (de la ferme à l'assiette) qui planifie une décroissance de la production agricole doit nécessairement aboutir à des drames agricoles, comme ceux que nous connaissons aujourd’hui. Orchestré par l’oligarchie et ses ploutocrates aux ordres, afin de nous ramener au Moyen âge.

L’inflation des normes est résumée par l’évolution du code rural, passé de 755 pages en 1965 à 3 068 pages aujourd’hui. Il y a des normes pour tout : taille des haies, curage des fossés, etc. La France et ses fonctionnaires en surnombre voulant souvent aller plus loin que Bruxelles en ajoutant d’autres normes au millefeuille déjà épais.

Du glyphosate de nouveau autorisé en Europe mais pas en France, en passant par l’invasion des poulets produits en Ukraine, où les normes sont beaucoup moindres que pour les volaillers français, seul le bobo sera encore surpris par la colère qui secoue le monde agricole.

Elle n’est qu’une nouvelle illustration des méfaits engendrés par les multiplications de normes et moult contraintes administratives, toutes destinées à étouffer ceux qui sont censés nous nourrir. Comme à chaque fois, les catastrophes générées par ces normes sont prévues et annoncées, mais rien n’est fait pour éviter les drames avant que ceux-ci n’arrivent.

Bien entendu, comme d’habitude, les verts hystériques autant que pilotés par Davos sont grandement responsables de la situation. On interdit aux agriculteurs la mise en place de bassine pour récupérer l’eau de pluie, l’usage de produits phytosanitaires, même quand ils n’ont pas été reconnus dangereux par les études scientifiques, on soviétise le fonctionnement agricole, transformant les paysans en kolkhoziens. Et à force de scier la branche sur laquelle on est assis, on finit par se retrouver au sol.

Si j’ai écrit mon livre Tonton Malthus est revenu, il y a 5 ans, c’était en prévision de ce fascisme vert qui nous étrangle et des problèmes que rencontrent de plus en plus nos agriculteurs.  Tout ce que nous vivons actuellement est machiavéliquement orchestré par les psychopathes de Davos. En effet, la décroissance qu’il souhaite nous imposer se marie à merveille avec les « changements climatiques ».

J’ai suffisamment écrit sur le sujet pour que vous l’ayez toutes et tous intégré.

Il y a quelques siècles, il fallait 1.5 à 2 hectares pour nourrir une personne. La France de l’époque ne disposant au mieux que d’environ 40 millions d’hectares cultivés, le calcul était vite fait. Le pays pouvait nourrir entre 20 à 26 millions de personnes. Et c’est là qu’intervient tel Zorro, Tonton Malthus. Si la démographie augmentait trop, on se heurtait logiquement au plafond agricole, ce qui engendrerait des disettes. À l’époque, Malthus avait donc raison de s’inquiéter et de dire qu’il fallait limiter les naissances au risque sinon de ne pas pouvoir nourrir les bouches à venir.

Mais l’économiste anglais Thomas Malthus (1776-1834) est un homme du passé : il n’a pas vu venir la révolution de la productivité, qui permet de nourrir plus de monde avec moins d’hectares cultivés. Il n’a pas vu arriver la déesse Vishnu qui, avec ses mille bras animés par de nouvelles formes d’énergie, allait permettre de décupler la productivité humaine.

C’est le pétrole qui a permis de décupler cette productivité, ainsi que le nombre d’humains vivant sur la Gaïa d’Al Gore, le prophète réchauffiste. C’est donc ce pétrole qu’on doit faire disparaitre si, comme Davos et ses diables le souhaitent, nous devons tous mourir par milliards, de faim et de moult autres calamités auxquelles ils réfléchissent à longueur d’année et surtout durant leur Forum diabolique. 

Du coup, si la déesse Vishnu se met à travailler pour l’homme, c’est moins de temps de travail pour lui. Il peut alors transiter de sa position de rat des champs à celle de rat des villes et pratiquer d’autres activités, plus rémunératrices, telle l’industrie naissante et les emplois urbains. La famine a été vaincue, ce qui est un immense progrès pour l’humanité.

Il est désormais possible de travailler moins et d’effectuer des travaux moins pénibles. De manger plus et mieux. Les conséquences sont majeures : l’espérance de vie augmente, on vit plus vieux et en meilleure santé (sans Big pharma et ses vaccins bien sûr).

Voilà pourquoi, avant de rejeter les effets négatifs de l’industrialisation de l’agriculture, il est essentiel de mettre les Verts au pied du mur et leur montrer ainsi le chemin de parcouru. Tous nous devons prendre conscience que cette société d’abondance et de vie facile est une nouveauté dans l’histoire de l’humanité. Elle représente quelques secondes sur l’horloge de l’histoire prétendue de Sapiens- sapiens, celui qui croit savoir mais ne sait rien.

Mais voilà, le monde étant ce qu’il est : un monde/démon, où des davosiens féroces prétendent changer le cour de nos vies aux profits de leurs existences insipides de larves sans âmes. Klaus Schwab et ses prophètes de la mort vantent partout la décroissance et le retour à l’agriculture d’il y a trois siècles, mythifiée et idéalisée. N’oublions jamais l’exemple du « laboratoire » Sri Lanka : un avertissement ! Les produits phytosanitaires y ont été interdits, au profit d’une conversion forcée et totale au bio.

En quelques mois l’île a connu une famine sans précédent, contraignant de nombreux habitants à choisir entre mourir de faim ou s’enfuir.

En France, MOULT REFUS ont provoqué le ravage de la production betteravière, pourtant l’un des piliers de l’agriculture française, conduisant à un déclassement français par rapport aux concurrents d’Amérique latine.

Les agriculteurs, comme de nombreuses autres professions en France et en Europe, sont victimes de l’effacement du logos au profit du pathos. On ne réfléchit plus, on ne mesure plus les conséquences des actes, on n’accepte plus les risques et les dangers.

L’économie est la science des choix : elle étudie les choix possibles et les conséquences des choix effectués, des choix qui peuvent être libres ou contraints. Le choix suppose le goût du risque et de l’aventure, la projection vers un avenir qui n’existe pas, mais que l’on s’efforce de bâtir.

Le passé est rassurant parce qu’on croit le connaitre : on n’en garde souvent que les bons côtés, les détresses et les drames étant oubliés. Ce que vivent les agriculteurs, c’est aussi ce que vivent les milliers de chefs d’entreprise, les professeurs dans l’éducation nationale, les personnes qui travaillent dans les administrations : un empilement de normes qui étouffent et tuent la vie. Tout cela est à éliminer avant qu’elles ne tuent définitivement notre pays et notre civilisation.

Fin

Olivier

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Anne, ma sœur Anne ne vois-tu rien venir ? (Partie 3)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/01/anne-ma-soeur-anne-ne-vois-tu-rien-venir-partie-1.html

Certains esclaves formaient une couche supérieure de professionnels. Ils occupaient l’espace social qui est aujourd’hui occupé par la classe moyenne. Relativement privilégiés, ils pouvaient posséder de l’argent, mais cela ne changeait rien au fait qu’ils étaient des esclaves et, dans la plupart des cas, ils devaient le rester à vie.

Libérer des esclaves était peut-être un stimulus positif, mais c’était rare et souvent seulement un moyen pour un maître de se débarrasser d’un esclave vieux et/ou malade et de fait devenu inutile. Donc, c’est le contrôle négatif qui fut utilisé pour gérer les esclaves. Les punitions étaient appliquées non seulement aux esclaves, mais à la sous-classe des affranchis, des pauvres et des étrangers. Ils étaient cruels parce qu’ils devaient constamment rappeler à la sous-classe quelle était sa place et qu’ils n’étaient toujours qu’à deux pas d’être condamnés à être mangés par les bêtes sauvages dans le cirque.

De nos jours, la classe moyenne est en voie d’extinction, reste les « gueux ». Tout a une logique chez l’humain déchu, et le fait d’être cruel y trouve ici la sienne, bien qu’elle ne soit pas agréable. À notre époque, nous n’avons plus d’esclave humain, mais nous avons des esclaves fossiles.

Nous traitons les combustibles fossiles d’une manière similaire à celle utilisée par les Romains pour traiter leurs esclaves. Ils utilisaient les leurs pour construire leur civilisation, nous avons utilisé le pouvoir des combustibles fossiles pour construire la nôtre.

Nos esclaves fossiles ne se sont jamais plaints d’être brûlés dans les chaudières et les moteurs. Ainsi, nous n’avons pas eu besoin depuis un petit moment de ce genre de cruauté « gratuite ».

Mais, nos combustibles fossiles deviennent progressivement plus chers à mesure que nous les utilisons, à cause de l’épuisement des ressources dans un monde fini. Ensuite, on nous bassine qu’il faut absolument réduire leur utilisation afin d’éviter les pires effets du « réchauffement climatique ».

Ainsi, symboliquement, nos esclaves fossiles sont donc en train de se soulever, se révolter, ils nous quittent inévitablement.

De toute manière et contre toute attente de 2013 à 2016, la croissance de la consommation mondiale d’énergie a chuté. La consommation totale d’énergie primaire est à peu près le meilleur indicateur de l’évolution réelle de l’activité économique, ce malgré le « soutien » de la Banque centrale, et la dette massive qui a été contractée.

Tout cela aurait dû entraîner une croissance spectaculaire. Mais, en réalité, ce n’est pas ce qui s’est passé. Les pays «riches » représentent un peu moins de 50 % de la population mondiale, ils consomment près de 90 % de l’énergie, et le ralentissement observé dans ces pays ne sont pas compensés par la croissance des pauvres, c’est même le contraire.

Les pays riches ont connu un pic de consommation totale d’énergie en 2007 et sont encore en dessous du pic dix ans plus tard. Après l’effondrement de la consommation en 2009, la période de 2011 à 2016 a connu l’une des croissances les plus faibles parmi ces pays depuis 1980.

Un facteur déterminant face à ce phénomène est la combinaison d’une baisse de la population en âge de procréer et d’une baisse des taux de fécondité (nombre de naissances pour 1 000). Même les naissances en Inde ont atteint leur apogée au tournant du siècle et sont en déclin séculaire. La population indienne en âge de procréer devrait atteindre un maximum autour de 2040.

Seules les nations à faible revenu continuent d’avoir plus d’enfants, alors que toutes les autres régions ont atteint un plateau ou sont en plein recul démographique. Seule exception : la forte augmentation des naissances et de la population en âge de procréer en Afrique.

