Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Bienvenu dans goulag mondialiste (Partie 6)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/07/bienvenu-dans-goulag-mon dialiste-partie-1.html

Pour changer de sujet mais rester dans la même thématique, actuellement, les merdias transpirent à nous faire admettre les inévitables pénuries d’eau. Tout n’est que foutaise car après quelques semaines sèches pour lesquelles certains préfets de départements ont tenté de paniquer, la pluie est revenue, à tel point que certaines rivières sont sur le point de déborder.

Dans le Sud, certains cours sont bien au-dessus des normales de saison, mais comme ceci contraste trop violemment avec le discours officiel, on n’en parle pas. En fait de sécheresse, on a comme toutes les années précédentes des situations contrastées d’un bout à l’autre du pays.

Aucun déluge, aucune averse de grêle ne semble pouvoir contenter les vendeurs d’apocalypse déshydratée, elle est partout !

Cependant, ces cartes semblent provenir d’un site, Info Sécheresse, qui n’a rien d’officiel.

Créé en mars 2020, il s’agit d’une production de la société privée ImagEau, qui est une filiale de la société SAUR (« Société d’aménagement urbain et rural ») dont l’actionnaire principal, un fonds d’investissement suédois, entend faire fructifier sa participation.

De façon peu étonnante, la SAUR a pour activité principale la gestion déléguée de services pour les collectivités locales, essentiellement dans l’ingénierie et la construction d’ouvrages liés au traitement de l’eau.

Conclusion : la plupart des informations relayées par les médias proviennent de sociétés (SAUR et ImagEau notamment) dont le but est, fort commodément, de fournir des solutions à des problèmes de collecte, d’acheminement et de traitement de l’eau.

Pratique. C’est comme pour le covid et les vaccins, on dirait vraiment que les différents acteurs concernés ont à cœur de trouver un problème et d’en proposer des solutions clé en main.

La coïncidence avec d’autres problèmes (domaines de l’énergie, l’alimentation, ou la santé) qui trouvent, eux aussi, des solutions clés en main par des acteurs privés placés juste bien comme il faut auprès des acteurs publics et des médias n’est que pure coïncidence.

Tout comme n’est que coïncidence la montée dans le strident des petits cris d’orfraie des médias lorsqu’il s’agit de parler de sécheresse ou, plus largement, de climat, à grand renfort de cartes aux couleurs de plus en plus cramoisies.

En outre, ce que les merdias ne vous disent surtout pas, c’est qu’en vertu de p’tits arrangements gaziers et pétroliers, le gouvernement macron a vendu en douce de la douce : un an de consommation de notre eau, soit 4 milliards de m³ !

Chaque jour, 19 tankers de 200.000 m³ de Fos-sur-Mer et 88 tankers de 80.000 m³ de Martigues partent pour l’Arabie Saoudite.

Cette manie des cartes pour faire passer des messages toujours anxiogènes est inflationniste. On la retrouve pour tous les sujets car la PEUR, ça rapporte. Voilà donc comment, petit-à-petit, on plante avec obstination la graine d’un cruel manque d’eau partout dans un pays qui n’en a jamais manqué, manque qui poussera les foules à réclamer une action énergique, qui se traduira par des restrictions et des taxes.

Et  le changement climatique, cette calamité moderne servie à toutes les sauces, va permettre de faire croire à une terrible sécheresse, à la nécessité de nouvelles restrictions (de liberté et de pouvoir d’achat) alors que, dans le même temps, le climat, espiègle, semble largement aider les cultures africaines et notamment au Sahel qui reverdit obstinément, dans un pied de nez aux catastrophistes qui refusent de constater que, malgré leurs pénibles admonestations, notre planète devient plus propre et en meilleure forme chaque jour qui passe.

En 2017, dans un article intitulé « Le Sahel reverdit », les auteurs constataient que le pays avait gagné en couverture végétale par rapport aux années 1980 sous l’effet d’une reprise de la pluviométrie à partir des années 1990.

Mais, tenez-vous bien ! ils attribuaient la reprise des précipitations à la hausse des émissions des gaz à effet de serre. Rowan Sutton, professeur au Centre national pour les sciences atmosphériques à l’Université de Reading et co-auteur l’indiquait en ces termes :

« Les quantités de précipitations ont récupéré sensiblement. Ce fut une surprise que l’augmentation de l’effet de serre semble avoir été le facteur dominant. »

Le verdissement su Sahel qui ne fait plus débat aujourd’hui. Grace au soleil, tout est cyclique sur notre planète et l’Afrique de l’Ouest a connu un épisode de sécheresse très marqué de 1968 à 1993. Celui-ci a été d’autant plus brutal qu’il a succédé à une période hyper humide de 1950 à 1967.

Cette sécheresse a été à la fois exceptionnellement longue, et étendue puisque toute l’Afrique de l’Ouest a été touchée, soit plus de 5 millions de km². C’est surtout la zone naturellement semi-aride, le Sahel, qui a été la plus affectée.

Depuis le milieu des années 1990, la pluviométrie a retrouvé son niveau moyen de long terme.

Pendant ce temps, et au nom des lobbys, tous les abrutis vendus au système pédalent dans la semoule et n’ont décidément honte de rien ! Un article France 3 et France info en arrive même à accuser les arbres.

https://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/somme/environnement-pourquoi-les-forets-des-hauts-de-france-rejettent-desormais-plus-de-co2-qu-elles-n-en-absorbent-2796222.html

Les forêts sont un puit à carbone naturel car grâce à la photosynthèse, les arbres absorbent et stockent le CO2 émis par les activités humaines.

