Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Bienvenu dans goulag mondialiste (Partie 4)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/07/bienvenu-dans-goulag-mondialiste-partie-1.html

Le CO2 c’est la vie. Sans lui la terre serait un caillou désertique. Plus il y a de CO2 plus il y a de vie.

Lisez donc mon livre consacré à la vraie histoire : Une autre histoire : le vraie ! A l’époque des grands sauriens, il y avait bien plus de CO2 sur terre et la végétation était luxuriante (géante).

Nous sommes dans le cadre d’une nouvelle religion verte. La science se sont les faits, et ils sont là, seulement personne ne veut les regarder. Par contre ceux qui, comme vous, prennent le temps de les analyser, se rendent compte que nous vivons au sein d’une folie dogmatique.

Ici les prêtres sont les ONG, les Al Gore et compagnie et nous, nous sommes les pauvres pécheurs.

Hélas pour nous, leur raisonnement est faux malgré une apparence de vérité. C’est donc un sophisme. Et dans un monde où l’économie est de l’énergie transformée, ces fous nous mènent volontairement à l’Ordo Ab Chaos en vertu de leur doxa nageant à contrecourant de ce qui s’appelle la vraie science.

IL Y A 50 ANS, LE RAPPORT MEADOWS ALERTAIT SUR LES LIMITES PLANÉTAIRES.

Déjà en 1972, ce rapport nous disait mordicus qu’en l’an 2000, nous n’aurions plus de pétrole. Lisez mon dernier livre et vous verrez bien si, en 2023, nous n’avons plus de pétrole !

On nous crée une pénurie artificielle dans tous les domaines et surtout dans celui de l’énergie.

Plus vous avez d’énergie pas chère et plus une économie prospère. Voilà pourquoi ils sabotent actuellement tout au nom du Great reset de Davos. Les froggies doivent bien se le rentrer dans le crâne : l’abondance, c’est fini !

On va maintenant entrer dans l’ère des pénuries : pénurie d’énergie, de viande, d’eau, etc. le tout décidé d’en haut, pour éviter le méthane, le dioxyde de carbone et une trop bonne santé du gueux.

À la place, ils veulent nous faire manger de la viande de poulet artificielle cultivée dans des « bioréacteurs » en acier inoxydable.

Ça arrive prochainement sur le marché alimentaire américain, grâce à la Food and Drug Administration (FDA). « Pour fabriquer sa viande, la société Upside Foods prélève des cellules sur des animaux vivants, des tissus de poulet, et utilise ces cellules pour cultiver de la viande dans des bioréacteurs », explique un rapport. Robert M. Califf, commissaire de la FDA, déclare que l’objectif principal de l’agence est de promouvoir les faux aliments.

Le fondateur et PDG d’Upside Foods, Uma Valeti, s’est réjoui publiquement de la décision de la FDA, la qualifiant de très bonne chose pour les résultats de l’entreprise. N’oubliez pas que nous vivons dans un monde qui marche sur la tête, car la FDA n’autorise toujours pas l’achat et la vente de produits naturels à base de lait cru ou de beurre. Ces aliments sains ne sont pas « sûrs », selon la FDA.

Il y a fort à parier que dans un avenir proche, tous les produits carnés commandés dans un restaurant américain standard contiendront des ingrédients synthétisés qui auront l’apparence, l’odeur et le goût des vrais produits. Mais comme d’habitude, c’est toujours pour « la bonne cause » : celle de Gaïa.

« Il faut deux semaines pour produire l’équivalent d’un poulet, d’un millier de poulets ou de 100 000 poulets », a déclaré M. Valeti aux médias pour expliquer le temps nécessaire à la formation, dans un bioréacteur, de la viande de poulet cultivée en laboratoire par son entreprise.

Ainsi, le peuple américain est empoisonné par des vaccins comestibles introduits dans l’approvisionnement alimentaire. À quand notre tour ? C’est une question de mois, puisque nous sommes empoisonnés par nos propres dirigeants, en violation directe du code de Nuremberg.