Désormais bien sorti des « trente glorieuses », les conséquences sont déjà visibles : inégalités croissantes, pauvreté, stress social, etc. Nous assistons à la montée des « esclaves de la dette », une dette censée être remboursée par un travail acharné. Mais, il devient évident que peu importe à quel point et combien de temps une personne travaillera, elle ne sera jamais en mesure de la rembourser.

Alors, comment ces nouveaux esclaves peuvent-ils être motivés ?  La réponse est la même que celle trouvée par les anciens Romains : des punitions imposées par l’État par ses divers leviers : police, justice, l’armée, etc.

Et c’est exactement ce à quoi nous assistons. Nous n’en sommes pas encore revenus au genre de séparation formelle entre les classes qui définit certaines personnes comme des «esclaves » au sens romain du terme, mais cela monte crescendo, d’où le réveil des Gilets Jaunes !

Mais comme tout est télécommandé longtemps à l’avance en ce monde/démon, la bonne question est : ce mouvement est-il naturel ou plus ou moins piloté ? The Economist est un magazine « attrape mouches » utile à l’élite, et auquel nombre de conspirationnistes de tous bois aiment à venir se coller afin de jouer les madame Irma.

Je vais donc jouer à la mouche moi aussi. C’est la revue porte-parole de la City de Londres et des Rothschild, autrement dit on y trouve des « nouvelles fraiches ».

En 1988, The Economist, annonçait « get ready for a world currency ». La revue parlait déjà de cette volonté d’une monnaie unique et mondiale à l’horizon 2018 : le Phénix. Dans ce projet, la Chine, en 2018, était le dernier gros morceau à intégrer les DTS créés en 1969. Les droits de tirage spéciaux (DTS, en anglais, Special Drawing Rights : SDR), sont un instrument monétaire international créé par le FMI pour compléter les réserves officielles existantes des pays membres. Tout ceci nous montre que nos « camarades » ont les idées longues. Une longue chaine d’esprits lucifériens nous amène à notre époque. Il y a derrière tout ce marasme une intelligence froide qui « force le respect », je m’explique ! » Fin de l’extrait.

Maintenant, je vais en arriver à vous parler d’un point sur lequel ou vous ment depuis plus d’un siècle.

Je vais évoquer une chose inconnue. Voici ce que la très sainte encyclopédie Wikipédia en dit : « La théorie du pétrole abiotique est une théorie alternative sur l'origine chimique du pétrole, qui serait selon celle-ci formé dans les couches profondes de la Terre ; elle s'oppose à l'hypothèse communément admise de la formation par transformation progressive de détritus biologiques fossilisés à des profondeurs relativement faibles. … Elle n'a jamais suscité de réel intérêt parmi les géologues, hormis les Russes par le passé1 et est de nos jours considérée comme scientifiquement invalide. »

Et pourtant, sans l’intervention d’un certain Rockefeller et sa clique de scientiste vendue, nous aurions depuis longtemps à disposition une énergie inépuisable.

En effet, dans mon dernier ouvrage, en "fou de complotiste" que je suis, j’exprime cette réalité cachée : Si demain le pétrole abiotique devenait abondant… Les compagnies pétrolières savent parfaitement que la théorie du pétrole abiotique est vraie, qu’il y a des quantités fantastiques de pétrole sous nos pieds, et qu’il n’y aura pas de crise d’approvisionnement avant des milliers d’années ou plus.

Un certain nombre de responsables politiques des pays riches le savent aussi. Ils mentent donc sciemment depuis plus de 100 ans quand ils disent que le pétrole vient de la décomposition des plantes et dinosaures, qu’il n’y en a qu’une quantité très limitée pour l’humanité.

Pourquoi ? Eh bien, tout simplement parce que le pétrole permet d’avoir l’argent et le pouvoir. La richesse des compagnies pétrolières est basée sur une relative rareté du produit et une très grosse partie de leur profit et basée sur le commerce international de celui-ci.

En effet, il est évident que si demain, tous les pays étaient capables de produire du pétrole, celui-ci ne vaudrait plus rien. Son prix de vente baisserait quasiment au niveau de son coût d’extraction. Les marges, qui sont actuellement énormes, diminueraient comme peau de chagrin, si les Etats se mêlaient de contrôler les prix. Les profits deviendraient donc dérisoires, pour des milliers d’années.

Les compagnies pétrolières vivent aussi du commerce international, donc du fait qu’il y a des pays producteurs/exportateurs d’un côté et des pays acheteurs de l’autre. Il faut, pour elles, qu’il y ait un nombre limité de pays exportateurs pour pouvoir faire des profits à la vente plus facilement. Parce que, sur un marché national autosuffisant, le gouvernement peut décider de limiter les prix du baril. Tandis qu’avec le marché international, ce sont les compagnies qui peuvent magouiller pour faire optimiser leur profit et faire varier les prix selon leur convenance.

Avec quelques pays producteurs faibles militairement et ayant des compétences techniques limitées, bombes et technologie aidant, les grandes compagnies peuvent obliger les pays producteurs à passer par elles.

Et du coup, les pays consommateurs, eux aussi, sont obligés d’en passer par ces quelques compagnies, qui font dès lors un chiffre d’affaires gigantesque. Quant aux Etats consommateurs, ils peuvent être menacés d’embargo par les pays qui contrôlent ces compagnies.

Mais, si, d’un seul coup, tous les pays du monde ou presque produisent leur propre pétrole, c’est la fin de ce commerce international. Fini les manipulations du marché et les profits gigantesque, fini le contrôle des prix par les compagnies multinationales. Ce seront désormais les Etats qui pourront contrôler les prix. Et fini également les menaces d’embargo ou de problème d’approvisionnement. C’est la fin des pays qui vivent au dépend du pétrole et n’ont pas su convertir le cumul de leur rente pétrolière en richesse nationale (industrie, agriculture etc..).

Si demain, les gens venaient à apprendre que le pétrole se trouve en quantités gigantesques un partout sur terre, et que les conséquences économiques en étaient tirées, ce serait là mort du commerce, du pouvoir des compagnies pétrolière et des Etats de la providence.

À MOINS DE ME PRENDRE POUR UN FOU, DESORMAIS VOUS SAVEZ !

Mais nous n’en sommes pas là et, comme indiqué précédemment, Davos entend bien nous voir régresser économiquement, sanitairement et, cerise sur le « gâteau davosien », en éliminer une grande partie. Voilà pourquoi, compte tenu de l’importance du pétrole dans le fonctionnement de nos sociétés industrialisées, cette démarche verte est folle. Transports, gaz at fioul de chauffage, pétrochimie, agriculture, sont autant de fils d’Ariane dont notre société aux pieds d’argile dépend.

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/02/anne-ma-soeur-anne-ne-vois-tu-rien-venir-partie-4.html

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Anne, ma sœur Anne ne vois-tu rien venir ? (Partie 2)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/01/anne-ma-soeur-anne-ne-vois-tu-rien-venir-partie-1.html

En France, l’Etat actionnaire s’est comporté en prédateur avant de multiplier les injonctions contradictoires. Le résultat : EDF est une entreprise en faillite, avec 60Md€ de dettes et des déficits alors qu’elle devrait réaliser des superprofits. L’Europe a indexé le prix de l’électricité sur le prix du gaz russe un comble de bêtise. L’ARENH (Accès Réglementé à l’Electricité Nucléaire Historique) oblige EDF à vendre 25% de sa production (100 TWh) au prix de 42€/MWh.

La centaine de « fournisseurs alternatifs » qui se sont installés dans ce fromage ne sont en fait que des traders qui ne produisent que des factures. Il faut avoir une électricité dont le prix est aligné sur son coût de production. L’ARENH est une véritable pilule empoisonnée. Son mécanisme d’accès à la rente nucléaire de la France à prix cassé bénéficie aux concurrents de l’électricien public.

Quant à l’éolien, comme vous le constaterez plus loin, c’est une fausse énergie propre et une fausse énergie renouvelable. Une éolienne ne fonctionne en moyenne, dans notre pays, qu’à 25 % de sa puissance. Bétonner notre littoral maritime est l’idée technocratique la plus antiécologique qui soit. Pourtant la France a été mise à l’amende pour son retard dans les éoliennes. La « montée en puissance » de l’éolien terrestre supposée écologiquement correcte, s’accompagne de nuisances graves et de scandales multiples : défiguration des paysages, dégâts sanitaires, dépréciation immobilière.

Derrière l’éolien on trouve : pollution, émissions de CO2 atteintes à la santé et à la biodiversité détournements de fonds publics, conflits d’intérêts, mafia…. Au-delà de ce constat consternant, sur le plan industriel c’est la Chine qui possède 45% du marché de l’éolien dans le monde !

Concernant le Photovoltaïque, il est aussi contrôlé par la Chine. Le solaire est le grand gagnant de cette fausse transition énergétique partout sauf en France … La Chine possède 72% de part de marché des modules solaires. Grâce à des coûts de production inférieurs de 35% à ceux de l’Europe et de 20% à ceux des Etats Unis la Chine héberge sept des dix premiers fabricants au monde de panneaux solaires dont les trois plus gros.

Toutes ces technologies qui étaient censées créer les emplois de l’économie décarbonée montre la déconfiture de l’éolien et du solaire et les problèmes financiers d’Alstom et de Siemens Ainsi, croyez-moi, les énergies fossiles ont toujours de l’avenir… Mais, à cause d’une bande de crétins, la France doit absolument diminuer ses importations d’énergies fossiles pour rééquilibrer sa balance commerciale.

Le Charbon alimente toujours de nombreuses centrales surtout allemandes. La baisse des émissions de CO2 en Europe est pourtant plus que compensée par les ouvertures en cascade de centrales à charbon. On assiste à une remontée des émissions de CO2 liée au recours accru au charbon pour répondre à l’arrêt de livraison de gaz russe.

Selon la banque JP Morgan, on peut leur faire confiance ! le raccordement de 100MW d’éolien ou de solaire ne permet de débrancher que 10 à 30MW de thermique… Ainsi, sans les énergies fossiles, nous reviendrons très vite aux temps anciens ; ceux du déclin de Rome. Je m’explique !

Voici un extrait du tome 1 du Centième Gueux, pages 307 à 314.

« RETOUR À L’ESCLAVAGE.

