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histoire

SION : LA VERITE (Partie 12)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/01/sion-la-verite-partie-1.html

Ce qui a émergé au lieu d’un contrôle colonial pur et simple est un système hypocrite de contrôle politique, financier, militaire et logistique, le tout sous couvert de libre entreprise et de démocratie. Dernier exemple en date : l'Argentine.

Lorsqu’il s’est avéré qu’elle n'était plus solvable, un certain Xavier Milei est apparu comme par magie dans le but exprès de fermer les services sociaux argentins et de démanteler et d'exproprier ses richesses publiques. Cette ingénierie sociale dont je parle souvent, est ici si efficace que les Argentins ont élu Milei, comme autant de moutons volontaires destinés à l’abattoir !

Au lieu d’envoyer un gouverneur pour diriger une colonie européenne ou une province France, on envoie un Mc Kinsey, pur doublon de nos énarques « talents locaux » déjà grassement rémunérés.

Ce talent local est choisi pour son haut niveau de sociopathie, son manque d'empathie et sa facilité de manipulation. On les tient par les couilles en leur imposant d’envoyer leurs richesses au centre impérial de l’étoile noire, afin d’être mieux gérées. Mieux encore ! On les oblige à envoyer leurs enfants dans les écoles impériales afin d’y subir le Mind control impérial et d’en faire ainsi la future génération de dirigeants sociopathes à la Young Global Leaders.

À titre d’exemple, les parents de Zelenski, sont en Israël (une possession impériale) et sa femme et ses enfants passent du temps à Londres (un centre impérial). Cela rend Zelenski docile, docile et disposé à envoyer des Ukrainiens se faire massacrer jusqu’au dernier invalide âgé.

Ex gymnaste ou auteur de livres pour enfants, nos dirigeants sont recrutés parmi les cancres. Pourquoi ? Toujours dans l’option Ordo Ab Chaos. Ainsi, un Gabriel Attal véritable éléphant sans expérience dans un vieux magasin de porcelaine nommé France, ayant déjà délocalisé l’essentielle de sa production, ou bradé ses savoir-faire à des intérêts étrangers, finira de casser ce qui reste du magasin.

Une telle ingénierie sociale peut encore fonctionner, mais il existe un problème : la lutte contre la dictature et le despotisme, toute cette marque politique occidentale, est en train de se ternir gravement et n’est plus en mesure de projeter une image positive de soi.

Tout le monde voit désormais l’Occident pour ce qu’il est : une bande de corrompus, une oligarchie de chefs d’État très impopulaires biberonnée au "lait davosien", souvent non élus, redevables à des intérêts étrangers et transnationaux, qui n’ont aucune capacité à définir, et encore moins à faire respecter, les intérêts nationaux des nations dans leur pays.

Et puis il y a les éléments carrément toxiques de la culture politique occidentale contemporaine : le marxisme culturel et la folie LGBT « Q ». Le marxisme culturel tente de diviser la société entre les oppresseurs (essentiellement les hommes blancs) et les opprimés (presque tout le monde).

Or, la majeure partie de la planète est socialement conservatrice et rejette catégoriquement la notion de genre, préférant s'en tenir au sexe à l'ancienne.

À la suite de ces échecs politiques, l’Occident a perdu sa position de phare civilisationnel pour la Russie et la Chine, l’Inde, le monde musulman, l’Afrique et la majeure partie de l’Amérique latine. À ce stade, le terme « civilisation judéo-chrétienne » semble être une plaisanterie vicieuse pour la plupart et devrait être complètement évité. Alors que tous ses aspects attrayants disparaissent, ce qui transparaît, c’est sa décadence et son parasitisme et, avec l’aide récente d’Israël, ses tendances génocidaires.

Le contrôle financier s'exerçait via le contrôle des monnaies de réserve : la livre sterling, puis le dollar. Puisque tout commerce extérieur pouvait être bloqué au centre impérial, les hommes d’affaires des anciennes colonies savaient exactement comment se comporter pour éviter d’être sanctionnés. Lorsque le centre impérial en ressentait soudainement le besoin, il pouvait faire basculer les règles du jeu en restreignant l’accès au crédit, en gelant les réserves de dollars et d’euros et d’autres mesures similaires.

Les économies coloniales seraient perturbées et un flot de richesses s’écoulerait des colonies vers les coffres impériaux, présentés comme un refuge. Une autre sorte de fuite de richesse coloniale, encore plus insipide, a été organisée en créant des déficits commerciaux structurels (c’est-à-dire permanents) et en ne fournissant qu’un seul moyen d’accumuler l’excédent : par l’achat de la dette du gouvernement impérial qui est ensuite progressivement gonflée.

Cette méthode de contrôle est désormais en échec.

La Russie et la Chine ont réussi à dédollariser la quasi-totalité de leurs échanges commerciaux, ouvrant la voie à d’autres pays, dont beaucoup sont désormais impatients de rejoindre les BRICS, qui constituent le centre du savoir-faire en matière de dédollarisation.

En tentant de contraindre leurs adversaires par le recours à des sanctions économiques, les États-Unis et l’UE se sont essentiellement mis hors-jeu. Ils peuvent désormais faire ce qu'ils veulent avec leur argent : s'en servir comme papier toilette. Mais ce qu'ils ne pourront plus faire longtemps encore, c'est le prêter à existence et l'utiliser ensuite pour importer ce qu'ils veulent.

Ce sont désormais la Chine, la Russie, l’Arabie Saoudite et, dans une certaine mesure, même l’Iran qui mènent la danse. Les Argentins élisent un président qui entend mettre un terme au processus d'adhésion de l'Argentine aux BRICS ; en réponse, la Chine annule rapidement son échange de devises avec l’Argentine, freinant ainsi ses échanges commerciaux avec l’Argentine.

Des membres du Congrès américain désemparés abordent la question de mettre un terme aux importations d’uranium enrichi en provenance de Russie, qui sont essentielles pour maintenir l’éclairage aux États-Unis. En réponse, les parlementaires russes posent la question : « Pourquoi la Russie fournit-elle de tels matériels stratégiques à l'ennemi ? »

Derrière l'expression « monnaie de réserve » se cachent bien des choses qui ne sont pas directement liées aux réserves : il y a bien sûr les banques centrales, les banques commerciales et les sociétés d'investissement ; mais il existe aussi des agences de notation, des maisons de courtage, des bourses, des agences de conseil, des agences d'assurance, des sociétés de cartes de crédit et bien d'autres choses qui ont permis à Londres et à New York de ne rien produire mais de flotter d'une manière ou d'une autre sur le nuage de « l'économie de services ».

Ce nuage tout entier est maintenant sur le point de se dissoudre et ce qui devient visible bien en dessous, ce sont les rochers acérés de l’économie physique, exploitation minière, raffinage et fabrication, dont la Russie, la Chine et les autres BRICS, présents et futurs, ont tous une très grande maîtrise. Ils ont beaucoup de choses en main alors que l’Occident ne les a pas.

Le contrôle militaire était exercé en maintenant des bases militaires partout dans les territoires tombés sous contrôle impérial. Les moyens militaires pouvaient être utilisés chaque fois que les contrôles politiques et financiers s’avéraient inefficaces, mais la plupart du temps ils ne l’étaient pas, gardés en réserve comme une menace implicite qui rendait les contrôles politiques et financiers plus efficaces.

Périodiquement, un petit pays relativement sans défense était détruit pour des raisons artificielles et sa population massacrée juste pour maintenir tout le monde sous contrôle.

Cela a fonctionné la plupart du temps, mais de moins en moins souvent : cela a fonctionné en Yougoslavie et en Libye mais n'a pas fonctionné en Syrie, en Afghanistan ou au Yémen. Le problème est qu’une armée du premier monde ne peut pas maintenir sa suprématie sur ses adversaires pairs, tels que la Russie et la Chine, en combattant sans succès des armées médiocres, peu équipées et mal entraînées dans des pays lointains.

Le plan est excellent pour remplir les poches des actionnaires du complexe militaro-industriel et pour financer les campagnes électorales des politiciens associés, mais ce ne sont pas des objectifs militaires. Pour trouver une issue à cette impasse conceptuelle, l’establishment américain de la défense a élaboré une position doctrinale qui stipulait sa propre suprématie incontestée et tous les faits qui la contredisaient (comme l’action réussie, bien que très limitée, de la Russie contre l’EI en Syrie ou la défaite d’Israël dans le sud du Liban) pourrait être considérée comme impossible.

En termes simples, les États-Unis, et avec eux l’OTAN, manquaient des apports nécessaires pour s’améliorer. La science et la pratique militaires progressent à travers une série de défaites tactiques et de victoires stratégiques, en commettant des erreurs mineures et en apprenant de celles-ci au cours du processus d’obtention de succès majeurs.

Pourtant, ce que les États-Unis ont réussi à réaliser, conflit après conflit, c’est une série de victoires tactiques suivies de défaites stratégiques.

Condamnés à répéter l’histoire, les États-Unis ont organisé une reprise de la guerre éclair dans ce qui était autrefois l’est de l’Ukraine, transformant une tragédie en farce. Là, le schéma a finalement été brisé : une série de défaites tactiques mène à une défaite stratégique véritablement massive. Mais cela peut attendre, car la Russie ne semble pas pressée d’achever le travail et se contente parfaitement de continuer à accumuler ses victoires tactiques, car cela rendra sa victoire stratégique massive, le moment venu, encore plus massive.

Olivier

Suite ici :https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/01/sion-la-verite-partie-13.html

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SION : LA VERITE (Partie 11)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/01/sion-la-verite-partie-1.html

La résolution 45-130 de 1990 de l’Assemblée générale des Nations unies a accordé aux Palestiniens le droit de résister à l’occupation israélienne « y compris par la force armée ».   Ceci n’autorise pas tout, mais autorise les Palestiniens à se battre. Le problème vient du fait que les Israéliens ne considèrent pas leurs frappes pour éliminer un cadre du Hamas, par exemple, comme acte de guerre, même s’ils utilisent une bombe monstrueuse pour le faire et qu’ils détruisent des familles entières.

C’est tout simplement du deux poids deux mesures. De plus en plus de commentateurs parlent explicitement de vengeance de l’État israélien … sans proportionnalité dans la réponse, sans distinction entre civils et combattants et sans les précautions qui s’imposent face à des innocents.

C’est ce sentiment d’injustice qui alimente la radicalisation islamiste et antisémite. Le recours au droit international est devenu une illusion, car l’Occident n’a aucun intérêt à le faire respecter. Je rappelle, que depuis 1948, l’ONU a émis quelque 400 résolutions concernant ce conflit et qu’Israël ne respecte pas celles qui lui enjoignent de respecter le droit.

Si l’on se met dans leur situation, on constatera qu’il ne reste que la force brutale pour arriver à quelque chose. L’un des principaux facteurs de radicalisation est le sentiment d’injustice. C’est ce que les Occidentaux et les Israéliens n’ont jamais réussi à comprendre et à intégrer dans leurs stratégies de contre-terrorisme.

Ce ne sont pas des valeurs que nous défendons, mais des politiques. En 2014, le gouvernement de François Hollande a encouragé le gouvernement israélien à « prendre toutes les mesures pour protéger sa population ». On peut concevoir de soutenir le gouvernement israélien à protéger sa population, mais de là à soutenir les mesures qu’il prend, c’est la preuve d’une sottise et d’un cynisme rare !

Cela a conduit aux tristes crimes de Mohammed Merah et explique pourquoi, comme vu plus haut, la France a été plus visée par le terrorisme que d’autres pays européens. Tout cela était évitable, si François Hollande et Manuel Valls avaient soutenu Israël avec un peu plus de sensibilité, de compassion et d’intelligence. Trois ingrédients qui semblent manquer à l’ensemble de nos politiciens véreux.

Les Palestiniens sont dans la même situation que les Irakiens après l’invasion occidentale ou les Français en 1940 : ils résistent à une occupation. Mais assez curieusement, alors que nous savons que nos interventions sont illégitimes et illégales, nous nous étonnons que les populations visées résistent ?

Dans les pays francophones, on tend à réagir comme en France : de manière passionnelle. Qu’on le veuille ou non, que l’on accepte ou non nos politiques d’immigrations irresponsables, le fait est qu’une partie de nos populations est de sensibilité musulmane et a de la compassion pour les Palestiniens.

On avait déjà vu le même phénomène à l’égard des Russes, mais le gouvernement Macron n’a à aucun moment dénoncé la violence contre leurs propres citoyens d’origine russe, dans le Donbass. La guerre est déjà une chose terrible. Mais la détermination de nos politiques à nous y entrainer génère des violences secondaires qui sont totalement inutiles et qui seraient parfaitement évitables.

Multiplier les polémiques ne fait pas beaucoup avancer vers un processus de paix ! La violence sur notre sol découle directement de ce manque de volonté d’agir avec intelligence et sensibilité. La bande de Gaza est un territoire tout petit (36x17 km). Lorsque les Israéliens l’on rendue aux Palestiniens (comme le droit international les y obligeait), ils ont systématiquement détruit toutes les infrastructures qui auraient permis une activité économique normale. Aujourd’hui, un rapport d’Amnesty International indique que 95% de l’eau à Gaza est insalubre.

En plus de l’eau non potable, rarement un massacre de civils et d’enfants n’a été aussi intense et massif qu’à Gaza, l’un des endroits les plus densément peuplés au monde. Selon l'Organisation mondiale de la santé, un enfant y est tué toutes les dix minutes. Plus de la moitié de la ville de Gaza a été détruite, y compris les écoles et les mosquées.

Les hôpitaux ne peuvent plus fonctionner. Les boulangeries sont fermées. C’est de la destruction et UN massacre à l'échelle industrielle.

