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histoire

ZION OU L’AVENEMENT DE ZORGLUB (partie 11)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/05/zion-ou-l-avenement-de-zorglub-partie-1.html  

La vie n’étant qu’un éternel recommencement, même Joseph Kennedy, dont le fils JFK, aurait un jour à en découdre avec la même « engeance du Diable », partageait les appréhensions de Lindbergh au sujet de la puissance juive.

Avant le début de la guerre, il avait exprimé ainsi ses préoccupations en privé au sujet « des Juifs qui dominent notre presse » et de la communauté juive mondiale dans son ensemble, qu’il considérait comme une menace envers la paix et la prospérité.

Peu après le début des hostilités, Kennedy se plaignit « de l’influence juive croissante dans la presse et à Washington, demandant la poursuite de la guerre. »

Mais, comble du cynisme, lorsque le conflit éclata grâce à lui et ses sbires, comme Roosevelt l’avait planifié et préparé, les dirigeants polonais et français s’attendirent à ce qu’il respecte au moins ses engagements en cas de guerre.

Hélas, Roosevelt n’avait pas pris en compte le sentiment pour la paix de la vaste majorité des Étasuniens. Aussi, non content de tromper MONSTRUEUSEMENT son propre peuple, Roosevelt laissa tomber ceux à qui, en Europe, il avait promis un soutien. Il en fut même réduit à orchestrer pratiquement un attentat sous faux drapeau : Pearl Arbor.

Au cours d’un discours de campagne de réélection en 1940, Roosevelt répondit aux craintes de millions d’Étasuniens qui soupçonnaient que leur président avait secrètement promis le soutien des États-Unis à la Grande-Bretagne dans sa guerre contre l’Allemagne.

Ces soupçons bien fondés étaient basés sur la FAMEUSE publication, au mois de mars, des documents polonais saisis par les Allemands. Le discours du 23 octobre 1940 fut émis sur le réseau radiophonique à destination de la nation.

Roosevelt réfuta tout ce que j’ai ici évoqué, et catégoriquement.

L’épisode du Watergate a profondément ancré dans la conscience étasunienne le fait que ses présidents puissent se comporter de manière criminelle. Cette affaire a contraint Richard Nixon à démissionner de son poste de président, et il reste considéré comme un criminel. Mais les crimes commis par Nixon sont un pet de lapin malade dans la blogosphère en comparaison à ceux de Franklin Roosevelt.

Bien entendu, ses défenseurs, l’équivalent de nos fact-checkers du Web, arguent qu’il a violé la loi en vertu de principes nobles, alors que des tromperies similaires menées par les présidents Johnson (à l’époque de JFK) et Nixon, pour en nommer deux, ne le sont pas.

Or, dans un système démocratique, l’argument suggère que le peuple est trop stupide pour comprendre ses propres intérêts et que, style Macron, la meilleure forme de gouvernement est une forme de dictature bienveillante libérale-démocratique.

La haine de Roosevelt envers Hitler était profonde. Cela n’était pas étranger à une jalousie enracinée dans le grand contraste entre les deux hommes, non seulement en vertu de leurs caractères personnels, mais également dans les traces qu’ils ont laissées en tant que dirigeants nationaux. En effet, les succès publics des deux hommes étaient remarquablement proches.

Chacun d’eux assurait la direction de son pays respectif au début de l’année 1933. Ils étaient tous deux confrontés au défi gigantesque du chômage de masse, au cours d’une dépression économique mondiale catastrophique.

Et, jusqu’à présent, chacun est devenu le dirigeant puissant d’une vaste alliance militaire au cours de la guerre la plus destructrice de l’histoire. Les deux hommes sont morts en exercice à quelques semaines d’intervalle au cours du mois d’avril 1945, juste avant la fin de la Seconde Guerre mondiale. Mais les contrastes énormes entre les vies de ces deux hommes sont encore plus remarquables.

Roosevelt était né une cuillère en argent dans la bouche. Là où un Hitler pauvre allait s’illustrer veillement dans les tranchées de 14-18, Roosevelt allait se retrouver le cul dans la soie, en participant à la première guerre mondiale depuis un bureau de Washington, au poste de sous-secrétaire à la Navy.

Hors, de sa rhétorique rassurante, Roosevelt s’avéra incapable de gérer les grands défis auxquels les États-Unis étaient confrontés.

Après quatre années de présidence de sa part, en 1937, des millions de gens restaient sans emploi, mal nourris et mal logés, sur une terre riche dotée de toutes les ressources propres à une prospérité incomparable mais pompée par qui vous savez.

Le New Deal était rongé par des grèves dures, et des affrontements sanglants entre les travailleurs et le capital.

Roosevelt ne fit rien non plus pour résoudre les problèmes raciaux profonds et envenimés qui faisaient éruption de manière régulière dans des révoltes et des conflits armés.

De son côté, le petit caporal Hitler, avait rallié son peuple derrière un programme radical qui allait transformer l’Allemagne en quelques années. D’une terre ruinée, au bord de la guerre civile, il allait faire durant le même temps que Roosevelt, la locomotive économique de l’Europe. Le contraste entre les deux personnalités était en même temps un contraste entre deux systèmes et idéologies diamétralement opposées.

Pourtant, tout comme un Klaus Schwab de nos jours, Roosevelt pensait agir de manière droite et noble en faisant pression sur la Grande-Bretagne et la France pour les faire entrer en guerre contre l’Allemagne. Comme Wilson avant lui, et d’autres après lui, Roosevelt se considérait comme seul qualifié, et appelé par la destinée, à remodeler le monde selon sa vision d’une démocratie égalitariste et universelle.

Il était convaincu, comme de nombreux dirigeants étasuniens l’ont été, que le monde pouvait être sauvé de lui-même en le refaçonnant selon leur modèle judéo-maçonnique établi.

Roosevelt se prenait pour un missionnaire auto-satisfait, divisant le monde entre des pays moralement bons et mauvais.

Il fallait convertir les « mauvais » à l’idéal démocratique améri-Caïn. Selon ce schéma de pensée, les États-Unis constituaient alors et constituent encore (pour peu de temps) la puissance dirigeante providentielle des "forces du bien".

Par chance, il se trouve que cette vision correspondait et correspond toujours aux intérêts économiques et politiques des mêmes vipères judéo-maçonniques qui exercent encore et toujours le vrai pouvoir aux États-Unis : le Deep State.

Harry Elmer Barnes (1889-1968), est, au même titre que Seymour Hersh, un dépoussiéreur de la Vérité. C’est un historien américain qui, dans ses dernières années, a été connu pour son révisionnisme historique. Il a écrit 30 livres, 100 essais et plus de 600 articles.

Concernant Roosevelt et son rôle, ce grand historien pensait que cette guerre aurait sans doute pu être évitée en 1939 sans les ingérences pratiquées par Roosevelt.

« De fait, il existe des preuves tout à fait convaincantes du fait que sans les pressions exercées par M. Roosevelt sur la Grande-Bretagne, la France et la Pologne, et sans les engagements qu’il prit auprès de ces pays avant le mois de septembre 1939, surtout vis-à-vis de la Grande-Bretagne, et sans les singeries de son agent provocateur, William C. Bullitt, il n’y aurait sans doute pas eu de guerre mondiale en 1939. » Harry Elmer Barnes, The Struggle Against the Historical Blackout, 2nd Ed. 1948, p. 12.

Si l’on compare les faits plus haut évoqués avec l’Ukraine actuellement, les idées sur l’impasse où nous nous trouvons sont à prendre au sérieux.

Elles sont frappantes.

Les États-Unis et leurs alliés de l’OTAN sont actuellement en guerre contre une Russie dotée de l’arme nucléaire, à la frontière de celle-ci.

À ce stade, les combats au sol ont été laissés aux mandataires ukrainiens, nous, UE, livrons par le biais de l’OTAN tous les autres éléments : armes, munitions, finances, entraînements, renseignements et coordination. 

Nous apportons notre contribution avec certains combattants. Au cours de la longue Guerre Froide contre les Soviétiques, un tel scénario aurait été considéré comme le pire des cauchemars, mais il s’agit désormais de l’objectif délibéré du gouvernement étasunien.

Au moment de la crise des missiles de Cuba, la confrontation qui est actuellement la nôtre contre la Russie, rappelle que la destruction du monde n’avait été évitée que d’un cheveu en 1962, uniquement grâce à la prudence du président John F. Kennedy, fils de ce diplomate nommé à Londres et qui dès 1939, s’était opposé à la politique suicidaire de Roosevelt.

Néanmoins, l’administration Biden actuelle, dominée par les néo-conservateurs, semble prête à escalader le conflit et discute tranquillement de l’utilisation d’armes nucléaires contre la Russie.

Mais hormis le risque de guerre nucléaire, la situation contemporaine est totalement différente de celle qui prévalait sous la présidence de Kennedy. En 1962, l’Amérique avait failli entrer en guerre contre les Soviétiques, en un conflit qu’aucun des deux camps n’avait cherché à provoquer, et JFK était parvenu à calmer les choses.

Alors que, dans la confrontation présente, les USA ont passé volontairement des années à provoquer la Russie à dessein, en évitant toutes les tentatives visant à atteindre une résolution diplomatique du conflit, et en torpillant les pourparlers de paix russo-ukrainiens lorsqu’ils ont commencé au mois de mars 2022. La guerre contemporaine contre la Russie n’est pas une erreur : c’est presque complètement le résultat d’une politique étasunienne intentionnelle.

Au lieu de désigner la crise de 1962 comme un signal d’alarme à suivre, de nombreux néocons très cons affirment que l’analogie à faire est celle de la Seconde Guerre mondiale, lancée contre « l’agression gratuite » menée par l’Allemagne de Hitler.

Or, vous savez désormais (du moins je l’espère ?) ce qu’il en est. Voilà pourquoi je vous ai réservé ces quelques pages concernant 39-45.

Parce que presque tous les médias dominants étasuniens décrivent l’invasion russe de l’Ukraine comme « totalement non-provoquée », et la comparent souvent avec l’attaque allemande contre la Pologne qui avait provoqué la Seconde Guerre mondiale. Merci FDR !

De fait, ce qui est profondément instructif pour la suite de mon propos, c’est que si la Russie était vaincue et détruite à l’issue du conflit en cours, chose qui n’arrivera heureusement pas, nous pouvons être certains que les livres d’histoire judéo-maçonniques à venir dépeindraient Poutine comme le diable, et diaboliseraient l’ensemble des décisions qu’il a prises.

Et toujours pour ceux qui désirent en savoir plus :

Olivier

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ZION OU L’AVENEMENT DE ZORGLUB (partie 10)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/05/zion-ou-l-avenement-de-zorglub-partie-1.html          

Au printemps 1938, tous les envoyés étasuniens en Europe étaient subordonnés à Bullitt. Alors que la situation en Europe empirait en 1939, Roosevelt échangeait souvent avec son homme de Paris. Le secrétaire d’État Cordell Hull lui-même restait sans avoir connaissance de nombre des lettres et communications échangées entre Bullitt et Roosevelt.

Le second diplomate le plus important d’Europe était Joseph P. Kennedy, l’ambassadeur de Roosevelt auprès de la Cour de St. James.

Comme Bullitt, c’était un riche banquier. Mais hormis cela, ce catholique de Boston aux ascendants irlandais était un homme très différent. Ce Kennedy envoyé en Grande-Bretagne et figure importante du parti démocrate, n’était autre que le père du futur président JFK.

Roosevelt le détestait et n’avait pas confiance en lui, et ce sentiment allait croitre au fur et à mesure que Kennedy s’opposerait aux politiques guerrières du président avec de plus en plus de véhémence. Qui plus est, Kennedy détestait son homologue de Paris. Ce qui était réciproque.