Fin 2017, la police espagnole a blessé des centaines de personnes, y compris des femmes et des personnes âgées, lors du référendum pour l’indépendance de la Catalogne. Chez nous, deux ans au préalable, on avait gazé des femmes et des enfants lors des manifestations contre le « mariage pour tous ». C’est une indication que la violence de l’État est en hausse. En parallèle, les Romains étaient extrêmement cruels, peut-être un effet de leur dépendance aux esclaves ? Dans notre cas, nous avons remplacé les esclaves humains par des esclaves fossiles (combustibles fossiles) mais, comme ils nous abandonnent, nous risquons de revenir à la violence des temps anciens.

L’Europe telle que la conçoivent nos oligarques, et surtout l’Allemagne, n’est qu’une tentative de retour au « Saint Empire Romain » depuis longtemps déjà infesté par le culte babélien ayant transité par l’Egypte, puis la Grèce. Comme l’indique l’Ecclésiaste, l’histoire est un éternel recommencement aggravé par notre aveuglement qui doit beaucoup à l’endoctrinement et notre incapacité notoire à en corriger le cours. Ainsi, lorsqu’on s’intéresse au délabrement de l’ancien Empire romain, on s’y croirait tant la ressemblance avec notre époque est flagrante !

À son apogée, il avait sous sa coupe près de 130 millions de sujets sur un territoire de 2,4 millions de km2. Rome avait alors conquis une grande partie du monde connu en y construisant plus de 80 000 km de routes, de nombreux aqueducs, des amphithéâtres et tant d’autres édifices encore en usage aujourd’hui. Nous leur devons beaucoup quant à notre alphabet, notre calendrier, nos langues et l’architecture. Même leurs concepts de justice imprègnent encore nos esprits : « tout être est présumé innocent jusqu’à la preuve du contraire. »

On se demande alors comment un empire aussi puissant a pu s’effondrer ? Le commerce était vital pour eux. C’était lui qui permettait d’importer dans l’empire une grande variété de produits : céréales, huile d’olive, parfums, verrerie, fer, plomb, cuir, marbre, colorants pourpres, soie, argent, épices, bois, étain, vin, etc. C’est ce commerce qui fit la fortune des citoyens de Rome qui ne comptait qu’un million d’habitants.

Les coûts administratifs, logistiques et militaires grimpèrent ainsi à mesure que l’empire s’étendait. Il fallut trouver de nouvelles sources de financement conduisant l’Empire à l’hyperinflation, à une économie fracturée, à la localisation du commerce, à de lourdes taxes et à une crise financière qui paralysa Rome. Durant les premières décennies de l’empire le denier fut la pièce d’argent de base utilisée. D’une grande pureté, elle contenait environ 4,5 grammes d’argent. Cette pièce équivalait à une journée de salaire pour un ouvrier ou un artisan qualifié.

Cependant, avec une réserve limitée d’argent et d’or entrant dans l’empire, les dépenses romaines furent vite limitées par le nombre de deniers qui pouvaient être frappés freinant le financement des projets. Les fonctionnaires romains trouvèrent alors le moyen de contourner le problème.

En diminuant la pureté de leur monnaie, ils furent en mesure de fabriquer plus de pièces avec la même valeur nominale et la proportion d’argent pur dans les pièces chuta vite. À l’époque de Marc Aurèle (121-180), le denier ne comportait plus qu’environ 75% d’argent. Au moment de l’Empereur Gallien (218-268), les pièces contenaient à peine 5% d’argent, un noyau de bronze avec une fine couche d’argent.

Les effets réels de cette dégradation prirent du temps à se matérialiser. La mise en circulation de plus de pièces de mauvaise qualité ne permit pas d’accroître la prospérité, cela appauvrit juste les populations, car il fallait plus de pièces pour se procurer la même quantité de biens et de services.

Ainsi à un moment les prix montèrent en flèche dans l’Empire. Seuls les mercenaires barbares étaient payés en or. Avec la flambée des coûts, et plus aucun métal précieux à piller aux ennemis, les Romains durent prélever de plus en plus d’impôts aux peuples pour soutenir l’Empire.

L’hyperinflation, la montée vertigineuse des taxes et une monnaie sans valeur créa une triple infection qui lamina une grande partie du commerce de Rome. L’économie était paralysée. À la fin du 3e siècle, le seul commerce qui restait opérant était un commerce principalement local, reposant sur un système de troc stérile, plutôt que sur un système de change digne de ce nom.

Pendant le 3e siècle (235-284 après JC), plus de 50 empereurs se succédèrent. L’Empire était livré à l’anarchie et divisé en trois États séparés. Des guerres civiles constantes fragilisaient ses frontières. Les réseaux commerciaux se désintégrèrent et les activités commerciales devinrent dangereuses. Les invasions barbares déferlaient de partout, et la peste sévissait. C’est ainsi qu’en 476 après J.-C., l’Empire romain cessa d’exister.

Les Romains nous ressemblaient énormément. L’économie, l’argent, le commerce, les voyages, la bureaucratie, les lois, etc., trouvent un parallèle dans le monde antique romain, bien que souvent sous une forme beaucoup moins sophistiquée. Donc, la Rome ancienne vous surprendrait, mais uniquement par la violence que vous y rencontreriez, une violence codifiée, sanctionnée et promulguée par l’État.

Quand on pense à la violence de l’époque, on pense généralement aux jeux du cirque. Ceux-ci étaient sûrement sanglants et violents, mais ce n’est qu’une partie de l’histoire sur la façon dont l’État romain gérait cette violence « utile ». Leurs tribunaux infligeaient la peine capitale avec une facilité qui, pour nous, reste déconcertante. Les pauvres, les esclaves et les citoyens non romains étaient particulièrement susceptibles d’être condamnés à mort. Elle pouvait même, dans certains cas, être théâtralisée.

Autre exemple, la loi romaine disait que lorsqu’un esclave tuait un maître, tous les esclaves de cette famille devaient être exécutés, même ceux qui n’étaient pas impliqués dans le meurtre. C’était justifié parce que cela devait être considéré comme un exemple. Comment cette civilisation supposée avancée pouvait-elle se comporter de la sorte ? Un seul mot : l’esclavage. Toutes nos sociétés d’humains déchus sont basées sur une sorte de contrôle social : un système pyramidal.

Si nous étions des fourmis, la coopération serait codée dans nos gènes. Mais, chez les humains, l’intérêt personnel peut aller, et va très souvent, à l’encontre du bien commun. Pour éviter cela, il faut un contrôle négatif ou positif : la carotte ou le bâton. Le contrôle positif peut être la réussite, le sexe, le logement et d’autres formes de gratifications. Le négatif peut être la punition physique : les coups, la torture, etc. Dans notre société, nous avons tendance à croire que le contrôle positif est meilleur que le négatif, plus « moral ».

Notre société est la plus monétarisée de l’histoire dans le sens où nous avons tendance à croire, à juste titre et malheureusement à de rares exceptions près, que l’argent peut pousser les gens à faire plus ou moins n’importe quoi. Par exemple, nous concevons comme normal que bon nombre de professions fassent leur travail non pas parce qu’ils seraient fouettés s’ils ne le faisaient pas mais parce qu’ils courent après le fric la principale forme d’attraction positive dans notre monde. Dans de nombreux cas, Rome a aussi utilisé l’argent comme nous le faisons.

Les soldats romains se battaient parce qu’ils étaient très bien payés : le mot « soldat » vient même d’une pièce de monnaie romaine. Mais ils avaient un gros problème avec leurs esclaves, l’épine dorsale de leur société. Comment pouvaient-ils être motivés à travailler ? En les payant ? Pas vraiment ! La majorité des esclaves était engagée dans des tâches subalternes, parfois ils étaient une main-d’œuvre consommable pour les mines et d’autres tâches dangereuses. Leur donner de l’argent n’aurait eu aucun sens : comment auraient-ils pu le dépenser ?

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/01/anne-ma-soeur-anne-ne-vois-tu-rien-venir-partie-3.html

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Anne, ma sœur Anne ne vois-tu rien venir ? (Partie 1)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Laissez-moi vous conter une histoire, pour la dernière fois. Charles Perrault (1628 -1703), est un homme de lettres français, célèbre pour ses Contes de ma mère l’Oye, sur lesquels il y aurait beaucoup à dire, ainsi que sur le janséniste qu’il fut. Dans mon conte, La Barbe bleue, sera tonton Klaus Schwab et la jeune épouse que Barbe bleue cherche à occire ; la gueusaille qu’à leurs yeux nous représentons tous.

La dette américaine a atteint la somme astronomique de 34 trilliards de dollars, l’élite le sait, elle en est même responsable. Je l’explique dans mon dernier ouvrage consacré à Davos et ses méfaits, l’Occident tout oxydé est au bord du gouffre. C'est juste qu'on ne dit pas la vérité (au public) et que beaucoup trop d’autruches veulent ignorer la réalité. Les ultra riches savent pertinemment que le bateau coule, ce sont eux qui ont créés l’iceberg et embauchés les capitaines ivres qui nous mènent dessus.

Eux, ils se sont créés une bouée verte. D’où le fameux plan de Davos qui consiste à tous nous imposer une taxe carbone personnelle reliée à l'identité numérique, sous prétexte de lutter contre la prétendue « crise climatique ».

Tout sera alors basé sur des « crédits carbones ». Et si tout le monde en reçoit, Davos a tout prévu pour les riches. Si, par exemple, ils veulent partir en vacances plus souvent, ils pourront acheter les crédits carbone personnels des pauvres qui, de toute façon, ne pourront pas se permettre d'acheter des billets d'avion ou de manger de la viande trop souvent.

Et c’est là que la machine infernale se met en marche. Pour ces fous, la chaîne alimentaire représente plus d'un quart des émissions mondiales de GES. Alors que les naissances diminuent partout dans le monde, ils ont calculé qu’au cours des deux prochaines décennies, la demande alimentaire mondiale devrait doubler. Cela signifie que l'agriculture devra être plus productive tout en réduisant son impact environnemental (…)

Ainsi, la bande à tonton Schwab imagine un secteur agricole qui émet beaucoup moins de gaz à effet de serre et qui obtient de meilleurs rendements agricoles, tout en générant des revenus supplémentaires grâce aux crédits issus de l'agriculture carbone.

Cette agriculture-là, à base d’insectes, d’OGM et de viande artificielle, sera subventionnés pendant que l’agriculture normale sera sacrifiée.