Les gens ne savent plus où aller. Ils ont d'abord été chassés du nord. Mais maintenant c’est le sud qui est attaqué par de lourds bombardements et une offensive terrestre. Selon un haut responsable de l'agence d'aide humanitaire des Nations Unies, les conditions y sont désormais apocalyptiques.

Soins, nourriture, eau, tout manque. Comme les égouts ne fonctionnent plus, des épidémies massives vont se produire. Et pendant ce temps-là, nous tous avons fêté Noel !

En Cisjordanie, en 1976, il y avait environ 3 200 Israéliens. Ils sont aujourd’hui près de 600 000. Aucun pays occidental n’a réagi. Si les Palestiniens pouvaient mener une vie normale, ils ne chercheraient sans doute pas à se battre.  C’est l’approche occidentale du problème qui est pourrie.

Depuis le 7 octobre, en deux semaines seulement, les Israéliens ont tué près de 5 fois plus d’enfants que l’armée russe en 20 mois de guerre Ukraine !  Alors ! quant aux crimes dont on accuse les combattants du Hamas, il y en a certainement. Mais au lieu de se lancer dans des accusations sans fondements et qui justifient le refus de négocier avec les Palestiniens, il faut déterminer avec précision et justice les responsabilités.

Car les témoignages des otages libérés et des rescapés des combats, notamment du kibboutz Be’eri, tendent à montrer que les combattants du Hamas se sont bien comportés avec leurs prisonniers et qu’une grande partie des Israéliens tués l’ont été lors de tirs croisés et souvent par l’armée israélienne elle-même !

Une des valeurs que l’Occident se vante de défendre est le respect du droit. Or, le droit implique que nos médias ne s’arrogent pas celui de déterminer les culpabilités. Celles-ci doivent être déterminées par des enquêtes internationales, impartiales et neutres.

Nous avons déjà vu, dans le cas de l’Ukraine, que nos médias n’ont contribué qu’à aggraver la situation de l’Ukraine et des Ukrainiens, devenus chair à canon pour les intérêts du Deep State américain, à toujours vouloir détruire la Russie. Ils ne cherchent pas à informer, mais à influencer.

Les services israéliens ont souvent été surpris par leur adversaire. Ils n’ont pas su apprécier la situation en 1973, en 1982, et en 2006 ; ils ont ainsi chaque fois été surpris par leur adversaire. Mais cela n’explique pas tout, l’année 2023 a été une année de tensions. Le Qatar a réduit ses contributions aux Palestiniens de la bande de Gaza (y compris le Hamas) conduisant à des troubles sociaux.

En Cisjordanie, les évictions de Palestiniens par les colons se sont multipliées avec la bénédiction du gouvernement Netanyahou et celle de nos gouvernements occidentaux oxydés. Les conditions de détention des prisonniers palestiniens ont été durcies. Et surtout, les violents affrontements sur l’Esplanade des Mosquées avaient déjà déclenché des signaux d’alarme en Israël.

Il est donc difficilement concevable que l’on ait pu ignorer le scénario d’un événement grave. Les Israéliens style BIBI n’ont donc probablement pas été surpris que « cela explose ». Pourquoi ? Tout simplement parce qu’ils le voulaient. C’est l’Ordo Ab chaos à tout prix qui motive le staff Bibi. Et nous, les « Gaulois », si nous ne voulons pas faire le jeu de Sion en étendant le conflit israélien dans notre hexagone, il convient de ne pas sombrer dans leur piège immonde de la confrontation à l’Islam.

Quant à l’aspect communautariste longuement évoqué plus haut, ce ne sont pas les musulmans qui tiennent le pouvoir médiatique en France, ceux qui nous imposent cette immigration forcenée sont facilement identifiables.

Les causes du cosmopolitisme, ceux qui tiennent les banques et qui ouvrent les bras aux migrants ne sont pas les musulmans.

Dans le monde juif actuel se côtoient deux groupes : ceux qui, comme le rabbin Touitou, ne souhaitent qu’une chose, c’est que la France chrétienne soit envahie ; le second groupe, style Éric Zemmour, est plus subtil, il comprend que cet envahissement instigué par leur communauté est en train de leur retomber dessus.

Ceux-là voudraient associer les catholiques, ou ce qu'il en reste, à la lutte contre l’islam qu’ils ont fait venir. Ils désirent désormais s’en protéger, eux.

Du fait du comportement d’Israël envers la Palestine, beaucoup d’entre eux sont devenus non pas des antisémites, mais des anti-juifs qui menacent désormais leur intégrité.

L’intellectuel juif de gauche, mode Attali, monte le musulman contre le catholique blanc, là où l’intellectuel juif de droite, dont l’archétype le plus puissant se retrouve chez Éric Zemmour, monte le blanc contre le musulman.

Zemmour est en quête de conquête, et le fruit de sa requête, ce sont les restants du catholicisme gaulois à opposer aux « vilains » arabes.

Ce que nos dirigeants refusent de comprendre ou font semblant de faire, à contrario des nombreux Français, c’est qu’il existe chez nous des gens qu’on a fait venir pour des motifs économiques, il y a une ou deux générations, et qui ont eu des enfants. N’en déplaise au CRIF, il convient donc d’apprendre à bien vivre avec eux ; en inventant une manière de le faire qui ne soit pas ce multiculturalisme sioniste vecteur de trop nombreux mots sociétaux : ce fameux « vivre ensemble » voulu par une élite judaïque, au même titre que le mouvement woke ou l’exacerbation de toutes les minorités LGBT dont ils n’ont strictement rien à faire, mais qui intensifient bien le clivage.

Ce mal être partout relevé et entretenu par qui vous savez dans leur option Ordo Ab Chaos, ne démontre qu’une seule chose : La démission de l’Etat, de l’Education nationale. Il convient donc de redécouvrir l’assimilation, mais sur une base d’égalité et de respect mutuel entre les individus.

Or, pour les motifs déjà évoqués ici, personne dans la classe politique n’est prêt à entamer ce débat puisque, derrière, le sionisme ordonne de jeter des braises sur des sujets déjà brulants. Tous restent sur le discours de Le Pen des années 80. Et là, quarante plus tard, nos dirigeants se chamaillent pour une énième loi Darmanin, concernant l’immigration. Ce qui ne changera strictement rien sur le fond.

Il faut changer les lois internationales : l’accès Schengen, le contrôle aux frontières, et surtout nos conditions internes ; à commencer par notre système éducatif qui donne tout sauf l’envie d’aimer la France, à une certaine frange de nôtre population et qui rend une autre frange de notre population allergique à souhait, faisant le jeu du sionisme dont le rêve est d’opposer musulmans contre chrétiens.

Mais ça à qui la faute !?

Ce colonialisme anglo-saxon a connu plusieurs itérations, chacune impliquant un type différent de piraterie. Dans sa forme initiale, il s'agissait de rapines pures et simples et de pillage de navires en mer (les galions espagnols en particulier) et de pillage de communautés côtières, souvent par le biais de corsaires : un euphémisme pour désigner des pirates officiellement sanctionnés.

Dans sa forme intermédiaire, cela impliquait l'occupation, principalement des communautés côtières, la nomination d'un gouverneur et le stationnement de troupes, le but pirate global de l'entreprise restant intact : l'extraction de richesses, mais avec l'avantage supplémentaire de maintenir des monopoles de marché pour les industries nationales au niveau impérial.

Divers mouvements de libération nationale au cours du 20e siècle ont mis fin à ce type de piraterie et les industries nationales, pour rester rentables, ont été contraintes de délocaliser leur production, renonçant à la plupart des types d'exportations physiques (sauf armes, matières premières, produits chimiques et déchets) en faveur de services, principalement financiers ; c’est -à-dire l’usure et l’extorsion mode Babylone.

Olivier

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Anne, ma sœur Anne ne vois-tu rien venir ? (Partie 2)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/01/anne-ma-soeur-anne-ne-vois-tu-rien-venir-partie-1.html

En France, l’Etat actionnaire s’est comporté en prédateur avant de multiplier les injonctions contradictoires. Le résultat : EDF est une entreprise en faillite, avec 60Md€ de dettes et des déficits alors qu’elle devrait réaliser des superprofits. L’Europe a indexé le prix de l’électricité sur le prix du gaz russe un comble de bêtise. L’ARENH (Accès Réglementé à l’Electricité Nucléaire Historique) oblige EDF à vendre 25% de sa production (100 TWh) au prix de 42€/MWh.

La centaine de « fournisseurs alternatifs » qui se sont installés dans ce fromage ne sont en fait que des traders qui ne produisent que des factures. Il faut avoir une électricité dont le prix est aligné sur son coût de production. L’ARENH est une véritable pilule empoisonnée. Son mécanisme d’accès à la rente nucléaire de la France à prix cassé bénéficie aux concurrents de l’électricien public.

Quant à l’éolien, comme vous le constaterez plus loin, c’est une fausse énergie propre et une fausse énergie renouvelable. Une éolienne ne fonctionne en moyenne, dans notre pays, qu’à 25 % de sa puissance. Bétonner notre littoral maritime est l’idée technocratique la plus antiécologique qui soit. Pourtant la France a été mise à l’amende pour son retard dans les éoliennes. La « montée en puissance » de l’éolien terrestre supposée écologiquement correcte, s’accompagne de nuisances graves et de scandales multiples : défiguration des paysages, dégâts sanitaires, dépréciation immobilière.

Derrière l’éolien on trouve : pollution, émissions de CO2 atteintes à la santé et à la biodiversité détournements de fonds publics, conflits d’intérêts, mafia…. Au-delà de ce constat consternant, sur le plan industriel c’est la Chine qui possède 45% du marché de l’éolien dans le monde !

Concernant le Photovoltaïque, il est aussi contrôlé par la Chine. Le solaire est le grand gagnant de cette fausse transition énergétique partout sauf en France … La Chine possède 72% de part de marché des modules solaires. Grâce à des coûts de production inférieurs de 35% à ceux de l’Europe et de 20% à ceux des Etats Unis la Chine héberge sept des dix premiers fabricants au monde de panneaux solaires dont les trois plus gros.

Toutes ces technologies qui étaient censées créer les emplois de l’économie décarbonée montre la déconfiture de l’éolien et du solaire et les problèmes financiers d’Alstom et de Siemens Ainsi, croyez-moi, les énergies fossiles ont toujours de l’avenir… Mais, à cause d’une bande de crétins, la France doit absolument diminuer ses importations d’énergies fossiles pour rééquilibrer sa balance commerciale.

Le Charbon alimente toujours de nombreuses centrales surtout allemandes. La baisse des émissions de CO2 en Europe est pourtant plus que compensée par les ouvertures en cascade de centrales à charbon. On assiste à une remontée des émissions de CO2 liée au recours accru au charbon pour répondre à l’arrêt de livraison de gaz russe.

Selon la banque JP Morgan, on peut leur faire confiance ! le raccordement de 100MW d’éolien ou de solaire ne permet de débrancher que 10 à 30MW de thermique… Ainsi, sans les énergies fossiles, nous reviendrons très vite aux temps anciens ; ceux du déclin de Rome. Je m’explique !

Voici un extrait du tome 1 du Centième Gueux, pages 307 à 314.

« RETOUR À L’ESCLAVAGE.

Fin 2017, la police espagnole a blessé des centaines de personnes, y compris des femmes et des personnes âgées, lors du référendum pour l’indépendance de la Catalogne. Chez nous, deux ans au préalable, on avait gazé des femmes et des enfants lors des manifestations contre le « mariage pour tous ». C’est une indication que la violence de l’État est en hausse. En parallèle, les Romains étaient extrêmement cruels, peut-être un effet de leur dépendance aux esclaves ? Dans notre cas, nous avons remplacé les esclaves humains par des esclaves fossiles (combustibles fossiles) mais, comme ils nous abandonnent, nous risquons de revenir à la violence des temps anciens.

L’Europe telle que la conçoivent nos oligarques, et surtout l’Allemagne, n’est qu’une tentative de retour au « Saint Empire Romain » depuis longtemps déjà infesté par le culte babélien ayant transité par l’Egypte, puis la Grèce. Comme l’indique l’Ecclésiaste, l’histoire est un éternel recommencement aggravé par notre aveuglement qui doit beaucoup à l’endoctrinement et notre incapacité notoire à en corriger le cours. Ainsi, lorsqu’on s’intéresse au délabrement de l’ancien Empire romain, on s’y croirait tant la ressemblance avec notre époque est flagrante !

À son apogée, il avait sous sa coupe près de 130 millions de sujets sur un territoire de 2,4 millions de km2. Rome avait alors conquis une grande partie du monde connu en y construisant plus de 80 000 km de routes, de nombreux aqueducs, des amphithéâtres et tant d’autres édifices encore en usage aujourd’hui. Nous leur devons beaucoup quant à notre alphabet, notre calendrier, nos langues et l’architecture. Même leurs concepts de justice imprègnent encore nos esprits : « tout être est présumé innocent jusqu’à la preuve du contraire. »

On se demande alors comment un empire aussi puissant a pu s’effondrer ? Le commerce était vital pour eux. C’était lui qui permettait d’importer dans l’empire une grande variété de produits : céréales, huile d’olive, parfums, verrerie, fer, plomb, cuir, marbre, colorants pourpres, soie, argent, épices, bois, étain, vin, etc. C’est ce commerce qui fit la fortune des citoyens de Rome qui ne comptait qu’un million d’habitants.

Les coûts administratifs, logistiques et militaires grimpèrent ainsi à mesure que l’empire s’étendait. Il fallut trouver de nouvelles sources de financement conduisant l’Empire à l’hyperinflation, à une économie fracturée, à la localisation du commerce, à de lourdes taxes et à une crise financière qui paralysa Rome. Durant les premières décennies de l’empire le denier fut la pièce d’argent de base utilisée. D’une grande pureté, elle contenait environ 4,5 grammes d’argent. Cette pièce équivalait à une journée de salaire pour un ouvrier ou un artisan qualifié.