Bien entendu, hormis les documents polonais, existent moult autres preuves prouvant que Roosevelt était un opportuniste et va-t’en guerre.

Et à ce jeu, Sir Ronald Lindsay, l’ambassadeur britannique de l’époque à Washington apporte de l’eau à mon moulin. Exprimant la légèreté de Roosevelt et sa perméabilité aux idées guerrières, durant ces trois années de fonction à Washington, il avait averti le Foreign Office britannique que celui-ci ne devrait rien dire à William Bullitt, l’âme damné de FDR en France.

Lindsay avait prévenu Londres du fait que Roosevelt l’avait convié à un entretien secret à la Maison Blanche, et duquel rien ne devait transpirer, même pas à son propre département d’État.

Le président affirma à l’ambassadeur que si l’existence de cette conférence était dévoilée publiquement, il pourrait se faire destituer. Et pour cause ! Ce que Roosevelt avait à proposer constituait un projet cyniquement hardi mais audacieux, visant à violer la constitution des États-Unis et à tromper le peuple étasunien.

Il affirma à l’ambassadeur que si la Grande-Bretagne et la France « se trouvaient contraintes à la guerre » contre l’Allemagne, les États-Unis finiraient par se rallier à elles.

Mais que pour cela, la Grande-Bretagne et la France devraient imposer un blocus total contre l’Allemagne sans lui déclarer formellement la guerre, et contraindre d’autres États (y compris des États neutres) à s’y conformer. Une manière d’étouffer l’Allemagne, sans lui déclarer vraiment la guerre et qui ressemble dans son hypocrisie, à ce que l’OTAN et nous, couillons de français, sommes en train d’infliger à Poutine.

Ainsi, tout comme à notre époque, à des fins de propagande, le « blocus devait être fondé sur des considérations humanitaires aussi élevées que possible, et sur le désir de déclencher des hostilités en provoquant le moins possible de souffrances et en minimisant autant que possible les pertes en vies et en propriétés, mais tout en mettant l’ennemi à genoux. » On croirait entendre Bruno Le Maire !

Roosevelt admit que cela impliquerait des bombardements aériens, mais « bombarder depuis les airs n’était pas la méthode d’hostilités qui provoquait vraiment de nombreuses pertes de vies. » Cette méthode pour mener la guerre par blocus serait, à l’avis de Roosevelt, approuvée par l’opinion publique aux États-Unis si son objectif humanitaire était fortement souligné.

Tous ces faits sont rapportés par l’ambassadeur Lindsay et confirmés par William Phillips, l’ambassadeur des États-Unis en Italie. Il a reconnu dans ses mémoires d’après-guerre que l’administration Roosevelt était déjà engagée à entrer en guerre du côté de la Grande-Bretagne et de la France à la fin 1938.

On comprend mieux, dès lors, la promesse consentie le 31 mars 1939 par la Grande-Bretagne à la Pologne d’entrer en guerre contre l’Allemagne en cas de conflit polono-allemand. Elle n’aurait pas pu être prononcée sans de fortes pressions émanant de la Maison-Blanche.

Le 14 mars 1939, la Slovaquie s’était auto-déclarée république indépendance, ce qui constituait une dissolution de la Tchécoslovaquie. Le même jour, Emil Hach, le président tchécoslovaque, signait un accord formel avec Hitler, établissant un protectorat allemand sur la Bohème et la Moravie, la portion tchèque de la fédération.

Le gouvernement britannique commença par accepter la nouvelle situation, mais c’était sans compter sur l’intervention de Roosevelt qui, en arrière-plan, soufflait sur les braises.

Le 16 mars 1939, Roosevelt envoyait un ultimatum virtuel à Chamberlain. Désormais, exigeait-il, le gouvernement britannique devait s’opposer fortement à l’Allemagne. Sinon, la Grande-Bretagne ne pourrait plus s’attendre à aucun soutien, moral ou matériel, si la politique de Munich se poursuivait. 

Chamberlain allait céder et le lendemain, 17 mars, la politique de coopération britannique avec l’Allemagne prendrait fin au cours d’un discours prononcé à Birmingham, dénonçant sévèrement Hitler.

Deux semaines plus tard, le gouvernement britannique s’engageait formellement à entrer en guerre en cas d’hostilités germano-polonaises. Quant à Bullitt qui sévissait en France, sa réponse à la création du protectorat allemand sur la Bohème et la Moravie fut de téléphoner à Roosevelt, et, avec une voix « quasiment hystérique », de l’exhorter à dénoncer dramatiquement l’Allemagne et à demander sur le champ au Congrès de mettre fin à la loi de neutralité.

Bien que la Loi Johnson interdise tout prêt consenti par les États-Unis à d’autres pays européens y compris la Pologne, Bullitt allait montrer son côté roublard dans un télégramme confidentiel envoyé à Washington et daté du 9 avril 1939.

Bullitt y rapportait une conversation qu’il avait eu avec l’ambassadeur Lukasiewicz, l’envoyé polonais. Bien que la loi étasunienne interdise une aide financière directe à la Pologne, il avait expliqué à l’ambassadeur qu’il serait peut-être envisageable de contourner les clauses de cette loi. Allant dans mon sens, de nombreuses années après la guerre, Georges Bonnet, ministre des affaires étrangères en France en 1939, confirmera le rôle d’adjoint de Roosevelt tenu par Bullitt pour pousser la France à la guerre.

Dans une lettre datée du 26 mars 1971, Bonnet a écrit : « … C’est une chose certaine que Bullitt, en 1939, a fait tout son possible pour faire entrer la France en guerre. »

On trouve une autre confirmation du rôle crucial tenu par Roosevelt et par les Juifs pour pousser la Grande-Bretagne en guerre dans le journal personnel de James V. Forrestal, premier secrétaire des États-Unis à la défense. Pour la journée du 27 décembre 1945, il confirmait tout ce qui vient d’être vu avec le rôle crucial de Bullitt, celui de Roosevelt ainsi que le fait voulant que Chamberlain le Premier ministre britannique, affirmait que les États-Unis et les Juifs mondialistes avaient contraint l’Angleterre à entrer en guerre.

Mieux encore. Lorsque Potocki, l’ambassadeur polonais, revint à Varsovie en congés, durant son service à Washington, il parla avec le sous-secrétaire au ministre polonais des affaires étrangères, le comte Jan Szembek, au sujet du danger de guerre qui arrivait à grands pas.

Dans son journal en date du 6 juillet 1939, le comte Szembek rapporte la stupeur manifestée par Potocki face au calme, c'est-à-dire à ce manque de discernement face au danger, qui régnait alors en Pologne. En comparaison avec la psychose de guerre qu’il avait perçue à l’Ouest, la Pologne ressemblait à une maison de repos.

« En Occident, affirma l’ambassadeur à Szembek, on trouve toutes sortes d’éléments poussant ouvertement à la guerre : les Juifs, les super capitalistes, les vendeurs d’armes. Aujourd’hui, ils sont tous prêts à une grande affaire, car ils ont trouvé un endroit qui peut être embrasé : Dantzig ; et une nation qui est prête à se battre : la Pologne. Ils veulent faire des affaires sur notre dos. La destruction de notre pays les indiffèrent. De fait, comme il va ensuite falloir tout reconstruire, ils pourront en profiter également. »

Quelques jours avant le début du conflit, fin août 1939, Chamberlain, le premier ministre anglais, envoya Sir Horace Wilson, son conseiller le plus proche, voir l’ambassadeur Kennedy avec un appel urgent de la part du premier ministre britannique à destination du président Roosevelt, afin d’éviter le conflit. Il regrettait déjà d’avoir engagé son pays en mars, auprès de la Pologne en cas de guerre.

Chamberlain se tournait désormais désespérément vers Roosevelt, dans un dernier espoir de paix. Il voulait que Roosevelt mette la pression sur les Polonais afin qu’ils rouvrent des négociations avec l’Allemagne. Au téléphone, Kennedy affirma au département d’État que les Britanniques « estimaient qu’ils ne pouvaient pas, au vu de leurs obligations, agir ainsi, mais que nous, nous le pouvions. »

Bien entendu et au nom des intérêts plus haut évoqués, Roosevelt refusa cette opportunité extraordinaire de préserver la paix en Europe, et d’éviter ainsi un bain de sang monstrueux.

Tout comme Biden le fait actuellement avec son pantin Zelenski, Roosevelt aimait se présenter au peuple au monde comme un homme de paix.

Aujourd’hui, son image est largement restée celle-là. Mais derrière le cynisme habituel se cachaient bel et bien d’authentiques opportunités d’agir pour la paix lorsque celles-ci se présentèrent.

Sans l’aide de ses puissants alliés argentés, Roosevelt aurait pu faire peu de choses pour inciter à la guerre en Europe. Mais derrière lui, on trouvait les intérêts financiers et juifs internationaux, tous arc-boutés sur la destruction de l’Allemagne.

L’organisation qui rythmait la cadence avant l’attaque de Pearl Harbor avait été savamment intitulé « Comité de Défense des États-Unis en Aidant les Alliés. » Bien entendu, tout ce « beau monde » tirait des profits colossaux des prêts consentis à la Grande-Bretagne au combat et d’investissements avisés au sein des industries de guerre géantes des États-Unis.

Les puissants intérêts de J.P. Morgan, avec ses filiales au sein de l’Empire britannique, contribuèrent donc à établir l’organisation et financèrent ses premières dépenses.

Au mois de mars 1941, une liste comprenant la plupart des soutiens financiers du Comité fut rendue publique. Elle révélait la nature des forces désireuses d’amener les États-Unis dans la guerre européenne. Outre J.P. Morgan, d’autres membres de la grande maison bancaire Morgan y figuraient.

D’autres noms importants du monde financier de New York étaient Paul Mellon, Felix M. et James F. Warburg, ainsi que J. Malcolm Forbes. Marshall Field, William Averill Harriman, le millionnaire des trains et des investissements, qui deviendrait par la suite ambassadeur de Roosevelt à Moscou.

Bien sûr, ces noms juifs constituaient une part très importante de cette longue liste. Car si l’on ne comprend pas ses liens étroits avec la communauté juive organisée, les politiques de Roosevelt ne font guère de sens.

Roosevelt a fait entrer dans son cercle immédiat davantage de Juifs que tout autre président avant ou après lui.

Ce point n’est peut-être pas si remarquable au vu de l’ascendance de Roosevelt, dont certaines sources indiquent qu’il avait un huitième de sang juif.

Dans son journal personnel, pour la journée du 1er mai 1941, Charles A. Lindbergh, le héros étasunien de l’aviation et dirigeant du mouvement pour la paix, dénonça la coalition qui poussait les États-Unis vers la guerre : « … La plupart des intérêts juifs du pays sont favorables à la guerre, et ils contrôlent une part énorme de notre presse et de notre radio, ainsi que la plupart de nos studios cinématographiques. Il y a également les « intellectuels », les « anglophiles … »

Et toujours pour ceux qui désirent en savoir plus : https://www.thebookedition.com/fr/37027_olivier-cape      

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/06/zion-ou-l-avenement-de-zorglub-partie-11.html

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EVEIL

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Certains, conscients du déclin de nos sociétés, se demandent comment nos aïeux ont pu réaliser de tels prodiges d’ingénierie.

Les plus éveillés refusent même la doxa historique qu’on leur impose. Cette bouillie infecte à base des mensonges les plus pervers.

Pour eux, j’ai ça : 

https://www.thebookedition.com/fr/une-autre-histoire-la-vraie--p-392634.html

 

Quant à celles et ceux qui ont décelé la langue du serpent chez la NASA, j’ai ça :

https://www.thebookedition.com/fr/nachash-p-388763.html

Dans les deux cas, ils seront avertis des énormes mensonges au sein desquels notre société occidentale se meurt dorénavant.