Pour cette politique, le gouvernement hollandais a décidé de faire la guerre aux agriculteurs en les forçant à vendre leurs terres, ce qui avait provoqué des grèves violentes en 2023... Non seulement Davos et Bill Gates veulent qu'on mange des insectes, mais en plus ils comptent remettre en place la taxe carbone à l'échelle de toute la population, une gigantesque escroquerie sur le dos des entreprises françaises et des populations

C’est pourquoi, devant toutes ces impostures monumentales, je me lève et essaie d’avertir mon prochain. Je le fais une dernière fois à travers cette série d’articles. Après j’arrête car je commence à en avoir marre de l’inertie observée et du manque de cohésion chez mes lecteurs. Qu’on me croie ou non, peu importe, vous ne tarderez pas à observer et vivre dans la chair tour ce que je dénonce ici.

Je suis un « complotiste » depuis longtemps, un fils spirituel de personnes courageuses telle Claire Séverac. Je me bats au milieu des fous et contre des bataillons de fous dangereux dont ceux qui se disent écologistes en constituent les plus cruels et dangereux. Ils font de la politique écologique une machine infernale qui nous plonge dans un malthusianisme ruineux.

Une des façons d’en mesurer le résultat est de regarder l’évolution du PIB qui est la création de richesse de l’économie européenne. Si on continue à les laisser faire à ce rythme-là, notre PIB va se résumer à peau de chagrin et cette "transition écologique" sera insupportable sur le plan économique. Les conséquences sur la dette, l’emploi, l’inflation seront catastrophiques.

Oui. J’appartiens à cette race si souvent montrée du doigt parce qu’elle gratte en permanence le vernis de la bonne conscience, pour mettre à nue cette Vérité qui rend libre. Libre de tous ces salauds de corrompus qui nous mentent à longueur de journée. J’en suis à moult articles concernant ces sujets cruciaux, fatigué de vous expliquer ce paradigme fou : l’illusion d’une transition écologique "merveilleuse" qui créerait des emplois et des richesses pour tous.

Au milieu de ce marasme occidental, il y a la France et un peuple qui n’est pas prêt à sacrifier un peu de son bien-être d’aujourd’hui pour améliorer le sort des générations futures surtout si elles ne sont pas françaises… Et c’est bien compréhensible d’autant plus que les alternatives existent mais restent cachées pour satisfaire encore et toujours les intérêts de l’élite.

Au milieu de cette guerre d’idées frelatées, l’obscurantisme écolo-bobo, incarne le « bien » avec son écologie vertueuse autant qu’environnementale. Ce camps est continuellement accompagné de sa farandole endiablée de termes qui le sont tout autant : naturel, durable, éolienne, biologique, photovoltaïque, recyclable, économe, local, associatif, décentralisé ; j’en passe et des meilleurs.

Dans l’autre camps, il y a nous, les salauds de pauvres pollueurs qui osent encore respirer et produire ce monstrueux CO2 qui impacte nos vie et la sérénité de Gaïa. Parmi ces intégristes, il y a encore une classe à part : les intégristes climato-sceptiques, dont j’ai l’honneur de faire partie. Je suis une espèce de jésuite du climat qui, au milieu des mensonges énormes du GIEC, défend l’idée qu’au nom du réchauffement climatique, les partisans de l’étatisme et du dirigisme justifient une fiscalité toujours plus importante, des réglementations toujours plus contraignantes et l’emprise croissante de la sphère publique.

Leur sacrosaint principe de précaution ne sert qu’à embrigader l’humanité et engager des dépenses souvent inutiles au milieu desquelles les gourous davosiens profitent d’une crise climatique créée de toute pièce pour renverser le système économique actuel… nous robotiser et nous affamer.

Un jour, nos descendants s’amuseront peut-être de cette folie qui avait envahie le monde de sa nouvelle idéologie mortifère. Ils comprendront peut-être difficilement cette faillite scientifique qui nous avait plaqué au mur des exécutions sommaires : ou quand le dogme politique prend le pas sur les résultats expérimentaux.

Ils comprendront d’autant moins encore la faillite morale qui nous avait attrapé lorsque l’Europe s’imposa seule le coût faramineux des énergies renouvelables, au nom d’un « consensus scientifique » dont les politiques et les médias contrôlaient totalement le récit.

En effet, ils sont passés où les scientifiques raisonnables face à cette panique climatique propagée ? Nos modèles utilisés pour prédire l’avenir en matière de climat sont profondément défectueux. Ils ne sont même pas en mesure de décrire avec précision le climat du passé !

Tout cela n’est qu’une stratégie qui consiste à faire exploser les prix de l’alimentation et de l’énergie, à créer une pénurie de logements et à réduire de manière autoritaire la mobilité. Parallèlement on assiste à un développement d’une bureaucratie qui contrôle la vie des entreprises et des citoyens…

Il y a un an, à Davos, en Suisse, pour le Forum économique mondial, un sbire de l’administration John Kerry a déclaré que : Enormément d’argent était nécessaire pour les programmes climatiques.  Environ 150.000 milliards de dollars, rendez-vous compte ! C’est 150% du PIB mondial. Le fait que ce montant FARAMINEUX soit dépensé au cours des 26 prochaines années ne signifie pas qu’il ne s’agit pas d’un montant destructeur pour l’économie.

La réunion annuelle du Forum économique mondial de Davos a lieu maintenant, du 15 au 19 janvier 2024. L’ampleur du « besoin » importe peu aux partisans de Davos, qui se réunissaient cette année pour la 54e fois. Comme d’habitude, ces flagorneurs ont passé leur temps à se persuader de combien le monde a besoin d’eux et de leurs compétences particulières pour résoudre la crise climatique qu’ils ont fabriquée, et de la quantité d’argent des autres dont ils ont besoin pour faire le travail.

Si leur rêve de psychopathe abouti, ce qui représente quand même environ 5 000 milliards de dollars par an des contribuables, que pouvons-nous en attendre ?

Eteindre les lumières, laisser les voitures au garage et reboucher les pipelines de gaz et de pétrole, le tout en mangeant des insectes et de la viande artificielle, tout ça ne servira à rien : c’est du pipi de chat qui n’influencera nullement la météo. Tout juste retournerez-vous au Moyen Âge car, si vous pensez que les humains influent sur le climat dangereusement, vous vous mettez le doigt dans l’œil et jusqu’à l’épaule.

Pendant ce temps-là, les pays en développement, moins cons que l’Occident tout oxydé de ses vieux cons de Davos et menés par la Chine et l’Inde, conduisent actuellement leur PIB vers des sommets d’où nous ne verrons plus jamais les paysages lointains, puisque privés de voyage en avion.

Tout ceci n’est qu’écologie punitive…assénée par de petits kapos vert d’une idéologie vert de gris. L’écologie politique déconstruit notre histoire et nos paysages tout en mettant en exergue la démission presque irrémédiable de toute une société. Ainsi face à cette démission par lâcheté, nous devenons la cible des verts les plus fous : c’est-à-dire des écologistes les plus influents tels : Sandrine Rousseau, Marc Jancovici, Greta Thunberg, etc.

Pendant qu’en un mélange de cynisme et de bêtise, l’un prône le rationnement des billets d’avion, la mesure phare de Rousseau, consisterait à interdire immédiatement de louer des "passoires thermiques", créant ainsi une pénurie MONSTRUEUSE de logements.

Quant à « sainte » Greta, elle pense que l’heure de l’apocalypse écologique a sonné. La prosternation devant ces papes du climat est donc notre seule voix de salut. On est bien dans une écologie carcérale plus pressée d’asservir et de ruiner que de lutter contre un changement climatique qui, de toute manière, ne dépend aucunement de nous.

Du bio à la voiture électrique en passant par le nucléaire ou les OGM, ce totalitarisme vert démonte méthodiquement le corpus de poncifs écologistes les plus clivants et les plus extrêmes. Il est devenu le témoin d’une époque où penser librement en marge d’une religion nourrie de fantasmes et de peurs est devenu un acte de courage et les voix scientifiques discordantes des ennemis à abattre.

Là-dedans, l’UE n’est qu’un repère de loups aux ordres des lobbies et désireuse de démanteler ce qui reste des Etats souverains. Un simple exemple : le moteur économique européen, où le piston allemand, comme vous voudrez, n’a qu’une idée en tête ; démantibuler la culasse et le vilebrequin. L’Allemagne s’est évertuée à massacrer notre fleuron national : notre patrimoine nucléaire. Le nucléaire français a été démantelé. L'Allemagne mène une offensive terrible pour détruire EDF https://youtu.be/e4GWqyTTuCo

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/01/anne-ma-soeur-anne-ne-vois-tu-rien-venir-partie-2.html

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REMUER LA PULPE DU FOND

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Au risque de lasser mes lecteurs, je suis néanmoins obligé d’y revenir tant l’affaire est grave et risque d’impacter notre futur TRES proche. Cette écologie verte veut notre peau, au nom de ce sempiternel « réchauffement climatique » dogmatique à souhait.

Pendant que chaque soir, après la météo, on nous sert la messe écolo-bobo sur le « réchauffement » qui nous guette, les « zététiciens » du système, grassement payés et égaux à eux-mêmes, s’empressent de nous faire le récapitulatif mortifère de l’empreinte carbone de nos cadeaux, de nos déplacements et de nos repas ; à nous, les gros dégueulasses de pauvres.

Côté COP 28, néanmoins, on s’amuse !

Pendant ce temps-là, en Chine, « beau » pays de l’oncle Xi, les températures ont chuté en dessous de zéro en battant des records historiques extrêmement bas dans de nombreux endroits, incitant les autorités à déployer des mesures préventives pour faire face à d'éventuelles situations extrêmes. Certains endroits ont enregistré des températures inférieures à -40°C.

Non loin du Kazakhstan et de la Chine, des températures allant jusqu’à -58 degrés ont été enregistrés par les résidents locaux de la République de l'Altaï. Une anomalie a été constatée dans le village de Kurai, district de Kosh-Agach. Des témoins oculaires rapportent que dans de telles gelées, les oiseaux meurent de froid.

Partout sur la planète, les records de froid sont en train d’être battus, c’est pour cela que nous devons tous lutter contre « le réchauffement » (lol) en arrêtant même de respirer (voir mon précédent article).

https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/12/ceux-qui-nous-pompent-l-air.html  

Question rigolade, le président de la Cop28 lui, a une manière tout à fait particulière de s’y prendre. Il affirme que son entreprise continuera à investir dans le pétrole… ?

Sultan Al Jaber, qui est également directeur général de la société nationale pétrolière et gazière des Émirats arabes unis, ADNOC, a déclaré au Guardian que la société devait satisfaire la demande de combustibles fossiles. Le président de la COP 28 poursuivra l’investissement record de sa compagnie pétrolière dans la production pétrolière et gazière, malgré la coordination d’un accord mondial pour « abandonner » les combustibles fossiles.