Cependant, avec une réserve limitée d’argent et d’or entrant dans l’empire, les dépenses romaines furent vite limitées par le nombre de deniers qui pouvaient être frappés freinant le financement des projets. Les fonctionnaires romains trouvèrent alors le moyen de contourner le problème.

En diminuant la pureté de leur monnaie, ils furent en mesure de fabriquer plus de pièces avec la même valeur nominale et la proportion d’argent pur dans les pièces chuta vite. À l’époque de Marc Aurèle (121-180), le denier ne comportait plus qu’environ 75% d’argent. Au moment de l’Empereur Gallien (218-268), les pièces contenaient à peine 5% d’argent, un noyau de bronze avec une fine couche d’argent.

Les effets réels de cette dégradation prirent du temps à se matérialiser. La mise en circulation de plus de pièces de mauvaise qualité ne permit pas d’accroître la prospérité, cela appauvrit juste les populations, car il fallait plus de pièces pour se procurer la même quantité de biens et de services.

Ainsi à un moment les prix montèrent en flèche dans l’Empire. Seuls les mercenaires barbares étaient payés en or. Avec la flambée des coûts, et plus aucun métal précieux à piller aux ennemis, les Romains durent prélever de plus en plus d’impôts aux peuples pour soutenir l’Empire.

L’hyperinflation, la montée vertigineuse des taxes et une monnaie sans valeur créa une triple infection qui lamina une grande partie du commerce de Rome. L’économie était paralysée. À la fin du 3e siècle, le seul commerce qui restait opérant était un commerce principalement local, reposant sur un système de troc stérile, plutôt que sur un système de change digne de ce nom.

Pendant le 3e siècle (235-284 après JC), plus de 50 empereurs se succédèrent. L’Empire était livré à l’anarchie et divisé en trois États séparés. Des guerres civiles constantes fragilisaient ses frontières. Les réseaux commerciaux se désintégrèrent et les activités commerciales devinrent dangereuses. Les invasions barbares déferlaient de partout, et la peste sévissait. C’est ainsi qu’en 476 après J.-C., l’Empire romain cessa d’exister.

Les Romains nous ressemblaient énormément. L’économie, l’argent, le commerce, les voyages, la bureaucratie, les lois, etc., trouvent un parallèle dans le monde antique romain, bien que souvent sous une forme beaucoup moins sophistiquée. Donc, la Rome ancienne vous surprendrait, mais uniquement par la violence que vous y rencontreriez, une violence codifiée, sanctionnée et promulguée par l’État.

Quand on pense à la violence de l’époque, on pense généralement aux jeux du cirque. Ceux-ci étaient sûrement sanglants et violents, mais ce n’est qu’une partie de l’histoire sur la façon dont l’État romain gérait cette violence « utile ». Leurs tribunaux infligeaient la peine capitale avec une facilité qui, pour nous, reste déconcertante. Les pauvres, les esclaves et les citoyens non romains étaient particulièrement susceptibles d’être condamnés à mort. Elle pouvait même, dans certains cas, être théâtralisée.

Autre exemple, la loi romaine disait que lorsqu’un esclave tuait un maître, tous les esclaves de cette famille devaient être exécutés, même ceux qui n’étaient pas impliqués dans le meurtre. C’était justifié parce que cela devait être considéré comme un exemple. Comment cette civilisation supposée avancée pouvait-elle se comporter de la sorte ? Un seul mot : l’esclavage. Toutes nos sociétés d’humains déchus sont basées sur une sorte de contrôle social : un système pyramidal.

Si nous étions des fourmis, la coopération serait codée dans nos gènes. Mais, chez les humains, l’intérêt personnel peut aller, et va très souvent, à l’encontre du bien commun. Pour éviter cela, il faut un contrôle négatif ou positif : la carotte ou le bâton. Le contrôle positif peut être la réussite, le sexe, le logement et d’autres formes de gratifications. Le négatif peut être la punition physique : les coups, la torture, etc. Dans notre société, nous avons tendance à croire que le contrôle positif est meilleur que le négatif, plus « moral ».

Notre société est la plus monétarisée de l’histoire dans le sens où nous avons tendance à croire, à juste titre et malheureusement à de rares exceptions près, que l’argent peut pousser les gens à faire plus ou moins n’importe quoi. Par exemple, nous concevons comme normal que bon nombre de professions fassent leur travail non pas parce qu’ils seraient fouettés s’ils ne le faisaient pas mais parce qu’ils courent après le fric la principale forme d’attraction positive dans notre monde. Dans de nombreux cas, Rome a aussi utilisé l’argent comme nous le faisons.

Les soldats romains se battaient parce qu’ils étaient très bien payés : le mot « soldat » vient même d’une pièce de monnaie romaine. Mais ils avaient un gros problème avec leurs esclaves, l’épine dorsale de leur société. Comment pouvaient-ils être motivés à travailler ? En les payant ? Pas vraiment ! La majorité des esclaves était engagée dans des tâches subalternes, parfois ils étaient une main-d’œuvre consommable pour les mines et d’autres tâches dangereuses. Leur donner de l’argent n’aurait eu aucun sens : comment auraient-ils pu le dépenser ?

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/01/anne-ma-soeur-anne-ne-vois-tu-rien-venir-partie-3.html

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SION : LA VERITE (Partie 10)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/01/sion-la-verite-partie-1.html

J’en parle déjà dans mes livres, mais récemment à Paris, s’est déroulé une réunion censée rapprocher les conservateurs américains et européens.

Durant ce rassemblement, des mises en garde ont été faites contre le wokisme et ses dérives, néanmoins, tout le reste qui concernait ce « choc des civilisations » si profitable aux sionistes s’est avéré être un discours sirupeux reflétant tout sauf la réalité.

Ce choc étant fabriqué de toute pièce par ces mêmes Américains qui arment des groupes terroristes et détruisent des pays entiers, en entretenant Daech qui sont des cadres de Al-Qaïda, ex soldats de Saddam Hussein détenus dans la prison américaine de Bassorah, et qui, après s’être fait laver le cerveau sortent de là pour constituer Daech, on est en droit de se poser les bonnes questions.

Tous ces groupes sont des hérétiques par rapport à l’islam, mais comme le citoyen moyen s’en bat les roubignoles, l’amalgame profitable aux sionistes est vite réalisé. Pendant ce temps-là, nos dirigeants nous montrent le théâtre d’ensemble en nous déclarant « voilà le choc des civilisations ».

Avec un Zemmour qui, chez nous, soi-disant au nom d’Arnold Toynbee, reprend le flambeau en nous disant voir ce choc et que nous devons tous, main dans la main (juifs et Français), lutter contre cet islamisme radical. Et, c’est là tout comme à l’accoutumée que Zemmour effectue sa p’tite tambouille historique.

Arnold Joseph Toynbee (1889-1975), est un historien britannique. Dans son analyse monumentale en douze volumes, il nous explique l'essor et la chute des civilisations.

Toynbee se base ici sur les rythmes universels de la croissance de l'épanouissement et du déclin, pour nous parler du choc des civilisations. Mais son choc à lui est néocolonial et occidental dans le sens où partout où elles sont passées, les puissances coloniales n’ont apportées que le matérialisme à outrance. De ce fait ce matérialisme visant toutes les traditions pouvait alors être vu comme un choc des civilisations. En fait, Toynbee parlait des Anglo-américains qui, déjà là, visaient à englober le monde de leur hégémonie.

Mais, bien avant zemmour, c’est l’historien juif sioniste Bernard Lewis (1916-2018) qui, avec son tenant du « choc des civilisations », avait su orienter ce choc tendance Grand Israël. Lewis se contente de laïciser une tendance rabbinique. En effet, dans l’eschatologie rabbinique, existe cette idée qu’à un moment donné, Israël, tel qu’ils l’entendent, ne sera pleinement restauré que lorsqu’Edom et Ismaël entreront en conflit. Traduction : lorsque la chrétienté et les musulmans s’entretueront.

N'oublions pas non plus que de théoricien de ce choc, Lewis, a poussé les Américains à passer à l’acte en conseillant Busch à entrer en guerre contre l’Irak. Quant à Samuel Huntington (1927-2008), professeur américain de science politique, influencé par Zbigniew Brezinski, son livre intitulé Le Choc des civilisations paru en 1996, sera provoqué par des confrontations locales ethniques entrainant les grandes puissances, alliés des uns ou des autres, vers des confrontations plus grandes.

Dans cette réunion du 10 novembre dernier, Zemmour, tout en reprenant les théories de Lewis, prônait l’union des droites là où Florian Philippot était venu parler du covid-19 et de la liberté d’expression alliée à la censure durant la période couillonavirus. Quel était donc le rapport ? Le combat contre le wokisme ? Je ne crois pas non plus !

Un point émerge néanmoins. Alors que Philippot a été en pointe contre les injections de masse et l’obligation vaccinale, il avait, durant la dernière campagne présidentielle, invité Zemmour qui est pourtant partisan de la vaccination à outrance et du pass sanitaire. À aucun moment de l’interview, Philippot ne l’avait apostrophé contre ces faits. Alors ?

De même, André Bercoff, soi-disant contre cette politique covid-19, était aussi présent à cette réunion. À aucun moment, sur Sud Radio, lorsqu’il a invité son ami Zemmour, il ne l’avait apostrophé sur sa position covid. Nous sommes bel et bien là face à une opposition contrôlée où chacun occupe sa part de marché : libertés, tyrannie sanitaire, de quoi agir en bons neutralisateurs de toutes les contestations.

Rappelez-vous bien que, durant la période covid, Philippot était le seul dont les manifestations n’ont jamais été interdites devant le ministère de la Santé, de plus sans masque ! Nous sommes bien ici dans tout ce que je dénonce depuis le début : un pure alignement pro-israélien autant que néoconservateur américain.

Avec la guerre ethnique se déroulant actuellement à Gaza, en une GRANDE REVELATION, tous les masques sont en train de tomber. En tant que pro-israélien, Zemmour ne peut pas faire autrement que d’être en même temps du même avis que les néo-conservateurs américains.

Toutes les droites européennes sont en train de se rattacher à Israël et Mme Le Pen n’y fait pas exception. C’est le lobbies pro-israélien qui, une fois de plus, phagocyte tout ça, grâce aux milliardaires de même tendance, dont deux oligarques juifs ukrainiens, à l’origine de la création d’un Parlement juif européen qui s'est constitué à Bruxelles, le 16 février 2012. Cela illustre bien la montée en force des oligarques juifs des anciennes républiques soviétiques au sein du leadership juif européen.

Tout ce beau monde travaille au corps les droites et extrêmes droites européennes. Aux prochaines élections européennes, nous n’aurons alors qu’à savoir d’où provient l’argent et les belles promesses pour savoir si nos Zemmour, Philippot et les autres, tel Philippe de Villiers, sont bel et bien des Souverainistes dignes de ce nom. Être soi-disant Gaulliste et pro américain n’est qu’une imposture.

Surtout lorsqu’un 1er novembre 2023, on retrouve, Éric Zemmour, leader du mouvement politique Reconquête, au mur des Lamentations à Jérusalem, en Israël, le jour de la Toussaint. Sa démarche, perçu comme un fervent soutien d’Israël, s’inscrit, ne l’oublions surtout pas, dans un contexte où la guerre entre le Hamas et Israël fait rage. Qu’en dira donc Philippe de Villiers, fervent catholique et soutien de Zemmour aux dernières élections ? Voyez-vous comme tout s’imbrique !

Oui, tout s’imbrique en effet lorsque l’on voit par qui le missionnaire de la résistance à « l'Europe de Maastricht », Philippe de Villiers, était financé en 1994. On constate alors que, depuis plus de 30 ans déjà, comme je le dénonce dans mes livres, ce mouvement conservateur et libéral européen, autant que français, qu’il soit chrétien ou pas, se trouve financé par des fonds internationaux donnés par des individus, style le juif Jimmy Goldsmith, ayant de fortes tendances néoconservatrices.

James Michael Goldsmith (1933-1997), né en France d'un père britannique juif d'origine allemande, et d'une mère française, catholique d'origine bourguignonne, était homme d'affaires, homme politique et milliardaire franco-britannique, plus connu sous le nom de Jimmy Goldsmith.

Lors des élections européennes de 1994, il mène la liste MPF « l’Autre Europe » en France, sur une ligne souverainiste, avec Philippe de Villiers et le juge Thierry Jean-Pierre. Arrivé 3e, leur groupe obtient 13 députés au Parlement européen. Cet homme d'affaires, patron de presse capricieux, était un militant écologiste de la première heure.

Sa vision du monde était faite d'un écologisme sourcilleux, auquel son frère, Edward, n’était pas étranger. Edward Goldsmith était un activiste écologiste, auteur de moult ouvrages et associations promouvant une conception malthusienne et radicale de l'écologie, parfois revendiquée par certains secteurs de l'extrême droite.

On parle ici, entre Villiers et Goldsmith, de cette fameuse alliance dite judéo-chrétienne, complétement antinomique. Des individus qui apportent leur soutien à un Etat d’Israël qui détruit des églises et menace des communautés chrétiennes, notamment la communauté arménienne de Jérusalem, qui les violente tout en les empêchant d’accéder au Saint sépulcre.

On parle beaucoup de groupes terroristes qui tuent les chrétiens, c’est vrai. Mais on oublie de dire par qui ils sont financés. Vous, désormais, vous savez. Par contre on oublie de dire qu’Israël tue des chrétiens également.

Et pour avancer plus loin sur ce vaste sujet, sachez-le, c’est peut-être l'une des premières fois qu'un personnage public s'exprime librement sur un plateau télé, concernant toutes les vérités ici dévoilées. Alain Dieckhoff, sociologue, directeur du centre de recherche international de Sciences Po (CERI), directeur de recherche au CNRS, m’a, je dois dire, étonné.