Une fonction essentielle, qu’ils prétendent aujourd’hui menacée.

Je suis sidéré des propos que peuvent tenir des médias majeurs, en laissant croire qu’une forêt peut émettre du CO2. C’est une absurdité scientifique, au même titre que de vouloir vacciner systématiquement des gens pour une « maladie » à laquelle ils viennent de survivre.

Un arbre ne peut faire du CO2 que quand il brûle. Quand il est coupé sous forme de planche, les planches contiennent toujours le carbone. On nous raconte n’importe quoi mais alors à des niveaux dantesques. Et ça marche au sein d’une société infantilisée à l’extrême.

Chaque année, les médias nous livrent leurs conseils tous plus débiles les uns que les autres pour survivre à la chaleur de l’été, ce qui est normal depuis la nuit des temps d’avoir chaud l’été. Alors qu’en fait, tout comme avec le reste, la meilleure des barrières contre la chaleur, c’est d’éteindre vos télés !

https://twitter.com/i/status/1668943355340898306

La terre est vivante avec des événements météos opérant à travers elle, depuis des lustres avec ou sans les hommes. La seule différence, c’est qu’avec internet et les réseaux, ça se sait désormais à l’instant « ».

Pour être clair, il n’y a AUCUNE preuve d’une crise climatique causée par les émissions de carbone ou de gaz à effet de serre produites par l’homme. Certains nous disent que les glaciers fondent à cause du réchauffement et refroidissent les océans, c'est-à-dire qu’un refroidissement produit un réchauffement ! Voyez-vous la MONSTRUEUSE aberration du système ?

Nous venons de vivre un optimum climatique relativement chaud. Les Romains, il y a deux milles ans, cultivaient la vigne en face de chez moi (Calais), en Albion. Aucun événement météorologique ne sort de l’ordinaire par rapport à la chronologie historique du climat de la Terre.

Il y a 1500 ans, nous avons connu les invasions barbares, à cause du froid. Puis en l’an mille est revenu un optimum climatique permettant aux Vikings d’aller au Groenland (terre verte).

Puis de 1350 à 1850, nous avons connu un gros refroidissement. J’y ai consacré une série d’articles. https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/01/retour-sur-le-climat-le-vrai-partie-1.html  J’y expliquais que sous Louis XIV, la mer gelait.

Depuis 1850, la terre s’est réchauffée d’environ un degré. Et derrière ce va et vient incessant, le Grand maître d’œuvre n’est autre que la nature et certainement pas l’homme.

C’est le soleil qui, à travers ses cycles, produit ces variations climatiques.

Aucune preuve aucune « crosse de hockey » ne viennent étayer les théories relatives au « point de basculement » des températures si chère au GIEC. La température de la Terre a augmenté de moins de 1°C en 100 ans.

Or, la vraie science repose sur l’OBSERVATION. Les relevés de température officiels ne remontent qu’aux années 1880, et c’est cette toute petite fenêtre climatique de Gaïa que les escrocs du GIEC, financés par les Nations unies et les gouvernements, utilisent comme point de référence pour leurs affirmations apocalyptiques.

Comprenez-le une fois pour toute, car il en va de votre survie tant morale que physique. L’ONU est un repère de vampires. https://vecteur-douceur.over-blog.com/2017/05/lettre-a-ma-france.html L’ONU, l’OMS, le WEF sont ces organisations non élues par les peuples qui veulent contrôler les peuples !

Mais qui se fichent par exemple d'éradiquer les paradis fiscaux où ces corrompus cachent leur argent ! Pour la classe dirigeante, ces organisations sont le levier idéal pour pouvoir gouverner le plus de monde possible avec le moins d'effort possible. J’en veux pour preuve que l’agenda de l’ONU veut lier l’identité numérique aux comptes bancaires privés.

Elle a encouragé l’hystérie autour d’un faux scénario climatique apocalyptique, tout comme le WEF et l’OMS ont encouragé l’hystérie et la peur autour d’une non-menace comme la crise Covid.

Tout a commencé au début des années 1970 avec un groupe lié à l’ONU, le Club de Rome.

Les globalistes étaient à la manœuvre utilisant l’environnement comme prétexte à la centralisation du pouvoir entre leurs mains lucifériennes.  En 1972, le Club de Rome va publier « The Limits Of Growth » (Les limites de la croissance).

Ils sortent cette étude, tout comme le GIEC le fera plus tard au travers d’une fenêtre climatique restreinte à 1850. « Les limites de la croissance » se veut, comme son nom l’indique, entrevu volontairement sous la limitation de l’industrie et des ressources dans le cadre d’un projet conjoint avec le MIT.

Bien entendu, tout comme avec le trou dans la couche d’ozone, la fin de la planète était proche à moins que les nations et les individus ne sacrifient leur souveraineté et tout le reste.

1,5 degré depuis 1850, c’est de la roupie de sansonnet. Pourquoi ? Parce qu’au sortir du petit âge glaciaire, sous Louis XIV, en 1850, la terre avait déjà repris plus de 1 degré.

Bien sûr, si le GIEC disait « on va à la mort à cause d’un demi degré », tout le monde lui rirait au nez. Donc on fait référence à 1850, mais surtout pas au petit âge glaciaire sous Louis XIV, et les températures qui régnaient alors en sa compagnie.

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/08/bienvenu-dans-goulag-mondialiste-partie-7.html

Commenter cet article