Lorsqu’on lit ça, on se dit bien, à moins d’être le roi des cons, que leur écologie à deux balles est devenue une religion. Mais, comme toute religion, elle possède sa face exotérique pour les gueux et sa face ésotérique pour les ultrariches qui, grâce au CO2, entendent bien le rester.

Nous allons devoir nous priver de chauffage, rouler à vélo, manger des insectes, respirer et péter beaucoup moins pour sauver la planète de Greta, mais tout le monde, sauf nous, va continuer à cramer du pétrole et bruler du charbon.

On va faire des trous partout pour sortir les minerais (terres rares) nécessaires à cette "transition » écologique" qui fait rire les riches, mais pas les pauvres.

Quant au Français qui ne pèse pour RIEN dans la production de ce CO2 ne représentant que 0.04% du total mondial produit par mère nature, on va lui demander encore plus d’efforts qui ne serviront à rien aux Français. Au passage, n’oublions pas que ce CO2 reste pourtant nécessaire à la vie sur terre.

L’écologie est devenue une prison dont plus aucun homme politique n’a le courage de sortir. Mais qu’on se rassure, les hydrocarbures d’ADNOC sont à faible teneur en carbone car ils sont extraits efficacement et « avec moins de fuites que les autres sources ».

Ce que ces cons là oublient, ce sont les millions de tonnes qu’il convient de retourner afin de trouver ces fameuses terres rares nécessaires tant à l’éolien qu’au solaire. Une extraction qui, outre de petits esclaves, nécessite l’intervention d’une déesse hindou à mille bras : les énergies fossiles sans lesquelles nous retournerions au Moyen âge (Ce qui nous pend au nez).

Les énergies renouvelables sont temporaires. On peut construire autant d’éoliennes et de panneaux solaires que l’on veut, ça ne permettra pas de se passer d’une bonne partie des centrales thermiques voire nucléaires.

Elles restent indispensables quand le vent et le soleil viennent à manquer, ce qui est fréquent. Comprenez bien qu’avec de tels idiots au pouvoir, nous, les gueux, devons donc payer pour deux systèmes qui font ainsi double emploi. Sans parler des coûts considérables du stockage, qu’il soit hydraulique ou par batteries, et qui viennent encore gonfler l’addition. Vous voyez, quoi que l’on fasse, nous sommes tous condamnés à payer toujours plus cher l’électricité.

Car elle ne se stocke pas ou si peu que s’en est charmant ! En fait, partout où le renouvelable intermittente a atteint une forte pénétration du marché, les prix de l’électricité ont nécessairement augmenté. Pourquoi ?

Parce qu’un réseau électrique doit fonctionner avec une fiabilité à cent pour cent. Or, par définition, éolien et solaire connaissent des variations importantes, imprévisibles, aléatoires et parfois soudaines de la puissance qu’elles fournissent. Par conséquent, dans un réseau utilisant de grandes quantités d’électricité provenant de ses sources, des équipements supplémentaires coûteux doivent être ajoutés au système pour l'équilibrer en permanence.

Bref ! Ce qui ressort de cette Cop 28, c’est un Occident et surtout une Europe qui s’enfonce d’en l’ère de la post-industrialisation. Et pendant ce temps, les Américains ont fait voter une loi pour interdire ça :

Mais pour nous ce sera ça :

Pendant que les Américains ne seront obligés (le choix) en rien, nous les p’tits vassaux, nous devrons rouler à vélo et en respirant le moins possible. Comment en est-on arrivé là ? Grace à l’idéologie plus haut dénoncée, cette ingénierie sociale dont on nous mitraille les neurones à chaque seconde de nos vies de zombis. Nous sommes tous victimes d’un nouveau type de guerre sans bombes.

Certains pays devant disparaitre afin de faire place à leur N.O.M., on désindustrialise les gênants à tour de bras. Cette idéologie a fait de nous des repentis, des gens qui demandent presque pardon de vivre (plus d’enfant, ne consommons plus, etc.) Pendant qu’elle fait de nous le problème, l’élite, toujours avide de capitaux, exploite ce problème. Il n’est absolument pas question de le résoudre, il est question de Mammon ; le fric. Et la taxation à outrance constitue toujours la solution. Vous voyez ! ce monde est corrompu, mais pas encore assez à leurs yeux. Pourquoi ?

Parce que cette COP 28 vient d’accoucher d’une énormité propre à faire de tout l’Occident oxydé un Flagellant, un membre de ces groupes ambulants de fidèles qui, au Moyen âge, se donnaient la discipline collectivement en public.

Tout pays subissant des calamités climatiques régulières ou non, pourra désormais venir pleurnicher chez les « pollueurs ». Vous savez ces Occidentaux qui font des enfants blancs et qui les chauffent et les nourrissent tout en leur donnant une éducation !

Cette COP28 vient de créer un droit exigible et opposable au dédommagement.

Traduction : il pleut chez toi, ton désert est trop désertique ? Tu as des dettes ? cesse de les payer, ce sont les Européens et ces cons de français qui paieront pour toi, même si ta république bananière est dirigée par des corrompus de la pire espèce.

Devenez-donc réfugié climatique, ça rapporte ! Même si, jusqu’à présent, vous étiez un pays qui s’en battait les roubignoles du CO2 et du réchauffement. Croyez-moi, c’est très alléchant et tous les pays du tiers monde vont rappliquer la gamelle à la main. Bien entendu, ça ne marche que dans un sens : celui des « victimes » vers les salops de pollueurs : NOUS.

Il est loin le discours ou les Occidentaux se reprochant d’avoir pollué demandaient aux autres, les pays en développement, de ne surtout pas faire comme eux : c'est-à-dire de partir en vacances, de rouler en voiture et de consommer. C’était vu d’un très mauvais œil concupiscent par ce tiers monde en développement. À tel point que ce fameux réchauffement, ils se le carraient tous au … Mais c’est désormais fini, terminé, ils se sentent tous CONCERNES. Et pour cause !

On est donc en train de transformer tous ces pays en des mendiants, non pas de l’amour comme dirait Enrico Macias, mais des mendiants du climat. Ils vont venir nous montrer du doigt, nous, les salops de Gaulois et les autres, qui aimons le fromage, la viande, le pinard, les vaches qui pètent, les voitures qui polluent, les maisons mal isolées et en plus qui respirons.

En attendant, il faut absolument faire un effort pour que ce Noël soit davantage vert. Je compte sur vous (lol !). Essayez d’avoir un sapin qui ne pollue pas, des animaux de compagnie qui ne pètent pas comme la belle-mère et un repas de fête à la facture carbone millimétrée.

Bonne fin d’année quand même.

A suivre

Olivier

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LE DENI DES NANTIS

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Le Sultan Al Jaber est le président de la COP28. Il est aussi le président d’une énorme compagnie pétrolière. Alors question CO2, c’est un peu le renard dans le poulailler ! Il est sultan d’une pétromonarchie et président de la plus grosse boîte pétrolière du coin et on s’étonne qu’il aime le pétrole.

Il est aussi celui qui a déclaré : « Je respecte la science, mais il n’existe aucune base scientifique ni aucun scénario pour affirmer qu’il faut sortir des énergies fossiles pour stabiliser le réchauffement à +1,5 °C ».

Cela fait des années que je réuni tous les morceaux du puzzle mondialiste et l’image d’ensemble n’est pas belle, de plus en plus comique, certes ! mais immonde. Les preuves : Il n’y a qu’à relier les points et les informations pour faire apparaître le tableau d’ensemble.

Jamais l’éco-anxiété de nos jeunes n’a été aussi forte, ce qui est logique, puisque chaque jour on leur explique qu’ils vont mourir à cause du CO2 en les forçant à consommer encore plus pour assurer la croissance du PIB.

Ils ne veulent donc plus d’enfant et la natalité s’effondre, mais seulement chez les « gueux ». Chez les riches, c’est autre chose qui les travaille. Ces personnes, parmi lesquelles figure Elon Musk, cherchent à sauver la civilisation en générant une lignée génétiquement supérieure.

De quoi nous rappeler le "bon temps" d'un tonton Adolf.

L’idée sous-jacente est de prendre le contrôle de l’évolution humaine en ayant de nombreux enfants aux caractéristiques génétiques souhaitables. Ces individus dit « pro natalistes » investissent dans des technologies et des entreprises qui encouragent la reproduction sélective et l’amélioration génétique.

Genomic Prediction est une entreprise proposant des tests génétiques PGT-P, permettant aux parents de sélectionner des embryons « meilleurs » en fonction de divers facteurs de risque polygéniques.

Style Le Meilleur des Mondes, d’Huxley, cette obsession pour la procréation et la longévité constitue la nouvelle lubie des « élites », rappelant les investissements de personnalités telles que Jeff Bezos dans des entreprises de biotechnologie axées sur la prolongation de la vie. 

Des gosses pour les riches, pas de gosses pour les pauvres !

Et c’est cela qui doit être remarqué, sans avoir à stériliser les pauvres ! La propagande est suffisante pour que de leur plein gré, ils ne veulent plus d’enfant et laisse la place, leur place… aux riches, qui ont bien compris la réalité de la « propagande climatique ».

C’est normal! ce sont eux eux qui font les règles du jeu pour vous… enfin, pour eux, et contre vous. Et tout ça au nom d’un hypothétique réchauffement climatique monté en épingle par une sale bande de malthusiens et qui n’existe pas. Et surtout d’un coupable qui n’en est pas un (CO2).

Pour l’instant, ce que je constate, c’est un froid précoce et partout. Aux USA, une terrible tempête de neige a enseveli des maisons à New York, Ohio : https://youtu.be/6oSkbiAUMzg  À  Dubaï, ce sont des vents violents qui ont soufflé à plus de 203 km/h : https://youtu.be/CTrWFpXkeKU

En Turquie, des tempêtes et des vents de 202 km/h ont détruit des bateaux et des maisons : https://youtu.be/QN1uVoW3Wk8

En Allemagne, c'est déjà l'hiver, et l’énergie « renouvelable fait prout ! En effet, avec de la neige sur les panneaux solaires, et pas de vent pour les éoliennes, pas d'électricité !

Vous pouvez constater grâce à ces nombreux exemples que nous avons affaire à tout sauf un réchauffement !

D’ailleurs, toutes leurs simagrées commencent à retomber sur le dos de nos dirigeants. Macron, vient de retourner sa veste une énième fois afin de … relancer le nucléaire. En effet, voilà qu’une majorité de dirigeants mondiaux, confrontés aux rendements anecdotiques des technologies dites « propres », se retrouvent à présent à pousser l’énergie nucléaire de tous leurs vœux.