Il revient sur le projet du parti sioniste religieux au pouvoir en Israël avec à sa tête Benyamin Netanyahu. À l’émission C ce Soir sur France Télévision, l’auteur de « Israël-Palestine : une guerre sans fin ? », a révélé l’évolution des dirigeants sionistes israéliens vers une politisation du messianisme, avec le projet du troisième temple et la possible épuration ethnique. « Ils croient dur comme fer que ce qu’ils font n’est pas uniquement politique mais que ça a une dimension religieuse. »

Tout comme je viens de le faire, il évoque clairement le projet d’épuration ethnique sous couvert de l’application stricto-sensu des Prophéties d’Esaïe. Voici ce qu’il déclare : « Ils pensent que ça va accélérer la fin des temps et donc la venue du Messie. Ultimement, cela se manifeste dans leur projet de construire le troisième temple, un projet qu’ils ne cachent pas. Ça voudrait dire qu’à terme, la mosquée Al-Aqsa et le dôme du Rocher seraient détruites et qu’on reconstruirait le troisième temple. Il faut bien comprendre que c’est ce type de personnes qui ont un rôle clé dans le gouvernement actuel. »

Vous voyez-là l’expression de ce que je tente d’expliquer à mes lecteurs depuis plus de quatorze ans. C'est-à-dire ce concept du Grand Israël, du Nouvel Ordre Mondial avec Jérusalem comme capitale, comme exprimé plus haut. C’est la volonté d’un Jacque Attali, du judéo-nazisme (selon Leibowitz), et de l’intention d’Israël de provoquer la destruction des nations par une grande guerre nucléaire.

Pour rappel, le 18 novembre 1990, Benjamin Netanyahou, alors vice-ministre des Affaires étrangères, se faisait remonter les bretelles par le rabbi Mendel Schneerson. Celui-ci lui enjoignait d’hâter la venue du Messie, ce à quoi répondra Bibi : « nous faisons, nous faisons ».

Conclusion : Le 7 octobre 2023, l’objectif du Hamas n’était pas de tuer des civils israéliens, comme nos médias s’acharnent à le propager, mais à attaquer la Division de Gaza, responsable de la surveillance et des actions meurtrières. Il s’agissait également de capturer des militaires afin de les échanger contre plus de 5 000 prisonniers détenus par Israël, dont 120 enfants et 1100 détenus sans charge retenues contre eux. Ils ne cherchaient certainement pas à gagner du territoire.

Il est probable qu’ils cherchaient également à faire une action d’éclat, afin d’attirer l’attention de la communauté internationale sur la situation de la population à Gaza qui est tenue en otage depuis 17 ans. Ils désiraient aussi, je pense, obtenir l’appui de la communauté musulmane, en regard de ce que les autorités israéliennes préparent pour le mont du Temple.

Nous, les Occidentaux, condamnons toutes les violations du droit international concernant les actions du Hamas du 7 octobre 2023, mais nous les oublions, voire les encourageons, pour les 76 ans de non-respect par Israël. La communauté internationale n’a jamais pris la moindre mesure pour obliger le gouvernement israélien à le respecter.

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/01/sion-la-verite-partie-11.html

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UN CLIN D’ŒIL ?

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Le tremblement de terre de New Madrid a été le plus grand tremblement de terre de l’histoire américaine. Il s’est produit dans la vallée centrale du Mississippi.

À l’époque, il avait été ressenti aussi loin que New York, Boston, Montréal et Washington DC. Le président américain de l’époque, James Madison (1751-1836), 4e  président des Etats-Unis et son épouse Dolly, l’avait ressenti à la Maison Blanche.

Les cloches des églises avaient sonné à Boston. Du 16 décembre 1811 à mars 1812, il y avait eu plus de 2 000 répliques dans le centre du Midwest et plus de 7 000 dans le Bootheel du Missouri, où New Madrid est situé près de la jonction des rivières Ohio et Mississippi.

Certains vont se demander pourquoi j’évoque ici ces faits. Je vous parle souvent du soleil et de ses effets sur notre planète et surtout du FAIT qu’il soit l’acteur ESSENTIEL des changements climatiques qu’il provoque. Ce dont je vais vous parler ici, fait partie de ses nombreux effets.

Une éclipse solaire était survenue le 17 septembre 1811, au-dessus de la zone de faille de New Madrid. Trois mois après l’éclipse, une série de tremblements de terre absolument énormes commença à se produire sur la faille de New Madrid …La ligne de faille de New Madrid, est une zone sismique majeure à la limite du Sud et du Midwest des États-Unis, s'étendant au sud-ouest de New Madrid dans le Missouri.

Des experts estiment que ces tremblements de terre furent intensément ressentis sur 130 000 km2 et modérément sur 2,6 millions de km². Par comparaison le tremblement de terre historique de 1906 à San Francisco a été ressenti modérément sur seulement 16 000 km2.

Dans l’histoire connue du monde, aucun autre tremblement de terre n’a duré aussi longtemps et n’a produit autant de dégâts que celui de New Madrid. Trois de ces tremblements de terre figurent sur la liste des principaux tremblements de terre d’Amérique : le premier, le 16 décembre 1811, d’une magnitude de 8,1 ; le second le 23 janvier 1812, à 7h8 ; et le troisième le 7 février 1812, avec une magnitude 8,8.

La prochaine éclipse solaire totale visible depuis les États-Unis n’aura pas lieu avant 2044, et la trajectoire de cette éclipse solaire totale ne touchera que trois États.

Mais avant 2044, 2024 nous a déjà donnée un tremblement de terre historique au Japon. L'année nous réserve en outre   la Grande Éclipse américaine Du 8 avril 2024.

Elle traversera les États-Unis le tout premier jour de l’année du calendrier hébreu. Le chemin de l’éclipse totale de soleil traversera des parties des États du Texas, de l’Oklahoma, de l’Arkansas, du Missouri, de l’Illinois, du Kentucky, du Tennessee, du Michigan, de l’Indiana, de l’Ohio, de la Pennsylvanie, de New York, du Vermont, du New Hampshire et du Maine. Elle traversera également certaines parties du Mexique et du Canada.

2024 va véritablement nous secouer, tant spirituellement qu’intellectuellement et physiquement.

Quant à celles et ceux qui désirent en savoir plus, il y a toujours mes livres et cet article : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/12/une-etoile-noire-le-signe-d-un-monde-qui-s-assombrie.html

Olivier

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Anne, ma sœur Anne ne vois-tu rien venir ? (Partie 1)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Laissez-moi vous conter une histoire, pour la dernière fois. Charles Perrault (1628 -1703), est un homme de lettres français, célèbre pour ses Contes de ma mère l’Oye, sur lesquels il y aurait beaucoup à dire, ainsi que sur le janséniste qu’il fut. Dans mon conte, La Barbe bleue, sera tonton Klaus Schwab et la jeune épouse que Barbe bleue cherche à occire ; la gueusaille qu’à leurs yeux nous représentons tous.

La dette américaine a atteint la somme astronomique de 34 trilliards de dollars, l’élite le sait, elle en est même responsable. Je l’explique dans mon dernier ouvrage consacré à Davos et ses méfaits, l’Occident tout oxydé est au bord du gouffre. C'est juste qu'on ne dit pas la vérité (au public) et que beaucoup trop d’autruches veulent ignorer la réalité. Les ultra riches savent pertinemment que le bateau coule, ce sont eux qui ont créés l’iceberg et embauchés les capitaines ivres qui nous mènent dessus.

Eux, ils se sont créés une bouée verte. D’où le fameux plan de Davos qui consiste à tous nous imposer une taxe carbone personnelle reliée à l'identité numérique, sous prétexte de lutter contre la prétendue « crise climatique ».

Tout sera alors basé sur des « crédits carbones ». Et si tout le monde en reçoit, Davos a tout prévu pour les riches. Si, par exemple, ils veulent partir en vacances plus souvent, ils pourront acheter les crédits carbone personnels des pauvres qui, de toute façon, ne pourront pas se permettre d'acheter des billets d'avion ou de manger de la viande trop souvent.

Et c’est là que la machine infernale se met en marche. Pour ces fous, la chaîne alimentaire représente plus d'un quart des émissions mondiales de GES. Alors que les naissances diminuent partout dans le monde, ils ont calculé qu’au cours des deux prochaines décennies, la demande alimentaire mondiale devrait doubler. Cela signifie que l'agriculture devra être plus productive tout en réduisant son impact environnemental (…)

Ainsi, la bande à tonton Schwab imagine un secteur agricole qui émet beaucoup moins de gaz à effet de serre et qui obtient de meilleurs rendements agricoles, tout en générant des revenus supplémentaires grâce aux crédits issus de l'agriculture carbone.

Cette agriculture-là, à base d’insectes, d’OGM et de viande artificielle, sera subventionnés pendant que l’agriculture normale sera sacrifiée.

Pour cette politique, le gouvernement hollandais a décidé de faire la guerre aux agriculteurs en les forçant à vendre leurs terres, ce qui avait provoqué des grèves violentes en 2023... Non seulement Davos et Bill Gates veulent qu'on mange des insectes, mais en plus ils comptent remettre en place la taxe carbone à l'échelle de toute la population, une gigantesque escroquerie sur le dos des entreprises françaises et des populations

C’est pourquoi, devant toutes ces impostures monumentales, je me lève et essaie d’avertir mon prochain. Je le fais une dernière fois à travers cette série d’articles. Après j’arrête car je commence à en avoir marre de l’inertie observée et du manque de cohésion chez mes lecteurs. Qu’on me croie ou non, peu importe, vous ne tarderez pas à observer et vivre dans la chair tour ce que je dénonce ici.

Je suis un « complotiste » depuis longtemps, un fils spirituel de personnes courageuses telle Claire Séverac. Je me bats au milieu des fous et contre des bataillons de fous dangereux dont ceux qui se disent écologistes en constituent les plus cruels et dangereux. Ils font de la politique écologique une machine infernale qui nous plonge dans un malthusianisme ruineux.

Une des façons d’en mesurer le résultat est de regarder l’évolution du PIB qui est la création de richesse de l’économie européenne. Si on continue à les laisser faire à ce rythme-là, notre PIB va se résumer à peau de chagrin et cette "transition écologique" sera insupportable sur le plan économique. Les conséquences sur la dette, l’emploi, l’inflation seront catastrophiques.

Oui. J’appartiens à cette race si souvent montrée du doigt parce qu’elle gratte en permanence le vernis de la bonne conscience, pour mettre à nue cette Vérité qui rend libre. Libre de tous ces salauds de corrompus qui nous mentent à longueur de journée. J’en suis à moult articles concernant ces sujets cruciaux, fatigué de vous expliquer ce paradigme fou : l’illusion d’une transition écologique "merveilleuse" qui créerait des emplois et des richesses pour tous.

Au milieu de ce marasme occidental, il y a la France et un peuple qui n’est pas prêt à sacrifier un peu de son bien-être d’aujourd’hui pour améliorer le sort des générations futures surtout si elles ne sont pas françaises… Et c’est bien compréhensible d’autant plus que les alternatives existent mais restent cachées pour satisfaire encore et toujours les intérêts de l’élite.

Au milieu de cette guerre d’idées frelatées, l’obscurantisme écolo-bobo, incarne le « bien » avec son écologie vertueuse autant qu’environnementale. Ce camps est continuellement accompagné de sa farandole endiablée de termes qui le sont tout autant : naturel, durable, éolienne, biologique, photovoltaïque, recyclable, économe, local, associatif, décentralisé ; j’en passe et des meilleurs.

Dans l’autre camps, il y a nous, les salauds de pauvres pollueurs qui osent encore respirer et produire ce monstrueux CO2 qui impacte nos vie et la sérénité de Gaïa. Parmi ces intégristes, il y a encore une classe à part : les intégristes climato-sceptiques, dont j’ai l’honneur de faire partie. Je suis une espèce de jésuite du climat qui, au milieu des mensonges énormes du GIEC, défend l’idée qu’au nom du réchauffement climatique, les partisans de l’étatisme et du dirigisme justifient une fiscalité toujours plus importante, des réglementations toujours plus contraignantes et l’emprise croissante de la sphère publique.

Leur sacrosaint principe de précaution ne sert qu’à embrigader l’humanité et engager des dépenses souvent inutiles au milieu desquelles les gourous davosiens profitent d’une crise climatique créée de toute pièce pour renverser le système économique actuel… nous robotiser et nous affamer.

Un jour, nos descendants s’amuseront peut-être de cette folie qui avait envahie le monde de sa nouvelle idéologie mortifère. Ils comprendront peut-être difficilement cette faillite scientifique qui nous avait plaqué au mur des exécutions sommaires : ou quand le dogme politique prend le pas sur les résultats expérimentaux.

Ils comprendront d’autant moins encore la faillite morale qui nous avait attrapé lorsque l’Europe s’imposa seule le coût faramineux des énergies renouvelables, au nom d’un « consensus scientifique » dont les politiques et les médias contrôlaient totalement le récit.

En effet, ils sont passés où les scientifiques raisonnables face à cette panique climatique propagée ? Nos modèles utilisés pour prédire l’avenir en matière de climat sont profondément défectueux. Ils ne sont même pas en mesure de décrire avec précision le climat du passé !

Tout cela n’est qu’une stratégie qui consiste à faire exploser les prix de l’alimentation et de l’énergie, à créer une pénurie de logements et à réduire de manière autoritaire la mobilité. Parallèlement on assiste à un développement d’une bureaucratie qui contrôle la vie des entreprises et des citoyens…

Il y a un an, à Davos, en Suisse, pour le Forum économique mondial, un sbire de l’administration John Kerry a déclaré que : Enormément d’argent était nécessaire pour les programmes climatiques.  Environ 150.000 milliards de dollars, rendez-vous compte ! C’est 150% du PIB mondial. Le fait que ce montant FARAMINEUX soit dépensé au cours des 26 prochaines années ne signifie pas qu’il ne s’agit pas d’un montant destructeur pour l’économie.