Olivier

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ZION OU L’AVENEMENT DE ZORGLUB (partie 9)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/05/zion-ou-l-avenement-de-zorglub-partie-1.html         

La situation s’en trouvait exacerbée par l’intervention des émigrés d’Allemagne et de Tchécoslovaquie qui ne ménageaient aucun mot pour inciter le public à toutes les formes de diffamation, faisant l’éloge de la liberté aux États-Unis, qu’ils opposaient aux États totalitaires.

Dans cette campagne extrêmement bien préparée et menée par-dessus tout contre le national-socialisme, la Russie soviétique était presque complètement exclue, ainsi que l’Espagne rouge. Comme c’est étrange ?

C’est l’ingénierie sociale qui marchait déjà bon train afin de créer artificiellement une psychose de guerre.

On affirmait au peuple étasunien que la paix en Europe ne tenait plus qu’à un fil, et que la guerre était inévitable. Dans le même temps, on lui affirmait sans équivoque qu’en cas de guerre mondiale, les États-Unis devraient également prendre une part active pour défendre les slogans de la liberté et de la démocratie dans le monde.

Roosevelt, le premier à exprimer de la haine contre le fascisme, répondait ainsi à deux desseins : détourner l’attention du peuple des problèmes politiques intérieurs, surtout la lutte entre le capital et le travail.

Deuxièmement, en créant une psychose de guerre, il voulait amener le peuple étasunien à accepter un énorme programme d’armement qui dépassait et de loin les besoins de défense des États-Unis. Le marché du travail ne faisait qu’empirer avec douze millions de chômeurs.

Des sommes colossales, les milliards que le trésor déboursait, maintenaient seuls un certain niveau de paix dans le pays. L’effervescence et l’indignation de l’opinion publique, et le grave conflit qui opposait d’une part les entreprises privées et les énormes trusts, et d’autre part les forces du travail, avaient créé de nombreux ennemis face à Roosevelt.

Voilà pourquoi, Roosevelt, en acteur politique avisé et expert de la mentalité étasunienne, avait, style Macron, rapidement détourné l’attention du public de la situation intérieur pour l’arrimer à la politique étrangère. Les accords de Munich se sont alors présentés à lui comme un cadeau du ciel. Il les a décrit comme une capitulation de la France et de l’Angleterre face au militarisme allemand belliqueux.

La haine, répandue contre tout ce qui est d’une manière ou d’une autre relié au nazisme allemand s’est encore enflammée par la politique brutale menée en Allemagne contre les Juifs et par le problème des émigrés. Les intellectuels juifs prirent part à cette action, ainsi que d’autres, amis personnels du président Roosevelt.

Ils firent de lui le champion des droits de l’homme, de la liberté de religion et de la liberté d’expression. Ces groupes occupant les positions les plus élevées au sein du gouvernement étasunien voulaient se faire passer pour les représentants du « vrai américanisme » et les « défenseurs de la démocratie ».

Ils étaient tous reliés de manière indissoluble à la communauté juive internationale.

Pour cette internationale juive, préoccupée par-dessus tout par les intérêts de sa race « élue », dépeindre le président des États-Unis comme le champion « idéaliste » des droits de l’homme constituait une action très avisée.

La guerre mondiale qui approchait, et à laquelle les Juifs aspiraient de manière très consciente, détournait machiavéliquement l’attention du public de l’antisémitisme, qui connaissait une croissance constante aux États-Unis, en parlant de la nécessité de défendre les religions et la liberté individuelle contre l’agression.

Le 16 janvier 1939, Potocki, l’ambassadeur de Pologne, rapportait au ministère des affaires de Varsovie une autre longue conversation qu’il avait eu avec l’envoyé personnel de Roosevelt, William Bullitt. Selon les termes de Bullitt, Roosevelt attendait de lui qu’il incite la France et la Grande-Bretagne à mettre fin à toute sorte de compromis avec les pays totalitaires.

Elles ne devaient pas entrer dans des discussions visant à une forme ou une autre de changement territorial. En contrepartie, elles disposeraient de l’assurance morale que les États-Unis allaient abandonner la politique d’isolement et seraient prêts à intervenir activement aux côtés de la Grande-Bretagne et de la France en cas de guerre.

La situation internationale devait être considérée par les cercles officiels comme extrêmement grave. Ceux qui tenaient le pouvoir avaient pour opinion que si la guerre devait éclater entre d’une part la Grande-Bretagne et la France, et d’autre part l’Allemagne et l’Italie, et si la Grande-Bretagne et la France devaient la perdre, les Allemands mettraient en danger les véritables intérêts des États-Unis sur le continent américain.

Voilà pourquoi l’ambassadeur Bullitt déclarait : « Si la guerre doit éclater, nous n’y prendrons pas part au début, mais nous la finirons. »

Le 7 mars 1939, l’ambassadeur Potocki envoyait à son gouvernement de Varsovie un rapport remarquablement lucide et perspicace sur la politique étrangère menée par Roosevelt.

Plus tard, le 28 octobre 1940, il serait rendu public dans les journaux allemands, avec une reproduction à l’identique. Le principal journal du parti national socialiste, le Voelkischer Beobachter, publia le rapport de l’ambassadeur avec entre autres cette observation : « … Dans l’intérêt de la vérité historique, il est important pour nous de montrer que les activités belliqueuses de la diplomatie étasunienne, particulièrement en Europe, sont une fois de plus révélées et prouvées par ce document. »

Ce qu’il est encore intéressant de relever ici, c’est que malgré les horreurs perpétrées par Lénine et ensuite Staline, l’URSS n’était pas intégrée au « camp du mal absolu ». Le public étasunien considérait la Russie comme appartenant au camp des démocraties.

Ce fut également le cas durant la guerre civile en Espagne, où lesdits Loyalistes étaient considérés comme des défenseurs de l’idée démocratique.

Bien entendu, dans les rouages politiques qui écrasent sans encombre tout ce qui ne va pas dans le sens étasunien : celui « du droit », Roosevelt aurait été heureux de voir l’Armée rouge émerger comme victorieuse d’un conflit contre le Japon. C’est pour cette raison que les sympathies de son gouvernement se portaient clairement vers la Chine, qui avait reçu une aide financière considérable, en millions de dollars.

Néanmoins, jusqu’au bout, les Allemands feront confiance au bon sens du petit peuple américain ainsi qu’aux représentants et sénateurs, qui étaient tous censés avoir le dernier mot. Les nazis pensaient que la possibilité de voir les États-Unis entrer en guerre comme en 1917 n’était pas très élevée.

Se souvenant trop bien de la déclaration du traité de Versailles, et de la phrase célèbre, affirmant que la guerre était destinée à préserver le monde pour la démocratie. Ni le traité de Versailles, ni ce slogan, n’avaient réconcilié les Américains avec cette grande boucherie.

Crise de 1929 aidant, des millions en conservaient un arrière-goût amer en raison des milliards de dollars d’impayés que les États européens devaient toujours aux États-Unis.

La majorité des États du mid-West et de l’Ouest, où prédominait la composante rurale, voulait donc à tout prix éviter tout implication dans les conflits européens. Et l’Allemagne comptait un peu trop sur ce fait établi.

C’était penser sans l’ingénierie sociale.

Les Polonais, quant à eux, se méfiaient de la puissance allemande, néanmoins, à l’inverse de FDR qui les rejetait ouvertement, le gouvernement polonais soutenait les accords de Munich de 1938. En effet, une petite portion de territoire polonais, qui avait été rattachée à la Tchécoslovaquie contre la volonté de ses habitants, s’en trouvait réunifiée à la Pologne selon les termes de ces accords.

Côté allemand, les accords du Munich accordaient l’auto-détermination aux trois millions et demi d’Allemands de Tchécoslovaquie et réglaient une crise européenne majeure.

Nous avons ici un des cas où Roosevelt a semé la zizanie en les dénonçant comme une capitulation honteuse et humiliante au chantage allemand.

Je pense sans me tromper que les politiques polonais voyaient alors avec mépris Roosevelt, comme une espèce de Biden actuel. Roosevelt poussait les États-Unis dans la guerre pour détourner l’attention du public de ses échecs en matière de politique intérieure.

Au risque de paraitre pronazi, ce que je ne suis nullement, pour décrire la complexité des relations germano-polonaises entre 1933 et 1939, il me faudrait des centaines de pages.

Néanmoins, il faut bien reconnaitre que les Polonais ont longtemps cherché la petite bête à notre tonton nazi. L’attaque lancée par l’Allemagne contre la Pologne à l’aube du 1er septembre 1939, découle de nombreux faits.

Notamment du fait que la Pologne était allée jusqu’à refuser de négocier au sujet de l’auto-détermination de la ville allemande de Dantzig et de la minorité ethnique allemande qui vivait dans ledit Couloir polonais.

Hitler a agi quelque peu comme Poutine vis-à-vis des minorités russes du Donbass massacrés par les pronazis de Kiev.

Il s’est senti obligé de recourir aux armes, lorsqu’il lança cette attaque, en réponse à une campagne polonaise de terreur et de dépossession contre le million et demi d’Allemands ethniques qui vivaient sous administration polonaise. À mon sens, si une action militaire fut jamais justifiée avant celle de Poutine en Ukraine, ce fut bien la campagne allemande contre la Pologne, en 1939.

Croyant bêtement à l’aide militaire de la perfide Albion, les Polonais jouaient depuis un bon moment les gros bras, pensant que la puissance allemande était une illusion. Ils se voyaient déjà à Berlin en quelques semaines.

Pensez alors à nos va-t’en guerre de dirigeants européens actuels, car ce conflit strictement circonscrit entre l’Allemagne et la Pologne ne fut transformé en conflagration à l’échelle de l’Europe que par les déclarations de guerre britannique et française contre l’Allemagne.

Bien entendu, Edward Raczynski, l’ambassadeur de Pologne à Londres entre 1934 et 1945, au même titre que beaucoup d’autres, a confirmé l’authenticité des documents dans son journal personnel, publié en 1963 sous le titre In Allied London.

Mais les intérêts américains prévalaient déjà.

Après la guerre, les juges nommés par les Alliés, siégeant au tribunal de Nuremberg, refusèrent de reconnaître les documents polonais comme preuves, comme demandé par la défense allemande. Si ces documents avaient été estimés recevables, l’initiative de Nuremberg aurait moins ressemblé à un procès spectacle pour les vainqueurs, et aurait pu constituer une cour de justice internationale plus impartiale.

Deux diplomates étasuniens qui jouèrent des rôles particulièrement centraux dans la crise européenne de 1938-1939 sont mentionnés de manière répétée dans les documents polonais.

William C. Bullitt qui, officiellement était ambassadeur en France, était dans les faits le « super envoyé » de Roosevelt et son adjoint personnel en Europe. Comme son président, il était né avec une cuillère en argent à la bouche, d’une importante famille de banquiers de Philadelphie, membres du gratin de la ville, et Juif du côté de sa mère.

Fait important, Bullitt avait été l’un des assistants du président Wilson à la « conférence de paix » de Versailles. La même année, Wilson et Lloyd George, le premier ministre britannique, l’avaient envoyé rencontrer Lénine en Russie pour déterminer si le nouveau gouvernement bolchevique méritait une reconnaissance de la part des Alliés (Ce qu’il fera).

Lorsque Roosevelt devint président en 1933, il fit revenir Bullitt dans les sphères diplomatiques. En novembre 1933, Roosevelt l’enverra à Moscou comme premier ambassadeur des États-Unis auprès de l’Union soviétique. En 1936, il sera muté à Paris pour y jouer le rôle de diplomate clé de Roosevelt en Europe jusqu’en 1940, lorsque la montée au pouvoir de Churchill en Grande-Bretagne et la défaite de la France feront tomber son rôle spécial en désuétude.