Évidemment, après les petites envolées lyriques de Macron sur Fessenheim, le virage intégral promet quelques moments croustillants chez nos écolo-hystérique.

Et à propos de virage, cette COP28 est aussi l’occasion pour le même Macron d’en réclamer un concernant le charbon qu’utilisent abondamment les Chinois, l’Inde (11,8%) et les États-Unis (7,2%).

Comme si la Gaulle d’Astérix et d’Obélix était encore en capacité de réclamer quoi que ce soit !

En outre, Macron semble oublier l’essentiel. Si la Chine consomme tout ce charbon pour ses besoins énergétiques, c’est que nous sommes tous des pays désindustrialisés.

Les besoins chinois sont gigantesques, puisqu’ils font tourner les usines qui fabriquent les panneaux solaires, les éoliennes, les batteries et les voitures électriques qu’on nous « incite » (oblige) à utiliser partout en Europe.

Mais, concrètement, certains dirigeants comprennent l’absurdité des solutions écologiques « alternatives », intermittentes et économiquement désastreuses au nucléaire, au pétrole et au charbon.

Certains commencent enfin à comprendre le spectacle hypocrite proposé par une élite se déplaçant en jet pour aller à Dubaï discuter de notre avenir bien au frais et refroidit à grand coup d’énergies fossiles. Ces clowns sataniques essaient ensuite de nous expliquer comment nous passer de climatisation et de voyages en avion.

J’en profite ici pour vous rappeler le cas d’un parangon de vertu aux ordres de Davos. Jean-Marc Jancovici. Il est grassement rémunéré via des conférences sur l’énergie à la clef. Là où on parle de supprimer les voyages en avion trop polluants, comment ne pas rappeler son cas (clinique).

Récemment, il voulait nous assigner à résidence pour le bien de la planète et de son porte-monnaie, en limitant de façon arbitraire le nombre de vols aériens autorisés par personne dans une vie.

Cette fois-ci, reprenant les propos de tonton Schwab, c’est à nos animaux de compagnie qu’il s’attaque, estimant à tort qu’ils ont un impact sur le climat. Toujours en fonction du « méchant » CO2, il estime que le gentil chienchien à sa mémère génère (on ne sait comment ?) 10% de l’empreinte carbone d’un Français, il en conclut qu’il faudrait tout faire pour se passer d’eux.

Vous voyez où ses fous climatiques désirent nous emmener ? Plus de voiture, plus de vacances à l’étranger, chauffez-vous à 18°, douchez-vous une fois par semaine et en épluchant vos légumes, c’est plus économique !

Masquez les animaux d’élevage, et maintenant, séparez-vous de vos animaux de compagnie qui mangent, qui occupent de la place et qui pètent. Mangez des insectes et surtout plus de viande, ça pollue la planète et en plus le CO2 des pets de vaches réchauffe l’atmosphère.

Nous vivons désormais sous le 4e Reich de l’écologie punitive.

Olivier

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JE VOUS AI PREVENU !

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Où et quand ? Ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/10/rien-de-nouveau-sous-le-soleil-de-satan-partie-1.html

https://vk.com/@ocape-rien-de-nouveau-sous-le-soleil-de-satan

Partout à travers le monde, les catastrophes se succèdent. En Sicile, l’Etna fait des siennes : https://youtu.be/QpdvybklO7I En Indonésie, c’est le Krakatoa qui s’énerve. Pendant ce temps, nos merdias parlent Jérusalem, changement climatique et p’tits « problèmes » en France.

Mais rien, alors rien n'est dit sur les vraies menaces qui pèsent sur nous tous. Ce faisant, ils nous cachent les influences planétaires cycliques qui s'en viennent (Tremblements de terre, éruptions volcaniques, tsunamis, éruptions solaires, tempêtes…)

En faisant des siennes, le soleil est au centre du PROBLEME. Il vient encore de nous cracher dessus et un de ses filaments magnétiques est entré en éruption le 27 novembre aux alentours de (05h00 TU).

Ce filament a provoqué une éjection de masse coronale (CME) dans l’espace. La NASA nous dit qu’il va effleurer le champ magnétique de la terre demain, le 30 novembre, déclenchant potentiellement une tempête géomagnétique de classe G1. Mais depuis cette première éruption, deux autres ont été détectées.

Leur arrivée collective (du 30 novembre au 1er décembre) devrait déclencher des tempêtes géomagnétiques de classe G2. Cependant, je vous ai expliqué l’état de notre champs magnétique terrestre qui s’affaibli de plus en plus. Résultat, des tempêtes solaires bien plus fortes sont à craindre, entrainant avec elles de nombreuses catastrophes sur terre : tremblements de terre, éruptions volcaniques, tempêtes extrêmes, froid et pluviosité accrus.

Le Krakatoa est entré en éruption dans l'après-midi du 27 novembre, envoyant un panache de cendres à environ 2 160 m au-dessus du niveau de la mer. Il s’agissait de sa deuxième éruption de la journée. Il est entré en éruption neuf fois entre dimanche matin et lundi après-midi.

En Iran, dans l'ouest du pays, une avalanche a fait 5 morts. Ces alpinistes ont été retrouvés sur le sommet de San Boran, situé à environ 300 km au sud-ouest de la capitale, Téhéran. De fortes chutes de neige se sont abattues ces dernières semaines sur les montagnes du Moyen-Orient.

En Russie, Moscou a été frappée par un puissant blizzard. Ailleurs, en Europe, des blizzards extrêmes ont ravagé tout l'Est au cours du week-end, coupant l'électricité à des milliers de villes et villages, de la Lituanie à l'Ukraine jusqu'en Bulgarie.

Le début précoce de l’hiver a également persisté jusqu’à lundi et s’est déplacé plus à l’est vers la Russie européenne où Moscou connaît son premier épisode neigeux majeur bien plus tôt que d'habitude.

Comme indiqué plus haut, la capitale russe a été victime d’un « blizzard noir », phénomène habituellement rencontré dans l'extrême nord du pays. Les flocons de neige y volent alors presque parallèlement à la surface, diminuant la visibilité jusqu'à moins de 100 m.

La neige a commencé à tomber dimanche 26 novembre et s'est intensifiée pendant la nuit, les dernières prévisions prévoyant que les conditions persisteraient jusqu'à hier, mardi 28 novembre constituant l’une des plus fortes chutes de neige jamais enregistrées en novembre. Quatre morts sont à déplorer et deux millions de personnes sans électricité en Russie et Ukraine https://youtu.be/soCStyjhYm4

C’est le soleil, le grand responsable de tous ces changements et certainement pas nous, pauvres petits humains. En effet, la dernière fois que Moscou a connu pareil phénomène, c’était en 1977, lors du minimum solaire du cycle 20. Quant à nous, l’air polaire descend brutalement, les anomalies de température chutent jusqu’à -30 °C en dessous des normes saisonnières.

Et croyez-moi, ce qui va suivre n’a rien à voir avec l’augmentation du co2 dans l’atmosphère, comme s’échinent à vouloir nous le faire croire tous ces ordures de mondialistes.

La quantification de l'effet de serre s’effectue en considérant la vapeur d'eau dans l'atmosphère, sans aucune référence à la concentration de dioxyde de carbone (CO2), qui, cependant, au siècle dernier est passée de 300 à environ 420 ppm. Ces formules utilisées pour quantifier l’effet de serre ont été introduites, il y a 50 à 90 ans. 

Depuis, l'augmentation observée de la concentration atmosphérique en CO2 n'a pas modifié de manière perceptible l'effet de serre, qui reste dominé par la quantité de vapeur d'eau dans l'atmosphère. Néanmoins, moult institutions vendues à l’élite persistent à dire que le dioxyde de carbone (CO2) est le gaz à effet de serre le plus important.

Alors, équipez-vous d’un bon feu au bois et faites donc rentrer du bois RAPIDEMENT. Sans oublier les couvertures afin d’accueillir les malheureux qui n’auront  pas votre chance. Et puis, priez, mais certainement pas comme lui là, au-dessus !

Olivier

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RIEN DE NOUVEAU SOUS LE SOLEIL DE SATAN (Partie 5 et fin)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à l’article 1 : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/10/rien-de-nouveau-sous-le-soleil-de-satan-partie-1.html

Je le répète depuis des années, à longueur d’articles et de livres : tout n’est que cycles ! Le système solaire possède les siens et l’humain également. Quant à Gaïa, n’en déplaise au GIEC, les siens fluctuent également en fonction des différents cycles solaires, dont le plus connu est celui de 11 ans.

L’échelle humaine ne permet pas souvent de mesurer les changements majeurs qui sont capables de survenir sur cette terre. Parfois, ils sont longs et parfois ils se précipitent au gré des alignements planétaires (antennes) et des éruptions volcaniques. Dois-je vous rappeler ce qu’il est advenu de l’empire romain ? L’homme peut bomber fièrement le torse ou chercher à se faire plus important qu’il n’est en réalité. Il n’est que poussière d’étoile et sa vie fluctue, au gré des éléments.

Ainsi, je le répète, l’élite pourra toujours chercher à nous tromper avec ses inepties, elle sera rattrapée par la réalité des événements. Un dernier cas historique en toile de fond, avec Louis XIV (1638-1715) qui, bien que « roi-soleil » eu une fin de règne glaciale.

Et là, croyez-moi, cela s’est déroulé très vite. Tout commence début janvier 1709. Louis XIV règne déjà depuis longtemps (66 ans), lorsque dans la nuit du dimanche 6 janvier Lille est d'abord pris dans sa gangue par un bise glaciale venue du nord. Trois heures plus tard, la vague polaire atteint Versailles et Strasbourg, avant de déferler impitoyablement sur le sud.

Le temps d'une nuit, la France va se changer en Sibérie. Dans la capitale, le 5janvier, il pleut et quelques heures plus tard, le thermomètre va y descendre à - 17 °C. A l'aube du 6, dans les campagnes, certains n'arrivent même pas à sortir de chez eux tant la neige est tombée.

Au bout de quelques jours, tout gèle. La Seine, le Rhône, tous les fleuves et cours d’eau sont pris par le gel. Même à Marseille, le Vieux-Port est pris dans les glaces. Et les températures continuent à diminuer. Les oiseaux tombent foudroyés par le froid et les animaux de ferme meurent dans les étables, les poissons dans les étangs. Les forêts sont pétrifiées et les arbres éclatent par le gel. Dans les maisons, il fait jusqu'à - 10 °C, tout comme à Versailles, où le vin gèle dans les carafes.