Ainsi, dans le pire des cas, et selon le souhait de Davos, d’ici une dizaine d’années, notre table ne contiendra plus d’aliments à haute densité, naturels et d’origine animale.

Bien entendu je ne dis pas d’être un viandard, la modération et l’équilibre en toutes choses sont préférables. Mais les ingénieurs sociaux visent à éliminer les aliments à haute densité d’origine animale, tels que la viande, les produits laitiers et les œufs, et à les remplacer par des aliments de synthèse d’origine végétale : des variantes obtenues en laboratoire et fabriquées en usine.

Elles représentent l’un des nutriments les plus nocifs et les plus répandus, car elles endommagent le tractus gastro-intestinal, sapent l’équilibre microbien et perforent la muqueuse intestinale, pierres angulaires de nos systèmes digestif, immunitaire et endocrinien. Rappelez-vous, le gueux et sa santé ne comptent pas. Ce qui compte, c’est d’optimiser l’impact en CO2 de nos futures calories sans détruire la planète.

Le véritable objectif est le contrôle. Henry Kissinger, grand maître à penser de Klaus Schwab et porte-parole du Deep State disait : « Qui contrôle l’approvisionnement en nourriture contrôle les gens ; qui contrôle l’énergie peut contrôler des continents entiers ; qui contrôle l’argent contrôle le monde ».

Si nous ne parvenons pas à arrêter ces fous, nous serons confrontés à une population catastrophiquement plus malade et plus faible, qui dépendra des produits pharmaceutiques, des stimulants, le tout piloté par l’IA.

Mais réveiller les zombis sera difficile. Une grande partie de la population a déjà subi un lavage de cerveau pour croire que manger ces merdes sera bénéfique pour les humains et la planète.

Certains, bercés par les blockbusters apocalyptiques hollywoodiens, en sont déjà à croire mordicus que les pets des vaches sont responsables de la montée des eaux.

Il faut des décennies de récits élaborés pour en arriver à ce niveau d’abrutissement. Et ce n’est ni la première ni la dernière fois que nous nous faisons avoir.

Souvenez-vous de l’escroquerie sur le cholestérol. Le coup des graisses saturées a commencé avec l’engouement des années 1980 pour les aliments pauvres en graisses, alias le mythe des graisses saturées qui bouchent les artères.

Les milliards de dollars que représentent les pilules hypocholestérolémiantes ont incité Big Pharma, aidé par les merdias et les médecins corrompus, a d’abord diabolisé le cholestérol, puis manipulé le seuil de diagnostic de « l'hypercholestérolémie » jusqu’à ce que la quasi-totalité des humains de la planète  puissent satisfaire aux critères pour prendre une statine.

En 2011, Pfizer gagnait 11 milliards de dollars rien que sur le Lipitor. En 2021, les ventes cumulées de Lipitor sur l’ensemble de sa durée de vie s’élevaient à plus de 163 milliards de dollars. C’est une belle performance pour une pilule aux effets secondaires graves (perte rapide de mémoire, troubles de l’équilibre, douleurs musculaires aiguës) et à l’impact quasi nul sur la longévité ou le bien-être.

Ce qui s’est passé en quelques décennies est historique, comme en témoigne l’explosion des taux d’obésité dans les pays industrialisés. La campagne de désinformation sur les aliments pauvres en graisses a utilisé le cholestérol comme bouc émissaire.

Aujourd’hui, on sait pertinemment qu’un pourcentage élevé de graisses naturelles, allié à une quantité modérée de protéines et une faible proportion d’hydrates de carbone aide à perdre du poids, à prévenir les maladies, à satisfaire notre appétit, à réduire les fringales et à promouvoir la longévité. Mais un gueux qui vit longtemps c’est chiant (retraites).

Sans cholestérol, il n’y aurait pas de renouvellement cellulaire et pas de vie. La consommation de bonnes graisses (huile de coco, huile d’olive, graisses de viande biologique, avocat, huiles de poisson, etc.) est un moyen fiable d’obtenir des calories à haute densité tout en perdant du poids sainement, sans affecter notre taux de cholestérol indispensable à la vie.