Et toujours pour ceux qui désirent en savoir plus : https://www.thebookedition.com/fr/37027_olivier-cape        

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/06/zion-ou-l-avenement-de-zorglub-partie-10.html

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Le N.O.M. et sa mise en place « définitive ». (Partie 1)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

J’en parle et l’écris depuis des lustres, l’élite mondiale applique militairement, le doigt sur la couture du pantalon, une science de l’esprit liée au traumatisme et à la dissociation. Le satanisme n’a jamais été autant à la mode.

Et lorsque l’on sait qui fut en réalité le dénommé « Lucifer », il y a de quoi se marrer (Voir Une autre histoire : la vraie).

Les francs-maçons dirigent le monde, ou tout au moins l’espèrent. Tels des cancrelats, les hautes loges se sont infiltrées partout, dans toutes les officines.

Ils ont fait du premier homme qui, post Déluge, défia Dieu, le premier des leurs. C’est l’héritage babylonien qui, tel un torrent de boue, déferle depuis longtemps sur ce monde -démon.

L’héritage de l’ancienne Babylone : la religion à Mystères, avec ses sacrifices de sang et la mise en esclavage d’êtres humains se transmettra ainsi tel un poison à travers les générations, jusqu’à nos jours les plus sombres.

Et question « maçons », les USA et Washington, possèdent leur lot de frères la truelle, très hauts en couleur. Presque tout le monde l’ignore, mais c’est en fait Sémiramis, la reine de Babylone, l’épouse de Nimrod, qui trône sur son pied d’estale à l’entrée du port de New York.

C’est Nimrod qui fut le constructeur de la Tour de Babel, il a été le premier homme à avoir voulu établir un Gouvernement Mondial avec une Religion universelle en opposition à Dieu. De nos jours, c’est plus que jamais d’actualité.

D’ailleurs observez-bien la forme extérieure du Parlement européen. Pourquoi cette dernière marche du plan devant nous mener tous au NOM reprend-elle à dessein la forme que l’on attribue couramment à la tour de Babel ? Surtout la Babel peinte par Bruegel.

Comme bon nombre d’officines internationales elle a grouillé d’ex-nazis recasés et, aujourd’hui, comme nombre d’autres, telles Davos, elle héberge en nombre leurs sombres descendants fascistes. Le fait est peu connu, mais Himmler, le Reichsführer SS, avait, sur la fin du conflit mondial, écrit à de Gaulle. De Gaulle publiera cette lettre dans ses mémoires de guerre (III).

Himmler voulait une Europe allemande décidée à refaire la guerre perdue contre la Russie. La France aura servi de bouc émissaire.

Afin d’arriver à ses fins, dans sa lettre, Himmler mettait en garde de Gaulle contre les Anglo-Saxons d’un côté et les Soviets de l’autre. Concernant les Anglo-Saxons, il avertissait le Général qu’ils « vous traiteront en satellite et vous feront perdre l’honneur. »

Et, de fait, plus tard, de Gaulle parlera avec mépris des démocraties anglo-saxonnes, disant de Churchill : « Toute sa vie, il a fait des affaires avec le diable. C’est la méchanceté et l’alcool qui le conservent. » Autre fait peu connu du public, c’est en des termes dithyrambiques que, dans ses mémoires, de Gaulle évoquera le « règne » d’Hitler ainsi que sa fin.

Henri de Kérillis (1889-1958), est un militaire, journaliste, résistant et homme politique français. Il va passer de l'éloge du général de Gaulle à l'antigaullisme. Ses ressentiments concernant le Général seront résumés dans son livre intitulé De Gaulle dictateur, paru en 1945. Kérillis qualifiait même le gaullisme comme « un national-socialisme dans le camp des vainqueurs ! ».

Himmler prônait donc un rapprochement franco-allemand contre les Anglo-Saxons. J’y reviens dans ma série consacrée à JFK, lorsque ce dernier s’opposa aux souhaits de de Gaulle vis-à-vis de l’Allemagne d’Adenauer.

Ce rapprochement franco-allemand fut d'ailleurs visible dès l'ajout par le parlement allemand, au printemps 1963, d'un préambule de l’OTAN au traité de l'Elysée que de Gaulle avait négocié avec Adenauer.

Toute cette histoire est très représentative, de la façon de penser des milieux dirigeants allemands. Et c'est bien dans l'amitié franco-allemande et la construction européenne qu'une partie d'entre eux, moins compromis qu’Himmler, cherchèrent la réhabilitation internationale dans les années 1950 afin de mettre en couveuse un nouveau type de fascisme qui serait alors diffusé aux peuples, mais à doses homéopathiques.

Reste une question IMPORTANTE que j’évoque dans les deux tomes du Centième gueux. Pétain avait fait fermer toutes les loges FM, pourquoi de Gaulle s’est-il pressé de les rouvrir des son retour en France ? Cherchez l’erreur ! Mais revenons au number ONE chez les FM.

Chez les maçons, Nemrod est honoré comme « Grand Maçon » pour sa tentative à vouloir construire le premier un « Nouvel Ordre Mondial ». Elle lui a valu la distinction de « Premier Grand Maître ».

La Maçonnerie, selon ce que rapporte « la légende », a été fondée à Babylone, d’où elle s’est transmise dans le monde entier, par l’entremise de son culte des démons, cette dévotion aux anges déchus, où bien plus tard, les tenants du New âge iront chercher leurs ET civilisateurs en un joli complément à cette « religion sans nom ».

Le polythéisme des Mésopotamiens, des Sumériens, des Assyriens, des Perses et des Babyloniens était lié aux entités démoniaques dont certains, de nos jours, font des p’tits gris.

Plus tard, cette « religion sans nom » sera transmise au fil du développement de cette nouvelle société post diluvienne. De nombreux dieux cananéens, égyptiens, grecques et romains sont du même acabit que les dieux babyloniens.

De parfaits copiés collés, dirais-je même ! Les pratiques de magie, la quête d’immortalité, les sacrifices d’animaux et d’humains, etc. dérivent tous de ces anciens cultes dédiés aux démons.

À notre époque où, tout comme cette religion, les sociétés sont devenues d’une hypocrisie « sans nom », beaucoup d’enfants disparaissent, mais ces cultes n’ont plus leur autel sur la place publique, et pour les profanes ils n’existent plus que dans les livres d’histoire, et encore…

Mais, soyez en sûrs, l’adoration des démons, les rituels sacrificiels de sang et les pratiques traumatiques initiatiques créant de profonds états dissociatifs sont plus que jamais d’actualité.

Ils servent en premier lieu à former cette caste dirigeante sans foi ni loi autre que celle du Grand capital.

Rien qu’à l’Élysée, actuellement, nous avons un « échantillon » de ce que peut donner un état dissociatif (merci les Rothschild !).

Ce culte transmettant les Mystères de génération en génération n’existe pas de manière officielle.

Il n’est pas censé exister pour le commun des mortels de notre époque.  Cette « religion » venue du fond des âges est polymorphe.  Elle s’adapte aux époques et aux civilisations humaines. Tel un moule elle forge les idées qui, bientôt, deviendront la norme.

C’est une Gnose qui n’a donc pas d’appellation précise mais qui façonne pourtant notre société moderne par l’infiltration depuis des siècles. Elle marque son empreinte par une symbolique que les initiés aiment à afficher dans le monde profane, mais aussi par une influence entraînant une décadence des mœurs de plus en plus marquée (wokisme). C’est une sous-culture qui émerge petit à petit et qui tente d’imprégner les profanes pour devenir une culture hégémonique mondiale.

Cette « religion sans nom » est divisée en une multitude de sectes et groupes n’ayant pas au premier abord les mêmes centres d’intérêts.  Mais que le profane se rassure, elles ont toutes et tous en commun de travailler plus ou moins ardemment à la mise en place d’un gouvernement mondial, un Nouvel Ordre Mondial, berceau de leur pseudo Antéchrist.

Ce culte à Lucifer se divise en plusieurs branches : Kabbalistes, Martinistes, Rosicruciens, Théosophes, Lucifériens, Gnostiques et Néo-gnostiques, etc. sans oublier le New âge. Et comme tout principe humain se veut pyramidal, le plus souvent ceux d’en bas ignorent tout de ce qui se trame en réalité dans les derniers étages, avant l’œil qui voit tout. Les lignées d’en haut sont les vrais dirigeants.

Ils descendent tous de familles lucifériennes transgénérationnelles ou bien sont initiés et corrompus dans les hautes loges. Tous travaillent à l’établissement du règne de leur Prince, l’ange déchu.

Lucifer, le dieu « civilisateur ». Ils ont su faire de nos sociétés un océan d’athées alors qu’eux sont de fervents croyants en leur petit dieu médiocre : l’ennemi héréditaire du vrai Dieu de la Bible.

Ce Dieu-là serait pour eux un Dieu « destructeur » qu’il faut renverser. Une de leur méthode est l’infiltration et la subversion des religions, des gouvernements et des organismes importants pour y infuser patiemment et méthodiquement leur doctrine luciférienne.

Le mot d’ordre est « discrétion » grâce à cette loi du silence, garantie par les états dissociatifs. Le but est de détruire l’ordre social (la nation, la famille, la religion…) et d’inverser la moralité et les valeurs traditionnelles pour imposer un nouvel ordre par la destruction : Ordo ab Chao, l’ordre par le chaos.

Que vous adhériez ou pas à mon propos importe peu. Vous êtes bien obligés de constater les résultats de cette doctrine destructrice qui consiste à obtenir la « rédemption par le péché ».

Olivier

Suite et fin ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/06/le-n.o.m.et-sa-mise-en-place-definitive.suite-et-fin.html

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ZION OU L’AVENEMENT DE ZORGLUB (partie 8)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/05/zion-ou-l-avenement-de-zorglub-partie-1.html        

C’est ainsi que chaque année, on découvre de nouveaux éléments qui viennent contredire l’image brillante de Roosevelt dépeinte par les merdias et les politiciens. Roosevelt a tout fait pour que les États-Unis interviennent dans la seconde guerre mondiale avant l’attaque japonaise contre Pearl Harbor du mois de décembre 1941.

L’aide accordée par Roosevelt à la Grande-Bretagne et à l’Union soviétique, en violation de la neutralité étasunienne et du droit international, ses actes de guerre contre l’Allemagne, visant à provoquer une déclaration de guerre allemande contre les États-Unis, son autorisation d’une grande campagne de false flag par des agents de renseignements britanniques contre des citoyens étasuniens en violation de la Constitution, et ses provocations et ses ultimatums contre le Japon qui ont fini par provoquer l’attaque contre Pearl Harbour, tous ces faits sont bien connus.

Mais bien avant cela, Roosevelt a fait preuve de machiavélisme pour provoquer la guerre en Europe, avant l’éclatement des hostilités, au mois de septembre 1939. Il a exercé des pressions sur la Grande-Bretagne, la France et la Pologne pour les pousser à la guerre contre l’Allemagne, en 1938 et 1939.

J’en veux pour preuve le recueil de documents polonais secrets tombé entre les mains des Allemands lorsque ceux-ci s’emparèrent de Varsovie, au mois de septembre 1939.

Ces documents établissent le rôle central de Roosevelt pour faire survenir le conflit. Ils révèlent également et SURTOUT les forces qui, derrière poussèrent à la guerre. Mais, doxa aidant et agissant, tout comme en ce qui concerne la Vérité sur JFK, durant de nombreuses années, leur authenticité est restée sujette à questions.