Un salutaire dégel fin janvier est suivi début février d'une autre vague de froid. Le cercle infernal recommence début mars, alors que la végétation est en pleine montée de sève. Comme les vignes, les récoltes de céréales sont mortes : le prix du froment est multiplié par cinq. Faute de nourriture et de routes praticables, Paris cesse d'être approvisionné jusqu'en avril ! Partout dans le royaume, on meurt de faim ou de froid. Les gens démunis s'attaquent aux boulangeries, ils pillent pour manger.

Ce grand hiver aura tué plus de 600 000 personnes. Tout ceci prouve une chose : en ce début de 21e siècle, beaucoup trop sont assis sur un tas de certitudes qui peuvent brutalement voler en éclats, même si, n’en déplaise au GIEC, les merdias vous disent le contraire. N’oubliez jamais qu’il y a un peu plus de mille ans, c’est une terre verte que découvrirent les Vikings (Groenland). 

Cela fait 16 ans depuis la publication du rapport AR4 du GIEC qui appelait à une « fonte incontrôlée » de la glace de mer arctique. Elle était alors le fruit d'une extrapolation sans fondement basée sur quelques « mauvaises » années. Publiée en 2007, le GIEC y indiquait au monde que la glace de mer arctique était le signe avant-coureur des changements catastrophiques qui se produisent dans le système climatique, et le résultat de la main de l'homme.

L’année 2007 avait fourni aux merdias la plus faible étendue de glace marine estivale jamais enregistrée par satellite. Al Gore, le réchauffiste fou, avait alors sauté sur ces découvertes, affirmant que des scientifiques lui avaient dit qu'il n'y aurait peut-être plus de glace d'été dès 2013.

16 ans plus tard, comment la banquise arctique a-t-elle évolué ? À l’époque, question « albédo » tout devait s’emballer. Je m’explique ! Le blanc réfléchi les rayons solaires. Moins de blanc, c’est plus de rayons pénétrants venant chauffer la terre et la mer. En réchauffant les eaux, ils doivent conduire à une plus grande fonte des glaces, ce qui signifie plus d'énergie solaire entrant, réchauffant les eaux, entraînant une fonte accrue des glaces, etc.

Cette explication d’une simplicité naïve révèle les intentions les plus sombres d’un GIEC piloté par l’élite. Cette hypothèse, en effet, se refusait à considérer et examiner les nombreux autres effets que l’augmentation des plans d’eau libres peut avoir et quelles autres rétroactions, positives ou négatives, peuvent entrer en jeu, du style : Plus de perte de chaleur la glace constituant une barrière isolante.

Plus de perte de chaleur par évaporation en raison d'une plus grande quantité d'eau libre exposée à des vents arctiques forts et persistants. Perte de chaleur radiative plus importante, puisque l'eau a une émissivité élevée dans l'infrarouge et rayonnera davantage tout au long de l'été et se poursuivra en hiver lorsque l'Arctique est dans l'obscurité permanente et qu'il n'y a aucune lumière solaire incidente.

Bref ! l'astuce préférée des alarmistes : c’est d’extrapoler. Ils le font à l’excès, mais dans le ponctuel. Ils excellent à promouvoir le futur avec des résultats extrêmes (ouragans, glace arctique, excès ou manque de neige, ours polaires en dépression ; couverture corallienne en décomposition, etc.

Bien que des données soient facilement disponibles, notamment celles provenant des satellites, une grande partie du débat semble basée sur l’obsession faussement attribuée à la suspecte augmentation linéaire du CO2 atmosphérique, en mettant hors circuit moult facteurs et rétroactions qui sont pourtant en jeu.

L’élite, par le biais de son GIEC, se contente de masquer la réalité en utilisant des reportages et des organismes gouvernementaux outrageusement payés à cacher la véritable nature du changement, bon et mauvais. Des reportages sélectifs ou erronés nous sont ainsi présentés ad nauseam et tous propres à construire un discours alarmiste.

Au moment où je rédige, de violentes dépressions et de fortes chutes de neige ont récemment frappé de vastes régions d'Europe. Dans toute la Scandinavie, de fortes gelées sont tombées, en particulier dans les montagnes de Suède, de Norvège et de Finlande, où les températures minimales nocturnes sont tombées entre -12°C et -19°C, avec des observations inférieures à -20°C, ce qui est historiquement précoce. Un minimum de -23 °C a été observé en Suède, au cours du week-end dernier ; la température la plus basse de la saison en Scandinavie jusqu'à présent.

La neige et la glace dans l’hémisphère Nord continuent d'arriver plus tôt que prévu et à un point tel que le Bureau norvégien des statistiques lutte contre l’hystérie du réchauffement climatique, déclarant : « Nous constatons que l'effet des émissions de CO2 d'origine humaine ne semble pas être suffisamment fort pour provoquer des changements systématiques dans les fluctuations de température au cours des 200 dernières années. Les quatre périodes interglaciaires précédentes étaient plus chaudes qu’aujourd’hui », poursuit le rapport publié en septembre dernier.

L’organisme précise en outre : « La notion de réchauffement climatique est physiquement mal posée. Les modèles climatiques ne sont pas suffisamment fiables pour faire la distinction entre les causes naturelles et les causes liées à l’homme. Et de « sérieux doutes » sont apparus quant à l’attribution des « émissions anthropiques de CO2 ».

Pour lire le rapport du bureau norvégien des statistiques dans son intégralité, cliquez ici : https://www.ssb.no/en/natur-og-miljo/forurensning-og-klima/artikler/to-what-extent-are-temperature-levels-changing-due-to-greenhouse-gas-emissions/_/attachment/inline/5a3f4a9b-3bc3-4988-9579-9fea82944264:f63064594b9225f9d7dc458b0b70a646baec3339/DP1007.pdf     

Néanmoins, n’en doutons pas, lorsque vous allumerez votre téléviseur ce soir, on vous bassinera à nouveau avec ces pauvres ours qui meurent sur 0.5m2 de banquise, les océans qui se réchauffent et nous qui devrons en conséquence nous serrer toujours davantage la ceinture au nom de ce fameux réchauffement anthropique.

« Plus l'effondrement d'un empire est proche plus ses lois sont folles. » Cicéron

Alors pourquoi ne pas verrouiller le cercueil civilisationnel avec des grands clous de 110 ? Plus d'un millier de scientifiques viennent de signer une déclaration rejetant l'existence d'une crise climatique, rejoignant ainsi les rangs de plus en plus nombreux des climatosceptiques. Néanmoins, l'OMS a annoncé la nécessité d'une vaccination de masse « pour lutter contre les effets du changement climatique ».

Pour lutter contre le changement climatique, y compris la « menace de propagation de maladies par les moustiques OGM de tonton Gates migrant vers de nouvelles régions », pour le plus grand bonheur de Big Pharma une nouvelle vaccination de masse sera bientôt nécessaire, selon l'organisation.

C’est le Dr Maria Van Kerkhove, directrice technique de la réponse OMS au Covid-19 qui nous sort ces énormités. Lors d'une récente conférence de presse à laquelle a participé Tedros Ghebreyesus, sa subalterne a déclaré que les pays doivent « se préparer médicalement au changement climatique en surveillant l'évolution des effets secondaires (dus au « réchauffement climatique ») ».

Mais en plus de tous mourir vaccinés et non protégés, ces cons là veulent nous faire mourir de froid et de faim, mais dans le noir. En effet, au milieu du marasme européen, le moteur franco-allemand peine. Les verts allemands voient rouge. Pourquoi ? À cause de 56 réacteurs nucléaires Français. Un parc unique en Europe QUE NOUS ENVIENT les autres.

Une protection voulue à une époque où nos dirigeants pensaient encore à l’indépendance énergétique du pays et à son indépendance tout court. Ce parc est malheureusement placé au croisement de deux controverses qui traversent les Vingt-Sept pays de « l’union ». La première porte sur le rôle de l’électricité nucléaire dans la transition énergétique du continent. La seconde, sur la compétitivité des prix de l’électricité que chaque État est en mesure d’assurer à ses citoyens et à ses entreprises.

Bref ! nos « braves » camarades allemands si pragmatiques redoutent que la France ne vende son électricité à perte, pour mieux attirer sur son sol des industriels pour qui l’Allemagne, privée du gaz russe, est brutalement devenue moins séduisante ; puisque le gaz russe a été remplacé en Allemagne par du bien mauvais charbon.

Nos « têtes à penser » européennes ont donc adopté lundi 16 octobre dernier leur position commune pour la COP28. Et puisqu’il n’y a pas que les cons qui volent en escadrilles, les hypocrites le font aussi et en rangs très serrés, nos énarques ont décidé d’assouplir la formulation de l’objectif de réduction des émissions et de sortie des combustibles fossiles de l’UE, afin de parvenir à une décision unanime.

Bref ! les 27 ministres de l’environnement européens se sont réunis lundi à Luxembourg et après un bon gueuleton, ils ont décidé de définir la position de l’UE en vue du sommet COP28 qui débutera à Dubaï le 30 novembre. D’un coup de baguette magique à la Harry Potter, ils se sont engagés à tripler la capacité mondiale en matière d’énergies renouvelables et à doubler les améliorations en matière d’efficacité énergétique d’ici 2030.

L’UE, c'est-à-dire nous, 450 millions de connards rendus au Moyen âge, œuvrerons pour que le secteur énergétique mondial soit « exempt de combustibles fossiles » bien avant 2050. Pendant ce temps, les BRICS OUVRIRONT GRAND LES ROBINETS DE LA CONSOMMATION. Mais ce n’est pas tout ! L’UE aspire à un « système électrique entièrement ou principalement décarboné dans les années 2030 ».

Et puisqu’elle y aspire, ce sont nos vies de gueux qui seront aspirées avec.

Quant à celles et ceux qui désirent en savoir plus, il y a ça : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/01/retour-sur-le-climat-le-vrai-partie-1.html  et, bien entendu, mon livre entièrement consacré à la vérité climatique : Tonton Malthus est revenu. https://www.thebookedition.com/fr/tonton-malthus-est-revenu--p-381845.html

Bonne et saine lecture.