La réunion annuelle du Forum économique mondial de Davos a lieu maintenant, du 15 au 19 janvier 2024. L’ampleur du « besoin » importe peu aux partisans de Davos, qui se réunissaient cette année pour la 54e fois. Comme d’habitude, ces flagorneurs ont passé leur temps à se persuader de combien le monde a besoin d’eux et de leurs compétences particulières pour résoudre la crise climatique qu’ils ont fabriquée, et de la quantité d’argent des autres dont ils ont besoin pour faire le travail.

Si leur rêve de psychopathe abouti, ce qui représente quand même environ 5 000 milliards de dollars par an des contribuables, que pouvons-nous en attendre ?

Eteindre les lumières, laisser les voitures au garage et reboucher les pipelines de gaz et de pétrole, le tout en mangeant des insectes et de la viande artificielle, tout ça ne servira à rien : c’est du pipi de chat qui n’influencera nullement la météo. Tout juste retournerez-vous au Moyen Âge car, si vous pensez que les humains influent sur le climat dangereusement, vous vous mettez le doigt dans l’œil et jusqu’à l’épaule.

Pendant ce temps-là, les pays en développement, moins cons que l’Occident tout oxydé de ses vieux cons de Davos et menés par la Chine et l’Inde, conduisent actuellement leur PIB vers des sommets d’où nous ne verrons plus jamais les paysages lointains, puisque privés de voyage en avion.

Tout ceci n’est qu’écologie punitive…assénée par de petits kapos vert d’une idéologie vert de gris. L’écologie politique déconstruit notre histoire et nos paysages tout en mettant en exergue la démission presque irrémédiable de toute une société. Ainsi face à cette démission par lâcheté, nous devenons la cible des verts les plus fous : c’est-à-dire des écologistes les plus influents tels : Sandrine Rousseau, Marc Jancovici, Greta Thunberg, etc.

Pendant qu’en un mélange de cynisme et de bêtise, l’un prône le rationnement des billets d’avion, la mesure phare de Rousseau, consisterait à interdire immédiatement de louer des "passoires thermiques", créant ainsi une pénurie MONSTRUEUSE de logements.

Quant à « sainte » Greta, elle pense que l’heure de l’apocalypse écologique a sonné. La prosternation devant ces papes du climat est donc notre seule voix de salut. On est bien dans une écologie carcérale plus pressée d’asservir et de ruiner que de lutter contre un changement climatique qui, de toute manière, ne dépend aucunement de nous.

Du bio à la voiture électrique en passant par le nucléaire ou les OGM, ce totalitarisme vert démonte méthodiquement le corpus de poncifs écologistes les plus clivants et les plus extrêmes. Il est devenu le témoin d’une époque où penser librement en marge d’une religion nourrie de fantasmes et de peurs est devenu un acte de courage et les voix scientifiques discordantes des ennemis à abattre.

Là-dedans, l’UE n’est qu’un repère de loups aux ordres des lobbies et désireuse de démanteler ce qui reste des Etats souverains. Un simple exemple : le moteur économique européen, où le piston allemand, comme vous voudrez, n’a qu’une idée en tête ; démantibuler la culasse et le vilebrequin. L’Allemagne s’est évertuée à massacrer notre fleuron national : notre patrimoine nucléaire. Le nucléaire français a été démantelé. L'Allemagne mène une offensive terrible pour détruire EDF https://youtu.be/e4GWqyTTuCo

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/01/anne-ma-soeur-anne-ne-vois-tu-rien-venir-partie-2.html

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SION : LA VERITE (Partie 9)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

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Début juin, De Gaulle semble considérer que la guerre est inéluctable. Le gouvernement israélien après avoir reçu un « feu orange clignotant » de Washington décide d’attaquer le 5 juin 1967. Dans un entretien De Gaulle-Kossyguine du 16 juin 1967, De Gaulle déclare : « Vous me dites qu’il faut punir l’agresseur et qu’Israël est l’agresseur. (…) Je ne pense néanmoins pas qu’il faille laisser Israël exagérer et garder toutes ses conquêtes. Il serait à la rigueur possible, après un temps fort long et des négociations très difficiles, d’aboutir à un arrangement raisonnable au Proche-Orient, si tant est qu’une telle chose n’y soit jamais possible. (…) »

Le Russe Kossyguine insiste alors sur le fait que le retour aux lignes du 4 juin est le point essentiel de tout règlement. À la fin juin, la perspective devient plus claire. Le rôle de la France est d’éviter que le conflit devienne un affrontement entre l’Union soviétique et les États-Unis.

De Gaulle disait bien qu’Israël posait un sérieux problème, dans le sens où il n’avait jamais abandonné ses idéaux religieux plus haut décrits, avec sa politique coloniale et expansionniste. Il disait bel et bien que la résistance palestinienne allait s’accentuer. Résistance que les Israéliens qualifiaient déjà en retour de terroriste, alors que le Hamas n’existait même pas encore. Les Frères musulmans n’étaient même pas encore implantés en Palestine, à l’époque. ALORS !

Seulement, depuis, la GROSSE différence c’est le lien entre Israël et les Frères Musulmans du Hamas.

Conclusion : la situation actuelle correspond pratiquement à ce que déclarait alors De Gaulle. De Gaulle était un lettré, et les intellectuels français n’ont pas découvert Israël en 1948. Sans remonter trop loin, voici quelques éléments éparts des relations entre les intellectuels français et Israël, avant 1948. Les intellectuels français se sont peu intéressés au projet sioniste. Ils ont peu parlé de la Palestine, écrit sur la Palestine, entre 1917, date de la déclaration Balfour et juin 1940. Et lorsqu’ils en ont parlé, cela a été sous le coup de solides préjugés tous justifiés.

Théodore Reinach (1860-1928), était un juriste, historien et homme politique français. Éminente autorité en la matière, il sera auteur d’une Histoire des israélites (1884). En 1925, il va s’élever contre la restauration d’un État juif en Palestine dans la revue de l’Alliance israélite universelle : « L’entreprise sioniste est funeste si elle échoue et plus funeste encore si, par impossible, elle réussit. »

Jacques Bainville (1879-1936), était un journaliste, historien et académicien français. Il est une figure majeure de l'Action française, mouvement politique nationaliste et royaliste d'extrême droite. Dans L'Action française, il rappelait régulièrement les dangers du sionisme comme entreprise britannique : c'est-à-dire ce fameux judéo-protestantisme.

De Gaulle ne pouvait pas ignorer la position prise par Jacques Bainville en 1920. À cette époque, l’histoire du sionisme est encore très récente. Son fondateur Theodor Herzl avait publié en 1886 le livre L’État des Juifs, qui donnait une définition claire du sionisme. En 1920, il est question du démantèlement de l’Empire Ottoman suite à sa défaite lors de la Première Guerre mondiale.

La Société des Nations propose de mettre la Palestine sous mandat britannique. L’Angleterre, favorable aux juifs, jette ainsi les bases de l’Etat israélien. L’article de Bainville est un témoignage majeur pour retracer l’évolution du sionisme des origines jusqu’à nos jours : « L’Osservatore romano et la Semaine religieuse de Paris ont récemment publié un ensemble de documents sur la situation de la Palestine. Le sionisme soutenu par le cabinet de Londres y apparaît comme une aventure alarmante à tous les points de vue. Déjà les incidents ont été nombreux.

L’hostilité des sionistes à l’égard des chrétiens.

Ils sont d’abord, bien entendu, de nature religieuse. Le sionisme, aux Lieux-Saints, n’a pas l’impartialité des Turcs. Il traite en intrus les représentants des communions chrétiennes. Le haut-commissaire britannique, sir Herbert Samuel, se comporte comme un chef plus religieux que politique. Le « prince d’Israël », ainsi l’ont surnommé ses coreligionnaires, va prier, le jour du sabbat, à la grande synagogue, acclamé par la population juive de Jérusalem. Par contre, le Saint-Sépulcre est un lieu qui lui fait horreur. Au mois de juillet dernier, visitant la basilique, sir Herbert Samuel refuse d’entrer dans le sanctuaire du tombeau. Cette insulte aux chrétiens fut relevée. Le synode des Grecs orthodoxes déposa sur-le-champ le patriarche Damianos en lui reprochant de n’avoir reçu le haut-commissaire que pour essuyer cet affront.

Le sionisme moins tolérant que l’Islam Turc ?

Un tel incident mérite une attention sérieuse. Il montre à quelles rivalités confessionnelles, susceptibles de dégénérer en luttes plus graves, le sionisme doit conduire. On regrette déjà les Turcs, « le seul peuple tolérant », disait Lamartine qui, dans son Voyage en Orient, se demandait, avec son génie divinatoire, ce que deviendraient les lieux saints lorsque leurs gardiens flegmatiques n’y seraient plus. Le sionisme allumera sans doute en Palestine une hideuse guerre de religion : encore un de ces progrès à rebours que les traités auront valu au genre humain.

L’Osservatore romano signale, parmi les immigrants juifs qui arrivent en nombre, des fanatiques qui parlent de détruire les reliques chrétiennes. Ce n’est pas tout. Avec la guerre religieuse, le sionisme apporte la guerre sociale. Les juifs venus de Pologne, de Russie, de Roumanie, réclament un partage des terres et l’expulsion des indigènes. M. Nathan Strauss, le milliardaire américain, dit crûment que « les musulmans trouveront d’autres régions pour vivre ». Admirable moyen de réunir, en Asie Mineure et même plus loin, tout l’Islam contre l’Occident.

Etat d’Israël : source de conflits futurs.

Il semble qu’en autorisant et en protégeant des expériences aussi dangereuses le gouvernement britannique perde la tête. La proscription du français en Palestine (sir Herbert Samuel ne reçoit plus aucune réclamation dans notre langue) est-elle un avantage suffisant pour compenser l’irritation et le soulèvement du monde islamique ?

Le lieutenant Jabotinsky, l’organisateur de la légion juive, emprisonné par le général Allenby et libéré par le haut-commissaire, déclarait récemment au Times : « Le gouvernement juif en Palestine sera le symbole de la coopération Anglo israélite et un centre d’influence pour les sentiments favorables aux intérêts britanniques parmi tous les israélites répandus dans l’univers. » Assurément, il y a cette idée-là dans la politique sioniste du cabinet de Londres. Quel plat de lentilles, si l’on songe à l’immense dommage qui résultera pour l’Angleterre de l’hostilité des peuples musulmans ! Les Grecs à Smyrne, les juifs à Jérusalem : on a rarement et avec autant d’imprudence préparé plus vaste incendie. »

Fin de l’extrait : Jacques Bainville, « Les effets du sionisme », L’action française, 20 décembre 1920.

Un simple exemple nous permettra de comprendre combien, depuis De Gaulle, notre politique s’est vue phagocytée par le sionisme. Avec le récent discours du député républicain Meyer Habib lors d'une intervention. L’intervention du député a suscité de vives réactions, notamment celle du général Nicolas Richoux, qui n'a pas mâché ses mots, qualifiant les propos de Meyer Habib de scandaleux. En effet, Meyer Habib a affirmé que la guerre actuellement en cours à Gaza n’était pas une guerre de territoires, mais plutôt une guerre de civilisation.

Il a insisté sur le fait qu’un juif ne serait jamais un colon en Judée, contrairement à d’autres peuples dans des territoires contestés. « On peut contester des territoires, mais un juif ne sera jamais un colon en Judée », a-t-il martelé. De plus, il a souligné l’importance de Jérusalem en tant que capitale du peuple juif, remontant dans l’histoire pour l’étayer.

Le général Richoux, quant à lui, a réagi avec indignation face à cette déclaration : « Monsieur Meyer Habib appartient aux Républicains, me semble-t-il. Le socle de la démocratie, c’est l’État de droit, c’est le respect du droit international. Et là, il nous explique qu’ils ont un droit absolument immémorial, tout simplement parce qu’ils sont juifs, parce que Dieu leur a donné… Non mais attendez, c’est un scandale ! »

Et que penser d’un Jacque Attali ou d’un Laurent Fabius qui, toute sa vie durant, aura manifesté une grande fâcherie avec la souveraineté nationale.  Il vient de prononcer un discours devant le Conseil d’Etat théorisant l’abandon de souveraineté au profit de l’entité européenne. Cela permet de mesurer l’ampleur du désastre que notre pays subit sous l’effet d’une caste mondialiste qui a infiltré tous les échelons de l’Etat et prolifère comme un essaim de guêpes, pour l’affaiblir et le museler.

Dernier exemple de muselage. Le Prix Simone Veil est une distinction accordée chaque année à une femme francilienne méritante. En 2019, Zineb El Rhazoui, ex-journaliste chez Charlie Hebdo, l’avait reçu pour son combat contre l’islamisme.

Cependant, récemment, ses prises de position liées à la guerre à Gaza et publiées sur les réseaux sociaux ont déclenché une polémique. Certains de ces messages comparaient les prisons israéliennes au camp d’Auschwitz-Birkenau et accusaient les sionistes d’améliorer le modèle nazi. Devinez-donc ce qui s’est alors passé ?

L’ancienne journaliste de Charlie, s’est vue retirer le Prix Simone Veil par Valérie Pécresse, présidente de la région Île-de-France. Les raisons ? Les prises de position de Zineb El Rhazoui concernant la situation à Gaza et Israël. Alors, d’après vous, sommes-nous dans un pays libre ?

Je le répète, De Gaulle avait bien dénoncé le sionisme et ses conséquences, tout comme Jacques Bainville avant lui dans « Les effets du sionisme ». Monter l’islam contre l’Occident était l’une des choses que Bainville dénonçait de la part du sionisme.