Quoi qu’il en soit, lorsque les Allemands ont pris Varsovie à la fin du mois de septembre 1939, ils se sont emparés d’une quantité de ces fâcheux documents détenus par le ministère polonais des affaires étrangères. Au moment même où les dirigeants du ministère s’employaient à brûler ces documents compromettants.

Le gouvernement allemand considérait les documents polonais capturés comme présentant une importance colossale. Le bureau allemand des affaires étrangères allait donc les rendre public, le vendredi 29 mars 1940. À Berlin, des journalistes du monde entier, y compris étasuniens, en avaient reçu des copies ainsi que des traductions en langue allemande.

Bien entendu, les journalistes purent examiner les originaux par eux-mêmes, ainsi qu’une pile énorme de documents en provenance du ministère polonais des affaires étrangères. Leur publication produisit un mouvement international.

Quant aux journaux étasuniens, ils accordèrent à l’événement une couverture en première page, et en publièrent de longs extraits. Mais, en s’en doutera, tout comme ce qui concerne le Covid-19, l’Ukraine et hélas beaucoup d’autres faits gravissimes, l’impact fut bien moindre que celui qui avait été espéré par le gouvernement allemand.

La doxa s’en mêla. Cordell Hull (photo 1), le secrétaire d’État américain nia catégoriquement, William Bullitt (photo 2), l’ambassadeur des États-Unis à Paris, particulièrement compromis dans les documents, fit de même.

Quant à l’ambassadeur de Pologne à Washington, dont les rapports envoyés confidentiellement à Varsovie étaient détonants, il réfuta en bloc toutes les allégations. Puisque le sérail de la bien-pensance niait en bloc, cela eut pour effet de briser presque totalement l’impact anticipé des documents.

Si vous doutez, pour les plus anciens, pensez un instant à la guerre du Vietnam et l’affaire du Watergate, qui enseignèrent à une nouvelle génération d’Étasuniens à se montrer très sceptiques vis-à-vis de réfutations officielles de cette nature. Mais pour l’instant, en 1940, la vaste majorité du peuple étasunien avait confiance en l’idée que ses dirigeants politiques lui disaient la vérité.

Le parallèle avec notre époque est ici flagrant. Comment mettre en doute les gentils politiques étasuniens et leurs alliés contre les méchants nazis de tonton Adolf ? Comment actuellement faire confiance au méchant Poutine et ses hordes de mangeurs d’enfants face au gentil Zelenski et ses troupes « régulières » ?

Et ici, concernant mon propos, comme un pont à travers le temps, il est particulièrement important de conserver à l’esprit que ces rapports secrets avaient été écrits par de hauts ambassadeurs polonais, c’est-à-dire par des hommes qui, comme de nos jours, n’aimaient pas du tout l’Allemagne, mais qui néanmoins comprenaient bien mieux les réalités de la politique européenne que ceux qui décidaient des politiques aux États-Unis.

Nous sommes encore dans un cas de figure où la Bible a raison avec (Ecclésiaste I,9) parmi de nombreuses autres maximes : « Ce qui fut sera, Ce qui s'est fait se refera, Et il n'y a rien de nouveau sous le soleil. » Et puisque j’en suis à citer la Bible, j’en arrive au CŒUR du problème, tout au moins à celui, tordu, des certains hommes se prenants pour les riches « élus ».

En effet, ces ambassadeurs polonais n’étaient pas sans savoir que derrière toute leur rhétorique sur la démocratie et les droits de l’homme, et les expressions d’amour envers les États-Unis, des Juifs qui produisaient de l’agitation pour la guerre contre l’Allemagne ne faisaient rien d’autre que poursuivre la quête de leurs propres intérêts sectaires.

De nombreux siècles de cohabitation avec les Juifs avaient éveillé la conscience des Polonais bien davantage que bien d’autres nationalités du monde vis-à-vis de ce peuple.

Le 9 février 1938, l’ambassadeur de Pologne à Washington, le comte Jerzy Potocki, rapportait au ministre des affaires étrangères en poste à Varsovie le rôle tenu par certains Juifs dans l’établissement de la politique étrangère étasunienne.

J’en reproduis ici certains termes : « La pression exercée par les Juifs sur le président Roosevelt et sur le département d’État se fait de plus en plus puissante… Les Juifs sont actuellement les premiers à créer une psychose de guerre qui pourrait plonger le monde entier dans la guerre et provoquer une catastrophe générale. Cette humeur se fait de plus en plus apparente. Dans leur définition des États démocratiques, les Juifs ont également créé un véritable chaos : ils ont mélangé l’idée de démocratie et de communisme, et ont par-dessus tout élevé la bannière de la haine brûlante contre le nazisme… Cette haine est devenue frénétique. Elle est propagée partout et par tous les moyens ; dans les théâtres, au cinéma, et dans la presse. Les Allemands sont dépeints comme une nation vivant sous l’arrogance de Hitler qui veut conquérir le monde entier et noyer l’ensemble de l’humanité dans un océan de sang.

Au cours de conversations avec des représentants de la presse juive, je me suis élevé de manière répétée contre la vision inexorable et convaincue selon laquelle la guerre serait inévitable. Cette communauté juive internationale exploite tous les moyens de propagande pour s’opposer à toute tendance vers toute forme de consolidation et d’entente entre les nations. De cette manière, l’opinion publique aux États-Unis se trouve de manière régulière mais certaine imprégnée de l’idée selon laquelle les Allemands et leurs satellites, sous la forme du fascisme, sont des ennemis qui doivent être mâtés par le ‘monde démocratique’. »

Le 21 novembre 1938, le même ambassadeur Potocki envoyait un rapport à Varsovie, discutant en détail une conversation tenue entre Bullitt et lui, l’ambassadeur des États-Unis en France se trouvant à ce moment-là à Washington. Outre le fait qu’il y révélait les pensées profondes de Bullitt au sujet de l’Allemagne et du chancelier Hitler, notamment une grande véhémence et une forte haine, Potocki indiquait que selon Bullitt, seule la force, et en fin de compte la guerre, pourraient mettre fin à l’avenir insensé de l’expansionnisme allemand.

Voici quelques termes de Potocki concernant Bullitt : « Lorsque je lui ai demandé comment il visualisait la guerre en approche, il a répondu que par-dessus tout, les États-Unis, la France et l’Angleterre devaient pratiquer un réarmement colossal pour se trouver en position de s’opposer à la puissance allemande. Ce n’est qu’alors, lorsque le moment sera propice, a poursuivi Bullitt, que l’on sera prêt pour la décision finale. Je lui ai demandé de quelle manière un conflit pourrait se déclencher, puisque l’Allemagne n’attaquerait sans doute pas l’Angleterre et la France en premier. Je ne parvenais simplement pas à voir le point de connexion dans toute cette combinaison.

Bullitt a répondu que les pays démocratiques avaient absolument besoin de deux années de plus avant d’être pleinement réarmés. Dans l’intervalle, l’Allemagne aurait sans doute poursuivi son expansion en direction de l’Est. Il relèverait du désir des pays démocratiques qu’un conflit armé éclaterait là-bas, à l’Est, entre le Reich allemand et la Russie. Comme on ne connaît pas encore la force potentielle de l’Union soviétique, il se pourrait que l’Allemagne se soit trop éloignée de sa base, et soit condamnée à mener une guerre longue et affaiblissante. Ce n’est qu’alors que les pays démocratiques attaqueraient l’Allemagne, déclara Bullitt, et la contraindraient à capituler.

En réponse à ma question de savoir si les États-Unis participeraient à une telle guerre, il a répondu « Oui, indubitablement, mais uniquement après que la Grande-Bretagne et la France y seront entrées ! » Le sentiment aux États-Unis est tellement intense contre le nazisme et l’hitlérisme qu’une psychose règne déjà parmi les Étasuniens, semblable à celle qui précéda la déclaration de guerre des États-Unis contre l’Allemagne en 1917. »

Bullitt agissait à la mode de nos merdias actuels, il ne donnait pas l’impression d’être très bien informé sur la situation en Europe de l’Est, et il s’exprimait d’une manière plutôt superficielle.

Au fil de ses rapports et plus le temps passait Potocki ne cessera de dénoncer le comportement va-t’en guerre de Roosevelt et ses proches vis-à-vis « des gouvernements dictatoriaux », par-dessus tout ceux de l’Allemagne et du Japon.

Il est indéniable que le grand public étasunien était sujet à une propagande plus alarmante que jamais. Sous influence juive, elle évoquait de manière continuelle le spectre du danger de la guerre, marqué par une haine croissante du fascisme et, par-dessus tout, du chancelier Hitler et de tout ce qui avait trait au nazisme.

La propagande était principalement entre les mains des Juifs qui contrôlaient quasiment à 100% la radio, les films, et la presse quotidienne et périodique.

Cette propagande était extrêmement grossière et présentait l’Allemagne sous un jour aussi sombre que possible, par-dessus tout, les persécutions religieuses et les camps de concentrations étaient exploités. Elle était néanmoins extrêmement efficace, car comme l’indiquait Potocki dans ses rapports à Varsovie, « le public est ici complètement ignorant et ne sait rien de la situation en Europe ».

Et toujours pour ceux qui désirent en savoir plus : https://www.thebookedition.com/fr/37027_olivier-cape      

Olivier

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ZION OU L’AVENEMENT DE ZORGLUB (partie 7)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

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    À l’Est, l’objectif premier de la guerre entretenu par l’Empire russe était l’annexion de Constantinople, la capitale et la plus grande métropole de l’allié allemand que constituait l’Empire ottoman, chose qui aurait accordé à la Russie le contrôle stratégique sur le Détroit du Bosphore.

Les Balkans, où se côtoyaient plusieurs États querelleurs, s’étaient combattus les uns les autres en 1912, puis en 1913, et au vu des événements déclencheurs de 1914 à Sarajevo, la Grande Guerre qui suivit pourrait presque n’être considérée que comme un troisième round de combats qui fit entrer sans le vouloir le reste de l’Europe.

La Serbie avait déjà été vaincue et occupée à cette période, des éléments du gouvernement serbe avaient au départ provoqué la guerre en organisant l’assassinat de Franz Ferdinand, le dirigeant potentiel austro-hongrois, et leur objectif plus large était la destruction totale de cet État multi-ethnique, dont plusieurs morceaux trouveraient alors leur place dans une Grande Serbie.

Avant la conquête puis la longue occupation par les Ottomans, chacun des différents peuples des Balkans avait à un moment ou à un autre dirigé un empire régional plus étendu que son propre territoire, chose qu’ils essayèrent évidemment de ressusciter après le recul du pouvoir ottoman.

Mais tous ces empires passés des Balkans s’étaient recouverts les uns les autres territorialement, ce qui avait amené à des revendications amères et opposées, et à de nouveaux combats entre la Bulgarie, la Roumanie, la Serbie et la Grèce, dont chacun de ces pays convoitait également des parties des empires voisins austro-hongrois et ottoman, ce qui contribuait à l’importante instabilité de la situation.

Le rôle extrêmement important joué par les facteurs inattendus et fortuits, est considérable dans de tels imbroglios géopolitiques. Exemple, juste avant l’assassinat de Sarajevo, la Grande-Bretagne semblait vraiment au bord d’une violente guerre civile au sujet de l’Irish Home Rule.

Albion focalisait tellement sur ce problème qu’il lui fallut des semaines avant qu’elle n’examinât simplement la situation en développement dans les Balkans, et si ces événements s’étaient déroulés ne serait-ce que deux mois plus tard, l’implication militaire britannique aurait été impossible.

Dans tous les pays européens, on trouvait des factions puissantes qui avaient passé des années à pousser à la guerre, mais il existait d’autres factions puissantes qui voyaient les choses autrement, et les circonstances de l’éclatement de la guerre ont dépendu en grande partie des décisions particulières qui furent prises.