Olivier

Fin

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RIEN DE NOUVEAU SOUS LE SOLEIL DE SATAN (Partie 4 )

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Au 20e siècle, le pétrole sert à faire rouler les voitures et le charbon à les produire (sidérurgie, verre, électricité). Et ce n’est certainement pas Ford qui me contredirait ! On n’a jamais réalisé de transition énergétique et, hormis d’énormes mensonges, ce n’est certainement pas le vieux Schwab qui changera la donne.

Et question mensonges, j’en reviens au principal outil des réchauffistes : le GIEC.

Il est composé de trois groupes : le premier s’occupe du constat physique sur le climat, le deuxième s’occupe des impacts et le troisième s’occupe des scénarios de transition. Or, le GIEC fait reposer ses thèses sur l’idée que, de par le passé, on a effectué des transitions. Dans le chapitre deux de son dernier rapport paru en avril 2022, il est affirmé que les transitions pourraient avoir lieu beaucoup plus vite que par le passé.

Alors que ce fameux passé n’en a connu aucune.

Toutes les courbes de CO2 prouvent que les guerres, les crises et même couillonavirus n’ont aucune incidence sur la production de CO2 dans l’atmosphère. Or, on nous parle de décarboner l’économie avant 2050 ! Pour le GIEC, il faut donc avoir diminué nos émissions de 40% d’ici 2030. De quoi déjà nous renvoyer à l’âge de pierre. Pourquoi ?

Parce qu’à part les pays ayant connu des crises profondes style Corée du Nord et Cuba qui, même au prix d’embargos drastiques, n’ont même jamais atteint des niveaux aussi bas. Pire, eux devaient se restreindre faute d’approvisionnement alors que nous, nous devrions nous serrer la ceinture alors que ces mêmes ressources existent encore et toujours.

Toutes leurs histoires de pic de production pétroliers ne sont que mensonges orchestrés.

Ce qu’on invente maintenant, a un énorme temps de diffusion, et n’a donc aucun impact sur les objectifs fous de décarbonation d’ici 2050. En effet, ce qui fait notre quotidien a souvent été inventé il y a longtemps. L’automobile remonte à 1880, et en France ; sa vraie diffusion en masse n’a commencé que durant les années 60. Mon père a eu sa première voiture, une 2cv, en 1969.

Exception peut-être des USA ou la chose a pris moins de temps, environ 40 ans.

Néanmoins, c’est cette notion de « transition énergétique » qui semble avoir joué un rôle clé dans nos esprits, depuis les années 90, où l’on parle vraiment du climat dans le public, impliquant l’idée pernicieuse qu’il faut effectuer une transition qui sera gérable technologiquement.

C’est un déni du changement climatique qui passait alors par l’idée diffuse d’une transition énergétique. Le discours était un peu : « Pas la peine de s’affoler puisqu’il y a une transition en cours ! »

En réalité, durant les années 50, le discours sur la transition énergétique viendra surtout d’un petit noyau : celui des savants atomistes de l’AEC. La Commission de l'énergie atomique des États-Unis (United States Atomic Energy Commission, ou AEC) est un organisme fédéral établi dans le but de promouvoir et de contrôler le développement pacifique des applications atomiques et nucléaires tant au niveau scientifique que technique.

Tous ces individus sont des néomalthusiens obsédés par les limites productives de Gaïa. Ils sont persuadés que le nucléaire constitue le suppléant idéal aux défis environnementaux.

Marion King Hubbert (1903-1989), un géophysicien américain, travaillait notamment dans les laboratoires de recherche de Shell à Houston, il travaillait aussi pour l’AEC qui désirait se débarrasser des déchets nucléaires dans des puits de pétrole abandonnés.

Bien que peu réceptif à l’idée, Hubbert, en tant que grand théoricien du pic pétrolier, va néanmoins faire les choux gras de l’AEC dans le sens où il est l’instigateur comme quoi, il n’y a pas tant de pétrole que ça (courbe de Hubbert).

Pour eux qui pensent avoir découvert la clé du futur de l’humanité avec une énergie propre et inépuisable, Hubbert, c’est du pain béni. Ils pensent l’énergie à des horizons lointains, et commence donc à parler transition. Dès la fin des années 60, bien avant le choc pétrolier organisé de 1973, ce sont eux qui commencent à populariser la crise énergétique.

Vous connaissez mes « tendances complotistes » ! C’est à se demander si des blackouts du style de la panne de courant nord-américaine de 1965 ne furent pas orchestrés dans ce sens?  L’importante perturbation électrique du 9 novembre 1965 affecta même une partie de l'Ontario au Canada, ainsi que les États du Connecticut, Massachusetts, New Hampshire, New Jersey, New York, Rhode Island, Pennsylvanie, et le Vermont.

Plus de 30 millions de personnes réparties sur 207 000 km2 furent privées d'électricité durant 13 heures et 800 000 usagers furent bloqués dans le métro new yorkais.

Aubaine pour l’AEC qui en profitera pour dire que le pays va connaitre une crise énergétique, s’il ne finance pas rapidement l’installation de réacteurs. Cerise sur le gâteau ! 1973 sera pour eux la surprise positive. C’est à partir de ce choc pétrolier que l’idée de choc énergétique va devenir commune et entrer dans les mœurs. À travers cela, c’est l’idée de transition qui fait son p’tit bonhomme de chemin.

Alors qu’en fait, comme expliqué plus haut, il n’y a jamais eu de transition énergétique. Le bois fait son chemin grâce au pétrole. Située en Albion, la centrale électrique de Drax est une centrale thermique à bois, anciennement à charbon située au Royaume-Uni dans le Yorkshire du Nord. Elle consomme 80% des granulés de bois importés des États-Unis.

Avec le charbon, elle était la plus grande centrale thermique d'Europe. Elle consomme chaque année entre 6 à 12 millions de m3 de bois.

Ce qui est beaucoup plus que ne consommait l’Angleterre au 19e siècle. Ce bois est coupé par des engins fonctionnant au pétrole. Transformé en copeaux dans des machines qui fonctionnent au diesel et transporté à travers l’Atlantique dans de gros navires hyper polluants. Ou se trouve alors le rapport de substitution dans cet enchevêtrement énergétique ? En effet, plus on a de pétrole et plus on produit de bois. Un bois fortement utilisé dans les pays riches pour la construction des maisons individuelles.

Alors que le bois semble séparé du pétrole par le charbon, dans nos grandes fresques énergétiques, on voit bien que le bois se modernise grâce au pétrole. Quant au charbon, il est toujours extrêmement utilisé, avec la Chine qui, début des années 2000 (2008), explose le quota américain de consommation.

Un charbon qui s’est extrêmement modernisé avec de grandes machines souterraines qui l’extraient, ou dans des mines à ciel ouvert. Sans oublier toutes les matières produites à partir du charbon : béton armé, voitures, acier (70% de l’acier mondial se fait à partir du charbon).

Le total d’utilisation des énergies fossiles utilisées prouve que depuis les années 70, 80% de l’énergie utilisée est fossile. Au cours des 30 dernières années, l’humanité a émis autant de CO2 que durant les 130 années précédentes. De 280 ppm avant la révolution industrielle, on est passé à 410 ppm. Soit 130 ppm en plus et très concentrées dans les pays les plus riches : +32 pour les USA, +41 pour l’Europe, +18 pour la Chine et +39 pour les autres pays.

A côté, le renouvelable qui comprend par ailleurs l’hydroélectricité (barrages depuis le début du 20e siècle) ancienne est en minorité. Ainsi, malgré les innovations, on ne fait nullement disparaitre l’ancien. Le béton n’a pas fait disparaitre la brique, par exemple.

Néanmoins, Drax qui produisait 7 % de l'électricité de l’Angleterre en 2010. S’est progressivement reconvertie à la biomasse à partir de cette date et sa part dans la production atteignait 75 % en 2016. En 2018, quatre des six unités étaient converties à la biomasse.

Les deux unités restantes devraient être remplacées par des turbines à gaz à cycle combiné afin de remplir l'engagement du gouvernement de sortir du charbon d'ici 2025. À partir de mars 2021, la centrale n'utilisait plus de charbon.

Alors que les fossiles sont fondamentalement liés, l’Occident oxydé cherche à nier cette évidence. « L’autonomie recherchée » engage la fin de cette symbiose entre fossiles : c'est-à-dire pour extraire du charbon il faut du pétrole et inversement. C’est du jamais vu, impossible à réaliser à échelle humaine.  

Et pourtant … cela n’empêche pas le groupe trois du GIEC, dans son rapport de 2022 (2900 pages) de prononcer 2400 fois le mot transition et 23 fois le mot décroissance.

En fait, comme l’affirment de très nombreuses institutions dont l’Agence internationale de l’énergie (AIE), le GIEC, le World Economic Forum, etc., sans capture du CO2, les objectifs de décarbonation des trois prochaines décennies n’ont aucune chance d’être atteints. On en arrive alors à la géo-ingénierie à la tonton Gates. Alors qu’on a passé des siècles à l’extraire du sol à coup de trilliards, on voudrait recapter le CO2 dans l’atmosphère pour le remettre dans le sol.

Relisez donc mon article sur ce sujet : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/09/lorsque-la-connerie-atteint-des-sommets.html

Sachez le bien, le premier rapport fait sur le changement climatique remonte à 1965 à destination du président américain Johnson. Nulle part il n’y est question de décarbonation. Néanmoins, outre les particules soufrées envoyées dans l’atmosphère, nos apprentis sorciers ont deux projets.

Financés par le gouvernement américain pour plus d’un milliard de dollars, ils devraient permettre en Louisiane et au Texas de capter dans l’atmosphère et stocker ensuite deux millions de tonnes de CO2 par an.

Cette technologie expérimentale baptisée DAC est à la fois énergivore et coûteuse car le CO2 dans l’atmosphère est par nature très diffus, 420 parties par million, environ 0,04%. Mais pour qu’elle ait un impact sur le réchauffement climatique comme le préconisent les institutions citées dont l’Agence internationale de l’énergie, il est essentiel qu’elle passe rapidement à un stade industriel.

Il existe deux procédés différents de cette technologie. La capture et le stockage du CO2 (CCUS) lors de processus industriels et le captage direct dans l’atmosphère (DAC).

Ce dernier en est encore à un stade presque purement expérimental. Le DAC extrait le CO2 déjà présent dans l’air, via de grands ventilateurs et des procédés chimiques.  Preuve que sous prétexte de changement climatique anthropique on peut tout faire, tout dire, et même vouloir réaliser les pires aberrations au nom de leur NOM ; car les cons ça ose tout !

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/10/rien-de-nouveau-sous-le-soleil-de-satan-partie-5-et-fin.html

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