Lorsque Dominique de Villepin se permet de réagir, ce qui lui vaut les foudres des intéressés, c’est contre cette secte sioniste qui a envahi toute les places de Paris, y compris le quai d’Orsay, pour y accomplir une politique tout sauf française et en faveur du Deep State étasunien autant que sioniste. Villepin, diplomate de formation, essaie de se faire le porte-parole de ce qui nous reste d’une diplomatie française internationale que Macron s’est empressé de brader au nom des intérêts rothschildiens tout sauf Gaulois. Il existe donc encore, chez nous, un peu de cette tradition gaulliste.

Au grand dam de l’avocat sioniste William Goldnadel, Villepin est tout sauf « l’avocat du Qatar ». N'oublions jamais qu’en 2003, Dominique de Villepin a su dire non aux Ricains lorsqu’ils voulaient à nouveau envahir l’Irak de Saddam Hussein sous motif d’armes de destruction massive qui n’étaient semble-t-il que des fioles de pisse.

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/01/sion-la-verite-partie-10.html

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SION : LA VERITE (Partie 8)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/01/sion-la-verite-partie-1.html

Après enquête, le journal allemand der spiegel a bel et bien mis en évidence une cellule de la CIA, en Jordanie, qui armait et finançait des groupes terroristes dans le plateau du Golan. À la suite de cette révélation, Israël a été très fâché, puisque c’est l’Etat israélien qui a dû continuer à financer et armer ces mêmes terroristes qui sèment la pagaille au Moyen Orient ET AILLEURS dans l’intérêt d’Israël.

Retenez également que dès l’instant où Théodor Ertz fera part du projet sioniste international à destination d’Israël au Pape et au Sultan Ottoman d’alors, tous deux lui opposeront un refus catégorique, une fin de non-recevoir, sous le motif religieux ci-dessus développé. Dès le début, le projet sioniste est bel est bien sécularisé et enraciné dans son interprétation erronée de la Bible.

Une ancienne colon juif parle du vol de terres effectué contre les Palestiniens pendant la guerre de 1948 : « Le plus terrible, c'est que lorsque la guerre a éclaté, les Arabes ont été chassés de leurs villages. Et pas un seul kibboutz n'a refusé les terres saisies, pas un seul kibboutz. Tout le monde était très content de voler sa terre. »

https://twitter.com/i/status/1722654924104720598

David Ben Gourion (1886-1975) est le fondateur de l'État d'Israël dont il proclame l'indépendance le 14 mai 1948. Il était certes un travailliste (socialiste), mais, parmi ses coreligionnaires, il était plus raisonnable, plus pragmatique voulant aller étape par étape. C'est-à-dire une méthode progressive mais allant néanmoins vers le Grand Israël biblique étendu du Nil à l’Euphrate

Il était à l’opposé de Vladimir Jabotinsky (1880-1940), le fondateur de la Légion juive durant la Première Guerre mondiale et leader de l'aile droite du mouvement sioniste, plus pour une méthode radicale.

Aujourd’hui, le Likoud, le parti national-conservateur de Bibi est le digne représentant de la tendance Jabotinsky. C'est-à-dire l’actuel équivalent des néoconservateurs et des démocrates américains. C'est-à-dire « kif kif bourricot ».

Certains sont pour la méthode douce (révolutions colorés à la Georges Soros et subversions en tout genre) là où d’autres sont pour les tapis de bombes. Or, les deux convergent, telles les tendances Ben Gourion et Jabotinsky.

Aujourd’hui, depuis le 7 octobre dernier, les deux tendances ont fusionné vers un fanatisme total. Netanyahou et les siens, rabbins compris, sont pratiquement tous des fanatiques religieux qui assimilent les Gazaouis à des animaux et veulent balancer une bombe atomique sur Gaza.

En effet, récemment, le ministre israélien des Affaires et du Patrimoine de Jérusalem, Amichai Eliyahu, a fait une déclaration à la radio nationale, il a qualifié l’utilisation d’armes nucléaires dans la bande de Gaza de « l’une des options ».

Les politiciens ultra-conservateurs, qui sont nombreux dans l’actuel gouvernement israélien et dont Eliyahu fait partie, essaient de jouer cet agenda autant que possible. Dans la même interview, le ministre a déclaré qu’il n’y avait « pas de non-combattants » dans la bande de Gaza, et a décrit la situation des otages du Hamas avec la formule « la guerre a aussi un prix ».

Le soi-disant club nucléaire comprend neuf pays : la Russie, les États-Unis, la Chine, l’Inde, le Pakistan, la Corée du Nord, la France, le Royaume-Uni et Israël. De tous, cependant, seul Israël n’a jamais reconnu son statut nucléaire. Cependant, le fait qu’Israël soit engagé dans le développement et la production d’armes nucléaires fait l’objet de discussions depuis très longtemps.

Selon le théoricien militaire Martin van Creveld, les États-Unis sont au courant des recherches pertinentes de leur allié stratégique depuis l’administration Kennedy (voir Le Centième Gueux). De plus, on pense qu’en 1969, le Premier ministre israélien Golda Meir et Richard Nixon ont conclu un accord en vertu duquel les parties se sont engagées à assurer le secret du programme nucléaire d’Israël.  Les États-Unis ont fait pression sur l’ONU, Israël promettant de ne pas effectuer d’essais. Ainsi, pendant des décennies, Washington a violé le premier article du TNP, qui interdit « d’aider, d’encourager et d’inciter » un État non nucléaire à accéder à la technologie et à la production.

Dans une note déclassifiée adressée à Nixon, le secrétaire d’État de l’époque, Henry Kissinger, avait déclaré qu’Israël s’était engagé à « ne pas être le premier à introduire des armes nucléaires au Moyen-Orient ».

Benjamin Netanyahou avait dit la même chose dans une interview à CNN, en 2011 : « C’est notre politique. Ne pas être le premier à introduire des armes nucléaires au Moyen-Orient. En d’autres termes, Israël, en tant qu’État nucléaire de facto, s’est engagé à ne pas réaffirmer ce statut tant que quelqu’un d’autre dans la région (par exemple, l’Iran) ne l’aura pas fait en premier. C’est pourquoi Israël ne participe à aucun projet international de non-prolifération ».

En octobre 2022, l’Assemblée générale des Nations unies a appelé Jérusalem-Ouest à renoncer aux armes nucléaires et à transférer à l’AIEA toutes les installations nécessaires à leur développement et à leur production. 152 États ont voté pour, cinq contre : les États-Unis, le Canada, Israël, la Micronésie et les Palaos.

Des tentatives ont été faites à plusieurs reprises pour placer la situation de non-prolifération nucléaire au Moyen-Orient sous contrôle international. Selon l’Institut international de recherche sur la paix de Stockholm, qui s’occupe du contrôle des armements, Israël possède entre 90 et 200 armes nucléaires et continue de moderniser ses vecteurs.

En outre, le Centre pour le contrôle des armements et la non-prolifération écrit dans un rapport de 2020 qu’Israël dispose de suffisamment de plutonium de qualité militaire pour produire 100 à 200 unités supplémentaires.

Dans cette parfaite hypocrisie, n’oublions pas le massacre de Sabra et Chatila, perpétré du 16 au 18 septembre 1982, envers des Palestiniens du quartier de Sabra et du camp de réfugiés palestiniens de Chatila, situés à Beyrouth-Ouest, lors de la guerre civile libanaise et l'intervention israélienne au Liban. Selon les estimations, le massacre fait entre 460 et 3 500 victimes. Ariel Sharon (1928-2014), alors ministre de la Défense d’Israël, a dû démissionner suite aux horreurs perpétrées là-bas.

J’en viens à évoquer cette prétendue opposition qui ne l’est que de nom, puisque contrôlée. Lorsqu’on voit André Bercoff, journaliste et écrivain français, courir chercher sa feuille de route à Jérusalem, concernant la version judicieuse du 7 octobre à évoquer sur nos antennes françaises (Sud radio), on est en droit de s’étonner !

D’autant plus lorsqu’on le voit se réjouir de cette collecte de fonds réalisée à travers le monde afin « d’acheter » des terres aux Palestiniens. En fait d’achat, ces terres sont volées aux Palestiniens par des colons israéliens dans le cadre de ratonnades soutenues par Tsahal. Ensuite, ces fonds sont majoritairement utilisés afin de construire des maisons sur ces terres volées. Alors !

Alors, dans toute cette affaire, les musulmans ne sont-ils pas tout simplement antisémites ? Ils ne s’y opposent non pas par antisémitisme, puisque déjà là, nous le savons, le terme est galvaudé. Ils s’y opposent, parce que, dans le cas présent, à Gaza, les sémites ce sont bel et bien les Palestiniens

Les Israéliens sont des Polonais, des Ukrainiens, des Russes et j’en passe. Ils s’opposent tout simplement au vol de leurs terres qui s’effectue au nom d’un suprémacisme juif particulièrement fallacieux.

Cet antijudaïsme est tout simplement provoqué par ces mêmes Israéliens qui prétendent que la Bible hébraïque est leur seul GPS. Quant à ceux qui se disent les amis des juifs et veulent leur bien, ils devraient alors leur expliquer CLAIREMENT ceci : « attention, votre discours messianique est en train de vous pousser vers le précipice. 

Puisque, concernant votre attitude inqualifiable, on commence à évoquer, vous concernant, un antinomisme ; le judéo-nazisme. »

Certains, tel Rony Brauman, un médecin juif français œuvrant dans l'humanitaire, n’hésite pas à dire qu’Israël met en danger les juifs du monde entier. Ronald S. Lauder, président du Congrès juif mondial ne dit pas autre chose.

Jacques Attali, quant à lui, sort de son trou de renard pour ajouter que Netanyahou, avec son gouvernement de fanatiques, est le pire ennemi d’Israël. Car le fanatisme raciale se situe de toute évidence du côté israélien.

Maintenant, revenons un instant en Gaulle occupée. Sous une fausse apparence de Gaulliste, un sioniste tel Zemmour est complétement aligné sur le discours israélien et celui des néoconservateurs américains. Son discours entérine pleinement l’intégration de notre pays à ce bloc occidental patronné par les puissances judéo-protestantes auxquelles on doit en outre tous ces mouvements féministes, homosexuels, woke, transgenres, réchauffistes, etc. Nous sommes face à une antinomie ontologique autant que géopolitique entre l’Europe de De Gaulle et les Etats -Unis.

C’est De Gaulle qui, dans les années 60, a voulu éloigner la France des USA et du problème israélien. Il lui en coutera mai 68. De Gaulle s’opposait à la guerre des six jours.

Tout le discours de Zemmour est un trucage autant idéologique que politique et géopolitique. Grace à de tels phagocytages réalisés de l’intérieur, nous nous retrouvons avec un Macron complétement proche de la politique israélienne au détriment de la France. Dès lors, ne soyons pas étonnés de la réaction d’un Dominique de Villepin qui, en fin ambassadeur, avait su faire valoir nos choix français, dans un passé désormais révolu.

En 1967, après la guerre des Six Jours, il y a eu une Résolution prise par l’ONU. Cette résolution 242 consistait à contraindre Israël à revenir à ses frontières d’avant cette guerre qui s'était déroulée du lundi 5 au samedi 10 juin 1967 et opposait Israël à l'Égypte, la Jordanie et la Syrie. Personne ne l’a fait, et De Gaulle dans son discours, trop souvent sorti de son contexte, disait bien ce qu’était en réalité Israël.

Bien entendu, sous motif d’antisémitisme, le plus souvent on n’en a retenu que cette phrase : « un peuple d'élite, sûr de lui et dominateur », en la sortant de son contexte.

Prenez donc dix minutes de votre temps, pour constater ce que notre dirigeant de l’époque osait déclarer quand la France avait ENCORE une voix, avant qu’elle ne soit coupée par le CRIF et tout le reste. Quand la politique avait encore un certain sens. Ou lorsqu’un Président avait le niveau.  https://twitter.com/i/status/1721202076963750284

En revenant au pouvoir en 1958, Charles De Gaulle a maintenu pour l’essentiel l’alliance informelle avec Israël hérité de ses prédécesseurs. Néanmoins, il a travaillé à mettre fin à la coopération nucléaire et à une trop grande imbrication des ministères de la Défense des deux pays. Par ailleurs, tout en ayant de l’admiration pour ses réalisations, il considère qu’Israël a une tendance à l’expansion territoriale, ce qui pourrait être dangereux. Il lui a donc adressé à plusieurs reprises des conseils de « modération ».

La fin de la guerre d’Algérie permet la reprise progressive des relations diplomatiques avec les pays de l’Orient arabe. Bie, que je n’admire pas particulièrement De Gaulle, il marque néanmoins qu’il s’agit là d’un retour normal dans une région du monde où la France a toujours exercé son influence. De ce fait, De Gaulle ne se montre pas pressé dans ce domaine. Ce facteur, ajouté au départ de Ben Gourion, va alors se traduire par un éloignement progressif entre la France et Israël qui, demande nucléaire aidant, cherche à un rapprochement avec les États-Unis.

En retour, l’oncle Sam effectuera ses premières livraisons d’armes américaines à Israël. Jusqu’en 1967 la diplomatie française prend ses distances par rapport à la politique américaine. De Gaulle voit d’un mauvais œil la guerre du Vietnam et l’Indochine car elle porte en elle le risque d’un affrontement avec l’Union soviétique et donc un danger de Troisième Guerre mondiale.

Bien entendu, comme nous le savons, la crise de 1967 au Moyen-Orient provient de la politique offensive israélienne menée dans la zone démilitarisée israélo-syrienne. De Gaulle estime que les Israéliens exagèrent à propos du raid contre le village jordanien de Samu. La crise de mai 1967 va prendre tout le monde par surprise.