Après le conflit, le débat universitaire au sujet de qui porterait la culpabilité de la guerre s’est poursuivi tout au long du siècle qui a suivi, et aucun ouvrage n’a su apporter de réponse définitive à cette question.

Deux alliances lourdement armées et hostiles s’étaient plongées dans une guerre colossale sans qu’aucune des deux ne se fût vraiment attendue à ce qui se produisit en fin de compte.

Un élément essentiel reste à considérer. Bien qu’il soit resté totalement ignoré par les médias dominants, c’est le récit extrêmement conspirationniste des actions menées par une frange de l’ombre jusqu’à l’éclatement de la guerre.

Et à cet égard, un livre publié il y a tout juste un siècle, et qui pourrait aujourd’hui être considéré comme conspirationniste, m’a appris beaucoup de chose. Son auteur, l’un des intellectuels les plus en vue des États-Unis sera David Starr Jordan, le président fondateur de l’université de Stanford, un scientifique qui aura publié au moins quatre-vingt-dix ouvrages, dont le fameux Unseen Empire (empire de l’ombre), paru en 1912.

Bien que les États-Unis et les puissance européennes majeures soient en théorie, comme à notre époque, des pays souverains, leurs lourdes dépenses militaires improductives les avaient peu à peu englués dans la DETTE, ce qui allait amener la plupart d’entre eux à se faire les vassaux d’un réseau de puissants financiers, l’« empire invisible » qui constitue le titre de ce livre.

Aussi, les véritables dirigeants de l’Europe étaient déjà un jeu de dynasties bancaires interconnectées et mariées entre elles, pour la plupart juives, et au-dessus desquelles, les Rothschild de Londres et de Paris régnaient déjà en maîtres.

Une grande partie de l’élite juive britannique, disposait souvent de racines allemandes comme les Rothschild. Néanmoins et afin d’être honnête, une frange des intérêts juifs européens était contre la guerre ; non productive à leurs yeux.

La principale erreur commise par Jordan fut sans doute de surestimer le pouvoir politique détenu par les intérêts financiers dominants en Europe au détriment de ceux acquis par la Nouvelle Babylone :

Ainsi, en 1916, dans une vaste mesure, l’Allemagne et ses alliés étaient de fait les « puissances du statu quo », satisfaites de l’arrangement en place au niveau des frontières, une situation très différente de celle de leurs opposants, les Alliés, tous déterminés à démembrer l’Allemagne.

Difficile alors de trouver la paix.

Qui plus est, l’alliance allemande était confrontée à une coalition qui lui était largement supérieure en nombre d’hommes, en force économique, et en ressources militaires potentielles, si bien qu’elle menait ce qu’elle considérait raisonnablement comme une guerre purement défensive.

Seulement voilà, comme nombre de faits que je tente d’évoquer ici, cette situation, claire à l’époque, est exactement contraire à ce qui a été dit de manière implicite ou même explicite dans l’histoire judéo-maçonnique racontée par nos manuels scolaires au cours du dernier siècle.

D’évidence, un autre fait restait à considérer. Bien que le très puissant bloc politique social-démocrate au parlement allemand fût fortement antimilitariste, ses membres étaient également intensément hostiles au régime tsariste, que leurs éléments juifs influents diabolisaient comme âprement antisémite, si bien que la menace russe constituait un facteur important derrière l’unité politique intérieure quasiment totale une fois la guerre éclatée.

En outre, des éléments importants au sein de l’establishment militaire allemand avaient depuis longtemps soutenu l’idée d’une guerre préventive visant à briser la puissance russe avant que celle-ci devînt trop écrasante.

Les grandes victoires allemandes remportées durant les deux premières années de combats avaient amené à l’occupation de territoires russes considérablement étendus, et une armée de 20000 Polonais combattait aux côtés des Allemands.

En conséquence, les Allemands décidèrent de ressusciter une Pologne indépendante comme État-client de l’Allemagne, plus d’un siècle après la disparition de ce pays de la carte, un changement géographique qui devait fortement affaiblir la Russie tout en constituant un tampon face à l’expansion vers l’Ouest de la part de ce pays.

Ainsi, les conséquences de la poursuite de la guerre ont été totalement désastreuses pour toute l’Europe et pour une grande partie du monde.

Des millions de morts supplémentaires furent comptés, et les conditions difficiles contribuèrent sans doute à la diffusion de "l’épidémie" de Grippe Espagnole en 1918, qui s’abattit sur le monde entier, et balaya pas moins de 50 millions de vie.

Les défaites terribles subies par la Russie en 1917 portèrent les Bolcheviques au pouvoir, débouchèrent sur une longue guerre civile qui tua des millions de personnes en plus, suivie par un conflit global qui s’étala sur trois générations contre le communisme soviétique, auquel on peut sans se tromper imputer des dizaines de millions de morts civiles en plus.

Les conditions extrêmement punitives imposées en 1919 par le Traité de Versailles à l’Allemagne impériale amenèrent en fin de compte à l’effondrement de la République de Weimar et à un second tour de guerre mondiale, bien pire encore que la première, impliquant l’Allemagne nazie et la Russie soviétique, une catastrophe qui ravagea une grande partie de l’Europe et multiplia considérablement le nombre de victimes de la seule Grande guerre.

En 14-18, l’Allemagne finit par perdre la guerre, et le récit officiel qui s’ensuivit fit porter la catastrophe pour l’Europe par le militarisme incessant de l’Allemagne, si bien que les propositions de paix allemandes devinrent un élément historique discordant. Par conséquent, on a, durant le siècle qui a suivi, simplement éludé ces faits. Fin de l’aparté.

Passons maintenant au second conflit mondial grandement orchestré par son champion du monde FDR. 1939, c’est loin ! Par pour tout le monde. Nous allons voir avec le second conflit mondial, comment les choses ont une sale tendance à se répéter et oh combien la doxa qu’on nous impose dès le plus jeune âge dans le cadre judéo-maçonnique de l’école ripoublicaine est loin, bien loin de la Vérité.

Ainsi, la concernant, la manière dont le président américain, Franklin Roosevelt, a façonné la guerre en Europe est très pertinente. À moins de vouloir toutes et tous retournés à l’Âge de glace avec ce que nous vivons en Ukraine, les leçons du passé n’ont jamais été aussi importante que dans l’âge nucléaire actuel.

À moins qu’une minorité ne comprennent comment et pourquoi les guerres ont été menées, nous resterons impuissants à contrer les bellicistes de notre propre époque.

Nous allons voir que Roosevelt a eu une responsabilité majeure, aussi bien directe qu’indirecte, pour l’éclatement de la guerre en Europe. Et surtout où il a su et pu se trouver de sombres alliés bellicistes.

Comment il a exercé des pressions sur la France pour qu’elle se lève contre Hitler, dès la réoccupation de la Rhénanie par l’Allemagne, au mois de mars 1936. Comment ces pressions exercées sur la France, mais aussi sur l’Angleterre, se sont poursuivies jusqu’à la guerre au mois de septembre 1939.

Elles ont gagné en volume et en dynamisme après le discours de la quarantaine du mois d’octobre 1937. Alors que la crise s’approchait, entre Munich et l’éclatement de la guerre, Roosevelt fit pression sur les Polonais pour résister fermement à toute demande formulée par l’Allemagne, et exhorta les Anglais et les Français à soutenir indéfectiblement les Polonais.

Il y a grandement matière à douter que l’Angleterre serait entrée en guerre au mois de septembre 1939 sans les encouragements formulés par Roosevelt et ses assurances selon lesquelles, en cas de guerre, les États-Unis allaient entrer en guerre du côté de la Grande-Bretagne aussitôt qu’il serait parvenu à faire basculer l’opinion du public étasunien pour soutenir cette intervention.

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Olivier

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ZION OU L’AVENEMENT DE ZORGLUB (partie 6)

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Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/05/zion-ou-l-avenement-de-zorglub-partie-1.html      

Aujourd’hui, aux États-Unis, le parti républicain représente les Anglos et le parti démocrate les sionistes. Le milliardaire Trump, comme Bush, est un WASP nationaliste anglophone typique : L’Amérique d’abord.

En revanche, Biden est un sioniste typique, tout comme Obama et Clinton avant lui, mais tout à fait différent de Kennedy. Un accident électoral, il devait bien sûr être éliminé. Et il l’a été.

Pendant 250 ans, les Anglos et les sionistes ont travaillé ensemble aux États-Unis, ils avaient les mêmes intérêts personnels : l’argent et le pouvoir. Cependant, il y a maintenant des discussions entre eux concernant l’Ukraine.

Déjà la moitié des républicains anglophones veulent quitter l’Ukraine. C’est trop coûteux et ils veulent sauver les États-Unis (et leur propre fortune) de ses multiples blessures auto-infligées, juste au cas où ils sombreraient. Mais les sionistes pensent de la même manière de leur point de vue. Il n’y a qu’une seule solution.

Les Anglos voulaient l’Ukraine afin de vaincre leur rival traditionnel, la Russie. Cependant, pour les sionistes, l’Ukraine avait un autre objectif, celui de détruire l’Europe blanche, le même objectif qu’ils avaient en fomentant la Première et la Deuxième Guerre mondiale, afin d’assurer la domination sioniste du monde : le « globalisme ».

Tous les néoconservateurs ne sont pas sionistes. Beaucoup sont des Anglos. Aujourd’hui, nous constatons déjà que les Républicains commencent de plus en plus à soutenir Zaluzhny, le commandant militaire de Kiev, tandis que les Démocrates soutiennent toujours le juif Zelenski, mais hésitent maintenant.

À l’origine, les Républicains voulaient affaiblir la Russie. Les Républicains sont nationalistes, les Russes aussi. Ils commencent à comprendre que la Russie ne veut pas recréer l’empire soviétique ou un autre type d’empire, qu’elle veut seulement protéger les Russes, pas envahir d’autres pays.

En tout cas, ils ne vont pas affaiblir davantage la Russie par le biais de l’Ukraine. Tout ce qu’ils ont fait jusqu’à présent, c’est de renforcer la Russie. L’Ukraine n’a pas rempli son rôle. Quant aux sionistes, ils sont heureux de tuer le plus grand nombre possible d’Européens blancs, en particulier les Russes et les Ukrainiens, mais ils veulent avant tout le pouvoir mondial.

Les intérêts des Anglos et des sionistes coïncident. Car si les Russes ne veulent finalement pas de la puissance mondiale, alors le vrai rival est la Chine, qui a une vraie puissance mercantile. Par conséquent, le pivot vers la Chine, où il y a de l’argent réel. Une fois que les États-Unis auront perdu en Ukraine, et Kadyrov prédit avec confiance que ce sera fini d’ici la fin de 2023, les États-Unis tourneront leur attention vers la Chine. Mais c’est déjà le cas.

C’est d’ailleurs le but du "spectacle de ballons". La Chine est une option beaucoup plus intéressante pour les profiteurs, qu’ils soient Anglos ou sionistes. Mais où cela laisse-t-il l’Europe ignorante ?

Depuis longtemps l’Europe oscille entre les unionistes et les nationalistes, les forces centripètes et centrifuges, qui ont tous deux reçu l’ordre strict de ne jamais permettre l’unité dans la diversité. Les unionistes sont toutes les grandes institutions supranationales, qui n’ont aucun compte à rendre et qui sont violentes, corrompues et tyranniques, ce depuis plus de 2000 ans : l’Empire romain païen, le « Saint Empire romain » barbare franc, la papauté centraliste « réformée » avec ses « croisades » et son « unité » médiévale tyrannique, Napoléon, Hitler et l’UE.