J’y consacre d’ailleurs de nombreuses pages dans mes deux derniers livres. En cas de stress et d’inflammation dans l’organisme (cas de beaucoup de gens), votre survie dépend de l’augmentation du taux de cholestérol, car il aide à guérir et à réparer les cellules endommagées.

Ainsi, l’absence de viande sera un accélérateur pour la santé physique et mentale collective déjà défaillante. La nouvelle réalité nutritionnelle ne fera rien non plus pour lutter contre le changement climatique tout en compromettant la gestion efficace des terres au point de provoquer l’auto sabotage de la planète.

Bien entendu, tous les cerveaux préprogrammés par l’ingénierie sociale parleront éthique : l’industrie moderne de la viande est diabolique. Inefficace, elle ne peut nourrir la population mondiale. Elle est mauvaise pour la santé et liée au cancer, aux maladies coronariennes, etc.

Mais surtout : elle est à l’origine du changement climatique. Les nouvelles alternatives synthétiques sont plus saines, plus rentables et plus respectueuses de l’environnement. Sans oublier les aspects spirituels et religieux.

Bien entendu, les végétaliens disposent d’un argument puissant et convaincant. Nous devrions tous avoir honte, tant nous avons normalisé la souffrance animale.

Nous mangeons un morceau de cadavre marqué par une vie de torture, mais aussi un cocktail cancérigène de produits chimiques destinés à conserver l’animal suffisamment longtemps pour qu’il puisse être vendu et digéré.

Cependant, dans un monde non régit par l’argent et le rendement, l’argument de l’holocauste ne tient plus. Nous pourrions travailler avec des animaux sans les soumettre à un holocauste.

Remplacer les camps de concentration (ferme des mille vaches) par des environnements respectueux des animaux et de l’environnement, où les animaux paissent en liberté, fertilisent le sol naturellement sans dérivés pétroliers et prospèrent sans cocktail d’hormones parce qu’ils sont libres et satisfaits.

C’est le profit le grand responsable ! Au cours du siècle dernier, l’agriculture a déclaré la guerre à la terre à l’aide de combustibles fossiles, mécaniquement (labourage du sol), chimiquement (herbicides et pesticides) et biologiquement (technologie des OGM).

En séparant de manière idiote l’élevage des cultures, nous avons dissocié les cycles bio et géochimiques du carbone, de l’eau, de l’azote, du phosphore et du soufre, et augmenté les émissions de méthane et d’oxyde nitreux, ainsi que l’eutrophisation et la contamination des sources d’eau.

Je l’explique dans le tome 1 du Centième Gueux, le système actuel des monocultures induites chimiquement qui produisent en série des terres arides et séparent les animaux de la nature est insoutenable. Lorsque les animaux sont laissés en liberté de manière à laisser suffisamment de temps de repos au sol pour qu’il se rétablisse (comme le veut la nature), la magie opère, avec des avantages.

Le troupeau vit en bonne santé et en liberté. Il contribue à revitaliser les terres arides au point de transformer des zones désertifiées en terres fertiles (c’est la seule technique connue qui y parvienne aujourd’hui avec succès).

En plus, les animaux produisent une viande exceptionnellement riche en nutriments, sans hormones, sans antibiotiques et sans produits chimiques. C'est-à-dire sans toutes ces saloperies que le système veut coute que coute nous faire ingurgiter.

Les terres arides représentent plus de 40 % de la surface terrestre mondiale et abritent aujourd’hui une personne sur trois. La dégradation de la qualité des terres dans les régions arides est responsable d’une réduction du produit intérieur national pouvant aller jusqu’à 8 % par an. Tandis que, dans les zones fertiles, nous dépouillons la couche arable fertile à un rythme insoutenable.

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/07/bienvenu-dans-goulag-mondialiste-partie-5.html

Commenter cet article