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/01/sion-la-verite-partie-9.html

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SION : LA VERITE (Partie 7)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/01/sion-la-verite-partie-1.html

Ces sionistes ont de la ténacité puisque, arrivés au cœur de la Première Guerre mondiale, nous trouvons Albion en grande difficulté. Les sionistes allemands vont alors proposer un deal aux Anglais. Amener les USA à la rescousse si, en compensation, les Anglais acceptent d’attaquer les Ottomans en Palestine, afin d’y refonder le foyer national juif.

C’est la Commission Peel de 1937 qui prouve que cette tractation a bien eu lieu.  Cette Commission royale pour la Palestine, était une commission d'enquête britannique mise en place en 1936. Son but était de proposer des modifications au mandat britannique en Palestine à la suite du déclenchement de la Grande Révolte arabe.

Elle était dirigée par Lord William Peel. Le 11 novembre 1936, la commission débarque en Palestine pour enquêter sur les raisons de la révolte. Elle en repart pour l'Angleterre le 18 janvier 1937. Le 7 juillet 1937, elle recommande que le Mandat soit aboli, à l'exception d'un « corridor » autour de Jérusalem, s'étirant jusqu'à la côte de la Méditerranée au sud de Jaffa. En outre, les territoires sous son autorité doivent être répartis entre un État Arabe et un État juif.

Du Moyen âge à 1967 (guerre des six jours), tous ceux qui se sont opposés à ce sionisme phagocyter, ce sont les tenants d’un judaïsme traditionnel. Les rabbins sont alors très majoritairement antisionistes. C’est seulement à partir de 1967 que la majorité des rabbins à travers le monde va changer son fusil d’épaule et adopter ce sionisme.

Actuellement, ceux qui sont majoritairement dans l’orthodoxie juive par rapport au sionisme, ce sont surtout les rabbins orthodoxes de Neturei Karta : les ultra-orthodoxes.

Pendant longtemps, en Europe, foyer juif le plus important, le sionisme a été vu d’un mauvais œil, les rabbins faisant régner l’orthodoxie chez leurs ouailles. Néanmoins, existait un foyer juif révolutionnaire. S’opposaient alors deux tendances : la religieuse et la révolutionnaire socialiste juive.

Chez les révolutionnaires, régnait une conception internationaliste du projet politique. Elle s’opposait à l’enracinement et donc de fait, au sionisme. Il existait néanmoins des exceptions parmi leurs coreligionnaires : des socialistes sionistes. Gershom Scholem (1897-1982), historien et philosophe juif, spécialiste de la kabbale et de la mystique juive, était de ceux-là.

Il était, chose étrange, sioniste, mais pas messianiste.  La tendance laïque juive antisioniste qui va donner tous ces juifs d’Europe de gauche (communistes), est celle qui existe encore sous forme de cette tradition juive antisioniste.

De l’autre côté, nous avons, dans les milieux religieux (Neturei Karta), ceux qui, antisionistes dans l’âme, s’en tiennent strictement au Talmud. J’en reviens ici au terme « judéo-messianisme ». Lorsque les deux royaumes d’Israël furent détruits, en 722 av. J.C. et en 587 av. J.C. (celui du nord et celui de Juda).

Suite à ces deux traumatismes est alors née l’espérance messianique. Celle d’un roi qui, descendant du roi David, redonnerait sa grandeur au peuple hébreu d’alors. Retenez-bien que tout ceci est purement matérialiste !

À la place est venu un « fils de charpentier » qui ne leur a pas redonné grandeur, pouvoir et argent. Ils l’ont donc rejeté. Ainsi, lorsque des idiots, tous ignares, parlent de judéo-christianisme, c’est tout simplement antinomique et débile, puisque le Messie des uns constitue l’antichrist pour les autres. Jésus n’est pas venu accomplir les promesses de l’Ancien Testament, puisqu’il est venu l’abolir au profit indéniable d’un royaume spirituel (« Mon royaume n’est pas de ce monde … »).

Depuis plus de 2500 ans, les juifs attendent donc leur messie et certains tentent même d’hâter sa venue (Ordo Ab Chaos). Ils se réfèrent notamment pour cela aux textes d’Esaïe et du Deutéronome. C’est d’ailleurs pour cela que Bibi se réfère à Esaïe lorsqu’il massacre les Gazaouis. Leur messianisme est donc purement matérialiste, puisqu’il leur promet l’ascendant sur tous les peuples de la terre.

C’est l’emprunt kabbaliste assyro-babylonien qui a su imprégner nombre de juifs, lors de la déportation à Babylone de l'élite juive de Jérusalem et du royaume de Juda, sous le règne de Nabuchodonosor II. Selon la Bible, cette déportation s'est faite en trois fois : après la défaite du royaume de Juda en 597 av. J.-C., après le siège de Jérusalem en 587/586 av. J.-C. et enfin en 582 av. J.-C. Elle s'est poursuivie jusqu'à la prise de Babylone par les Perses en 538 av. J.-C.

Beaucoup de ces juifs multimilliardaires qui ne veulent que « notre bien », sont tous les détenteurs de cette DETTE qui réduit les peuples en esclavages (Rothschild, Rockefeller, Soros, Gates, etc.).

Là aussi, l’emprunt (c’est le cas de le dire) est purement babylonien. En effet, ce métier de la banque avait été développé à Babylone, où les Hébreux, alors en exil, surent s’imprégner à vau-l’eau. Tout le récit de l’Ancien Testament, concernant les punitions infligé par Yahvé au peuple hébreu, n’est qu’une incessante mise en garde concernant tous ces maudits emprunts babyloniens (mœurs, croyances, mystique, sorcellerie, argent, etc.). Mystique et sorcellerie donneront en outre cette kabbale juive.

Chrétiens et Musulmans attendent le retour du Christ : sa parousie (Second avènement du Christ). Il vient afin d’éliminer l’antichrist. La nature réelle de l’anti ou antéchrist, je l’explique dans mon dernier livre Davos et son Echeveau. Mais, comprenez-le bien, nous sommes ici au nœud d’un problème ; un nœud gordien qui, « grâce » à Bibi, va tous nous emmener d’ici peu droit au cœur du dernier conflit mondial.

Ben Gourion, Théodor Ertz, etc., étaient des athées, mais ils étaient tous porteurs d’une forme sécularisée de leur fichu messianisme. Dieu, ils s’en fichaient, mais pas de son projet d’instaurer le Grand Israël du Nil à l’Euphrate.

Papa, on s’en tape ! mais pas de son héritage. Quant aux opposants à ce sionisme, ils vont se situer dans le socialisme. Mais, après 1967, rappelez-vous, Israël va passer peu à peu d’une conception socialiste à une conception messianique et religieuse. C’est là que, du côté musulman, la bascule eschatologique va s’effectuer puisque le Messie des juifs constitue l’antéchrist des musulmans (et des vrais chrétiens).

Le sionisme les chatouille VOLONTAIREMENT et en plus finance avec la CIA, l’État islamique (Daech), des hérétiques, fous de Dieu, sensés mettre le feu à la planète en opposant les deux principaux monothéismes : chrétiens et musulmans.

« Idées folles de complotiste ! », diront certains. C’est oublier un peu vite les FAITS : tel un mafieux italo-américain de New York qui s'est élevé au plus haut de la hiérarchie de la Cosa Nostra aux États-Unis, le parrain de la Famille Luciano. Il fut surnommé le « premier ministre du crime » du fait de ses relations politiques.  

Costello détenait des photos compromettantes de John Edgar Hoover (1895-1972), premier directeur du Federal Bureau of Investigation (FBI) de 1935 jusqu'à sa mort, soit pendant trente-sept ans. En effet, depuis les années 1940, circulaient des rumeurs selon lesquelles Hoover était homosexuel ou avait un goût pour le travestissement.

Hoover, archiviste de formation, possédait des dossiers sur tout le monde mais, ceci expliquant cela, pour lui, la mafia n’existait pas puisqu’elle possédait de quoi le faire sauter. Quant à la CIA (ancienne OSS), elle a travaillé avec la mafia de manière très exhaustive, notamment pour tenir l’Italie d’après-guerre.

Mais, bien avant, et durant la Seconde Guerre mondiale, la mafia sicilienne, par l’intermédiaire du gangster Lucky Luciano, avait permis le débarquement en Sicile. Dès lors, on comprend comment, par l’intermédiaire de la mafia italienne, la CIA pouvait contrôler le FBI.

Tout ça pour en arriver à une affaire nauséabonde : celle d’Epstein et vous dire que CIA et FBI, ne pouvaient pas ignorer ce qui se passait là. Les « Natacha » du KGB durant la guerre froide, oui, mais là, avec Epstein, on a atteint le fond du fond du caniveau. La CIA et le Mossad marchaient main dans la main afin de faire chanter toutes nos personnalités (Clinton, Gates, prince Philippe, etc.), ainsi que les « stars » de tout bord surprises et filmées la B… à la main, ou ailleurs, en train de torturer et abuser sexuellement des gosses voire des bébés.

N’oublions pas le FBI qui s’était empressé de faire disparaitre les photos et films des ébats sexuels d’Hunter Biden avec des enfants. Elles sont bien sales nos agences à « trois lettres »! Depuis ses débuts, la CIA a voulu contrôler le FBI et a réussi à le faire.

Commet ? Via le milieu mafieux américain et Frank Costello (1891-1973). Alors : CIA-Mossad ou Mossad-CIA ? Peu importe qui domine vue l’envergure de l’horreur. Alors, après ça, financer des groupes terroristes, c’est de la roupie de sansonet.

C’est avec ce fait que nous abordons ici un problème inhérent à nos sociétés : la radicalisation entretenue par qui vous savez. Elle constitue pour eux l’outil adéquat afin de créer le chaos, c'est-à-dire à ce que musulmans et chrétiens en viennent à s’entretuer pour le plus grand bonheur des juifs talmudistes.

Chez nous, des terroristes notoires, ayant déjà fait de la prison et fichés S, sont là tranquillement en liberté, lorsqu’un malheureux Gilet jaune se voit passer en comparution immédiate avec prison à la clé pour le simple fait d’avoir voulu défendre ses intérêts de travailleur exploité.

Nous assistons là, bel et bien, à un deux poids deux mesures dans lequel les outils judiciaires sont toujours mal utilisés. Mais c’est à souhait ! Nous sommes dans un « Etat de droit » où les perquisitions ne se font pas chez les radicalisés, mais chez le bon français moyen. Un blocage des principes de droit ne se trouve pas appliqué chez des criminel, là où il l’est chez un Français « de souche ».

Certains, brandiront alors qu’on peut facilement annuler ces principes et se retrouver en dictature. Ah bon ! Ces principes ne s’appliquent pas à des criminels fabriqués de toute pièce par nos dirigeants, mais peuvent s’appliquer, par exemple, dans le cadre d’une dictature covidiste fabriquée elle aussi de toute pièce avec des confinements interminables ? Là, bizarrement, notre « Justice maçonnique » aux ordres ne s'arcboute nullement et n’est pas offusquée quant aux droits qui sont là piétinés.

Lorsqu’on s’attaque à un « Mohamed de service » la justice pousse des cris d'orfraie, mais lorsqu’il s’agit de supprimer les réunions de culte durant trois mois, elle ne dit rien, sauf en ce qui concerne la Synagogue de Satan.

Vous pouvez encore là constater ô combien tout se trouve dévoyé dans cet « état de droit » qui a été tellement maltraité durant couillonavirus, en balayant tous les principes constitutionnels européens que, du coup, et avant les prochaines élection européennes en 2024, l’hyène de Bruxelles et ses sbires s’empressent de modifier les textes afin d’en faire disparaitre toute idée d’Etat nation au profit des USA.

La France va bientôt disparaitre en tant qu’Etat encore « indépendant » et aucun média n’en parle ! Macron, un juif, en aura été le fossoyeur.

Quant à nos « Mohamed de service », mes derniers articles concernant le flicage et les nanotechnologies à destination de notre surveillance puissance 1000, prouvent que la technologie existe. Pourquoi vouloir l’appliquer aux Français et pas aux fichés S ?

Parce qu’ils constituent un outil de déstabilisation voulu (Ordo Ab Chaos) toujours au profit du N.O.M. Un Nouvel Ordre Mondial au sein duquel nous sommes déjà basculés, mais subrepticement, dès à compter le 11-Septembre 2001.

Il est admis par une majorité d’individus mêmes américains que le 11-09-2001 pouvait être classé comme THE MENSONGE du début de millénaire. Vous voyez donc que le cercle des « complotistes » ne fait que s’agrandir ! Parmi eux, je fais désormais partie des ANCIENS, puisque, dès 2013, je l’annonçais dans mon second livre La Promesse.

J’y parlais du groupe Supertramp, dont la couverture d’un album sortie en 1979 « Breakfast in America », constitue, depuis longtemps, un MUST pour les « fous » comme moi. Des « fous » à qui un jour ou l'autre l'actualité donne raison !

« Breakfast » ou rompre rapidement, par exemple ! Ou tout simplement en finir avec les lois de la physique pour en arriver à voir dégringoler trois immeubles plus vite que la gravité en live et en différé… et que dire de l'effondrement de la 3e tour pourtant non impactée par un avion ?

Lors de l'attaque du 11-Septembre 2001 ou 9-11, les tours du WTC avaient été littéralement pulvérisées, alors que le béton vibré avait été largement utilisé pour leur édification ! Les 220 étages des deux tours du WTC 1 et 2 se sont effondrées à la vitesse de la gravité et en direct. Mais, bizarrement, le volume des débris correspondra à 3 ou 4 étages et non à deux fois 110. Ou est passé le reste ?