Ces tourments sortent tous exactement du même chaudron unioniste, bouillant de haine pour l’État-nation et les petites gens. Les nationalistes sont représentés par les guerres et les massacres entre les différents pays. De Rome contre la Gaule en passant par la guerre de Cent Ans anglo-française, les guerres de « religion » d’Europe centrale, l’UE et le Brexit, etc., et par tous ces autres interminables conflits d’intimidation entre grands voisins et petits voisins, entre capitales et provinces.

Un de ces conflits se déroule en ce moment même en Ukraine, avec déjà des centaines de milliers de morts. Ces tourments aussi sortent tous exactement du même chaudron nationaliste, bouillant de haine de l’Unité.

Le plus dangereux dans l’histoire de l’Europe n’est pas la stupidité suicidaire des Européens, mais lorsque des étrangers aggravent la situation en s’immisçant. Par exemple, dans une certaine mesure, dont l’étendue exacte fait encore l’objet de débats, l’élite britannique dans son île était responsable de l’ingérence en Europe continentale et donc de la création de la Première et de la Deuxième Guerre mondiale.

Cependant, l’Europe moderne est une invention des États-Unis. Cette Union, construite sur le sang de plus de 600 000 de ses citoyens, a voulu créer une Union similaire en Europe. Le résultat est l’UE et son anneau d’étoiles captives. Une espèce d’ouroboros à la Nemrod.

Le dernier conflit en Ukraine est le résultat de l’ingérence du tyran mondial, qui se présente comme le « gendarme du monde », les États-Unis. Comme les États-Unis sont en train de perdre dans ce conflit, que se passera-t-il lorsque le tyran mondial américain aura disparu de la scène, non seulement de l’Ukraine, mais de l’Europe en général ?

Les actuels États-Unis d’Europe conçus par les Unionistes, l’UE, qui est sur le point de s’effondrer, retomberont-ils dans les nationalismes mesquins et les massacres intertribaux comme avant ?

Les Européens ne pourraient-ils pas enfin apprendre à vivre en paix après deux mille ans d’ingérence dans la vie des autres Européens et, pire encore, après mille ans d’ingérence dans la vie des non-Européens ? Qu’est-ce qui pourrait remplacer l’unionisme et le nationalisme ?

Et si c’était De Gaulle qui avait toujours eu raison ? Il ne peut y avoir de paix en Europe, tant que l’Est et l’Ouest de l’Europe ne s’accepteront pas mutuellement sur un pied d’égalité. Et le seul axe qui puisse unir l’Europe est l’axe Moscou-Berlin-Paris, celui qui avait été perturbé avant 1914.

Cet axe est le seul qui puisse aussi faire entrer tous les autres, et même Londres, même si cette dernière doit d’abord renverser son Establishment brutal, même quand les USA l’auront lâchée.

Et nous pouvons même y inclure Vilnius, Riga et Tallinn. Les Baltes n’aiment peut-être pas les Russes à cause de l’occupation soviétique, mais c’était il y a longtemps et les Baltes, contrairement à leurs élites fantoches, n’aiment pas l’occupation américaine qui l’a remplacée et le fait d’être obligés de s’exiler à l’étranger simplement pour vivre.

Et puisque j’en suis à évoquer des « perturbations » avant 1914. Je vais, en aparté, me livrer à quelques confidences que peu connaissent. Fin 1916, le gouvernement allemand avait proposé publiquement des négociations de paix internationales sans prérequis, dans le but de mettre fin à la guerre, ce qui suggérait que le massacre à grande échelle et inutile soit arrêté.

Les Allemands venaient de remporter plusieurs grandes victoires, avaient infligé des pertes colossales aux Alliés dans la Bataille de la Somme et avaient totalement fait sortir la Roumanie de la guerre. Aussi, forts de leurs succès militaires, ils soulignaient qu’ils recherchaient la paix, non pas par faiblesse, mais sur la base de leur force.

Malheureusement, les Alliés la rejetèrent catégoriquement, déclarant que l’offre formulée par l’Allemagne ressemblait à une défaite, et réaffirmant leur détermination à remporter une victoire totale comprenant d’importantes prises territoriales.

Il s’en est suivi que des millions de personnes sont mortes sans raison au cours des deux années qui suivirent, et quelques mois plus tard, début 1917, le gouvernement tsariste de Russie s’effondra, ce qui permit aux Bolcheviques de prendre le pouvoir, un virage qui porta à des conséquences néfastes à long terme.

Tous les gros titres de la fin 1916 décrivaient l’offre de paix, et ensuite, cette affaire disparaitra complétement de nos livres d’histoire. Si une paix négociée avait mis fin aux massacres de la guerre deux années après son ouverture, l’impact sur l’histoire du monde aurait été considérable, et ce pas uniquement du fait que la moitié des morts auraient été évités. Tous les pays européens étaient entrés en guerre début août 1914 avec pour idée bien ancrée et erronée que le conflit serait bref.

Si les combats avaient cessé en 1916 sans qu’aucun des deux camps n’en sortît vainqueur, il est certain que les lourdes pertes induites par un conflit totalement stérile auraient modéré le mode de gouvernement de tous les États européens d’importance, et auraient contribué à éviter sa répétition.

Nombreux sont ceux qui marquent 1914 comme point haut de l’optimisme occidental. Et avec l’impact modérateur de deux années de guerre désastreuse, et de millions de morts qui auraient pu être évités, ce point haut aurait pu se stabiliser en plateau pour une très longue période.

Côté Oncle Sam, quoique des éléments influents, parmi lesquels son conseiller politique le plus proche, voulaient que les États-Unis entrent en guerre aux côtés des Alliés, le président Woodrow Wilson avait longtemps espéré pouvoir assurer une médiation de nature à mettre fin au conflit, à l’image de l’action de son prédécesseur, Theodore Roosevelt, qui avait ainsi mis fin à la guerre russo-japonaise, ce qui lui avait valu pour couronnement de recevoir le Prix Nobel de la Paix en 1906.

Mais, comme je l’explique souvent dans ma littérature, Woodrow Wilson était très mal entouré. Son seul conseiller proche était le colonel Edward House. Il soutenait tellement les Britanniques qu’il apparaissait parfois clairement vouloir saboter à dessein les tentatives de paix.

Quant à Wilson, il ne disposait guère d’expérience en matière politique ou en matière de diplomatie internationale. Fin 1916 et après plusieurs mois de négociations la tentative de paix échoua.

Les objectifs des Allemands étaient relativement modérés, et ne comportaient quasiment aucune demande d’annexion de nouveaux territoires. En contraste, les Français étaient résolument engagés à la destruction totale de l’Allemagne en tant qu’objectif premier.

Ils considéraient l’Allemagne unifiée créée en 1870 comme un rival trop puissant en Europe, qui devait par conséquent être refragmenté en de multiples États faibles. Et la France devait non seulement récupérer les provinces perdues de l’Alsace et de la Lorraine, mais elle devait également annexer une grande partie de la Rhénanie, un territoire qui était allemand depuis mille ans. Les Britanniques ne tenaient pas une position aussi extrême, mais le plus gros de leur classe politique dirigeante était convaincu que l’Allemagne, du fait de son statut de compétiteur économique et militaire, devait être paralysée.

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UNE HISTOIRE TRAFIQUEE

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Entre le fait que des archéologues découvrent un monde perdu de 417 anciennes villes mayas enfouies dans une jungle isolée, reliées par plus de 170 kilomètres d'autoroutes et datant d'environ 3 000 ans, toutes interconnectées ; que l’on découvre des épées géantes et des cercueils qui le sont tout autant, il est grand temps que l’histoire judéo-maçonnique revoit sa copie.

Ce monde perdu remonte à 1 000 avant JC à l'époque préclassique des Mayas, auparavant considérés comme une société nomade de chasseurs-cueilleurs. Cette découverte a été réalisée dans la région de la jungle d'El Mirador, dans le sud du Guatemala, à la frontière entre le Mexique et le Guatemala. Cette jungle tropicale isolée n'est accessible que par hélicoptère.

https://www.washingtonpost.com/science/2023/05/20/mayan-civilization-pyramid-discoveries-guatemala/

En Egypte, à Alexandrie, des archéologues ont mis au jour un sarcophage de 2.65 mètres de long. Il date de 2 000 ans et se trouve à côté d'une tête de pierre massive. C'est un géant pour cette période.

La découverte a été faite lors d'une fouille dans le quartier de Sidi Gaber à Alexandrie. Mesurant 2,65 mètres de long, c’est le plus grand sarcophage en granit jamais trouvé dans la région. Il remonte à la période ptolémaïque (323 av J.C. à 30 avant notre ère).

La tombe a été découverte à une profondeur de 5 mètres. Il mesure également 1,85 mètre de haut et 1,65 mètre de large. Et la couche de mortier entre le couvercle et le corps du sarcophage semble être intacte, indiquant que le contenu du cercueil en pierre n'a pas vu la lumière du jour depuis l'Antiquité.

Nara est une ville du Japon, capitale de la préfecture du même nom située dans la région du Kansai, proche de Kyōto. Elle fut la capitale du pays entre 710 et 784. Des chercheurs y ont découvert un miroir en bronze en forme de bouclier et une épée massive en fer dans un ancien tumulus.

Ce fait est sans précédent au Japon. Le miroir a une forme inhabituelle et l'épée de plus de 2 mètres. Ils ont été découverts au Tomiomaruyama kofun, le plus grand kofun rond du Japon, qui a été créé dans la seconde moitié du 4e siècle.

Un kofun est un tumulus funéraire, une colline artificielle créé par l'homme. Le centre de Nara a commencé à creuser celui de Tomiomaruyama kofun au cours de l'exercice 2018.

Ils y ont trouvé une installation funéraire abritant un cercueil en bois de 5 mètres de long. Les experts y ont également découvert une épée de fer et un miroir de bronze dans l'argile qui recouvrait le cercueil.

Le miroir mesure 64 centimètres de long et 31 cm de large. En règle générale, les miroirs en bronze que l'on trouve sur les sites archéologiques sont arrondis, mais celui-ci est en forme de bouclier.

C'était la première fois qu'un miroir en bronze en forme de bouclier était découvert sur un site archéologique au Japon. Des motifs complexes sont inscrits au dos du miroir et les experts déclarent qu’il constitue un « chef-d'œuvre d'artefact en bronze de la période Kofun », qui a duré du 3e au 7e siècle.

Quant à l’épée, elle mesure exactement 2,37 mètres de long et environ 6 cm de large. Appelée « dakoken », sa lame est légèrement pliée, comme un serpent.

Il s'agit de la plus grande épée découverte intacte sur un site archéologique au Japon. Vue sa taille, les experts y voient un instrument de cérémonie. Mais en réalité, quel genre d’individu aurait pu manier une telle arme, un géant ?

Partons en Chine maintenant où deux gravures rupestres géantes représentant un ancien poète chinois et un héros légendaire chinois ont été dévoilées sur le mont Xianshan à Xiangyang, dans la province chinoise du Hubei.

L'un représente Meng Haoran, poète de la dynastie Tang (618-907), et l'autre Fuxi, héros légendaire de la Chine ancienne, dont le corps aurait été enterré dans la ville.

La statue de Fuxi, la plus grande du genre en Chine, représente son visage, haut de 70,5 mètres et long de 230 mètres.

Située au sud de Fuxi, la statue de Meng mesure 50 mètres de haut et 90 mètres de long, avec son célèbre poème "Spring Dawn" ainsi que des bambous, des livres et des pinceaux à encre.

Entre dextérité extrême et science du sublime, nos anciens n’avaient certainement rien à envier au petit humain atrophié du 21e siècle. Nous cacherait-on la vérité sur nos origines que je n’en serais certainement pas étonné !?

Et pour celles et ceux qui désirent en savoir BEAUCOUP plus, j’ai ça : 

https://www.thebookedition.com/fr/une-autre-histoire-la-vraie--p-392634.html

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ZION OU L’AVENEMENT DE ZORGLUB (partie 5)

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Le Sud voit également l’Organisation de coopération de Shanghai se développer. De plus en plus de pays souhaitent rejoindre les BRICS et certains utilisent désormais des devises qui les éloignent du dollar, de l’euro ou de l’Occident.

Pendant ce temps, certains pays d’Europe et nous les premiers risquent de se désindustrialiser en raison de la hausse des coûts énergétiques. Cela révèle une vulnérabilité économique de l’Occident qui n’était pas aussi évidente avant la guerre.

Les pays en développement ayant l’obligation de faire passer les intérêts de leurs propres citoyens en premier, il n’est pas étonnant qu’ils voient leur avenir de plus en plus lié à des pays extérieurs à l’Occident. Voilà pourquoi le rempart du libéralisme de l’après-guerre, que de nombreux pays du Sud considèrent avoir été conçu par l’Occident et imposé unilatéralement aux autres pays, s’effrite désormais inexorablement.

Peu de pays non occidentaux, voire aucun, n’ont adhéré à cet ordre, tel que conçu par l’Occident.

Mais il faut aussi se demander si l’ordre international fondé sur des règles s’applique même à l’Occident ? Depuis des décennies, de nombreux pays du Sud considèrent que l’Occident mène le monde à sa guise sans se soucier de respecter les règles du jeu.

Plusieurs pays ont été envahis à volonté, le plus souvent sans l’autorisation du Conseil de sécurité des Nations unies. Il s’agit notamment de l’ex-Yougoslavie, de l’Irak, de l’Afghanistan, de la Libye et de la Syrie. Selon quelles « règles » ces pays ont-ils été attaqués ou dévastés, et ces guerres ont-elles été provoquées ou non ?

Aujourd’hui encore, les sanctions économiques imposées à plus de 40 pays par l’Occident imposent des difficultés et des souffrances considérables. En vertu de quel droit international ou « ordre fondé sur des règles » l’Occident a-t-il utilisé sa puissance économique pour imposer ces sanctions ?

Pourquoi les avoirs de l’Afghanistan sont-ils toujours gelés dans les banques occidentales alors que le pays est confronté à la famine et à l’inanition ? Pourquoi l’or vénézuélien est-il toujours retenu en otage au Royaume-Uni alors que le peuple vénézuélien vit au niveau de subsistance ?

Et si l’exposé de Seymour Hersh est vrai (il l’est j’en parle dans Chronique d’un Occident oxydé), en vertu de quel « ordre fondé sur des règles » l’Occident a-t-il détruit les pipelines Nord Stream ?

Un changement de paradigme semble s’opérer. Nous passons d’un monde dominé par l’Occident à un monde plus multipolaire.

Celui où beaucoup diront : « paix et sécurité. » La guerre en Ukraine a rendu plus évidentes les divergences internationales à l’origine de ce changement. En partie à cause de sa propre histoire, et en partie à cause des réalités économiques émergentes, le Sud considère qu’un monde multipolaire est une issue préférable, et dans lequel sa voix a plus de chances d’être entendue.

En 1963, JF Kennedy avait terminé son discours à l’American University par les mots suivants : « Nous devons faire notre part pour construire un monde de paix où les faibles sont en sécurité et les forts sont justes. Nous ne sommes pas impuissants devant cette tâche ni désespérés de la réussir. Confiants et sans crainte, nous devons travailler à l’élaboration d’une stratégie de paix. »

Après sa mort, nous l’avons vu, cette « stratégie de paix » est devenue celle du chaos orchestré. À qui le devons-nous d’après vous ? Depuis des années, dans mes livres et sur ce blog, je dénonce le phagocytage de notre modèle de droit européen, fondé sur un droit civil commun.

J’explique oh combien il est gangréné par des instances et autres organisations, y compris académiques, dévouées à la cause «commercialiste » chère au droit anglo-saxon devenus Anglo-sioniste.

Chaque société, chaque pays, a au moins deux bases fondatrices : une idéologie officielle et un certain nombre de mythes fondateurs.  Dans le cas de l’Occident, l’idéologie officielle est la « démocratie libérale occidentale ». Cependant, si nous regardons de plus près, nous constatons que depuis sa naissance au Moyen-Âge, le mythe fondateur de l’Occident est l’exceptionnalisme et son inévitable sous-produit, l’impérialisme.

Il peut s’agir des prétentions démentes à l’autorité universelle de la papauté, des soi-disant « valeurs universelles » (alias droits de l’homme) de la franc-maçonnerie, de la supériorité raciale des nazis ou de l’agenda mondialiste des financiers internationaux.

Au cours des deux dernières décennies, on a cependant assisté à un phénomène très intéressant : l’abandon total de toute idéologie envers des valeurs autre que le fric, « l’or, rien que l’or, monsignor ». Cela ne signifie pas pour autant qu’aucune idéologie n’existe actuellement.

Elle existe bel et bien, mais, wokisme aidant, elle est uniquement fondée sur la haine de l’autre, afin de diviser pour mieux régner. D’ailleurs, pour une certaine élite, l’autre n’est qu’un animal (un goyim). Et comme toutes les idéologies occidentales, l’idéologie Woke exige non seulement que vous acceptiez un mensonge (de nombreux mensonges, en fait tournant tous autour d’une reproduction devenue caduque), mais aussi que vous le proclamiez haut et fort.

Dans cet Occident oxydé, nous évoluons dans une société postchrétienne. Des faussetés y sont proclamées comme « dogme séculaire » et la notion même de « vérité » y a perdu tout sens.

De temps à autre, un Seymour Hersh tente de dépoussiérer la vérité. Mais la poussière ça retombe très vite. En outre, alors que dans le passé, la violence devait être justifiée, aujourd’hui, elle est acceptée simplement avec le raisonnement. Les guerres génocidaires en Irak ou l’attaque terroriste du North Stream 2 sont de bons exemples de l’idéologie du « parce qu’on le peut ».

En d’autres termes, nous vivons aujourd’hui dans une société ouvertement fondée sur la répudiation du concept de « vérité » et la violence et le terrorisme. Les faits n’y ont tout simplement plus d’importance. L’analyse logique non plus.

Deuxièmement, l’idéologie actuelle est profondément narcissique. Elle est faite de l’idée que la brute épaisse de la cour de récréation a des « droits » que les autres malingres n’ont pas.

Elle mesure la loyauté en fonction de l’ampleur du mensonge qu’une personne est prête à proclamer et à affirmer haut et fort, moyennant fric et légion d’horreur. Mais que la brute, ou la Bête, fassent attention. En vieillissant, la brute se sclérose au même titre que ses armes rouillent et se trouvent ainsi dépassées par un « méchant russe » violeur et dévoreur de bébés.

À l’inverse, si vous rejetez un mensonge parce qu’il est manifestement contrefactuel, vous n’avez pas « simplement » tort, vous êtes l’ennemi.

Cet engouement de l’Occident pour le mensonge, l’idéologie et la violence trouve ses racines dans les hérésies d’une papauté babylonienne, mais il s’est depuis longtemps métastasé dans toutes les facettes de notre société post Vatican II, et est devenu ouvertement le principal pilier idéologique sur lequel tout le reste est construit.

Albion, bien sûr, est seul et au-dessus de tous les autres en termes de haine raciste de « l'autre » ; quant au reste de l’anglosphère, il est dirigé par des néocons et des mondialistes dont la haine de l’autre est fondée sur des siècles de mythologisation du racisme, c’est même devenu un pilier central de leur vision du monde, même si la plupart des sujets ayant subi un lavage de cerveau n’en sont absolument pas conscients.

C’est l’Anglo-sionisme qui nous empoisonne depuis des siècles.

Les banquiers qui ont quitté Venise pour Amsterdam, puis se sont installés à Londres, après avoir financé leur agent, Cromwell, et ont ainsi placé la monarchie anglaise sous le contrôle des banquiers-commerçants (« parlementaires »), en fondant la Banque d’Angleterre en 1694 et en soudoyant les Écossais pour qu’ils s’unissent en 1707, étaient "sionistes".

C’est ainsi qu’est né l’Anglo-sionisme. Les Anglos étaient les commerçants de l’impérialisme britannique et les sionistes étaient les banquiers de l’impérialisme britannique, quelle que soit leur nationalité.

Bien sûr, il y a eu des mélanges, certains Anglos devenant banquiers et certains Sionistes devenant commerçants, allant par exemple jusqu’à se rendre aux Caraïbes pour le commerce des esclaves, dont la famille de l’ancien Premier ministre britannique Cameron a tiré des millions.

Et l’arrière-arrière-grand-père de M. Cameron était un banquier juif allemand qui est devenu citoyen britannique en 1871. Le monde est petit.

De tout cela est né le système politique Anglo-sioniste. En général, le parti de droite (les Tories) était composé d’Anglos, le parti de gauche (aujourd’hui appelé Labour) était composé de Sionistes, bien qu’il y ait eu des exceptions ; par exemple, le Premier ministre juif Disraeli, était dans le parti de droite.

Ce système a perduré au Royaume-Uni jusqu’à aujourd’hui, où, sans surprise, on parle de la civilisation « judéo-chrétienne ». Ainsi, les ministres du régime Blair, prétendument travaillistes, étaient presque tous écossais, homosexuels et juifs.

Lorsque l’ultra-tory Blair, « fils de Thatcher », a été renvoyé après avoir fait son devoir, un homme appelé Jeremy Corbyn a fini par devenir le chef du parti travailliste.

Contrairement à Blair, il était en fait de gauche, un socialiste convaincu. Par conséquent, il était naturellement propalestinien et a été immédiatement qualifié d’« antisémite » par la presse britannique Anglo-sioniste.

Ils se sont débarrassés de lui par le biais d’intrigues, notamment en l’incitant à être anti-Brexit (deux tiers de ses partisans, sa colonne vertébrale de la classe ouvrière, étaient pro-Brexit et ont donc, contre toute attente, mais sans autre choix, voté Tory pro-Brexit).

Corbyn a été remplacé par un millionnaire de l’establishment appelé Starmer, qui ressemble à une découpe en carton d’un Tory. Comment a-t-il obtenu ce poste ? Tout simplement parce qu’il est marié à une juive et que ses enfants sont donc juifs.

Cependant, le même système a été exporté dans toute l’Europe. En Union soviétique, l’idéologue de la Troisième Internationale était Bronstein (Trotsky) qui voulait une révolution mondiale.

En Roumanie, l’homme qui a remplacé Ceausescu en 1989 était un Juif. L’actuel dirigeant roumain est un Allemand. La situation en Ukraine est bien connue, du milliardaire marchand d’armes Porochenko (de son vrai nom Walzman) à l’acteur millionnaire Zelenski.

En France, le lobby sioniste est fort depuis le 19ème siècle. Bien que l’actuel président français Macron soit français, il est un banquier de Rothschild. Le franco-sionisme. Il existe des dizaines d’autres exemples à travers l’Europe au cours des 300 dernières années, en particulier depuis Napoléon.

Cependant, le principal bastion de l’Anglo-sionisme est sans aucun doute les États-Unis, que les banquiers de Londres ont sérieusement colonisés pendant la Première Guerre mondiale, notamment lors du tournant de 1916, lorsqu’il est devenu évident pour l’organisation de la Table ronde qu’il n’y aurait qu’un seul vainqueur, ni l’Allemagne, ni la Grande-Bretagne, mais les États-Unis.

Dès que la Russie a été retirée de l’équation par les banquiers américains via leurs agents britanniques et les traîtres russes à Petrograd au début de 1917, les premières troupes américaines sont apparues en France moins d’un mois plus tard. Tout avait été planifié à l’avance.

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