Observez-bien le verre de jus d'orange brandi par la serveuse comme la torche de Liberty, sur la couverture de l’album de Supertramp. En un joli pied de nez à tous ceux qui ne veulent pas voir plus loin que le bout de leur nez, cette couleur orange ANONCIATRICE a été réactualisée en 2023 selon le scénario inattendu.

On parla alors d’une pollution sur New York dont l'origine serait due aux centaines de feux gigantesques frappant le Canada… Mais personne n'a pu témoigner du fait d'avoir vu passer le nuage au-dessus de leurs têtes entre le Canada et New York ! En fait, style Tchernobyl, la pollution aurait été provoquée par des épandages de dioxyde de nitrogène un gaz brun rouge toxique

Ainsi, neuf mois après « l’an 2000 », le 11-Septembre ou 9-11 constituait un accouchement : celui du Nouvel Ordre Mondial. Quant à toutes les technologies de surveillance (nanorobots) injectés depuis avec les vaccins, en parallèle à la 5G partout déployée, même et surtout durant les confinements, elles serviront à la surveillance du cheptel humain survivant après la période de chaos purement orchestrée et qui s’en vient à grands pas.

https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/11/du-1984-a-la-puissance-10.html

https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/12/lorsque-la-science-fiction-devient-realite.html

L’Amérique sioniste de Bush en avait déjà profité pour fliquer son peuple (Patriot-act), après des événements qu’ils avaient eux-mêmes orchestrés, afin de pouvoir à nouveau envahir l’Irak. C’est toujours cet axiome simpliste : action-réaction qui est ici utilisé. Ils créent une crise (covid, Ukraine, CO2, Gaza, etc.) puis arrivent ensuite en sauveurs avec une solution qui leur est toujours profitable (J.O et surveillance renforcée). Mais revenons à notre tandem Israël-CIA.

Olivier

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SION : LA VERITE (Partie 6)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/01/sion-la-verite-partie-1.html

Cette morale protestante, élimine toute base doctrinale, et finit par dégénérer en ce qu'on appelle la « morale laïque ». La religion étant proprement une forme de la tradition, l'esprit anti-traditionnel ne peut être qu'antireligieux ; il commence par dénaturer la religion, et, quand il le peut, il finit par la supprimer entièrement, en s'efforçant d'«humaniser » la religion.

Le Protestantisme est illogique en ce qu’il laisse encore subsister malgré tout, au moins en théorie, la Révélation ; il n'ose pas pousser la négation jusqu'au bout, mais, en livrant cette Révélation à toutes les discussions qui sont la conséquence d'interprétations purement humaines, il la réduit en fait à n'être bientôt plus rien.

À l’instar des juifs et on comprend pourquoi, on en arrive alors à des individus qui, tout en persistant à se dire « chrétiens », n'admettent même plus la divinité du Christ. Ce Protestantisme, avec l'esprit de négation qui l'anime, est donc devenu, entre les mains de SION, une arme contre toutes les religions, et ainsi, tout en prétendant ne reconnaître d'autre autorité que celle des Livres sacrés, il a contribué pour une large part à la destruction de cette même autorité.

Ces fanatiques « chrétiens » ont fait du livre de l’Apocalypse (Révélation), un manuel pour les nuls, décidant que le moyen de déclencher mécaniquement la Seconde venue du Christ était de rassembler tous les juifs en Palestine et de déclencher l’Armageddon. Cela prouve que les sionistes ne sont pas le seul groupe politique schizoïde sur la planète et, apparemment, les esprits schizoïdes pensent la même chose.

Et, si Armageddon il y a, mon p’tit doigt me dit qu’il risque de débuter, loin, bien loin, du lieu où ces Millénaristes à la noix s’imaginent le voir fleurir. L’oncle Sam gratte lamentablement son vieux cul en se demandant comment maintenir sa tête de pont méditerranéenne en Israël.

De tête de pont, il pourrait devenir la tête de con. Outre ce fait, il y a l’Ukraine, et toute la machine à fabriquer du faux argent qui est lamentablement en panne, d’où l’intérêt pour l’élite à se refaire une santé avec de l’argent vert.

Le gros bras de la cours de récréation, celui qui terrorisait tout le monde, se voit confronté à l’arrivée d’autres gros durs, plus jeunes, plus forts. Parmi eux, un énorme grizzli capable d’envoyer par le fond n’importe quel porte-avion du vieil oncle sénile autant que pédophile. Pendant ce temps, autour du grizzli, « d’autres animaux » observent : Iran, Corée du Nord, le panda Chinois, etc.

Bref ! le gros bras n’est plus là pour défendre le sale morpion espiègle. Israël est seul, seul face à ses crimes. Gaza et Cisjordanie sont devenus ses cauchemars. En essayant de contrer l'incursion du Hamas dans le sud, près de Gaza, les Israéliens ont réussi à tuer environ 1 400 personnes par des « tirs amis ». Il est difficile d’imaginer une performance plus lamentable. Tsahal a tué beaucoup de ses propres soldats et autant de civils. Un faux prétexte monstrueux afin de commettre ses exactions en tout genre.

La majorité des morts israéliens du 7 octobre étaient des soldats. Parmi les autres, beaucoup, sinon la plupart, ont été tués par Tsahal dans des tirs croisés, et tout simplement dans la panique avec de nombreux cas d’erreurs d'identifications. Le gouvernement israélien ne bénéficie d’aucun soutien public. Si, comme prévu, l’escapade à Gaza se termine dans la honte et que l’argent se tarit, ils feront ce que font les oiseaux lorsque la mangeoire est vide : ils s’envoleront et, pour le plus grand dam des Millénaristes, Israël fera prout !

Tout ça pour vous dire que les diplomates israéliens ne le sont que de nom. Un simple exemple avec « notre Bibi intergalactique ». En 2015, il avait fait preuve d’un culot sans nom, lorsqu’il avait arraché aux législateurs de Washington une invitation à s’y rendre, contournant ainsi Obama. Il avait alors pu s’adresser à une session conjointe du Congrès avec 26 standing ovation pendant son discours.

Son but : une ingérence flagrante dans le système politique américain ; saper les négociations en cours d’Obama avec Téhéran sur l’accord nucléaire, à propos duquel Israël est d’une hypocrisie crasse.

Non seulement Netanyahou avait rabaissé Obama et avait montré que son influence auprès des représentants du pouvoir à Washington était supérieure à celle du président, mais il avait également dicté à la Maison Blanche la politique des États-Unis à l’égard de l’Iran. Il s’en est tiré parce qu’il estimait, à juste titre, que les élites politiques américaines étaient à la solde du lobby israélien.

Actuellement, Israël récidive par l’intermédiaire de son ambassadeur à New Delhi, Naor Gilon. Celui-ci a publiquement demandé un changement dans la politique indienne à l’égard de la Palestine en voulant faire interdire le Hamas en tant qu’organisation « terroriste ».

Tout porte à croire que Gilon s’est adressé au lobby israélien qui, comme partout en ce monde, est bien implanté dans les médias indiens.

De l’avis général, Israël est sur le point de lancer la phase suivante de son opération militaire une fois que la « pause humanitaire » aura pris fin. Puisque la pression occidentale fait défaut, une confrontation prolongée avec le Hamas se profile à l’horizon.

De toute façon, la dernière déclaration du G7 n’appelle pas à un cessez-le-feu permanent et, d’autre part, elle réaffirme l’engagement du G7 en faveur du « droit d’Israël à se défendre et à défendre son peuple, conformément au droit international, alors qu’il s’efforce d’empêcher que les attaques du 7 octobre ne se reproduisent ». Israël est en train de rallier des « nations amies » pour qu’elles se tiennent prêtes à participer à la prochaine phase de la guerre contre le Hamas ; l’Inde en fait partie.

Mais, je pense avoir été suffisamment clair, la Vérité et la justice ne sont certainement pas du côté d’Israël. Son passé, sous la direction de Netanyahou, est très controversé en ce qui concerne le Hamas. Deux anciens premiers ministres, Ehud Olmert et Ehud Barak, ont récemment accordé des interviews à des médias occidentaux de premier plan, affirmant que Netanyahou était responsable de la montée en puissance du Hamas, ayant financé le mouvement avec des fonds qataris. Un ancien général israélien chargé de l’occupation de Gaza a même admis avoir versé des fonds au Hamas.

Mais cela n’a pas empêché l’ambassadeur Gilon de demander à Delhi de déclarer que le Hamas est une organisation terroriste. Curieusement, un quotidien de langue hébraïque publié en Israël (Ma’ariv Hashavu’a) vient de publier une bombe selon laquelle, entre 2011 et 2023, Netanyahou aurait rejeté au moins six plans présentés par l’agence de renseignement israélienne Shin Bet.

Il l’a fait au cours des mandats respectifs de Yoram Cohen, Nadav Argaman, et l’actuel chef, Ronen Bar, pour éliminer le chef des combattants du Hamas à Gaza, Yahya al-Sinwar (qui aurait mené l’assaut du 7 octobre) et d’autres hauts responsables du mouvement palestinien.

L’ancien ministre israélien de la défense, Avigdor Liberman, vient même de confirmer la véracité de ce rapport. Selon Liberman, c’est Netanyahou qui a accordé « l'immunité » à Sinwar et à d’autres dirigeants du Hamas, s’opposant ainsi à toute tentative de les neutraliser. « Je ne présente pas cela comme une simple spéculation, mais comme quelqu’un qui a une connaissance personnelle de l’affaire », a-t-il déclaré.

Netanyahou possède ainsi la réputation douteuse d’avoir systématiquement renforcé le Hamas comme un outil afin d’aggraver les divisions entre les factions palestiniennes et dans le but d’affaiblir l’Autorité palestinienne et son président, Mahmoud Abbas. Son objectif ultime est de bloquer tout processus de paix, afin de gagner du temps pour mener à bien le projet du Grand Israël.

Ben Caspit, le journaliste israélien qui a rédigé l’article du Ma’ariv, estime que Netanyahou considère le Hamas comme un « trésor » qui l’aidera à saborder la solution des deux États. Il rappelle que la première faveur offerte par Netanyahou au Hamas a été l’accord d’échange de prisonniers en 2011, qui a vu la libération du soldat israélien Gilad Shalit en échange de 1 027 détenus palestiniens, dont Sinwar. Netanyahou, avec le soutien tacite des États-Unis et la participation secrète de l’Égypte et de la Jordanie, a saboté la tenue des élections législatives en Cisjordanie en mai 2021, de peur que le mouvement Fatah ne subisse une défaite certaine face au Hamas. Les sondages d’opinion avaient indiqué une victoire écrasante du Hamas.

Le Hamas est un mouvement palestinien autochtone qui se concentre exclusivement sur la lutte contre l’occupation israélienne. Il promeut le nationalisme palestinien dans un contexte islamique. Il affirme que le rôle de l’Autorité palestinienne devrait être de servir les Palestinien et sauvegarder sa sécurité, ses droits et son projet national. Le Hamas insiste sur la nécessité de maintenir l’indépendance du processus décisionnel national palestinien et l’autonomisation du peuple palestinien.

Nous sommes censés admettre un peuple juif se disant peuple race alors que la majorités de ceux se déclarant juifs ne sont même pas sémites, mais Ashkénazes : c'est-à-dire d’origine khazar (des convertis au judaïsme). Il existe par ailleurs des Arabes convertis au judaïsme.

Zemmour, par exemple, est un juif du Maghreb. Il n’est pas sémite mais berbère. Il fait partie des tribus berbères qui furent judaïsées. Par contre, les juifs sémites qui vivent actuellement au Maghreb, c’est-à-dire ceux qui étaient déjà là sous domination ottomane, et qui étaient des juifs locaux qui se sont opposés aux colons dans les années 1920, le yichouv, sont des juifs-arabes arrivés là avec les arabo-musulmans, au 7e siècle. Ils ne sont donc pas des Hébreux non plus, mais des Arabes convertis au judaïsme.

Donc, je le répète, car c’est vital, comme le dit l’historien juif-israélien Shlomo Sand, s’il existe bien quelque part des descendants d’Hébreux, ce sont les Palestiniens. On peut donc laisser de côté la dimension raciale des juifs d’Israël.

Bien qu’ils pensent le contraire, le judaïsme n’a rien à voir avec la race. Il existe bien des communautés juives, mais ce qu’elles ont en commun, ce n’est pas la langue, c’est la Thora. C’est-à-dire, selon la tradition judaïque, l'enseignement divin transmis par Dieu à Moïse sur le mont Sinaï et retransmis au travers de ses cinq livres que constitue la Thora.

Chez eux, on peut parler de difficulté téléologique-raciale, ce qui permet difficilement de les intégrer dans une case. En effet, qu’ils soient croyants ou pas, comme nous l’avons vu, ils se réclament tous de cette idéologie faisant d’eux des propriétaires de cette terre palestinienne au nom de préceptes de la Thora. Quant au sionisme, ses origines de rapatriement en terre sainte remontent bien loin avant Theodor Herzl (1860-1904). Trop long à étendre ici, le détail se trouve dans les deux tomes du Centième Gueux.

Qu’il vous suffise de savoir que le Talmud, cette fameuse loi juive, leur interdit le retour en terre sainte.  Ils ne doivent pas, en outre, hâter la venue du Messie. C'est-à-dire accélérer la fin des temps. Néanmoins, au sein de ce judaïsme existe un courant parallèle et mystique : la kabbale. Elle sera très mal vu par les descendants des Pharisiens, dès son apparition au 1er siècle de notre ère.

Cependant, à la fin du Moyen âge, cette tradition kabbalistique, pure émanation de Babylone, va alors titiller l’esprit d’individus style Calvin, et va finir par effectuer son chemin au milieu du judaïsme et faire partie intégrante de leur orthodoxie. Certains voudront alors hâter la venue de leur Messie par le biais d’actes de piété, ou l’inverse en orchestrant partout le chaos.

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/01/sion-la-verite-partie-7.html

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